Absence d'intérêt, non-sens de la folie, non-sens de la
science, ignorance des petites choses - Jean Zin énonce les quatre points
cardinaux de l'anéantissement d'autrui, comme un Mot d'Esprit où chaque point
contredit l'autre. Cet écologiste attire donc l'intérêt. Nous savons que
l'écologie n'arrive à rien malgré ses nombreux champs d'intérêts très
critiques - c'est une observation qui s'étend sans une faille de l'action
politique au panier de la ménagère.
Nous avons néanmoins des écologistes de poids lourd. Il est
possible que Zin ne fasse pas preuve d'esprit dans son mot - si entre délire et
fausse science il réclame la passerelle de la fondation paranoïaque de la
connaissance humaine. Mais dans ce cas, il n'est pas moins acteur de son
refoulement. Si délire et fausse science sont isomorphes en effet, seule
la pratique de la psychanalyse peut en découdre. Par contre la philosophie,
c'est à dire la profession de foi de Jean Zin équivaut à la politique des valets
- selon le terme révolutionnaire consacré, avant qu'on aboutisse à
aujourd'hui préciser, valets de la pollution.
Personnaliser la pollution n'est pas plus absurde que vivre en fonction du Surmoi. Par contre, la reconnaître pour ce qu'elle est, c'est l'encaisser, et c'est là que les potentats font demi-tour, révolutionnaires en tête. Mais qu'est-ce qu'encaisser la pollution? c'est accuser le coup, c'est à dire mener l'entreprise du ratage, à savoir la psychanalyse telle qu'elle passe par Lacan. Au théâtre ce grand soir : Ratage! Jean Zin vous ouvre le rideau. Sur la scène PLAN.
l'océan de fausse science (formule la métaphore) explicité
----- Original Message ----- From: "Jean Zin" <jean.zin@wanadoo.fr> To: "Jocelyne Mennessier" <jocelyne.mennessier@wanadoo.fr> Sent: Thursday, April 14, 2005 8:26 PM Subject: Re: contact >
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