Dr William Théaux-Neirynck

Présentation*

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* : Texte de la vidéo

Cette mise à jour de ma présentation professionnelle m'a demandé plusieurs mensualités tant une sorte de chaos s'est installé, du moins dans les affaires médicales que je connais. Avant de préciser les choses actuelles, il est nécessaire de signaler que je suis psychiatre, psychanalyste depuis une quarantaine d'années environ. On peut y ajouter psychohistorien et cybernéticien – parce que je suis spécialiste d'une certaine interprétation de l'origine de notre civilisation et parce que je me suis aussi dédié à l'écologie et de là je suis devenu cybernéticien, parce que la cybernétique se définit comme la science des relations et de leur contrôle entre les machines et les êtres vivants – ce qui me semble être la plus complète et réaliste définition de l'écologie à notre époque.

Cependant, ces deux domaines, il y a trente ou vingt ans, n'étaient pas habituellement liés à la psychiatrie et, du fait que je m'y sois avancé considérablement, voire que j'y ai fait des découvertes ou introduit des novations, m'a rangé parmi mes confrères, dans la marge des extravagants. C'est quelque chose que je garderai jusqu'à la fin de mes jours tandis que pourtant, ceux qui ont voulu y faire attention, lors de mon parcours, ont estimé que j'avais plutôt touché à des énigmes centrales. C'est pourquoi je continue à dispenser mes soins pour qui voudrait se renseigner et bénéficier de ce que je peux apporter.

Il faut donc que j'explique pourquoi je suis interdit d'exercer – je veux dire, la 'psychiatrie', tandis que je continue exactement ce que j'ai fait depuis quarante ans dans la forme de la psychanalyse. Voici une formule que chacun d'un certain bord reconnaîtra. ____ Il s'agit de la raison pour laquelle un certain nombre de soignants dont je fais partie ont refusé une injection surnommée vaccin mais qui n'en avait que le nom, puisque c'était une nouvelle technique de traitement génétique qui mettait certainement les gens à risque – et seulement peut-être les protégeait. J'ai repris cette formule parce qu' ____ elle a été dernièrement employée par le ministre français de la santé ; pour un usage tout à fait contraire.

Cette indécidabilité du sens des choses non seulement fonde qu'on soit les uns libres et les autres libres d'obéir, mais elle est typique de la psychiatrie – qui a pour principal objet la raison – et plus généralement encore, typique de la médecine ; car face à la maladie il n'y a pas de bons médecins qui pensent détenir la vérité ou suivre des protocoles, comme on dit, "à la lettre". J'ai donc pensé que cette responsabilité (du médecin) était la liberté, comme nos 'responsables' avaient pour responsabilité celle d'opprimer. En plus des quatre titres déjà mentionnés j'ai donc ajouté une cinquième expression de ma vocation. Pour l'introduire, sachez simplement que sa partie psychohistoire s'est appuyée sur une œuvre de la Révolution Française, d'un dénommé Fabre d'Olivet qui a écrit à Paris La Langue Hébraïque Restituée. Je ne fais que le citer, en hommage mais pour expliquer le titre que j'ai donné à cette cinquième spécialisation : d'Hippocratisme Restitué. On comprendra ainsi ce qui me motive. Nous sommes un des derniers, voire le dernier pays au monde paraît-il à ne pas réintégrer des soignants comme nous dit le ministre avec sa puissante formule. Je veux bien le croire, comme je l'ai dit et j'applaudis même son président qui fait ainsi briller la France. Car je me base sur cette image que nous connaissons tous, du Titanic et je pense que si l'Arche de Noë avait fait un naufrage le Capitaine ou Noë aurait tout fait pour que des passagers se sauvent. Or les soignants qui ne souhaitent qu'être réintégrés sont comme ceux des barques de sauvetages qui ne penseraient qu'à remonter sur le navire en perdition. Personnellement, et c'est pourquoi je soutiens cette présidence qui a fichu tant de soignants à la mer, je défends à présent qu'ils s'éloignent de cette médecine qui chavire et restituent l'hippocratisme dans son indépendance – fut-il sur une île futile qu'ils trouveraient déserte, en apparence. Je continue donc non seulement à dispenser mes soins mais aussi je formule les conditions du sauvetage de l'hippocratisme.

Je mène donc – on l'aura compris – une action plutôt originale et je continue à être marginal car la mode à présent est plutôt à l'obéissance. Mais puisque je demeure professionnel, il faut que je rende compte des raisons de mes choix et préconisations. C'est une réflexion qui m'a guidé dans mon parcours ces deux dernières années de crise où j'ai participé à des collectifs, du Dr Fouchet entre autres et politique avec le Dr Wonner. L'observation, que j'ai dite tout à 'heure, soutenue de l'écologie, de la cybernétique et de la psychohistoire, me fait penser, et croire plus probable que le contraire, que nous sommes actuellement en réalité, réellement, depuis quelques années à présent, gouvernés purement et simplement par l'Intelligence Artificielle. L'IA est, présentement, notre gouvernement – et nos gouvernements anciens, par des politiciens, des institutions et administrations d'état, sont passés dans le rôle de semblants comme par exemple, je ne sais plus quel président américain qui était un acteur de cinéma. Comprenons-nous bien, le cinéma est une chose très sérieuse, très influente. Mais ce n'est pas un gouvernement. Il existe un gouvernement – qui était dépeint d'ailleurs par le cinéma, appelé à l'époque de science-fiction – actuellement pas fictif le moins du monde, mais qui est celui de la nouvelle société humaine, et qu'on appelle IA ou cybernétique. C'est elle qui nous gouverne à présent. La plupart d'entre nous ont du mal à l'admettre, ne l'imaginent même pas. Mais je pense que c'est la réalité des choses, et si c'est la réalité de notre situation, c'est précisément une des fonctions prééminentes de l'hippocratisme de s'appliquer à ce cas d'invasion et d'en traiter la psychologie collective. Je viens de publier mon rapport en ce sens. J'y expose comment un hippocratisme convenablement restitué prévient et soigne les dommages consécutifs à cette gouvernance ignorée.

Sans doute cet aspect de ma pensée qui s'applique aux corps sociaux des individus ne m'attirera pas un grand nombre de patients, mais pour ceux qui auront une pointe d'idée que nous soyons déjà dans ce monde dont on parlait au futur, pour ceux-là j'aurai expliqué d'une manière sensée ce à quoi l'hippocratisme est destiné et pourquoi la politique qui l'a banni s'engloutit dans le passé.