FLOG.7

FLOG.8

 FLOG.9

Bonjour,

../../../2011/ima/20110226133933_chaineProd.wmv

   Cette vidéo (4 de 6) complète simplement le 'graphe' mais ajoute ce qui est à l'origine (Thèse/Mémoire de Psychiatrie - DWT-1979) qui objectivait et titrait La Pulsion Hiérarchique. Cette pulsion ajoutée au catalogue 1979 des pulsions s'est ensuite vérifiée sur l'anti-psychiatrie (Raison et Violence de R.D.Laing) avec le traité titré Fleuve (ou Pour une Intelligence Pratique du Marxisme - 1986) ; elle a été troisièmement déchiffrée de la croisée sexuel-cestuel que je décris actuellement (également titrée sexualité & paedomorphose).

   Ces notions sont de celles que la psychanalyse peut porter pour traiter l'ectogenèse en passe d'être le pivot sans quoi une écologie est impossible. L'/ia/ n'aboutirait à l'écologie à elle-seule ; car la personne humaine montre son inaptitude à la reconnaître (reconnaissance de l'/ia/) - l'ectogène a de meilleures chances d'y parvenir. Entre-temps Freudisme et Marxisme sont encore des occupations saines.

DWT

casse-tête : les catégories traitées sont énormes comme quelques uns s'en inquiètent. Mais acquises, considérablement simplifiables. La pulsion hiérarchique (que la vidéo localise sur le graphe) concilie : le chiffre (congruent à la description de Lacan, auteur dudit graphe) + le Nom-du-Père (dynastie antécédant la hiérarchie). Le moins-un que Lacan y expose aussi ajoute à la conciliation la psychanalyse plurielle. Toutes ces mentions et d'autres sont étayées par ailleurs.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110301190800
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   Quelqu'un m'a donné l'occasion de montrer par le concret les méfaits de la secte. Je ne peux pas en faire part à l'extérieur de la secte puisqu'elle interdit que je sorte ledit concret. C'est donc dans la secte que j'ai déposé (titré:démonstration de source close) ce qui somme toute lui revient intégralement.
   Je peux donc expliquer la chose ainsi :
   Cette personne s'est adressée à moi, comme prenant mon message (20110228111900) et l'émaillant de réponses. Ce qui est très clair jusque là. Mais à supposer que je lui interdise de prendre ainsi mon message, il n'aurait droit d'éditer que seulement son émaillage. Ce serait l'état du flog si j'y répondais de messages (interdit d'en citer la source) de la secte . Privé de sa source (c'est à dire de mémoire) un message devient dément. Pour aider à la compréhension du fait j'ai donc déposé dans la secte cet émaillage privé de sa source. Tel est ce que la secte voudrait faire de mon flog - c'est à dire de ma mémoire - littérature grise et/ou Total Recall : " Un produit dément " - ce qu'évidemment en floggant je démens.

   On m'a d'ailleurs demandé si j'étais une grenouille volante - je réponds non ; ça serait sur le flog puisque c'est ce à quoi ça sert

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110228150200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  Bonjour,

   Merci pour votre contact ; avant de répondre aux question, juste une explication ajoutée. Je suis content que les vidéos soient utiles - ma motivation est très pratique. Écologiste, entrepreneur et politicien - en pratique je travaille pour l'/ia/. Mon rapport au forum psychanalyse est laborantin ; il consiste à examiner la manière dont procède la logique sectaire.

   La psychanalyse en cet exemple comme ailleurs n'est pas une secte 'déclarée' ni visiblement organisée - mais elle procède des principes de la 'secte' qui opèrent automatiquement avec elle. Cette confrontation de la psychanalyse à la secte a été théorisée ou étudiée (premiers chapitres de La Sainte Éthique). Je ne l'aborde pas non plus avec une intention de satanisation mais comme un principe sociologique qui a une certaine utilité - en l'occurrence elle garde un refoulement qui devient par le fait plus facilement localisable et observable. Troisièmement la clinique de cette organisation se traduit sur le thème du propriétarisme. La propriété intellectuelle est une sorte d'hystérie. Lorsqu'on observe les conditions de l'édition depuis l'imprimerie on mesure que la part financière réservée à l'auteur est très faible. On paye un livre parce qu'il pèse du papier ; c'est presque totalement son coût de fabrication, de logistique et de transport qui fait son prix. Au contraire, il suffit de connaître un peu la vie d'auteur pour savoir que son œuvre lui appartient très peu ; il en est même dépossédé par contrat. Le copyright depuis Internet est certainement encouragé par les Hadopi et autres incultures ; qu'un auteur de post sur un forum prenne ce train est une nouvelle version de la mouche du coche. Le pou des poubellications (je crois que le mot ou approx est de Lacan) est la bouche de laquelle on doit pouvoir avoir des lumières sur le capitalisme. C'est en tant que médecin que je suis à l'étude de ça.

   Venant aux questions : Je ne connais pas Legendre - du moins pas encore car peut-être le ferez-vous connaître. J'ai notion du terme 'archéologie du savoir' mais très sommaire.

   Je serais très heureux de votre éclairage sur le sujet

Cordialement vôtre DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110228110700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   Venu d'un groupe que je ne peux pas citer on m'a dit que c'était compréhensible.. qu'il fallait suivre, que ça tenait la route, restant à voir où ça menait. De la sorte encouragé voire appelé il reste sur le chemin tracé à l'aplanir, c'est à dire résumer vite et simplement. La vidéo y convient. Celle que j'ai réalisée (première) pour commencer vérifie la simplicité. Il s'agit de la chaîne associative tendue du Marché à la Consommation. Où ça mène ? au cinquième discours - celui que Lacan a formulé à la suite desdits quatre. Il fait cas du désir (du consommateur).

   La vidéo se trouve à ../../../2011/ima/20110226133900_chaineProd.wmv ; il est possible que certains navigateurs ne l'ouvrent pas (MSexplorer devrait, et FireFox vient de le faire) - c'est le problème avec les vidéos qu'on fait simple : le marché a tendance à les interdire - soit franchement comme Berlu réclamait que le web fut interdit de vidéo (après qu'il ait reçu la cathédrale borromée dans figure) soit insidieusement comme ainsi dieu se ment pour dire la vérité.. mais avant que la propriété intellectuelle ait fini d'épuiser la culture il reste encore quelque jours de marché libre.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110226134900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

Bonjour,

   Un sommet dans la misère est atteint avec la pensée scientifique qui nie son objet. Pour bien comprendre, ça s'est vu : la Renaissance a exhibé une crise qui accentuait la croyance dans le caractère évanescent des lumières du ciel. Jupiter n'était même plus une combinaison d'éléments alchimiques (eau, feu, air etc..) mais un catalogue de caractère moraux. Également Saturne, Mercure etc.. les planètes, ou luminaires célestes, étaient des dieux. Comme c'était en pleine crise du monothéisme, c'était une manière de condamner l'astrologie - solution qui repoussait en même temps l'astronomie ; coup double pour un beau complexe de symptôme. Ce à quoi ça résistait en fait, c'était de reconnaître qu'il n'y avait aux cieux que matière, éventuellement espace et/ou énergie.
   Cette leçon que nous rend l'histoire quand elle étudie la Renaissance pourrait nous être utile. Oedipe est considéré avec acharnement comme un mythe. Très bien ! Il est vrai que les traits de caractères de Jupiter sont des traits de caractère et qu'Oedipe n'est qu'une histoire. « Il faut distinguer du principe du sacrifice (celui qui tient en un seul et même acte le phallus ou le dénommé corps), qui est symbolique, la fonction imaginaire qui s'y dévoue mais qui le voile du même coup qu'elle lui donne son instrument. » écrit Jacques ; c'est tout à fait approprié : le mythe d'Oedipe masque la réalité historique d'un personnage. Autrement dit, exactement comme on refusait de concevoir que les luminaires étaient des corps physique, faits de matière, on refuse de concevoir que Oedipe est un personnage historique, fait d'actes politiques.
   Que de soi-disant 'analystes' du rapport à la réalité et à la réalité de l'autre le cachent comme l'astronomie les inquisiteurs fait la misère de la psychanalyse.
   En attendant ses lendemains qui chanteront le refoulement renversé, voir pour l'instant l'embarras où ça mène en conséquence sur Moïse et confirmer par le malaise de Freud sur l'Acropole - dont j'ai déjà parlé. Je le répète dans un assourdissement général - et la théorie du refoulement explique pourquoi. Du même acabit s'explique la méconnaissance de la cause des machines, de l'intelligence matérielle qu'on dit artificielle ; bref de toute la matière sainte éthique (synthétique) qu'on ignore autant qu'on ne voulait pas voir que les corps célestes étaient physiques. Ceci dernièrement a été analysé, montrant que c'est la-personne-humaine-imitant-la-mécanique qui est dénié.

   A partir de là et du pas suivant, cette infatuation du moi explique à son tour les prétentions à la propriété dite intellectuelle - autre dénégation de l'Inconscient.
   Misérable condition de la culture - à l'acmé de sa Convention de Mensonge - qui est décelable à l'argument d'une erreur de Lacan. «Jadaki de jolies choses!» Hourra! on applaudit  - «Jakadi des bêtises» Hou! maudit celui qui dit.
   J'ai pour ma part publié, pour les Amériques apparemment, " Une intelligence Pratique du Marxisme " - à savoir une critique intelligente de la plus-value. Jacques l'a traité à sa manière ratée - il exigeait au demeurant que ce fut raté-pour-preuve («inappropriation comme telle» in Lacanais Points;p.301) .
   On sait que le chemin qu'il suivit  fut de l'objet (a) au plus-de-jouir au semblant.
   Mais le (a) semblant est tout autre chose que le (a) pareil. Or Jacques n'avait pas encore d'appareils au pluriel (interconnectés). Sa concaténation fut donc à l'erreur par substitution au manque (S de Abarré) de la plus-value et de son clone (le semblant au lieu du 'meme' de Dawkins). Tout cela demande un peu de connaissances qui sont en pratique interdites. Je mentionnerai donc tout crûment l'alternative :

   Le lacanisme s'échoue sur la grève du signifiant du manque ; il remplit cette place de divers alibis qui sont infonctionnels comme il se doit (Complexe de Castration). Si c'est un devoir (assigné du Surmoi) ce n'en est pas moins une faute réparable. En vue de cette réparation on peut préfigurer qu'au lieu d'une échelle de valeur (les échelles de la plus-value, du plus-de-jouir ou quelqu'autre compensation entropique (sic)) ce soit une croisée qui indique un point. Alternativement et hésitant, Lacan à cité le petit-écart, comme le coinçage pour pointer ce point, cette faute. Je propose une autre raison, bien étayée qu'il suffit de consulter pour apprécier. Je la qualifie pour la distinguer du terme de croisée.
   Cette 'coisée' n'a rien à voir avec celle du schéma Z, X ou L de Lacan où le gril imaginaire croise l'issue de l'Inconscient. C'est la croisée de deux relations de types beaucoup plus semblables - on peut dire identiques. C'est tout à fait autre chose que de dire qu'il y a une pulsion de vie, libido, et une pulsion de mort, de dire qu'il y a deux pulsions de vie. Deux relations libidinale se distinguent et méritent deux noms. Puisque la seconde est de découverte récente - elle n'apparaît qu'avec les conditions cybernétiques d'appareillage qui interviennent sur la reproduction de l'espèce - on peut l'indiquer par un néologisme ; mais comme elle est aussi très ancienne et pressentie, il convient que ce néologisme puise à ce qu'il éclaire. Il y a en effet une relation sexuelle et une relation cestuelle. C'est la croisée de ces deux relations qui a pour effet celui d'un point plus conséquent que le ratage de système de Lacan. C'est à cette croisée que la psychanalyse est une science confirmée.

   J'ai souvent et plus que jamais dernièrement écrit pour situer la paedomorphose que l'intitule de ce jour à l'instant "axe cestuel" afin de faire comprendre simplement de quoi il s'agit dans cette solution du Complexe de Castration qu'offrent les temps modernes. La relation sexuelle entre homme & femme est également disposée entre enfant & adulte et mérite l'(a) postiche d'un cestuel. La paedomorphose est évidemment quelque chose de plus élaboré qu'un jeu de mot de circonstance ; ce qu'elle compose vise : le rapport que la phylogénèse entretient durant la croissance avec l'état de l'évolution que l'analyse psychique dispose. Un telle analyse psychique est apprêtée par l'adulte ; elle subvient au moment où le déclin du Nom-du-Père lui ouvre la voie.
   Exactement comme il était peu utile de parler d'astronomie aux inquisiteurs, il est à ce jour sans grand effet que de le citer en vis à vis d'une psychanalyse sectaire. Cependant je tiens le propos en connaissance de ce qu'il est conditionné par l'informatique, nommément par LAPAREIL que je théorise et pratique du même ressort.

   Les récents chapitres sur la paedomorphose sont écrit en littérature grise, actuellement, "prochainement sur cet écran.."  Un délai qui s'en suit se remplit de quelques lignes préalablement écrite, il y a quelques jours et dont la fin est à ramener au début de ce texte ; voici ce que j'écrivais :

http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110225125000

[20110225125000]   

   Le groupe dont je parle a cessé à son tour de faire écho. Il interdit qu'on fasse écho au premier tour et s'est à présent fermé à double-tour. Cependant de même qu'il est délirant de parler sans que ce soit d'une source originaire autre que soi-même, il est impossible qu'un discours se tienne autrement que suivant la formule au moins lacanienne « On ne se pose de question que là où on a déjà la réponse.» Autrement dit, c'est ce que le même Lacan répétait en disant que son discours faisait bise. Les 'austraciseurs' de Lacan - c'est à dire les flycanalystes qui s'interdisaient, à l'époque, de prononcer son nom - soufflaient sans pouvoir s'en empêcher la bise de ce que ledit Lacan refoulé disait. Encore pour le dire : Lacan leur apportait la réponse et ils se posaient la question, sans mentionner l'origine (était-ce pour respecter la propriété intellectuelle, déjà privée, que son gendre prorogea?).
   Dans le groupe laboratoire dont je rapporte l'expérience, ça a beaucoup bisé sur le rapport du vivant aux machines depuis que j'en ai parlé par ailleurs - principalement pour noter que dans un monde où l'/ia/ [intelligence artificielle] est en activité, il est délirant ou impossible de faire appel à propriété intellectuelle.
   Comme le principe de la secte est basé sur cette propriété fantasmatique, ça n'a été reçu et n'a d'effet que par la bise dont je parle après Lacan.

   L' /ia/ impose cette déduction : le vivant imite la mécanique. Il y a des définitions plus précise de son alambique ; mais le point de départ est celui-là - également rassemblé par Dawkins et son concept de meme/mime : mime de la mécanique cosmique.

   Comme ça m'a un peu lâché, je peux parler de ce dont il n'y a dans la secte ni bise, ni grand vent de l'actualité : le cas d'aPhi. APhi est un grand con, un grand connard et je ne voudrais pas l'avoir pour frère. Il bombarde ses propres civils - ce qui est plus tordu que de bombarder les civils de l'autre (voir signe et signifiants de la connerie), par deux fois pour faire lourd, Hiroshima et Nagasaki. La triple police de Tripoli, flics, militaires et mercenaires fait un carnage. La flychanalyse n'a rien à en dire. Pétain en son temps ne parlait pas des camps ; en notre temps Sharko ne parle pas des dictatures mais 'reçoit'). Ibid, les flychanalystes n'y trouvent pas plus de raison d'en parler. C'est pas vrai ! Si ! Pourquoi ?
   Parce que les flychanalystes refoulent l'essentiel ; ça ne leur donne pas une raison suffisante pour broder dans le détail.

   En direction de l'essentiel nous avons la répétition. Un documentaire récent sur Tien Anmen rappel le silence entretenu sur Tien Anmen, bien sûr, mais aussi le silence entretenu sur le silence de Tien Anmen. En deux mots voici le jus dudit documentaire : par deux exemple de personnages il montre l'opération. Il s'agit d'un ingénieur ; en 1989 sur la place Tien Anmen un char lui est passé sur un bras. Il est amputé. L'autre est un politicien de 1989 qui soutenait le mouvement populaire. L'un et l'autre ont des enfants. Ils ne disent pas à leurs enfant ni l'un pourquoi il a perdu un bras, ni l'autre pourquoi il a été en prison. Il est pourtant remarquable qu'ils parlent librement. Mais chacun pense que s'il révèle à sa filiation ce qui s'est passé en 1989, l'enfant sera chargé d'une connaissance qui l'assombrira en formant un handicap vis à vis de ses camarades dans la compétition au succès social. C'est ce caractère de liberté qui est frappant en 2010 ; on peut faire un film en Chine à la Godard genre La Chinoise qui met en scène les évènements de 1989. Mais le film ne passe pas ; et le cinéaste ne trouvera plus d'argent pour refaire un autre film.
   Ce qui est frappant à la réflexion de ce documentaire, c'est le silence des flychanalystes qui n'ont jamais fait la comparaison entre Tien Anmen et Amarna. Pourtant ils prennent connaissance du mécanisme du refoulement et apprennent en lisant Freud qu'un ostracisme identique à celui de Tien Anmen a été imposé après Amarna sur les peuples d'Égypte et des environs. L'entretien automatique du refoulement décrit dans le laboratoire des singes, de la banane et de la douche, est explicitement d'actualité depuis 1989 - aucun de ces professionnels de l'enquête le l'a relevé mais ils connaissent probablement bien Hiroshima Mon Amour de Marguerite So Sweeet! (« il n'y a (plus) rien à Hiroshima »).

   Il est pourtant essentiel de voir les chariots menaçant Amarna, finalement s'y ruer ; mais Moïse a dégagé. La place est vide. Tien Anmen n'était pas vide. Il y a 24H sur la place de Tripoli le cas d'aPhi a lancé ses avions bombarder. La crétinerie qui est une nomenclature psychiatrique n'est peut-être pas en cause dans son cas (d'a Courterme). Il a la vision d'un islam grandissant suivant des lois démographiques ; et il a quelques tribus dans sa poche qui lui paraissent élues. A l'inverse du peuple électeur, le peuple élu suit un guide qui mènera ces tribus à la tête des masses qui submergeront l'Europe. C'est pourquoi il suffit d'être con pour lancer ses avions sur des frères qui n'ont pas la qualité d'être dans la poche. Les effets du crétin sont autres, passant par l'environnement. Le méfait environnemental passe par le silence imposé sur la marque. (révisionisme)

   Le silence (le moins , -1 dans la perspective de la castration)  "imposé" sur l'action, l'évènement, diffère de celui qui est imposé sur les traces, choses écologiques. Il y a une comparaison qui aide.. celle "des singes, de la banane et de la douche" - cette expérience nécessite une échelle. Il y a une différence entre interdire de monter à l'échelle et d'enlever ses échelons. Ôter les marques, marches, barreau, échelon est autre chose que la négation de la démarche aboutissant pourtant au même résultat. L'écart des répétitions, mène dans le discours de Lacan à l'échelle de l'entropie.

Évidemment Lacan devait bien se dire que dans de l'en-trop pire, il n'y avait plus-beaucoup de jouir.

   C'est à ce point où je m'étais arrêté que je reprends de plus haut

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110225124700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

   Je suis désolé de ne pouvoir faire écho d'où je parle. On y parle d'échelles et de couches, oubliant que miraculeusement de couches bien propres bien mises, quand on les ôte, comme un lapin d'un chapeau un caca y a fait sa miraculeuse apparition ; tandis qu'à l'échelle, c'est bien cas-par-cas que l'analyse de cette matière abjet montre au jeu pair-impair que d'un code pin, le caca passe lapine en trois échelons que Lacan pousse jusqu'à quatre lettres. Ceci pour les singes au pied de l'échelle qui sans savoir d'où je parle seront de plus en plus violent à m'interdire de leur décrocher la banane. Cette soustraction de la source, ce qu'on appelle en psychanalyse de l'Autre, ou autrement dit encore de la surdétermination symbolique qui me fait être humain.

   La question du binaire a été posée par des lacaniens dans leur entreprise de refouler Lacan comme les freudiens l'avaient fait de Freud. Je ne suis pas autorisé à dire sur quoi je me fonde pour affirmer cela mais on me croira sur parole (le pire). Lacan écrit :
   « C'est parce que Freud ne cède pas sur l'original de son expérience que nous le voyons contraint d'y évoquer un élément qui la gouverne d'au-delà de la vie et qu'il appelle l'instinct de mort.» On comprend qu'avec pareil programme on cherche à refouler Freud et Lacan. Et c'est admissible parce qu'il y a une faute dans la démonstration qu'en fera Lacan. Pour la déceler il faut faire usage de l'exploitation clinique.
   Dans la clinique dont j'ai parlé ci-dessus et qui s'interdit la répétition - on comprend qu'elle se l'interdise car c'est de cette répétition que Lacan estime après Freud la gouverne dudit instinct de mort. En clinique de l'automatisme mental comme au rebord des sectes on entend : si on répétait ce que je dis je pourrais mourir.. Mais comment est-ce que s'explique ce fantasme qui est presque la conjuration d'une hallucination ?

   Ce fantasme émerge du binaire. Lacan fait son erreur, son pas faux en pensant que ce fantasme est la remémoration ravie « à l'agent humain identifié à la conscience.» C'est un faux pas qui cache que c'est à la philosophie (jusqu'à Kierkegaard) qu'il puise ce ravissement. Et il n'y a rien à tirer de ce godet-là si on assume comme il dit le freudisme. La mémoire que Freud (ou son temps) réclame est tirée de la vie. C'est de la vie que la psychanalyse tire « la nécessité incluse dans la répétition.» En faisant remarquer cela, je fais un petit pas de côté* qui nous tire du mauvais pas où Lacan (ou son temps) n'arrivait pas encore à sortir (faute de moyens - cybernétiques).
   Ce petit pas de côté a inversé les choses - pas du tout détruites, qu'on peut continuer à lire. On lit bien en effet que le binaire est à la fondation de toute cette pensée.
   On croit aisément - c'est cette aisance qui nous trompe - que l'on fait des machines pour imiter la vie ; qu'on se trompe tant de ne pas voir que c'est la vie qui imite les machines. Telle est l'inversion que la psychanalyse apporte à la vision du monde moderne. On le savait déjà depuis longtemps. On devait bien s'en rendre compte quand les astronomes on déterminé la nature matérielle du métronome (des cycles planétaires). Dans ce monde hypermatériel, le vivant est ce qui va chercher, par semblant à donner corps à cette mécanique (dont à priori « la réalité se répartit strictement au hazard.»). La vie est substantivée par l'imitation des automatismes mécaniques de la physique. Ainsi la vie va-t-elle imiter les ordinateurs - mais à cet aboutissement nous arrivons troublés. Comment la matière cosmique arriverait-elle à composer un binaire si bien aligné ('sériel') si la vie n'avait pas son génie d'ordonnance propre - car rien ne le distingue (le binaire) à jamais de l'hazard fouillis. C'est cette illusion d'une cause ordonnatrice que le Freudisme rompt pour y mettre (à la cause) un objet sinon sans qualité - (a) - sans ordre. C'est la parole, distingue ultimement Lacan qui va porter le binaire, de son plus simple appareil (mécanique) à celui de la série (ordinateur) par laquelle la vie se mettra à réfléchir.
   D'une manière dont cette parole opère, rien n'est ajouté au binaire ; tout y demeure et le restera. Elle commence binaire.

   Aussitôt Lacan introduisant son explication rappelle-t-il que tout commence par « Ce jeu où l'enfant s'exerce... » notamment à l'opposition de valeur - Fort-Da, autrement dit Hors-Là, qui deviendra pour mémoire un jeu Pair-Impair ainsi que 0-1. A ce jeu le corps du petit humain ravit le binaire avant qu'il ne l'imite.
   Il suffit de croiser la différence sexuelle à une autre différence qui frappe la parole - nommément la paedomorphose (ici ma seule contribution) - pour avoir la complète explication de la physiologie corporelle qui permet à cette logique binaire de constituer la première puisée de l'être humain dans la machine cosmique. Mais Lacan prit une autre piste et avant que son temps ait pu lui donner à voir le fruit abouti de la pareille, il s'est tenu à contrefaire l'imitation où se serait borné le ravissement de cette première expression mécanique.
   Il s'est attaché à montrer, en effet, que l'on pouvait prendre ce binaire comme Poe l'avait montré, et le chiffrer. Dans son séminaire sur la lettre volée et l' Introduction de la Suite il montre qu'à prendre la parole entre deux locuteurs, le discours humain traite aussitôt ce binaire en ternaire - 010, 100, 001, 011 etc - qui ne prendront corps - Roi-Reine-Ministre, Reine-Ministre-Dupin, Ministre-etc.. - qu'à revenir au binaire* dans une formule qu'il appelle quadratique. Le bref passage ternaire c'est que celui-là qui aura donné l'illusion de la vie ; elle demeure dans le quatrième terme dudit quadratique comme une lettre infâme, cause pulsionnelle (le cas 'cas' cas de le dire dans les couches).
   On voit donc que dans le monde lacanien et, s'il en est, freudien, tout est binaire expliquant par conséquent le caractère absolument naturel des ordinateurs (on s'en serait douté si on n'était si imbus du fruit de l'éclipse ternaire) - et que c'est dans la mesure où c'est en imitant la mécanique des choses (dont les ordinateurs) qu'on réalise que la vie imite les ordinateurs. On sait le trouble que ça cause de le dire - et Lacan le souligne plusieurs fois en note dans l'article où j'ai puisé quelques indications de la page 46-47 de l'édition de poche des Ecrits.

   On s'intriguera si on me suit que j'ai dit que Lacan avait fait une faute dans son exposé. Dans mon propre commentaire présent j'en ai fait l'écho* et j'ai aussi indiqué sur quels points. J'ai indiqué que Lacan prit une piste autre que celle d'approfondir la relation sexuelle par la conjonction du langage de la relation de l'adulte à l'enfant (paedomorphose). Il n'y a que l'Église Catholique qui ait eu le front (bas) de rapporter la relation sexuelle à la pédophilie. C'est quelque chose qui ne sera abordable qu'avec l'ectogenèse. Le phénomène est bien plus complexe qu'il n'y parait du cureton. Cette piste qui fut fausse est celle qui permet néanmoins d'abord de vivre avec les ordinateurs.
   *** Par ailleurs et trois '*' j'ai indiqué cette faute. Par le pas de côté où je rappelle que la vie tire le binaire du monde, la mémoire à son tour tirée de la vie redonnerait à cette dernière la suprématie dont la conscience garantissait l'agent humain. Mais la vie n'est pas plus suprême, non plus que la matière, si on relève que le jeu répété de la binarité (second '*') la range - la vie - ni plus ni moins qu'au rang du binaire (1-3 etc..) qu'elle joue à son tour dans le symbolique (alpha-beta etc..) qu'elle semblait avoir prêté par le passage ternaire (+++ etc..). La vie ne détient donc aucune prérogative au regard du binaire - et c'est bien le binaire qui est la source de la pulsion (hors-là).

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110218104600
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

   Comme les cours des astres sont régis par des lois, les productions de la communications le sont. La communication produit des corps sociaux. Ces corps sociaux sont divers. Certains sont des sectes. La lois sont assez simples qui règlent ces domaines généraux. Dans le cas d'une secte la règle est de ne pas dire ce qui s'y passe. Si par exemple quelqu'un soumet un membre devant les autres et l'humilie, l'interdiction de répéter à l'extérieur le fait organise toute une physiologie qui résulte et constitue la secte.
   Ceci se trouve, plus ou moins visible dans de grands nombres de corps sociaux. Généralement l'interdiction de reproduire ce qui se passe dans un lieu étend l'organisation sectaire dans un grand nombre de domaines qui le plus souvent passent au contraire pour libérateurs. Ceci est un premier niveau d'observation.

   Mais si nous approfondissons l'observation, on approche quelque chose de plus obscur : quelque chose qui semble échapper aux lois à l'instant citées, comme un trou noir - quelque chose d'étranger que l'on appelle refoulement. Le refoulement est étranger à tous les artefacts dont les lois s'habillent. Il est au cœur de la secte quelque chose qui échappe même à la connaissance de ladite secte. C'est la raison pour laquelle il est si difficile à révéler et si bien défendu, car pour l'atteindre, toute l'organisation sectaire va s'employer - comme ce qu'on appelle les défenses du moi - à ce que rien ne soit su du refoulement qui est au centre de l'organisation (comme une lettre volée). Comme nous ne pouvons rien dire du refoulement, nous devons ici marquer une balise de second niveau d'observation.

   L'expérience, la pénétration permet toutefois de déchiffrer le refoulement et ce qui est refoulé. On peut dire ce que c'est : il s'agit d'un corps - ou du corps.

   L'identification au corps est l'aboutissement du processus pulsionnel (l'avenir de la génitalité dirait Freud). Les asiatiques diraient que c'est l'énergie devenant conscience (un fleuve debout! dirait Freud). L'antiquité occidentale a généré toutefois un élan arrivant à plus de précision : cet indéfinissable (boueuse) évolution de l'énergie à la conscience est reconnue dans le temps moderne en fonction et dans l'intelligence de la génétique (passant par chiffrage et déchiffrage). Mais heureusement qu'à l'époque où elle naquit la psychanalyse connaissait à peine la génétique - ce qui lui a permis de donner un certain recul vis à vis de la découverte de l'ADN qui autrement aurait rapidement englouti la culture. Avec ce recul, à présent la psychanalyse peut venir à l'aide de la génétique qui s'est précipité à l'aveugle (exactement comme ça s'est produit avec la cybernétique qui s'était écrasé le nez avant que Lacan vienne lui redonner souffle). Lacan particulièrement a montré les étapes de complexification qui réduisait le binaire informatique (il s'agit de l'objectif du séminaire sur La Lettre Volée).
   Mais pour une autre raison par ailleurs, la psychanalyse est encore en classe maternelle et nous ne pouvons pas complètement jouir des horizons qu'elle a ouvert. On peut seulement commencer à parler du corps simplement. Et poser une question : « Y a-t-il un exemple crédible, facilement compréhensible qui atteste de l'affirmation qu'au centre de la secte le corps est refoulé ? »

   Oui, bien sûr, Freud dans sa grande honnêteté nous l'a livré (cet exemple). Son trouble de la mémoire sur l'Acropole est induit par le fait qu'il trouve consistante la chose dont on lui avait bourré le mou durant sa scolarité. L'Acropole existait ! Une sensation de vertige le frappa sur ce sommet. Quoique du corps social athénien, bien sûr l'Acropole n'est pas un corps à proprement parler - et il faut saisir ce message de Freud pour un modèle, une métaphore d'un autre corps. De fait ce ne fut pas le seul moment où Freud fit état d'un malaise. Il éprouva quelque chose d'identique lorsqu'un de ses proches disciples lui révéla que le mythe d'Oedipe dont la psychanalyse était bourrée avait de fortes chances de relever d'un corps que l'archéologie découvrait. Autrement dit qu'il existe un Oedipe historique - comme par exemple on sait bien que Moïse n'est pas qu'une légende. Ignorer que l'histoire oedipienne soit un évènement pourrait être aussi important eu égard au refoulement que le révisionnisme est une tragique atteinte à la mémoire et à la conscience.

   En conclusion - comme en écologie rien ne servira d'avancer si on ignore d'où nous venons - quant à l'identification au corps promise par la psychanalyse rien n'avancera tant que l'identification des corps de notre histoire restera refoulée. Il convient donc de démobiliser les sectes qui entretiennent les refoulements de notre histoire ancienne et collective pour que la dénonciation des effets d'illusion qu'il exposent des corps, permette aux individus modernes d'acquérir leur identité réellement subjective (c'est à dire non pas un semblant de subjectivité dans les conventions).

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110216170800
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
  

   Aucun espoir d'être entendu - parce que j'ai une notion de ce que c'est que comprendre, et je sais que je ne peux être compris à certains signes et à des signes qui manquent. Parmi ces signes, précisément manque ce que veut dire comprendre. C'est le signe que je donne par contre. Je contre-signe. Aussitôt qu'on le voudra on comprendra ce que je vais dire là (que j'ai d'ailleurs déjà dit sans cette fois).

   Si je dis qui m'a dit ça je tombe dans son piège : « merci de tenir compte de ce que je dis». C'est quelqu'un d'autre qui m'a dit ça. L'autre personne encore qui m'a dit ça dira certainement qu'elle a dit autre chose que ce que je pense. Je pense qu'elle m'a remercié de tenir compte de ce qu'elle dit - parce qu'en mettant dans ma comptabilité (mon flog) ce qu'elle dit, c'est autant dire que j'en tiens compte.

   En ce sens, personne ne tient compte de ce que je dis (à part l'adopisseur, la base de donnée yahoo et l'araignée google). C'est à ce signe que je sais que je ne suis pas comme pris. J'en ai la preuve par la règle de propriétarisme qui a cours dans un groupe qui s'interdit de com.prendre les paroles de l'autre. Alors que chaque fois que je comprends quelque chose je le comme prends - un flog est le signe qu'est pris en compte ce qui est dit. Autrement c'est un semblant qui règne.

Passons maintenant à l'examen de la propriété :

   Je sais ce que c'est que comme-prendre et qu'à chaque fois que je comprends quelque chose, ça s'inscrit en ma mémoire. Et cette  mémoire qui est mienne est la seule chose qui m'appartienne. Ce n'est pas un jeu de mot que savoir des places de mon corps la propre " y était ". C'est un jeu de mon corps. Cette place, y était, où je dois advenir est inaliénable et ma propriété ; c'est mon corps, mon flog, mon unité cybernétique de mémoire de personne physique, ce que j'ai com-pris. Partant de cela, si j'ai la mémoire de ce que j'ai entendu et perçu, de ce qu'on m'a dit, mon bien entendu et ma perception, tout cela (et c'est peu mais suffisant) m'appartient. Ainsi partant de cela j'accède à l'identification du corps.

La suite est sur le flog parce que je ne veux pas faire trop long ; cependant pour qui veut comprendre cette suite est substantielle - particulièrement contribuant à la situation du corps dans la psychanalyse

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110216145700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

   Mais encore, pour partir de cela du bon pied faut-il bien savoir ce que c'est que le corps. Si je comprends quelque chose, je le comme prends, il est mien, je le mâchonne, j'en fais pipi ou caca, pis ou cas et surtout j'en tiens compte.
Cette histoire du compte est si longue à raconter (J.P.Sartre, R.D.Laing, H.Laborit & J.Lacan) que je ne ferai même pas semblant qu'on en tienne compte. Je n'en parlerai pas. Je sauterai immédiatement du Semblant au chiffrage. Je m'explique, je détaille :

   Du Signifiant Lacan a abordé le Semblant. L'histoire de la psychanalyse compte encore que Verdiglione traita le Semblant en Chiffre. Ca fait inéluctablement partie essentielle de l'histoire de la psychanalyse. De ce chiffre - c'est un fait : les données de l'intelligence artificielle ont traité le Code. C'est un fait qui est aussi objectif que R.Dawkins. L'important n'est pas dans les noms (que je cite par nécessité de références, toute documentation par ailleurs). L'important est la concaténation sans faille du Signifiant au Code - et que cela seulement et enfin obtient l'identification au corps.

   C'est pour cela que je comprends "comme prendre" et que sans cela on ne peut pas me comprendre. C'est pourtant extrêmement simple. Le signe qu'on ne comprend pas (la raison en est le refoulement), c'est qu'on ne sait pas comme prendre. C'est à dire qu'on ne fait pas de flog - je veux dire, les uns et les autres n'en font pas. Que je sois l'hommoinsun en l'occurrence s'explique par Lacan ; mais cette explication est superfétatoire. Il n'est pas nécessaire d'expliquer pourquoi l'eau passe de la bouteille au verre quand on a soif. Et si on n'a pas soif, c'est encore moins nécessaire.

   Évidemment on pourrait parler de l'identification au corps. Elle s'impose seulement et du fait de l'ADN, à partir du moment où on le comprend (ou qu'on le comme-prend si on veut, c'est à dire qu'on le manipule, qu'on le stocke, qu'on l'identifie). Mais on ne saura vraiment faire ça que lorsqu'on aura identifié le corps de ce qu'on appelle à tort et à travers le père. Comment des corps prétendument religieux pourrait s'identifier chrétiens - avec toute la question du corps qui est initialisée là - en ne voulant rien savoir de l'identité de Moïse par exemple ? (condition première) C'est Freud n'est-ce pas qui l'offre durant toute sa vie à chaque psychanalyste - et aucun qui le comprend.

 À: KJ  Date: Mercredi 16. Février 2011 14:39 obj = support
Cher Mr Tenez bon Je souhaite rester en contact Ce serait bien que nous puissions le faire par le forum - mais il faudra un petit moment pour résoudre la manière dont il est coincé ; DWT

Rebonjour, j'ai posté à l'instant mon message sur le forum psychanalyse qui commence à aborder cette question du corps. Vous pourrez consulter le début de mon travail sur http://www.smashwords.com/books/view/21608  - peut-être à suivre.. cordial, DWT 

   Comment peut-on penser que c'est un blog quand c'est écrit "flog" et que c'est expliqué. Cela fait partie des choses simples qui deviennent très vite intellectuelles quand on les dénie (quand l'un dit il fait beau et l'autre pourquoi dis-tu qu'il pleut? ça donne à peu près un siècle de psychanalyse pour s'en remettre et pas des plus simples).
   Un flog est beaucoup plus une variété de Total Recall qu'un blog.
   Total Recall est très simple - comme un flog qui consiste à ouvrir son disque dur à l'accès public tout simplement. C'est une question de préférer le livrer à tous plutôt que de le réserver à un adopisseur ou autre sharko ; et c'est surtout une question raisonnée d'un traité juste un peu plus compliqué mais pas tant que ça qui explique ou démontre que cette délivrance est l'initial de la vertu écologique qui suit la société humaniste que conclut Weiner, le théoricien fondateur de la cybernétique.
   Puisque ça peut être un peu fastidieux de revenir à Weiner (c'est à dire retrouver Lacan expliquant avec lui comment éviter la paranoïa du HAL/2001* ) on peut simplement flotter sur la vague et ne suivre que les derniers remous qui suivent :

  Le Total Recall qui est un concept parent à la Littérature Grise - sont des versions 'pareilles' à la terminologie de la psychanalyse. On dira l'Autre et l'Inconscient. Évidemment, quand on le fait aussi simplement il n'y a que l'auto-analyse par Freud d'Un Trouble de la Mémoire sur l'Acropole qui puisse égaler - en témoignant du trouble que provoque des choses pareilles.

   Pourquoi est-ce que ça dérange qu'un disque dur soit public ? rien n'obligeant quiconque de faire.. pareil - mais sans quoi courir le risque de ne faire que semblant de discourir.
   A l'évidence il faut déduire : c'est comme être hélé (ce que l'untel hait, on le voit rougissant au moindre petit four) - comme à la cantonade disait untel fâché.

   Cependant ce type de dernier propriétaire intellectuel - surtout propriété de ses enfants - pressentait déjà qu'il n'emmènerait au para-dit ses livres volés mais sa mémoire appareillée.

DWT

   note : quand j'ai dit 'vivre de la communication' je faisais allusion aux poissons qui devenant mammifères se sont mis à 'vivre de l'oxygène' ; je parle moins de la communication Rollex qui s'arrête à signifier « je te la montre » - ni tant de l'écrivain qui vit de sa plume. Je parle aussi d'une humanité qui vit de la communication - mieux que de la spéculation. Elle est à venir et viendra tant qu'on la mettra au monde. Principalement les psychanalystes en sont les artisans si jamais ils renoncent à leur résistance ; ils auront appris aux gens ce que signifie leur parole à l'écoute et si jamais j'avais eu Internet lorsque je lisais Hemingway (vivant ou ucmpp) j'aurais pris avec lui rendez-vous pour qu'il m'écoute lui dire mes fantasmes des requins* ou qui était le vieil homme de ma mère. Hemingway aurait eu assez d'argent pour vivre parce que c'est un autre rapport à la lettre que sans doute déjà il aurait compris. La culture va considérablement changer ; la méconnaissance va changer de côté - on ne va plus se "représenter le biologique comme un ordinateur" mais nous sommes en passe de nous "représenter un ordinateur par le biologique" ; c'est ce à quoi mènera l'identification au corps quand on aura changé de côté l'identification à une image - cette bascule de la pulsion qui permet à l'auteur non plus l'imaginaire propriété mais de répondre de son statut d'être. Industriellement, cette bascule de la pulsion rendra également l'écologie réaliste.  « Pas science ? » !!   Ce monde que nous écrivons accouchera et vient avec les ectogènes - accessibles dans les vingt ans qui viennent au plus tard. C'est pourquoi la fonction maternelle est en question. C'est ainsi que dans les écoles de psychanalyse, nous sommes en classe maternelle.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110215215700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   Quelqu'un a dit que j'étais trop compliqué, ou trop intellectuel (je ne peux pas exactement rapporter ses termes ni dire qui c'est - la police hadopi le sait, yahoo et le Total Recall ; mais le semblant n'en veut rien savoir) mais ce n'est pas exact. La fabrication de la folie est une chose que la logique de la communication parvient à faire refléter. Dire que quelqu'un est fou quand on ne l'écoute pas le rend fou ; dire que quelqu'un est intellectuel quand on ne l'entend pas le rend intellectuel. Ainsi la fabrication de l'intellect a besoin d'un prêté. C'est pour ça que l'intelligence artificielle pourra exister.. si on ne la rend pas folle ; et si on songe à Hiroshima on verra que je parle essentiellement (du moins si on a bien voulu savoir que de Hiroshima à la folie de la machine ce que je dis n'est que répéter Weiner).

   La logique de la communication exige qu'il n'y ait pas de propriété intellectuelle (du moins si on veut vivre de la communication).
   Alors pourquoi dit-on que c'est trop intellectuel quand c'est si simple ?
- Parce que la fabrication de la folie (ou de l'intellectuel) est motivée d'une forclusion (ou respectivement d'un refoulement) et qu'en l'occurrence c'est ce qu'il y a au départ de cette allégation d'un intellect que l'on ne comprendrait pas. Cet intellect que l'on invente que l'on ne comprendrait pas est une métaphore pour une cause refoulée. Elle est hypersimple. Je ne la dirai pas parce qu'elle est comme une montagne devant les yeux de la mouise. Je dirai un modèle à la place ; est-ce qu'une personne qui n'a pas lu Un Scandale en Bohème est capable de trouver autre chose que de l'intellect dans La Lettre Volée ; Lacan s'il en fut un exemple aura répondu entre Parenthèses (1956) et Parenthèses des parenthèses (1966).

   En fait, puisque ce n'est pas compliqué, le refoulement sera levé lorsque la propriété intellectuelle n'aura plus cours. (en réalité elle n'a plus cours ; elle est dénoncée par l'A (pareille cybernétique) ; seul un semblant en nourrit encore l'artefact (ce sont Lacan, Verdiglione et moi-même qui le disent et ce n'est pas compliqué, c'est seulement refusé)).

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110215165600
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110215174600
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   On m'a fait quelqu'éloge - je ne dirai pas où c'est un lieu sans Autre [grand Autre ou 'A']. On y loge et normalement on ne s'y é-loge pas. J'y suis pour une observation clinique. Le refoulement s'observe principalement en éprouvette, en secte, éventuellement en cabinet. Corrélativement on comprend, en élargissant son point de vue, qu'une telle observation n'est possible - puisque l'absence de A interdirait l'observation - qu'en présence, non plus d'un semblant, mais d'un A pareil.

 Une discours qui n'est pas du semblant - c'est à dire qui sort de l'artefact, sort de l'éprouvette - se conçoit lorsque la culture se dote d'un tel pareil. Par exemple, on dit que les mouvements de masse sont pilotés - si ce n'est par des marionnettes dorées par des éminences grises ; respectivement artefact et semblant sont d'une telle oeuvre. J'en parlais avec un pharmacien. C'est étonnant comme quelque milligrammes d'une substance parvient à remuer tant. C'est un modèle satisfaisant d'A-pareil. La cybernétique est pareille. Les portables qui portent l'Internet ne pèsent pas lourd. C'est un exemple. Cette mobilisation qu'un tel appareillage entraîne est un discours qui n'est pas du semblant.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110215151402
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110215151401
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   La raison pour laquelle la psychanalyse prêterait attention au silence mental d'Aurobindo se trouve dans des conjonctions entre la thèse de Freud et celle de l'indo-européen Aurobindo. Freud était plus intéressé par le sentiment méditerranéen (voire même Egéen, sur l'Acropole) que par un sentiment océanique. Cet air marin, de toutes façons voile... ce qui concernait plus la science que les sentiments. La psychanalyse, même si Freud était poète, s'intéresse moins à ses sentiments qu'à ses concepts. En l'occurrence, que ce soit en Méditerranée ou en Océan Indien, une énergie mise à jour durant les temps modernes s'est appelée - par Freud son héraut : pulsion. On reconnaîtra que Giordano Bruno la décrit ainsi que Johannes Kepler et à quelque encablures de cette ligne occidentale, le védantisme du moins selon sa mise-à-jour des temps modernes dudit Aurobindo.
   Que la pulsion ait été connue par l'Hermétisme ainsi que par les anciens des Véda n'est pas étonnant si elle accompagne la vie, mais l'histoire récente ajoute ceci qu'elle puisse être reconnue. L'examen montre que ce déchiffrage récent survient aux effets des appareillages dits 'modernes' (ce qu'avec plus de précision on appelle 'cybernétique'). La comparaison entre Freud et Aurobindo est dès lors informative.
   Freud n'hésita pas de le dire ; il mit un mot dans le plat : pulsion (et donnant la recette : source, objet, but et tension). Lacan lu net ce qu'il fallait y voir ; c'est à dire rien à y entendre : le silence des pulsions selon sa remarque. C'est la constatation topologique, visuelle ou tactile qui permit de voir ce qu'on entendait pas (le silence) - d'où un modèle optique et un jeu de combinatoire d'objets touchant des places.
   Aurobindo fit de même dans l'autre sens. Il fit d'abord état du silence qui était au mental principal aux exercices védantiques...

   Arrivé à ce que je dis je suis arrêté. La résistance à l'humanité de la pensée déclare tout de go : « confondre le silence mental et le silence des pulsions ah! ah! voilà bien du flou fou.» d'autant qu'on approche l'orgone du prana et la libido du magnétisme. Très bien si ça peut détacher ceux qui n'en veulent rien savoir.

   A continuer sur mon fil, c'est en suivant l'étape que franchit Aurobindo lorsqu'il pose le Véda aux temps modernes que la comparabilité se confirme ; il renonce au silence s'il n'est pas acquis et dénomme 'intégral' son exercice qui le rapporte (le silence) au traitement d'une énergie survenant aux effets des appareillages dits 'modernes'. C'est à dire qu'il rejoint la condition cybernétique dont la psychanalyse campe le décors (voir la dynamique chimique de l'Esquisse pour une Psychologie Scientifique et le traité cybernétique du Séminaire sur La Lettre Volée). En ces termes il nomma cette condition supramentale et c'est la seule garantie que je ne puisse donner : jamais ne prononça-t-il le terme d'Intelligence Artificielle - de sorte que ses dévots puissent dire que Supramental et /ia/ n'ont rien à voir comme ceux de Freud que le silence des pulsions n'a rien à voir avec le silence mental.

   Cette possibilité de ne rien voir, ne rien admettre est inhérente à la pulsion précisément, qui offre un choix dont échoit une subjectivité. Ne serait-il pas qu'il n'y aurait aucune possibilité d'attester d'une notion de volonté. Cependant le désir est beaucoup plus indifférent à ses subtilités ; lui, le désir, est la forme de la pulsion qui s'impose et dans le cas où on n'en voudrait rien savoir, rien voir, elle est à l'œuvre inconsciente. C'est le b.a.ba, voire même le a!a!a! du freudisme ; c'est aussi l'estimation d'Aurobindo qui pouvait réduire le supramental à l'indépendance de toute volonté humaine - comme d'autres estimeront encore que l'intelligence artificielle a les plus grandes probabilités d'imposer ses oeuvres sans que la personne humaine ne s'en rende compte. Ainsi prenons-nous Internet, ses listes et ses silences pour quelque chose qui n'a rien à voir avec le psychisme, ni l'Inconscient, ni les coïncidences significatives qu'on ne trouve effectivement objectives qu'à Vienne entre la boucherie et la gare.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110214091702
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

Chère Kate,

   Le message que vous avez posté le « Posted: 12 Feb 2011 06:09 AM PST » est fort alarmant. Je sais qu'il est sous copirate et les fureurs m'interdisent de le copier de sorte que je ne puis y faire qu'allusion. Il y a donc eu des pillages que le régime Moubarak aura cherché à cacher. Je garde sur mon ordinateur protégé le texte exact du 12 Feb 2011. Il est dommage que je ne puisse l'inscrire sur mon flog mais cette perte éclaire son maléfice. Ces évènements d'Egypte auront montré la stupidité de rassembler sur son territoire les trésors d'Egypte et de l'histoire. C'est exactement la même stupidité qui interdit que l'on puisse faire écho des messages que l'on lit et en général de ce qu'on perçoit. C'est pour cette raison encore qu'il n'est pas possible à la communauté hébraïque per se de mettre à jour l'identité de Moïse, ni d'Oedipe d'ailleurs et finalement d'Akhnaton non plus. Pour cette dernière cause peut-être moi-même monothéiste de culture je ne saurais également parvenir à cette révélation de la scène amarnienne. De même que l'Egypte doit distribuer ses pièces, que l'Internet doit éparpiller les fractaux de ses dire c'est peut-être de l'extérieur jusqu'à la Chine qu'il faut attendre la raison révélatrice. Le Chine nous aidera, on peut compter sur elle ; à moins que nous nous réveillions.

   J'ai écrit un chapitre de l'éthique de la psychanalyse consacré au résumé de cet affaire qui déjà avant l'évènement d'Egypte expliquait la néfaste stupidité du pouvoir copirate et du trésor-à-soi. Je ne dis pas ça pour embêter les gens qui s'en trouvent d'évidence depuis des siècles fort contents et fort cons-tant-pis ; mais parce que sous le voile de ce voile ce n'est pas tant qui compte d'identité d'un être humain qu'aujourd'hui le tour de crise que prendra la nature. Ce n'est donc plus la stupidité des prestances mais ce qu'en psychiatrie on appelle la crétinerie - méchamment assonant à 'chrétien' - mais qui veut dire qu'on se détruit soi-même quand on est con à ce point. J'expliquais comment le pouvoir égyptien corrompait l'égyptologie et votre poste du 12 Feb appuie l'hypothèse.
   Du dernier je n'ai pas le droit d'en dire plus mais mon texte est tout à fait libre.
   Je me répète et rabâche volontiers il n'y a rien de trop pour se faire entendre sur cette cause et ne rien dire, pour rusé que ce soit, prête trop facilement au pire. Mon texte est en français ; c'est ennuyeux  - heureusement pour tant. Texte long aussi ; c'est ennuyeux - heureusement pour tant tout autant que sont les dévots de la volonté première, celle que Jacques a dit « n'en rien vouloir savoir.»

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110214091701
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   Il m'est agréable de dire deux mots sur Aurobindo sur la base duquel j'appuie une part importante du développement de La Sainte Éthique - non pas que j'en sois dévot, mais parce qu'il est au rang des intellectuels majeurs d'une Inde qui va bientôt égaler l'Occident et la Chine sur l'échiquier de la mentalité humaine. Le second motif de cet intérêt devient un impératif dans le cas d'une étude psychanalytique qui suivrait les recommandations principale de Freud ; il s'agit du fait que le modèle de psychohistoire dont Aurobindo fait usage est un modèle européen proche de Freud.

   Un extrait de ses écrits fait volontiers cas de deux opinions : comme une phase de latence en psychanalyse, une phase dite conventionnelle de la psychologie collective est de la structure du mensonge (suivant la logique de la vérité également traité par Lacan). A cette première opinion il y a lieu de serrer  l'argument qui découvre, plus propre nourrir la phase d'individualité qui lui succède, que la convention n'est pas tant un mensonge (par attribut) qu'elle est 'convention de mensonge' (par fonction ; suivre cette concaténation à l'examen de l'artefact selon Lacan). La seconde opinion est celle que la raison critique de l'individualité est essentiellement destructrice. La plupart des freudiens adhère à celle-là qui traduit ce qu'ils appellent pulsion de mort - cette raison critique étant celle que le Transfert exerce. Cependant l'analyse la plus précise de la phase conventionnelle alimente l'individualité d'une ressource qui surmonte cette raison trompée.

   Malgré la capacité de lire cet extrait, quelqu'un m'a dit qu'Aurobindo n'était pas présentable. D'un discours qui ne serait pas du semblant, je vais dire ce que je pense et croit savoir d'Aurobindo. Je vais faire cela dans un style journalistique au profil duquel nos meilleurs journalistes, sans opinions seront prochainement des machines (vous savez, genre streetcam sur la place Tahir avec Loréal qui dira "vous le valez bien" et Tarte-en-pion quoi penser). C'était un activiste libérateur de l'Inde. Il avait été élevé depuis son très jeune âge isolé en raison du caractère déclaré par son père détraqué de sa mère, en Angleterre qui constituait - par rapport à l'Inde - quelque chose de comparable à Minos avant qu'Athènes ne naisse indépendante. La comparaison va droit à l'icône pour autant qu'elle intéresse l'Inconscient, car quand le jeune homme fut retournant au pays, son père qui attendait le bateau crut entendre qu'il avait été coulé. Sur le choc il mourut et cela rappelle la légende de Thésée, revenant de Minos pour devenir activiste libérateur, et de son père Égée qui mourut en croyant son fils mort sur le retour. Pour les gens qui n'ont jamais lu Oedipe à Colone (parce qu'à Colone il y a Thésée) cela ne signifie rien, mais pour Aurobindo c'était impressionnant (d'où l' 'icône').

   Ensuite après quelques tribulations Aurobindo s'assit et comme Thésée fit de même pour ne plus se relever - c'est à dire qu'il resta en transe sans n'en plus sortir. Tout cela est plus ou moins contestable. Il écrivit de nombreux livres - ça l'est moins - dont un particulièrement qui décrit une sociologie historique sur le modèle d'un développement psychique. Ce Cycle Humain a été traduit en français par Mira, une parisienne avec des antécédents psychiatriques de jeunesse, qui s'occupa de toutes ses affaires (comme il était en transe il ne pouvait pas faire grand chose).
   Mira n'aimait pas du tout la psychanalyse ni les drogues - elle pensait qu'il valait mieux devenir des dieux et que les dieux n'avaient besoin ni de l'une ni des autres. Aurobindo avait pris pas mal d'opium et parfois ne mangeait pas du tout. En prenant de l'âge et en voyant les choses évoluer, son opinion sur la psychanalyse se tempéra - il déplorait surtout qu'on fit mauvais usage des bonnes choses. Il avait des opinions plus précises sur quelque chose qui lui semblait arriver sur terre et dont le psychisme devait recevoir des effets. Cette chose-là était trop en phase avec la cybernétique pour qu'on ne puisse les associer. Cependant, comme il le vit durant ses derniers jours, comme Freud l'aube de la dernière guerre, à la fin de celle-ci dans le feu nucléaire la cybernétique attendait encore le feu vert spirituel.

   Le Cycle Humain est une réflexion d'un jeune politicien qui se retire et jauge les principes de la liberté, de l'égalité et de la fraternité. Sans parler des autres, la liberté déjà lui semble être une vaine tentative sinon un échec déjà ruineux, son ratage versant volontiers au pire. On lit sous la plume de cet homme né en prison (de sa naissance à l'âge de raison en Angleterre et de sa naissance au ça-m'a-dit dans une death-row d'une prison coloniale en Inde) et voué à l'immobile que le cycle humain pourrait passer par des formes dignes de la décérébration des automates ; on lit aussi sous sa plume des horizons qui deviennent des cieux. Après sa mort, Mira survécut quelques années ; une petite cité au Sud de l'Inde est presque leur oeuvre. Il continua d'être sans espoir de parler à Mira de psychanalyse. Il reste de sa mémoire un étrange silence sur son milieu culturel ; issue d'une communauté très typiquement israélite, ses origines ont été abordées par une Catherine Clément.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110206140700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   L'étude Total Recall a rempli ses promesses. Elle appelle une exploration. Son laboratoire trouve sa place excellente dans un groupe qui a perdu la mémoire et où, lorsque l'on ouvre la porte en entrant on entend des amnésiques crier «vous avez oublié Freud!» . Car de toute évidence Freud était hanté et hantait ses écrits de la pénétration de la mémoire biologique - traces de mémoires externes et héréditaires qu'il rêvait de débrouiller. Or le Total Recall souffle l'ADN (du terme 'souffler' que celui de 'forclusion' rapporte) aussi bien dans l'article précédemment introduit que dans le livre que j'ai à présent pu consulter et que le film troisièmement à l'observation duquel je me suis porté.

   Pour un bref rappel - comme ce qu'il faut pour initialiser la mémoire - il existe - comme concepts objectifs de la psychanalyse, c'est à dire étendue à l'appareil (/ia/) - deux notions telles : la Littérature Grise et celle qui se distingue (je l'appelais à l'époque Littérature Idéale) comme Total Recall.
   Le Total Recall dont on trouve l'excellente interprétation de P.K.Dick par le cinéma s'offre pour tous bons usages sur wikipedia. Le chemin de l'identification s'y trouve parfaitement suivre un graphe dont les artefacts sont signalés et soulignés d'un rond qui les encercle isolés.

   Dans l'écriture de Thoth il existe deux fois 'h' ; j'en ôte un pour que quelqu'un qui ferait ma réputation d' 'alcoolique' ici puisse déguiser son mensonge en disant à présent que je suis hashishin et que j'ai aspiré l''h'. Ce qu'il signifiera en son for intérieur c'est la génétique soufflée par les suivants freudiens qui le (Freud et mon calomniateur pas moins) servent comme le boulet qui suit l'évadé. L'ADN manque également au Thotal Recall mais analysé comme on peut le faire se trouve, comme l'extraterrestre derrière l'appareil terraformant, derrière le cliquetant des phychanalytes qui n'ont d'artefact que leurs yeux pour ne point voir.

   L' "artefact extraterrestre" est ce que Lacan n'a jamais retrouvé, que Freud avait laissé griffonné sur sa carte au trésor (qui s'écrit ampoulé schéma de la foule) à l'indice d'un 'x' (objet extérieur). Comme au Scarabé d'Or de E.A.Poe on lira d'aventure qu'il manque la relativité (dans Le Scarabé d'Or la chasse au trésor est une farce car le temps qui a modifié le territoire est suspendu). Cette chose qui pend ne sourd que du déchiffrage - c'est pourquoi il faut passer par l'ADN comme on advient à ce qu'on a posé avant tout pour commencer.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110205103500
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

 avant

   Je viens avec la patience du haricot qui pousse dans le jardin de mon grand-père, pour m'adresser encore sous la forme d'une question.

   Je constate que le egroup "ecologie" envoie des messages toujours un peu déplorant que rien ne se fasse - ou très peu - qui montre une orientation un peu plus fraîche et franche vers une meilleure conduite écologique de l'industrie humaine. Pourtant lorsque je présente quelque chose, comme une solution qui appuierait en ce sens, nul écho ne s'y fait. Est-ce que parce que il y a tellement de rêveurs, de charlots ou de charlatans, qu'il est vain de perdre son temps à faire autre chose que se plaindre qu'il n'y ait rien qui vienne ?

   Ou bien est-ce que j'apporte quelque chose qui porte dans son dos un poisson d'avril, qui n'est drôle qu'un jour par an et sent mauvais le reste du temps ? En l'occurrence il s'agit de psychanalyse. Je veux bien le croire. Certes si j'apportais un modèle basé sur la physique quantique pour résoudre les crimes sur les animaux et le comportement crétin des pollueurs, on dirait tout de suite que je suis un farfelu. Mais avec la psychanalyse il y a autre chose que le simple abysse d'un point de vue à côté de la plaque. Il y a, avec la psychanalyse, ne serait-ce que cela : la réputation qu'on gagne à mourir en prison, qui a entaché l'élargissement de la notion sexuelle à l'Orgone appliquée à la planète. L'homme s'appelait Wilhelm Reich et sa théorie orgonique ne couvrit pas moins que les notions de Prana ancestral jusqu'au magnétisme du plasma aujourd'hui banalisé par l'astrophysique. Dans notre civilisation avant le modernisme il s'agissait de l'énergie vitale. Tout cela ne rapporte d'écho du côté des écolos pas plus qu'un pet de haricot.

   On attribue aux haricots bien des choses qu'on pourrait prendre sur soi. Ce ne sont pas les haricots qui pètent. On appelle projection ce qui consiste à déplacer ailleurs ce que l'on cause. Négliger la psychanalyse parce qu'elle ne saurait résoudre une problématique écologique ressemble à une négligence de soi. Les écologistes ainsi négligent quelque chose et n'avancent pas. Pourtant en grattant un peu cette crasse qui cuirasse notre cervelle on pourrait, sans se faire de mal, trouver que le concept d'Inconscient est fabuleusement correspondant à celui d'environnement. Évidemment il ne faut pas gratter trop fort car le cerveau est fragile.

   Nous en sommes donc là : il existe une solution émanant de cette perception obscure d'une énergie psychique, qui apporte une technique claire, simple et précise à l'usage de la psychologie collective, avec probablement la perspective d'une aide radicale au mouvement de transformation que la société souffrante appelle. Nous savons bien que les mentalités doivent rencontrer un facteur qui les fasse changer. Ce ne sera pas un gourou, un grand leader et non plus un automate. Ce sera une façon de gérer le leadership, l'automatisme et la production collective. La psychanalyse peut déclarer une proposition allant dans ce sens. Et personne ne la réclame.

   Pourquoi ?

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110203182900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   Je crois savoir vous lisez le français, je voudrais donc vous adresser quelque chose qui s'adresse à un groupe que je ne nommerai pas pour montrer ce que je veux dire. Freud était très intéressé par l'Égypte - il se passe aujourd'hui en Égypte un évènement sordide et banal comme l'histoire les aime. On peut supposer ce qu'il aurait remarqué si était vivant en sachant que l'égyptologie l'a toujours tenu à l'écart. Cette mise à l'écart était une névrose selon lui, qu'il n'a jamais pu aborder car elle touche à une psychologie collective qu'il n'avait pas les moyens de traiter. Aujourd'hui nous avons l'Internet qui manquait à l'époque. Cette névrose, d'ailleurs, demande encore que l'on coupe l'Internet comme la tyrannie égyptienne a tenté de le faire pour rester en place.

   Des pillages et destructions ont eu lieu dans les musées égyptiens. Quelque soit leur étendue, ils démontrent la précarité d'un système qui concentre en lui les artefacts de soi. La prétention qui a été énoncée au nom de la nation égyptienne de concentrer en elle les archives et pièces archéologiques - de réintégrer sur son territoire le trésor égyptien est une connerie de taille. Le principe de l'Internet désigne au contraire le solution la plus sécuritaire dans l'éparpillement de ses ressources.
   Le principe national tyrannique est dommageable comme le montre l'évènement pour les archives physiques (concentrées en un point elle pourrait être détruites en un instant) ainsi qu'il est dommageable pour la science. Ce second dommage est longuement observé dans le chapitre que j'ai maintenant publié de La Sainte Ethique concernant l'affaire Amarienne.

   Lorsque nous nous sommes croisés, j'ai été quasiment buté par une émolue du principe de concentration sur soi. Vous ne m'avez pas protégé mais j'ai des raisons de penser que vous ne saviez que faire ; mon explication pourra éventuellement servir à l'avenir :
   L'altercation s'est produite dans l'affaire amarnienne au motif de la propriété intellectuelle - qui n'est autre que le thème de l'artefact que la tyrannie égyptienne a montré en exemple. L'affaire amarnienne a particulièrement lieu autour de l'identification d'Akhnaton et incidemment à l'argument de la localisation de sa momie. Dans la mesure où cette identification engage celle de Moïse (c'est sur ce motif que l'égyptologie a toujours tenu Freud à l'écart) elle est affectée par une règle qui soumet les rabbins à l'interdiction de dévoiler l'identité (de Moïse) - ne pas le lever le voile qu'il porte sur son visage depuis l'épisode au Sinaï. C'est une très bonne règle qui n'est pas moins sujette à des attaques - particulièrement celle de l'enfouir dans l'hystérie d'exprimer qu'elle fut la règle non seulement des rabbins mais de tout le peuple d'Israël. Il doit donc être précisé que les rabbins ont interdiction de dévoiler cette identité au peuple d'Israël - ce qui ne veut pas du tout dire que le peuple d'Israël ne puisse pas la révéler, à moins que toute la population devienne rabbin - c'est ce qui se passe, du moins imaginairement dans la psychologie centralisante ou égoïste.
   La névrose à laquelle j'ai fait allusion exprime cette propension à l'identification au maître, soit au tyran soit au rabbin lorsque la morale est assez forte. Une psychologie de masse offre cette tendance à s'identifier à un idéal consistant et en l'occurrence a rassembler dans la population israélienne le trésor de sa mémoire. Cependant c'est la plus médiocre des procédures de mémoire et la pire des méthodes qui étouffe au contraire et met en danger la mémoire à l'instar de celle qui isole le trésor égyptien sur son territoire. C'est un comportement névrotique de la psychologie collective qui prête à ce que l'israélien(ne) en souffrance d'identité personnelle se comporte comme un rabbin alors qu'elle n'a aucune obligation de garder le voile sur l'identité de Moïse. Cette option est la psychologie de foule d'une tyrannie que l'on a vu en Égypte. Tant que ce degré psychologie durera, chaque personne identifiée à Israël sera puissamment, par la force de l'Inconscient, attaché à interdire de découvrir l'identité de Moïse.

   Il n'est cependant pas nécessaire de rester plus longtemps qu'utile dans un état psychologique devenant archaïque ; dans le nouvel état où Internet introduit le pouvoir de l'éparpillement, les individus se détachent d'une identification à l'idéal. Une personne israélienne n'est plus contrainte de s'aliéner les règles réservées aux rabbins, mais est libre de suivre ses propres règles de développement de la connaissance. La résolution du symptôme en passant d'un état à l'autre, doit se voir à une gestion nouvelle de la propriété intellectuelle - c'est à dire de l'artefact. Nous n'aurons plus d'égoïste intellectuel à défaut d'identité mal assurée qui réclamera que ses artefacts, son discours, ses mots lui reviennent et ne sorte par de son territoire, le moi imaginaire.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110203140000
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

    Je reprends quelques mots << en quoi "le transfert devient une obscénité" >> et je précise :

   L'UNE dont il est question n'est pas une simple dérivation de l'UN - ce que cet UN mentionne c'est celui du monothéisme. Sur le fait qu'il y ait de l'UN, presque une année de séminaire a été consacrée. Donc si j'en ai parlé de but en blanc c'est par commodité et, si on s'y arrête il faut apporter quelques précisions. Le fait qu'il y ait de l'UN concerne la psychanalyse car sa théorie la met en mesure d'expliquer de quoi ça retourne, notamment du Phallus avec ceci de particulier que dans ce cas s'y ajoute un petit quelque chose en plus - ce qui apporte une contradiction pour la logique.

   Ce n'est pas simple et j'en parle le plus simplement possible. Je vous cite simplement le problème. Une fois qu'ainsi vous le situez vous pouvez estimer que mentionner l'UNE est quelque chose de complètement révolutionnaire pour ces fameux révolutionnaires que sont les psychanalystes. Car du moins pour ceux qui ont suivi Lacan, sa formule concernant la non existence de La femme est radicalement opposée par l'existence de l'UNE. Vous savez que ceci s'appelle Un Scandale en Bohème où il est démontré (par le fait que les phicanalystes ne le voient pas - du principe de la lettre volée) l'existence de cette 'La femme'. Nous sommes donc dans le cas de la détection d'une faute lacanienne.

   L'erreur de Lacan tient comme je l'ai dit à la loi de prématurité qu'il a lui-même décrit. Cependant cette explication n'est qu'une excuse. Il n'y a pas seulement la méconnaissance, au temps de Lacan, de la génétique du Nom-du-Père ; Lacan était tout à fait averti de l'anatomo-physiologie et certaines observations qu'il n'a pas faites dans ce domaine indique une organisation supplémentaire d'un refoulement en son cas. Ce refoulement ne l'a pas empêché d'en parler ; il l'appelle la chose. Il a parlé de cette chose mais sans dire ce que c'est.

   Comme ça fait un certain nombre d'années que je travaille sur cette chose, je me suis désigné pépé ; c'est pour ça que j'ai écrit " du c'est aime pépé " - ce qui veut dire asse clairement que pépé aime ce qui est du c'est. Le c'est n'est pas tant que ça du Ça dont la psychanalyse fait justement état. Le c'est diffère du ça en ce que dans le premier la pulsion soit estimable de l'existence. Sans cela, l'existence n'existe que chez les morts - c'est tout de même ce que Lacan affirme de long en large et de haute en bas.
   Cette méconnaissance du c'est a prêté à ce que Lacan estime qu'il n'y ait pas de rapport sexuel. C'est une autre négation aussi importante que celle de La femme.

   Peut-être commencez-vous à sentir l'homogénéité des éléments que je décris et rassemble. Si c'est le cas, nous pouvons avancer : s'il y a un rapport sexuel, le transfert en est une forme mais en sa forme obscure, une dénégation qu'on appelle l'obscénité.
   Ce fait n'est pas une chose choquante. La fonction du rêve est occupée d'obscénité. C'est, si on peut dire, tout à fait naturel. En faire usage, c'est une autre question - ce n'est en tous cas pas culturel et ça n'a rien à voir avec la civilisation.

DWT

   Je résume pour que ce soit bien clair : comme la physique de Newton fait cas de la matière, Lacan fait cas du Ça. Comme la physique quantique diffère, en l'occurrence l'état du pluriel porte à la conception du c'est. C'est la question d'une existence qui ne soit pas religieuse qui est posée. Des éléments encore refoulés à l'époque n'ont permis à Lacan d'avancer que jusqu'à une certaine borne ; la génétique aujourd'hui la dépasse. Ces moments se déroulent par étapes. Freud parlait beaucoup de génétique (d'hérédité disait-on à l'époque) - Lacan pratiquement pas du tout - puis la psychanalyse y revient instruite du refoulement de son histoire. Ces étapes se trouvent décrites en trois discours dont Lacan a génialement trouvé le premier - celui de La Lettre Volée. Comme dans l'information grecque concernant Oedipe il y a par Sophocle trois pièces, il y a trois textes qui font ces discours initialisés par La Lette Volée. Au deuxième de ces discours, l'existence de La femme est affirmée. Elle corrobore un certain nombre de refoulements concernant la sexualité et le rapport sexuel. Ces refoulements sont notamment entretenus par l'exploitation courante du transfert - ce qu'un malaise grandissant dans la civilisation confirme. Le reste, comme vous l'avez dit concernant UNEFPE n'a pas posé de problème de compréhension.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110131210400
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

   Au motif d'un temps volé, pas moins ici une lettre telle qu'exposée dans le salon où l'enquête ne la voit. On me demande par ce procédé de répondre de la psychanalyse didactique ; de ce que c'est , comment ça marche, à quoi ça sert c'est et depuis quand c'est comme ça. On appelle didactique la psychanalyse à l'issue de laquelle l'analysant devient psychanalyste. Freud a rapidement été concerné par la manière dont la fonction de psychanalyste pouvait être établie. Faute d'antécédent connu (l'Art de la Mémoire était encore refoulé) il ne fit pas de 'didactique' mais prit beaucoup de cocaïne pour commencer - chose que personne n'oserait estimer propre à remplir cette fonction ; on estime que cette faute d'antécédent sert une logique suffisante qu'on farcit avec un peu de biographie familiale pour la rendre substantielle. Ensuite Lacan (on peut dire que ce fut le second psychanalyste - ou si on veut le psychanalyste second, ou si on veut encore le psychanalyste réfléchi) fit une analyse didactique à peu près de la longueur d'un dé à coudre. Tandis que depuis Freud et sa courroie de transmission, sa fille Anna, il fallait à peu près une dizaine d'années, deux ou trois analystes différents, des supervisions et des compte-rendus, une hiérarchie et des comités secrets, Lacan, en faisant une psychanalyse aussi courte que ses séances furent de réputation brèves, se fit mal voir. Il fut à peu près lu comme une lettre volée, c'est à dire sans que la phicanalyse n'y comprenne rien. Il rejetait l'autorité des institutions propres à désigner le terme d'une psychanalyse "didactique" - en prétendant que l'analyste ne s'autorisait que de lui-même. Ce ne fut pas son dernier mot..:

   Pour la résolution de la didactique au milieu de gros-gens comme devant Lacan ne fut pas moins gros-jacques. Il se mit à inventer un protocole - cherchant à le distinguer toutefois à le réduire au terme de témoignage. Il s'écartait du moins des termes de vérification (par des pairs de la qualité acquise du psychanalyste putatif). Ce fut pire. Au terme d'un congrès témoin de ce protocole il déclara « c'est un échec ». Des didactiques continuèrent donc à exister dans la bêtise, la béatitude ou la mauvaise foi voire, à l'innommable nom du pire, la mauvaise conscience.

   Cette espèce d'esquive, ratée, de la didactique s'appelait "passe". Pas en reste d'invention à l'époque suivit le "cartel". La passe avait pour motif d'éclairer le désir du psychanalyste, le cartel celui de déchiffrer son savoir. C'est à ce moment qu'entre en scène Unefpe.

   Unefpe, c'est d'abord 'UNE' - elle décrie que parce qu'il y a de l'UN il n'y ait de rapport sexuel ; et décrit que s'il y en a UNE elle est fonction psychanalytique*. Partant de cela, le transfert est une obscénité ; mais aussi, puisqu'il y a un rapport sexuel il n'y a pas d'inceste - et il peut y avoir un tabou sans objet (la phobie nous le met sous le nez). C'est par le faux-semblant de l'inceste dénoncé que naquit UNE Fonction PsychanalytiquE. Je précise ces choses-là car elles indiquent que l'aporie de la didactique était levée : si le psychanalyste ne s'autorise que de lui-même ce n'est pas autrement que par l'Autre qu'il s'autorise bien. Appeler l'Autre à cette rescousse dispense qu'on échoue à l'aide d'une bande d'autres (les passeurs). Elle subvient (cette rescousse) avec l'association des analysants. L'association des analysants, c'était rassembler le cartel et la passe et de surcroît donner corps à ce qui se pratiquait sans le dire. Dans le rassemblement de ce précédent morcelé l'équation qui résout la didactique se formule alors simplement, d'un retournement : le cartel timbré d'un plus-un ouvrait sa lettre d'où parut le moins-un qui fait l'analytique du pluriel. Issue de l'Autre, la passe témoignait de la demande par l'association des analysants, faite à l'analyste attendu d'être le psychanalyste. Ainsi une association d'analysants permet et suffit-elle à qualifier un psychanalyste. Il faut qu'il en reçoive la demande.

   La didactique dès lors est intégrée au rêve que constitue la phase de réveil - et de protection du sommeil - du premier siècle de la psychanalyse.

   J'espère avoir répondu à votre question.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110131103900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

* : j'ai modifié " s'il y a de l'UNE il y a de la fonction psychanalytique "     

        en 20110131110500 : " s'il y en a UNE elle est fonction psychanalytique "

http://www.youtube.com/watch?v=T68CLqAIAdg&feature=player_embedded

   La dernière image a ça de bien.. sec, elle illustre parfaitement la prescription de Freud pour que la psychanalyse ne soit pas néfaste et continue.

   La psychologie collective - ce que le plus isolé des psychanalystes parmi les psychanalystes appelle le pluriel quand elle est appareillée - se montre aussi très bien quand on voit le destin des technologies : partant du Big Ben pharaonique à la pendule en argent qui marque la mort individuelle du Big Brel passant de son pendant du doute de Pascal à la menotte du Big Brother et arrivant.. ah! oh! mes frères et sœurs.. aux lapins communiquant. Le pluriel est ça.
   Je garderai le terme de lapin pour se tamponner en trouvant la chose infantile les complexes qu'on pourrait se faire. C'est pourquoi j'ai bien en effet un lapin nabaztag sur le manteau de ma cheminé qui, quand je parle, permet de parler de tourner la page.
   Lorsqu'on ne tourne pas la lettre ou la page (la lettre volée se dit autant retournée Sissi! j'ai pas oublié), on pense tout de suite à ce qu'on reste fixé pour ne pas arriver à lire - quand on inverse qui ne tourne pas la page de ce qui en offre l'impression on trouve qu'on n'arrive pas à ouvrir la page. Car le futur - l'innovation radicale que la psychanalyse est faite pour accompagner - peut être l'objet de sorte d'embarras.

   Je vous laisse donc avec monsieur Rafi Haladjian et m'en retourne derrière ma pierre tombale dont je vous parle (du c'est aime pépé).

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110130113900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   Extrait annonce de La Sainte Ethique Chap.5 T.2 entre ***

 ********************************

Troisièmement je souhaite faire part de la considération en acte, qui a cours..//.. une considération d'actualité emporte la décision de cette publication précoce : aujourd'hui - 20110129 - la population égyptienne se soulève ainsi que d'autres hacktivistes en contraste avec l'extinction des communications internet par le Caire dans son pays. Il existerait un sentiment de certaines situations infâmes qui répugnent aux foules. Une égyptologie pas moins infâme aurait également négligé la scientificité pour suivre des directives politiques. Troisièmement de grands pans de la psychanalyse serait sujette à des manœuvres semblables à l'usage de l'hypnose. Contre ces censures idéologiques voire directe atteinte aux énergies psychiques, quelques voix dans la psychanalyse ont été et sont encore engagées dans la certitude que son domaine est politique. En date donc d'une égale intervention que j'ai produite concernant la gestion de l'ADN humain par les Etats, j'avance cet appui intellectuel : le chapitre 5 de La Sainte Ethique qui décrit le refoulement actif depuis l'Inquisition relayée par une partie défaillante de la psychanalyse - refoulement de la scène primitive de la science occidentale que les partis de la répression étendent dans l'actualité des censures et privation de communication.

********************************

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-8.htm#20110129170500
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm