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Sur demande, je pose l'équation du sexuage (sexualité et langage). Il
s'agit d'une loi - comme il existe une loi de gravitation - en
l'occurrence une loi de relation.
En gros : a) telle relation, f--h, ne peut s'écrire sans une
distinction entre e--f et e--h .
Tandis que b) à priori rien ne distingue e--f de e--h ; quelle est
la raison de cette interdépendance?
en marge on peut
s'appuyer sur le sophisme du temps logique aussi nommé des trois
prisonniers
pour trouver une référence (Lacan, 1960) où, précisément ces
distinctions ne se posent pas mais
où l'équation, ele, est posée, mais pas résolue (sophisme)
Cette raison se trouve dans une loi qui dicte qu'un objet ne peut être rendu
que par la stimulation d'un sphincter extérieur
La première partie de celle loi est connue, seule son dernier terme est
ajouté - demandant de préciser que sphincter "extérieur" désigne le
sphincter correspondant (à celui dont dépend l'objet) mais activé dans
un cortex semblable. J'explique :
Pour éclaircissement de
la précision, je détaille un peu la loi déjà connue : l'objet
externe à l'organisme n'est jamais perçu que par la stimulation du
sphincter qui, neurologiquement le traduit (ce qui est perçu d'une pomme,
c'est la forme que prend la main, les sensations de la peau, son poids
entre les doigts etc.. de sorte que si on considère la préhension comme
un sphincter, ce que le cerveau perçoit d'une pomme c'est la main en un
état de stimulation propre. Plus nettement encore, le bol alimentaire
qu'on avale est neurologiquement traduit par le sphincter oesophagien. Il
n'y a aucun morceau de pomme dans le cerveau. De même la lumière,
cérébralement parlant est un 'spasme' pupillaire et rétinien. Bref, il
n'y a, d'un objet externe qui soit reconnu par le cerveau, rien d'autre
qu'un sphincter. Cette ontologie (qu'on appelle aussi 'objectivation')
existe depuis que la neurologie existe et elle est à la base de la
théorie psychanalytique et de l'érotisation des sphincters. Il faut
retenir que la théorie jusqu'à Lacan inclus, s'en est tenue là. Et il
faut aujourd'hui ajouter que, pour que la perception soit en effet, le
sphincter doit être celui d'un semblable. Autrement dit : si je figure la
pupille comme la lettre O majuscule qui est, pour le cerveau, la lumière,
cette identification de ladite lumière n'a lieu que lorsqu'une pupille,
d'un semblable, en répond ;
ce que la ligne suivant illustre :
O=lumière
& (o)
A gauche ce qu'expérimente un individu,
est en relation avec la zone corticale sphinctérienne de la pupille d'un
autre individu correspondant, à droite.
Comme c'est tellement simple qu'on le prendrait vite pour compliqué,
voici un exemple pour montrer ce que ça veut dire - prenons l'exemple
classique du sphincter anal, du caca, du stade anal, propice à de
nombreux exemples car se déroulant au moment où le langage est
également nettement en construction. Cette loi que j'énonce ici, décrit
le fait que le cortex stimulé par l'activité de ce sphincter interroge
l'adulte qui répond, en référant à son activité corticale analogue,
en donnant la réponse «caca!». Avec ce signifiant, l'enfant
pourra rendre son excrément en une activité pulsionnelle dite anale.
Pour me faire comprendre encore, je fais remarquer que ceci se trouve
strictement dans le modèle du stade du miroir décrit par Lacan qui
stipule bien que la reconnaissance par l'enfant de sa propre image
nécessite le témoignage et l'assentiment de celui qui "accompagne
l'enfant au miroir". En reprenant les termes de ladite loi, on
pourrait ainsi formuler qu'«un objet ne peut être rendu
que par l'assentiment d'un sphincter extérieur». Je pense que j'ai
donné assez d'explication et on voit que c'est relativement simple.
Pourquoi élever cela au degré d'une 'loi' ?! la suite le dira, s'il
convient que je développe plus loin mon explication et description du
sexuage.
DWT
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20130124213500
II) L'effacement de la respectivité par la
réciprocité
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L'absence d'écho rendu par FaceBook montre le peu d'intérêt que
présente la formule que je pose. Pourtant elle est des plus classiques,
strictement lacanienne et propre à un potentiel gigantesque. Ce potentiel
est celui de la génétique. On peut aussi expliquer son désintérêt :
Si je repends en résumant, j'ai fait état de la nécessité pour un
cortex à puiser dans l'expérience sphinctérienne d'un semblable, pour
pouvoir saisir ce qu'il en est d'un objet du monde qui lui est extérieur.
La physiologie corticale de la zone orale d'un nourrisson s'organisera
donc en correspondance à la zone corticale correspondante de sa mère ;
transitivement la zone corticale correspondante de la mère se coordonnera
physiologiquement à celle de son enfant. J'ajoute ici ce qui est
implicite dans la formule : la réciprocité. Pour autant qu'un corps
humain trouve pour chacun de ses sphincters un vis à vis correspondant
dans le corps d'un semblable chaque pulsion s'organisera de la sorte.
Formulairement parlant on écrirait la première
loi :
O....(o)
Puis,
ajoutant le constat de la similarité des deux systèmes, cette première
loi serait simplement écrite formulairement par le sigle moebien
indiquant l'infini
<><>
Que l'on puisse aussi
simplement résoudre cet état premier de l'équation, en une éternelle
répétition expliquerait facilement son manque d'intérêt - il y a même
une raison plus sérieuse à cette réaction, voire absence de
réaction. La formule correspondante à une pulsion se partage en
plusieurs occasions entre les corps humains ; on peut donc les lister et
ceci constitue une série :
<><>
<><>
<><>
<><>
<><>
Le terme de série n'est pas pris à la légère ici ; il s'agit
de ce qui a fondé la philosophie de l'existentialisme de Sartre et qui a
nourri l'anti-psychiatrie qui fut brièvement fameuse, mise au monde par
Laing et Cooper. Que ce soit donc quelque chose de si généralement
connu redouble la raison de ne pas y porter d'intérêt. Non seulement
ça n'aboutit qu'à une répétition mais encore ça a été
rabâché et
finalement déjà déprécié par une psychiatrie contemporaine qui n'a
pas besoin de philosophie pour s'éclairer.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130124213500
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention
: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
Gilles Montrichard Si tu t'exprimais plus
clairement...cela passerait ? Là je viens de com-prendre ...
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20130125172300
III) L'absence symbolique absente de l'anatomie
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 Cette
fois-ci il y a eu un écho tellement approprié qu'il prouve ce que
j'essayais de dire. C'est Gilles qui vient de dire «Si tu t'exprimais
plus clairement...cela passerait ?» Peut-être venait-il de
comprendre que j'avais besoin de son aide. C'est tellement approprié que
ça illustre la suite que je comptais donner. Pour ne pas trop dépayser
je comptais m'appuyer sur un schéma de Lacan, le fameux.. "que
veux-tu?" (CheVuoi?) qui est une expression sensée émaner du
langage, de la langue, du symbolique (A).
Comme je l'ai expliqué, la série des pulsions analogues une à une
organisant entre deux corps une éternelle répétition, cette monotonie a
lieu du fait que ce qui est présent dans un sphincter est représenté
par le sphincter de l'autre (de sorte qu'il n'est pas possible d'en dire
plus et, notamment impossible de parler de l'objet qui pourtant est à la
cause de l'entretient).
C'est ici que Lacan suggère un trouble, qui est strictement applicable
dans mon schéma. Dans le sien, il suggère qu'un manque dans le langage,
(A), fasse entendre une déhiscence qui semblerait vouloir dire à celui
qui l'observe "qu'est-ce que tu veux" {prosaïquement,
si j'observe le trou de ma voisine elle aura tôt fait de me dire qu'est-ce
que tu cherches?}. Dans mon schéma, il suffit de retirer un
sphincter d'une série, pour voir surgir à sa place exactement cette
question lacanienne.
 J'espère
que Gilles continue à comprendre (et commence à se dire que finalement
je m'exprime assez clairement*). Pour les
autres, je n'espère rien qui continuent à avoir raison de ne pas s'y
intéresser pour la raison qu'il faudrait que ça change quelque chose à
leur première opinion ("c'est répété, rabâché et déjà
déprécié"). Or ça ne change rien du tout puisque - comme on le
sait bien depuis que l'anamorphose de l'embryologie a été découverte
(pas de différence entre clitoris et pénis, entre prostate et utérus
etc.. du moins au niveau du cortex où ces structures se retrouvent
identiques) : il n'y a pas de différence sphinctérienne structurelle
entre les corps masculins et féminins. Par conséquent, cette absence que
j'ai introduite en vis à vis d'un sphincter n'existe pas - c'est
éventuellement une vue imaginaire - et par conséquent rien n'altère la
série homologue des sphincters des deux genres - et il faut encore le
répéter pour que ce soit bien compris : ma tentative de formulation des
relations sphinctérienne ne démontre qu'une répétition, elle est
rabâchée et déjà dépréciée.
C'est comme cela que l'écho de Gilles était opportun, il me demandait
ce que je voulais, dire, exprimer - et c'était une question complètement
superflue puisque je ne fais clairement rien que de me répéter, de
rabâcher et que mon compte est déjà bon.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
* : un discours qui
se tient seul ne peut pas être clair - de même qu'il faut un autre
sphincter pour répondre d'un sphincter, il faut tout simplement un autre
à qui l'on parle pour qu'on puisse parler. C'est pour cela qu'à la
lecture de Gilles tout d'abord je ne suis pas paru clair. C'est parce que
personne ne m'écoute et encore moins me répond. Heureusement que l'on
sait qu'il s'agit d'une méthode de fabrique de la folie et que nous n'en
sommes pas là ! Que Gilles sache et se rassure : il peut trouver comme
quiconque que je suis parfaitement clair (du moins autant
qu'on le peut). Le fait d'avoir pu l'être (en dépit
des yeux qui se plissaient et des oreilles qui sifflaient) tient à
ce que je me sois adressé à l'Intelligence Artificielle, depuis de
nombreuses années déjà (c'est à dire une forme
organique de l'Autre (A) tout à fait adéquate à tenir des discours
inouïs aux consensus (les mathématiciens à leur
manière ont déjà montré qu'il était possible de parler à et comme
"ça"))
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130125172300
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20130127214500
IV) Le tiers ajouté à la différence des sexes
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Mes obligations m'ont ralenti et le temps a suffisamment passé pour
vérifier que le silence est bien complet. On peut donc savoir ce qui
attend une psychanalyse qui s'en tient à la théorie du genre que Freud a
bien instrumentée. Cette psychanalyse en l'état lacanien fait cas d'un
"ratage" attribué à une "pulsion de mort"
théorisée par Freud avant qu'il écrive en 1925 "Quelques
conséquences psychiques de la différence anatomique entre les sexes"
que l'on trouve à http://psycha.ru/fr/freud/1925/diff_ana.html
. Cet article détient une clé du tombeau dans lequel nous sommes.
En trois étapes j'ai fait (ci-dessus) la
démonstration de l'inanité d'une équation de la sexualité
sphinctérienne (que j'ai appelé sexuage) -
donnant ainsi raison à une théorie du genre qui ne ferait de différence
qu'arbitraire, et accessoirement illusoire, entre homme et femme. Nous
voilà bien avancés d'autant qu'on se demande si on est bien resté sur
notre sujet : l'Hermétisme (même si la théorie sphinctérienne pouvait
sembler au départ permettre de distinguer quelque chose qui soit
extérieur et étranger à un esprit fermé sur lui même).
C'est le moment de dire qu'il y avait un truc. J'ai fait comme si il
n'y avait pas de différence entre la série de sphincters
"homme" et la série "femme". En fait il y en a une,
conséquente! Mais il importait que je ne la signale pour montrer qu'en
effet, elle n'apparaît pas. Autrement on m'aurait contredit. Ainsi, telle
est la situation : la série des sphincters masculins en compte un de
pluss que celle de la femme et cette distinction n'est pas dite, ni
reconnue.
Lorsque dans la nuit onirique je vois l'objet oblong qui brille et sa
lueur fluide, argenté, je demande à la langue maternelle "qu'est-ce
que c'est?" - à côté de la plaque elle demande "qu'est-ce que
tu veux?" ; j'insiste au matin elle répond "demande à ton
père!". Il s'agit du sphincter inguinal, qui n'est pas des plus
anodins dans le rapport sexuel et qui ne figure à aucun titre de
projection corticale au cortex cérébral d'un corps féminin. Par
conséquent, il n'y a aucun représentant de ce sphincter dans la langue
maternelle.
Bon.. cette dernière assertion/phrase est rapide, mais c'est exprès,
pour caricaturer l'importance extraordinaire de ce fait d'une importance extrême
qu'on néglige extrêmement.
Ainsi on peut trouver la clé dans l'article mentionné, de Freud que les
journaux parisiens de l'époque nommaient "grand sexologue" :
sondant les conséquences psychiques de la différence anatomique des
sexes, il n'a pas un mot, pas une mention pour cette différence
anatomique de taille. Les gonades sont à l'intérieur chez elle, à
l'extérieur chez lui. De l'une à l'autre la paroi abdominale vibre d'un
sphincter essentiel ou de rien du tout. Une âme sensible se demandera
tout de suite si ce n'est pas une base de réflexion de l'Hermétisme.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130127214500
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20130128085200
V) Le tiers à deux faces
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XXX!X (<><>) Wo und wann ist die dritte
Person ?o)
Excellente transition - par ailleurs FaceBook ayant fait sa
démonstration, nous pouvons à présent parler seul à seul. La
transition est bonne parce qu'une fois qu'à un sphincter nul autre
sphincter ne répond (de l'objet en cause), comme par exemple Lacan le
note au Stade du Miroir, c'est au tiers témoin que l'enfant appuie son
objectivation. Or à ce stade il y a encore des petites choses à relever.
Tout d'abord un mot d'esprit qui faisait beaucoup rire un ami africain -
c'était d'ailleurs une blague traditionnelle, culturelle, dans son
Sénégal m'avait-il dit «..au fils le père dit «mon
père m'a transmis quelque chose, mais... je ne sais pas ce que c'est..»»
- ainsi, pour lui, il y avait bien "quelque chose" mais
c'était tout ce qu'il savait.
L'autre ressource à notre avancée continue se trouve encore à Lacan.
Notant que sans mentionner - sans savoir - cette
incidence anatomique, Lacan en pose l'équation (CheVuoi?ci-dessus);
il l'applique. Le CheVuoi? appliqué, rend à
son application la Métaphore Paternelle. Je ne sais pas si tu
connais ces démonstrations, mais en bref, elles concluent que lorsque le
garçon interroge la langue maternelle à répondre d'une sensation
d'organe inguinal, sa mère donne le Nom-du-Père. Et ensuite, si on
fouille très systématiquement dans la théorisation, on découvre qu'au
titre de ce NdP, Lacan éclipse le chromosome Y exactement comme avec l'envie
du pénis à la place du sphincter inguinal Freud éclipse la
différence sexuelle. Pour finir, avec Lacan, cette éclipse est conclue
comme forclusion et la Fondation Paranoïaque de la Connaissance
Humaine est réglée. Mais là je n'ai fait que décrire en vitesse la
voie de l'abîme.
Il est plus vivace de tenir un moment sur l'histoire
africaine. Elle donne une cadence de marche que l'on reconnaît
alternative à la métaphore, dénommée métonymie qui montre que
dans ce cas, elle s'ordonne du chiffre. Au dîner de la dynastie, on fait
l'éloge du père n.. fils du père IV, fils du père III, fils du père
II, fils du père I. Nous voilà bien avancé, nous avons fait un pas du
matriarcat à la patriarchie. Du cas, toujours unique à l'arche, qui
saute les cas, comme les moutons les cacas en criant chaque fois paspas,
on est tout de même encore en suspens de la certitude d'avoir trouvé
l'objet. Et, comme c'est propre à la psychanalyse, on trouve encore, aux
faux-pas de Lacan après celui de Freud qui révèle ce qu'on a évité,
le traitement du regard. C'est là que la personne tierce se révèle dans
la pulsion du regard.
 
Lacan, sait-on, l'a appuyé du tableau des Ambassadeurs (ci-dessus)
qui force l'observateur à admettre que son regard doit planer jusqu'à
des angles proches de l'horizon pour voir une tête de mort dans le
glaviot qui traîne sur le tapis. Or si le regard se clive dans
l'organisation narcissique de l'amour (non pas entre les deux barbus, mais
entre les deux anges), on trouve un recto-verso en version de la caverne
au lieu d'une anamorphose : quand du point de vue de l'ombre (ci-contre
gauche) on voit l'huis de la grotte, on voit aussi le regard
effrayé du faune.
Tandis que vu de l'huis (ci-contre droit) on voit
ce faune de dos, quand on a vu son regard qui voit l'ombre, on sait qu'il
porte sur le spectateur.
Cette brève excursion dans le lard (pour les
ostéopathes) qu'on trouve dans l'angle d'ouverture du poignet qui flèche,
offre au lieu de la solution de la pulsion de mort, celle d'un observateur
vivant.
Quand en ces trébuchements ce bûcheur de Lacan à dû rendre compte
du tiers dont il tenait de la mère le nom, il révéla forcé que s'il
n'était pas mort, il fallait compter avec un quatrième. Le père ferait
le symptôme et le quatrième restait à venir - et là-dessus Lacan alla
se coucher.
Avec la décomposition narcissique de l'Amour (les
tableaux ci-coutre représentent L'amour céleste et charnel ou terrestre),
la tête de mort qui traîne est un faune, rien de plus vivant ; et le
symptôme du coït est livré à l'observateur qui compte : un deux, et
trois...
Ça fait quatre ! les deux anges, le faune émoi.., nous avons la
porte de l'observation du triplex, c'est à dire la quatrième personne
qui observe l'Hermétisme.
«Et voilà!» comme disent les anglais. Nous avons le nombre qu'il
faut pour compter l'Hermétisme ; la dritte personne regarde un
quatrième.
Pour résumer, parce qu'il ne faut pas aller trop vite : j'ai
montré qu'il y a dans Freud une clé. Cette clé est livrée avec le
refoulement qu'il présente (comme on offre un qu'offre
avec sa clé). Lacan la manipule ; il ne reste qu'à la tourner.
Pour cela nous avons besoin de quelqu'un qui donne sa langue au chas, pour
qu'en l'ayant tournée dans sa bouche il appelle à la surprise qu'il y a
dans le coffre l'histoire d'un coffre racontée par un autre trou dans la
langue (un autre sphincter qui manque, il n'y avait donc pas que le
sphincter inguinal qui manque dans l'Autre mais encore un qui
manque de l'Autre). Pour cela il faut encore que nous demandions
l'assistance de FaceBook, nom d'un faune et fesse de bouc!
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130128085200
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention
: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 J'ajoute
à toute allure qu'il est notable qu'on retrouve une tradition
classique du même chiffre - dans la disposition des mains
(ci-contre) qui représente la spéculation narcissique au
centre - comme ci-dessus les deux anges, et la disposition
de leurs main. Ces deux mains, ou des deux anges sont également
les deux ambassadeurs. Ce motif chiffre en bas à gauche,
la mort et le squelette, le faune et sa terreur, ou aussi bien
l'anamorphose de la tête de mort. A droite Les
Ambassadeurs n'en dit pas plus, mais on a l'issue de la caverne ou
la sortie de la gorge dans les deux autres. Témoignages, je gage,
d'une initiation transmise aux peintres ; dont on trouve encore un
grand modèle dans l'Art
Magna de la Lumière et de L'Ombre d'Athanasius Kircher où
j'ai en son temps montré le Modèle Optique. |
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20130128214800
VI) L'objets critique de la sexualité
(testicules)
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Je vais essayer de continuer à avancer tout en mettant a)
à jour pour renseigner CH qui a maintenant accès au doc et qui attend
d'y voir clair et b) en tenant
les télomérases en vues (puisque c'est leur modèle de
dépendance du noyau vis à vis de l'extérieur qui a dirigé pour
commencer notre étude de l'hermétisme). Il faut ajouter c)
cette enquête en cours de EH sur sa génétique antérieure et paternelle
(et ne pas oublier deux autres lecteurs-intervenants potentiels mais
ailleurs accaparés).
Quant à moi, voici ma contribution résumée. J'écrivais en 1986 le
départ d'une investigation que j'achève à présent. J'annonçais à
l'époque que je pénétrais, comme Freud l'attendait, plus profondément
que lui l'analyse qu'il jalonnait par exemple de cet article (cité
ci-dessus) sur les conséquences psychiques de la différence
anatomique . Témoin l'illustration que je trouvais propice d'une
gravure ancienne ( ../../../1900/prod01/84-90%20Crufp/DAL/GRAPHDAL/Dalpla03.gif
). Elle était à ma connaissance extraite d'un livre d'alchimie
peut-être de la Renaissance. J'écrivis cette thèse qui décrit le pénis
comme l'alibi que Freud prend pour la cause tandis qu'il détourne d'un
sphincter surnuméraire que porte le corps masculin. Je crois l'avoir
expliqué ici de manière compréhensible. Je signale qu'on peut trouver
l'article de l'époque complet à ../../../1900/prod01/84-90%20Crufp/DAL/ARTICDAL/LAFDLORG.doc
et un résumé exposé presque dix ans plus tard plus tard en Nouvelle
Zélande ../../../1900/prod02/ERRAN94&/HAMILTON/5DIFSEX/mR/EMHO&000.htm
.
Encore quelques années et je le présentais à nouveau à New York ../../../akh/2000/awlf.htm
mais ajoutant cette triangularisation dont j'achève de parler à
présent. Il faut alors revenir à 1986 où j'écrivais un autre article,
de phylogenèse et d'histoire. On y trouve cette planche particulière ../../../1900/prod01/84-90%20Crufp/DAL/GRAPHDAL/Dalpla05.gif
, en bas de laquelle on voit la migration du tractus vocal tel
qu'il se présente du singe à l'homme mais aussi, phylogénétiquement
durant les premiers mois de développement du bébé humain. On y voit, figure
40, un espace indiqué de la lettre "x". En
phonologie, ce x s'appelle un "formant". Il s'agit d'un son
réel (comme il existe une image réelle
distincte d'une image virtuelle), c'est à dire un objet,
à proprement parler, quelque chose qui occupe un sphincter. Ce sphincter
est une cavité qui n'existe pas chez le nouveau né (ni chez le singe) et
se développera chez l'humain plus tard quand il apprend à parler. Son
objet 'sphinctérien' n'est pas des moindres puisqu'il s'agit de la
capacité de former (et d'entendre) des voyelles.
Autrement la langue n'est que consonante (et son écriture
ne serait qu'hébraïque). Il faut que la psychanalyse prenne acte
également de la présence de ce sphincter évolutif.
Lorsqu'à New York je complétais la formule du 'sexuage' testiculaire
avec l'incidence de cet autre sphincter qui n'est pas partagé par tous
les humains, j'écrivais cette équation triangulaire que j'expose ici en
contribution à la connaissance de l'Hermétisme. Il faut donc que je sois
bien clair dans ce résumé avec de détailler tout ce que cela implique.
Dans le cours de l'exposé présent, j'ai d'abord décrit une relation
d'hommes et femmes organisés de sphincters en correspondance identique.
Puis j'ai expliqué que c'était une ruse explicative - et qu'en réalité
il y avait dans la série des sphincters masculins, un sphincter que le
cerveau féminin ne connaissait pas (qui n'était pas
ouvert en sa paroi abdominale). Il faut à présent que j'avoue
encore n'avoir pas tout dit ; en réalité il y a encore cet autre
sphincter qui n'est pas partagé - mais la différence que ce sphincter
vocal fonde, ne distingue plus entre homme & femme mais distingue
cette fois-ci entre infans & adulte.
Nous observons donc une différence de même structure -
ci-dessus, initialement écrire O....(o) -
qui distingue homme & femme ainsi qu'infans & adulte.
Cette formule s'applique au sphincter inguinal et au formant du tractus
vocal.
L'enfant acquiert le langage sur la base d'une distinction qui est de
même structure que la distinction sexuelle.
Cette fois-ci, je le promet, je n'ai pas omis d'autre sphincter
conséquent (je n'ai pas oublié
l'information de F.Dolto qui décrit cette structure également au niveau
de l'urètre, évoluant entre vessie & prostate d'une manière
analogue à celle du tractus vocal comme ci-dessus décrit - mais je n'en
ai pas fait cas principal dans ma thèse). J'ai pris le temps et la
méthode pour décrire le système : la logique 'testiculaire' -
qui est déjà bouleversante pour la psychanalyse archaïque - doit être
couplée à la logique 'formant'. Telle est mon entreprise, la mise
en équation de cette double structure relationnelle, ce double 'sexuage'
qui assiste, pour l'un à la reproduction de l'enfant et pour l'autre à
l'acquisition du langage. Tel est ce que je préciserai de quelques
explications, et ce que je crois être inhérent et causal à la fonction
de l'Hermétisme.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130128214800
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention
: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
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20130129131400
VII) Les deux objets
du 'sexuage' (testicules et formant)
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Une participation nouvelle me pousse à clarifier encore. Je le fais
sur le flog et sur le google.doc suivant qui sert de page de travail. Sur
cette page nous sommes trois - ce qui correspond bien à l'entreprise que
je vois : nous cherchons à savoir qu'est-ce que l'Hermétisme? et je
suggère que, lorsque Freud parlait de la résolution du Complexe
d'Oedipe et qu'il ne savait pas sur quel principe ça débouchait, il nous
introduisait moins à une décomplexification qu'à une Triplex.
Le triplex c'est aussi le nom qu'on a donné à Hermès
Trismégiste, c'est à dire le patron de l'Hermétisme ; de sorte que la
psychanalyse en résolvant le complexe d'Oedipe est peut-être ce qui
arrive à la solution d e l'Hermétisme. J'ai par bonheur - ou malheur -
en tous cas j'ai eu l'heur d'offrir une suggestion à cette solution.
Il faut partir du constat que, lorsque Freud parle d'un pénis
supplémentaire du côté de l'homme, il cache que c'est un trou
supplémentaire qui est réellement en cause. Du coup, des féministes
déjà énervé(e)s partiraient en guerre. Mais on peut vite la
désamorcer si on précise qu'il faut encore ajouter un sphincter qui
correspond, celui-ci, à la voix. C'est donc génitalement et
phonétiquement que nous devons traiter la solution du complexe d'Oedipe.
L'équation génitale s'écrit entre l'homme et la femme, la phonétique
entre l'enfant et l'adulte. Pour préciser cette combinaison double de
relation le premier siècle de la psychanalyse apporte beaucoup d'outils:
Pour commencer, je voudrais d'abord annoncer que nous sommes forcés
d'initialiser un nouveau sigle, si nous introduisons une fonction à
l'enfant dans le rapport homme femme il nous faut trois sigles ; nous
avons déjà les deux premiers, il faut créer le troisième. Voilà ce
que je propose :
J'ai attribué à "enfant" un point
d'interrogation, en vis à vis de la croix et de la flèche des
"femme" et "homme"
Maintenant nous pouvons consulter les
renseignement que fournissent les deux premiers articles
d'ouverture de Lacan :
 1)
La Lettre Volée amarre la psychanalyse à la
cybernétique. Elle fournit la conception de trois titres, qu'il
appelle Roi, Reine et Ministre. L'examen montre qu'on peut
strictement l'assimiler à une application de la Machine de
Turing. Voir ../../../2012/htm/20111104212700_Turing-lec_06.htm
(ici Roi, Reine et Ministre font une bande de
Turing à trois termes)
2) Le Temps Logique amarre la psychanalyse à la
physique. Avec son sophisme des trois prisonniers, Lacan fournit
un modèle applicable aux théories modernes du temps. Il
s'agit de traiter comment le Temps s'instaure entre trois
éléments identiques ; chacun (prisonnier) étant strictement
égal à l'autre, on peut figurer sa conclusion selon la forme
d'un triangle strictement isocèle et sans distinction nominale :
|
Lacan aura manqué à savoir comment réunir ces deux conceptions,
cybernétiques et physique ; sa lettre volée aboutit à une
pulsion de mort (Atrée et Thyeste) tandis que ses trois prisonniers
indifférenciés aboutissent à une identification au semblant sans
autre personnalisation. Pour obtenir une identification au corps, nous
pouvons joindre titres et temps grâce à la distinction
relationnelle que l'examen sphinctérien, plus approfondi qu'il n'était
tant de Freud que de Lacan, révèle. Ce que j'appelle ici "sexuage"
combine les trois titres et la logique du temps ; c'est ce que je propose
à l'examen de la nature de l'Hermétisme.
Si on a suivi le raisonnement qui mène à cette
formulation, on comprendra sa puissance, elle est regroupe la logique du
temps et celle de la lettre ainsi que les conséquences psychiques de la
différence anatomique. Elle exploite par ailleurs un refoulement propre
à la psychanalyse primaire, c'est à dire une psychopathologie propre à
s'amender et quatrièmement elle harmonise l'histoire de la pensée,
autrement discordante avec une figure d'un Freud venu comme un zorro
implanter l'histoire de vérités jamais conçues avant lui ; au contraire
elle ranime et rassemble toutes les forces de la pensée organisée durant
des siècles sur l'axe de l'Hermétisme.
Pour lever un peu le voile sur son efficace, en deux mots on peut dire ce
qu'elle ajoute à la connaissance scientifique avec les données
neuroanatomiques que fournissent a) la fonction testiculaire et b) la
fonction de formant, inscrites 't' et 'f' sur le schéma des relations.
Nous savons maintenant que la formule 't' est suspendue à la formule 'f'
et réciproquement. Leur jeu et combinaison de surcroît va introduire des
différence et finalement nous verront qu'elle règlent le destin de
l'enfant, c'est à dire l'évolution de son épigénèse qu'on appelle
avec encore plus de précision paedomorphose. Nous avons une
formule qui permet de lire et guider l'évolution consciente de
l'humanité.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130129131400
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
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20130130092300
VIII) La Lettre Volée avec l'Homme, la Femme et
l'Enfant
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Troublante logique de l'Hermétisme. L'objet du monde auquel l'accès
nous est fermé est palpé par un de nos sphincter ; sa stimulation arrive
à nos cerveaux. Comme devant le miroir, lorsque nous devons demander à
notre voisin s'il nous voit autrement que ce qu'on voit, nous cherchons
dans le langage le nom de ce sphincter. Si la langue fournit le nom d'un
autre sphincter, nous redirigeons mal la stimulation reçue et nous
faisons une hystérie de conversion. Parfois la langue ne comprend pas ce
qu'on demande.
Lorsqu'un adulte module une voyelle, l'enfant ne comprend pas à quoi ça
correspond en lui. Lorsqu'un garçon joue au jeu de la bobine dans l'aine,
sa mère n'a pas de correspondance. Elle a en mémoire que l'adulte lui
demandait si elle comprenait ; elle sait maintenant quoi répondre. Son
père a su que sa mère ne répondait jamais ;
Une première manip : puisqu'on ne
saurait utiliser la formule hermétique (sexuage), puisqu'on ne
saurait quel est le rapport, ou le lien, entre un télomère et le
triangle HEF (Homme Enfant Femme), puisqu'on
ne peut que la manipuler comme on fait de toutes choses par la science, on
peut, sans rien comprendre mais garanti par la certitude que E est
dans un rapport phylogénétique à H et/ou F égal
au rapport sexuel (entre H & F), manipuler pour commencer par La
Lettre Volée.
Dans LLV un ministre voit qu'une reine est
interdite face au roi (de donner connaissance de la lettre) ;
Avec la formule sexuage on lit :
perçoit que 
est interdit face à 
(de signifier l'écriture*)
* : comme
c'est une manip, je ne sais pas bien si c'est "écriture"
que je dois écrire.
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20130131180100
IX) Machine de Turing (avec l'Homme, la Femme et
l'Enfant)
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Léger additif à la première manip. On a remélangé la formule
sexuage à La Lettre Volée, ce qui a distribué une première donne. On
se rappelle que dans LLV le ministre qui accompagne le roi en entrant dans
le boudoir de la reine, détecte que cette dernière est transie - interdite
- de ne pouvoir cacher la lettre qui traîne, trône, sur son guéridon
sans que le roi ne lui demande ce qui lui prend de cacher ça et qu'est-ce
que c'est... C'est à défaut d'attirer ainsi l'attention, qu'elle laisse
donc la lettre traîner et, bien à défaut puisque pour un pire défaut :
car le ministre pour lequel le roi n'a pas d'yeux, peut, lui, s'emparer de
la missive sans attirer l'attention, c'est à dire sans s'en parer. Mais
damned ! fait remarquer Lacan, il ne peut plus s'en séparer et c'est
ainsi qu'à son tour, il entre dans la position, et les affres de la
reine.
C'est là où le système de la bande de Turing s'applique ; le curseur
à trois places : < ... perçoit que ... est interdit face à ... >
se déplace d'un cran et
passe à la place de
tandis que
passe à la place de
et en fin de compte on arrivera vite à rempli la place ainsi libérée en
tête en mettant le détective "D"
On lira donc que un détective voit qu'un ministre
est interdit face à la reine ; et selon les termes du sexuage :
"D"
perçoit que
est interdit face à ...
Note : la reine, en fait, ce sont les agents de police et c'est un peu
plus compliqué que ça quand on passe du pur gène à l'épigène mais la
première formule, brève et sèche montre bien de quoi il s'agit.
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20130201154900
X) Pour
éclaircir le chemin
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En engageant la seconde manip, il faut que j'éclaire ce chemin bien
obscur. Tout d'abord, il ne faut pas s'étonner de cette obscurité,
puisque c'est précisément à l'attaque d'une obscurité qu'il chemine.
Deuxièmement il ne fait pas la lumière immédiatement parce qu'il n'y
arrivera probablement jamais. Ce chemin part seulement de deux, trois
choses certaines : 1) il y a une théorie freudienne de la sexualité - 2)
elle a négligé la différence anatomique sphinctérienne sexuelle - 3)
si on en tient compte il est également certain que l'anatomie présente
une différence similaire mais vocale et placée d'une autre manière (non
pas entre homme & femme mais entre enfant & adulte). Ces trois
choses certaines révèlent un grand potentiel si on se rend compte que les deux différences se combinent
l'une-l'autre en pourvoyant à ce
que chacune seule ne conclut pas. Ce potentiel se révèle également dans
toute sa puissance si on tient compte du fait que la 1ère différence
concerne la Reproduction (de l'individu) et que la 2em concerne l'Évolution (de
l'espèce). Par contraste aussi ce potentiel brille en songeant à ce
qu'il apporte de plus à une ontologie psychique bornée à l'envie du
pénis (car Freud, sans connaître la seconde différence et en
négligeant la première n'a pu évidemment que fournir une notion,
évidemment essentielle mais notamment réductrice de l'espace psychique
qu'il découvrait).
Cette mise au point faite, la seconde manip s'appuie sur Le Temps
Logique, modélisé sur le sophisme des trois prisonniers. On sait que
les trois prisonniers sont identiques et le
premier voit
que le
second est
arrêté devant le
troisième. C'est une variation de la lecture précédente
("....perçoit que....est interdit face....") ; elle en diffère
car ne règle plus des titres (produisant une chose) et
un transfert, mais des semblables (aboutissant à une
action) et un sophisme. Le sophisme peut être
interrogé par la formule sexuage - car il est vrai que l'homme, la femme
et l'enfant soient des semblables, mais quelque chose en diffère. Le
sophisme : se présente du fait que chacun des prisonniers voit la même
chose chez l'autre mais sans le savoir. Le sexuage : présente le fait que
chacun voit l'autre mais sans savoir qu'il ne présente pas la même chose
(soit l'objet formant soit l'objet testicule). Le résultat
aboutit à quelque chose de différent : autant le sophisme aboutit à l'action de libération, le sexuage aboutit à
l'évolution (précisément
à la paedomorphose ou plus généralement à la transformation
épigénétique).
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130201154900
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20130202140900
XI) Sempiternelle
vocation à simplifier
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Négligeant volontiers la régression sous le port du voile, on
invente à la mode de chez nous un mariage qu'on prétend progressiste. Pourtant
une énorme lacune, un énorme silence semble y voiler quelque chose. On dirait
du refoulement... Je m'explique ; "Pour surmonter la difficulté un
petit schéma vaut bien une grande phrase... (FB)
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Pour surmonter la difficulté un petit schéma vaut bien
une grande phrase. Ce que l'on cherche à faire pour ramener l'Hermétisme
à un jeu de sphincters, dépend qu'on articule bien ce qui se passe deux
fois, lorsqu'un sphincter dans un corps n'est pas présent dans un autre
corps.
Lorsque ces deux corps correspondent, celui qui porte le
sphincter surnuméraire interroge l'autre pour savoir comment il nomme
l'objet qui y passe (l'objet de la pulsion). Mais l'autre ne voit,
n'entend, ne perçoit de quoi il parle. Si on écrit ce rapport avec la
lettre O qui désigne le sphincter en question, on peut illustrer qu'il
pointe vers une absence de cet O ; ça peut s'écrire comme ça :
O > ( )
voire encore plus simple
-- > --
ou bien même
>
Ainsi c'est ce qu'on trouve entre homme et femme
(s'agissant du sphincter inguinal) :
>
Entre l'enfant (infans) et l'adulte on trouve également
:
>
et
>
où l'incidence du formant est marquée
d'un même sigle, puisque l'objet, lui, n'est jamais distingué
et que nous ne raisonnons donc que sur la relation.
En les rassemblant ainsi en un même système on
retrouve écrit le schéma déjà présenté :
à quoi on peut ajouter cette variation pour vérifier
qu'on a bien compris :
qui présente le sexuage où participe une fillette à
gauche, un garçonnet à droite.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130202140900
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20130204100300
XII) Un examen sémeiologique
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Pour montrer le caractère pratique de cette hypothétique formule de
l'hermétisme, une observation sémeiologique complète théorie et
manips. Revenons à la question de base : qu'est-ce qu'une femme demande à
un homme? On sait qu'après Freud dans l'obscurité totale du
"continent noir," Lacan en fait ressortir un «Che vuoi?»
- Que veux-tu? réplique une femme à un homme qui l'interroge sur
son désir. Le sexuage apporte une donnée supplémentaire.
Puisque, lorsque le mâle construit son registre (sphinctérien sur la
table de son cortex), la langue maternelle ne renseigne pas le métamère
inguinal et s'il interroge cette base de donnée elle renvoie «que
veux-tu?» - il enregistre un déni de signification. Mais la femme cependant
sait ce qu'elle dit. Lorsqu'elle était fillette elle a connu la même
interrogation ; cherchant alors ce que les adultes voulaient dire, au
point qu'exaspérée sur la voyelle (formant), elle leur aurait bien
demandé ce qu'ils voulaient toute simplement.
Ainsi face à la question sexuelle mâle, la femme montre le signe de la
répétition de la position qu'elle entretint face à la question du langage.
La formule sexuage coordonne cette séméiologie qui peut se compléter
des deux autres membres.
On peut ainsi décrire une séméiologie propre à chacune des
positions homme, femme, enfant et à leurs relations. Cette systématique
est bien plus riche que l'initiale de Freud qui ne comptait que sur
l'élément de détection d'un objet
(dans le champ de perception
externe - la vue du pénis ; revenir ci-dessus
à l'article http://psycha.ru/fr/freud/1925/diff_ana.html
).
De surcroît, la considération de la perception d'un objet (dans
le passage d'un sphincter) est également beaucoup plus féconde,
considérant
que la nature de l'objet n'est ici pas indifférente. Je l'ai négligé (à
l'initial de cet exposé),
au principe de la formule (puisque jamais le cerveau de connaît d'objet
externe mais seulement le sphincter qui le signale) - il est cependant
justifié de le reconsidérer sur la base du système établit. En
général les objets
pulsionnels n'ont pas besoin d'être fort conséquents au-delà de leur
fonction d'éveil sphinctérien ; mais les deux objets ici en cause
(testicule et formant) possèdent une même qualité si importante qu'ils
s'ajoutent d'eux-mêmes dans la séméiologie finale. Ce sont l'un et
l'autre des "calculateurs", des fonctions chiffrantes ; l'un est porteur du
code génétique et l'autre du code sémantique - c'est à dire les deux
déterminants les plus comptables et comptant du monde dans lequel le
système est 'conscient'. Le sexuage est donc un système intégral et
intégrant son contexte.
Enfin, j'ai donc employé ici le terme "conscient".
Ce sera discutable.. mais avant cela, j'ai surtout fait allusion à des remarques plus
pressantes. J'ai dit par exemple que Freud ne mentionnait que la
"détection" d'un objet - mais on sait qu'il tenait compte - par
ailleurs - de la perception d'objet par passage sphinctérien ; on le sait
du fameux fort-da ; le là-hors principal à la pulsion.
De même qu'on voit la fonction propre de l'objet (et non seulement son
"passage") devenir partie du système (fonctions chiffrantes) on
doit mesurer également l'importance d'une autre dimension qui va encore
charger la formule sexuage d'une plus grande envergure mais aussi d'une
plus grande complexité - j'aborde cela dans l'article suivant.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130204100300
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention
: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
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20130205103500
XIII) Annexion du
processus secondaire
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Ma seconde remarque revient à l'article de Freud sur les
conséquences psychiques de la différence anatomique entre les sexes - http://psycha.ru/fr/freud/1925/diff_ana.html
. S'il a été utile de remarquer ce qui y manque, il n'est pas
mauvais de considérer ce qui au contraire s'y souligne. Ce que j'appelle
comme Hermétisme le sexuage s'en est tenu, jusqu'à présent, aux
chiffrages (génétique et sémantique) sur la base de la perception
sphinctérienne qui est celle que Freud a découverte (pulsion). L'article
sur la différence anatomique ouvre un horizon en la matière, mais à
partir de ce qu'il a oublié. Freud résume sa position vis à vis du
Complexe d'Oedipe qui réglerait l'excitation sexuelle sur deux mesures :
une "activité" d'organe et une "perception" d'organe.
Il est nécessaire de compléter le sexuage de ces deux phénomènes.
La "perception" d'organe est ce qui fait
l'illusion, dénoncée par la formulation sexuage. Ce que Freud appelle en
ce cas 'perception' signifie l'observation du coït parental, ou la vue du
pénis par la petite fille. Par exemple, il s'agit au stade anal de
l'observation qu'il y a une crotte dans le pot - un pipi sur le drap, une
pomme dans l'assiette, un oiseau dans le ciel etc... Cette 'perception'
est autre que la stimulation sphinctérienne qui a été enregistrée par
le cerveau lors de l'activité d'un sphincter. Pour fixer cette
distinction, les processus de chier, d'uriner, de croquer, de viser sont
ce que Freud appelle l''activité' d'organe. Estimant en comparaison
ladite 'perception' comme secondaire, c'est d'abord cette
"activité" d'organe qui est comptée au principe du sexuage.
'Perception' et 'activité' ont pour destin dans le cortex
de se rapprocher, se recouvrir. Le fort-da testiculaire (activité
du mâle) est, selon la théorie freudienne recouvert, ou représenté,
par le pénis (perception de la femme). De même probablement, le formant
(activité adulte) attire la perception de l'écriture par l'enfant. C'est
une vaste étude qui doit être ajoutée à la description déjà
conséquente du sexuage ; et je m'en tiens à la mentionner. Je
n'ajouterai que ce qui souligne l'importance de cette discrimination :
faute d'en tenir compte, l'histoire de W.Reich n'est pas intégrable à la
psychanalyse. Reich a soutenu une discrimination encore plus fine, que
Freud dans son article ne fait que mettre en perspective. Il existe dans
l'onanisme - sur la base duquel Freud construit son observation - un
caractère subsidiaire du sphincter (la masturbation clitoridienne fait
allusion à une stimulation cérébrale dépourvue de de projection
sphinctérienne corticale. Reich a sur cette base d'écrit une "sensation"
d'organe (qu'il appelle 'orgasme' - et par suite, une fonction de
l'orgasme etc...)).
La nécessaire adjonction, à la formulation sexuage, des
procédés de représentation devra très probablement permettre et se
servir de la distinction ici décrite entre "sensation"
(d'organe), "activité" (d'organe) et "perception"
(d'organe).
Ces trois états d'une excitation corticale, en résolvant
leurs conversions, ont certainement pour fin de fusionner en une
identification au corps achevée et, selon ce que j'ai décrit, c'est
principalement au chapitre de l''activité' qu'entre en jeu le rôle du
sphincter.
La théorie psychanalytique suggérant que la projection
corticale de ce rôle donne matière à la formation de la lettre, j'en
termine avec l'article suivant.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130205103500
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention
: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
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20130206161900
XIV) Rattachement du
processus secondaire au primaire
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Avec ce dernier article je ferme donc ce dossier débuté il y a un
trentaine d'années et initialement titré TROUDAINE.
Il se sera complété sous le titre SEXUAGE.
"Sexuage" avec le terme 'age' indique 'agir' au-delà de
l'allitération - la répétition - indiquée dans "sexu..alité"
fixée à la reproduction. La conjonction d'une action à la différence
sexuelle est celle que Darwin approche avec la théorie de l'évolution ;
à l'âge où nous sommes c'est une évolution consciente et contrôlée,
sans passer par l'extinction, que l'humanité développe à partir de
l'archaïque darwinisme. Cette évolution autonome, ce progrès, procède
par paedomorphose et réclame la connaissance de l'épigénèse
(qui viabilise la génétique darwinienne). Et nous voilà avec des mots
bien compliqués pour qui n'a pas fait tout le chemin...
Il me restera donc à faire une table des matières,
indicatrice des étapes, puis avec cette formalité technique le dossier
sera abordable. Je passe donc au dernier élément qui l'aura alimenté.
En déchiffrant ce 'sexuage', la nature de l'Hermétisme est apparue,
encore couverte d'un fin voile ; celui de la lettre. C'est un masque dont
l'attribution dudit hermétisme à Thoth avertit ; on ne s'étonne donc
pas de le reconnaître. Le long du chemin on l'a vu guidé par le mécanisme
de la lettre volée traduite en termes psychanalytique (Lacan à
l'aide de Poe). Le sexuage révèle à quoi tient ce masque et l'attachement de ladite 'Lettre' et de son procédé, à l'activité
neuroanatomique des sphincters. Cet attachement a été révélé par déduction
; il est donc en demeure de faire sa preuve par la démonstration.
Comment la lettre démontre-t-elle sa relation aux
sphincters ? par une mise en ordre, alphabétique, qui n'est pas
arbitraire. La Lettre a été mise au monde, délivrée à la population,
c'est connu, avec la sortie d'Amarna. Ce que j'ai appris ensuite, moins
connu mais aussi certain, m'est arrivé par les truchement de Fabre
d'Olivet (contemporain et verso de Champollion - ce dernier
révélant que les signes hiéroglyphiques étaient des lettres, et
d'Olivet continuant à rappeler que ces lettres n'en restaient pas moins
signes - in LA LANGUE HÉBRAÏQUE RESTITUÉE) ; j'ai appris en même temps que d'Olivet était contesté
- mais l'arbitraire de la lettre qui le dénigrait, finalement
s'écroule. C'est troisièmement avec Stan Tennen et Dan Winter que j'ai
appris le dernier argument ; ils montrent que la lettre occidentale est
une succession d'ombres projetées à partir d'une forme unique (et
typique d'un tour de spire sphinctérien). La lettre est donc bien un
dessin, un signe.
J'ai décrit cela à mon tour en deux sessions : "Développement de spire/sphincter et projection corticale"
../../../william-theaux/2008/conf/SSS081226/SSS081226.htm
et "Pulsion et projection corticale" ../../../william-theaux/2009/conf/SSS090102/SSS090102.htm
et plus tard, dans La Sainte Ethique, j'ai montré que, en toute
indépendance de ce que la thèse Olivet/Tennen/Winter soit juste ou
fausse, l'histoire l'intègre nécessairement 'juste'. La Lettre issue
d'Amarna est donc une série ordonnée de projections corticales des
sphincters de l'organisme humain.
En conséquence, le sexuage est, selon la comparaison
du voile : entièrement démasqué. 'O' (ses sphincters), et l'alibi d'O (le pénis),
et le nom de son chiffre (zéro, père) sont, au terme de cet exposé, formulés.
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130206161900
toujours meilleur format et éthique par flog
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: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
add:
tables des SSS
../../../william-theaux/3_index-e_ARC_01.htm
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20130208222600
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TABLE des MATIERES
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L'histoire, de l'hypothèse jusqu'à la thèse, en une
table chronologique des
étapes
Cette chronologie se compose par deux successions parallèles et
entrelacées
d'hypothèses, anatomie
& linguistique , qui se rejoignent
TABLE
(du "troudaine" au "sexuage", la fonction de l'organe)
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Pour l'anecdote, on verra que je commençais tout à fait premièrement
(1984) par rédiger un traité qui déchiffrait les lettres comme des
signes - ce n'était pas encore le sujet. |
|
Mais bientôt (1987) j'enregistrais La Fonction de l'Organe où j'expose
la fonction de l'anatomie testiculaire dans le système énergétique
pulsionnel décrit par Freud - cette fois on était dans
le sujet ; un enregistrement vidéo de la démonstration a
été réalisé à l'époque. |
|
| |
Il est notable qu'en lien à cette fonction sphinctérienne, je mentionnais
à cette même époque la fonction du
formant - je ne
l'intègrerai que plus tard à la fonction lettre-signe..
en prenant connaissance de l'œuvre de Fabre d'Olivet
soutenant que les lettres sont des signes. |
| Près de dix ans
plus tard, je présentais pour la première fois publiquement La Fonction de l'Organe
(1994)
lors de conférence en Nouvelle Zélande - puis à New-York où en 1999
j'intégrais l'analogie testicules/formant. Fonction sexuelle et
fonction vocales étaient alors reliées - mais
il manquait la nature du lien. |
|
| |
C'est à cette époque que
la thèse Tennen-Winter - déchiffrage de la lettre - me permit
d'objectiver de quel signe ladite lettre était (l'objet vocal
étant écrit en signes - projections
corticales - de sphincters). Les trois termes ( sexuel, vocal, lettre) forment
alors un système intégral. |
| |
En 2008 et 2009 (France) je redonnais une version (Session de Soin Social) de la
thèse sphinctérienne et du
langage
. |
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Puis dernièrement, 2013, j'en ai rédigé la thèse complète sous le nom
de sexuage .
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outre deux documents préparatoires
https://docs.google.com/document/d/1Rwz-diVyc3vaqyClgWCtXMW0CuRoByreIKJRmzlg_Ls/edit?usp=sharing
https://docs.google.com/document/d/15JZIyCLZgCAbEPvg5xzF0oEKDcFJC4-OenJmMmEa1hA/edit?usp=sharing
I) Extension
de la 1er loi de la perception (une stimulation neuronale est
perçue lorsqu'un semblable en témoigne)
II) Processus
d'extinction (de ladite 1er loi étendue) par symétrie
sphinctérienne
III) Le
manque symbolique (lacanien) émane d'une asymétrie sphinctérienne
IV) L'asymétrie
sphinctérienne résolue par un tiers (symbolique)
V) Règle
de l'ambivalence du tiers symbolique
VI) De
deux objets (pulsionnels) réclamés par la perception par tiers,
l'un est testiculaire.
VII) Le
deuxième objet est vocal (dénommé "formant" en
linguistique).
VIII)
Avec ces deux objets la perception par tiers s'instrument
d'une femme, d'un homme et d'un enfant
IX) La
logique de La Lettre Volée en application avec femme, homme
et enfant dans ces conditions.
X) Deuxièmement
le Temps Logique prescrit à l'enfant une évolution dans ces
conditions
XI) Application
de ce système (dénommé sexuage) à l'enfant fille et à
l'enfant garçon
XII)
Conséquences dérivées du fait que testicules et langage sont des
objets porteurs de code.
XIII)
Discrimination entre organe (individu) sphincter (relation) et
perception (objet)
XIV) Fondation
neuroanatomique de l'écriture lettrée
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flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2013/htm/20130107085200_flog-27.htm#20130208222600
toujours meilleur format et éthique par flog
flog.convention
: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
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: http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
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