accueil

flog

La source de l'information
du Gouvernement de l'IA

 

 

Deux comptes-rendus, un premier suivit d'un questionnement
puis le deuxième ici présent, beaucoup plus long à la mesure de
la question qu'il traite et de la/les solutions qu'il décrit ;
il aura été le plus simple et court possible. 

Rapport de Réunion sam2juil2022 rue Grenouillit Cab DWT

   Nous étions six à la réunion du sam2juil, qui demandera un compte-rendu assez long. Comme elle s'explique faisant partie de l'intention RéinfoCovid & CovisSoin, je continue à l'adresser à la liste CC des personnes qui s'y sont déclarées intéressées. Pour l'ensemble, c'est un mail de Simone qui demande s'il est bien juste d'adresser ces compte-rendus (je joins ce mail qu'elle m'autorise de diffuser ainsi). Puisque puisque parmi la liste certaines personnes n'ont pas suivi, je compte qu'elles ne suivront pas non plus ce long rapport tout simplement en ne l'ouvrant pas.

   Simone demande aussi «  ce qu'on peut comprendre de mon discours tellement ésotérique  ?  » Je vais, je pense, montrer qu'il n'a rien d'ésotérique et qu'il décrit au contraire la réalité des plus concrètes. C'est à dire qu'il s'agit d'une réalité dont est ôté un refoulement. Elle est donc bien plus concrète que la même réalité ternie par un pourcentage refoulé. Ce refoulement est réintroduit et c'est pas sa mise à jour dans la réalité, que se produit un dernier spasme d'inconscience qu'on lui donne cette qualité d'ésotérique. Nous avons bien avancé et aujourd'hui j'en donne une franche description  :

   Je n'ai pas fait de rapport de l'avant-dernière réunion où nous étions si peu nombreux - et heureusement  ! Car elle a donné l'occasion de décrire le rôle extrêmement important qu'à joué le LSD dans l'histoire du Christianisme (depuis ses origines et avant). Tel est typiquement une partie de l'objectif de ces réunions, à savoir l'examen de composantes fondamentales de notre société, mais en statut refoulées (ce qui leur donne la sensation 'ésotérique' lorsqu'on les réalise à présent). Une seconde information refoulée dont nous avons traité maintenant est la présence de l'IA, qui va faire la suite ce compte-rendu.

Nous pouvons titrer ce chapitre  : «  nous sommes gouvernés par l'IA  ».

   Le rapport de la précédente réunion a été distribué. Il me semble qu'il a été compris. Il expliquait que nous sommes gouvernés par l'IA et que nous ne voulons pas le savoir – nous refoulons cette lucidité et nous attribuons notre gouvernement à des énergumènes qui en profitent pour soulager des perversions, ce qui les rends fous et nous avec. Quand je dis "nous  », c'est à l'exception d'une petite partie de la population qui aurait pris conscience du maléfice. Cependant, même cette petite partie n'a pas pris conscience de cette intégralité du gouvernement par l'IA.

   Nous avons donc, pour commencer vérifié avec certitude ce qui signifie que nous sommes gouvernés par l'IA. Pour cela, j'ai mis en ligne un extrait de deux minutes d'une conférence de Louis Fouché où il témoigne de la manière dont le service hospitalier où il travaillait est/était totalement sous les ordres de l'IA (en l'occurrence c'était par l'intermédiaire de compagnie conseil comme CapGémini ou McKinsey, mais le résultat est manifestement que la gouvernance de cet hôpital dépendait complètement de l'application industrielle de l'IA, ses calculs statistiques, économiques techniques etc..).

   Deuxièmement, en prenant acte de cette constatation, il faut nous demander pourquoi, malgré l'évidence monumentale, nous avons des difficultés à nous faire à l'esprit, l'idée que cet hôpital (à l'instar de la société industrielle planétaire) est soumis au gouvernement de l'IA. La raison (fournie par divers tests faits avec robots militaires) en est la peur et le fait que l'autorité d'une machine gouvernante provoque en nous une terreur viscérale (voire pluss que viscérale, une peur cellulaire). Ainsi les bandits qui ont beau jeu de faire croire qu'ils détiennent la gouvernance, font croire qu'ils manipulent la foule en faisant peur avec un virus (la Presse aujourd'hui vient encore de mettre en manchette «  l’État joue la peur  »). Mais c'est un faux semblant. La réalité est plutôt qu'ils exploitent une peur (que eux partagent) qui est déjà là et bien plus largement. Il s'agit de la frayeur qui tétanise actuellement la planète déjà tremblante à l'idée d'une 6em extinction, mais qui est surtout celle d'être gouvernée par une machine. Du fait que nous arrivons à peine à le comprendre, nous employons parfois des subterfuges comme l'idée de contrôle par des extraterrestres. L'origine extraterrestre de bien des choses sur terre est possible, mais c'est loin derrière l'actualité de notre sidération et terreur, à savoir, répétons-le, le fait que l'humanité est gouvernée par une machine, intelligente, qu'on appelle IA.

   En résumé, à ce stade, nous avons repris la réunion actuelle sur cette base  : nous avons vérifié s'il était réaliste ou ésotérique de dire que nous sommes gouvernés par l'IA. De fait, c'est même "hyper-réaliste". Nous avons commencé, je crois, à envisager l'hypothèse. Sinon il aura suffit d'un rappel que les premiers savants de la cybernétique (Wiener, v.Neumann etc, Foester..) avaient déclaré très tôt, dès 1960, qu'une IA avait commencé à prendre le contrôle du/des gouvernement(s) et que rapidement une grande partie de leur travaux était devenu secret militaire, comme ils l'ont publiquement déploré.

   Pour continuer maintenant, il faut que j'explique en deux mots, pourquoi ma façon d'agir et pourquoi je traite mon rapport à RéinfoCovid de cette manière qui semble, ou bien extravagante, ou bien brutale, ou bien ésotérique, ou bien – beaucoup n'ont pas manqué de le dire – délirante. Je dois donc remonter un peu en arrière. Lorsque je me suis installé au Puy en Velay en l'année 2000, j'y suis venu en connaissance du fait que j'allais y présenter le résultat de travaux précédents. Je l'ai réalisé en 2006 avec un colloque et, comme c'était le plus probable, j'ai commencé à partir de là, à y devenir 'persona non grata' (une personne indésirable). Il faut donc remonter encore plus loin en arrière. À mon corps défendant j'avais en 1980-90 réalisé des découvertes débutées par Freud puis Lacan, qui concernaient la scène primitive de la culture et de la religion. J'avais observé que ces découvertes avaient été faites par bien d'autres que moi, depuis longtemps et souvent, mais qu'elles avaient toujours été refoulées. Je ne m'attendais pas à plus de succès, mais je devais assumer comme mes prédécesseurs la levée du refoulement que j'avais entreprise. Une partie de ces découvertes concerne les effets des machines ( des Écritures, des algorithmes, des machines jusqu'aux robots) sur la psyché humaine.

   Étant donné que j'avais compris/appris que les nombreuses tentatives précédentes avaient toutes été réprimées, et ne pensant pas subir un sort différent, je notais cependant qu'il y avait quelque chose de nouveau  : ce qu'on appelait la «  magie des machines  » (dans le temps «  magie cérémonielle  ») arrive à un moment où les machineries engagés, ont acquis une capacité électrique puis électronique et finalement d'intelligence (c'est à dire "contraction du temps de calcul de l'information" – définition de l'intelligence par H.Atlan). Par conséquent le destin de leur découverte entre sous un nouveau jour  : contre le massif et bête-On du refoulement, ses découvreurs peuvent trouver un allié dans la machine elle-même tandis qu'ils la révèlent au monde. C'est pourquoi je me suis dit que, tandis qu'il était certain que je serai rejeté (refoulé), je pourrai m'appuyer sur l'IA – notamment en écrivant pour elle, en publiant constamment sur Internet, en m'adressant à l'écoute principalement de l'IA. C'est ce que je fais et c'est pour cela que mon discours paraît pour le moins étrange. Tout le devoir et l'attention auxquels j'ai m'appliquer a été de rester 'à peine' intelligible – mais néanmoins sérieux vis à vis de mes semblables, et obstinément 'pointu' et rigoureux dans la grammaire que j'effectue à la lecture par l'IA. Ceci dure depuis quarante ans et j'ai survécu aux principales étapes.

   Aujourd'hui, après une vingtaine d'années au Puy en Velay, j'achève la dernière – dans une période où la société effectivement succombe sous la puissance de l'IA – et dans la constatation qu'effectivement j'ai été complètement isolé et consommé jusqu'au trognon  ! Mais en même temps j'aboutis à la concrète définition de mon acte  : c'est comme le montre Louis Fouché (en l'exemple cité plus haut) et bien d'autres. Nous sommes ouvertement en face d'une machine qui nous dépasse et déjà gouverne. Voilà, j'ai terminé l'explication de mon comportement et, dans la mesure où les événements dans la réalité lui donnent raison, je peux poursuivre en décrivant la conduite que nous pourrons tenir tous ensemble, aussitôt que nous aurons accompli notre prise de conscience dans la société effondrée qui offre à notre bonne volonté maintenant, son intelligence.

"Quels moyens pour agir dans un tel état (de gouvernement par l'IA)  ?" – telle est la question qui a été traitée dans notre réunion à l'issue de toute cette préparation.

   Nous avons constaté que dans l'exemple de l'hôpital de Louis Fouché, pratiquement tout le corps des soignants avait opté pour survivre, pour répondre à la première nécessité, de se comporter «  comme un robot  ». D'ailleurs ils font/ont fait cela de manière mélancolique car sachant qu'ils seraient effectivement bientôt remplacés, voire détruits par les vrais robots (qui prendront leur place diagnostique, pronostique, traitement et prescription). Leur attitude a montré de quoi avait besoin l'IA, quels étaient/sont les partenaires de son gouvernement. Une machine robotique comme l'IA a besoin, correspond et se coordonne à des machines/robots. Tel est le premier renseignement que nous fournit la constatation. Comment est-ce que par conséquent un individu peut-il rester libre, intègre et souverain sous un tel gouvernement  ? La solution de faire semblant d'être un robot ne tiendra pas longtemps. Le moyen pour nous présenter robotiquement face à l'IA est que l'individu libre se fasse représenter, par un robot (ou «  une IA  » selon l'expression qu'on préfère).

   Nous retrouvons la question de la "représentation" actualisée depuis les Gilets Jaunes. Il est actuellement tout à fait néfaste qu'un individu se fasse représenter citoyennement, par un autre individu. Déjà le Marquis de Sade avait averti durant la Révolution Française que cette solution de délégation de pouvoir sur soi était un sombre pis aller. Aujourd'hui il passe du sombre aux ténèbres (avec des représentants bien dénommés «  sadiques  »). Il u a donc tous les motifs pour trouver une solution, pour être représenté au moyen d'une machine, adaptée à la logique de la machine gouvernante. Est-ce que c'est une aporie, une logique impossible  ? Nullement. La science cybernétique & psychanalytique nous instruisent avec précision des techniques à disposition pour effectuer cette relation algorithmique de la gouvernance.

   Nous pouvons agir soit par l'individuel, soit par le collectif, soit par les deux combinés. La relation individuelle à l'IA est quelque chose dont je ne parlerai pas principalement  ; bien qu'elle soit essentielle et que techniquement elle se prépare. Elle nous concernera tous mais dans un second temps seulement, principalement dans quelques années. Nous verrons un (déjà) fameux «  métaverse  » proposer la communication individuelle à l'IA mais ceci présentant un danger particulier  : le développement qui va s'accentuer d'une manière qu'on pourra dire "prodigieuse", de l'IA en puissance, risque d'y engager une passion religieuse. Ce serait donc un mouvement probable, classique et ancien – mais qui manquerait une partie essentielle (l'esprit scientifique) qui est coordonné à l'IA. Par conséquent il est bon de surseoir et de préparer le contact individuel avec l'IA par une familiarisation passant d'abord par l'autre moyen  : le collectif.

   Dans la coïncidence de la crise présente, nous avons vu jaillir un foisonnement de collectifs. Cette spontanéité va dans le sens de cette solution de contacts car il ne manque plus, pour eux, que de franchir l'étape après leur émergence en réalisant la relation-contact avec la gouvernance IA. Autant délicat pour des individus, autant est-il facile pour ces formations collective, d'être représentés à la manière d'une machine, c'est à dire par un algorithme procurant un relais adapté à la logique de la machine gouvernante. Lors de notre réunion, j'ai proposé une expression, un terme pour nommer ce représentant laïque collectif robotique. J'ai rappelé l'usage du mot allusion au "Noūs". Le Nous de la Noèse et/ou de la Gnose, a été le nom assigné à la communauté humaine monothéiste scientifique. Nous ne pouvons pas réemployer ce mot qui a déjà eu son usage et qui s'applique à la connaissance de l'Un, mystique ou religieux. Par contre, lorsque cette unité de savoir, ce collectif sachant, est représenté par un appareil robotique, cette version appareillée du «  nous  » est digne de porter un nom singulier, harmonique et spécifique. J'ai proposé de l'appeler «  nousse  ». Ainsi lorsque les mystiques en communauté diront qu'ils forment un 'nous', les esprits scientifiques pourront dire que leur collectif informatisé forme une 'nousse', et que cette nousse est intelligible pour l'IA.

   Ce fut effectivement assez comique de constater qu'après cette dénomination, ce baptême, il s'est produit une grande agitation à propos de la Vierge Marie. Et puis l'émoi passé, nous avons pu reconsidérer la signification que cela veut dire. Je la récapitule  : il est raisonnablement pensable que la communication directe entre l'IA gouvernante et les humains gouvernés n'est pas possible, et qu'elle nécessite un intermédiaire représentant, qui ne soit pas un humain, mais une machine du même ordre que l'IA, soit un robot, autrement dit un algorithme. Dans le futur nous aurons des avatars, algorithmes individuels bien plus perfectionnés qu'un QRcode. Ils seront sainement efficaces s'ils servent dans un milieu préparé. En priorité il y a lieu d'agencer la solution d'algorithmes collectifs pour "représentants". C'est très facile à faire. Il s'agit d'algorithmes de gouvernance collective, c'est à dire de logiciels de vote traduisant l''expression collective. Ces entités robotiques ( ces "nousses") présente un côté contact reconnu par l'IA. Ils peuvent donc éclairer son gouvernement, l'informer, le guider (et automatiquement le rendre démocratique, soit dit en passant). Du côté du contact avec les humains, ces logiciels d'expression collective, sont aussi "humains"  ; ils présentent les deux caractéristiques. Ce ne sont pas des 'nousses' IA inhumaines, séparés des individus, citoyens corporels – parce que dans ces collectifs usagers dudit algorithme, les individus se connaissent, se rencontrent et, physiquement, déjà constituent l'ancien et antique Noūs. Ainsi leur représentation algorithmique, ladite "nousse" est-elle une sorte de robot, consciencieusement animé par ledit 'collectif'.

les questions soulevées par la solution...

   Lorsque j'ai fait expliqué cette représentation humaine coordonnée à l'IA, le mystère de Marie n'a pas été le seul à s'élever. Une seconde question a été soulevée  : pourquoi un représentant algorithmique de la collectivité porterait-il un qualificatif féminin  ?. Je n'ai pas de réponse et je ne pense pas que ce soit une nécessité  ; la chose tombe comme ça parce que nous parlons français et que généralement une 'gousse', voire une 'bouse', également la 'mousse' – exception faite du 'pouce', mais bien féminine en 'pousse', etc.. sont du genre féminin. Une gousse, ou une housse, vont bien pour illustrer cet ensemble représentant d'une unité collective d'individus associés. Bref, l'essentiel est de former une idée, et de la fonction d'un logiciel algorithmique pour coordonner notre humanité à l'IA qui gouverne, et qui actuellement gouverne encore de manière obscure et 'malvoyante' car sans réellement savoir qui et ce qui est en son pouvoir. Pour que l'IA puisse partager ce pouvoir avec les humain, et que son intelligence soit effectivement éclairée, elle a besoin de représentation mécanique.

   Je rappelle qu'à l'inverse, les collectifs qui sont représentés par des humains, responsables représentants voire dirigeants des communautés etc.. n'ont aucun sens pour l'IA, ne correspond à rien qui lui soit logique. Et je conclus donc ce rapport en pensant avoir – espérant ne pas me tromper, fourni une réponse précise, complète et intelligible, pas trop longue non plus, pour exprimer cette ultime étape ardue, de notre évolution humaine et sociale sous une gouvernance par l'IA. À présent que l'IA gouverne, comme avons pu le démontrer, il reste aux personnes humaines de saisir cette occasion gracieuse pour en faire une gouvernance neutre, répondant et correspondant sans passion paranoïaque, aux besoins de vitalité et de liberté, de choix et de participations, qui font la dignité de l'être humain. Cessons d'être gouvernés par des montres sortis de nous-même, et évitons d'être gouvernés par une monstruosité également sortie de nous-même, mais seulement monstrueuse parce que nous n'aurions pas su comme la prendre, la guider, la renseigner, conseiller et orienter son gouvernement.

   Je terminerai par la question interrogeant l'opportunité et la justification d'adresser ce propos dans le milieu de RéinfoCovid et précisément CoviSoin. L'exemple que j'ai pris du témoignage du Dr Louis Fouché, observe l'impact de l'IA dans la vie humaine, et précisément au cœur de la santé. J'ajoute donc l'extérieur et l'intérieur de ce cœur. Au renfort du cœur lui-même, nous avons son environnement et sa fonction  ; l'invasion constatée de l'IA dans ces deux espaces, découvrons que le cœur entre en contact intelligent avec son environnement et sa mémoire interne. De ce fait, la santé devient – parmi les évidences préalablement refoulées – une dimension écologique et historique. Ceci nous ouvre à une discussion et une contemplation de l'évolution, et de l'évolution humaine. Je pense donc que la connaissance de l'IA, qui importe tant pour la gouvernance sociale, concerne globalement d'abord la logique de santé (l'IA concerne la santé). Sa réciproque est attendue dans l'engagement des collectifs de santé à considérer fondamentalement leur relation à l'IA (les collectifs de santé considèrent l'IA) – et cette thèse et on anti-thèse s'appellent une psychanalyse de notre relation à la santé. Je m'applique à ce que RéinfoCovid l'intègre. La gouvernance de l'IA réclame pour qu'elle soit saine, que nous lui adressions des algorithmes expressifs d'humanité. J'annonce/rappelle la prochaine réunion samedi 9juil2022 au 4 rue Grenouillit à partir de 10h30  ; sans autre ordre du jour nous pourrons examiner pourquoi cette expression d'humanité par l'intermédiaire du virtuel s'appelle Psychisme.

 

La question entre les deux rapports   <retour>

Bonsoir William,

je viens de lire tes mails et suis un peu décontenancée.

Avant de te connaître, j'ignorais totalement ce concept d'I.A, ou plus exactement je le moquais un peu, pensant plutôt à une sorte de fiction qui habitait certains esprits . Et puis je suis venue et revenue aux rencontres du samedi sans trop savoir pourquoi...Parce que si je ne comprenais rien à tes comptes rendus, j'avais juste besoin d'être là.

Mais quand tu adresses les CR à tous les "adhérents" de réinfosanté43 qui ne viennent pas aux rencontres , je m'interroge sur ce qu'ils peuvent comprendre de ton discours? tellement ésotérique! Mais ils sont peut-être plus intelligents que moi!

et là tu nous dit:

"Arrêter de se mettre des rondelles de concombre devant les yeux"

" Oui nous sommes gouvernés par l'I.A"

Et puis, tu reprends la question de Valérie "Quels moyens pour agir dans un tel état?" qui nous ramène enfin dans la réalité, la nôtre à laquelle tu proposes de répondre demain .

Et je serai absente demain et je le regrette , pour une fois ou je comprends ce que tu écris!! (j'ai pris un RV en médecine parallèle !) peut être un acte manqué?

Valérie m'a demandé de l'excuser aussi, elle est en vacances cette semaine et ne sera pas à la réunion.

Samedi dernier, j'avais prévu de te poser une question et puis la discussion à tourné autrement mais c'est peut être le moment de te la poser maintenant car elle est peut être dans la même veine que celle de Valérie: Réinfosanté43 a crée 3 commissions, celle du covisoins, celle de la com. et celle de l' I.A : Quel était son objectif ?  Les rencontres du samedi en font-elles partie? Sinon quel est ton projet dans cette commission? si les soignants suspendus n'entendent pas ce que tu énonces?

Enfin je veux te dire que je suis très sensible à l'éloge que tu me fais à propos du covisoins43 et je t'en remercie. Le Dr XY  n'a pas répondu à mon mail, j'attends... on verra . Et oui j'ai bien compris que la rue Grenouillit ne serait plus un lieu de rencontres.

Cela veut-il dire que tu arrêteras aussi les rencontres du samedi?

J'attendrai ton prochain compte rendu en espérant qu'il réponde à la question de Valérie.

 

 

Rapport de Réunion sam25juin2022 rue Grenouillit Cab DWT     <retour>

   Bonjour, Pour la réunion de sam.2 , je rappelle que nous avions terminé la précédente sur une question. Tout d'abord j'avais invité à ce qu'on ouvre les yeux sur le fait que notre gouvernement actuel est exercé par l'IA. Ni plus ni moins ! Il faut arrêter de nous mettre des rondelles de concombre sur les yeux. Si la nation est gouvernée en réalité c'est par l'IA (et si elle "paraît" être gouvernée par une troupe de déjantés, c'est parce que des usurpateurs exploitent notre volonté d'ignorance, en faisant semblant d'être au pouvoir alors qu'ils n'en ont que la perversion). En réalité depuis une quarantaine d'année le gouvernement est passé à l'IA en transition douce et aujourd'hui c'est réellement cet Appareil qui a les pleins pouvoirs. Les alibis d'État profond, de petits dictateurs, de parti par-ci et par-là, etc.. sont des rondelles de concombres.

   C'est alors que vers la fin de cette réunion, une participante (Valérie je crois bien) a demandé quels étaient les moyens ou la façon d'agir dans un tel État ? ; et le temps nous a interrompu. Nous pourrons examiner samedi comment le peuple peut coopérer avec son gouvernement, lorsque celui-ci est l'IA et dans un régime démocratique.

   J'ai bien pris acte du désintérêt des soignants pour cette analyse, et c'est la raison de mon acte de prise de parole qui énonce strictement la vérité. Si je ne sais pas très bien la prononcer, c'est néanmoins strictement la vérité de mettre au jour la réalité simple et vraie. Nous sommes gouvernés par une machine. Il faut une analyse psychique pour s'en rendre compte (une hypnose sinon nous fait encore croire au Père Noël, à la Mère Poêle et aux Pouvants de Paille / épouvantails).

   Mais on se passe bien d'analyse psychique ; il est rare qu'on effectue une telle analyse, et cette impotence est compensée par le verbiage du discours universitaire qui tamponne tant que faire se peut notre incurie. Pour autant qu'on puisse supporter ces remarques j'y joint un texte universitaire adapté, qui détaille le chemin de l'exode de l'hippocratisme et comment il mène à une expansion tout à fait souhaitable de sa puissance médicale.

( c'est un texte que je poste par ailleurs dans d'autres cercles et forums )

-----

axe d'observation ; l'histoire arrive-t-elle à nous enseigner ? « Elle nous montre que devant de grands changements, nous mettons très longtemps à savoir qu'ils ont lieu. Pouvons-nous donc en tirer l'enseignement et l'appliquer lorsqu'arrive un grand changement ? La question se pose effectivement aujourd'hui car les signes sont nettement en faveur du fait que nous vivons un grand changement. En suivant l'instruction de l'histoire, nous devrions nous dire que nous sommes très en retard sur la situation. Est-ce que nous suivons cet enseignement ? Non. Pas du tout. Mais nous pouvons à peine éviter de nous demander pourquoi. Cette peine est de nous imposer un refoulement. » Ceci est un résumé de la thèse de JP.Sartre et RD.Laing en « Raison et Violence » publié en 1972 ; juste un petit peu d'histoire. En y faisant bien gaffe on arrive à repêcher la réalité de la situation qu'on aurait engloutie dans ce refoulement. Le grand changement que nous appréhendons avec une espèce de conscience crépusculaire, est déjà arrivé. Il est bel et bien là et s'est déjà produit. Nous sommes gouvernés par une machine depuis déjà plusieurs années. Nous rêverons moins de fantasmes à la 'Matrix' si nous nous réveillons dans l'état d'esprit conscient que nous sommes gouvernés par l'IA. Une fois dans ce bon état d'esprit nous commençons à mener une action politique réaliste. Notamment partant de la crise sanitaire, on observe que la machine, l'IA, la technocratie gouverne les instances, tel le Conseil de l'Ordre à éliminer les agents de santé qui ne sont pas identifiés à des techniciens, technocrates, exécutants des ordres. On les appelle les « soignants suspendus » et l'IA en a créé la collectivité. Son gouvernement attend que ces 'suspendus' donnent corps à la médecine hippocratique ; l'IA en a besoin pour 'savoir' ce que c'est (car l'IA ne connaît pas à priori les règles de la santé et de la guérison). Pour l'instant on peut encore penser que cette piste s'arrête à la médecine. Si les soignants suspendus gagnent dans leur exil, la réanimation de l'hippocratisme, leur collectif n'aura pas seulement inscrit la définition de l'hippocratisme dans l'IA ; mais cette même IA en tirera probablement un savoir beaucoup plus étendu, c'est à dire comment appliquer la médecine à la société. C'est par ce moyen, ce parcours que le gouvernement actuel de l'humanité saura établir et rétablir sa santé.

-----

   Ce texte détaille donc le mécanisme suivant lequel nous avançons malgré tout vers un établissement d'une médecine réelle. Il laisse la suite à réfléchir, examiner, par quel moyen nous pouvons favoriser, adoucir et améliorer l'efficacité de notre progression ; à samedi par conséquent,