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à l'Ouvrakh

 

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Page "en progrès" déchiffrant la 're-semblance' de la thèse des deux amis/narcisses Lacan & Lupasco, l'un découvrant ceci que l'autre affirme comme cela. Il s'agit du "tiers-inclus" affirmé par le second et de l'objet (a) découvert par le premier - l'un l'autre manquant de deux pièces nécessaire à les départager : la notion du Semblant (principalement exposée par A.verdiglione) et celle de réfraction dans le jeu du Modèle Optique (introduite par DWT à l'appui par ailleurs du sexuage).


Essor et ressort

lun 01:05 -VERSION 3

   « Je piétine et j'aime ça ! » voila ce qui pourrait être le titre de la version.3 de ce court article que j'ai commencé à écrire ici et qui n'était pas bien clair ; en effet j'ai cherché à le clarifier https://www.lasainteethique.org/2022/htm/20221014103800_ressort.htm#100 mais je l'ai encore trouvé trop long et peut-être obscur. Ce que je voudrais arriver à faire, c'est montrer qu'entre tiers exclu et inclus la différence est fictive, fictionnelle (comme si elle s'inscrivait dans une ontologie du virtuel, à chercher depuis StJevin). Pour pourvoir accommoder sur cette intrication, il est besoin d'un point focal ; et j'ai renseigné un tel point de référence par l'objet 'a' (objet pulsionnel ; ça aurait pu être autre chose, le semblant par exple ; je n'ai pas essayé mais avec l' 'a' ça marche.).
L'article déroule trois étapes ; je resitue 1// « ce que c'est l'objet 'a' » (à savoir la lettre algébrique). Puis 2// je raconte comment et où il se trouve, « sa conception » (par traitement statistique d'une alphabétisation sur chaîne binaire) et 3// « à quoi ça sert » (en désignant les orifices – sphinctériens/pulsionnels – et y distinguant l'orifice sexuel, le langage réassigne une lettre alphabétique à l'endroit pointé par l'algébrique ; ainsi on charge la lettre Phi de signifier la zone sexuelle désignée par 'a' (lui-même venu à cette place faute qu'il ne s'y trouvât de lettre sérielle). Ainsi les êtres humains peuvent-ils parler et s'entretenir de sexe et sexualité. Mais jusque là sans problème on rencontre une difficulté.
   La topographie/anatomie et puralité orificielle du « trou sexuel » détient des particularités (d'assemblage et de distribution) qui instaure/nécessite une codage additionnel. Par conséquent la signification de la lettre Phi est ambiguë et la lettre algébrique ( l'objet 'a') qu'elle recouvre, la taxe de l'équivoque dont elle est chargée, appelée par la distinction inclus-exclu. Il n'en reste pas moins que l'usage de 'a' et Phi, c'est à dire l'interprétation sexuelle est efficace à soutenir la coalescence des tiers exclu et inclus.
   (je pense être ici arrivé à résumer/formuler ce que les versions préalables préparaient. Ouf ! je ne piétine plus mais j'où irais ?)

 


 

 
J'ai bien suivi sur les murs.FB, et le résumé de Cryptoph et l'invite de Serge. Et comme je suis mal juge des raisons d'y intervenir, je pense communiquer par le présent fil, des réflexions à ces propos. Si à quelque occasion vous le pensez utile, extraire des parties ou de tout, comme vous le voudrez. Mais déjà je dois préciser que je ne sais pas si ne sera un matériel très fourni que je vais faire suivre ici – pas plus que je n'en imagine les caractères de temps/vitesse ; à ce point c'est seulement une intuition vague qui me pousse à passer par ce moyen.
   Je me dis qu'il serait utile par exemple de prendre appui, comme en escalade dans ces failles, sur la paroi de base, cette division Lupasco;Tiers.inclus & Aristote;Tiers.exclus. Je vais partir d'un fantasme que j'ai peut-être déjà exposé : c'est l'idée que Lacan, à la mode de son temps, a voulu distinguer sa pensée de celle venue des amériques qui berçaient le bernayisme. Notamment par B.Vian visait-il ce 'trait-au-dessus' (le macron du typographe) pour signaler son écart. Il avait à sa disposition deux 'sciences' jumelles : la linguistique avec laquelle il pouvait s'insérer dans le structuralisme à la mode de L.Strauss et la sémiologie, sémantique, séminale, sème.inhère.. 'the same' et l'« on s'aime » plus proche de l'abord du Code et préposée à la mémétique (Richard Dawkins/génétique.darwinienne). Puisque le 'macron' avait été emprunté par les sémanticiens, il inventa la barre oblique qui semblait encore disponible pour mettre en ligne sa « cyphermatique » (comme Verdiglione l'appellera plus tard).

   Noter sur cette base que je n'ai pas plongé aussi profond dans la sémantique que dans la 'linguisterie' (selon son expression, lacanienne) et que je l'accole surtout à la psychopolitique qui s'en est alimentée (la dianétique donnant la scientologie donnant (à mon sens) le Q.anon ; une ligne de métamorphose que je rallie psychohistoriquement à la phénicie – qui est je pense majeure, à l'indice a) d'une moindre importance qu'on lui donne en histoire, b) à la substantification des/du « Peuple de la Mer » - qui occupe encore mystérieusement pour les historiens l'Àge Sombre, à c) l’extrême importance au contraire qu'aura été dans l'histoire justement, d'être à la cause/invention de l'Alphabet.
   Enfin à ce stade, je rappelle en deux mots que, si le lacanisme a commencé comme ça en 50, héraut de la négation par barroblique ; au moment où il capitule, il termine par une mise en parallèle de la macronique avec sa barroblique. Il s'agit des tableaux des quanteurs sexuels que je décrirai mieux. Bref, le pivot de cet événement a lieu durant cette fameuse année 73 pour les lacaniens ; et si vous avez le temps vous trouverez renseignements des trois derniers articles 06, 07, 08 oct fin de page https://www.lasainteethique.org/2022/htm/20220921160700_Fantomenlacanie.htm où je livre un essai/ diagnostique du lacanisme.
tozenext

   Tel est un projet que je débutais (ci-dessus) pour mettre à jour la situation pratique et théorique, praxis, que je mène avec quelques correspondants, et qui fut suivi ci-dessous par une essai qui aura rencontré une essentielle difficulté à la fin ; mal échoué dans ses dernières formulation, je le reprends ensuite le 20221013

VERSION 1
lun 01:05

2/n Je vais un peu tourner en rond ; le « tiers-inclus » il me faudrait/faudra à peu près dix ans pour intégrer qqchose comme ça, en tout cas c'était le minimum demandé par Lacan pour son traitement de l'exclus, et il avait raison du moins sur ce point.. où il ne plaisantait pas.. soi-disant. Dix ans, disons, seraient économisés si on arrivait à trouver, par exemple dans un pot de confiture, ce que c'est que la confiture. Je veux dire que si le Tinc est un pot, un lieu, il est possible de ramener sa découverte à ce qu'il y a dedans. Prenons par exemple le « tiers exclus » - on ne sait pas ce qu'il y a dedans. Mais si dedans il y avait le Tinc, on le connaîtrait bien plus facilement. Même si d'un certain point de vue, il se superposent tout simplement, on subtiliserait leur contradiction si on identifiait leur contenu, tant du Tinc que du Texc par un objet vertueux.

Il me semble – et là j'y ai passé les >10ans – que l'objet (a) – produit du lacanisme – présente cette vertu. Mais en bref d'abord qu'est-ce que c'est ? Ben.. faut pas chercher loin, c'est une lettre. La première lettre d'ailleurs de l'alphabet, pour indiquer justement que c'est surtout rien que ça : une lettre, la première qui soit, la première qu'on trouve. Une lettre banale à ceci près.. tout de même ! À ceci près qu'on veut dire par l'(a).. une lettre: « algébrique ». La lettre algébrique est une lettre parmi d'autres, sauf qu'on fait pas des mots ou des phrases avec ; on fait des formules. Bref, il y aurait dans les tiers, de la lettre – comme le reste du monde est habité par des lettres, précisément le monde des corps. Ceux qui font tout le monde sont des lettres, alphabétiques, ou hiéroglyphiques, que l'on tatoue ou autrement, qui y viennent toutes seules s'imprimer en ce qu'on appelle des symptômes (de conversion hystérique par expl). Mais la lettre des tiers, qui n'est pas tenue à un réseau alphabétique, ne se trouve pas tellement sur la peau ou en corps bien couverts par l'alphabet, mais dans leurs trous, les dernières choses qui restent. Comme on ne peut pas tatouer un trou, on y met une lettre typiquement algébrique, qu'on désigne ainsi :'a', petit 'a' ou objet (a) ; s'il occupe le tiers inclus comme le tiers exclus, on a donc ce qu'il faut pour économiser dix ans. Mais supposant qu'on tienne la chose, il faut vérifier qu'elle serve.

À cette fin nous avons sa conception. On sait que c'est Lacan qui l'a pondue par un trou de son QI. Il y a eu une circonstance qui a compassé son sex-temps. Il a émis une analyse statistique de la chaîne binaire informatique (les 00 et les 11, 011001011etc..). Un peu-tout-à-fait-comme on se prend une bonne claque avec l'énigme des deux enfants https://youtu.be/ZEukm18IMkw , en traitant par codons la chaîne binaire façon TincTexc, il a annoncé des résultats : une constante qu'il a nommée 'caput mortuum' (tiré des grimoires alchimiques) comme JCPerez et d'autres trouvent dans des chaînes ADN des constantes Nombre d'Or et autres. Sa valeur est effectivement quantifiable (je ne me souviens plus quelle proportion mais elle existe) mais ce n'est pas ça qui compte le plus ; ce qui la rend utile c'est que ces tiers entre des lettres et pas-lettres, conviennent au type algébrique. Il a donc tiré la conclusion que, dans un langage, on trouve des trous remplis par des lettres algébriques, des (a)s. Ce fut un grand moment que l'informatique, la cybernétique, a provoqué dans l'intellect et sa découverte. Mais tout euphorisant que ce soit, on en sait pas encore à quoi ça sert.

On peut voir à quoi ça sert en se souvenant que cette découverte s'est faite sur un motif de trous et l'idée courageuse a pu venir, de la médecine parce qu'à la différences des astronomes ou mécaniciens, elle peut trouver une fonction sexuelle aux trous. Et ça tombait bien, parce qu'on avait besoin de traiter cette fonction au moment où nous arrivions à la surpopulation, et d'autres connaissances, génétiques, neurologiques etc.. Lacan a donc commencé à faire une algèbre de.. la sexualité. C'est là où il s'est distingué de la sémantique, du s'aime et qui sème : le pur sexe, la jouissance ; ni amour ni reproduction : la baise. Bien sûr le sexe concerne l'amour et le même, mais sa singularité tiendrait de ce qu'il soit encore de cette autre chose qu'est le 'a'. Et c'est seulement là qu'en fait, les difficultés ont commencé. Parce qu'il a bien fallu qu'on y attribue quelque lettre alphabétique, écrivons une 'Lettre', pour la distinguer de la lettre algébrique, cette lettre minuscule : 'lettre'. Puisque cette dernière occupait un trou, la Lettre qui lui a naturellement convenu était celle du Phi, comme Phallus. Et la difficulté s'est présentée comme ça :

Si a lettre Phi désigne le sexe de l'(a) en fonction, elle doit pouvoir inscrire la formule de ce dernier, la formule algébrique de la lettre algébrique ; ce qui doit être pour le moins alambiqué ! Et ce fut d'autant plus difficile que, partant maintenant du fait que cet objet (a) – c'est à dire, non pas « qui-soit ou qui-soit-pas » (la bandaison, le pénis ou pas) mais qui soit "inclus" ou "exclus", c'est à dire beaucoup plus typiquement que la pénétration du coït, ce qui d'objet par-trou est la gonade, incluse (ovaire) ou exclue (testicule). Et à partir de là.. nous n'étions pas ou bout de nos peines : car pour qu'une lettre s'y attache pour y tenir, il faut au moins que ces gonades types donnent raison de la peine, à savoir la règle de code, la génétique qui les distingue. Il n'aurait en effet pas suffi que les tiers inclus et exclus s’accommodent de leurs seuls types logiques, pour permettre à la Lettre, Phi, de tenir un discours ; il fallait aussi que leur typologie fut armée d'un code pour soutenir une lecture. (effectivement un principe génétique radical, XX-XY, les dispose avec cette armature). Alors seulement à ce point on peut commencer à entrevoir la consistance et la solidité, d'entreprendre et raccourcir l'examen des tiers au motif de la sexualité.

lun 01:05 -VERSION 2

20021013   Je pense devoir éclairer le post du lun 01:05 ; je le savais concis avec l'intention de résumer un appui important et j'ai dernièrement constaté que sa fin partait en queue nouille. Je vais la redresser ! Pour ça il faut bien que je reprenne ma position.. quite à faire phi d'y repasser un petit moment, j'avais donc introduit mon intention de mettre en thèse un objet unique dans l'orifice qu'on appelle une lunule, à l'intersection des cercles eulériens, et qui classiquement schématise le tiers exclu. Cet objet, s'il appartient également au tiers inclus, permet de faire des tiers, inclus et exclu, le même lieu, même lien, même lunule. On comprend que Lacan dans ce cas n'aurait plus et/ou pas parlé de ces tiers, résolus par cette objectivation. Remarquons ensuite que lorsque d'Euler, Lacan passe à Borromée il théorise alors que une intersection triple. Il y eksiste, insiste ou consiste son élément théorique qu'il appelle « petit 'a'», ou petit tas de yapad'coi.

   Je commençais donc un exposé en trois étapes : «Qu'est-ce que c'est?», «sa conception» et «à quoi ça sert?» que je terminais par «sa difficulté». J'avais passé dix ans sur le tiers-exclu, je venais de passer au tiers-inclus et voulais raccourcir l'avenue d'en reprendre pour dix ans. Je me suis dit qu'en me satisfaisant du tiers je pouvais faire d'une pierre deux coups. J'avais à disposition un objet qui pouvait servir à court-circuiter l'exclu et l'inclus, c'était ce 'a' lacanien. Il fallait d'abord dire ce que c'était. J'ai d'abord expliqué, ou rappelé que c'était une lettre (de celle qui fait des mots).
   La lettre est de deux sortes. Après avoir été hiéroglyphique.. la lettre hiéroglyphique, bien documentée de Fabre d'Olivet à Stan Tennen, relève d'un seul principe. Ce sont des images qui en réalité sont des "lettres" (Champollion) qui en réalité sont des images (d'Olivet) - passée outre ce stade circulaire, la première sorte dont je parle ici, est cette lettre mise en alphabet. Cette mise en alphabet est au crédit des Phéniciens après la "sortie d'Égypte". Toute cette histoire aussi est relativement bien documentée. Nous avons donc depuis lors des lettres en série qu'on utilise pour faire des mots et donner des significations. Cette lettre sérielle constitue un opérateur (linguistique) qui a donné lieu à une étude et description bien résumées dans une nouvelle analysée d'A.E.Poe. Sa formule en bref est donnée sous le titre de «La Lettre Volée». On le voit dans le schéma de ce qui peut être lu et ce qui est illisible. Il est une autre sorte d'usage que l'on peut faire des lettres ; c'est celui qu'on fait en l'employant en "lettre algébrique". On en tire de leur collection en vrac, d'où on en sort une propice à la place de ce qu'on a appelé la lunule.

   Cependant si la lettre alphabétique, sérielle, tient de son cortège, il faut autant que la lettre algébrique, pour qu'on tienne à s'en servir, s'imprime de «sa conception» ; c'est la seconde étape qu'il m'a fallu exposer. Ce sont l'informatique et la cybernétique (en gros la machine binaire, vieille comme l'humanité, comme en traite d'abord Lacan) qui donnent raison d'une conception de la lettre algébrique. Lorsqu'on applique les lettres alphabétiques sur une chaîne binaire, on trouve des lois statistiques et des endroits, des 'codons' ou des 'gènes', des 'mèmes' vides. C'est là où ces lettres alphabétiques manquent que réside l'opportunité de placer une lettre algébrique. Placée là où il n'y en as pas, elle ne dérange pas le bel ordre sériel mais permet de proroger la fonction désignative.

   Il ne reste plus qu'à savoir «à quoi ça sert?» de coalescer (dire qu'un mot pareil existe!) l'exclu et l'inclus par cette algèbre (que pour l'occasion Verdiglione appela "cybermatique" aussi nommée "massematique" dans Lathakh). Son utilité se trouve rapidement et facilement quand elle éclaire la sexualité en s'appliquant aux pulsion, puisque tenantes orifices corporels. Mais une fois qu'on a cybermatisé le corps, l'exigence de le massématiser demande à 'réécrire' sur ces trous, autrement dit, à assigner à une lettre alphabétique la mission (impossible) de signifier cet inclus/exclu. La lettre Phi a été choisie à cette fin et par conséquent mise au devoir de couvrir la lunule. Il n'y a qu'un moyen pour cela, c'est de chiffrer de objet 'a' (exposer son code).
   Or l'objet 'a', la lettre algébrique, précisément se pose là où le codage de la chaîne binaire présente les zones à la lettre, 'null' - là où la lettre alphabétique manque. C'est ainsi que la lettre Phi n'y sera admissible que si elle est chargée d'une clé spécifique à ouvrir/accéder au 'codage "illétrable". C'est une conjonction qu'effectivement elle peut renseigner et voici pourquoi :
   L"élection de la lettre Phi, de la "fonction phallique" a été faite en toute inconscience que ladite 'fonction' était surdéterminée par un chiffrage neurologique, par sa nature refoulé. La levée de son refoulement ne peut - et n'a pu - avoir lieu que par une conquête de la fonction de reproduction, à l'aide de la génétique. Cette lettre est donc historiquement appelée à faire correspondre la génétique dans l'utilitaire pulsionnel que l'objet 'a', en place du tiers a organisé dans la neurophysiologie. Il s'agit d'une jonction de la lettre au code, difficile et jugée impossible par le lacanisme qui a déposé les armes et s'en contente castré, cependant que j'ai paru dégager les articulations logiques qui la réalise.

 

 

Le post suivant est de l'ordre d'une esquisse tant il assène d'assertions qui devraient toutes être finement détaillées.
Il est en l'état annoncé sur la base de l'examen clinique.

 

  Je continue des semaines plus tard, dans le fil de la logique des Tiers, inclus et exclus, respectivement logique moderne & aristotellienne. Je continue aussi au motif de la multi, trans et pluri-disciplinarités puisque ces logiques se lisent dans l'histoire. Une psychohistoire se forme ainsi et ce pluriel logique ne peut exister sans elle. Or, du psychisme qu'elle compte, elle impose la condition d'un refoulé. Ce qui accentue d'un cran la nécessité pour ces logiques d'exister. Leur existence, et leur pratique par conséquent, nécessite que soit levé ce qu'on dénomme une scène primitive. Tant que son événement historique demeure ignoré/refoulé, toute logique s'arrête au mieux à sophistique.
   On découvre la scène primitive d'autant mieux que l'on identifie ce qui en est sorti : deux voies s'en ouvrent, le narcissisme du 'moi' et celui de l'espèce. Appelons-la "narcissisme de l'Autre" que nous pouvons distinguer maintenant que nous avons un A-pareil (I.A). La première (narcissisme du moi) a été arpentée par Freud. Elle consiste en une étape jusqu'au point de semblant, puis l'étape suivante qu'est celle du "simulacre". Le narcissisme de l'Autre y est confondu jusqu'au point du semblant (aussi dit du meurtre), d'où il rebrousse en régression puis repart sur le chemin refoulé par Freud. Cette cartographie historique imprime les logiques dites des Tiers, lesquelles ne cessent d'être inconséquentes tant qu'une telle psychohistoire n'y personnalise pas le territoire.

   On lit sur la carte historique de l'épopée amarnienne, la sortie du premier Moïse, puis sa suite en simulacre (second Moïse). Akhnaton au point du semblant est revenu en territoire égyptien, mais pour réaliser un exode personnel/familial en direction de la mer Egée. Le couple royal y disparaît et il aura resurgi comme Oedipe de mémoire européenne.
   De ces deux orientations croisées, on lit l'inexistence d'Akh/effacé sous sa subjectivité qui s'en essort ; tandis que la succession linéaire moïsiaque n'y rivalise, que d'une existence certes, mais de choses au mieux phénoménales.
   C'est subjectivité d'Orphée à Oedipe à la sexuelle/sexuage retrouve la femme simulacre et dessous l'objet de la sexualité [le réfracté au lieu du tiers inclus].