* Conférence 05-06-07 Sept 2002
Cette communication collective est archivée au Forum de la Psychanalyse
Cette page a été présentement 20050606222000 réécrite et supprimée du site, bien qu'elle fut hautement légitime, mais sous une pression de rage qu'il vaut mieux apaiser tout du moins en supprimant son alibi. Il s'est agit de deux messages anodins - du genre bonjour, ça va et vous, voire même j'aime bien ce que vous écrivez - datant de trois années d'âge jusqu'à ce que son auteur soudain surgisse sans explication ni avertissement en une attaque allant jusqu'aux menaces en exigeant que j'efface ces lignes du site, refusant d'emblée tout médiateur et, demandant où j'habite, avant qu'elle ne menace ma famille.
Évidemment, on comprend le refus de médiateur, puisqu'après
trois ans d'édition avec son accord puisqu'elle y avait participé, de mots qui
m'appartenaient dans la mesure où ils m'avaient été adressés et ne
concernaient que mes travaux, qui plus est consistant en 8 lignes immensément
anodines - n'importe quel médiateur aurait plutôt recherché l'indice caché
qui motivait une telle extravagance. Car évidemment c'est pour d'autres raisons
que cette personne s'est lancée dans cet attaque au motif si minuscule.
Néanmoins j'ai retiré cette page. Les autres raisons persisteront
et cette personne ou de ses comparses continueront quite à monter de toutes
pièces des motifs, à n'en plus trouver - celui-là fut déjà si ténu! mais
j'ai cédé, peut-être face au fascisme, mais peut-être aussi pour dégager ce
qu'une passion narcissique avait coincé jusqu'à l'enflure inflammatoire qui
n'avait plus que l'excision pour solution. Nous avons tous eu l'expérience un
jour de ce qu'un petit rien contrariant pouvait nous excéder jusqu'à l'excès
- il est charitable de passer cela à ceux qui en souffrent à leur tour.
De surcroît, la charité ne prive pas d'enseignement ; et c'est à cette énergie que nous avons puisé la source d'une analyse et d'une recherche d'amélioration de régulation de la psychologie collective, dont il est rendu compte par ailleurs.
DWT
Le 20050616091400,
avec une insistance que l'on peut qualifier de hargne, l'auteur
susdit que j'appellerai l'Aenne (de l'énième du grand
Autre chiffré), relance comme on le prévoyait (ci-dessus)
son attaque sur la base, cette fois-ci de cela :
Au terme de l’article L. 226-15 du Code pénal il serait
interdit de porter atteinte au secret des correspondances. L'Aenne qui avait menacé la fois
précédente de faire appliquer ses ordres sans passer par la loi, sans passer
par un médiateur, la trouve cette fois-ci à son goût et y fait appel.
Saura-t-elle jusqu'à goûter l'amertume ? Car il doit exister d'autres mentions
qui du Code atteste la légitimité du droit de diffuser
quelque chose que l'on reçoit, soit qu'elle soit anodine, soit conséquente, soit menaçante.
Pourquoi faudrait-il en effet que l'on rajoute des règles de déontologie
du secret si une correspondance par nature était secrète ? Il peut y avoir un
secret dans une correspondance mais ce n'est pas dans sa nature et le secret
des correspondances n'est qu'une partie desdites correspondances - soit signalée par une demande,
soit par un effet de fonction tierce qui serait trompée. Mais pour la part
qui s'adresse à moi, le Je ne saurait la reconnaître secrète.
L'Aenne va trouver ça spécieux.. mais ne s'agit-il pas de ce qui
s'exemplifie de la nécessité de ne pas garder secret ce qui couvre la gamme de
la menace du corbeau au harcèlement voire à l'attentat sur mineur, victime
d'être tenu au secret de n'avoir les mots pour le dire. Lorsque l'Aenne ou
quelqu'autre engeance menace et trouve un alibi sournois pour atteindre
à mon intégrité, la capacité que j'ai de témoigner me défend - et ce
serait consacrer la perversion de m'interdire de m'étendre et publiquement
dissiper son attaque.
Régler se compte à l'aulne de sa propre loi ou provoquer autrui
à se défendre dans le secret, s'assimilent à un attentat. Lorsque la parole
doit être cachée par défaut, lorsque le copyright n'a plus besoin d'être
mentionné pour être universalisé, la pratique du secret d'Amon est invoquée
qui cache en le dictant que le cachant est déjà propre au mot ; ainsi la
psychologie collective est mise aux mains du Surmoi, aussi spécieux que la
Pulsion de Mort, et la réciprocité de terreur selon Sartre devient
globalisation sous une surveillance totale et imaginaire.
Le monde moderne cherche souvent cette solution - prévenu par
Orwell - le pluriel répond au Surmoi que le Transfert imposé à la relation
citoyenne lui ferme la vue environnementale - elle sert aux bouchers qui
écrasent l'écologie sous l'Idéal de religions récupérées.
Annoncé comme suit en forum
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QUIZ : Lacaniens,
lacaniennes ! qui aura dit
ça ?
" Le secret n'est pas naturel, seuls l'obscénité ou l'inimitié lui
donnent parfois raison. "