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Des questions légitimes et une
exposition qui pèche par omission

La ville créée par Mosis-Aknaton ne s'est
jamais appelée Amarna ! Il suffit de regarder une vidéo du site
(http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=-AkUfxsxRiA).
Alors pourquoi appeler cette ville qui
s'appelait ATEN ou Athènes en français, de même qu'il y
a une Thèbes égyptienne et une Thèbes grecque (ce n'est pas un
hasard !) est présenté avec le nom germano-arabe actuel
"Amarna" ?
Curieux non ! D'autant que la statut de Nefertiti aurait été
reliftée pour avoir un look plus aryen et que le Musée de Berlin
refuse même de la prêter aux Egyptiens de peur qu'on l'analyse.
Certes elle ressemble aux autres statues de Nefertiti mais les
traits sont clairement différents.
De quel droit ce musée s'arroge-t-il un droit moral sur ce
buste ?
Un petit rappel n'est pas inutile.
Prévu pour durer jusqu’au 13 avril 2013, l’événement
souhaite célébrer le 100e anniversaire de la découverte du
buste de Néfertiti et d’autres joyaux de la période
amarnienne. Néfertiti était l’épouse du pharaon Akhenaton.
Comme Akhénaton n'est autre que Moïse, la stupide bataille
pour savoir qui est le peuple élu, les Ebériens ou les Aryens,
se poursuit contre toute attente !
A travers près de 600 objets, « l’exposition montre des
objets jamais présentés auparavant provenant des collections du
Musée de Berlin, mais aussi du Metropolitande New York, du Louvre
et du British Museum », se félicite le musée berlinois. Oui, et
nous ?
Parmi les objets figure le buste de la légendaire reine de l’Egypte
ancienne, Néfertiti, dont l’Egypte réclame depuis des années
la restitution. L’exposition présentera d’autres objets très
intéressants, citons, entre autres, les trônes restaurés d’Akhenaton
et de Néfertiti, dont on cache, comme ailleurs, qu'elle est la
corégente en a présente comme une princesse venue du Nord.
La collection de l’Ägyptisches Museum und Papyrussammlung
est considérée comme l’une des collections d’antiquités
égyptiennes les plus riches au monde. Le musée possède surtout
des pièces trouvées à Aten, rebaptisée Amarna.
Les archéologues allemands fouillèrent le site d’Aten entre
1911 et 1914, en privilégiant les maisons particulières. Ce
choix se révéla payant, car de nombreux objets y avaient été
oubliés. Les témoignages de l’époque dite
"amarnienne" sont une composante fondamentale de la
collection berlinoise. Cette époque doit son nom à Amarna, qui
n'est que le nom moderne de la capitale fondée sous Akhenaton en
Moyenne-Egypte sous le nom d'Athènes (Akhiet Aten en égyptien,
soit Horizon - Horus- d'Aten.
Datant d’environ 3 400 ans, le buste a été exhumé à
Athènes, en 1912, par l’archéologue allemand Ludwig Borchardt,
lors d’une campagne de fouilles sous la direction de la Deutsche
Orient Gesellschaft. Dans son ouvrage Portrait de la reine
Néfertiti, publié en 1923, Ludwig Borchardt décrit avec
précision la composition des pigments utilisés pour colorer le
buste (on se demande bien comment il a pu les reconstituer !)
En 1913, l’archéologue allemand obtient l’autorisation de
rapporter le buste à Berlin pour l’étudier. Mais, à son
arrivée en Allemagne, le buste est remis à Henri James Simon,
marchand d’antiquités et commanditaire des fouilles d’Amarna.
Le buste n’est définitivement donné au Musée de Berlin qu’en
1920. Enfin, le buste n'est dévoilé au public qu'en 1923 et
exposé l’année suivante au Neues Museum de Berlin. Bien des
experts soupçonne qu'on l'a légèrement relifté pour lui donner
un look plus conforme à la mythologie allemande.
de fait, depuis la présentation officielle au public du buste,
donc en 1924, les autorités égyptiennes n’ont cessé de
demander son retour en Egypte. En 1925, l’Egypte menace d’interdire
les fouilles allemandes en Egypte si le buste n’est pas rendu.
En 1929, les autorités égyptiennes offrent d’échanger le
buste contre d’autres objets, mais l’Allemagne refuse.
En 1933, Hermann Goering, ministre de la Luftwaffe, envisage de
restituer le buste à Farouq I, roi d’Egypte, afin de l’inciter
à compter parmi les soutiens du régime nazi. Mais cette idée
est refusée par Adolf Hitler, qui déclare qu’il souhaite faire
construire un musée à Berlin où le buste de Néfertiti
deviendrait l’attraction centrale, considérant que ce buste
signe l'évidence de l'ascendance aryenne sur le monde.
Devons-nous continuer d'accepter ce scandale ?
Rendons à Aten ou Atenaïe ou Athènes son vrai nom !
Expertisons ce buste et rendons à Néfertiti ses vrais traits.
C'est sans doute, elle, la fondatrice, à l'image plus tard de
Marie-Madeleine. Pourquoi travestir les grandes figures de notre
histoire ?
Patrice Hernu http://www.lexpress.fr/actualites/1/culture/berlin-va-celebrer-le-
centenaire-de-la-decouverte-du-buste-de-nefertiti_1153322.html
Commentaires
Cédric Berlemont Pourquoi
? parce que l'Homme a toujours cherché à légitimiter
TOUTE son autorité en tout domaine....quitte à travestir
la vérité...
il y a 20 heures · Modifié · J’aime
· 6
Patrice Hernu Ce
buste appartient à la collectivité humaine mondiale. Qu'il
soit à Berlin ou au Caire, peu importe.
En revanche il ne peut pas être le
symbole de l'Allemagne et seule la vérité compte.
Amarna ? On ne fout du monde.
Qu'est-ce qui est derrière cela ?
Le fait qu'Athènes est la refondation d'Aten comme
l'explique Sophocle. Il y a déjà le mythe de Moïse dans
l'ancien testament. Stop ! Laissons aux textes leur valeur
allégorique universelle. Les appropriations et les guerres
de religion : CA SUFFIT !
Le temps est venu de dénoncer les
impostures.
il y a 20 heures · J’aime · 9
Patrice Hernu C'est
très intéressant en fait. Tout n'est pas faux dans la
Bible. C'est simplement instrumentalisé par les Perses qui
haïssent les Grecs et les Egyptiens. Mais les auteurs
successifs de l'Ancien testament laissent volontairement de
nombreuses traces de la vérité.
Que les premiers athéniens soient en fait
les héritiers de Moïse ne fait guère de doute. Sophocle
(littéralement celui qui a regardé (occul) la mort (soph)
le sous-entend souvent.
Le récit est allégorique. L'épisode de
Cippora raconte quelque chose de vrai. L'interprétation de
la circoncision est en revanche à mes yeux pure
récupération. La circoncision était pratiquée à Sumer
et dans la dynastie Mosis mais mon analyse est différente.
Abraham s'oppose à la circoncision tout comme
Mosis-Akhenaton. D'où les 14 bassins de baptême par l'eau
dans le grand Temple de Sal-Amon d'Aten. Il veut rompre
définitivement avec la circoncision. Comme Jésus et
Baptiste le rappelleront et comme c'est indiqué dans la
version non expurgée des rouleaux de cuivre.
Mais tu as raison. A quel moment les
héritiers se retrouvent à fonder Atenaïe (pluriel
féminin égyptien) : nul ne le sait. Pendant cet épisode
relaté par la Bible ou après la fondation du temple du
Tabernacle dans le mont Sinaï ?
il y a 19 heures · Modifié · J’aime · 3
Patrice Hernu Un
ami a peut-être un avis !
il y a 19 heures · J’aime
Jasmin Wise je
ne crois pas au mensonge mais bien à l'inculture totale
chez ceux qui travaillent dans le domaine de la culture où
sévissent des abrutis qui flattent leur ego, en france
aussi on a du grain à moudre ,croyez-moi
il y a 19 heures · J’aime · 2
Patrice Hernu Au
fond, vous avez peut-être tout simplement raison !
il y a 19 heures · J’aime
Serge Sobczynski Je
ne comprends pas comment le gouvernement démocratique et
anti nazi en place en 1923 et 1924 peut avoir eu l'idée d'aryaniser
le buste de Nefertiti et de le rendre "plus conforme à
la mythologie Allemande"!
il y a 19 heures · J’aime
Patrice Hernu Qui
parle du gouvernement ?
Croyez-vous vraiment qu'il faut attendre 38 pour que les
thèses de la société de Theulé à laquelle appartenaient
certains des protagonistes de cette aventure ait gagné la
société germanique ?
D'ailleurs, à titre personnel, je ne prétends pas que
cette thèse soit vraie.
Je dis simplement : pourquoi refuse-t-on une expertise
indépendante ?
Quelle est l'histoire réelle de cette statue ?
il y a 19 heures · J’aime · 4
Proportion D'or
Un peu de lumière ne devrait jamais géner..et ce serait la
moindre des choses ...Gerard......
il y a 18 heures · J’aime
Nadia Bennani Désolée
Patrice ! Je n'ai aucune idée... ! Il va falloir que je
fasse des recherches...
il y a 18 heures · J’aime · 1
Christine Lanjol Avec
de tel profils, curieux ! Mais quels étaient ces
bâtisseurs ? comme venus d'ailleurs ...
il y a 3 heures · J’aime
Patrice Hernu Possibilité
à l'étude !
Il y a 31 minutes · J’aime
Serge Sobczynski Si
le buste entre au Musée en 1920 les autorités publiques
(le gouvernement donc) ont quelque chose à dire sur les
retouches et les restaurations.
Il y a 21 minutes · J’aime |
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AKHENATON ALIAS MOISE (Moses=Môsis) : On dispose de toutes
les preuves et du récit à peu près complet.
Sa mère Tiyi le rebaptisa Moses (Moïse ; le futur Aménophis IV/Akhénaton
) à la mort de son demi-frère pour faciliter son accession au trône.
Qui ne pouvait lui revenir car il n'était pas le fils légitime de la
femme du pharaon son père (Aménophis III). Or Moses (né des eaux
primordiales [Moun] ; celles-ci étant assimilées au liquide amniotique
qui s'épand à la naissance)-, signifie par extension sémantique
"héritier, légitime" et était accolé au nom de l'autre
dynastie, comme dans Thoutmôsis.
En lui faisant entretenir des relations suivies avec sa demi sœur, Néfertiti,
elle obtint qu'ils se marient. Les hommes étant souvent régnant mais la
légitimité étant transmise par les femmes, parce certaine, il put ainsi
prétendre devenir pharaon (sous le nom de Aménophis IV) à la mort de
son père, bien que sa mère, descendante d'un vizir de la tribu dite
hébraïque de Joseph (tribus du Nil et qui étaient associés aux Hyksos,
rejetés finalement par les Égyptiens, d'où le relatif bannissement de
ces hébreux qui en fait n'ont guère à voir avec ceux d'aujourd'hui).
Malheureusement, le clergé de Thèbes (Clergé d’Amon) refusa cet
"affichage" et finit par obtenir un premier exil à Amarna d'où
il finit par fuir à l'approche des troupes loyalistes. La suite est dans
l'Exode, sous une forme allégorique.
Il eut un fils Toutânkaton, devenu Toutânkhamon, de sa maîtresse
Tuya et non de Néfertiti, comme le prouve les récentes analyses ADN.
On ne sait pas très bien ce qu'est devenue Néfertiti,
vraisemblablement le grand prêtre de Thèbes, sous le visage d'un
homme... C'est elle qui en fait était acceptée publiquement comme
pharaon et fut préservée de la mort par ce stratagème après la fuite
de Moïse avec sa vraie femme (Tuya).
Néfertiti et Horembeb (Son vizir et amant [?]) firent préserver les
enfants au prix de la trahison de leur père... Néfertiti fut peut-être,
sans doute, tuée dans la TEMPLE par 3 novices de la tribu de Joseph
guidé par l'aristocratie Hyksos. Cette tribu et Moïse condamnèrent ce
meurtre qui ne resta pas invengé.
Moïse fut en fait tué peu après qu'il ait fui une seconde fois, et
l'Exode raconte en fait sa sortie vers la Lumière sous une forme
allégorique qui reprend toute la mythologie égyptienne... Les eaux
s'écartent devant la Barque qui porte l’Osiris (Akhénaton défunt) et
s'avance vers l’Horus* où Moïse (Akhénaton défunt) reçoit la table
d'Osiris, identique à la conjugaison près de celle dite des 10
commandements. Source : Patrice Hernu
*Horus est un dieu à multiples facettes, au point qu’on s’est
demandé si le nom ne désigne pas en fait des divinités distinctes : •
Il est le faucon céleste dont l’œil droit est le soleil et l’œil
gauche la lune. C’est sous cet aspect qu’il recevait un culte à
Nekhen, l’Hiérakonpolis grecque. • À Héliopolis, il était
vénéré en tant que Horakhty, l’Horus de l’Horizon, concurremment
avec Rê. En tant que tel, il était à la fois le soleil du matin et le
soleil du soir. Dans les textes des pyramides, le roi défunt ressuscite
sous cette apparence de faucon solaire. Par un syncrétisme fréquent dans
la religion égyptienne, Horakhty finit par fusionner avec le démiurge
héliopolitain, sous la forme de Rê-Horakhty. • Dans le mythe osirien
enfin, Horus est le fils d'Osiris et d'Isis. Osiris, assassiné par son
frère Seth, est ramené à la vie, le temps d'une union, grâce aux
efforts conjugués d'Isis et de Nephtys. C'est de cette union miraculeuse
que naît Horus l’Enfant, que les Grecs appelleront Harpocrate, ou
Harsiésis, Horus fils d’Isis. Pour venger la mort de son père Osiris,
Horus affronte son oncle Seth, il gagne le combat et reçoit le trône
d'Égypte en héritage. D'où son surnom de « vengeur de son père ». Il
est par-là même le premier des pharaons après son père. Cependant, sa
légitimité sera sans cesse contestée par Seth. Horus est borgne : lors
du combat qui l’oppose à Seth, Horus a perdu son œil gauche, qui est
reconstitué par Thot. Appelé Oudjat, cet œil, que les Égyptiens
portèrent sous forme d’amulette, possédait des vertus magiques et
prophylactiques.
Commentaires
Alain Nagaine Qui des Égyptiens ou des Hébreux a formé l'autre ?
MoÎse n'est t il pas un Esprit ? Égypte signifie "Lieu de privation
divine", premier pays prévaricateur , en 430 années de présence
des hébreux il a pu se passer beaucoup de choses, la conduite de Moïse
de son peuple représente l'esprit divin qui conduit tout être temporel
et spirituel inférieur à lui. pourquoi MOÏSE bégayait il? pourquoi est
il arrivé ensuite tant de malheurs au peuple égyptien par 7 plaies ?
religion veut également dire RELIRE, relire la Bible, seul document de
référence. Qui a prôné les vertus du sang ( versé sur la Terre), du
sacrifice voire même du châtiment ? citons MOÏSE " Je vous dis,
mages d’Égypte et sages d’Ismaël, que je suis ici de par l’Éternel,
pour opposer ma puissance à la votre, pour la gloire de mon D.IEU, de qui
tout dépend, et pour la délivrance de son peuple élu. Pourquoi marchez
vous contre la volonté du créateur,en endurcissant l’âme du Pharaon
et l'induisant à rejeter la demande que je lui fais en faveur d’Israël?"
la culture Égyptienne est en effet très intéressante. pour l'OUDJAT,
lire le livre de Schwaller de Lubicz:"le temple de l'homme" ou
sa signification et ses mesures sont un peu dévoilées. merci GILLES pour
ce partage et je crois que nous sommes tous un peu Égyptiens et un peu
Hébreux...maintenant la VERITE ...? 25 novembre, 18:55 · J’aime
Gilles Montrichard Roger Becker dit : Encore une fois, malgré des
approches différentes, tout se rejoint. Le rêve, ce serait de trouver
les traces matérielles de la preuve, et aussi que << tous>>
trouvent la capacité de surmonter la croyance dans les dogmes. ...Ne pas
confondre "dogme" et "mythe", le second pouvant
constituer un fil conducteur extrêmement intéréssant sur le chemin de
la recherche, de la Connaissance. 25 novembre, 18:59 · J’aime · 1
Gilles Montrichard Doc Dwt dit : 3 notes ++ mais brèves : 1) Une
référence à ajouter également - que je présente : Charles Pope
(attention c'est peut-être par quelque dépression qui a frappé la
génération 1990 de l'identification AkhMosOed qu'il affiche un Akhnaton
mâchoire qui tombe - ne pas en tenir compte) http://www.domainofman.com .
En bref de 95 à 2000 nous avons travaillé sur un yahoo-group - notre
petite équipe a abouti à http://www.akhnaton.net/dna/members/akh/temp/ospro/otconf.htm
(et suivant http://www.akhnaton.net/dna/members/akh/990321.htm ). Le rôle
de Pope fut de partir de l'égalisation racine Joseph=Yuya (écrite par
Osman qui fit suivre Moïse=Akhnaton) - on peut prendre l'image d'une
fermeture éclair qui associe ses engrenages à partir d'un premier
maillon. Pope a prolongé le parallélisme des égalisation entre
Egyptologie, "Bible" et (Mésopotamie également) ; les
égalisations se comptent par dizaines - c'est un travail colossal du
genre http://domainofman.com/ankhemmaat/graphics/chart1.gif (voir http://domainofman.com/ankhemmaat/contents.html
) - je dois ajouter que ce yahoo-group (nous étions une dizaine) avait
abouti, 2) de déduction en déduction à retrouver Néfertiti sous le
voile que l'on prête à Moïse et assassinée à sa place (ceci
intéressera peut-être Patrice mais il me faudrait fouiller des archives
pour ressortir des notions qu'il possède probablement) ; nous nous sommes
arrêtés sur cet horizon (les uns et les autres commencions à être
éprouvés et nous nous sommes séparés). Pour ma part et 3) sans autre
raison que l'intuition ett un raisonnement "par défaut", je
tiens Néfertiti pour probablement relative à la côte Est de l'Egée et,
toujours probablement, en charge de l'opération du "Manna de
Moïse" http://www.amazon.com/Mystery-Manna-Psychedelic-Sacrament-Bible/dp/0892817720
& http://www.danmerkur.com/onlinewritings/HidManna.PDF (note Dan
Merkur réfute violemment l'athénisme d'Akhnaton ou l'Akh-Moise et me
voue par ailleurs une haine significative - ce qui n'ôte rien à la
valeur de ses livres)
Domain Of Man www.domainofman.com This site features avant garde
research in the area of the Amarna Period in Egypt and its relation to
Biblical Israel.
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Cette vidéo que j'avais déjà visionnée au
moment de sa sortie est très intéressante. Donc je la
reprends. Il faut retirer tous les commentaires absurdes qui
l'accompagnent et ne reflètent que les faux lieux communs
de l'Egyptologie anglaise, donc protestante ou judéo-chrétienne,
terme que je rejette.
Mosis-Aknaton n'était en effet ni hérétique, ni même
monothéiste. Ça ne veut rien dire, la question ne se
posait pas : c'est une déformation contemporaine de poser
la question ainsi, une fausse vision de l'influence du judéo-islamisme
sur l'expression contemporaine de nos religions.
Et puis ce refus de ne JAMAIS donner le vrai nom de la
cité "Athènes" ou en Egyptien "Aten"
comme indiqué dans les rouleaux de cuivre, est ridicule !
En revanche, le contenu scientifique de la vidéo est très
intéressant.
Mosis avait voulu créé une mosaïque (sic) de tout ce
que la culture de l'époque avait de mieux. Un peu comme
voulut le faire plus tard les perses avec Babylone. Tour
cosmopolite de Babel avant la lettre, la cohabitation fut un
désastre génétique et médicale. C'est un aspect qui a été
insuffiamment pris en compte et cette vidéo, sur ce point,
apporte un point de vue utile pour comprendre qu'il ne peut
y avoir de restauration dans la fuite.
C'est cette fuite et cet exil permanent, la rupture
oedipienne avec les liens, que l'Ancien testament a retenu
pour transformer la vie de Mosis-Aknaton en le Moïse allégorique
et instrumentalisé de la Bible, expression à la fois de
l'amour et de la haine de la réalité de ses propres
racines.
La vérité se fait jour dans le lit des contre-vérités.
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