Un bref historique, anecdotique - du terme pluriel donnera l'enjeu qui s'y trouve et le refoulement qu'il donne l'occasion de lever

 

 

 

Bonjour,

Je continue à vous tenir informé des notes et commentaires que votre intéressant article m'autorise.
Vous trouverez ci-lié leur usage ;
et ci-dessous l'archivage de notre correspondance :

 

 

 

 

 

http://mots.revues.org/index7203.html - miroir

 

 

 

 

Les exemple de l'usage actuel de l'Analyse Plurielle foisonnent à présent sur le web

http://www.cren-nantes.net/spip.php?article45 - miroir

l'INIST thèse soutenue en 1997 par Allab Slimane ; Ladet Pierre (Directeur de thèse)

l'expression analyse plurielle a été déposée INPI activement jusqu'en 1999.

 

 

   Je me fiche de ce que que ces auteurs aient jamais été savoir ce que j'avais formé au titre du Pluriel et d' Analyse Plurielle. Mon investissement à l'INPI aura répondu à sa fonction en certifiant simplement cette antériorité. Reconnaître cette antériorité regarde les auteurs et ne me concerne pas. Ce qui m'importe par contre - et raison de mes remarques ici produites - c'est qu'il soit net quand dans la psychologie collective comme dans la nomenclature industrielle, le Pluriel a été et demeure par ses origines, inaltérablement attaché à la psychanalyse. Autrement dit, tout ce que les savants du taire et de la terre pourront en faire réclamera par sa nature que le Pluriel ne sera valide et/ou efficace qu'en actualisation de la doublure moebienne que constituent psychanalyse et cybernétique. En pratique " Analyse Plurielle " impose la fonction du moins-un.
   On trouvera un résumé de cette théorisation, par exemple, sur : http://www.akhnaton.net/dna/franpsy.htm (avec un navigateur comme MS.Internet Explorer qui veut bien développer les petits " + ")