COLLOQUE H26
comte-rendu résumé (en 6 parties) d'un colloque 206 détaillé par ailleurs
Il faut que j'explique avant de commencer, que j'avais lancé cette édition pour une personne qui, dès le début a grommelé qu'elle ne comprenait pas bien. Je lui ai répondu ce que j'ai gardé ci-dessous comme littérature grise. Mais par la suite mon compte-rendu de Moïse et le Monothéisme s'est vu opposé une telle volonté mauvaise de le dé-lire et une indifférence si ignare, que j'ai décidé d'achever cette édition pour personne. |
Une remise en mémoire, pour commencer..
J'écrirai donc en résumé ce qui se trouve
détaillé depuis
longtemps.
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Au foyer de l'obtusion de mes collègues à s'y éveiller je faisait écho à une poésie chantée par + Alain Bashung
poème HAPPE (Bashung)
et ce qu'on voit, qui s'ébranle, Freud qui publie Moïse.. non, tu vois pas.. la shoa, entre les dunes, serait-elle arrivée si tu avais été dans l'angle? par la porte entre-ouverte je te vois, quand tu faisais du zen, on se rappelle, si on avait vu.. si on avait lu Moïse, non, tu vois pas, une poussière dans l'oeil ; l'Europe en 1600 disait déjà.. non, tu vois pas ! peu à peu tu me happes, à peine on voit ce qu'on vit, encore en 1900 ; peu à peu, quand tu faisais du zen, dans l'angle, tu vois ce qu'on voit, entre les lignes de Moïse, ce convoi qui s'arrête, si on dévoile, si on dénude, la vérité sur Moïse mais le vent et soudain le monde entier se trouble et je te vois pleurer des rêves qui blessent, rêves qui ne cessent et des romans fleuves à sécher entre les lignes |
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