SESSION DE SOIN SOCIAL du 02 janvier 2009  19h-21h

L'intégralité de l'enregistrement est accessible sur demande

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Les Chemins de la Perception

 

 

Préface

    
   La SSS du jour explique le comment et pourquoi l'aptitude du corps humain à la cybernétique - soit à construire des appareils cybernétique autant qu'à s'en servir ; l'équilibre de l'environnement en dépend. Il faut en effet qu'une certaine fonction soit propre au corps humain pour qu'il réalise ce que ni des animaux ni des collectivités animales ne font. La SSS explique que 
le corps humain est propre à compter en son cerveau un constituant  physique, un opérateur organique de la qualité du réel, qui sert à son expression, ou à la manifestation, du chiffre zéro. Ce que l'on peut appeler en raccourci : la zone (cérébrale) du zéro - permet à l'organisme humain de s'inscrire dans les chaînes que les SSSs ont décrites précédemment et qui, faites de ..010111001011010.. initialisent une relation cybernétique, littérale et apte à la mémoire ainsi qu'à créer ou saisir, au sein de béances ou de déchirures qu'elle ouvre, les objets extérieur qui rendent substantielle la science physique, biologique, et en fin de compte matérialiste.

   La SSS montre que  c'est le raisonnement et la disposition psychanalytique qui permettent l'observation et l'identification de cette zone  du zéro . A l'inverse, toute autre approche prétendument scientifique la cache, exactement comme on cache un coussin sur lequel on s'assoit. Le décalage par la perspective prise de l'espace psychique, comme un pas de côté, le découvre. Par conséquent, c'est la psychanalyse, par cette disposition qui prend le recul sur les choses que les sciences lui disputent. C'est également la psychanalyse qui crée les conditions pour que l'humain puisse connaître, comprendre et assumer, son aptitude à la cybernétique, ses productions et son rôle dans ce qu'on peut proprement appeler un Appareil-Age

   Nous sommes entrés  dans l'Appareil-Age. Nous arrivons à prendre du recul - à réfléchir - sur l'Appareil Cybernétique  à partir de la même position que l'on prenait pour prendre du recul sur notre pensée. Cette aptitude connue depuis des millénaires au titre de la science du psychisme est considérablement modernisée mais garde ses acquis et ses caractéristiques. Particulièrement réclame-t-elle toujours que nous connaissions les points d'appui dudit 'recul' - qui étaient ceux que des techniques occultes ou ésotériques échafaudaient. Aujourd'hui nous nommons son énergétique " pulsion " et cette antérieurement nommée vital, ou prana, s'appuie sur des " objets pulsionnels " que désignent nos spécialités scientifiques : biologie, éthologie, neurologie et physiologie. La SSS en ressort un objet que les oscilloscopes, Acoustique et programmes informatiques mettent en évidence. Cet objet externe, physique et scientifique est introduit parmi les termes de la psychanalyse.
   Comme des objets matériels s'ajoutant aux mathématiques constituent la physique - un tel objet s'ajoutant à la cybernétique constituent la psychanalyse en science, absolument concrète et vérifiée. 
 

 

  

Résumé du chemin parcouru et jusqu'à présent

   Les SSSs se sont attachées à décrire à la fois l'histoire & la structure de la pensée qui est nécessairement agglomérée ensemble & avec l'histoire & la structure du langage. Elles ont montré que le langage prêtait à l'illusion de se suffire à lui-même - illusion qui s'imposait encore, même lorsque mathématiques et neurosciences forcent la pensée à savoir que les lettres sont projetées, comme toutes choses, sur le cortex cérébral qui les perçoit. Mais on peut espérer que le coup de butoir de la psychanalyse qui réduit l'être aux sphincters, dessille qu'en ces trous il y a des choses.
   La mascarade scientifique cartésienne (re:Descartes, Royaume de Bohème / Frances A.Yates) acquiert un regard. La pensée humaine est prête à sa rencontre avec la matière.

 

 Retranscription libre

 

   Je rappelle que je débutais mes travaux (1983) par un écrit sur la linguistique et à partir de la distinction classique : partant de ce qui signale (par exple : une odeur que l'on porte - la femelle attirante), suivie de ce qui fait signe (par exple : une odeur que l'on pose - le mâle qui marque son territoire), et de là ce qui aboutit au Signifiant (par expl : le parfum que l'on emploie pour séduire ou cacher - hommes et femmes qui se cherchent). A quoi la psychanalyse ajoute que (du signe au signifiant) le signifiant s'ordonne à partir du signe par trois ( trois signes que portent trois prisonniers selon le sophisme lacanien de l'assertion de certitude anticipée ).

   En pratique et dans l'histoire, le signifiant parait en la forme de la lettre, laquelle montre qu'elle s'ordonne alphabétiquement. Arrivée à ce stade elle montre entretenir des rapports étroits avec une aliénation et/ou une hypnose. La SSS précédente a mentionné la forte probabilité, voire la démonstration de fait, que cette lettre ainsi ordonnée, l'est dans le fait d'une projection corticale ( c'est à dire exactement comme une ombre projetée sur la paroi du cortex - comme par ailleurs on le sait très bien, le cortex reçoit les projections auditives, visuelles, musculaires, sphincters etc.. en zones spécialisées dites " zones de projection corticales " ) . Selon Stan Tenen, les lettres corticales ( projection du philame sur le cortex ) arriveraient à écrire le texte-même de la définition de ladite lettre. Ceci aboutirait à une boucle de signification apte à se signifier elle-même (auto-récursive). Mais une observation plus profonde montre que cette hypothèse séduisante - et totale sinon totalitaire - laisse de côté quelque chose , qui demeure là, inexpliqué et insistant ( nous pourrions faire usage de la comparaison, propice ici, avec un texte et un alphabet qui ne comporterait pas de voyelles. Aussi performant pourrait-il être, il ne saurait abolir le fait qu'il y a des voyelles dans la voix et qu'elles y ont une fonction. Cet exemple est propice car c'est bien ce que nous allons montrer, en l'espèce qu'il existe un état de développement phylogénétique de la personne humaine au cours de laquelle elle est incapable de former, ni d'entendre un type de son/voyelle (globalement nommé formant), ni par conséquent de l'écrire ou de le retenir en lettre. Il s'agit du petit enfant de quelques mois et la suite de la SSS montre les conséquences à en tirer ) .


Projection Corticale de la Lettre
auto-suffisante et récursive
(selon la thèse Stan Tenen)


Projection Corticale de la Lettre
projetant de surcroît une image réelle
(selon le principe du Modèle Optique)

   Cette chose est visible. En optique on l'appelle image réelle ; en acoustique elle existe également en l'espèce de son réel . Elle est probablement connue de très longtemps. Présente dans les cavernes des premiers hommes qui ont su l'exploiter, présente même et déjà dans les communications des mammifères marins, présente dans l'architectures ésotérique de la Chapelle des Échos de la Chaise Dieu (local) ; Jacques Lacan l'a mise au principe de son Modèle sur la base de l'expérience des opticiens, dire du Vase (ou du Bouquet) Renversé. Cette chose - image réelle - met en évidence qu'il n'existe pas dans le cerveau que des projections corticales, mais qu'à celles-ci s'ajoutent des formation réelles . Ces objets réels forment une face de l'objet pulsionnel. On peut les identifier à des formations énergétiques intracérébrales qui trouvent en correspondance, à leur autre extrémité, leur face opposée du coté de l'objet quand il est extérieur au corps, le véritable objet de la science, celui qu'il vaudrait la peine d'écrire ou d'appeler objext - voir le X noir ci-dessous fig. A).

   Notre condition humaine nous a mis en effet dans la situation un peu inconfortable de savoir que l'univers matériel est constitué d'objets dont le corps a grand peine à prendre conscience intimement. Prenons le plus simple caillou, nous pouvons le tâter, le peser, l'éclairer, tenter de le faire tinter etc... tout ce que nous en connaîtrons ne peut-être que considérablement médiatisé et déformé par toute une succession de filtres insérés par notre perception. Entre l'objet physique, extérieur - " objext " - et celui dont nous pensons avoir conscience, il existe toute une chaîne de transformation (filtres sphinctériens et/ou synaptiques - anneaux verts fig. A), B), C)) qui constitue le thème d'étude du premier écrit - Esquisse pour une Psychologie Scientifique - de Freud.
   Ainsi pouvons-nous ci-dessous dessiner le chemin parcouru par l'énergie et la perception d'un objet que le corps observe :


A)    Un objet se présente à la série
des filtres de la perceptions de l'organisme


B)    L'objet stimule la chaîne perceptive
qui l'intègre à l'organisme


C)    Le cortex confronte
sa conception et sa perception


La chaîne perceptive  (Esquisse de Freud - B) & C) ci-dessus entre l'objet X extérieur et le cerveau)  se voit dans le Modèle Optique lacanien (ci-dessous) ;
les trois "
x, x, x " illustrés à gauche du Modèle comme les trois pots/vases ou bouquets - images extérieures, réelles et réfractées



En résumé ci-dessous et en faisant abstraction de la chaîne perceptive ;
l'objet extérieur - que la réalité soustrait en bleu - et auquel le jeton le plus grisé fait allusion dans le cerveau, y est figuré
 dédoublé soit en rose par la lettre, soit en vert comme l'image réelle en effet de la lettre, tandis qu'il est représenté
par un cercle vide à droite en position de l'image virtuelle du Modèle Optique.


note : plus bas, ci-dessous le complexe des trois vases, cercles ou jetons continue à être figuré avec un seul jeton vert

   Le grand franchissement opéré par Freud - et qui donne à la pensée accès à l'objet scientifique - fut acquis par la primauté qu'il donna aux sphincters. Cette révolution propre à résumer l'humain à des orifices s'avère d'une richesse à priori insoupçonnée : d'une part ces sphincters offrent-ils l'occasion de s'inscrire en sorte de lettres (zones érogènes transcrites en symptômes hystériques) et d'autre part l'occasion de présenter dans le système nerveux les dénommées images réelles. Troisièmement leur fonctionnement binaire de passage, ouvert ou fermé, occupé ou vide, dedans ou dehors, les fonde d'emblée à la logique des 0 & 1 cybernétiques, soit à la structure de chaîne qui aboutit au signifiant. L'être sphinctérien du scandale freudienne est déjà un " cyborg " avant qu'on en crée des semblants. mais est-ce un enfermement ou une solution ?

   L'antécédence ou hâte logique de cet être humain-machine est appelé à prévenir la domination par la matière et le matérialisme. Que le cyborg soit d'abord freudien permettra que celui qu'on fabrique en réalité soit humanisé ; seulement encore faut-il que s'il anticipe le second, le premier garde son avantage en maintenant sa distinction. C'est la seconde étape que la SSS parcourre, destinée à préserver les valeurs de la sexualité et de l'amour - c'est à dire la libido jusque dans la confrontation énergétique à la matière. Pour arriver à cette fin, la psychanalyse indique comment un être, aussi cybernétique fut-il, garde une distinction de l'autre semblable. C'est par l'objet du langage que la SSS a choisi d'en faire la démonstration. Fidèle à son habitude elle aura puisé dans une spécialité scientifique - en l'occurrence celle qui décrit le développement de l'organe vocal, du primate à l'homo sapiens.

   Un graphe ancien repère la chronologie d'un million d'années, de l'australopithèque à l'homo-sapiens, et les 400.000 premières années durant lesquelles avec l'acquisition définitive de la station verticale, le port de la tête et le tractus vocal se sont organisés. Ces 400.000 ans sont répétés en quelques mois par le développement du nouveau-né, quand il acquiert la verticalité de la tête et la voix humaine. Avant cela, le très jeune humain n'a pas la capacité d'élargir suffisamment un espace de ses cavités vocales qui permette d'y loger un formant - c'est à dire une aptitude phonologique et une type de son tout à fait comparable à la condensation qui constitue une image réelle dans le Modèle Optique comme dans le cerveau.
   Le formant est un objet sphinctérien et à se titre il est reproduit dans le système nerveux comme tout autre objet sphinctérien. Un croquis ci-dessous montre en coupe l'anatomie d'un nouveau-né humain (à gauche) et son organisation quelques mois après sa naissance (à droite) :


nouveau-né


adulte

A gauche, en venant au monde l'enfant est apte à insérer très haut son tractus vocal (de sorte qu'il peut téter et déglutir tout en respirant, évitant de cette manière les fausses-routes alimentaires). Plus tard, à droite, en dressant la tête, la trachée s'abaissant, il a ouvert en son cou une cavité propre à loger un formant (bleu) - lequel objet physique, ' extérieur ', acoustique, participe au langage adulte et résulte - comme tout autre objet sphinctérien - en un objet/image réel  (vert) à la réflexion cortico-cérébrale. L'observation considérable est ici que le tout jeune enfant (à gauche), comme le primate, est en pratique sourd à toute une partie du langage adulte, ne serait-ce que d'une incapacité à l'intégrer comme le moindre sens.

   Le regroupement de ces diverses données aboutit à une conclusion qu'une comparaison un peu caricaturale permettra néanmoins d'évaluer selon toute sa portée :

   Si les sphincters, d'une part transmettent au cerveau une forme ou une énergie de leur objet externe, et si d'autre part les lettres suivant leur projection corticale y réfléchissent également ce qu'on appelle leur image réelle - la coïncidence de ces formes & images stocke ou pondère un langage, par ailleurs transmis et reproduit des adultes aux enfants. On peut donc à présent figurer comme une corps humain correspond avec un autre.

 

    fig. X

   En l'absolu le langage permet à des semblables de correspondre entre eux sur la base des lettres qui font correspondre aux objets sphinctériens (objets dits extérieurs éventuellement écrits objexts) des images réels (en vert sur le schéma). Ainsi communiquent-ils l'un avec l'autre à propos d'un ' monde réel ' qu'ils ont en commun.

   Deux individus - ce qu'on appelle des semblables - échangent et transmettent leur langue, leurs impressions et leur mémoire de sorte que les espèces de constellation que leurs orifices constituent soient identiques - ou parfois différentes d'un semblable à son prochain. Dans le premier cas, où les corps sont identiques, la confrontation de ces deux appareils n'aboutit pas à une capacité cybernétique. La SSS évoqua un enseignement de la psychologie - et la grivoiserie au service la clarté comme la caricature : un professeur en humour, aussi éminent fut-il, du gabarit " Gainsbourg " ! en lâchant un 'prout!'   fait rire, mais ne saurait faire rire un comparse qui, lui, serait héros de science-fiction type Houellebeck (Daniel/La Possibilité d'une Île), n'ayant plus besoin de manger et par conséquent dépourvu de tube digestif. Le sans-cul serait insensible aux expressions du grand esprit du pétomane. Par contre, si tous deux étaient équipés d'un derrière tubulaire, ils pourraient bien rire de ceux qui n'en ont pas - on rit d'un pet à l'idée d'un sphincter sans objet. Telle est la situation des semblables : narcissiques, ils ne peuvent qu'hésiter et rire d'une différence qu'ils ne connaissent pas - le véritable esprit est celui d'une absence de sphincter.
   A l'inverse de la figure X ci-dessus qui décrit la correspondance de ces deux êtres pourvus des séries identiques de sphincters - lorsque de ces deux individus, l'un est doté d'un sphincter que l'autre n'a pas, celui qui en a l'organe - voire l'esprit - imprime en son prochain une lettre sans objet. Pour cette raison l'infans n'entend rien au formant de sa langue maternelle ; il y est sourd mais néanmoins - pour autant qu'il en reçoive la lettre et que cette surdité ne l'ai pas mené jusqu'au point sans adresse d'un autisme - loge en cet instant une différence chiffrable de la radicale instance zéro qui fonde la relation cybernétique (figure Y).

    fig. Y

   La communication humaine véritable fait correspondre un nombre de sphincter inégal entre mère et infans. Il existe chez elle un sphincter qui n'existe pas chez lui. Ici à la lettre r - correspondant au formant de la mère - l'infans en vis à vis n'aura aucune référence propre à faire correspondre une image réelle ; ce qui résulte en un zéro à sa place (ici à Gauche, chiffre zéro indiqué selon l'usage par un O barré) - tandis que dans la réalité il pose à sa mère la question d'une existence (point d'interrogation que l'on trouve dans la conceptualisation lacanienne de la Demande - voir "graphe du désir" - Écrits : Subversion du Sujet)

Par l'absence d'image/objet réelle à correspondre au formant que lui signifie sa mère, l'infans porte à la relation humaine le chiffre zéro de la cybernétique

   La SSS s'en est tenu à la mise en place de ces coordonnées qui montrent pourquoi et comment le corps humain - du fait d'une évolution du langage - est doté d'une constitution qui destine son histoire au monde d'appareillages. Certes elle n'a aboutit qu'à cette étape où ce n'est, entre une mère et son enfant, qu'un constat d'incompréhension qui résulte. Mais en reprenant du début et notant que cette élévation du signe au chiffre doit se passer par trois, nous savions dès le départ que ce serait entre mère, père et enfant que la circulation cybernétique s'accomplir. Pour cela il faut trouver également entre les deux adultes la même logique d'un objet pulsionnel absent - mais disons qu'il n'est pas nécessaire d'en parler tant que la première étape ici dite n'est pas comprise et n'entraîne pas une demande d'en savoir jusqu'au bout.

 

 

 

  

 

A suivre ..

   Ce qu'il faut suivre, par la psychanalyse, est toujours - à ce point - ce qui manque, ce qui n'est pas dit dans la communauté et qui est é-norme : l'histoire d'Akhnaton, l'identité du Trismégiste, Un Scandale en Bohème de Doyle, La République de Platon dans le Modèle Optique, la phylogenèse du langage pour des spécialistes de la parole, la " cure de mémoire " et l'Art de la Mémoire pour des spécialistes de la mémoire, le Nom-du-père et le patronyme à partir d'Y, les ultimes directives de Freud réclamant une psychologie collective et, pourquoi pas, jusqu'à la différence anatomique entre les sexes pour une théorie de la libido ! Il vaut la peine de lire ce qu'en dit Freud dans son article à ce titre, et chercher ce qui y manque. Que la psychanalyse n'ait encore rien donné dans le monde de la cybernétique est du même tonneau . . . percé au fond de l'eau . . . comme un cercueil de Président coulé au fond de l'océan.
   Autant de ces éléments ici nommés sont des lettres volées que je rends à mes confrères, qui n'en veulent rien savoir - pour une extraordinaire leçon de chose.
 

 

 

  

   

  

Addenda

 

   Le mail de l'annonce de la page :  

 

 

-----Message d'origine-----
De : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr [mailto:UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr]De la part de DWTheaux
Envoyé : mardi 06 janvier 2009
À : unefpe_membres
Objet : [UNEFPE_MEMBRES] SSS090102
  

 

Bonjour

   La SSS du 02/01 est mise en ligne ; du moins son transcript.
(accessible aussi par la page ' conférences ' )

   Les SSSs sont arrivées à une étape de leur parcours , en retrouvant le point de départ de mon premier écrit - vers 1983 - précédant Unefpé - qui invitait à considérer que la psychanalyse permette une linguistique où les lettres étaient des projections de formes. Ce texte fut édité par Camille Hamiche précédemment éditeur des Séminaires de Lacan. Par la suite j'appris que Fabre d' Olivet contemporain de Champollion écrivait à l'inverse de ce dernier, que les lettres étaient des hiéroglyphes (recette secrète, selon lui, de la prêtrise égyptienne sortie d'Egypte par Moïse au grand damne de ses politiciens-magiciens) - et encore plus tard que le rabbin contemporain Stan Tenen accentuait l'hypothèse en proposant la géométrie spatiale de ladite lettre dont les angles de vue variés présentait lesdits hiéroglyphes. Ces appuis sinon ces confirmations trouvés à mon texte de 83 permettent le rassemblement que la SSS présente.

DWT

 

Les points à régler

" des dizaines de manifestants interpellés à .. "  cet article n'est plus disponible (France Info chaîne publique)

“Burn after reading.” “This message will self-destruct in 10 seconds.” Secret messages and code are portrayed very dramatically in the movies. In real life, they can be quite subtle etc..