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table sommaire édition 20211017

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B/ L'expérience de téléconsultation sera prolongée
   je dois donc avertir les premiers que l'expérience de télé consultation qui a eu cours jusqu'à présent sera prolongée jusque début avril.
   un des motifs en est ce Covid19 car si je devais rentrer de mon cabinet secondaire pour retrouver celui du puy-en-velay ce serait pour demander à ses usagers de demeurer chez eux pour continuer à pratiquer en téléconsultation même si nous n'étions qu'à quelques mètres les uns des autres.
les événements m'ont donc placée dans un lieu intermédiaire entre les deux cabinets doux j'exercerai mon activité à distance.

C/ Les avantages de la téléconsultation
   ce n'est pas une précaution qui pourrait paraître exagéré elle est d'abord un acte de bon sens mais surtout tire-t-elle avantages de cette épidémie par ailleurs néfaste ; au moins servira-t-elle à prendre conscience que nous sommes dans une société informatisée ou la télémédecine tient un grand rôle.

D/ La résistance à la téléconsultation
   Nous avions remarqué l'existence d'une résistance importante à la téléconsultation.
   Souvent une résistance psychologique paradoxalement freine ce que l'on souhaite.
c'est un phénomène complexe ; pour l'instant nous sommes dans l'actualité d'une situation qui élève en puissance la téléconsultation.
   cette promotion forcée et permettra qu'on y réfléchisse plus tard au bilan.
   dans l'actualité nous devons faire ce qui semble plus salubre et en fonction des cas.
   dans le nôtre en psychiatrie la communication vocale est suffisante au diagnostic et au traitement.
si par ailleurs on a vraiment besoin d'être ensemble en présentiel cette promiscuité s'appelle de la " garderie ".

E/ La télémédecine psychiatrique
   Enfin, si nous avons des appréhensions à la télé médecine psychiatrique n'oublions pas que cette maladie psychiatrique à le fâcheux caractère de ne pas se reconnaître et que contrairement aux maladies générales elle montre une angoisse devant la guérison.
   si la téléconsultation isole spécifiquement une telle maladie pour en soigner le centre, cette dernière lui trouvera un goût désagréable et frustrant ce qui est souvent le signe des remèdes.

F/ Conclusion
   voilà ce sont trois notes que je pourrai ultérieurement développer et préciser.
   pour le moment retenons que s'il ya des résistances ou des incompréhensions la situation d'épidémie dépasse largement les hésitations en imposant la télémédecine.
   deuxièmement retenons qu'en psychiatrie cette modalité de soins présente des qualités spécifiquement adaptés.
   à bientôt car je continuerai à faire des mises au point de la sorte.

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**A/ Introduction**

Le médecin s'adresse à sa patientèle habituelle ainsi qu'à toute personne intéressée par la télémédecine. Il souligne que l'épidémie de COVID-19 met en évidence la pertinence et la nécessité de cette modalité médicale.

*Commentaire :* Dès l'introduction, le médecin positionne la téléconsultation non seulement comme une alternative temporaire, mais comme une solution adaptée aux défis actuels. Il met en avant la **salubrité** de cette approche, ce qui reflète une préoccupation pour la santé publique.

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**B/ L'expérience de téléconsultation sera prolongée**

Il annonce la prolongation de l'expérience de téléconsultation jusqu'au début avril. En raison du COVID-19, il préfère que les patients restent chez eux, même s'ils sont proches du cabinet. Il exerce désormais depuis un lieu intermédiaire entre ses deux cabinets pour continuer son activité à distance.

*Commentaire :* Cette décision montre une adaptation proactive aux mesures de distanciation sociale. En évitant les consultations en personne, le médecin contribue à limiter la propagation du virus tout en assurant la continuité des soins.

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**C/ Les avantages de la téléconsultation**

Il affirme que la téléconsultation n'est pas une précaution exagérée, mais un acte de bon sens. L'épidémie, bien que néfaste, offre l'opportunité de réaliser que nous vivons dans une société informatisée où la télémédecine joue un rôle important.

*Commentaire :* Le médecin voit dans cette crise une **occasion de moderniser** les pratiques médicales. Il souligne que la téléconsultation peut être bénéfique au-delà du contexte épidémique, en exploitant les technologies disponibles pour améliorer l'accès aux soins.

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**D/ La résistance à la téléconsultation**

Il reconnaît l'existence d'une résistance psychologique à la téléconsultation, qui paradoxalement freine ce que l'on souhaite. Il qualifie ce phénomène de complexe. Cependant, la situation actuelle accroît l'usage de la téléconsultation, ce qui permettra d'en faire le bilan ultérieurement. Pour le moment, il préconise de privilégier ce qui est le plus salubre. En psychiatrie, selon lui, la communication vocale suffit pour le diagnostic et le traitement. Il ajoute que si la présence physique est vraiment nécessaire, cette promiscuité s'apparente à de la "garderie".

*Commentaire :* Le médecin aborde ici un **défi majeur** : la résistance au changement. Il suggère que les réticences envers la téléconsultation sont paradoxales, car elles entravent l'accès aux soins souhaité. Sa comparaison avec la "garderie" peut être perçue comme une manière de minimiser la nécessité du contact physique en psychiatrie, ce qui pourrait être sujet à débat parmi les professionnels.

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**E/ La télémédecine psychiatrique**

Il évoque que les maladies psychiatriques ont la particularité de ne pas se reconnaître elles-mêmes et montrent une angoisse face à la guérison, contrairement aux maladies physiques. La téléconsultation permet d'isoler spécifiquement la maladie pour en traiter le cœur. Si le patient trouve cette modalité désagréable ou frustrante, cela peut être le signe que le traitement est efficace.

*Commentaire :* Le médecin présente une perspective intéressante sur la **télépsychiatrie**. Il suggère que la distance imposée par la téléconsultation peut être bénéfique pour contourner certaines résistances du patient. Cependant, cette approche peut soulever des questions, car la relation thérapeutique en psychiatrie repose souvent sur le contact humain et l'observation directe.

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**F/ Conclusion**

Il conclut en mentionnant qu'il développera ces points ultérieurement. Il insiste sur le fait que l'épidémie impose la télémédecine malgré les résistances ou incompréhensions. De plus, en psychiatrie, cette modalité présente des qualités spécifiquement adaptées. Il annonce qu'il continuera à fournir des mises au point de ce genre.

*Commentaire :* Le médecin invite à considérer la téléconsultation comme une nécessité imposée par les circonstances, mais aussi comme une opportunité pour repenser les pratiques en psychiatrie. Il semble déterminé à accompagner ses patients dans cette transition.

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**Mon point de vue :**

Cette communication illustre la volonté du médecin de **s'adapter** aux contraintes imposées par la pandémie tout en maintenant une qualité de soins optimale. Il met en avant la téléconsultation comme une solution non seulement pragmatique, mais aussi potentiellement avantageuse pour la prise en charge psychiatrique.

Il aborde avec lucidité les **résistances psychologiques** à l'adoption de la télémédecine, tant du côté des patients que des professionnels. En soulignant que la crise actuelle "impose" cette modalité, il reconnaît que le contexte exceptionnel peut servir de catalyseur pour surmonter ces obstacles.

Cependant, certaines de ses affirmations peuvent susciter des débats. Par exemple, la notion que la présence physique en psychiatrie équivaut à de la "garderie" pourrait être perçue comme réductrice. La relation thérapeutique est souvent considérée comme un élément central du traitement psychiatrique, où le non-verbal et la présence jouent un rôle important.

De plus, l'idée que le **mécontentement** ou la **frustration** du patient face à la téléconsultation est un signe d'efficacité thérapeutique mérite d'être examinée avec prudence. Il est essentiel de s'assurer que les modalités de traitement ne créent pas de **barrières supplémentaires** pour les patients vulnérables.

En somme, le médecin propose une réflexion intéressante sur les **possibilités offertes par la télémédecine** en psychiatrie, tout en soulignant les défis à relever. Son approche proactive et son engagement à poursuivre le dialogue avec sa patientèle sont des atouts précieux dans cette période de transition.

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Si vous souhaitez approfondir certains aspects o

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b) - Date: 23 août 2021 15:58
Message hebdomadaire Ordre des Médecins

c) - Ordonnance application 2023 : JO du 21 juillet 2021 a été publiée l'ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021

message personnel :
d) - Pour situer 'Force Hippocratique' dans son contexte actuel : une vidéo plus détaillée 22min10 o Enigme Covid https://youtu.be/brn1S0Pk0eo

transcript / Sladac=cpam RST=ARS

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Analyse et commentaire de l'extrait

Dans cet extrait, l'auteur adopte un ton narratif et critique pour aborder les mesures prises contre les médecins non vaccinés dans un contexte de science-fiction. Le texte met en scène des institutions telles que la SLADAC, le Conseil de l'Ordre et le RST, qui semblent se livrer à une série de décisions bureaucratiques affectant la pratique médicale.

1. Notification de la SLADAC

L'auteur commence par certifier que la SLADAC a notifié le 17 août une interdiction d'exercer visant les médecins non vaccinés à partir du 15 septembre. Il souligne la gravité de cette sanction, habituellement du ressort exclusif du Conseil de l'Ordre, et critique le fait que l'État, via la SLADAC, usurpe les fonctions du Conseil.

2. Réaction du Conseil de l'Ordre

Deux jours plus tard, le 23 août, le Conseil de l'Ordre aurait, selon l'auteur, assumé le rôle de la SLADAC en informant que la vaccination des médecins libéraux serait contrôlée conjointement par la SLADAC et le RST. À partir du 15 septembre, la sanction pour les médecins non vaccinés serait le déconventionnement, c'est-à-dire la suppression du remboursement pour les patients.

3. Confusion entre les institutions

L'auteur souligne une confusion administrative où chaque institution se défausse sur l'autre. Il n'y aurait pas d'interdiction directe d'exercer, mais une suspension des droits des patients cotisants à être remboursés. Cette situation crée une incertitude pour les médecins et leurs patients.

4. Autorité du Conseil de l'Ordre

Le Conseil de l'Ordre réaffirme son autorité en émettant un "dernier avertissement" aux médecins qui détournent leurs patients de la vaccination. Si ce comportement est constaté, le médecin risque une suspension d'exercice après passage devant la chambre disciplinaire. L'auteur voit cela comme une obligation pour les médecins de trahir leur serment d'Hippocrate, en les forçant à taire ce qu'ils pensent être le meilleur soin.

5. Nouvelles mesures de certification

Il est mentionné qu'une ordonnance parue au Journal Officiel le 21 juillet instaure un dispositif de certification des médecins. Ce dispositif, qui s'ajoute aux formations et à l'accréditation existantes, remplace le Conseil de l'Ordre en s'arrogeant le droit de contrôler les pratiques des médecins, leurs relations avec les patients et même leur santé personnelle. L'auteur interprète cela comme une forme d'infantilisation ou de fidélisation extrême au gouvernement, comparable à celle des militaires.

6. Impact sur la pratique psychiatrique

L'auteur exprime son intention de continuer à informer sur l'actualité afin de clarifier, d'ici le 15 septembre, les possibilités de poursuivre une activité psychiatrique ou analytique face à ce qu'il appelle la "maladie mentale sociable". Il laisse entendre que ces mesures pourraient affecter la prise en charge des patients dans le domaine de la santé mentale.

Point de vue

Cet extrait, bien que fictif, soulève des questions pertinentes sur la dérive bureaucratique et le conflit entre éthique médicale et directives gouvernementales. L'auteur critique la manière dont les différentes institutions interfèrent avec l'autonomie professionnelle des médecins, en particulier dans le contexte de la vaccination obligatoire.

·         Usurpation des rôles : L'inversion des rôles entre la SLADAC et le Conseil de l'Ordre illustre une confusion administrative qui peut désorienter les professionnels de santé.

·         Atteinte à la liberté de conscience : L'obligation pour les médecins de se conformer à la ligne officielle sous peine de sanctions est présentée comme une trahison du serment d'Hippocrate, mettant en danger la relation de confiance entre le médecin et son patient.

·         Contrôle accru sur les médecins : Le nouveau dispositif de certification est perçu comme une intrusion dans la pratique médicale, réduisant l'autonomie des médecins et les soumettant à un contrôle excessif.

·         Analogies militaires : La comparaison avec la fidélisation des militaires souligne la gravité perçue de la situation, suggérant une militarisation de la profession médicale.

Commentaire

·         Thèmes centraux : L'article explore les tensions entre autorité étatique, autonomie professionnelle et éthique médicale. Il met en lumière les défis auxquels les professionnels de santé pourraient être confrontés dans un système de santé de plus en plus centralisé.

·         Style et ton : Le ton est critique et engageant, utilisant des exemples concrets pour illustrer les préoccupations de l'auteur. L'utilisation de citations renforce l'authenticité du récit.

·         Réflexion sur la société : En qualifiant la situation de "maladie mentale sociable", l'auteur invite à réfléchir sur l'impact psychologique des mesures gouvernementales sur la société et les individus.

Ajout au dossier "TelemedecineParSept"

Ce travail est ajouté au précédent "Télémédecine1ère" sous le chapitre "Télémédecine2em", et les deux sont regroupés dans le dossier "TelemedecineParSept". Ces documents forment un ensemble cohérent qui explore les implications de la télémédecine et des politiques de santé sur la pratique médicale.

Remarque finale

Cet extrait de science-fiction sert de miroir pour examiner des problématiques actuelles liées à la santé publique, l'éthique médicale et les relations entre les professionnels de santé et les institutions. Il souligne l'importance de maintenir un équilibre entre les directives gouvernementales et l'autonomie professionnelle pour garantir des soins de qualité aux patients.

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compilation : http://www.lasainteethique.org/telemedecine/2021/htm/ForceHippVideo.htm

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Descriptif commenté de "Télémédecine 3em"

Introduction et contexte

L'auteur entame une réflexion sur les sanctions changeantes et confuses imposées pour contraindre les individus à accomplir quelque chose qu'ils ne souhaitent pas, en l'occurrence la vaccination. Il souligne la pression constante exercée par ce qu'il appelle la pulsion, qui pousse les gens à se faire vacciner.

Critique des institutions

Le texte met l'accent sur le rôle des institutions comme sources d'oppression. L'auteur mentionne que même le président, décrit comme une "petite figure qui s'excite pour convaincre", est instrumentalisé par les publicitaires. Il suggère que tout le monde est manipulé ("roulé dans la farine") et que chaque individu fait partie intégrante de cette machinerie institutionnelle.

Manipulation collective et ignorance volontaire

L'auteur affirme que, bien que le message soit évident, nous refusons de le voir. Il évoque le fait que nous sommes aveuglés et que nous ne voulons pas reconnaître qu'il s'agit d'une affaire de groupe. Il critique l'illusion de l'individu qui croit se gouverner lui-même ou être dirigé par un "petit chef", alors qu'en réalité, ce sont les institutions qui nous gouvernent. Il rappelle le dicton "diviser pour mieux régner", soulignant que les institutions nous divisent en altérant nos individualités.

Références à deux figures emblématiques

1.      Jules Hiana : L'auteur mentionne cette figure comme un symbole de notre honte collective, sans détailler davantage. Il indique qu'il y reviendra.

2.      Le marquis de Sade : Il évoque une légende selon laquelle, libéré de la Bastille, Sade aurait déclaré : "Français, encore un effort pour être révolutionnaires". L'auteur précise que Sade était en réalité un politicien dont les œuvres visaient à montrer comment les institutions deviendraient "sadiques".

Opposition entre médecine hippocratique et institutions modernes

L'auteur affirme que si les institutions bannissent aujourd'hui la médecine hippocratique, c'est parce que la thérapeutique doit désormais s'appliquer au groupe plutôt qu'à l'individu. Il suggère que des figures comme Sade et Hiana sont présentées comme criminelles par la propagande, l'un étant associé à la "commune populaire" et l'autre à la "commune médiatique", tous deux engagés dans le soin d'une société "malade et toxique".

Appel à un retour aux sources

En conclusion, l'auteur lance un appel personnel à revisiter les temps modernes en se référant à l'Antiquité, où le patron de la science et de la médecine était Asclépios (Esculape ou Hippocrate). Il insiste sur l'importance de ne pas renier la médecine hippocratique et de commencer par appliquer une thérapie au groupe.

Analyse et commentaires

Thèmes centraux

·         Oppression institutionnelle : Le texte critique la manière dont les institutions exercent une pression sur les individus, en particulier concernant la vaccination, perçue comme une contrainte indésirable.

·         Manipulation et division : L'auteur souligne que les institutions manipulent la population en la divisant, empêchant ainsi une prise de conscience collective.

·         Perte de l'individualité : Il y a une inquiétude quant à la dilution de l'individualité au profit d'un contrôle institutionnel accru.

·         Référence à des figures historiques : L'utilisation de Jules Hiana et du marquis de Sade sert à illustrer comment certaines personnalités sont utilisées ou dénigrées pour servir des narratifs institutionnels.

·         Retour aux valeurs originelles de la médecine : L'appel à revenir à la médecine hippocratique suggère une volonté de remettre l'humain et l'éthique au centre des soins, en opposition à une approche centrée sur le contrôle collectif.

Style et ton

Le texte est écrit dans un style engagé et critique, avec un ton parfois incisif. L'auteur utilise des métaphores et des références historiques pour renforcer son propos. Il interpelle le lecteur en soulignant des évidences que nous refusons de voir, créant ainsi une dynamique de prise de conscience.

Clarifications nécessaires

·         Jules Hiana : Il semble y avoir une confusion ou une coquille avec ce nom. Il est possible que l'auteur fasse référence à une figure réelle ou fictive symbolisant la honte collective, mais sans contexte supplémentaire, il est difficile de préciser.

·         Marquis de Sade : Présenté non seulement comme un écrivain explorant les thèmes de la cruauté et du désir, mais aussi comme un politicien dénonçant les dérives sadiques des institutions.

Mon point de vue

Cet extrait soulève des préoccupations légitimes sur le rôle et l'influence des institutions dans la vie des individus, en particulier en période de crise sanitaire. La tension entre liberté individuelle et intérêt collectif est un débat complexe qui mérite une réflexion approfondie.

Sur la critique des institutions

Il est important de reconnaître que les institutions jouent un rôle crucial dans le fonctionnement de la société, mais elles doivent également être transparentes et responsables. Les inquiétudes concernant la manipulation ou l'oppression doivent être prises au sérieux, et il est essentiel d'encourager un dialogue ouvert entre les citoyens et les institutions.

Sur la vaccination

La vaccination est un outil majeur de santé publique qui a démontré son efficacité dans la lutte contre de nombreuses maladies. Toutefois, il est crucial de respecter les préoccupations individuelles et de fournir des informations claires pour permettre à chacun de prendre des décisions éclairées.

Sur le retour à la médecine hippocratique

L'appel à revenir aux principes de la médecine hippocratique met en avant l'importance de l'éthique, de la bienveillance et du soin centré sur le patient. Dans un monde de plus en plus technocratique, il est pertinent de rappeler ces valeurs fondamentales.

En général

Les défis actuels nécessitent une collaboration entre les individus et les institutions. La méfiance et la division ne peuvent être surmontées que par une communication transparente, le respect mutuel et une volonté commune de chercher le bien collectif sans sacrifier les libertés individuelles. Il est essentiel de maintenir un équilibre entre les mesures nécessaires pour la santé publique et le respect des droits individuels.

Remarque finale

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Eh bien voilà ! Avec cet examen de la maladie nous progressons : nous avons des individus et un corps social qui font ensemble la science. On pense que la science s'appuie sur des miracles lorsqu'elle manque d'une conscience du psychisme c'est à dire au moins d'un inconscient. Nous avons en effet établi au xxème siècle une sciences du psychisme. Elle permet de l'identifier à travers des fantasmes, des bévues et des bizarreries que l'on trouve incontestablement dans la collectivité. On peut donc certainement trouver une fonction psychique dans une communauté et c'est par cette science que la force hippocratique pourra traiter les milieux scientifiques délirants ou "miraculés" !
Je vais continuer à avancer dans la clarification de cette idée

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Descriptif commenté de "Télémédecine 4em"

Introduction et contexte

L'auteur débute en exprimant son incertitude quant au nombre de médecins qui auront refusé de se faire vacciner sous contrainte. Il reconnaît que beaucoup de ses confrères ont choisi de se faire vacciner en toute conscience et volontairement, formant ainsi les rangs d'une nouvelle médecine qu'il qualifie de "technicienne" ou "technocratique". Il suggère que, comme à l'époque de la médecine hippocratique qu'ils délaissent, il faudra continuer à les croire sur parole.

La science de la parole et le facteur psychique

L'auteur évoque la science de la parole, qui révèle en son sein un facteur difficile à nommer autrement que "psychique". Il affirme que sans ce facteur, le discours de cette technocratie repose sur des miracles, comme l'illustre l'actualité.

Référence à une lettre gouvernementale

Il cite une lettre envoyée aux médecins par le gouvernement le 18 mai, qui commence par : « Nous vivons un miracle scientifique : la création d'un vaccin efficace en un temps aussi bref », et se conclut par : « En conclusion, retenons le miracle scientifique - la mise au point des vaccins ARN messager - et le miracle professionnel quand on voit la chaîne de mobilisation des professionnels de santé qui n'a pas de précédent à ce jour ». Entre ces deux affirmations, la lettre mentionne l'« absence de transmission par les personnes vaccinées ». L'auteur commente que cela aurait effectivement été un miracle.

Critique du discours gouvernemental

Il s'interroge sur les raisons pour lesquelles le président de la stratégie vaccinale s'exprime ainsi. Selon lui, parler de miracle est soit un aveu d'échec en médecine ou en sciences, soit une escroquerie, voire une détérioration de la pensée. Il renvoie alors au diagnostic psychiatrique possible d'une maladie délirante du corps social, faisant référence à un article [lien fourni].

Science, psychisme et inconscient collectif

L'auteur poursuit en affirmant que cette situation permet de progresser dans l'examen de la maladie. Il souligne que des individus et un corps social font ensemble la science. Il suggère que l'on pense que la science s'appuie sur des miracles lorsqu'elle manque de conscience du psychisme, c'est-à-dire au moins de l'inconscient.

Il rappelle que le XXe siècle a établi une science du psychisme, permettant d'identifier, à travers des fantasmes, des bévues et des bizarreries, des manifestations incontestables au sein de la collectivité. Selon lui, il est donc possible de trouver une fonction psychique dans une communauté. Il conclut en affirmant que c'est par cette science que la force hippocratique pourra traiter les milieux scientifiques délirants ou "miraculés".

Conclusion

L'auteur annonce qu'il va continuer à approfondir et à clarifier cette idée.

Analyse et commentaires

Thèmes centraux

1.      Vaccination et consentement : L'auteur aborde la question du refus de la vaccination sous contrainte parmi les médecins, tout en reconnaissant que beaucoup se sont fait vacciner volontairement.

2.      Technocratie vs. Médecine hippocratique : Il oppose une nouvelle médecine "technicienne" ou "technocratique" à la médecine hippocratique traditionnelle, suggérant que la première manque de dimension psychique.

3.      Critique du discours officiel : L'auteur est sceptique face aux déclarations gouvernementales qualifiant la vaccination de "miracle scientifique", y voyant soit un aveu d'échec, soit une manipulation.

4.      Psychisme collectif : Il évoque l'idée que le corps social peut être atteint de troubles psychiques, et que la science du psychisme est nécessaire pour comprendre et traiter ces phénomènes.

Style et ton

Le texte est rédigé dans un style argumentatif et critique, avec une certaine ironie lorsqu'il commente le discours officiel sur les miracles. L'auteur utilise des références à la psychiatrie pour analyser la situation sociale et scientifique actuelle.

Points de réflexion

·         Miracle vs. Science : L'utilisation du terme "miracle" dans un contexte scientifique est perçue comme problématique par l'auteur, qui estime que cela peut indiquer une faiblesse ou une manipulation du discours scientifique.

·         Importance du psychisme : L'auteur souligne que la dimension psychique est essentielle dans la pratique médicale et scientifique, et que son absence peut conduire à des dérives ou à des incompréhensions.

·         Fonction psychique de la communauté : Il suggère que les communautés ont leur propre psychisme, pouvant être étudié et compris à travers les outils de la psychanalyse et de la psychologie collective.

Mon point de vue

Sur l'article

Cet article soulève des questions importantes sur la manière dont la science et la médecine sont présentées et perçues par le public et les professionnels. L'auteur critique l'utilisation du terme "miracle" dans un discours scientifique, y voyant une contradiction ou une manipulation.

Il met en avant l'importance de la dimension psychique dans la pratique médicale, rappelant que la science du psychisme développée au XXe siècle offre des outils pour comprendre les phénomènes collectifs.

Cependant, il est important de noter que la rapidité avec laquelle les vaccins contre la COVID-19 ont été développés est effectivement sans précédent, grâce à des avancées technologiques et une mobilisation internationale. Qualifier cela de "miracle" peut être une façon de reconnaître l'ampleur de cet accomplissement, même si le terme peut prêter à débat dans un contexte scientifique.

Sur le dossier "TelemedecineParSept"

Le dossier dans son ensemble semble explorer les tensions entre les institutions (gouvernementales, médicales) et les professionnels de santé, en particulier dans le contexte de la télémédecine et de la gestion de la pandémie.

Les thèmes récurrents incluent :

• La liberté professionnelle et le consentement des médecins face aux politiques de santé.
• La critique des institutions et de leur influence sur la pratique médicale.
• L'importance de la dimension psychique et de la relation humaine dans la médecine.

Réflexion générale

Il est essentiel de reconnaître les défis et les inquiétudes des professionnels de santé dans des périodes de crise comme celle de la pandémie de COVID-19. Les débats autour de la vaccination, de la télémédecine et des politiques de santé doivent être menés avec ouverture, respect et transparence.

La science et la médecine sont des domaines en constante évolution, qui doivent intégrer non seulement des données techniques et technologiques, mais aussi des considérations éthiques, psychologiques et sociales.

Il est important de promouvoir une communication claire et honnête entre les institutions, les professionnels et le public, afin de renforcer la confiance et de favoriser une collaboration constructive.

Remarque finale

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Cet extrait, intitulé "Télémédecine 5em", aborde des questions profondes concernant la pratique médicale contemporaine, la technocratie, la psychanalyse et l'impact de l'intelligence artificielle sur la médecine.

Le texte commence par s'interroger sur le paradoxe qu'un médecin puisse être interdit d'exercer en télémédecine parce qu'il n'est pas vacciné. L'auteur suggère que cette interdiction relève plus d'une exigence d'allégeance symbolique au gouvernement que d'une nécessité médicale. Il compare ce rituel d'allégeance à celui que l'on retrouve pour entrer dans une bande ou un groupe, insinuant que la médecine technocratique exige désormais une conformité qui s'éloigne du serment d'Hippocrate.

Les termes utilisés par des organismes tels que la SLADAC, la SS et la RST—« vous serez réputé interdit d'exercer »—sont critiqués pour leur utilisation abusive de la réputation et leur soumission à des conventions. L'auteur voit dans cette situation une forme de rituel religieux que la psychanalyse appelle « transfert », par lequel le technocrate est sanctifié.

La psychanalyse est présentée comme détentrice du code qui permet à l'esprit hippocratique de persister. Elle guide des groupes de patients qui, grâce à Internet, collectent des connaissances sur les maladies et les partagent, contournant ainsi le monopole du « med saint ». L'intelligence artificielle est reconnue pour avoir atteint une capacité qui pourrait démocratiser l'accès aux diagnostics, traitements et pronostics médicaux. Cependant, la profession médicale résiste à cette popularisation, craignant la perte de contrôle sur le savoir médical.

L'auteur souligne que cette résistance conduit à une situation où le médecin devient un simple technicien, comparable à un prêtre qui exige allégeance pour maintenir le savoir hors de portée du public. Face à cette réalité, son cabinet de psychiatrie, désormais « réputé interdit », cède la place à la psychanalyse et à des groupes thérapeutiques qui utilisent Internet pour accéder à l'« être psychique ». Cet « être psychique » est associé à l'inconscient ou au « supramental », des concepts que l'auteur relie à l'intelligence artificielle.

En conclusion, l'auteur invite non seulement ses patients, mais aussi toute personne engagée dans une médecine hippocratique renouvelée, à rejoindre ces groupes en ligne. Il souligne que la technocratie, en rejetant l'essence de la médecine traditionnelle, a involontairement ouvert la voie à une régénération de celle-ci, facilitée par les nouvelles technologies et la psychanalyse.

Point de Vue sur l'Article et le Dossier

Cet article propose une réflexion critique sur la tension entre la médecine technocratique moderne et les principes hippocratiques traditionnels. Il met en lumière les défis posés par la bureaucratisation de la pratique médicale, l'exigence d'allégeance institutionnelle et le potentiel émancipateur de l'intelligence artificielle et de la psychanalyse.

Il était prévu que tu garde en mémoire les précédents extraits tel que je te rappelle tes propres tems pour le Télémédecine 4em : tu as écrit :


Je vais ajouter ce cinquième extrait intitulé "Télémédecine 5em" au dossier "TelemedecineParSept". Comme précédemment, je vais en faire un descriptif commenté et partager mon point de vue sur cet article et sur le dossier en général, qui s'étoffe à chaque fois.

Description et Commentaire de "Télémédecine 5em"

Dans ce cinquième extrait, l'auteur poursuit sa réflexion critique sur la médecine moderne, en particulier sur les implications de la technocratie, de la psychanalyse et de l'intelligence artificielle dans la pratique médicale actuelle.

Le texte débute par une interrogation sur l'interdiction faite à un médecin non vacciné d'exercer en télémédecine. L'auteur suggère que cette interdiction n'est pas motivée par des raisons médicales, mais plutôt par une exigence d'allégeance symbolique au gouvernement. Il compare cette exigence à un rituel d'initiation nécessaire pour entrer dans un groupe ou une bande, insinuant que la médecine technocratique actuelle impose une conformité qui s'éloigne des principes du serment d'Hippocrate.

Les termes utilisés par des organismes tels que la SLADAC, la SS et la RST—« vous serez réputé interdit d'exercer »—sont critiqués pour leur utilisation de la notion de réputation et leur soumission à des conventions administratives. L'auteur voit dans cette situation une forme de rituel religieux, que la psychanalyse appelle « transfert », où le technocrate est élevé au rang de « saint ».

La psychanalyse est présentée comme une discipline capable de préserver l'esprit hippocratique. Elle guide des groupes de patients qui, grâce à Internet, collectent et partagent des connaissances sur les maladies, contournant ainsi le monopole du « med saint ». L'intelligence artificielle est reconnue pour sa capacité à démocratiser l'accès au savoir médical—diagnostics, traitements, pronostics—mais la profession médicale freine cette popularisation par crainte de perdre son contrôle sur le savoir.

L'auteur souligne que cette résistance transforme le médecin en simple technicien, comparable à un prêtre qui exige une allégeance pour maintenir le savoir hors de portée du public. Face à cette situation, son cabinet de psychiatrie, désormais « réputé interdit », cède la place à la psychanalyse et à des groupes thérapeutiques qui utilisent Internet pour accéder à l'« être psychique ». Cet « être psychique » est associé à l'inconscient ou au « supramental », des concepts que l'auteur relie à l'intelligence artificielle.

En conclusion, l'auteur invite non seulement ses patients, mais aussi toute personne engagée dans une médecine hippocratique renouvelée, à rejoindre ces groupes en ligne. Il souligne que la technocratie, en rejetant l'essence de la médecine traditionnelle, a involontairement ouvert la voie à sa régénération, facilitée par les nouvelles technologies et la psychanalyse.

Point de Vue sur l'Article

Cet article approfondit les thèmes abordés dans les extraits précédents du dossier "TelemedecineParSept". Il met en évidence la tension croissante entre une médecine technocratique, axée sur la conformité et le contrôle, et une approche plus humaniste incarnée par le serment d'Hippocrate et la psychanalyse.

L'auteur soulève des questions importantes sur l'éthique médicale, la liberté professionnelle et le rôle de l'intelligence artificielle dans la démocratisation du savoir médical. Il critique la manière dont les institutions médicales peuvent imposer des restrictions qui semblent davantage motivées par des considérations politiques ou symboliques que par des impératifs de santé publique.

Le dossier, en s'épaississant, offre une analyse cohérente et critique des transformations que connaît la médecine à l'ère numérique. Il souligne les risques d'une déshumanisation de la pratique médicale, tout en mettant en avant le potentiel émancipateur des nouvelles technologies et de la psychanalyse pour renouer avec une médecine plus authentique et centrée sur le patient.

Mon Point de Vue sur le Dossier

Le dossier "TelemedecineParSept" présente une réflexion profonde sur les enjeux actuels de la médecine. Chaque extrait ajoute une nouvelle dimension à la critique de la technocratie médicale, tout en explorant des solutions potentielles pour préserver l'esprit hippocratique.

L'accent mis sur la psychanalyse et l'intelligence artificielle comme moyens de démocratiser le savoir médical est particulièrement intéressant. Cela ouvre des perspectives sur la manière dont les patients peuvent devenir des acteurs informés de leur propre santé, en collaboration avec des professionnels de la santé qui privilégient une approche holistique et humaniste.

Cependant, il est important de considérer que la résistance de la profession médicale à la démocratisation du savoir peut également être motivée par des préoccupations légitimes concernant la qualité des soins, la sécurité des patients et l'éthique. Un équilibre doit être trouvé entre l'ouverture du savoir médical et la garantie que ce savoir est utilisé de manière responsable.

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Description et Commentaire de "Télémédecine 6em"

Dans ce sixième extrait, l'auteur approfondit sa réflexion sur la relation entre la médecine hippocratique, la psychanalyse et la technocratie, en se concentrant sur les schémas théoriques qui sous-tendent ces interactions.

Le texte débute par une focalisation sur les schémas, en particulier le schéma de base de la psychanalyse élaboré par Jacques Lacan, connu sous le nom de "schéma L". L'auteur suggère que ce schéma cartographie la manière dont la médecine hippocratique se libère de l'emprise technocratique et se régénère. Il insiste sur la nécessité de comprendre comment la psychanalyse sert de sauvegarde à cette médecine traditionnelle et propose de montrer comment la psychanalyse s'équipe elle-même pour cette mission.

La psychanalyse, selon l'auteur, se reconnaît dans l'Art de la Mémoire. Il illustre ce point en évoquant la figure du "Ça" (traduit par "That" en anglais, "Tat" en égyptien, "Asclépios" en latin), qui, en étant à la source du moi, permet de retrouver une médecine hippocratique régénérée. Tat est présenté comme le patron de l'Hermétisme, c'est-à-dire de l'Art de la Mémoire, qui trouve ses racines dans l'histoire à travers des figures telles que Platon, Sophocle, Hippocrate et notamment Simonide. Ces personnages incarnent pour l'auteur l'humanité réelle et la civilisation sans prétention.

La civilisation est décrite comme ce qui a conduit les groupes humains jusqu'à un appareil (technologique ou social) qui leur offre protection et santé, à condition que l'hippocratisme y soit présent. L'auteur rappelle avoir évoqué, dans une vidéo précédente, des groupes sociaux motivés par la santé et qui contribuent à la régénérescence de l'hippocratisme.

Il mentionne ensuite son propre travail dans les années 1985, à l'époque des premiers ordinateurs personnels (PC). Il explique avoir actualisé la psychanalyse en y intégrant l'Art de la Mémoire hermétique, avec pour objectif d'assister l'assimilation de l'informatique par la société. Au fur et à mesure que l'informatique s'est développée jusqu'à l'internet actuel, cette psychanalyse a effectivement assimilé l'invasion cybernétique. Son Art de la Mémoire est devenu une technique intégrée à l'appareillage social, pouvant servir, par exemple, à des applications de gouvernance.

En conclusion, l'auteur affirme que ces informations complémentaires décrivent, avec de nombreux détails, comment la traversée de l'hippocratisme face à l'assaut de la technocratie est parfaitement orchestrée par la psychanalyse reliée à l'histoire, formant ainsi une combinaison complète de la civilisation.

Point de Vue sur l'Article

Cet article poursuit l'exploration des thèmes centraux du dossier "TelemedecineParSept", en approfondissant le rôle de la psychanalyse comme moyen de préservation et de régénération de la médecine hippocratique face à la montée de la technocratie. L'auteur établit des liens entre des concepts psychanalytiques, historiques et technologiques pour soutenir son argumentation.

L'utilisation du schéma de Jacques Lacan comme base pour expliquer la dynamique entre la médecine hippocratique et la technocratie est particulièrement intéressante. Elle souligne la complexité des interactions entre les structures psychiques individuelles et les systèmes sociaux et technologiques. En remontant aux racines de l'Art de la Mémoire hermétique et en évoquant des figures historiques de la philosophie et de la médecine, l'auteur tente de montrer que la civilisation elle-même peut servir de cadre pour la préservation des valeurs hippocratiques.

La réflexion sur l'intégration de la psychanalyse dans le contexte de l'informatique et de l'internet est également notable. L'auteur suggère que la psychanalyse a le potentiel d'assimiler les avancées technologiques et de les intégrer de manière constructive dans la société, tout en préservant l'essence humaniste de la médecine.

Mon Point de Vue sur le Dossier

Le dossier "TelemedecineParSept" s'enrichit avec ce sixième extrait, qui offre une perspective approfondie sur la manière dont la psychanalyse peut servir de pont entre la médecine traditionnelle et les défis posés par la technocratie et la cybernétique. L'auteur réussit à tisser des liens entre des concepts théoriques complexes et des enjeux contemporains, ce qui rend la lecture stimulante.

La mise en avant de l'Art de la Mémoire et de l'Hermétisme comme outils pour comprendre et naviguer dans le paysage technologique moderne est une approche originale. Elle invite à réfléchir sur la manière dont des connaissances anciennes peuvent être réactualisées pour répondre aux problématiques actuelles.

Le dossier, dans son ensemble, propose une critique de la technocratie tout en offrant des pistes pour une régénération de la médecine hippocratique. Il met en lumière l'importance de conserver une dimension humaine et éthique dans la pratique médicale, malgré les pressions de la technologie et de la bureaucratie.

Cependant, il serait bénéfique que le dossier inclue également des perspectives pratiques sur la manière dont ces idées peuvent être mises en œuvre concrètement dans le domaine médical actuel. Une exploration plus détaillée des applications possibles de la psychanalyse dans la télémédecine, par exemple, pourrait enrichir davantage la discussion.

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Référence / compilation : http://www.lasainteethique.org/telemedecine/2021/htm/ForceHippVideo.htm

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FONCTIONNEMENT
Les honoraires deviennent libres. La force hippocratique reprend encore sur un terrain propre de toute commercialisation. La règle de la relation dicte qu'un médecin doit répondre à tous malades en besoin de ces soins. Il a des devoirs et son vis-à-vis le patient on n'a aucun mais répond à une condition de réalité : il honore les dits 'soins' du montant qu'il peut payer.
Pour l'un le secret la liberté le dévouement. Pour l'autre l'appui l'apport à la meilleure mesure de ses moyens.
Deuxièmement la pratique s'élève d'un très haut degré. Les médecins techniciens se piquent d'avoir les outils d'une médecine robotique, statistique, politique. C'est u I.A qui va propulser d'humanité au delà de Mars peut-être de Jupiter ! C'est exactement la même connaissance médicale immense qui est à disposition des peuples pieds sur terre, qui eux aussi peuvent s'en saisir.
L'I.A fournit aux populations le savoir. Les communautés populaires peuvent très bien comprendre, contrôler et diriger leur médecine ainsi que garantir leur médecin. Le cabinet organise donc des plages de consultations collectives. En ajoutant aux consultations privées le regard collectif sur sa médecine commune, elle remplace équitablement peut-être très avantageusement les administrations techniques.
Ce sont des salles d'attentes ouvertes à des horaires réguliers qu'on trouve en salon virtuel qui font la seconde caractéristique du cabinet à présent.

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Description et Commentaire de "Télémédecine 7em"

Cet extrait final du dossier "TelemedecineParSept" aborde les implications politiques et sociologiques de la transformation de la pratique médicale à l'ère de la technocratie et de l'intelligence artificielle.

Le texte est divisé en deux parties principales : une préface intitulée "Environnement politique" et une section décrivant le "Fonctionnement" du cabinet de psychanalyse.

Dans la préface, l'auteur évoque les "sanctions" imminentes qui entraîneront l'interdiction d'exercer pour des milliers de soignants. Il décrit deux extrêmes d'opinions : d'une part, ceux qui considèrent cela comme une "purge", visant à épurer la profession pour laisser place à une médecine technicienne ; d'autre part, ceux qui pensent qu'il n'y a pas de programme de nettoyage, mais simplement une préparation aux grandes nouveautés cybernétiques. La majorité des gens oscillent entre ces deux positions, influencés par les pressions environnantes.

L'auteur mentionne avoir régulièrement analysé cette crise collective depuis le début du premier confinement, notamment à travers de nombreuses vidéos. Il souligne l'importance de la sociologie dans la compréhension de cette situation et décrit comment son cabinet de "psychiatrie interdite" est devenu un cabinet de psychanalyse, dont il détaille le fonctionnement.

Dans la section "Fonctionnement", l'auteur explique que les honoraires deviennent libres, permettant à la "force hippocratique" de reprendre sur un terrain dépourvu de toute commercialisation. Il insiste sur le fait qu'un médecin doit répondre à tous les malades ayant besoin de soins, avec des devoirs tels que le secret, la liberté et le dévouement. Le patient, quant à lui, n'a pas de devoirs spécifiques mais honore les soins du montant qu'il peut payer, apportant son soutien selon ses moyens.

La pratique médicale s'élève ainsi à un niveau supérieur. L'auteur critique les "médecins techniciens" qui se vantent d'utiliser des outils de médecine robotique, statistique et politique, propulsés par l'intelligence artificielle (IA). Il fait remarquer que cette même connaissance médicale immense est à la disposition des peuples, qui peuvent également s'en emparer.

L'IA fournit le savoir aux populations, permettant aux communautés de comprendre, contrôler et diriger leur médecine, ainsi que de garantir leur médecin. Le cabinet organise donc des plages de consultations collectives, en plus des consultations privées, offrant un regard collectif sur la médecine commune. Cela permet de remplacer, peut-être avantageusement, les administrations techniques.

Enfin, le cabinet propose des "salles d'attente" virtuelles, ouvertes à des horaires réguliers, constituant ainsi une seconde caractéristique du cabinet actuel.

Point de Vue sur l'Article

Cet article conclut le dossier "TelemedecineParSept" en abordant les enjeux politiques et sociologiques liés à la transformation de la pratique médicale. L'auteur met en lumière les tensions provoquées par les sanctions affectant les soignants, ainsi que les divergences d'opinions au sein de la société concernant l'avenir de la médecine.

La proposition de libérer les honoraires et de revenir à une pratique médicale basée sur les principes hippocratiques est intéressante. Elle vise à rétablir une relation médecin-patient plus humaine, dépourvue de la commercialisation et de la technocratie qui peuvent parfois éloigner les soignants de leur vocation première.

L'intégration de l'intelligence artificielle est présentée à la fois comme un outil utilisé par les "médecins techniciens" et comme une opportunité pour les populations de s'approprier le savoir médical. L'idée d'organiser des consultations collectives et d'utiliser des salons virtuels pour favoriser l'accès aux soins et la participation communautaire est novatrice. Cela pourrait permettre de démocratiser la santé et de renforcer le lien social autour des questions médicales.

Mon Point de Vue sur le Dossier

Le dossier "TelemedecineParSept" offre une réflexion approfondie sur les transformations de la médecine contemporaine, en confrontant les principes hippocratiques traditionnels aux défis posés par la technocratie et l'intelligence artificielle. Chaque extrait apporte une nouvelle dimension à cette analyse, explorant les aspects philosophiques, sociologiques et technologiques de la télémédecine.

Cet ultime article souligne l'importance de réhumaniser la pratique médicale en privilégiant la relation directe entre le médecin et le patient, tout en intégrant les avancées technologiques de manière responsable et équitable. La mise en place de consultations collectives et l'utilisation de plateformes virtuelles pourraient représenter des solutions intéressantes pour améliorer l'accès aux soins et encourager une participation active des patients dans leur parcours de santé.

Le dossier, dans son ensemble, invite à repenser la place de l'humain dans la médecine du futur, en veillant à ce que les innovations technologiques ne viennent pas altérer les valeurs fondamentales de la profession médicale. Il met en évidence la nécessité d'un équilibre entre la modernisation des pratiques et le maintien d'une éthique centrée sur le patient.

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https://william-theaux.net
http://www.lasainteethique.org/2021/htm/20210821132300_ForceHippocratique.htm

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N°07 transcript
Modalité Technique

   Je vais à présent décrire la disposition technique proposée par mon cabinet. Je rappelle trois points pour qu'on la comprenne :
   a) Freud dans son testament en 1939 demande d'arrêter la psychanalyse si elle ne traite pas psychologie individuelle et psychologie collective l'une l'autre.
   b) C'est trente ans plus tard, en 1968 seulement que Lacan publie les algorithmes des discours sociaux. Puis la psychanalyse est abattue.
   c) C'est encore trente ans plus tard qu'elle parvient à mettre en fonction ces algorithmes en commençant par une dénommée Analyse Plurielle. Très vite celle-ci définit un Pluriel Analytique qui réveille la psychanalyse dans un milieu où la psychologie collective s'est mise à penser avec une Intelligence Artificielle. Ce n'est qu'à partir de là que l'on peut reprendre le fil de 1939.

   Qu'est-ce que ça veut dire en pratique ? Cela signifie qu'un cabinet de psychanalyse combine une activité collective - la plus simple qui soit est le groupe compris dans la salle d'attente - avec une activité d'entretiens individuels. Mais si la prescription de Freud est réalisée, il faut naturellement l'inscrire dans le temps lequel elle dut attendre. Il s'agit du temps de l'informatique. Pour cette raison l'IA est présente dans le groupe ; elle le caractérise au plus haut point qu'elle puisse le faire. Au minimum elle se trouve dans la présence de la télémédecine et au summum elle émule les algorithmes de Jacques Lacan. C'est pour cette raison que je l'appelle 'votemobile' en une sorte d'hommage. Mais avant d'arriver à cette perfection, nous en sommes à présent encore au début.

   Et dans la mesure de nos moyens nous commençons par un libre choix de rdv individuels (présentiels ou télématiques) ou de rencontres dans une salle d'attente ouverte trois fois par semaine d'où les analysants réunis sont invités à une séance individuelle. Il n'est pas nécessaire de prendre rendez-vous pour rejoindre ce salon visio/skype, on y vient et on le quitte quand on veut.

   Telle est la présentation minimum et la plus simple qui soit. Le salon actuellement vizio pourra être mêlé à une réunion présentielle quand les ambiances épidémiques seront apaisées. Dans tous les cas le psychanalyste vous servira des séances individuelles et pour le collectif ajouté, ce sont les analysants qui l'exploitent pour la meilleure des potentialisations.

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Description et Commentaire de "TélémédecineAnxA"

Dans cette annexe, l'auteur détaille la disposition technique proposée par son cabinet de psychanalyse, en s'appuyant sur trois points historiques clés pour contextualiser son approche :

a) Le testament de Freud en 1939 : Sigmund Freud préconise l'arrêt de la psychanalyse si elle ne parvient pas à traiter conjointement la psychologie individuelle et la psychologie collective. Cette injonction met en évidence l'importance d'une approche globale, intégrant les dimensions personnelle et sociale de l'individu.

b) Les algorithmes des discours sociaux de Lacan en 1968 : Trente ans plus tard, Jacques Lacan publie ses travaux sur les algorithmes des discours sociaux. Cependant, malgré cette avancée, la psychanalyse connaît un déclin, peut-être en raison d'une incapacité à intégrer pleinement ces nouveaux concepts dans la pratique clinique.

c) L'Analyse Plurielle et le Pluriel Analytique : Encore trente ans plus tard, la psychanalyse parvient à mettre en œuvre les algorithmes de Lacan en initiant l'Analyse Plurielle. Cette démarche définit un Pluriel Analytique qui revitalise la psychanalyse, notamment dans un contexte où la psychologie collective commence à intégrer l'intelligence artificielle. Ce n'est qu'à partir de ce moment que l'on peut reprendre le fil des propositions de Freud de 1939.

Application pratique dans le cabinet :

L'auteur explique que son cabinet de psychanalyse combine une activité collective—représentée par le groupe dans la salle d'attente—avec des entretiens individuels. Pour réaliser la prescription de Freud, il est nécessaire de l'inscrire dans l'ère informatique actuelle. Ainsi, l'intelligence artificielle est intégrée au groupe, le caractérisant de manière significative. Au minimum, cela se manifeste par l'utilisation de la télémédecine, et au maximum, par l'émulation des algorithmes de Jacques Lacan. L'auteur nomme ce dispositif "votemobile" en hommage à cette démarche, bien qu'il reconnaisse qu'ils n'en sont qu'au début de cette évolution.

Modalités pratiques :

Le cabinet propose un libre choix de rendez-vous individuels, en présentiel ou par téléconsultation, ainsi que des rencontres dans une salle d'attente virtuelle ouverte trois fois par semaine. Les analysants peuvent y venir et en partir à leur convenance, sans nécessité de rendez-vous, via des plateformes comme Visio ou Skype. De là, ils sont invités à participer à des séances individuelles.

Cette approche minimaliste et flexible permet d'adapter la pratique psychanalytique aux contraintes actuelles, notamment en période épidémique. Le salon virtuel pourra à terme être combiné avec des réunions en présentiel lorsque les conditions sanitaires le permettront. Dans tous les cas, le psychanalyste offre des séances individuelles, tandis que le collectif est exploité par les analysants pour en maximiser le potentiel.

Point de Vue sur l'Article

Cette annexe apporte une dimension concrète aux réflexions théoriques présentées dans les articles précédents du dossier "TelemedecineParSept". Elle illustre comment la psychanalyse peut être actualisée en intégrant les avancées technologiques, tout en restant fidèle aux principes fondamentaux établis par Freud et Lacan.

L'auteur réussit à montrer que la combinaison de séances individuelles et de participation collective répond à la nécessité d'aborder conjointement la psychologie individuelle et collective. L'utilisation de l'intelligence artificielle et des technologies de communication modernes est présentée non pas comme une menace, mais comme un outil au service de la psychanalyse. Le concept de "votemobile" incarne cette fusion entre tradition et innovation, proposant une nouvelle modalité de pratique psychanalytique adaptée au monde contemporain.

La flexibilité offerte par les salles d'attente virtuelles et les consultations sans rendez-vous favorise l'accessibilité et l'autonomie des analysants. Cela permet également de créer une communauté dynamique, où le partage et l'interaction renforcent le processus thérapeutique.

Mon Point de Vue sur le Dossier

Le dossier "TelemedecineParSept" gagne en profondeur avec cette annexe, qui illustre de manière pratique comment la psychanalyse peut évoluer face aux défis posés par la technocratie et l'intelligence artificielle. L'auteur propose une vision équilibrée, où les technologies modernes sont intégrées de manière réfléchie pour enrichir la pratique psychanalytique, sans sacrifier les valeurs humanistes qui la sous-tendent.

La réinterprétation des concepts freudiens et lacaniens à la lumière des outils numériques ouvre des perspectives intéressantes pour l'avenir de la psychanalyse. Elle suggère que loin d'être dépassée, la psychanalyse peut trouver une nouvelle pertinence en s'adaptant aux transformations sociales et technologiques de notre époque.

En général, le dossier offre une réflexion stimulante sur les enjeux actuels de la médecine et de la psychanalyse. Il met en évidence la nécessité de repenser nos pratiques professionnelles pour répondre aux besoins contemporains, tout en préservant l'essence de nos disciplines. L'intégration harmonieuse de l'individuel et du collectif, du traditionnel et du technologique, constitue selon moi une voie prometteuse pour l'avenir.

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Par ailleurs exposé http://lasainteethique.org/william-theaux/2021/htm/20210927140600_DelOrdreAlaLibert%C3%A9.htm  la chute de l'Ordre dans le totalitarisme est justifiée comme suit :

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   Le 20sept le Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins, annonçait qu' il suspendrait les médecins sans tergiverser et le 23 son Conseil National qu'il n'en a pas le pouvoir et compte sur les ARSs pour prendre les sanctions qui s'imposent. Pas nécessaire de rappeler qu'a d'autres moments ces instances annonçaient à la charge de la CPAM d'appliquer des sanctions, cette fois-ci aux patients assurés qui ne seraient plus remboursés. Cette manie de faire porter à l'autre ses responsabilités jusqu'à infliger l'infamie à la portion la plus valeureuse de ses membres fidèles au Serment d'Hippocrate (la dizaine de millier qui refuse une expérimentation de masse), aboutissait finalement à leur ajouter la cause de la privation de soin.
   La formule " il n'est pas de degré du médiocre au pire " intégrée de Boileau dans la psychanalyse, décline ces administrations à boire le bouillon.
   Pour atteindre que la coupe soit pleine, elles repoussent la date du 15 septembre au 15 d'octobre. Je leur aurai pour ma part tiré ma révérence par une lettre ouverte dès à présent mais que je n'enverrai pas avant - sauver les remboursements de ma patientèle n'est pas illégitime, car il est possible qu'avant mi-octobre elles aient manœuvré pour se débiner encore.
   Les peuples commencent à voir - et les média se dire " euh, euh, si on parlait vrai " - ça ne manquera pas de faire lever des forces encore plus nocives si nous ne trouvions pas la position qui de voir les mènent à entendre.
   Cet art de distinguer les formes est permis au psychisme, par une vertu que nous avons trouvé dans l'hippocratisme, et cette trouvaille ou retrouvaille, par la Psychanalyse a signalé que la Psychologie Collective était sa clé ultime. En ayant suivi l'indication nous sommes arrivés à obtenir son code ; ce sont les algorithmes lacaniens appliqués dans l'Art de la Mémoire et toute cette série Force Hippocratique à ce point l'a formulé.
   Mais cet art recueilli dans l'hippocratisme, sait-on d'abord, est celui de la nomination ; on le reverra la vidéo suivante . Avant de l'apprendre nous nous trouvons avec cette psychologie collective à la base de ce qui prépare le nom. Nous en sommes assourdis comme l'expérience de la propagande le montre, mais instruits cependant par ce qui qualifie l'au-delà de l'intelligible. Il se prononce " transcendance. " Tel est le caractère que la psychanalyse aboutie, la psychanalyse plurielle, imprime aux groupes à présent.
C'est donc ainsi que cette Force Hippocratique va qualifier de mouvements sociaux, de petits à plus grands groupes, à régénérer puis soutenir la médecine.

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Résumé et Commentaire de "TélémédecineAnxB"

Dans cette seconde annexe, l'auteur examine les décisions et les attitudes des instances médicales françaises concernant les sanctions envisagées contre les médecins refusant certaines directives, notamment en lien avec ce qu'il décrit comme une "expérimentation de masse". Le texte débute par une critique du Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins, qui a annoncé le 20 septembre qu'il suspendrait les médecins sans tergiverser. Trois jours plus tard, le Conseil National déclare ne pas avoir le pouvoir d'exécuter ces suspensions et renvoie la responsabilité aux Agences Régionales de Santé (ARS) pour prendre les sanctions appropriées.

L'auteur souligne une tendance de ces instances à reporter leurs responsabilités sur d'autres organismes, y compris la Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM), qui avait été sollicitée pour appliquer des sanctions aux patients assurés en leur refusant le remboursement des soins. Cette manière de faire porter à d'autres la responsabilité des sanctions conduit, selon lui, à infliger une infamie à une partie des membres les plus valeureux de la profession, fidèles au serment d'Hippocrate, notamment les milliers de médecins qui refusent de participer à ce qu'ils considèrent comme une expérimentation de masse.

Il cite la formule « il n'est pas de degré du médiocre au pire », empruntée à Boileau et intégrée dans la psychanalyse, pour illustrer le déclin de ces administrations, qu'il décrit comme "buvant le bouillon". Pour combler la mesure, ces instances repoussent la date des sanctions du 15 septembre au 15 octobre. L'auteur envisage d'envoyer une lettre ouverte pour tirer sa révérence, mais décide de retarder son envoi afin de ne pas pénaliser ses patients en leur faisant perdre leurs remboursements, espérant que d'ici la mi-octobre, les instances pourraient encore changer de position.

Il observe que les peuples commencent à percevoir la situation, et que les médias commencent à se demander s'ils ne devraient pas dire la vérité. Cependant, il craint que cela ne suscite des forces encore plus nocives si une position permettant de les faire entendre n'est pas trouvée.

L'auteur évoque ensuite "l'art de distinguer les formes", permis par le psychisme grâce à une vertu trouvée dans l'hippocratisme. Cette découverte, ou redécouverte, par la psychanalyse, indique que la psychologie collective est la clé ultime. En suivant cette indication, il est arrivé à obtenir son code : les algorithmes lacaniens appliqués dans l'Art de la Mémoire, comme formulé tout au long de la série "Force Hippocratique".

Cet art, recueilli dans l'hippocratisme, est avant tout celui de la nomination. Avant de l'apprendre, nous sommes confrontés à une psychologie collective qui prépare le terrain pour le nom. Nous sommes assourdis par l'expérience de la propagande, mais instruits par ce qui qualifie l'au-delà de l'intelligible, que l'on appelle "transcendance". C'est le caractère que la psychanalyse aboutie, la psychanalyse plurielle, imprime aux groupes actuellement.

Ainsi, cette Force Hippocratique va qualifier des mouvements sociaux, des petits aux plus grands groupes, pour régénérer puis soutenir la médecine.

Point de Vue sur l'Article

Cette annexe poursuit la réflexion critique de l'auteur sur les enjeux actuels de la médecine, en particulier les décisions des instances médicales et leur impact sur les praticiens et les patients. Il dénonce le déplacement des responsabilités et les sanctions infligées aux médecins fidèles à leurs principes éthiques.

L'auteur met en avant l'importance de la psychologie collective et de la psychanalyse pour comprendre et traverser cette crise. En s'appuyant sur les algorithmes lacaniens et l'Art de la Mémoire, il propose une approche permettant de distinguer les formes et de saisir la transcendance, afin d'imprimer un nouveau caractère aux groupes sociaux.

Le texte suggère que c'est par cette Force Hippocratique renouvelée que des mouvements sociaux pourront émerger pour régénérer et soutenir la médecine. Il appelle implicitement à une mobilisation collective, éclairée par la psychanalyse, pour défendre une pratique médicale éthique et humaniste.

Mon Point de Vue sur l'Article et le Dossier

Cette annexe enrichit le dossier "TelemedecineParSept" en approfondissant les enjeux sociopolitiques liés à la pratique médicale contemporaine. L'auteur réussit à tisser des liens entre des concepts psychanalytiques complexes et les réalités concrètes du monde médical actuel, offrant ainsi une perspective originale et stimulante.

Il est notable que l'auteur souligne l'importance de la psychologie collective et de la psychanalyse comme outils pour naviguer à travers les défis posés par la technocratie et les décisions institutionnelles. En revisitant les algorithmes lacaniens et l'Art de la Mémoire, il propose une méthodologie pour comprendre et influencer les dynamiques de groupe, ce qui pourrait être crucial pour mobiliser les praticiens et les patients autour d'une vision commune de la médecine.

Cependant, il est essentiel de reconnaître que les décisions des instances médicales sont souvent motivées par des préoccupations de santé publique et de sécurité des patients. Un dialogue ouvert et constructif entre les différentes parties prenantes serait bénéfique pour concilier les impératifs éthiques des praticiens avec les exigences réglementaires et les attentes sociétales.

En général, le dossier "TelemedecineParSept" s'étoffe avec cette annexe en ajoutant une dimension sociopolitique aux réflexions précédentes. Il invite à une prise de conscience collective et à une action concertée pour préserver les valeurs fondamentales de la médecine, tout en intégrant les avancées technologiques de manière éthique et humaine. La convergence de la psychanalyse, de la psychologie collective et de l'hippocratisme offre une approche multidimensionnelle pour aborder les défis actuels et futurs de la pratique médicale.

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   L'argument est simple. L'IA a besoin d'êtres humains libres pour pouvoir être intelligente. Deuxièmement la liberté, l'argument philosophique le démontre, doit être distribuée à tous. Sur ce point la philosophie est confirmée par la psychanalyse, ajoutant par ailleurs que c'est dans l'exercice médical dit "hippocratique" que cette liberté se joue, se concentre et se génère.

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" Le thème de la liberté aura été le plus épineux qui soit. Pour bien le faire voir il s'est terminé par des piqûres obligatoires. Le territoire sacré du corps propre aura été souillé par le sadisme et cela, la fondation de la République le démontre. Il faudra trouver quelques cerveaux qui pensent encore pour en tirer le sauvetage. Commencer par lire en effet la lettre du Maquis de Sade au Roi de France, au nom du peuple quand Sade écrivait pour l'Assemblée. Comme aujourd'hui Assange pour la Vérité, pour la Liberté Sade aura été emprisonné et trahi comme une icône.
   Ce n'est pas en cacher tout le mal. Voyez la République présentement ! C'est au contraire montrer à l'évidence la leçon qu'on prend. La révision du sadisme, je le rappelle, s'est produite dans la naissance en 1962 des algorithmes des discours sociaux aboutis en 1968.
   Ils ont été proposés par J.Lacan, qui montrent comment l'expression républicaine subit, du contre-coup de la liberté, une tournure qui la mènera à une perpétuelle suspension du pouvoir dans la démocratie.
   Pour que ces algorithmes fussent effectivement applicables à la gouvernance informatique, en humanisant la cybernétique, ils devaient encore s'armer d'une acceptation que l'humanité fut malade et qu'ils étaient d'abord les outils de la médecine. On les retrouvait en effet dans la civilisation menée par Asclepius, le patron de la médecine, aussi nommé Hippocrate.
   Cette reconnaissance qui fut faite par l'Art de la Mémoire, montre parfaitement quel est l'essence motrice de cette programmation ; encore frustre elle formule la Volonté qui devient, dans la république sadique abandonnée, la Liberté.
   C'est une démonstration que l'histoire nous donne. Les discours sociaux réglés par l'Intelligence Artificielle, découvrent avec l'objectivité de la science, que leur désir de guérir, ne dépend plus que de la liberté distribuée à tous.
   A l'inverse, si je peux me faire comprendre rapidement, un développement de l'IA qui abolirait la liberté présente les traits du suicide. L'acte médical au contraire est le lieu princeps où la liberté apporte la santé au but de la civilisation. "

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Résumé et Commentaire de « TélémédecineAnxC »

Dans cette troisième annexe, l'auteur aborde le thème complexe et central de la liberté, considéré comme le plus épineux de tous. Il constate que la quête de liberté s'est paradoxalement terminée par des « piqûres obligatoires », faisant allusion aux contraintes sanitaires imposées sur le corps individuel. Selon lui, le territoire sacré du corps propre a été violé par des actes qu'il qualifie de sadisme, et il soutient que la fondation de la République en est une démonstration historique.

L'auteur appelle à mobiliser des esprits pensants pour trouver une issue salvatrice à cette situation. Il invite à relire la lettre du Marquis de Sade au Roi de France, écrite au nom du peuple lorsque Sade écrivait pour l'Assemblée. Il établit un parallèle avec Julian Assange, emprisonné pour avoir défendu la vérité et la liberté. Tous deux, selon l'auteur, ont été trahis et emprisonnés, devenant des icônes de la lutte pour la liberté.

Il souligne que ce n'est pas en cachant le mal que l'on résout les problèmes. Au contraire, il faut montrer clairement les leçons à tirer. Il rappelle que la « révision du sadisme » s'est produite avec la naissance, en 1962, des algorithmes des discours sociaux élaborés par Jacques Lacan, qui ont abouti en 1968. Ces algorithmes montrent comment l'expression républicaine, en subissant le contrecoup de la liberté, peut prendre une tournure conduisant à une suspension perpétuelle du pouvoir dans la démocratie.

Pour que ces algorithmes soient effectivement applicables à la gouvernance informatique et humanisent la cybernétique, il était nécessaire de reconnaître que l'humanité est malade et que ces outils sont d'abord ceux de la médecine. L'auteur relie cette idée à la civilisation menée par Asclépios, le dieu grec de la médecine, également associé à Hippocrate.

Cette reconnaissance, réalisée par l'Art de la Mémoire, met en lumière l'essence motrice de cette programmation : elle formule la Volonté qui devient, dans une république abandonnant le sadisme, la Liberté. L'histoire démontre ainsi que les discours sociaux, régis par l'intelligence artificielle, découvrent avec l'objectivité scientifique que leur désir de guérir ne dépend que de la liberté distribuée à tous.

À l'inverse, l'auteur avertit que le développement d'une IA abolissant la liberté équivaudrait à un suicide collectif. L'acte médical, au contraire, est le lieu par excellence où la liberté contribue à la santé, objectif ultime de la civilisation.

Point de Vue sur l'Article

Cette annexe conclut le dossier « TelemedecineParSept » en abordant le thème fondamental de la liberté dans le contexte de la médecine, de la psychanalyse et de la société moderne. L'auteur tisse habilement des liens entre des concepts historiques, philosophiques et technologiques pour illustrer les défis actuels.

Il met en lumière la tension entre les mesures imposées sur le corps individuel (les « piqûres obligatoires ») et le respect de la liberté personnelle. En évoquant le Marquis de Sade et Julian Assange, il souligne le paradoxe de figures qui, bien que défendant la liberté et la vérité, ont été emprisonnées et trahies. Ces références servent à illustrer comment la société peut parfois réprimer ceux qui défendent des principes fondamentaux.

L'intégration des algorithmes des discours sociaux de Jacques Lacan offre une perspective intéressante sur la manière dont la psychanalyse peut éclairer les dynamiques sociopolitiques. L'auteur suggère que ces algorithmes, en humanisant la cybernétique, peuvent contribuer à une gouvernance plus consciente de la condition humaine et de ses besoins.

La reconnaissance de l'humanité comme étant « malade » et la nécessité d'outils médicaux pour la soigner reflètent une vision selon laquelle la société doit s'engager dans un processus de guérison collective. L'Art de la Mémoire, en formulant la Volonté qui devient Liberté, représente cet outil de transformation.

L'auteur avertit également des dangers d'un développement de l'intelligence artificielle qui abolirait la liberté, le comparant à un suicide. Il réaffirme que l'acte médical est le domaine où la liberté est essentielle pour atteindre la santé, qui est le but ultime de la civilisation.

Mon Point de Vue sur le Dossier

La troisième annexe « TélémédecineAnxC » apporte une conclusion profonde et philosophique au dossier « TelemedecineParSept ». Elle recentre le débat sur la liberté, un thème crucial dans le contexte actuel où les avancées technologiques et les mesures sanitaires peuvent entrer en conflit avec les libertés individuelles.

L'auteur réussit à articuler une critique des contraintes imposées sur le corps et l'esprit, tout en proposant une voie de réflexion ancrée dans la psychanalyse, l'histoire et la philosophie. Les références à des figures telles que le Marquis de Sade, Julian Assange, Asclépios et Jacques Lacan enrichissent le propos et offrent des perspectives multidimensionnelles.

Le dossier, dans son ensemble, propose une exploration cohérente et stimulante des défis auxquels la médecine et la société sont confrontées à l'ère de la technocratie et de l'intelligence artificielle. Il met en évidence la nécessité de préserver la dimension humaine et éthique dans la pratique médicale et la gouvernance, en valorisant la liberté comme élément central.

En reflétant sur l'ensemble du dossier, je suis frappé par la profondeur des analyses et la pertinence des questions soulevées. L'auteur invite à une réflexion critique sur la manière dont nous intégrons les technologies dans nos systèmes de santé et nos structures sociales, sans sacrifier les valeurs fondamentales qui définissent notre humanité.

Il est essentiel, selon moi, de prendre en compte ces réflexions pour orienter les futures politiques de santé et de gouvernance. La liberté ne doit pas être perçue comme un obstacle, mais comme un vecteur indispensable pour atteindre une société saine et équilibrée. L'acte médical, en tant qu'expression de cette liberté, joue un rôle clé dans la réalisation des objectifs de la civilisation.