OCCULTISME
suite de page publique
Occulté de la parade publique, je suis à présent moins gêné par l'obligation de convenance de discours - pour poser plus avant les hypothèses, ou les perspectives qui émanent de ma lecture de la Science de l'Occulte de R.Steiner. Les premiers jalons d'une homologie (Occul/Psychanal) ayant été établis, j'arrive au point où Steiner bascule sur la notion d'âme. Il emploie ce concept (concept de l'âme) à l'appui de sa démonstration... débutant blanc, pourrait-on dire ou, en d'autres termes : il ajoute ce facteur (l'âme) à sa description du monde, sans la moindre définition préalable, description ou introduction, : c'en est intellectuellement scandaleux; mais signe au moins de l'insuffisance (voir sa notion de mémoire présentée au chapitre précédent) qu'il suture. Par chance, j'ai dernièrement conclu - avec plus de précision, analyse, déduction et définition par rapport à l'époque de Steiner - à une théorie, ou une thèse - non pas tant sur l'âme réservée du domaine des théologiens, mais sur ce que les anciens, voire le discours logique tout simplement, appelait du terme d'âme. La chose et ce qu'on désigne du terme de la chose ne sont par forcément identiques (sauf peut-être en cas du Nom-du-Père et du chromosome Y). Dans le cas de l'âme, ce que l'occultiste appelait dans le temps de la sorte, désigne l'ADN d'aujourd'hui (comme par exemple ce qu'on appelait dans le temps Triplex correspond à celui qu'on appelle aujourd'hui Akhnaton). Cette conflagration (âme-ADN) se bonifie d'avoir pu formuler ladite chose, sinon l'avoir localisée, dans la modélisation que ce soit de la Caverne de Platon, ou du Schéma Optique de Lacan. Cette modélisation est encore celle que j'ai introduite avant de présentement l'occulter ; on y voit l'âme s'y élève en une série d'objets ; aboutissant à celui qui se barre ().
On trouve un premier soutient à cette hypothèse d'identification du ribo (c'est à dire ARN, ADN dont Y) dans celle que l'occultiste fait dès qu'il ait introduit sa partition "sensibilité-entendement-conscience" : il est une part de l'âme, dit-il, qui est corporelle, dans la mesure de la connaissance d'un objet présent par le corps astral. Or selon la localisation de l'astral en l'espace spéculaire, un objet présent y est connu dans la mesure de la bascule du Modèle Optique en sa phase dit seconde, c'est à dire celle où l'image spéculaire vient à la place du vase renversé, désigné (C). Cette fonctionnalité du Modèle Optique accentue donc la superposition hypothéquée entre les deux discours occulte et psychanalytique. D'ailleurs l'occultiste dénomme cette particularité de l'astral incarné Corps Psychique (fig.60 ci-dessous:), à l'instar de ladite phase seconde qui est dite psychanalytique pour ce qu'elle inscrit au modèle une entité psychique..
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NOTE/PHASE de travail : J'affecte
mon étude à cette étape d'une modification importante. Préalablement
j'ai mentionné l'ARN, que j'ai pris pour référence extranucléaire de la
codification génique. Je l'ai fait dans la mesure où j'estime qu'il
conditionne une spécificité individuelle. Mais c'est un point de vue
contestable du point de vue que pareille spécificité serait mieux soutenue par
l'ADN mitochondrial. Les mitochondries de surcroît sont aisément comparables
à des organite plus environnementaux, ainsi que je le considérerai plus
après.
Ce n'est donc plus en terme d'ARN, mais en celui d'ADNm que je
parlerai du support génique de ce que l'occultiste appelle sensibilité
et le psychanalyste l'image psychique du corps.
le modèle en phase.1
(fig:50) montre l'image spéculaire - i'(a) - et montre en phase.2 (fig:60)
l'image réelle, i(a), et l'image psychique au-dessous
Nous devons soumettre ce modèle à la comparaison vis à vis de la culture qui - à l'épreuve du clonage - révèle son identification du moi à l'ADN ; c'est le matériel génétique du noyau qui a été nécessaire et suffisant à la création des premiers clones. Sans doute est-ce par trop d'évidence et de traits communs que la qualité du cytoplasme n'était pas soulignée. Or c'est bien cette évidence qui se retourne comme une lettre volée pour souligner qu'on avait évidemment omis la spécificité cytoplasmique, de mémoire exclusivement féminine. Or si ce n'est le moi, dit notre civilisation, c'est donc son environnement - et c'est par cette analyse du Corps Psychique que l'on révèle une mémoire cytoplasmique exilée dans une négligence de l'environnement, caractéristique de la fondation paranoïaque de la personnalité humaine. Mais le dire, c'est une Paranoïa Critique qui trouve une issue dans la thèse que je soutiens, assignant la psychanalyse à la tâche de l'écologie. Ce que je poursuis avec la page suivante.
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