-----Message d'origine-----
De : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr [mailto:UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr]De
la part de monosgaste
Envoyé : jeudi 30 octobre 2008 12:36
À : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Objet : [UNEFPE_MEMBRES] question...
Monsieur Théaux,
En psychanalyse où se loge l'affectif ???
Jamais vu - jamais entendu parlé - disparu
Ou sommes nous destiné à ne pas avoir d'affect, disons à ne
plus en avoir ...
?? MG
Bonjour,
Il serait possible - il est très possible mais il serait
possible - de trouver de nos jours la source littéraire, la
littérature sur l'affect et de la
traiter par recherche informatique. Il faudrait pour cela avoir les
textes de Freud en électronique - mais l'Université Canadienne qui
les diffusait a été freinée - et avoir ceux de Lacan - mais les
Editions du Seuil avec le gendre de Lacan ont arrêté la diffusion
que l'éditeur Camille Amiche avait entretenue du vivant de Lacan -
et il suffirait encore d'avoir quelques autres ressources d'auteurs
; bref nous sommes techniquement aptes mais économiquement,
légalement interdits de pouvoir traiter efficacement la question (ref
: propriétarisation). Il est probable d'ailleurs que ce soit par
une exploitation de l'affect que des entreprises co-pirates de
censure et/ou de privation de la connaissance soient en mesure
d'établir et de maintenir leur régime dommageable. Ce n'est pas
par une passion politique amère que je mentionne et décrit ce fait
; il suffit qu'il soit seulement étrange que partant de la
psychanalyse et de sa vocation d'éclairage à l'adresse du
refoulement, ces faits de société ne soient pas abordés. Ils
servent à montrer comment la volonté d'en-rien-savoir se sert de
l'affect pour n'en pas parler.
Finalement on arrive par l'Internet et ses moteurs de recherche -
non pas des êtres humains chercheurs mais, notons-le : des moteurs
- à ratisser quelques informations - à vrai dire suffisantes et qui
- par l'ironie du sort - ne sont pas grevées des faussetés que
l'édition commerciale impose pour sa nécessité. Nous avons donc,
par exemple wikipedia - pas sans savoir au demeurant que ce pseudo
moteur n'est pas moins taré ( si nécessaire je l'ai examiné et
récolté l'expérience par laquel on découvre comment cette encyclopédie
procède à de majeures censures ). En nous contentant de ce que
nous avons, ces pages et quelques autres (
search = affect psychanalyse ) pointent vers l'
Esquisse_pour_une_psychologie_scientifique au ' quantum d'affect '
http://www.akhnaton.net/dna/members/pso/dev03/outline/1895A.HTM
De cette page les images réclament malheureusement une mise-à-jour
hors de mon temps ce matin - je les exposerai si nécessaires en SSS
; on y voit le neurone ' phi ' (voir lien animation ci-dessous) en
fonction de pouvoir gérer des quanta - clés du quantum d'affect.
Le travail des SSS actuellement en cours donne des clés qui
expliquent le caractère énigmatique ou irrésolu du statut de
l'affect dans la psychanalyse. Ces SSSs sont au point où le modèle
lacanien ( nommé schéma L ou Z ) s'étoffe ou s'alimente aux
notions traditionnelles, permanentes dans l'histoire de la pensée
humaine que sont par exemple les distinctions mental-vital-physique.
La manifestation vitale de l'Inconscient y a été localisée ; lors
de la dernière SSS le dénommé ' physique ' commençait à
apparaître en coîncidence avec la relation ( dite ' imaginaire '
en accord avec ladite Tradition, en ce que le physique/maya y
paraît pour une part essentielle imaginaire ) écrite <
a------a' >.
Tout cela semble un peu technique mais répond à ce qu'on
demande : si l'on veut savoir de quoi relève l'affect qui nous
étreint la vie durant, cette description le déchiffre dans le
domaine physique. Cette simple petite ligne diagonale du schéma L
absorbe le fouillis de la description savante de wikipedia "
Selon le contexte, l'affect a la fonction d'être soit une
émanation de la pulsion (motions affectives), soit le moteur d'une
idée, soit le mobile d'actes, soit encore un tissu de relations que
le rapport à l'objet transférentiel aide à repérer et à
répéter. "
Il ne faut pas oublier qu'émation, mobile, moteur ou tissu, cet
affect que l'on voit se former par l'opération psy en neurone phi
selon une illustration animée :
http://www.akhnaton.net/dna/members/pso/dev03/outline/18INV.GIF
serait-il cet autre ( a' ) du bout de la ligne < a------a' > ,
n'en demeure pas moins un neurone ou plus spécialement l'issue
quantique d'un jeu synaptique - c'est à dire une molécule
chimique.
Ce neurone ( système ou état neural phi , aboutissement de
l'affect ) est justement conjugué à l'idéalisation dans la
théorie psychanalytique - bien en accord avec ce que les plantes
sacrée/enthéogènes depuis l'aube de l'humanité prêtent à
l'idée de divinité. On voit donc comment c'est par le parcours
psychique de l'affect que l'objet pulsionnel initial - c'est à dire
ce qui est saisi de l'extérieur par le sphincter, voire de ce qui
n'est pas vivant - devient au terme du parcours " a------a'
" la représentation idéalisée de la libido (phi).
DWT
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