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Anthéaum Toll ; identité
Interrogé dernièrement sur mon nom, me suggère d'apporter
plus de précision. Pris pour un pseudo je dois fournir quelques explications.
Ma dénomination suit deux descriptions. Elle succède d'abord à un nom
d'auteur qui n'était pas un simple nom de plume mais une identification
propre à des recherches en psychohistoire qui m'ont entraîné dans
divers société, université, institut et événements que je n'avais pas
tellement prévus. Puis au terme de plusieurs années, le nom définitif d'Anthéaum
Toll m'a été attribué, pour ainsi dire d'office, à l'enregistrement par
une/la première plate-forme de réalité virtuelle (Second Life) en 2007. Il
s'agit donc de ce qu'on appelle maintenant je crois un "avatar" dans
une "métavers".
Un second descriptif de cette identité remonte aussi à la
période de la Société Française de Psychohistoire qui m'avait invité à sa
vice-présidence un peu avant 1990. Elle m'avait menée à New York où le temps
de mon séjour, j'ai créé une compagnie, la première au monde je dois dire,
de conservation de génome humain - je précise : à disposition du public.
Je dois le préciser car, il existe un fait peu souligné, qui est que des
millions d'extraits génétiques humains étaient déjà conservés à l'époque
mais, hors de toute propriété de leurs porteurs. Renseigné par la gigantesque
industrie qui se mettait en place, il m'a semblé très important que
l'identité génomique d'un individu moderne dût être corrélée à sa
citoyenneté. C'est encore aujourd'hui une information qui choque parce qu'il
n'y a aucune information diffusée sur l'industrie génétique de masse.
De retour en France à partir de 2000, j'ai mûri l'expérience en
ajoutant les connaissances psychiatriques de l'identité : une stabilisation de
l'évolution technologique (de la biologie génétique humaine) doit être
coordonnée à un accent équivalent porté sur la mémoire psychologique (de la
vie sociale humaine). J'en informais
dès 2002 les médecins de mon département d'exercice (ainsi que Comité d'Éthique
et INPI). Évidemment cela n'allait pas être bien reçu rapidement et ce fut
plutôt l'indifférence qui me permit de poursuivre la clarification du
phénomène qu'ajoutait l'informatique. C'est ainsi qu'en 2007, la marionnette
Anthéaum Toll de la réalité virtuelle pouvait se réfléchir sur une
préservation de mémoire individuelle et génomique ; de sorte qu'il s'agit
d'une personnalité beaucoup plus réelle que les superficielles images
narcissiques/spéculaires des usagers courants.
Bien sûr j'éprouve depuis des dizaines années ce que c'est
que faire scandale, mais j'y survis car c'est au motif d'un humanisme totalement
différent de celui qui se qualifie de 'trans'. L'humanisme dont je pars et
parle est celui qui fait face à la démente explosion technologique et qui - au
lieu de se jeter dedans pour espérer passer au travers/trans - s'en saisit pour
sauvegarder l'humanité dans (voire malgré) la technologie. Il s'agit ainsi de
prendre acte de la réalité du mouvement scientifique et d'y protéger
l'individu et individu citoyen (psychologique, social). Dans cette intention, je
suis arrivé au terme de ces années, au moment où les faits valident ma
proposition :
La pathologie (politique) Covid donne raison à sa partie
biologique : la conservation du génome individuel a pour principal argument la
logique de sauvegarde qui sécurise tous les éventuels changement de
'programme', tant informatique que génétique. Je pense qu'aujourd'hui nous ne
pouvons plus ignorer les risques, voire les intentions de modifier/altérer le
génome humain. L'épisode Covid lance une alerte criante ; elle risque d'être
renouvelée demain. Nous sommes appelés à un impératif de salubrité, de
prendre toutes les mesures de protections possibles de maintenance de la
mémoire génétique et, dans le cas de l'humanité, d'une mémoire qui est
particulièrement et spécialement 'individuelle'. Ceci mène au second fait :
C'est ici que l'on retrouve la 'personnalisation "Anthéaum
Toll" ' en question. Elle est coordonnée à la réalité et au fait actuel
de l'IA (Intelligence Artificielle). Je pense qu'à l'instar de la
démonstration 'manipulation génétique/apprentis sorciers', les années deux
mille vingt dévoilent frontalement une IA qui annonce la pulvérisation de
notre psychologie traditionnelle. La santé psychique est autant menacée que la
biologique ; mais comme pour cette dernière, nous avons des procédures à
disposition pour affronter la menace : puisque nous devons nous attendre
incessamment à rencontrer des personnes 'singulières' artificielles mais tout
à fait confondantes, il est primordial que l'identité s'équipe de
personnalités plus réelles, en compétition dans le monde virtuel - sans quoi
nous tomberons, comme Alice dans son rêve, ratant d'y réfléchir ce qu'on
appelle le "stade du miroir". Je termine ma présentation/explication
sur ce terme technique un peu abrupt, mais dont nous avons au moins entendu
parler pour voir de quoi il s'agit. Le procédé expérimental, mais très réel
- car c'est réellement ma personne qui est désignée sous ce nom - que je
présente en exercice, procure une sauvegarde vis à vis de l'assaut dont le
lancement a sonné, de l'IA sur nos personnes.
Au terme de cette description de la raison d'être d'Anthéaum Toll, je plaiderai pour William Théaux et son droit d'y dys-paraître. N'est-ce pas une réplique appropriée à la gigantesque affliction que l'Ordre des Médecins veut imposer à ses membres en conspuant leur vocation ? Certes la grande majorité s'est courbée, montrant quelle violence la technocratie se prépare à généraliser sur la population. Il s'agit d'une négation de l'identité, c'est à dire du désir et de la passion éthique, dont notre corporation subit l'avant-goût. Contre cet attentat à la dépersonnalisation, si le Dr William Théaux n'a plus de raison d'être, voilà Anthéaum Toll.