La sainte éthique addition
Cette page est encore En
Construction puisqu'elle s'intégrera aux
fondations en cours du Parti de l'Intelligence Cybernétique ( P.I.C)
lui même en cours de formalisation.
Les technologies modernes de lecture de la pensée (Interface Cerveau Machine) posent de nouvelles condition à définir la propriété.
Ces bases de réflexion en ce domaine peuvent être fournies par un texte notable de l'année 1900 (un peu avant) titré Esquisse pour une Psychologie Scientifique. Mais l'ICM n'existait pas encore à cette époque, à la manière dont aujourd'hui elle s'assimile à l'informatique, cybernétique, intelligence artificielle etc.. A son ouverture, La Sainte Éthique relate l'initiale expérimentation de l'ICM qui permet à un être humain de piloter un ordinateur par la pensée. Elle fait l'analyse du processus ainsi engagé et reconnaît ce que les expérimentateurs (NASA 2004) nomment parole subvocale au travers de l'analyse que l'Esquisse de 1900 avait établie.
Cette psychologie scientifique distinguait ce qu'elle appelle des représentation idéiques, des idées et des représentations sensorielles, des perceptions ainsi que des voies de rapprochement et de fusion entre l'idée et la perception (permettant une conscience de la réalité). La Sainte Ethique rappelle les étapes de conception qui suivirent et particulièrement l'apport supplémentaire de la notion d'engrame - dont sont principalement témoins les symptômes névrotiques, mais aussi les hallucinations et non moins des phénomènes normaux qui concourent à former quatrièmement ladite " parole subvocale." Un schéma illustre ainsi l'ouverture du premier chapitre de La Sainte Ethique.
Une fois que ce système a été analysé, en le mettant en relation avec un (système) semblable, il se révèle appartenir à l'art de la mémoire. A ce stade, nous sommes au chapitre.3 de La Sainte Éthique - mais avant d'aller plus loin, l'histoire nous donne l'occasion de donner un exemple pratique de ces lois qui en première observation relèvent de la neurobiologie mais se laissent ensuite reconnaître dans des domaines plus étendus ou dépendants. Un exemple s'en trouve à propos de l'identification d'un personnage historique. La mémoire d'une scène qui s'est déroulée à Amarna en Égypte il y a trois millénaires est peut-être tributaire d'une identification d'éléments objectivement perçus - par exemple il s'agit de la découverte d'Akhnaton, qui n'est 'perçu' que depuis un siècle à peu près, c'est à dire au moment où l'égyptologie a mis à jour le personnage historique. Il est possible que cette perception doive rejoindre et se confondre avec une 'idée' existant par ailleurs et qui est celle de Moïse.
Si c'est le cas - si Moïse doit être reconnu comme l'idée ancienne (le souvenir) de la perception récente d'Akhnaton - nous observons de profondes résistances. Ce qui prête à penser qu'il existe peut-être une condition supplémentaire. La notion d' 'engrame' que la psychologie scientifique a ensuite ajouté pourrait bien y participer. Ce serait vite dire que la comparaison pourrait être avancée jusqu'à Oedipe, ou Hermès, venant compléter le nombre des termes du schéma. Il est beaucoup plus assuré de nous en tenir et nous servir des faits. La résistance s'oppose au motif de la propriété.
C'est par l'incidences de froisseries anodines, de dénigrements courtois et de censures discrètes que, seulement exacerbées d'un peu plus en avant, un obstacle torrentiel se met à fondre comme une cataracte à noyer toute discussion, au motif de fameuses lois internationales de copyright - c'est à dire de 'propriété intellectuelle'.
Qu'est-ce que la propriété intellectuelle ?
La notion de propriété a été scientifiquement abordée par la sociologie du 19em siècle - notamment après Karl Marx avec les alibis historiques que l'on sait et qui ont occupé une grande partie de l'économie du 20em siècle. L'apport du marxisme fut de de qualifier la notion de propriété et de l'attacher à la notion de valeur - la personne moderne devenant plus 'propriétaire' d'une valeur que d'un objet. Certes l'objet a continué à faire foi de la jouissance (et donc de la propriété) mais la reconnaissance de son statut imaginaire a pu être acquise de manière bien plus assurée, garantie par le prétexte de la valeur. Autrement dit : on savait depuis toujours que le rapport que l'être humain entretenait avec les choses était une relation ou un rapport imaginaire - et que les choses se rangeaient pratiquement dans la catégorie des illusions. Mais précisément la vertu de l'illusion était d'entretenir la fausse croyance en la nature réelle des choses dont l'administration sociale réglait la propriété. En déplaçant leur identification de l'illusion à leur valeur, les objets ont développé un progrès de la conscience. Ainsi a donc été basée la notion de propriété au cours du 20em siècle jusqu'à ce qu'elle franchisse une nouvelle étape à partir du moment où la numérisation a ajouté à ces notions une relativité de la valeur.
La notion de propriété est donc en passe de progresser vers de
nouvelles précisions (distribuant ce progrès aux trois domaines, d'identité,
d'objet et de jouissance - en d'autres termes de signifiant, matière et
énergie). Nous entrons dans un phénomène nouveau où par conséquent nous
établissons surtout des hypothèses. L'une de ces hypothèses, des plus
probables, est que si l'identité s'attache la notion de propriété,
elle réclame au moins autant d'être dotée de mémoire.
Il y a lieu, par conséquent de rapprocher ces facteurs et de formuler
l'hypothèse que notre propriété et ce que nous avons en mémoire -
réciproquement que notre mémoire définit ce dont nous sommes propriétaires.
Si par exemple des souvenirs nous sont supprimés nous serions certainement en
droit de nous déclarer spoliés, voire volés.
Cet appui sur la mémoire pour qualifier la propriété, au sens post-moderne
et/ou au sens à venir, est d'autant plus satisfaisant que la notion de
propriété intellectuelle s'est particulièrement rendue sensible à cette
époque de transition - indiquant bien que la propriété engage des objets
abstraits, mentaux, intellectuels, c'est à dire de ceux qui participent de la
mémoire. Par ailleurs, et dans l'autre sens, les notions de valeurs et encore
plus celles plus anciennes d'objet sont inversement de moins en moins solides,
tant la matière tend-elle à être traitée comme le virtuel et tant la valeur
perd-elle sa dimension quantitative pour celle plus complexe de réseaux et de
coïncidences. Nous avons donc de nombreux motifs à souligner l'hypothèse qu'une
nouvelle notion de la propriété l'attachera essentiellement à la mémoire.
Nous arrivons donc au point de vue que qui combinent les notions de la psychologie scientifique et de la propriété. A partir du moment où une perception a été enregistrée dans la mémoire - c'est à dire engramée - et pour qu'elle subvienne à une idée qui puisse vérifier n'être pas une parole subvocale de catégorie hallucinatoire, elle nécessite de pouvoir être confrontée à nouveau, en cas de besoin, à la perception. A cela pourvoit l'objet initial et permanent , ou bien son type qu'on appelle trace. Dans la mesure où une personne est en droit de réclamer sa mémoire comme sa propriété - c'est à dire également réclamer l'usage de cette mémoire dans toute la dimension de son potentiel, elle est en position de droit de définir ces traces comme parties de sa propriété. Autrement dit, si une personne perçoit un objet, c'est à dire son information - si elle n'est pas exclusivement propriétaire dudit objet elle n'en est pas moins de ses traces - ou précisément de la trace de cet objet permettant de réitérer sa perception et vérifier sa réalité (ré-éprouver la conscience de sa réalité). Dans la mesure où l'industrie et la civilisation le permettent, particulièrement toutes choses enregistrables lues, vues ou entendues - sont de droit enregistrables et, à ce titre de traces aussitôt que perçues, devenues la propriété de la personne qui en a pris connaissance. Ceci dénonce absolument ce que l'on fait aujourd'hui de la "propriété intellectuelle" comme un vol et un crime vis à vis de la personne.
J'ai précédemment construit une page intitulée "Épisode Novembre 2010" qui m'a fourni la base du texte présent. Elle était articulée autour d'extraits d'une conversation tenue sur un blog. J'avais fait une copie de ce blog mise en référence sur mon site car il serait néfaste que je parle de quelque chose tandis que sa référence a été modifiée voire supprimée comme cela peut arriver au fil des semaines, des mois et des années. Mais surtout j'avais conçu ladite page 'Episode' et prenant une certaine distance pour la traiter afin d'isoler l'analyse de la chaîne/thread elle-même. Je suis interdit d'enregistrer et de copier la réaction qui s'en suivit de la part de l'autrice que j'appelle Sister Copidden. Tout ce que Sister Copidden s'écrit-elle en lettres capitales doit être mentionné avec sa permission. C'est à dire que Sister Copidden se permettrait, par exemple de dire en prétendant me connaître que je suis alcoolique pour me discréditer au yeux du groupe que nous partageons, et je n'aurais pas le droit de faire cas du viol à l'extérieur. J'ai déjà traité cela pour décrire comment un groupe de psychanalystes peut devenir une secte.
Le titre de 'propriété intellectuelle' est un peu comme était le droit de cuissage de temps révolus. La page 'Episode' analyse, démonte, détaille et remonte le circuit d'une projection qui maintient séparés à distance idée et perception : en refusant la copie et la répétition de ce qui est dit le maintient d'une idée (en l'occurrence celle de Moïse) est cantonné à distance de l'identification à l'objet (en l'occurrence l'historique Akhnaton). Il s'agit d'une fabrication hallucinatoire et paranoïaque d'un personnage imaginaire - le Moïse qu'en l'occurrence la psychologie scientifique appelle monoïdéique et qui historiquement est cultivé au motif du monothéisme. On imagine pour le comprendre, ce qui a dû se passer lorsque l'amonisme s'est réclamé de la propriété des codes et secrets du culte (ce que l'atonisme avait rendu publique jusqu'à livrer à la lumière du jour les lettre hiéroglyphiques et séries de codes antérieurement réservés aux initiés). Cette duperie se répète sans cesse ; c'est aujourd'hui Sister Copidden qui accuse de vol celui ou celle qu'elle viole. Je l'appelle Copidden pour vouloir dire flic caché - non pas que je dénonce la personne derrière son uniforme, mais la fonction qui, sous le prétexte de défendre des révisions de l'histoire en maintient le refoulement - stratégie qui s'entend un temps et qui, au jour moderne des nouvelles notions de propriété, doit être considéré comme périmée.
add : en maquillant le texte Copidden pour le voiler, j'éprouvais les conditions qui durent affecter le rapport de l'histoire si une circonstance comparable avait affecté la transmission d'Akhnaton, interdite de 'copie' par ses successeurs. Incidemment, quelques jours après ou de manière intercurrente, un messager postait sur le blog copiraté son point de vue approuvant les bonnes recherches de S.Copidden mais mentionnant son côté obscurcissant également. Ce message fut supprimé par l'administrateur du blog. On réalise alors exactement comment le copyright devient censure - comme un trou noir il absorbe la réflexion et ne laisse rien ressortir ; il aboutit à la confusion et au mensonge. De même qu'un flic caché motive la flicaille, c'est un pirate [Ramsès] caché (Copirate) qui pille la vérité et en appelle à la piraterie [Israël] pour éviter de pires ratages [Grèce].
le 20101120114300 j'écrivis donc sur le blog :
sur http://www.kv64.info/2010/11/dna-of-moses.html |
Hello Kate, We have a significant and psychological
singularity within which reflects the missing artifacts that history keeps
for clever understanging : just following the "17 November 2010 03:23"
post which ends so : « And when I came as Horus my uraeus threw fire
against my opponents. And after I expelled the abomination of the gods,
the earth removed their footprints.» - we have anonymous' "17 November 2010
18:26" post which says : « This post has been removed by a blog
administrator.» I am not judging the reason why it was deleted but acting
the scientific observation, if we dare contemplate the actual facts we find an echo
of the construct of historical data in the heart of the amarnian affair : |