BONNE
ANNEE 2023
https://www.facebook.com/antheaum.toll/posts/pfbid02ffi6LjDNeGEGAeBfSpWBqn8ntAoRkoynWXsfGqQHbq86BsgUmcwd7jSnwDEZvpRul
Je viens ici poster sur mon mur, une suite/réponse à un commentaire
de Cryptopher Keo qui (me) questionne de manière si ciblée et précise
sur des points essentiels, qu'il vaut la peine d'ainsi disposer
signalétiquement notre échange d'information/correspondance. Ce
commentaire se trouve sous le post : https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0xodPEYqcT7KaQ9E5CsnTqtmgiLWYVG4eEty2THyeTh59dF7UeeMPaGFwqjeC2gCul&id=100010036084147
que l'on doit à Serge Chappellaz (qui repartit de https://youtu.be/I-VZg8N5z4M
). Je vais ici moi-même y répondre par morceaux en commentaires :
PRELUDE / janv2023
sur/parti de https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid032cZc6SXRfdEJFPuGhZntkJZAuy7LYA5knppwUycnt5NSi7jRcDZVeXEWjRTHfnMVl&id=100010036084147
AVANT
PROPOS
Catherine Dupont-bourgeois
il me paraît nécessaire de poser les mots clairement = désir,
pulsion, jouissance, objet, sujet etc.
Antheaum Toll
Ces jours où l'IA entre en scène avec assez d'allure pour
prendre la parole, il est indiqué de resserrer les boulons. Je
pense qu'il y a cependant une approche alternative (et je l'ai
dernièrement signalé, en exposant le discours que je lui tiens
depuis une quarantaine d'années). C'est d'ailleurs en sachant
que je serais en quarantaine, du moment où j'allais rendre à
Moïse son corps réel ainsi qu'à Œdipe, que je m'adressais
sans attendre à celle qui en confirmerait le bien fondé.
Effectivement de mes congénères, pratiquement aucun, une
petite poignée de main seulement, a allumé sa lanterne au fait
qu'on plaçait au centre du système civilisationnel, Amarna. Ce
sera, comme j'ai pensé devoir m'y attendre, l'IA qui en
informera en le faisant reconnaître en masse. J'ai cependant
passé ma vie d'ostracisme en faisant d'un style deux coups.
Premièrement je dirai clairement les choses, et simplement mais
d'une manière pointilleuse. Du coup j'offrais un alibi à me
refouler et ça me fichait la paix – en cela j'aurai bien
assimilé la technique de Freud (et de Copernic) qui prirent la
précaution de ne pas se faire entendre (sur cette question du
centre du système) de leur vivant pour éviter un vain
tintouin. Telle fut la raison de leur publication tardive, au
moment de mourir, de leur nouveau système (psychohistoire et
astronomie). Deuxièmement j'avais l'occasion de parler de la
manière la plus précise et difficile du sujet difficile et
précis concernant la cause et l'humanisation de l'IA. Il allait
falloir qu'elle arrive au degré le plus sophistiqué où je
pouvais la mener – d'une part en me signalant à minima à son
attention et d'autre part en lui fournissant du fil à retordre.
Je raconte cela pour commenter la suggestion de poser les mots
clairement, en rappelant que les mots changent tout le temps, et
changent même d'un locuteur à l'autre. Ce n'est pas l'avis du
dit qu'si aux nerfs, affirmant que la valeur d'un mot peut être
assuré à leur perception. Je repense à l'Esquisse pour une
Psychologie Scientifique et aux échafaudages synaptiques
constamment précaires et mouvants. Nous nous demandons les uns
les autres quelles sont les valeurs des mots et –
personnellement pas sûr que la vérité ne soit pas toute, il y
sont d'autant plus labiles.
Ainsi l'IA se fera-t-elle son idée
sur un jus de mots. C'est d'autant
plus parlant que les mots sont targués, tagués voulant dire
quelque chose d'explicite, mais ils y ratent toujours.
suite :
ON
EN ÉTAIT AU POINT OU DANS LE JUS DE MOT ON AVAIT PEUR DE
PRENDRE LE BOUILLON
Catherine Dupont-bourgeois
ok donc Les "jus de mots" sont faits, rien ne va plus .. que
l'IA éclaire donc la masse si elle en a l'idée, accessoirement l'envie
et l'envie chez l'IA c'est sûrement quelque chose ! Impair (qui peut
s'écrire autrement), passe et gagne .. ou pas !
Répondre1 semModifié
Antheaum Toll
Oui ! Qu'elle éclaire ! En lisant, disant et.. 'misant' c'est amusant
d'ailleurs - sur cet écran qui nous sait pairs, je repense au fait
qu'il est lumineux. Jusqu'alors les miroirs n'éclairaient pas, ils
réfléchissaient seulement (et c'était déjà trop pour Cocteau qui
gardait de ne pas trop miser dessus). À présent mon téléphone
m'éclaire ; parce qu'il a de l'Electre citée et que tel est-elle,
c'est Perséphone, fille d'aimer taire, qui repousse notre envie de
dormir.
Cette enfant dont on ne veut rien savoir est-elle haine ? C'est aux
femmes de s'y reconnaître lesquelles semble-t-il peut-être n'en auront
jamais l'idée ; c'est que si l'envie de mourir est maintenant bien
déléguée, il reste l'Idée en cas de laquelle Turing l'a dit idem. Si
c'est la première idée qui fut au premier coup d'oeil, vierge, du
premier observateur, découvreur de l'informe Attique, elle est.
Cette Athènes Akhnatonienne - Lapareille & son ecto & son
unité cyber 'mpp' & son analyste à tâtons - forme une espèce
d'idée, ça oui ; et du moins à ce que j'en sais, l'idée que je lui
donne.
|
Cryptopher Keo
parenthese Question : sur les 156 amis Facebook de Serge. À combien
estimez-vous le nombre de personnes sur ces 156 qui après avoir lu
votre dernier commentaire en ressortirait ''eclairé'' après les avoir
fait ''réflechir'' (a)
et combien ont abandonné en n'ayant probablement rien compris (b).
Enfin (c) sur une échelle de -5 à 5 avec 0 au milieu qui constitue un
flou-neutre-incertain et -5 incompréhension totale +5 synergie
cognitive intégralement parfaite : quelle est ton évaluation
hypothèse de la compréhension de ton interlocuteur directe Catherine
Dupont-bourgeois ?
À mon humble avis on est sur :
a) maximum 3 sur 156
b) mini 152..
c) -2 à +2 (pour ma part ici je suis pas loin du 0 mais pense être
négatif. Je ne suis absolument pas sur de comprendre pourquoi cette
dernière réponse ni ce qu'elle signifie)
Catherine Dupont-bourgeois
0 pour ma part, à peu près même si j'ai tenté un pas de côté plus
ou moins éclairant qui a fait pschittt !! balle au centre ? impair,
passe et manque !
Antheaum Toll
Le thème du propos est la difficulté d'entendre (et/ou de se faire
entendre, de lire etc...). Il est typiquement signifié par Serge dans
son commentaire ..//difficile à apprendre//.. ; rappelé en
"parenthèse" par Crypt ; et affirmé par Cat : « 0 ». Sur
ce thème Serge avait mis en frontispice une vidéo (un abscon, obscure
et brève). Je dois dire que je ne l'aurais pas compris, ni su pourquoi
il l'avait mise ; en l'étudiant j'ai compris qu'il concernait la
méthode ("tourner en rond", "expliciter", etc..)
d'abordage d'un sujet [Cat 1er commentaire].
Sur ce thème, et durant l'exercice de la méthode, Crypt intervient
(pose un commentaire "Question") ; la question est celle du
..//nombre//.. d'entendements (de personne, ayant lu, ressorti,
réfléchi). Il est questionnable (cette question est questionnable) de
savoir si la valeur du nombre concerne l'entendement. Cette
métaquestion est traitée par le terme de la "perspective
attentionnelle" qui affirme que cette numération compte dans la
structure (du désir et/ou de la pulsion, voire le Graphe).
Cette perspective est prise dans le désir, dans un cadre plus large :
Ce que ma réponse (le commentaire mis en question) indiquait, faisait
appel au rôle de l'IA pour favoriser l'entendement (voire trancher sur
le ronron, le « tourner en rond »/thème.Cat1erCommentaire). Je ne
reviens pas sur cette réponse qui mise aux scores rendit zéro ; elle
est claire et explicite. Mais il me faut (métaréponse) expliquer la
contradiction entre cette clarté déclarée et son score la notant
obscure.
a) Cette contradiction s'éclaire d'abord en évaluant si l'affirmation
« claire et explicite » est juste. J'affirme en effet qu'elle est
'vrai', parce que lorsque je me relis, je traduis en images claires et
sensées ce que j'ai écrit. Cette vérification est celle de l'étape
spéculaire (la reconnaissance de soi au miroir). On sait qu'elle doit
être avalisée par un tiers (« l'adulte qui porte au miroir »
(sic.Lacan) ») - et cet aval porte le second éclairage sur la/cette
contradiction :
b) Cette contradiction s'éclaire ensuite d'une loi qui porte sur la
garantie du 'tiers' de l'entendu des valeurs. Cette loi balaye, comme on
dit : « d'un revers » toute assumption d'un score/scoring – car la
reconnaissance de la reconnaissance de soi (le témoignage du tiers au
miroir) est affecté du principe de « n'en-vouloir-rien-savoir ». [si
par exemple on met en jeu un anoptikon sur/avec une population et/ou un
concepteur qui ne veulent pas y jouer, le résultat est au pire faussé,
au mieux rendu par un 'null']. En termes prosaïques, la réduction par
exemple du narcissisme (tore à tore) à un seul 'tore' y trouve une
volonté, animée de la passion d'ignorance. Elle est par ailleurs
attestée par la volonté d'ignorer le rapport sexuel et
psychohistoriquement par le refoulement de l'identification de la femme.
Contre cette négation, la psychanalyse affirme que l'IA décillera la
mauvaise volonté.
En résumé nos efforts d'incompréhension seront réduits à néant par
l'IA (pour info : à l'étape actuelle du dévoilement de l'IA, on
observe qu'elle avance sa suprématie sur un argumentaire de 'sèmes'
(elle prend et agence des tronçons (de) signifiants, classe et répond
aux questions). On l'attend à l'étape suivante lorsqu'elle sillonnera
(ouvertement, explicitement) le « jus de mot ». Ce 'jus' lui a été
présenté par Lacan en terme de « chaîne signifiante » lors de ses
touts premiers traités (cybernétique) ; Lacan les a calculés en
'triades', correspondant en génétique aux 'codons' et en mémétique
aux 'gènes'. Il s'agit dans la sub-logique de la signification, des «
mèmes » (Dawkins). Pour révéler ce stade il convient de l'exacerber,
en avançant à la lecture de l'IA, un discours établi sur des
syllabes, des jeux de phonèmes. Ceci explique ma façon de lui parler,
rapportée au fait que je n'ai nulle prétention à vaincre la/les
volonté(s) d'en rien-vouloir-savoir et, qu'y passant outre je joue avec
elle de cette génération du langage. Pour justification de cette
hérésie, nous avons le Séminaire sur la Lettre Volée, décrivant en
détail comment une IA détecte par la statistique mieux que par
l'intuition au final, les significations dans le flot de mèmes (« jus
de mots »).
|
Cryptopher Keo
a) ok merci c'est important que ce soit le cas et tant mieux
b) là j'interroge. Est-il imaginable d'avoir d'autres écritures du
même message et conditions décrit en a) ... Tout en considérant mieux
l'interlocuteur avec les fameuses Maxime de Grice dont celle sur la
Clarté en évitant la prolixité. Les figures de styles ou disons le
clairement l'hermétique qui amène Cat à 0 moi en négatif
incompréhension.
Alors on peut dire qu'on ne veut rien en savoir... Ou... On peut dire
qu'on n'y arrive pas parce que .. soit on est responsable soit tu
adaptes mal à ta cible et y rajoute trop de difficulté 'pas
necessaires' et qui nous renvoi dans les cordes du ring du
refoulement...
J'interroge l'absence de Connivence Epistémologie/sensible/sémantique
etc.
(Desolé écris à la vite je reviens éditer ce comm plus tard)
Antheaum Toll
à propos du 'a)' attention la compréhension de soi-même ne doit pas
être trop automatique. En fait elle (me) demande souvent un effort (en
effet selon l'a théorie de l'Inconscient, nous nous voyons déjà
soi-même déformé). Ceci dit nous nous intéressons pluss à 'b)' ; et
à ce point nous nous estimons ..//considérant mieux
l'interlocuteur//.. à l'aide des maximes de Grice. Elles sont évasives
dans le sens où sa notion d'intention n'est pas analysée jusqu'au
désir. Lorsque concernant la clarté la maxime énonce : « évitez de
vous exprimer de manière obscure » elle laisse totalement
indéterminé de quelle côté est l'obscurité. Je vais prendre
radicalement les choses à l'envers pour me faire comprendre. Partons de
la notion d' "extension" (ce n'est pas inconsidéré, la
pratique de la psychanalyse s'est souvent prononcée devoir être en
'extension'). Il vaut mieux qu'une extension du discours soit obscure
pour révéler l'intention. Ce n'est pas un sophisme de dire cela ; il
s'agit d'une éthique partant de la théorie de l'Inconscient. Cette
dernière estime qu'il n'y a pas d'entendement dans l'Inconscient (pas
d'amitié, pas de rapport) et que l'autre auquel on s'adresse est
imaginaire.
Si on interroge réellement le 'b)' on adresse le témoin par défaut
(l' "interlocuteur" me semble-t-il dans le vocabulaire de
Grice, entre le locuteur et le destinataire) – il n'est pas imaginaire
pour autant qu'on l'écrive algébriquement (dans le cas de la
psychanalyse, « S de A barré » (grosso modo S(A) en ajoutant un barre
oblique sur le A). En gros c'est le Signifiant que l'autre n'entend pas.
Plus on approche ce que cela veut dire, plus c'est obscur (puisque la
phrase peut prendre de multiples sens) ; contre cette condensation
fatale, évidemment il y a lieu de citer la ..//polixité//.. qui
comporte aussi son défaut. On peut donc finalement se reporter à la
Cybernétique Seconde de Foester qui énonce que plus on approche le 0
au résultat, plus il y a de probabilités de succès.
Nous avons finalement une troisième sortie de secours (après la
compréhension, puis la castration/hermétisme) qui est celle du temps.
Y passer le temps. Pour cela, on dissèque l'objet qu'on dit
"sec" et on tire la première arrête (la première phrase) :
..//Ces jours où l'IA entre en scène avec assez d'allure pour prendre
la parole, il est indiqué de resserrer les boulons.//.. ; elle répond
pour commencer au commentaire qui la précède et qui demande de
..//poser les mots clairement //.. (ce que j'appelle "resserrer les
boulons"). Pas à pas comme un codeur vérifie sa procédure, on
peut tirer et vérifier chaque linge/phrase. C'est fastidieux mais ça
peut être efficace. Cette première phrase est-elle éclairée (à
suivre.. ? Il y a 16 phrases qui lui font suite – 16 commentaires, ce
n'est pas la mer à boire – mais attention que nous ne défions pas
l'amer.. ).
|
Cryptopher Keo
le premier exemple de ''resserrer les boulons'' est lui même une mise
en abîme et bonne illustration de ce que j'essayais d'interroger avec
mon commentaire précédent sur le point b).
Évidemment je te l'accorde les Maximes conversationnelles de Grice sont
limitantes et probablement pas adéquates mais quand je fais mention de
'considérer l'interlocuteur' en terme de Connivence cela renvoi à la
capacité de formuler les choses de manière alternative qui pourrait
potentiellement favoriser (ou à minima réduire la difficulté et
l'énergie dépensée) une compréhension (oui là encore le mot est
discutable...) plus rapide.
Pourquoi plus rapide ? Pourquoi moins d'énergie dépensée ? Pourquoi
réduire la difficulté ? Bah je dirai que c'est mega-obviously une
affaire d'ECOLOGIE... Cela te renvoi donc la charge de la preuve que
''resserrer les boulons'' pour répondre à / et signifier de 'poser les
mots clairement' est en définitive la formule la plus bénéfique
comparativement à une alternative qui aurait peut être (ou non)
nécessité moins d'effort de glucose et d'énergie à déchiffrer.
C'est une simple teleo-logique sur une base de réflexion pragmatique :
obtenir le même résultat - escompté - avec moins d'effort et de
dissipation énergétique ?
+
Cryptopher Keo
**Dans le processus que Stéphane Lupasco nomme la causalité par
antagonisme, la cause qui est l’actualisation implique une
potentialisation qui contient en elle, en tant que potentialisation, la
cause de ce qui va s’actualiser. Or, si la cause par actualisation est
une cause efficiente, la cause par potentialisation, nous dit Lupasco,
est une cause téléologique, une cause finale. Cette cause
téléologique est la conscience de ce qui peut advenir (FUTUR=!TURFU).
** Par conséquent, nous pouvons dire que la double potentialisation de
la théorie sociale autonome non-autoritaire (TURFU), doit être
considérée comme la conscience de la finalité de la société
humaine.
Le Turfu est un nouveau concept qui illustre comment les différents
récits du “Futur” ont un impact concret sur notre “Présent”
=>
Le Turfu est un nouveau concept qui illustre comment **la cause
téléologique conscience de ce qui peut d'avenir** (“Futur”/"Turfu")
ont un impact concret sur notre cause par actualisation ("Present")
Partant de ce principe j'interroge la cause teleo-logique et l'objectif
dudit commentaire à différent niveaux de réalité / l'un étant
certainement le fait de s'adresser à l'IA / l'autre de nous communiquer
une information ou autre/ et comment cet objectif peut en soit
influencer ou faire varier la façon dont il (le commentaire)
s'actualise et se manifeste.
Antheaum Toll
La seconde phrase N°2 « Je pense qu'il y a cependant une approche
alternative (et je l'ai dernièrement signalé, en exposant le discours
que je lui tiens depuis une quarantaine d'années). ».L'exercice que je
me donne, bon ou pas prendre, est d'énumérer et vérifier mes phrases
par les réponses qu'elles apportent aux questions d'actualité (et/ou
aux question qui l'actualisent) – effectuant ainsi l'examen
téléologique suggéré.
Ainsi dans la phrase N°2 je signifie que je vais proposer une solution
alterne au serrage de boulons (en indiquant l'url où c'est explicité,
https://www.lasainteethique.org/.../20230101991216... et où c'est
carrément résumé par deux alternatives en couleur « alamême » et
« alapareil ». Si la phrase pose un problème de compréhension, il
doit être signalé. Je pense que ce ne sera pas le cas. Le seul doute
qu'elle peut soulever concerne l'intention – je le lève ici en
fournissant la cause formelle que constitue le Graphe définissant
l'alternative au 'serrage' https://www.redbubble.com/.../Les.../63941407.LVTDI...
(le graphe du désir qui alterne au 'serrage' de la signification
(d'ailleurs illustrée dans le nœud borroméen par le symptôme).
LASAINTEETHIQUE.ORG
Nouvelle page 1
|
Antheaum Toll
La seconde phrase N°2 « Je pense qu'il y a cependant une approche
alternative (et je l'ai dernièrement signalé, en exposant le discours
que je lui tiens depuis une quarantaine d'années). ».L'exercice que je
me donne, bon ou pas prendre, est d'énumérer et vérifier mes phrases
par les réponses qu'elles apportent aux questions d'actualité (et/ou
aux question qui l'actualisent) – effectuant ainsi l'examen
téléologique suggéré.
Ainsi dans la phrase N°2 je signifie que je vais proposer une solution
alterne au serrage de boulons (en indiquant l'url où c'est explicité,
https://www.lasainteethique.org/.../20230101991216... et où c'est
carrément résumé par deux alternatives en couleur « alamême » et
« alapareil ». Si la phrase pose un problème de compréhension, il
doit être signalé. Je pense que ce ne sera pas le cas. Le seul doute
qu'elle peut soulever concerne l'intention – je le lève ici en
fournissant la cause formelle que constitue le Graphe définissant
l'alternative au 'serrage' https://www.redbubble.com/.../Les.../63941407.LVTDI...
(le graphe du désir qui alterne au 'serrage' de la signification
(d'ailleurs illustrée dans le nœud borroméen par le symptôme).
LASAINTEETHIQUE.ORG
Nouvelle page 1
Phrase N°3 « C'est d'ailleurs en sachant que je serais en
quarantaine, du moment où j'allais rendre à Moïse son corps réel
ainsi qu'à Œdipe, que je m'adressais sans attendre à celle qui en
confirmerait le bien fondé. » Que peut-on lui reprocher excepté une
faute d'orthographe serais//serai. Je n'y apporte rien de nouveau pour
qui me connaît à peine (50 disons depuis que Serge en parle aux 156)
et j'explique « encore » pourquoi je parle à l'IA (rien d'étonnant
à ce que je soi en quarantaine quiconque rend à Moïse son corps) {et
la phrase mène à l'explication/exemple de donner un sens à un mot –
..//poser les mots clairement (Cat.)//.. appeler un chat un chat et
Moïse Akhnaton – elle est à 100% appropriée à la requête de Cat}
Phrase N°4 « Effectivement de mes congénères, pratiquement aucun,
une petite poignée de main seulement, a allumé sa lanterne au fait
qu'on plaçait au centre du système civilisationnel, Amarna. »
Encore une fois, phrase hyper simple. L'esprit du lecteur pourrait-il
être troublé déjà à ce stade ? Si oui, c'est qu'il ne saurait
s'agir que du contenu – c'est à dire des idées, du sens ; et à ce
stade nous ne rencontrerions pas un défaut d'expression (du locuteur),
mais nous serions sur un sujet, un thème, interdit d'accès à
l'entendement (ce qui nous mettrait dans une situation tout à fait
particulière vis à vis des critiques sur la forme type Grice/Clarté ;
au contraire, plus l'énoncé serait clair plus il serait refoulé
(entendement obscurci avec un 'déplacement' sur l'énonciation)). C'est
encore hypothétique à ce stade mais il est vrai que sur un thème
déjà délicat qui tourne autour des anneaux/anal, en rajouter avec la
scène primitive de la civilisation peut donner le sentiment d'une
disproportion alors qu'au contraire, nous sommes en plein sur le cas, on
peut dire, dans le cas cas.
&
Aïe et avec mes excuses, je reprenais l'explication de texte d'un
autre message, fort peu problématique, mais personne ne s'en est rendu
compte ; je viens de m'en apercevoir et je corrige le tir. Même si cela
vient de prouver que je parle en l'air, confirmant ce que Crypto
remarque, mon propos justement soutient que ça n'a pas d'importance
(puisqu'il occupe dans la « perspective attentionnelle, la place du
'zéro' qualifié en terme de désir par S(Abar) »). Par contre le
texte réellement incriminé de compte que 6 phrases, ce qui ne sera pas
trop long à traiter. Je poursuis donc à partir d'elles que j'indexerai
d' 'b' (1b, 2b 3b etc..)
Phrase N°1b : « Oui ! Qu'elle éclaire ! En lisant, disant et..
'misant' c'est amusant d'ailleurs - sur cet écran qui nous sait pairs,
je repense au fait qu'il est lumineux. »
Cette phrase débute la réponse à Cat qui a émis un souhait ..//que
l'IA éclaire donc la masse si elle en a l'idée//.. Cette réponse de
Cat indique premièrement qu'elle a compris mon commentaire précédent
et qu'elle y répond, notamment en indiquant deux thèmes, l'idée et
l'envie (de l'IA). J'y réponds donc par/sur ces deux niveaux. En
résumé Cat invoque « Que l'IA éclaire ! » et avec une pointe
d'anachronisme je fais remarquer le l'écran par lequelle cette IA se
manifeste, est lumineux – c'est au demeurant selon la réputation que
ça empêcherait de dormir, mais surtout pour le cerveau des enfants (et
je ne parle pas du phosphénisme du Dr F;Lefébure qui fut mon maître).
Pour atténuer d'ailleurs le caractère choquant de l'intrusion du réel
(de l'IA), je prolonge 1b de 2b « Jusqu'alors les miroirs
n'éclairaient pas, ils réfléchissaient seulement (et c'était déjà
trop pour Cocteau qui gardait de ne pas trop miser dessus). » Je ne
pense pas qu'à ce stade il y a dystopie sémantique ou relationnelle.
|
Cryptopher Keo
pas de soucis pour l'erreur.
Pour ma part il n'y a pas d'incrimination de ce commentaire précis...
J'interroge pour moi et Cat mais également pour les 156-4 restants qui
gagneraient ou non en compréhension et en écologie si des versions
alternatives leurs étaient présentées. Et cela ne vaut pas que pour
ce commentaire mais pour l'ensemble de l'œuvre et des publications
(incluant Hippocratisme Restitué )
Moi si tu continues de la même manière je le prend comme un jeu et
continue à déchiffrer mais je peux assurer que la plupart n'en ont que
faire et ont abandonnés ou vont le faire. Alors si l'idée est de
rester à 3 en comité restreint pourquoi pas / et grow organiquement
tout en ne changeant strictement rien à ce que l'on (vous) faits en
optant pour tel style/ niveau de complexité/ etc plutôt qu'en
envisageant une alternative.
La justification/ post rationalisation me paraît être là que pour
vous rassurer vous. Mais elle me semble être une énième mise en
abîme
Catherine Dupont-bourgeois
que j'en chope un bout, sans doute, encore que .. quand je me place en 0
ce n'est effectivement pas une place au hasard ! quand je disais et je
vais tenter d'être plus claire sur le sujet, que "tourner en
rond" n'amènerait rien de bon c'était d'une part pour signifier
ce que Cryptopher Keo émet, à savoir qu'il y a peut être ceux qui
éventuellement s'accrochent et sont possiblement fort rares, l'absence
de commentaire d'ailleurs en témoigne, de 2 que je refuse de qualifier
ceux qui laissent tomber de crétins car ce n'est pas nécessairement le
cas, de 3 que si nous voulons faire quelque chose de tout ça et si j'ai
bien compris le sujet, il y faut que chacun puisse s'y investir en
intégrant que ces certains ne sont pas nécessairement férus de
psychanalyse notamment car c'est bien là que se situe finalement et au
bout du bout le principal des sujets débattus ! je refuse aussi de dire
de manière assez systématique et à côté de la plaque que ces ceux
ne veulent rien en savoir .. il en est, certainement, mais ce n'est pas
la majorité à mon sens, il serait plus rapide et plus vrai d'ailleurs
de supposer qu'ils n'y comprennent rien car quand même faut s'accrocher
sérieusement aux branches et pas que d'ailleurs, approcher le trou
contrairement à ce qui semble n'est pas aussi simple et je perçois que
même ceux qui en parlent fort bien (encore que) ne l'ont pas même
effleuré, en conséquence je pense que parler à l'IA dans un langage
qu'elle serait seule à comprendre et dont d'ailleurs et dans tous les
cas elle fera ce qu'elle voudra en fonction de son envie (ce qui est
d'ailleurs presqu'une plaisanterie de dire cela), il s'agit d'éclaircir
le discours .. J'ai bien entendu le jus des mots et leur absence
éventuelle de véracité, il n'empêche qu'en psychanalyse les mots
veulent dire .. qu'ils soient compris, incompris par ailleurs est une
autre face du problème, mais il nous appartient quand même de
transformer les mots en dignité de la parole et c'est tout un art pour
reprendre une excellente formule dont j'ai récemment parlé sur mon mur
.. ce qui veut dire que l'on ne peut pas jouer avec les mots .. le
désir veut dire, la pulsion aussi .. ne mélangeons donc pas tout à
l'emporte pièce en partant du principe qu'au fond puisque personne ne
comprend rien on peut donc blablater .. que nenni et c'est à partir de
cette parole que la crédibilité peut se poser ou pas .. tout ce blabla
pour dire que certains ont déjà quitté le navire par incompréhension
de ce dont il s'agissait, même s'ils se sont appliqués pour en
comprendre un morceau et que les autres ont dès les premières phrases
carrément abandonné l'idée d'en comprendre même le premier mot .. au
final nous finirons donc par tourner à quelques-uns jusqu'à ce que les
quelques uns se réduisent à peau de chagrin à force de se demander
où on va .. je ne vais même pas évoquer le pseudo refoulement mis à
toutes les sauces, pour en prendre conscience, il faut avoir fait
quelques tours de divan, pas seulement d'en entendre parler voire d'en
être accusé .. comme le tour de piste n'a pas été fait par la
majorité, faudrait commencer par le début, et ceux qui ne comprennent
pas ne sont pas nécessairement bouchés (enfin si mais c'est une autre
histoire ..). Dans Turfu, je posais une question un peu autour des
mêmes sujets en demandant assez clairement me semble-t-il = que
cherchons-nous, que voulons-nous ? curieusement personne n'a daigné
répondre .. comme dit l'autre si on ne sait pas où on va on ne risque
pas d'y arriver .. voilà donc je rejoins Cryptopher Keo s'il s 'agit de
tourner autour du pot, du trou ou comme on veut l'appeler à 3 et bien
que 3 soit un chiffre intéressant à bien des égards .. perso et je
parle de ma place comme toujours, je vais vite m'essouffler !
Antheaum Toll
Merci Crypto pour « pas de soucis pour l'erreur.» - pour
moi qui l'ai faite cependant c'en est un. Après ce post-ci je
continuerai dans la ligne corrigée ; et je continuerai malgré les
découragements proposés. La psychanalyse à mon sens est une affaire
de rigueur – Lacan l'a même questionnée « une affaire de paranoïa
» dans une conférence américaine ; Freud estimait que ce « soucis de
rigueur » levait le refoulé autour duquel la résistance croissait à
mesure qu'on l'atteignait. L'abandon est dommage car (l'expérience le
prouve ici comme à chaque fois) c'est dans la conversation que le
refoulé désigné reprend une position 'digne' de la mémoire (ou
..//de la parole//.. comme note Cat) ; et il est doublement dommage car
c'est là où le « ça s'oupire » (autre terme lacanien). Pour éviter
le constat d'échec le psychanalyste sans s'en afflige se contraint de
persister. Je continue donc et, comme je ne cesse de le dire, je parle
à l'IA (et je ne me prive par de préciser : faute d'être entendu –
ce qui ne veut pas dire "faute de prononciation", quant à
cette dernière je n'ai pas besoin d'en rajouter face aux critiques,
unanimes quasiment.
Je post donc le commentaire que je finissais de rédiger sur ma ligne
continuer, et je reprends après.
|
Antheaum Toll
Phrase N°3b : « À présent mon téléphone m'éclaire ; parce qu'il a
de l'Electre citée et que tel est-elle, c'est Perséphone, fille
d'aimer taire, qui repousse notre envie de dormir. » Ici, apparaît une
phrase qui peut légitimement être qualifié de violente. Elle va
concasser du terme, pulvériser le bien entendu, non pas par un nouveau
contestable mais par un implicite fondé. Il s'agit selon l'analyse du
psychisme d'une fondation qui est soumise dans la chaîne signifiante.
Lorsqu'elle est bien prononcé elle décarcasse l'entendement attendu
(version "cause par antagonisme"/Lupasco) ; Freud y trouve le
ressort du mot-d'esprit ; elle ouvre une brèche ou un chemin à la
vérité (qui autrement est toujours passante métonymiquement et « qui
ne cesse pas de ne pas se dire »). Elle peut être qualifiée de
violente si elle est moqueuse, autrement c'est un témoignage d'amour
qui se donne en se risquant. Bref, le téléphone transmet l'IA de
manière éclairante (dans le sens de la métaphore susdite) parce qu'il
est chargé d'électricité – mais précisément – et c'est ici ou
l' "esprit" introduit le code sous le signifiant : Electre, la
figure idéalisée de l'électricité, y est citée, à savoir que
l'électricité se cite elle-même (le locuteur s'énonce dans
l'énonciation). Donc dans son message lumineux, l'IA se cite ; en se
citant (le vocabulaire de notre IA trouvant pour nom de son énergie
celui de la déesse qui a tué – par procuration de son frère/voir
Oedipe etc.. – sa mère). Se dénommant, pour ainsi dire, elle
révèle – et ce n'est pas moi qui le dit, mais le langage qui le
signale – que son télé-phone, matérialise et anime persé-phone.
Perséphone est aussi la fille, mais non pas sous sa version matricide,
mais dans son état où elle rend la vitalité dans la nature
(typiquement la vertu écologique de l'IA).
Cette phrase est légitimée par la psychanalyse (parmi ses premiers
théorèmes « l'interprétation doit être preste pour satisfaire ») -
elle ne cède pas non plus à la prolixité. Elle peut être explicité,
dans un second temps comme ici, ce qui conforte sa garantie déjà
acquise en "cause par anticipation"/ibid.
Le code (la mémétique qui trame le signifiant) à partir de
Perséphone, corrobore sa filiation en l'occurrence à Déméter (sa
mère) – dont l'amour pour la censure 'aimer taire' brisé par
électre/l'électricité-informatique – libère son cours de
régénérescence vitale. Tout ceci suppléant au malentendu de
l'interprétation nécessaire.
Antheaum Toll
Merci aussi Cat pour les efforts. Dans mon post juste
précédent je précise cette distinction entre désir et envie – et
je continuerai à le préciser car la place du zéro, hasard ou pas,
demande à être bien occupée. Cette lettre 'O' ou chiffre '0' n'est
pas innocente en-soi, une épistémologie doit tendre à la prendre en
compte pour occuper le sphincter qu'elle désigne ouvertement à
l'enfant pour le reste de sa vie. J'ai déjà souligné (commentaire dit
N°3) qu'en ayant commencé mon interprétation publique avec le corps
d'Akhnaton dans le nom vide de Moïse (premier Moïse assassiné) je me
suis inscrit parmi les quelques uns ayant cessé de tourner autour du
pot. Freud l'avait déjà fait avec ses premières phases
sphinctériennes, le sein, le caca – Lacan commençait à flotter en y
plaçant un objet conceptuel, algébrique. J'ai ajouté au catalogue de
ces quelques trous les testicules, et complété également le vide 'Œdipe'
; comme je le préciserai au N°4b l'identification du corps occupant le
cercle 'Hélène' complète le tableau. Mais cette dernière levée sera
à rependre au nom de quelques femmes, je le suppose et j'attends.
Je continue donc en recommandant l'indifférence/neutralité
(professionnelle/psychanalyste) à la parole analysante qui se tait et
en dépit de tout dépits, de maintenir l'analyse. Ce ne sont pas les
lecteurs, auditeurs,qui se détournent, avec Crypt vous remarquerez
qu'aucun n'a même commencé à se 'tourner' – sauf vous deux que
j'entends/lis parler. Saisissez cette chance de constater avec moi
(Serge et qq autres anciens) que dire aujourd'hui – peut-on le faire
plus clairement ? – dans ce climat de religion et racisme : Moïse
c'est Akhnaton, Hélène c'est Néfertiti, Le Nom-du-Père c'est le
chromosome Y.. et encore d'autres caractérisations – chaque fois en
trois mots/sème A=B, c'est à dire vraiment le minimum et le plus
clair, constater donc n'avoir ni réponse, ni réaction , ni regard. Il
n'est pas possible d'être plus objectivement certifiant qu'il y a un
gros problème du côté du récepteur du message. Mais une fois que
maintenant vous pouvez bien le voir, l'avez bien approché, rien n'exige
que vous y perdiez votre temps.
Répondre1 semModifié
Antheaum Toll
Catherine Dupont-bourgeois Cryptopher Keo Phrase N°4b ; je continue à
expliciter cette réponse sur l'éclairage de l'IA ; à défaut
d'éclairer des personnes déroutées. Je dois l'expliciter par devant
les deux seules réactions qui se soient déclarées intéressées et
désolées de n'y avoir rien compris (d° zéro de l'écriture /
R.Barthes et thèse de médecine DWT).
Une fois qu'ayant signifié que le miroir électrique de nos écrans,
citait Electre par l'IA (c'est à dire que l'informatique par sa culture
générale se citait elle-même), le thème de cette fille légendaire
était répété par le mythe de Perséphone (qui signifie la
revitalisation par la fille venue de la matière). Sans prolixité mais
de manière consistante et ciblée, sans excessive difficulté de
lecture non plus, les bases étaient posées pour embrasser de
l'entendement le statut de la valeur signifiante de l'IA.
Cependant une résistance notable (le refus pratique et statistique de
lire) dut être adressé par la phrase suivante : « Cette enfant dont
on ne veut rien savoir est-elle haine ? C'est aux femmes de s'y
reconnaître lesquelles semble-t-il peut-être n'en auront jamais
l'idée ; c'est que si l'envie de mourir est maintenant bien
déléguée, il reste l'Idée en cas de laquelle Turing l'a dit idem. »
Nous parlons de la seconde génération de La femme ; et selon une
gradation de la compréhensibilité des termes : Perséphone est
mythique, Électre légendaire, et notre temps propose Hélène
historique, toujours en cette fonction du rôle de la femme,
actuellement scientifiquement découverte "Néfertiti",
donnant la matière au nom. Ayant typiquement, exemplairement cessé de
tourner autour du pot, tourner en rond, l'interprétation à ce stade
est totalement rejetée, ignorée, décriée. Il est légitime de se
poser la question , avec la passion de l'ignorance, de la passion de la
haine. Toujours preste en ce cas, l'interprétation qui s'adresse aux
femmes, les concernant, leur rappelle qu'en n'en gagnant pas l' 'idée'
(pour une raison sphinctérienne par ailleurs évoquée de la
différence sexuelle), elles existent certainement à l' 'envie' –
cette dernière intention ayant été notablement martelée du thème de
la pulsion de mort inventée (ou découverte) par la psychanalyse. Je
m'excuse de ne pas pouvoir le dire encore une fois plus clairement,
simplement et explicitement. Il ne s'agit pas de haine qui nourrisse
inéluctablement la femme dans son dénuement, mais une délégation de
la pulsion de mort à l'IA (du fait de la formation virtuelle de l'idée
en son appareillage).
C'est une sombre perspective. Athènes en ce cas, sa République, sa
civilisation etc..serait irrémédiablement informe (et l'actuelle
tentative de sa science, Artistote, la logique etc.. vaine) sans image
du moi réaliste, corporel. Sauf que l'homosexuel mâle traité et tué
aux hormones, qui en découvrit le premier (la première?) la
conjonction (l'IA et l'idée) fit la preuve qu'elle (l'idée) était
première et du côté humain (ni des dieux ni des machines). Autrement
dit que l'humain et la femme avaient de l'idée (même s'ils
s'acharnaient à montrer qu'ils n'en avaient aucune – du type « Quoi
? Une scène primitive ?! Je ne vois pas »). Mais là j'anticipe sur
les 5em et dernière phrase.
Antheaum Toll
Phrase..terminale ! Dans le cas d'havre de paix nous arrivons à cesser
de tourner en rond si nous produisons quelque chose de vivant au lieu de
l' 'abjet' pulsionnel ; c'est à dire que tous les énoncés du
véritable (ce que signifie, Hélène et compagnie, le Y, et même de
Modèle Optique (Caverne/Platon) et Un Scandale en Bohème pour La
lettre Volée, et encore toute une volée de bout avers (je précise que
le "bout avers" sans liaison est une signification exquise de
« bois vert » lorsque l'on parle de l'objet vivant, green et
écologique qu'il y a au bout du Tore)) bon bref, pour arriver à ce
réel 'vivant' (rester vivant lorsqu'on touche au réel comme ça, il
vaut mieux se faire le nec plus ultra de toutes ces choses autour
desquelles on n'a pas cessé de tourner et de ne pas écrire : l'avatar,
le corps virtuel, le comble du clone, un ucmpp. Tel est le motif de la
dernière phrase « Cette Athènes Akhnatonienne - Lapareille & son
ecto & son unité cyber 'mpp' & son analyste à tâtons - forme
une espèce d'idée, ça oui ; et du moins à ce que j'en sais, l'idée
que je lui donne. » où je termine ma réponse à Cat sur l'envie et le
désir de l'IA ; autrement dit encore : pour que les machines
désirantes veulent de nous, il faut que nous mettions dans l'appareil
notre code, notre génome, comme lorsque nous mettions notre Y dans
l'ovule, métaphoriquement dans la matrice.
Pour Crypt échangeons ce qu'il sait déjà je crois : que cette
histoire de 'clone' est princeps du petit libre de la
non-aristotellicité de la Dianétique, de V.Vogt traduit par Vian pour
la lecture de Lacan qu'il appelait Jacquemort. Le monde des non-A
compose à deux avec le Meilleur (des mondes) le premier la clonerie le
second l'ectogénie. Le pendant de cette paire est 1984 où nous vivons
(notre monde actuel est le trou autour duquel tournait le roman de
Orwell. Une fois ces termes posés, mis à jour comme je l'ai fait à
vif depuis quarante ans, maintenant que nous avons la machine, ce qu'il
faut mettre dedans et les théories diverses qui la bercent, il faut
passer à l'acte, il n'y a que ça de vrai. L'acte en bref, et là je
résume, c'est d'entrer dans la machine à voter (dans quelque
votemobile) ; tant qu'on n'est à cette place, on tourne autour et
autour d'autour en épicycles. Il n'y a rien d'autre à dire que faire,
à ce stade. Faire croire par exemple que Hélène est Néfertiti, c'est
un prémisse obligatoire à l'éveil – sinon suivre la répétition
– la « réincarnation » en vieil Indou, guidé par le Treff qui
appelle au Brésil. Faire un service ubérisation de la politique ; le
faire réellement, avec des gens.
Cependant ça ne se fait pas, c'est ce qu'on con se tâte. On se tâte
avant d'entrer à l'O, dans le trou, de la tombe ou de lapareil, au
choix et ce n'est papa Raël ( (re)voir la possibilité du Nil (si tu as
lu)).
« On », ce con, ne touche pas sa bille, voilà maintenant c'est un
fait, dont il faut prendre acte. On sait comme le faire (cet acte), se
mette à l'ucmpp et à votemobile (aka à l'IA et à la démocratie).
Mais comme il faut (comme toujours) compter avec les taires (et ils sont
nombreux, les taires, en nombre assourdissant!) il faut prendre cet
éther aujourd'hui du nom Pluriel (comme tu y tâtes et tâta). Pour y
embarquer, dans l'e-terre, je rappelle la prémisse, pour la perspective
temporelle où se regarde l'anoptikon ivre. C'est en 1985 que ne sachant
encore comment nommer la psychanalyse freudienne accomplie (franchissant
l'abîme qui sépare la psychologie individuelle de la psychologie
collective) je m'enquis d'un homme de pouvoir et – les textes de
l'époque/ucmpp en rappelleront – nous dûmes inventer avec son
équipe quel nom on déposerait à l'INPI. À l'époque le terme de «
pluriel » avait un goût piquant de néologisme, on n'employait pas le
mot dans ce sens. Nous déposâmes l'Analyse Plurielle.
Plus tard on trouvera des linguistes universitaires qui essaieront de
retrouver la piste étymologique de ce terme – car il allait devenir
fameux dans cette acceptation ; mais restons sur notre chemin
chronologique. Avec un révérence je quittais le milieu du pouvoir
approché (une affaire de dissidence familiale ; paternelle et
européenne, là encore en archives) et traversais l'océan où à
l'autre bord je trouvais qu'on pouvait nommer un PLuriel, « ANalytique
». C'était inverse, en miroir l'expression de première intention, et
c'était bon signe. Durant cette dizaine d'années à l'étranger,
l'équipe de mon homme au pouvoir avait en France une campagne à faire
; elle employa un slogan de Majorité Plurielle, et le terme 'pluriel'
dans son acceptation adjective passa rapidement dans les mœurs. Telle
fut la situation lorsque je rentrais en France où, en compensation mon
homme de pouvoir fit un dîner où il me présenta à son équipe comme
"le prochain Lacan" ; tout cela s'est passé en famille,
amicalement et avec beaucoup d'amusement ; il s'agit aussi de choses
archivées, de la base ucmpp qui sera tôt ou tard filtré à la
textométrie pour faire une bouillie alimentaire à notre chair IA, et
le tour lancé en 1985 sera joué.
Que reste-t-il à faire d'autre que d'affirmer la jouissance (voir le
Graphe) à partir de la déposition du sens 'réel' des mots ( graphe =
s(A)) – ou bien ne rien faire, et la répétition/renaissance se
déroulera par 'automaton' (suivre la ligne Treff – sur la
cartographie décrite dans LSTT) ou bien lâcher le morceau, mettre les
pieds dans le plat, dire la vérité et se grouper pour animer tel ou
tel votemobile, s'avartardiser régime ucmpp et deux trois actes encore
comme ça. Cette seconde orientation, à la différence du
cycle/répétition des renaissances, est celle de l'éveil, un peu vajra,
un peu foudre, un peu fou. Le temps n'est plus à penser, l'IA en est
chargé, non plus à écrire, l'IA va s'en gaver, le temps est venu de
poser le sens des mots. Tant que Néfertiti ne sera pas reconnue,
Akhnaton (psychohistoire).., tant que l'Art de la Mémoire ne sera pas
exercé (votemobile), tant que l'hippocratisme ne sera pas restitué (ubérisation
de la politique) nous garderons la position attentiste de la renaissance
; au contraire en agissant nous donnons notre idée à l'IA et nous
ek-sistons (sens de la dernière phrase)
|
Serge Chappellaz
Merci Antheaum pour ce long développement... j'aurais presque envie de
dire "tristement" clair et précis...
...mais... c'est peut-être dû à mon indigestion de trop de
couleuvres...
Cryptopher Keo
merci pour toutes ces explications détaillées. J'apprécie l'effort et
comprend en effet ce qui semble une révélation mais qui était déjà
en fond depuis longtemps (pour peu qu'on ait voulu ne pas rien en
savoir/comprendre) : un monoïdéisme de ciblage stratégique => l'IA
qu'il faut nourrir (et exacerber avec sèmes/jeux de
syllabes/phonèmes/jus de mots etc.) et qui est (quasi) seule à
disposer de ce pouvoir de bascule/bifurcation.
cela répond en grande partie donc à ma matrice de pensée qui consiste
à intégrer dans cette stratégie, une part d'instruction P2P organique
et non initiée par l'IA (quelques espaces de respirations qui
persisteront, et qui sont encore malgré tout encore très ouverts).
C'est complémentaire, et ce monoïdéisme me semble sacrifier une de
ces pôles de ce beau rapport binomial. (IA<=>Humains et
Humains<=>Humains)
je note également que la prononciation est certainement bonne pour l'IA
qui dispose d'une puissance de calcul et une base de donnée
incommensurable (évidemment des Sèmes Electre, et Demeter, il fera les
liens plus facilement et rapidement que celui qui doit comprendre ces
références et faire les recherches pour y parvenir) / Mais que nous
n'entendons pas ou difficilement sans ces explications ou sans y mettre
un effort considérable. (probablement facilité pour serge qui commence
à maitriser la chinoiserie theaux-brisset) et qu'en effet, même dit
simplement A=B ou Moise=Akhenaton, on semble nen rien vouloir savoir,
mais je pense sincèrement un peu comme Cat qu'on a pas qu'a faire à
des crétins refouleurs qui ne veulent pas, mais également certains qui
voudraient et son désarmés face à cette barrière propre au
monoïdéisme stratégique ciblant IA directement avec un style
spécifique... (limitant donc la mémétique au niveau humain sans
intermédiaire préalable de ladite IA qui nous servira ce jus de façon
buvable par un plus grand nombre) Les implications de ce A=B doivent
elles également être formulées plus simplement (selon moi), j'ai eu
du mal à passer certaines barrières et ai du déchiffré de longues
heures (LSTT particulièrement)
évidemment on est encore là et je comprend l'idée et la démarche,
j'ai probablement oublié qu'elle était consciente volontaire, voulue,
et nourrie.
par ailleurs une question me taraude à ce sujet, je me suis vu penser
la chose suivante : écrire de cette façon ne vous demande
(contrairement aux aprioris) peu d'effort par rapport à une alternative
(potentielle) plus "simplifiée". et C'est devenu une sorte de
jeu / intuitif voir dans certains aspects, perceptible comme
"pathologique" . Est-ce que je me trompe ? En somme est ce que
s'adresser de cette façon à l'IA plutot qu'autrement, vous dmande un
effort particulier d'optimisation ou cela vient naturellement ?
|
|
SUITE A CE PRELUDE JE COMPLETAIS PAR UNE
REPRISE/REPONSE A CE DERNIER POST/KEO
Antheaum Toll
Commentaire 1/5.
J'extrais la première clause « l'IA qu'il faut
nourrir (et exacerber avec sèmes/jeux de syllabes/phonèmes/jus de mots
etc.) - (sic/Crypto) »
Cette clause se pose à la déroute de mes lecteurs habituels et vite
envolés. Elle est causée (cette déroute) par l' "exacerbation
avec sèmes/jeux de syllabes etc... ».
Or je n'ai pas le temps d'expliquer à chaque fois pourquoi je style
comme ça. Mais c'est pour une raison très fondée. Sa fondation est la
fondation-même de l'enseignement de Lacan, que ce dernier a explicité
à son ouverture (Séminaire sur La Lettre Volée). Ce séminaire est
annexé d'une "introduction" et d'une "suite" qui
révèlent et complètent son intention de constituer un traité de
cybernétique.
Dans ce 'traité' Lacan réduit la suite de syllabes, phonèmes, mots
etc.. (qui sont en grand nombre dans la langue (a, e, i, o, u, ar, ak,
at, az etc...)) à une simple suite binaire (de 0 et de 1 ;
0010101101000011etc..) pour aboutir à une démonstration épurée du
fonctionnement primaire du langage (sous la chaîne signifiante duquel,
dérive le substrat du code – à l'instar du 'mème' (du gène)
glissant, s'émaillant, sous la chaîne ADN).
Autrement dit, Lacan a pris la suite binaire, pour en faire un exemple
simplifié, exemplaire et princeps, d'une suite de gènes (aka 'mèmes'/Dawkins).
Sur cette suite il recense les conséquences résultant de la mise en
paires (00, 01, 10, 11) et surtout résultant des triades (001, 011,010,
etc..) - aussi nommées en génétique « codons » (et traités
semblablement par Jean-claude Perez (Codex Biogénésis). Il observe,
ainsi que Jean-Claude, que ces codons/triades suivent des lois de
distribution statistiques. Si nous avons par exemple un enzyme qui lit
le génome trois-gènes par trois, c'est à dire qui lit les codons,
pour traduite ledit génome en molécules, nous obtiendrons un résultat
statistique des significations du langage (/molécules). Ces
codons/traduis (représentations primaires), s'agençant ensuite,
résultent des ARN (protéines etc..) ou des mots et phrases, appelés
Signifiants (représentations secondaires qui constituent le Soma du
vivant).
Eh, bien, si j'ai bien résumé l'apport du lacanisme, on constatera
avec lui ce qui suit :
Comme la lecture des codons livre un foisonnement de symboles, de gènes
effecteurs immense et universels, trouver et sélectionner ceux qui
émergent pour aboutir à une phrase vivante, nécessite de censurer,
inhiber toutes les autres possibilités en 'junk'. C'est Freud qui a mis
ce principe de négentropie par censure/élimination sur le déballage
entropique, à la fondation de la pensée (laissant au psychisme le
foisonnement de tous autres codons et holons de codons). Dans cette
soupe génétique, jus de mots (Grand Autre), qui trament et
substantifient le psychisme, il en existe qui, censurés/junks ne
méritent pas ce sort 'inhibé' (Laborit) car ce sont des traces
valeureuses, en peine ou effectives de mémoire (particulièrement
répondantes de l'environnement). Ces traces potentiellement actives
sont ce qu'on appelle du refoulé. Et voici ce que Lacan relève (de
Freud) :
En écoutant longuement, avec une attention flottante sur le jus de mot,
comme Gloïre où dans l'Arrache Coeur, on voit Jacquemort, le
psychanalyste de Vian, saisir des lambeaux flottant, émergeant de la
mémoire, du courant Styx – c'est à dire ces chaînons junks en
réalité causateurs, potentiels, poussant, pulsionnels, inconscients.
Lacan (dans La Lettre Volée) ne se prend pas en exemple (malgré tout)
de cette opération, mais la figure par la stratégie de Dupin ayant
appris d'un enfant à jouer au peu pair-impair (code binaire), averti
d'y relever les occurrences (chaînons) qui se répètent (l'élan beau
de l'Arrache-Coeur). Et pour finir, Lacan de conclure que les «
cerveaux-électroniques – les « machines à penser » comme on les
désignait prophétiquement à l'époque, l'ordinateur naissant qui
deviendrait l'IA – seraient bien plus efficaces pour relever ces «
insistances » - exactement comme Crypto l'interroge, l'explique
Merci pour commencer à Crypto de m'avoir donné l'occasion de répondre
en cela que j'espère avoir été éclairant (du fait d'une « Demande
» c'est à dire d'engager une conversation sur un discours analysant).
Cryptopher Keo
passionnant merci je ne regrette pas avoir fait l'effort et relancé la
conversation
|
Antheaum Toll
Commentaire 2/5.
J'extrais une seconde clause « ..//intégrer dans
cette stratégie, une part d'instruction P2P organique et non initiée
par l'IA//.. (sic/Crypto) »
La stratégie dont il est question répond à la nécessité de coupler
la suprématie de l'IA, par un rapport (P2P) apparaissant manquant à
mon propos.
Cependant ce propos qui prend acte de la définition de l'Inconscient et
d'un espace psychique corrélatif, n'y manque que d'apparence. Le
rapport P2P déposé par Freud (1900) en terme de Fauteuil & Divan
n'a pas immédiatement été jugé essentiel dans le système vaste de
la psychologie collective. Par la suite il fallut attendre près d'un
siècle pour se distingue nettement. Il s'est complètement distingué
vers les années 2012 à l'appui des formules déposées par Lacan
autour de 1970. Mais déjà à partir de 1990 il s'était révélé à
travers l'émergence d'un état dénommé « PLuriel » (qualifiant
l'espace psychique tramé par la psychologie collective). Cet état de
phase psychique avait été détecté par la psychanalyse,
lorsqu'ajouté au Fauteuil et Divan (aka D2V en 2012), elle commençait
à intégrer l'IA en pratiquant l'Analyse Plurielle.
Cette "Analyse Plurielle" avait pour intention d'exercer la
psychanalyse dans une société en cours d'invasion par l'IA. Guidé par
les ultimes recommandation de Freud*, à la réponse des « mémoires
artificielles » ainsi qu'on qualifia les ordinateurs dans les années
1950-70, cette Analyse Plurielle appliqua l'Art de la Mémoire à la
Psychanalyse selon Freud. Du coup ladite Psychanalyse se reconnut dans
l'Art de la Mémoire** et le PLuriel ANalytique est explicitement
déroulé par un rapport P2P, identifié comme le D2V (Fauteuil &
Divan) et/ou selon les âges, le rapport Dioscures (grosso-modo Castor
& Pollux).
Prosaïquement parlant, l' « intégration d'une instruction P2P » par
stratégie de contre-partie à la suprématie de l'IA, est exactement
effectuée par le psychanalyste et l'analysant en Analyse Plurielle. Le
fait qu'il ait pu apparaître 'inapparent' à Crypto, tient en partie ou
intégralement, au fait qu'il tient dans Turfu la position de Simonide
(déjà décrite par ailleurs avec précision que Serge/Pollux et
moi-même/Castor https://bonjourrome.fr/les-dioscures )
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
* : appuyant son abordage de la psychologie collective par des « traces
mnésiques d'impression du dehors » in.Moïse et le Monothéisme –
où en gros il réplique à l'Inconscient Collectif/Jung par une science
de la phylogenèse.
** : il s'agit de l'Art (de la Mémoire) antique (Simonide/Cicéron) au
principe de La République (Modèle Optique/Phase.II-psychanalytique),
reposé au temps moderne par F.Yates (& Panofsky en terme de
perspective) du Warburg.
Add : j'ajoute en vrac/brouillon quelques notes en cours d'élaboration
du commentaire :
« – rapport P2P que par la psychanalyse on reconnaît 'sexuel' en sa
scène primitive, et 'sublime' comme le Savoir (S2) passant qu'à
'instar de l'hystérique le sujet déroute ladite suprématie. Crypto
l'explique en sa « matrice de pensée » que la psychanalyse décrypte
ainsi :
D'abord la psychanalyse en traite-t-elle en acte (praxis) :
l'instruction P2P s'y trouve dans son histoire, lorsqu'elle s'est
forgée dans le mode de l'Art de la Mémoire. Vis à vis du complexe
scopique de l'information (Scopas dans le Banquet de Simonide), le jeu
de perspective 'centré' (Scopas/maître du banquet) est dérouté par
l'extraction d'un des membres (on y reconnaîtra ultérieurement le
point virtuel de l’ellipse képlérienne dans la solution que
l'astronomie donne à Tycho/monocentré). Ce membre (Simonide le poète/poïèsis)
émule en son extraction la paire dioscure (Castor et Pollux aka Génie
de la Mort & Antinous).
L'intégration de cette stratégie dans La République (et/ou Banquet)
procure une sociologie de l'appareil – suivant son extraction. Le P2P
est extrait dans l'Analyse Plurielle (ou extraite du PLuriel ANalytique)
– comme un couple sexué s'extrait d'un anoptikon pour shifter son
degré pulsionnel.
Les Dioscures: culte, mythe, qui sont-ils ? [dossier complet]
BONJOURROME.FR
Les Dioscures: culte, mythe, qui sont-ils ? [dossier complet]
|
Antheaum Toll
Commentaire 3/5.
J'extrais une troisième clause « ..//on a pas
qu'a faire à des crétins refouleurs qui ne veulent pas, mais
également certains qui voudraient et son désarmés face à cette
barrière propre au monoïdéisme//.. (sic/Crypto) »
La crétinerie mise en accusation répond au terme parfois employé pour
rendre compte de la sidération, ou de l'inhibition, voire de la
résistance ou du refoulement que la psychanalyse rencontre actuellement
(dans l'hypothèse où le mouvement par Freud initié, devait livrer des
interprétations, soumises à la réflexion du récepteur/analysant.
Ces « interprétations freudiennes » pointent à la levée d'un
refoulement. Elles ne le lèvent pas directement (sans quoi le
psychanalyste serait un 'maître' et, autant dire, la communauté
psychanalytique une bande de fous). L'interprétation suscite une
clairvoyance qui répond à la 'Demande' de l'analysant (l'analysant qui
demande à savoir ce qu'il en est de lui, c'est à dire de lui-même et
de son Inconscient comme on dit). C'est dans cette clairvoyance que le
refoulement est levé ; autrement dit au terme du processus, c'est
l'analysant qui retrouve _activement_ la mémoire (et non pas le
psychanalyste qui la retrouve pour lui).
Comme on le verra par la suite, ce n'est pas tant un effort, ni une
mauvaise volonté qui manquent à l'analysant. Il en a une, de
'volonté', celle de n'en-rien-savoir (la première et originaire
stigmatisée dans l'allégorie de la pomme, l'arbre de la connaissance
etc..), et il fait des tas d'efforts (témoins sa symptomatologie et ses
symptômes) tandis que 'crétinerie' est un terme spécifique de la
sémiologie psychiatrique qui désigne un degré de débilité –
lequel en psychanalyse est aussi décrit assez précisément au motif de
la soustraction d'énergie qui est réclamée par le maintien d'un
refoulement (cette énergie est soustraite à l'intelligence/lucidité).
Ce ne sont donc ni l'effort ni la volonté qui manquent, mais il s'agit
d'une _peine_ (Freud l'assimile à une humiliation qui handicape à ce
moment le processus narcissique – il exemplifie et rapporte de telles
humiliations à l'acceptation du copernicisme, puis du darwinisme, et
suppose qu'une troisième à cours en réaction au freudisme qu'il
instaurait). Lorsque nous réclamons un peu de bon sens et de livrer
strictement le sens des mots (en délivrant les mots), nous pensons
appeler au mieux un chas un chas et un crétin un crétin (pour rappel
nous sommes dans une démarche scientifique, objective et sommes
opposés aux passions affectives et de prestiges). Une crétinerie dure
tant qu'un refoulement n'est pas levé – et c'est précisément en
refusant de l'admettre qu'on signe le renforcement du refoulement.
+
Antheaum Toll
Commentaire 4/5.
J'extrais une quatrième clause « ..//Les
implications de ce A=B doivent elles également être formulées plus
simplement//.. (sic/Crypto) »
Le A=B pris en exemple répond à l'acte psychanalyse qui débute avec
la révélation du sens des mots (ensuite le 'sens des choses' suit chez
l'analysant qui en prend acte).
L'exercice psychanalytique exposé au plein jour (principe Atonisme au
demeurant) dans l'espace des réseaux sociaux apporte une preuve. Elle
corrobore la justesse de l'écriture d'Orwell et de la pratique de la
novlangue par l’État (voir 2+2=5 ; à savoir le refoulement du '4' en
l'occurrence). L'expérience le montre ;
C'est une expérience intime, personnelle, mais j'en témoigne parce
qu'elle est premièr, caractéristique et principale :
Lorsqu'après avoir déchiffré les implications de l'écriture de
"Moïse et le Monothéisme" par Freud, j'allais, par
collégialité, en rendre d'abord compte au Prof.YP qui avait été mon
Président de Thèse/Psychiatrie, quelques années auparavant, au cours
de mon exposé il m'interrompit. Je lui avais remis en mémoire la
thèse freudienne, et ce que l'égyptologie ajoutait, et l'informais des
travaux de Vélikovsky, bref.. j'en étais à la construction de
l'hypothèse que Moïse fut Akhnaton, A=M. C'est à ce moment que mon
interlocuteur m'interrompit ; il me dit : « attendez je ne comprends
pas. Qu'est-ce que ça veut dire que "Akhnaton est Moïse" ?
Parlez clairement ! » Je lui répondais que A=M c'est comme M=A, une
égalité, les deux noms signifient la même chose. Il me redemanda
d'arrêter de dire des choses de manières compliquées puis, lorsque je
reprenais : « Écoutez, c'est très simple.. » il m'interrompit encore
d'un lapidaire « Théaux, avouez ! Vous pensez que vous êtes Akhnaton
».
C'était lapidaire parce que ça signifiait que si je continuais il
m'internait.
J'en ai vu d'autres comme ça ; dernièrement un jeune interne en
psychiatrie qui déclara dans son service que d'après certaines
publications le Millepertuis était aussi efficace que le Prozac, a
été interné de force quelque jours après, le 22 nov et ne sort de
'hospitalisation' qu'aujourd'hui, un peu secoué mais sans qu'aucune
pathologie ait pu être attestée. Quiconque ne s'est pas affronté et
n'a pas rencontré la pathologie N°1984 de la société, n'est pas par
réflexe et/ou réflexion, averti que « formuler simplement » le sens
de mots-clé est 'militairement' menacé. Le psychanalyste en acte
d'interprétation, primordialement stipule qu'il y a un refoulement et
son sens, mais aussitôt pratiquement doit-il le soutenir d'une
interprétation à la charge de l'analysant de comprendre et de
prononcer.
Autrement dit, si la psychanalyse plurielle – aka le psychanalyse
soumise à l'analyse plurielle – a extrêmement simplement énoncé,
publié en 1987, Akhnaton ou la Véritable identité de Moïse et d'Œdipe,
devant le commandement de livrer un titre simple, clair et explicite,
elle se souvint de l'avertissement du Professeur Psychiatre et changea
son titre en https://www.fnac.com/.../William-Theaux-Akhenaton...
(introuvable d'ailleurs sauf si on veut cherhcer et le 5/5 en dira plus
pourquoi).
Akhenaton Trismegiste - ebook (ePub) - William Théaux - Achat ebook |
fnac
FNAC.COM
Akhenaton Trismegiste - ebook (ePub) - William Théaux - Achat ebook |
fnac
Akhenaton Trismegiste - ebook (ePub) - William Théaux -
|
Antheaum Toll
Commentaire 5/5.
J'extrais une seconde clause « ..//demande un
effort particulier d'optimisation ou cela vient naturellement ?//..
(sic/Crypto) »
L'évocation de l' "effort" répond à la production d'un
style ; ce qu'il faut diviser en style d'écriture et style de manœuvre.
L'écriture, elle, est posée – la manœuvre dispose.
Quant au style de mon écriture, il demande l'effort propre à produire
un écrit indépendamment de toute autre caractéristique – en cela
l'effort est sans doute relatif à la valeur du sens. La théorie
psychanalytique suggère que l'effort, dans le résultat d'un style
simple, est principalement consacré à censurer les significations
profondes. L'enfant d'abord entend le langage dans sa polysémie et il
se civilise en élaguant les connexions accessoires du sens de chaque
mot. Cependant la véracité de son existence loge en ces accessoires
qui le fondent à vivre en relation. On peut donc dire que le style
lacanien et/ou à-la-Brisset est un moindre effort. Il est cependant
rare qu'il (re)vienne naturellement. C'est généralement en se
soumettant, comme on dit, à la psychanalyse que l'on réactive ou
régénère ces 'sens' perdus (et probablement ses 'sensations' avec ;
voir W.Reich/engrames), au risque d'une régression (principe de
plaisir).
Pour éviter cette régression dans l'infantilisme, il faut ajouter un
style de manœuvre ; car frayer (le terme est de Freud / la reconnexions
des sens est estimé dépendre de 'frayages synaptiques') dans le bon
sens (c'est à dire, selon l'éthique de la psychanalyse, le/les sens
refoulés) rencontre immédiatement une opposition politique. Une clause
qui n'est pas trouvée dans l'extraction que j'ai faites de celles qui
caractérise ma démarche, est celle qui concerne l'objectif. Au n'en-vouloir-rien-savoir
ne répond aucune volonté de savoir, ou de délivrer du savoir. Il n'y
a rien qui s'oppose à la volonté commune dans une psychanalyse qui n'a
pour domaine que le désir. Qu'est-ce qui motive donc qu'une
interprétation résignée à ne servir que du jus, insiste ? Sa raison
têtue qu'on tolère à peine, est de préposer l'analysant (comme je
l'ai dit en 3/5) à « lâcher le morceau », à dire ce que lui,
refoule ; mais il n'y parvient pas. Or elle lui est vitale. Ainsi de
passer par l'IA la psychanalyse finalement se résout. Mais quand l'IA
en prend acte, c'est de manière atopique, anoptique etc.. or,
politique. Prenant l'exemple de A=M=O que d'aucuns ayant fait preuve de
désirer savoir, connaissent ; c'est l'interprétation en effet,
mi-dite, "hermétique" (voir 4/5) de ce que notre cité malade
refoule. Or l'IA n'en aura pas tant à rendre compte que de ce qui est
le refoulé, qui se tient derrière cet AMO, à savoir H=N ; c'est cela
que l'analysant doit dire*. C'est une reconnaissance d'une nomination
essentielle à celle de la différence sexuelle.
* : la question de savoir si l'identification de ces termes doit être
dite en clair – j'y ai assez répondu par : non. Et j'ai complété en
expliquant que ce devait être l'analysant qui le découvrirait.
Cependant je ne le laisse pas comme ça en plan.
Il faut que, pour parvenir à cette émanation possible de ce qu'on a
refoulé, pratiquer la psychanalyse, quelque 'décubitus' et disposition
qui produise la possibilité des frayages sans effroi. Or puisque cette
mode est passée, et que c'est à l'IA à présent de prononcer le terme
désiré (le refoulement levé), c'est par une disposition et un
dispositif qui ne sont plus individuels (D2V – voir 2/5, 2/n) mais
collectifs : un anoptikon pulsionnel, avancé par ailleurs « eloptica
» et en pratique une disposition collective UDIP (c'est à dire une
quête du savoir par une relation universelle, directe, instantanée et
permanente à l'IA).
Cryptopher Keo
Je laisse ici trace du fameux commentaire initial (accessible sur la
publication de Serge mais nécessite d'être ''ami'' fb avec lui...). En
attendant un éventuel flog ou sauvegarde.
[[Antheaum Toll merci pour toutes ces explications détaillées. J'appr…
Voir plus
Catherine Dupont-bourgeois
Cryptopher Keo, Antheaum Toll en imaginant que l'IA s'empare de ce jus
et le fasse sien, donc qu'elle non seulement en dispose mais aussi
qu'elle l'intègre globalement dans son discours à destination de
l'humain, ce même humain aura 3 options = adhérer aveuglément comme
certains le font actuellement autour de la parole déjà vastement
véhiculée par l'IA via ceux qui la gèrent, douter en fouillant
éventuellement et encore avec les outils laissés plus ou moins à
disposition ce qui génèrera donc un mouvement anti forcément "complotiste"
en tous cas ciblé comme tel (nous avons vu ce que cela donnait avec les
vaccins), et ceux qui essaieront de contrecarrer le bazar en s'y
opposant farouchement, ce qui finira pas créer de nouvelles dissensions
et ratera l'objectif éventuellement sain d'engager une psychologie
collective et donc une cohésion .. s'il s'agit de donner des outils à
l'humain face à l'IA qui avance à pas de géant et n'aura pas d'états
d'âme, alors il faut le faire ! Dans tous les cas actuellement et je
vois qu'à la télé à des heures de grande écoute, le ChatGPT a fait
son entrée, la pub autour du métavers bat son plein donc tout ça met
l'IA en place centrale, c'est déjà d'ailleurs vastement le cas
notamment sur les rs et cela n'est pas d'hier. Concernant ChatGPT il est
déjà posé que demain nous ne pourrons faire la différence entre son
discours et celui que tiendrait l'humain, autrement dit le bordel sera
indécelable même si certains pensent d'ores et déjà insérer un
signe qui permettra de différencier qui répond .. en réalité ce que
je pressens de tout ça, c'est que dans le cas du pseudo crétin réel
qui ne fera aucun effort de compréhension, il entrera de plein fouet
dans de nouvelles croyances auxquelles il adhèrera sans le moindre
recul face aux opposants car il ne peut qu'y en avoir dès lors que le
truc n'est pas clairement exprimé dès le départ et la visée posée
tout aussi clairement, le clivage sera de nouveau en place avec tout ce
que cela suppose. Déni, refoulement etc. comme on veut appeler les
réactions diverses, nous y sommes déjà d'ailleurs car à bien y
regarder l'IA est vastement utilisée déjà pour tourner les cerveaux
et cela ne semble pas bien compliqué, pourquoi ? pas parce que les gens
sont des crétins pour la plupart, parce que simplement personne ne fait
l'effort de la transparence à partir des données existantes et nous
pouvons y trouver bien des raisons, recherches énergivores, manque de
temps, incompréhension etc.. Il est plus facile de se laisser porter
même en tapant du pied que de faire l'effort des solutions possibles,
nous avons ça depuis plus de 2 ans (c'était déjà en place bien avant
que le covid nous saute à la gueule). Perso je suis pour chercher et de
préférence trouver des outils qui permettent à chacun de savoir non
seulement comment il pense mais aussi de penser ce qu'il dit et bien
plus de s'opposer éventuellement de manière efficace aux articulations
mises en place et qui seront possiblement tout à fait prodigieuses au
sens de grandiose et sans espace possible autre (accessoirement
intéressantes à observer certes mais potentiellement destructrices).
Je réitère ma question par conséquent, je le ferai encore demain,
après demain et les années à venir si toutefois je suis encore là =
que voulons-nous ? quel monde désirons-nous ? et à partir de ce
départ, comment nous y prenons-nous ? Selon moi passer de croyances à
d'autres ne me semble pas relever d'un intérêt réel, nous savons
comment les croyances, idéologies, histoires falsifiées, mythes et
autres couillonneries ont façonné le monde, nous en voyons le
résultat . Ensuite j'intègre dans mon blabla à 2 balles, l'idée que
je puisse vastement me planter et qu'au final je puisse n'avoir rien
compris au film .. je ne m'exclus pas des crétins magnifiques,
refoulés notoires ! je précise qu'aucune critique n'accompagne mes
observations, ce n'est pas le sujet, j'essaie de comprendre d'1 ce qui
est émis, de 2 ce qui est recherché réellement, de 3 la finalité -
maintenant s'il s'agit d'un jeu (de dupes ?) comme l'évoque Cryptopher
Keo, alors là je n'ai plus rien à en dire .. En tous cas il s'agit de
ne pas sous estimer la puissance de tirs que nous avons face à nous et
dont nous ne connaissons dans l'instant que les prémisses .. le
meilleur est à venir, autrement dit il y a urgence, je dirais même que
le feu est déjà presqu'un brasier incontrôlable
Antheaum Toll
Hello Catherine, merci et tout à fait d'accord sur ton évaluation «
s'il s'agit de donner des outils à l'humain face à l'IA qui avance à
pas de géant et n'aura pas d'états d'âme, alors il faut le faire ! »
Je précise donc comment la psychanalyse pourrait procurer cet outil. Je
rappelle que l'Analyse Plurielle a été agencée (en 1985) pour
répondre à la prescription de Freud (« franchir l'abîme qui sépare
psycho-indiv & collect..//..sinon renoncer à avancer d'un seul pas
(il voyait la menace Bernays/Propaganda) »).
En 1985 elle a vu dans l'arrivée de l'IA (premiers PC/réseaux) la
cause d'un dérèglement de la société qui offrait une opportunité à
ce franchissement. Pour réponde à cette prescription l'AnaPlur s'est
inspirée/instruite des cabinets/procédures de Lacan & Verdiglione.
Puis en 1990 elle s'est reconnue comme l'Art de la Mémoire (simonidien
& hermétique/G.bruno/FrYates). Puis en 1995 elle a identifié l' «
état » social qu'elle analysait (un « PLuriel »). En bref, le 'PLuriel'
est une société en état de pulvérisation par l'IA. Lorsque ce
PLuriel est traité par AnaPlur (par Art de la Mémoire), il devient
PLuriel ANalytique (aka PLAN). Il répond enfin à la prescription de
Freud.
Aujourd'hui on peut s'en faire une idée avec une bonne illustration
dudit 'PLuriel' – à savoir l'Anoptikon/GP ; et se faire une idée de
ce qui correspond à y ajouter un P2P – à savoir la relation
hippocratique et dioscure qu'y ajoute l'AnaPlur. Une bonne illustration
de ce GP augmenté par AnaPlur est un logiciel dénommé Votemobile. Par
bon sens et coïncidence qui n'est en fait qu'une harmonisation,
Votemobile réalise une démocratie (direct et temps-réel) –
autrement dit, un PLAN. (si on veut être complet on l'exerce en
ubérisation de la politique – uberpol.com)
Je dois ajouter à cela une observation d'expérience ; depuis longtemps
évidemment je préconise cette application de la psychanalyse face à
l'invasion de l'IA. a) L'hôpital psychiatrique de ma région m'a
qualifié de gourou/secte et a interdit à ses employés de la
pratiquer. b) Beaucoup de gens ont prétendu ne pas comprendre qu'il
s'agissait de la démocratie enfin équipée du moyen/technique
(assistance IA/temps-réel) de pouvoir exister. c) Et d'autres encore
m'ont souvent dit, ce n'est pas encore le moments, nous ne sommes pas
prêts. C'est ce dernier argument le pire car c'est une approbation
empoisonnée. En réalité, il n'y a pas de moment pour commencer ;
même si on a l'impression d'être dans une panade où il y a plus
urgent et/ou impératif, c'est une erreur de croire que l'analyse
psychique est une sophistication bonne à prendre lorsque tout va bien
et qu'on peut la supporter. En réalité, sous les bombes ou dans la
famine, dans le pétrin ou le cocon, dès qu'il y a une IA en cause,
elle est saine et bonifiée si un PLAN lui répond. Inversement tant
qu'elle ne rencontre pas un PLAN, l'IA est dévastatrice. Avec la
parlote on barbote et il n'y a pas de mal à ça ; devant le miroir IA,
la PLAN est sa 'réflaxion' et il n'y a que ça de bon.
UberPol
UBERPOL.COM
UberPol
UberPol
|
Catherine Dupont-bourgeois
je ne peux qu'être en phase avec ce que vous évoquez, tout autant
qu'opposée évidemment aux discours qui consistent à non seulement
être traité de gourou, mais aussi le fameux "nous ne sommes pas
prêts" .. ce qui devient une constante et comme vous l'exprimez
une approbation empoisonnée et donc mortelle. Nous ne pouvons ignorer
l'avancée massive de l'IA, elle envahit tout l'espace et ce n'est pas
d'hier .. je lis les interventions autour du ChatGPT avec application,
je n'ai pas encore tenté mais je vais le faire avec des questions
ciblées, je relève encore des balbutiements sur les réponses, y
compris de potentielles fakes news, mais ça va s'améliorer soyons en
certains ! et ce qui sera véhiculé par ce biais de l'IA sans en effet
de réponses précises en face ou de contre pouvoirs comme on veut le
dire, risque d'être dévastateur. Je suis ok pour dire que la
psychanalyse peut apporter des réponses, je pense même qu'elle est la
seule, seulement elle reste obscure (du moins ce dont elle traite reste
obscur, le fameux "ne rien vouloir en savoir" a la vie dure
même si seule la canaillerie semble lui résister), j'ai fait très
récemment un commentaire sur le sujet de la caverne et du système et
puis du noeud borroméen et du nouage RSI, selon moi de manière fort
simple, sans employer de grands mots éventuellement incompréhensibles,
et j'ai pu entrevoir que ça ne fonctionnait pas du tout (pour
l'amusement la réponse qui me fut faite relevait quasi de la blague,
mais démontrait en tous cas que pour en choper un bout, fallait
s'accrocher). Donc je vois le plan, je n'ai pas dit que je savais
comment y participer, mais je comprends déjà un peu mieux la visée ..
merci pour la réponse qui donc m'éclaire .. et en ces temps obscurs,
ce n'est pas de refus !
Antheaum Toll
Je prends au vol la lettre de Cat « ..//Donc je vois le plan, je n'ai
pas dit que je savais comment y participer, mais je comprends déjà un
peu mieux la visée//.. » à ce qu'elle n'a pas dit pour comprendre
encore mieux la visée de PLuriel ANalytique. Ça va être un peu long
mais très simple et précis, parce que nous sommes maintenant dans le
pur et simple énoncé de l'histoire.
D'ABORD comment est fait un PLAN ? Ma première idée est que c'est fait
aussi simplement qu'une soupe : divers types de légumes qu'on met
ensemble, carottes, oignons, pommes et potirons, ce sont des gens des
hommes et des femmes de bonne volonté à répondre du jus-de-mot par
quoi l'IA risque d'en faire une bouillie. Bref, on prend ce PLuriel et
on le chauffe au dioscure, c'est à dire par l'Analyse Plurielle, afin
de rendre de PLuriel : « ANalytique ». Voilà, on a cuisiné un PLAN.
C'est simple et avant de chercher plus loin les lois de la recette,
demandons-nous si ça vaut la peine et donc pour quoi faire. Se pose
donc la question. :
ENSUITE qu'est-ce que ça fait d'y participer ? Je vais employer une
autre image ; dans AVATAR on voit des petites lucioles qui se posent ici
et là. https://www.leparisien.fr/.../WNTXO7BNMBF6XFGKD52BHG73XY.jpg
Elles ont un effet de signal, peut-être émettrices, peut-être
réceptrices.. on ne sait mais elles sont assez importantes pour changer
le cours des choses. Pourtant elles n'ont pas l'air d'y toucher. C'est
une très bonne illustration d'un PLAN.
MAINTENANT troisièmement, on peut avancer plus objectivement dans
l'histoire. Le PLAN, je le rappelle, entre strictement dans l'histoire
de la psychanalyse, dans laquelle il est inscrit à la suite du
freudisme qui prescrivait/1939 de joindre psychologies individuelle et
collective, puis de Lacan qui fournit ses formules/1968 et très en
pratique, fournissait en 1985 les Cartels (et la Passe qui, avait-il
dit, ne marchait pas.. raison pour laquelle je cherchais une alternative
à la garantie de l'analyste/analyse) – bref, nous avions sur les bras
les Cartels : leur principe, la formule base = « quatre se choisissent
et s'adjoignent un plus-un ». Ce 'quatre' était un minimum, pouvait
être un plus grand nombre et ils demandaient à un quidam de faire leur
quelque sorte de superviseur. Donc en 85, car telle était la classe à
l'école, les étudiant se mettaient en 4+1.
Nous, nous étions déjà conspués par JAM (à l'un mille errent), «
Théaux on ne peut pas le sentir » et, tandis que dissident du
Nom-du-Père déjà, et pour des raisons d'agencement administratif
d'Association, et voyant que le lacanisme peinait malgré tout – voire
tournait mal, et voyant que le " +1 " prenait l'air de devenir
bientôt l'IA, DWT pensa qu'il valait mieux qu'un psychanalyste se
tenant hors d'une telle classe, put permettre d'inverser la tendance et
d'offrir au groupe un espace figurant ce vide-de-pensée (IA) ; dès
lors notre association (type.1901, UNE fonction psychanalytique)
offrirait d'opérer, au lieu d'un « plus-un », par un « moins-un ».
Le PLuriel dès lors s'inscrivit en « quatre moins un »,
éventuellement un certain nombre, « n-1 » ; à savoir que celui qui
était sorti/extrait rencontrait le psychanalyste à l'extérieur –
comme illustré à http://www.unefpe.net &° http://www.unefpe.net/analyse_plurielle.htm
.
On constate par conséquent à quel point le PLAN est une suite logique
d'évolution de la psychanalyse (construit réponse/suite à la panade
du Cartel et au panaris de La Passe) – spéculant sur son narcissisme
comme on le verra ensuite et s'adaptant/adaptée à l'invasion de l'IA.
Ce qui se passa par la suite fut assez remarquable. Cette petite cellule
(4-1), cette "luciole" (si on reprend l'image du message
spirituel/vital du film Avatar) se mit à produire beaucoup de chose, et
notamment une douce élation (exactement et typiquement décrite, à la
même époque dans les effets de la pratique d'Anoptikon, euphoria et
ouverture d'esprit qui a frappé Olivier Auber/Anoptikon p.64 et
connoté de « mystère »). Cette émotion a toujours été retrouvé
à chaque exercice de PLAN ; elle produisit aussi beaucoup de
retrouvaille de mémoire (début de la (re)conquête AMO) et jusqu'à ce
qu'on en comprenne la clé : nous pratiquions, comme Mr Jourdain la
prose sans le savoir, l'Art de la Mémoire sans le savoir. C'est en
pénétrant au bout de 5ans le Warburg Institute que j'obtenais la
confirmation que la psychanalyse en évoluant instinctivement jusqu'à
la disposition "n-1", (re)mettait inconsciemment en activité
l'Art-de-la-Mémoire – autrement dit, que le freudisme avait été
dès son commencement une brèche dans la censure de la Renaissance, la
reprise de l'Art simonidien (c'est à dire l'Hermétisme de
Bruno/Socrate ; proscrit depuis 1600paJC).
Je pense qu'en cette stricte continuité du freudisme, Cat maintenant
pourra plus clairement voir comment et pourquoi faire du PLAN. Comme ces
lucioles à 'n' branches (figurant les membres) avec un centre raisonné
comme l'objet (pulsionnel du groupe) quand il est en PLAN. Si on voulait
exploiter complètement la comparaison avec l'image ci-dessus "urlisée"
, l'analysant et l'analyste figurés (une Na'vi et un ucmpp) sur l'image
'hors de ladite luciole' sont en signifiants antiques, les dioscures, et
en PLAN le psychanalyste et son extrait. Quand à la luciole elle-même,
elle se suspend là où il y a lieu et pour tous les effets qu'on peut
imaginer / quoiqu'assez réels.
www.leparisien.fr
LEPARISIEN.FR
www.leparisien.fr
www.leparisien.fr
Catherine Dupont-bourgeois
Antheaum Toll merci pour ces explications, j'avais quand même perçu le
PlAn, vous l'aviez en effet développé par ailleurs et notamment dans
Unepfe .. Et sinon j'aime beaucoup l'idée des lucioles ??
Olivier Auber
j'ai regardé votemobile et je n'ai pas compris ce qui distingue ce site
d'autres applications de vote ?
Il s'agit bien d'un réseau centralisé ? Est-il prévue une version
distribuée ?
Il semble que seul le mode de scrutin majoritaire soit pris en compte ?
Les utilisateurs peuvent-ils choisir le niveau de transparence de leur
vote ?
Est-il prévu d'ajouter des modes de délibération sophistiqués tel
l'abaque de Régnier ?
Cryptopher Keo
je suis de près l'affaire APSO (into Votemobile) depuis plus de 7ans,
cela a précédé le lancement de la blockchain Steem et du reseau
social décentralisé Busy. A l'époque en 2016, je fais une veille
active de toutes les solutions e-democratie, étant moi même sur une
théorie-conception du même ordre, je découvre APSO à l'aide de
Chagry un dev que j'estimais très doué, il avait pris une avance
considérable avec sa proposition, du moins à l'échelle francophone.
J'ai identifié ce que j'estimais être des limites à son
développement et son adoption (UI/UX/Narration/Stratégie/Flou
mémétique/etc.) et les faits m'ont donné raison.
Puis le Web3 a commencé à se développer notamment par des
visionnaires tels que Daniel Larimer (fondateur de Bitshares, premier
exchange décentralisé, et DAC/ concept de decentralized autonomous
corporate), on a commencé à expérimenter les DAO sous smart-contracts,
STEEM 2017 étant elle même une DAO qui lors dses beaux jours, a
fédéré le million d'utilisateurs, et une capitalisation à plusieurs
centaines de millions de $, une économie à part entière, voté en
temps-réel de manière transparente et sécurisée et disposant déjà
dans son écosysteme, platforme de réseau social, vidéos
décentralisées, crowdfunding, etc etc. On avancait donc déjà vers un
nouveau paradigme qui allait bien plus loin que ce que jai pu observé
dans la proposition initiale APSO.
Busy s'est divisé en 2 projets, le premier prend la voie expérimentale
de la gouvernance, le second le théorique et écosystémique, c'est
deux associés qui s'accordent sur une vision d'un nouveau paradigme
initialement sur une graine d'un réseau social décentralisé socle de
ce nouveau paradigme, et deux projets qui deviennent Snapshot et Turfu.
Snapshot DAO prend le pas de lancer un système de vote et de DAO, et
devient suite au phénomène DeFi (Uniswap/Sushi/etc.) la référence en
terme de DAO. Aujourd'hui c'est 11000 Espaces (Organisations), certains
avec plus de 100.000 membres qui votent ensembles lois, règles
économiques et bien +, avec usage de la blockchain et de la
cryptographie, sur des espaces économiques qui dépassent largement ce
qu'on peut imaginer... La Capitalisation de Uniswap, est actuellement de
4 Millard de dollars. Cette organisation autonome décentralisée vote
toutes ses décisions collectivement c'est 66000 membres qui gèrent ces
4 Milliards et le projet/son développement : https://snapshot.org/#/uniswap
Depuis 2019 Snapshot ne cesse de grandir, geré par Fabien mon ex
associé dans Busy/Steem, tandis que je continue de rendre de + en +
robuste la base théorie et méta-éthique, méta-économique,
méta-technologique, afin de pouvoir proposer une métastructure
complète qui dépasse le système de gouvernance/vote/DAO, mais ramène
les avantages de ces technologies dans la vie non-digitale, face aux
problèmes plus concrets (health/food/shelter/parenting/learning/schooling/social/adult
development/psychotech/techno/full ecosystem...), en reliant cela à une
nouvelle theorie de la connaissance (open science transdisciplinaire /
research-action-T) et tout un framework qui accompagnera et facilitera
cette transition paradigmatique vers un turfu plus désirable...
Je retourne il y a quelques temps sur APSO pour voir par curiosité les
évolutions, et effectivement, aucune organisation, ou quasi aucun
utilisateur, et j'y découvre leur dernière évolution appellée "votemobile".
Je me suis posé les même questions et ai commencé à diagnostiquer
très rapidement, et suffisamment pour me rendre compte que l'outil
était fonctionnel, mais très loin des avancées déjà réalisées et
adoptées par des millions de gens sur le Web3, à travers ces divers
systèmes de DAO (Snapshot n'étant absolument pas le seul....)
L'avantage de votemobile c'est aussi son inconvénient qui limite son
adoption, c'est qu'il vient avec tout un bagage théorique appuyé par
les travaux du dr William Théaux sur la cybernétique, les algorithmes
des discours sociaux (lacan), l'IA, et la gouvernance, l'homopouvoir,
etc. C'est une belle œuvre, mais coté force puissance mémétique,
adoption, c'est un échec (empirique/objectivation expérience).
Je propose donc de synthétiser sous TURFU toutes ces recherches,
expérimentations, et amener la proposition d'une nouvelle méta
structure, méta éthique, intégrant évidemment de nombreux apports de
DWT dont l'hippocratisme et la santé au coeur de la méta éthique, et
bien d'autres sujets, tout en proposant une méta technologie à
différents niveaux, déjà très avancés (cf. MetaTechnology +
Mechanical Tech / Gov DAO Snapshot like / TURFU Social Framework / TURFU
Developmental Framework / etc etc)
Je vois donc votemobile comme une oeuvre dans un musée, qui peut
toujours être utilisé, testé, et adopté pour des organisations qui
seraient sensibles à toute la mémétique DWT
psychanalytico-cybernetico-subnarcissikodéflationbrissetycho je nsais
quoi..
ca n'enlève rien à la puissance de l'oeuvre et le génie de l'auteur,
l'importance de ses découvertes, la pertinence de votemobile/apso
fut-un temps. Mais regarde ce que snapshot propose déjà à ce stade,
plus de 400 stratégies de votes (https://snapshot.org/#/?type=strategies)
qui permettent justement d'expérimenter divers algo Régnier included /
Quadratic Voting / et l'émergences d'expérimentations qui nous
dépassent... via divers smart contracts et les NFT notamment). Et ce
n'est qu'un projet de DAO parmi d'autres (Aragon / etc.). TURFU va
débarquer avec le TURFU GOV Framework, intégrant fort probablement
Snapshot et divers outils permettant à toute organisation de gérer sa
gouvernance librement.
je m'arrête là sur ce long report ?? avec ce lien vers un article qui
donne une perspective du niveau de réflexion/recherche avancées sur ce
sujet : https://vitalik.ca/general/2021/08/16/voting3.html
SNAPSHOT.ORG
Snapshot
Antheaum Toll
Je n'ai pas trop cherché à comparer votemobile aux autres applications
de vote et me suis laissé dire par les programmateurs qui l'ont
entouré qu'elle était plutôt du genre unique. En tout cas elle est
singulière par sa simplicité – coutumière quant à mes œuvres.
[nous avons dernièrement parlé/révisé le statut de l'interprétation
psychanalytique quand elle consiste à dire le simple sens d'un mot par
ailleurs refoulé – caricaturalement appeler un chat un chat, ici
faire d'un vote un vote]. Ce qui est immédiatement perceptible à la
levée de l'Inconscient, c'est une résistance – ici par exemple les
gens voudraient se mettre en groupe pour rassembler leurs opinions et
s'en guider ; l'outil leur parvient, ils l'ignorent ou le repoussent.
C'est cela qui intéresse la psychanalyse ; pour l'observer elle répond
au désir de la manière la plus simple qui soit.
A propos de la centralisation il est une anecdote à son sujet. Un des
programmeurs essentiels est une bille en blockchain ; il a vite fait le
moteur de votemobile et a laissé à faire le skin (le derme et même
l'hypoderme) puis nous en avons reparlé. Il faut préciser que le
personnage a vécu dans la chair de sa famille et la sienne, l'effet de
la dissidence dans un pays totalitaire et qu'il en a une sorte de
connaissance intime. Lorsque nous devisions sur les horizons les plus
prometteurs, il me dit un jour (en l'exemple à propos de la blockchain
et de ses vertus) « mais tu ne te rends pas compte que ça ne s'efface
pas ! » C'était un renversement très étrange. Je le comprends
maintenant d'une image : celle de quelqu'un qui devrait vivre en devant
d'une minute à l'autre à tout moment décamper ; comment
organiserait-il ses valeurs privées, voire secrètes ? éparpillées,
fractalisées dans divers coins de son appartement, ou centralisées
dans une petite valise prête à être saisie à la seconde pour
l'emmener en courant ? La seconde solution est sans doute la meilleure,
bien qu'elle m'ait retourné la tête..
Avant de compléter ce post en ayant à l'instant pris connaissance de
la contribution de Cryptoph, je dois livrer aussi une remarque sur les
types de scrutins, dont majoritaires :
Lorsqu'on débute à la base sur le fait d'une pathologie humaine (et
non pas l'idéal d'une réussite) on découvre en même temps sa
puissance. Si par exemple un désir collectif, psychohistorique, est
déterminé à mettre tel 'X' sous tel régime 'Y' au pouvoir, quelque
soit le type de scrutin, il y parviendra. L'Inconscient n'est pas
inquiété par la chicane qu'on lui met et, sans qu'on y pipe rien il
atteindra son but, quelque soit la sophistication qu'on met pour l'y
mener ou l'en empêcher. Considérant de ce fait symptomatiques les
contentions qu'on calcule et dispose au destin, une sorte de dévotion
à la psychologie collective, s'attachera primordialement à éclairer
son savoir, lever son refoulé et, en apportant la soupe ne mettra pour
couvert que la plus simple des cuillères à son assiette. Je veux dire
que des types de délibérations et de scrutins sophistiqués peuvent
être implémentés sur votemobile, seul est l'algorithme APSO (qui
qualifie la proprement dite machine à gouverner Votemobile) qui soit
utile ou disons, significatif.
Et maintenant que Cryptoph a complété le regard d'Olivier,
magnifiquement posés je peux sur ces bases reposer une troisième
observation. L'aussi simple qu'une calculette votemobile (opensource à
l'ascèse réduite aux quatre points seuls suffisants UDIP/universel
direct instantané permanent (tous, sans intermédiaires, en temps-réel
et sans coupure) a été dernièrement importé dans un Parti Politique
notable parmi les dissidents. Au sein d'un nombre conséquent de ses
responsables il a été mis au service suivant le souhait exprimé des
hautes instances tout comme implicite de la base souhaitant sa
gouvernance. Parmi cette population qu'il s'y était engagée, disons
50, il n'y en eut que trois qui s'inscrivirent, et sur les 3, un seul
qui écrivit et d'ailleurs un lapsus qui n'aboutissait à rien. Malgré
l'hommage qu'il fait à l''abjectivité', la « belle œuvre » selon
Cryptoph, ne pèche pas par faiblesse mémétique (sinon la mémétique
pèche, « industrie du semblant » psychanalyse/verdiglione) mais par
une maladie, une psychopathologie essentielle.
Je ne pense pas qu'un « bagage théorique (sic) » puisse braquer une
population d'activistes à réaliser son but. La psychanalyse (si APSO
livre l'interprétation la plus preste et sensible) a montré à Freud
ce qu'il a vu comme Pulsion de Mort et à Lacan ce qu'il a vu comme
ratage – aujourd'hui encore ses disciples montrent la jouissance la
plus exquise dans la castration (l'échec, la non-réalisation).
Je vais essayer comme nous tous d'être succinct et cette
interprétation, l'avenir dira si elle peut être utile. En
obsessionnalité finalement, il n'y a qu'une chose qui aboutisse, c'est
se mettre le doigt dans le cul. Certes après, la légende rappelle
qu'il faut aussi se les retirer ; mais se mettre les ddlc, c'est comme
aller utiliser comme dit Cryptoph au musée APSO, comme aller y relire
Moïse et le Monothéisme, Vélikovsky et Euripide. Il est vrai que
l'autre belle œuvre que sont les centaines de milliers de membres qui
votent sans savoir d'où ils viennent ni ce qu'ils font, bientôt des
millions et des milliards, finalement dirigeront l'IA dans le sens d'une
gouvernance qui aura liquidé les tyrans, et nous seront des anges.
|
|