Patrice Hernu :
Fondamental I : Boucles quantiques et nu-un primordial
Cet article est le début d'une présentation plus systématique de mes
propres conceptions qui relient la physique fondamentale à la lecture que
je fais des allégories antiques et de la science léguée par les
ancêtres des égyptiens, sumériens et peut-être mayas. Ces conceptions
doivent beaucoup à certains amis comme Jean-Pierre Garnier-Malet, Laurent
Notale, Gildas Rouvillois et les théoriciens les plus avancés des
cordes. Je ne suis pas un physicien. Mes conceptions sont parfois
différentes et peut-être eux-mêmes pousseront des cris. J'essaie de
toujours citer les emprunts par honnêté même si je suis parfois très
loin de leurs idées. En fait, j'essaie de voir comment la tradition a
maintenu le legs ou l'a perdu. Par exemple, je proposerai si j'ai le temps
une nouvelle lecture de Démocrite
dont les atomes sont en fait plus proches des boucles qui sont le
sujet du jour que des atomes classiques. Dans des articles postérieurs,
je tenterai d'aller plus loin en reparlant des sujets classiques avec ces
nouveaux concepts : matière noire, énergie sombre, déchirure du tissu,
vers, dédoublement, etc. Vous n'êtes pas obligé de me suivre ni de me
croire. Je ne diffuse pas une vérité. J'explique simplement, en essayant
d'être clair, celle que je comprends, en me trompant parfois et, dans ce
cas, en rectifiant sans fausse honte !
Comme je soumets ce papier à quelques amis, il se peut que je corrige ou
fasse mention de leurs observations progressivement. Les références
d'articles scientifiques viendront. Pas de panique.
Les tenants de la théorie des cordes tiennent le devant de la scène.
Elle s’est imposée par la puissance des calculs qui l’a rendue
flatteuse pour les physiciens qui ont pu ainsi justifier l’achat de ces
monstres numériques. Mais ce temps risque d’être révolu car bien des
découvertes récentes se font de manière plus simple. Comme ce lycéen
de 14 ans qui a remis en cause par une simple application informatique les
calculs sur les galaxies naines. Avec les minuscules filaments, les branes,
qui seraient à la base de toute matière, les « cordistes » ne sont pas
réellement parvenus à une vision englobant tout de l’infiniment
petit à l’infiniment grand.
Pourtant ces théories se sont révélées très fécondes, capables de
décrire les quatre forces de l’Univers, y compris l’équation de la
gravitation d’Einstein. Même chose pour les trous noirs dont Stephen
Hawking avait prédit dès 1970 l’évaporation progressive, résultat
que la théorie des cordes a retrouvé par le calcul en 1997. En
introduisant le modèle de la super symétrie dans la théorie, elle est
passée à la théorie des super cordes, permettant de passer de 27
dimensions à 11 dans la théorie standard. La découverte du boson de
Higgs semble avoir conforté ce succès, d’autant qu’elle permet d’espérer
avoir un accès au pré big-bang et donc éclairer le débat sur les
origines de l’Univers et de la création.
Alors, quel est le problème ?
Le hic principal est qu’avec toutes ses dimensions et constantes, cette
théorie donne une telle liberté qu’elle permet de concilier tout et de
prédire ce qu’on veut. A côté du photon, elle prédit le graviton,
dont du coup la nature ondulatoire et corpusculaire permet de tout
concilier. Mais, dans le même mouvement, la théorie prédit quantité d’autres
particules. Pour tenter de revenir vers les 37 particules recensées ou
conjecturées (12 fermions de matière, 13 bosons dits de force et 12
particules d'anti-matière), il faut ajouter des contraintes. Or dans ce
cadre contraint, les calculs ne permettent pas d’obtenir la masse des
particules qui en ont une comme les quarks et les électrons. On est donc
loin de faire émerger l’ensemble des composantes du modèle standard.
Par ailleurs, dans l’ensemble des univers possibles que ce modèle peut
faire entrevoir, rien n’est dit de ce qui fait émerger le nôtre. D’où
des discussions sur les univers successifs ou parallèles et le hasard
merveilleux qui veut que nous existons… dans le bon !
Ayant suscité l’enthousiasme chez beaucoup parce qu’elle
correspondait aux nouveaux outils que le développement des sciences, des
techniques et des calculateurs, elle est apparue à certains plus comme un
outil spéculatif auquel toute modélisation pouvait être demandée mais
non comme une représentation d’une réalité quelconque.
Cette situation a conduit quelques groupes, voire groupuscules, à se
poser autrement la question de l’unité des théories quantiques et
relativistes, en repartant des raisonnements historiques qui ont conduit
à la grande divergence et en revisitant les concepts de base de chaque
camp par ceux de l’autre afin, en quelque sorte de retrouver une
continuité historique commune perdue.
J’ajouterai à titre personnel qu’il peut être utile de retrouver
trace dans les allégories léguées de concepts pouvant s’insérer dans
les idées les plus simples et les plus fortes de la tradition (cf. Figure
ci-dessous et explications dans la dernière partie du texte).
Pour mon ami Jean-Pierre Garnier-Malet, l'alphabet
grec n'est ni plus ni moins qu'un modèle comportemental des particules.
Je partage cette opinion. En tout état de cause, il est à l'origine de
la kabale et de la guématria. Ici démonstration par la source, la lettre
nu, de poids médian (50) et de rang 13. Ouverte, elle donne naissance à
"UN" qui contient le "Deux" comme dit Saint Jean... et
bien d'autres avant lui !
Un petit groupe, celui des «
bouclistes » suit au fond un chemin de ce type assez proche d’un
Garnier-Malet, consistant à revenir aux fondamentaux de la relativité
générale tout en essayant de voir ce qui, dans le passage de la
relativité restreinte à la relativité générale, ouvre le gap.
Une idée majeure d’Einstein revient à considérer comme
consubstantiels l’espace-temps et le champ gravitationnel. Cette idée
est somme toute assez proche de celle qui sous-tend l’approche très
personnelle de Jean-Pierre Garnier-Malet qui considère qu’à
chaque transformation de la gravitation correspond un espace-temps
différent, dédoublé, dont les constantes sont différentes et se
déduiraient par une loi dite du dédoublement,
ce qui l’a conduit à réintroduire l’objet de la physique quantique
dans le concept par exemple d’horizon
d’une particule. Cette approche n’est pas éloignée non plus
de ce qui, d’après ma propre conjecture, se cache ou s’est perdu
derrière le concept antique de nu-un
ou de soupe primordiale et de l’incursion potentielle de son propre
horizon de division. Ce que le symbole du Yin et du Yang
représente également : il n’en est sans doute qu’une lointaine
allégorie. Je reviendrai sur ces analogies qui s’entre fertilisent.
Mais ici, je me contente d’abord de présenter la démarche des
bouclistes, évidemment telle que je la conçois !
Peut être une image de texte
Répondre2 j
Serge Chappellaz
La représentation usuelle du champ gravitationnel est très séduisante.
Elle a peut-être induit en erreur les physiciens. Certains se demandent
aujourd'hui si elle ne revient pas à expliquer la gravitation par... la
gravitation d'où sa coupure irrémédiable avec la théorie des quanta
pourtant imaginée également par Einstein qui semble y avoir malmené ses
neurones !
Quand on explique l’équivalence entre gravité et espace-temps, le plus
souvent l’espace-temps est représenté comme un tissu qui se déforme
sous l’effet des masses qu’il supporte (image ci-dessus). Ceci revient
à dire qu’au fond la gravité n’existe pas réellement en tant que
force autonome et n’est qu’un effet de la courbure du tissu
spatio-temporel. Cette inversion relativiste apparente nous trouble déjà
suffisamment pour que nous n’allions pas plus loin. Mais comme je l’ai
souvent fait remarquer, cette représentation prend la forme d’un
sophisme. Nous avons déjà assez de mal pour comprendre que l’espace n’est
pas ce plan euclidien plat de nos mathématiques triviales mais un lieu
topologique à la géométrie changeant selon la répartition de la
matière, pour ne pas nous interroger immédiatement sur la nature de la
force multi-orthogonale qui précisément déforme le tissu et crée l’attraction
des éléments seconds dans le sens de la déformation du tissu. Nul ne
voit à ce moment qu’en réalité, ce que les interprètes d’Einstein
ont appelé inversion des termes
n’est en réalité qu’une expression duale de la force qu’ils
pensent avoir rejetée !
Les bouclistes, comme d’ailleurs les thèses sur l’horizon des
particules ou la compréhension claire des thèses gréco-égyptiennes
avant l’idolâtrie religieuse, nous proposent de revenir en arrière sur
cette représentation qui fait sensation dans toutes les vidéos.
L’équation d’Einstein (cf. détail dans les références au pied de
l'article), plus complexe qu’elle ne semble à sa simple lecture, peut
en effet se lire dans les deux sens. En clair, au lieu de voir la gravitation
comme la résultante de la déformation du continuum d’espace-temps
sous l’effet de son contenu en masse-énergie (partie droite), pourquoi
ne pas envisager que l’espace-temps
ne soit en fait que l’expression d’un champ, le champ
gravitationnel ?
Si cet espace-temps devient manifestation [du
désir/gravita], apparence, du coup, il perd son
statut d’objet central de la relativité, lequel créait une rupture
radicale avec les autres conceptions de la physique fondamentale non
relativiste.
En effet, la notion de géométrie paraît difficile à concilier avec les
thèses quantistes mais pas les notions de champ de force d’où peuvent
tout émerger, y compris des représentations de l’espace et du temps
qui pourraient supporter une représentation géométrique exacte ou
approchée. Mais qu’est-ce qu’un champ dans ce cas ? Est-ce
fondamentalement différent d’une géométrie dès lors que James
Maxwell l’a défini dès le 19ème siècle comme une grandeur qui «
varie de manière continue dans l’espace et le temps » ? On tournerait
un peu en rond. Les bouclistes proposent d’en revenir en fait aux
intuitions encore antérieures de Michael Faraday qui imaginait des lignes
qui sortent des charges électriques pour en rejoindre d’autres, non pas
des représentations, mais des lignes réelles, à l’image de la
limaille de fer dispersée autour d’un aimant, mais physiquement
constituées pour leur part.
Les lignes se resserrent ou
se distendent selon la force électrique ou magnétique par incursion dans
les autres champs générés par les forces. Lorsqu’il n’y a pas de
charges (image de l’électricité) ces lignes se referment sur
elles-mêmes pour former précisément une boucle.
Les bouclistes sont partis de l’idée qu’en fait le champ
gravitationnel entrait dans le même type de schéma. Les objets
contenus ouvrent et ferment ces boucles qui créent un tissu enchevêtré,
et maillent les relations entre objets. L’idée qui change tout est que
ces lignes, ces boucles qui vont se coaguler dans un champ, préexistent.
Elles préexistent à tout espace qui n’est qu’une émergence
progressive de cette soupe primordiale de boucles (qui peuvent par
ailleurs se diviser et dans certains cas se coaguler par incursion ou
excursion - cela, c’est moi qui le rajoute pour opérer le pont avec d’autres
conceptions -)
La notion d’espace traditionnel perd tout sens puisque la trame devient
non seulement dynamique, - et donc on ne peut pas localiser une particule
« non fixée », elle n’a pas de place, juste une probabilité - mais,
de plus, elle se superpose, s’incurse, s’excurse, à d’autres trames
(elles aussi émergentes) qui expriment d’autres champs comme le champ
électrique par exemple.
En tirant tout le parti possible de cette idée « renversante », Carlo
Rovelli, physicien italien (Université de la Méditerranée à Marseille)
et Lee Smolin (Canadien, Institut Perimeter) sont allés aussi loin que
possible jusqu’à se rendre compte, qu’il fallait aller jusqu’au
bout de ce renversement et en revenir aux notions de base des cordes, de
la théorie quantique et peut-être on le verra à d’autres approches
qui me sont chères.
Combien y-t-il de lignes (ligne de boucles ouvertes et coordonnées) entre
deux objets qui vont subir l’effet apparent d’un champ gravitationnel
? Si, en fait, il n’y a ni espace continu qui soit le contenant, ni
éther, ni vide, ni quoique que ce soit, il doit forcément exister
quelque de « défini », à défaut d’être « fini », bref quelque
chose qui soit l’Unité a priori indivisible qui autorise une mesure ou
une métrique au sens le plus large du terme.
Ces premiers « bouclistes » ont montré que les équations quantistes
pouvaient être appliquées à une représentation de « l’espace » de
cette nature. Et donc il est possible de calculer les niveaux d’énergie
d’un atome d’hydrogène mais aussi, bonus, les valeurs possibles de ce
champ gravitationnel ainsi redéfini, c’est-à-dire, en clair, les
différents niveaux de longueur qui vont caractériser la distance
dynamique entre deux objets. Carlo Rovelli et Lee Smolin ont réussi cet
exploit conceptuel en 1994.
Ainsi, même s’il reste possible de discuter des conjectures qu’ils
ont prises pour y parvenir, de la même façon qu’il est loisible de
discuter des multiples jeux de paramétrages de la théorie des
hyper-cordes, ils ont implicitement démontré, conséquence immédiate,
que l’espace n’est pas continu mais constitué de « grains », de
parcelles unitaires.
Il est également possible de caractériser les
grains de cette soupe.
Vu de ce que j’ai coutume d’appeler notre espace incarné, un espace
émergent et non pas immergé contraiement à l'image usuelle qu'en donne
la théorie des cordes, sa taille est de 10**-33 cm[1], sa surface
projetée de 10**-66 et son volume « incarné » de 10**-99 cm. Nous
rediscuterons de ces valeurs par rapport aux échelles de Planck.
Evidemment, il en est de même pour le temps, ce qui permet de
caractériser les fameux « instantons » qui, pour l’approche de
Jean-Pierre Garnier-Malet sont déterminants pour la définition de l’horizon
d’une particule et que nous appliquerons ici, sans son accord[2], de
manière sans doute encore plus simple, à une boucle.
Oublions donc le temps s’écoulant de façon continue, oublions même l’artifice
auquel je recours souvent pour expliquer pourquoi le temps a une signature
négative dans la métrique lorenztienne[3] et la nécessité de l’orthogonalité
du temps par rapport à R3. Pensons à un réseau dont le tissu
enchevêtré émergent, vu de R3, se modifie, donc « apparemment », au
gré des champs que la
présence dynamique d’éléments, eux constitués d’ensemble de
boucles[4], fait émerger comme un nouvel « ordo ab chao » à tout
instant. Non pas à tout instant mais à tout instanton. C’est-à-dire
que l’ensemble des boucles « mutent » leur spin et leur spinback[5],
selon une horloge réglée par son propre horizon[6], en même temps, ou
dans une
épaisseur de temps qui rend cette mutation perceptible,
tandis qu’entre deux mutations ou spin, les horizons incursés ou
excursés dont les boucles synchronisées sont les déterminants, sont eux
imperceptibles[7].
Il n’y a pas de demi-changement ou de quart de changement des boucles. A
la manière du tic-tac d’une horloge, ce que nous appelons temps s’écoule
par saut. Mais il n’y a pas de mesure autre de ces battements que le
fait qu’ils sont coordonnés entre horizons. De la même façon que la
lumière apparaît en synchronicité de manière indépendante de l’observateur
pour que la connaissance soit cohérente et qu’il existe donc une sorte
de champ de la connaissance rationnelle qui émerge en même temps en
quelque sorte que la lumière, il existe une synchronicité
de ces battements au sein des boucles qui partagent un même horizon, et c’est
d’ailleurs celle-ci qui permet l’émergence de celle de la lumière.
La théorie des boucles rendues compatible avec les observations
expérimentales permet donc d’évaluer le cadencement apparent de l’horloge
quantiste dans notre monde émergé ou incarné à environ 10**-44
secondes[8].
Avons-nous les moyens sinon de « voir » ces grains[du
semblant, du moins d’en observer la trace d’une
manière ou d’une autre ?
Pouvons vérifier que cette construction et cette réconciliation d’Einstein
et de Planck, du chat de Shrödinger et des bolides péri-terrestres de
Hawking, correspondent à une
réalité granulaire expérimentale et non à une carte astucieuse, à un
nouveau modèle qu’on confondrait avec la territoire de la création
?
Certains cosmologistes, les nouveaux physiciens du 21ème siècle qui
comme leurs lointains prédécesseurs testent les idées des spéculateurs
en observant la marche des étoiles, pensent que la vérification est
possible. Que la synchronicité des champs étant générée, et non une
donnée ex cathedra, l’examen de la lumière venue de galaxies très
lointaines devrait apporter une mesure de la dispersion lumineuse ou
particulaire que produit l’enchaînement quasi infini des boucles qui
nous en séparent. Actuellement, nous ne sommes pas capables de détecter
une granularité inférieure à 10**-29[9]. Il reste donc à gagner un
facteur 10000 pour atteindre la finesse d’observation nécessaire. L’espoir
n’est pas totalement interdit même si c’est l’extrême limite des
conjectures possibles.
En effet, la théorie quantique à boucles permet d’imaginer un
scénario plus simple et réaliste de l’univers ayant précédé le
nôtre[psy].
Il se serait effondré sur lui-même, du fait même du mouvement de
dédoublement qui produit des accélérations et des ralentissements de l’expansion.
Ainsi, lorsqu’un densité dépasse 1000 milliards de masses solaires
dans une topologie émergée de la taille d’un proton, la gravitation
devient répulsive, toute cette région absorbant son propre horizon
temporelle[10]. Il résulte normalement que toute information relative à
l’univers auto-incursé est détruite dans l’horizon des boucles
faisant émerger la nouvelle topologie. Il y a donc un rebond, la
gravitation négative se superposant à un nouveau champ positif au fur et
à mesure du rebond[11]. Mais, de ce fait, on peut penser qu’il y a une
limite à la remontée vers la soupe primordiale. Elle ne correspond pas
forcément à la limite liée à la dimension des boucles et aux
interstices non perceptibles du temps. Il reste que voir la « scène
primitive » nous est peut-être réellement interdit pour des raisons qui
tiennent tout simplement à la structure des boucles.[c'est
pas rien de le dire]
Une structure toute simple qui est faite du « 1 » et du principe de
division qui à chaque cadencement de l’horizon ouvre ou ferme la
boucle, ce qui dans un horizon de type R3 plus le temps, aboutit aux spin
et spinback successifs qui commandent le dédoublement, les deux forces de
base, devenues quatre dans l’espace complet et les propriétés des
horizons.[12]
C’est cette boucle primordiale du tissu de la soupe primordiale que les
égyptiens appelaient nu-un[13] et que représente le couple (1-Principe
de 2, cf. image plus haut dans le texte) et la lettre nu de l’alphabet
grec, lettre de la bifurcation[14]. En s’accrochant lorsqu’elles s’ouvrent,
ces boucles modifient le tissu et les champs qu’il génère. Les boucles
fermées restent dans la soupe primordiale et disponibles indistinctement
pour tous les horizons, car elles n’ont ni taille, ni temps avant d’être
incarnées.
Ordo ab chao.
Patrice HERNU
8 janvier 2013
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