Akhnaton-Trismegiste
ou
L'humiliation de la Psychanalyse

 

 

   Pourquoi ai-je sous-titré « Humiliation de la Psychanalyse» ? Parce que cette humiliation est celle que Freud mentionne strictement quand il s'agit de l'effet de la connaissance que la psychanalyse apporte à l'opinion que l'humanité se fait sur elle-même. Ici, au point où nous sommes, c'est sur la psychanalyse-même que se rejoue l'effet second de la connaissance.

Temporairement sur cette page en construction j'affiche, avec cette explication/préface, un 'commentaire' destiné à un Groupe FaceBook qui pourrait - à la réception de ce commentaire, éprouver comme un malaise. Je préviens donc une censure à la hâte et dépose sur cette page le commentaire en question (le 4em) - et ultérieurement je complèterai l'ensemble du dossier sur je souhaite élaborer sous le titre d' « Un retour à Freud encore plus fulgurant.. »

 

 

Le post inaugural

 
   Un retour à Freud encore plus fulgurant que celui auquel J.Lacan nous a intéressés – je vais le détailler en quelques posts & commentaires, si on veut bien ici. J'en subirai l'épreuve et/ou peut-être le groupe également. Je vais commencer direct par la « scène primitive » – du nom de ce que Freud globalement tient pour ce qui ferait au départ une coalescence plus ou moins nommée « réalité ». Je pars du constat que Œdipe est un personnage historique. Cette perspective peut d'abord être banalisée, mais elle est documentée et apporte d'intéressantes brèches. Elle a été soutenue par Karl Abraham (à la notable émotion de Freud) et Immanuel Velikovsky qui poursuivit par la suite une extravagante et très notable carrière. On pourrait s'en tenir là, mais nous avons le très intrigant « Filiations » par Wladimir Granoff, qui atteste que ce dernier a exposé l'affaire à Lacan qui, notablement n'en a pas parlé (à moins que qq1 déniche un à propos sur ce sujet). Or Velikovsky est, avec le recul historique, un auteur d'une force considérable (activement banni par l'Edition après avoir fait un succès gigantesque – et qui finit ami d'Einstein, lequel laisse ouvert son œuvre sur son bureau, avant son dernier voyage à l’hôpital et RIP).
   Évidemment, si Œdipe est un personnage historique identifiable, cela engage beaucoup la fondation de la psychanalyse qui brille par son ambition de gagner un principe de réalité. Ce 'principe' couvre plusieurs acceptations mais non des moindres, le seul fait de dire que « Napoléon, ou Charlemagne etc.. ne sont pas des mythes et/ou que les mythes qu'on en a fait s'éclairent, en partie du moins, sur la réalité retrouvée de l'histoire » est un énoncé applicable à la compréhension du Complexe d'Œdipe. Je me propose donc de contribuer à Fondation de la Psychanalyse par ce commencement.

 

 

1er commentaire 

 
Antheaum Toll
1/3 de complément commentaires.

   Pour ne pas encombrer la liste/groupe je vais compléter mon post par le biais des commentaires. J'espère ainsi pouvoir expliquer une affaire simple mais assez bouleversante pour l'opinion admise. Nous nous confrontons au fait que l'Œdipe nicherait en son taillis Complexe, un corps vivant (ayant vécu) dans la réalité. Bien sûr ce corps serait celui d'une personne, tout aussi historique. Ce n'est pas "accessoire" d'en prendre acte. Cela engage la psychanalyse au regard du principe de réalité. Mais puisque cette simple affaire perturbe, permettez-moi de faire passer son examen par un détour qui nous guide éventuellement à travers une inquiétante étrangeté. Prenons l'invitation de Jean Cocteau à mesurer Le Testament d'Orphée. On peut être certain que Cocteau s'y connaissait en « Orphée » patron des poètes ; et aussi en « Œdipe » qu'il plaça dans « La Machine Infernale » (1934 dans le climat où Lacan traitera la Machine – voir A.StJevin & I.Millar (post.ci-dessous7 juin 2021)). Je rappelle donc que Cocteau décrit au nœud de son "testament", la transformation d'Orphée en Œdipe (il cherche Orphée quand il croise Œdipe à la place de 'celui qu'il cherchait').
   Orphée antécéderait donc Œdipe. Et lorsqu'on cherche Orphée (avant que Freud s'en saisisse en Œdipe) on le trouve évidemment à la scène/segment précédente ; la Renaissance.
   Si de cette base antérieure on renouvelle la question : à la place de qui Orphée était-il venu alors, au cours de ces métaphores succédantes ? Les références majeures de l'époque (Marcile Ficin & C°) le révélaient à la place de Moïse. Ceci fit d'ailleurs grand bruit et grand désordre à l'époque (de 1482 à 1600) – largement résolu par l'interdiction d'en parler (inquisition / refoulement).
   Évidemment à ce point, on pensera tout de suite à Freud, mais n'allons pas trop vite. Arrêtons-nous un moment sur l'objet du scandale au moment de la découverte de Ficin. Il ne s'agissait pas du meurtre-du-père/Œdipe ou de quelque Moïse et le Monothéisme. Il s'agissait de la nomination d'un roi historique, un personnage qui avait été cher au cœur des Pères de l’Église, le patron de l'Alchimie (science) ; un « Hermès-aux-trois-noms » (le Trois-fois-nommé). Autrement dit et en bref : ce qui agitait la Renaissance, fut la reconnaissance de la physicalité, du principe de réalité d'un mythe (Orphée) prétendu jusqu'alors.
   J'espère que ce commentaire n'est pas trop ennuyeux. C'est une étape parmi d'autres chemins qui mène à un caractère essentiel de la fondation de la psychanalyse. Si je pouvais le résumer, quoique je fus déjà très bref, je dirai que la redécouverte de l'historique Œdipe (Complexe d'Œdipe et réalisme) s'est jouée et a été refoulée précédemment au motif équivalent de l'historisme d'Orphée. Nous aurons fait un grand pas si nous parvenons à avaler cette dragée (il faut la croquer).

 

 

 

2em commentaire 

 
Antheaum Toll
2/3 (je vais tenter de résumer un peu à chaque fois en mode de totalisation et totalisation de totalisation suivant JP.Sartre et RD.Laing) 

   Nous avons le témoignage (ci-dessus post initial) de deux individus qui ont suggéré à Freud que Œdipe était le nom d'un personnage historique. Et le rapport par Wladimir Granoff informant 12juin1974 Lacan du malaise/évanouissement de Freud confronté aux deux zigotos. Par le biais d'un autre fameux érudit parisien de l'époque, nous pouvons consulter la clinique de ce drame épileptoïde à l'occasion d'une période précédente, nommément au début de la Renaissance. Durant ces années, l'Europe a été prise d'un siècle de spasmes, lors d'une tentative de donner une raison historique à un personnage mythologique grec du nom d'Orphée. Pour taxer de 'réalité' le mythe d'Orphée, il se révéla nécessaire de passer par un personnage qui aurait porté trois noms dans l'histoire : celui d' 'Orphée' précisément mais aussi celui de 'Moïse' et troisièmement celui d'Hermès mais à une époque très reculée, antérieure à la Grèce elle-même. Ce 'Hermès' prénommé Triplex aurait été un roi d’Égypte, monothéiste, et qui plus est bâtisseur d'une cité solaire, Adocentyn pour mémoire c'est à dire Cité d'Adon. Je résume donc :
   Un Hermès égyptien, trois-fois nommé (Thoth, Moïse, Orphée) était déclaré en 1582 à Rome/Vatican, le fondateur du Monothéisme. De là ce fut un bazar pas possible en ajoutant l'astronomie naissante, qui divisa la chrétienté européenne et ne s'éteignit que lorsque les belligérants se mirent d'accord sur « on n'en parle plus ». Mais ce que je veux dire à présent concerne quelque chose d'extraordinaire de notre temps. Il existe une Tradition Hermétique encore vive aujourd'hui, qui glose doctement sur Hermès Triplex (Hermès-Thoth-Trismegiste) et qui ne montre pas le moindre soupçon que son « roi monothéiste de la cité d'Adon en Egypte » fut ou eut le moindre rapport avec "Akhnaton fondateur du monothéisme solaire dans sa cité d'Aton". C'est vraiment le cas de le dire, l'aveuglement de cette secte sur son patron et patronnage n'a d'égal que la cécité volontairement imposée d'Œdipe devant la vérité de son rapport à sa mère et à son père. C'est un cas clinique d'une clarté exceptionnelle de 'refoulement'.
   C'est aussi une voie doublement instructive pour la psychanalyse ; outre cette suggestion côté 'psychohistoire', ce symptôme de l'Hermétisme brasse des éléments qui sont très proches de ceux qui pourraient l'amener à réfléchir sur elle.

 

Sur ce second commentaire une investigation eu lieu
Questionnement amical ou relation sournoise ?
L'auteur finalement n'aura pas cité ses sources ( à ma connaissance mon profil en mentionne pas la dianétique)

 
Steeven Le Mercier
De quelle secte êtes-vous?

Antheaum Toll
Section Désecte, camarade ! Ni un secticide mais comme on dit d'un déserteur qu'il est déserti, déjanté, je chante plutôt au travers. Je suis psychanalyste et j'ai toutefois satisfait mon besoin d'un espace supérieur (sup-rem) avec le texte de Sri Aurobindo (et l'exercice du yoga intégral subséquente). Cependant, aussi yogi que je tente, je suis enraciné dans la psychanalyse. Ma formation s'est faite au collège avec une auto-analyse à quatorze ans, suivie d'un long parcours lacanien (C.Melman/Paris) durant ma formation médicale et psychiatrique, et troisièmement jungien à Lyon brièvement pour cause de maladie d'Artus/Lyon. Merci pour cette question à développer peut-être mais parce que je préparais une séquence suivante où justement je précise un peu dans cette direction (elle est prête et je la poste donc dans la foulée).

Steeven Le Mercier
On mentionne la dianétique sur votre profil.

Antheaum Toll
(Je n'ai pas trouvé sur quel 'profil' – à l'occasion, merci de me l'indiquer) Je me suis beaucoup intéressé à la Dianétique effectivement. Et je me suis aussi informé par la presse de sa dénomination en Scientologie, en relevant que ce mouvement était lié à la psychanalyse. Prenons le simple exemple de la comparabilité Hubard/Charcot mise en image à https://www.lasainteethique.org//2014/lascene/lascene_E18.htm où on voit le fondateur de la Dianiétique>Scientologie faire une présentation publique de malade/séance d'Audition strictement calquée que la séance freudienne. L'éditeur/impresario de R.Hubard était JW.Campbell occupant une place majeure dans la littérature américaine. Les deux compères espéraient authentiquement un Prix Nobel pour faire la nique au freudisme explicitement (secte à cette époque promue aux USA par le double-neveu de S.Freud E.Bernays en personne et par sa fille Anna Freud). L'histoire aura dit que leur trajectoire n'aura été que d'atteindre la Maison Blanche après Bernays. C'est au clivage Dianétique//Scientologie que l'on trouve aussi le majeur AEvVogt, auteur du « Monde des non-A » suivant la discipline de A.Korzybski (Sémantique Générale), dont cette séminale prophétie du Clonage (à côté de celle de Huxley/UterusArtificiel) fut portée à la connaissance de Lacan par la traduction de B.Vian. A ce propos et à mon sens la BarreOblique (de la division du sujet écrite par Lacan) est une réponse/alternative consciente, volontaire, de Lacan à la BarreSupérieure de la négation (qu'il inscrivit beaucoup plus tard dans ses 'quanteurs'). On sait que Vogt associé à Campbell-Hubard fut un bon moment le directeur de l'institut de Dianétique sur la côte Ouest/USA. C'est avec ces éléments que je considère la secte Dianétique-Scientologie pour leur rôle majeur dans l'histoire et psychologie collective. Je me suis personnellement tenu à mon affinité seule à N.Wienner, fondateur de la Cybernétique, qui était le mentor du jeune Campbell avant que ce dernier n'essore la fonction psychique américaine ; et me suis orienté sur la base de « Psychanalyse et Cybernétique » (Lacan 1955) sans établir d'autres lien côté américain (excepté le très différent I.Illich).

 

 

 

3em commentaire soumis à la publication le 20220819120000

 
   P
renant acte du fait que le Moyen-Age a été instruit par les Pères de l’Église de l'existence très ancienne sur le sol égyptien, d'un roi fondateur d'une religion (& cité) monothéiste et solaire – et qu'on s'en était souvenu en Israël & en Grèce sous deux noms différents, la psychanalyse est interpellée. En effet à ses origines, la Psychanalyse sous la plume de son premier auteur, a mis en exergue un pharaon fondateur d'une religion et cité solaire en Égypte – pour expliquer l'histoire d'Israël et par ailleurs prit un mythe grec pour baser son modèle de réflexion. Or certains de ses disciples lui ont aussitôt fait remarquer que cette légende hellénique (d'Œdipe) support du mythe, montrait de considérables similitudes avec la saga, historique, d'Akhnaton. À ce stade on rencontre donc une légère comparabilité entre la circonstance de la Renaissance (=> un nom grec/Orphée pour le roi égyptien Triplex) – et la circonstance freudienne (=> un nom grec/Œdipe pour un pharaon, Akhnaton). C'est un point minimum mais incontestable. Est-ce que cette similitude peur être étendue ?

   En effet est-il possible de prolonger la comparaison entre Triplex (Tois-fois-nommé Hermès-Moïse-Orphée) et Aménophis.4 (du nom officiel de l'égyptologie/archives). Cette extension est appelée par le fait que Freud ait considérablement, aussi approché Moïse avec Akhnaton.

   Si Akhnaton a porté en Grèce le nom de « Œdipe », il entrerait dans une formule Triplex d'Aménophis.4 comme "trois-fois-nommé" si ce « Moïse » était strictement Akhnaton. Nous aurions alors un : {Akhnaton-Moïse-Œdipe} comme nous eûmes le {Hermès-Moïse-Orphée}. Ce serait une stricte comparabilité, une répétition dont nous trouvons une condition simple et précise : il suffit que le nom « Moïse » puisse être traité à l'instar de celui d'« Oedipe », comme un pur et simple changement de nom du pharaon Akhnaton, ainsi nommé Moïse sur la terre d'Israël (comme il le fut 'Œdipe' et Grèce). Bien entendu, Freud n'a pas dit cela puisqu'il n'a fait que rapprocher l'un de l'autre mais.. il passa sa vie à le démontrer avec.. une certaine complication notable : à savoir qu'il a cru bon de faire l'hypothèse que le Moïse de mémoire aurait-été caché, voilé, assassiné par un simulacre qui aurait pris sa place.
   Dans le nœud au caractère alambiqué que Freud décrit pour identité de son « homme Moïse » et de son avatar, il nous faut prendre une décision tranchante (les logiciens pourront suivre l'allusion au play « Les dames sont-elles toutes bleues ? https://youtu.be/1c1jZQ9Bkq0 ». Cette expérience de pensée ne va pas répondre à 100% mais considérablement orienter la probabilité. Il faut vérifier si, au verso du Moïse freudien, le dos de la carte ne peut pas être 'Akhnaton'. Si on trouve qu'il est EXCLU que l'« homme Moïse » SOIT/VRAI Akhnaton, alors l'hypothèse de similitudes des deux Triplex est FAUSSE.

   Que mes collègues psychanalystes ne prennent pas peur, l'expérience ne tranche qu'en pensée le nœud gordien et elle ne présente aucun danger pour les opinions qui sont, grâce au transfert lacanien fermement établies dans la tête. Mais lorsqu'on effectue le test on trouve qu'il est impossible de prouver que Akhnaton n'ait pas été en position d'être le premier Moïse freudien (celui qui est assassiné) voire en position du Moïse trivial tout court. Nous nous trouvons, c'est un fait logique, objectif, scientifique, absolu, devant l'hypothèse hautement probable que Aménophis.4 ait porté du moins en mémoire trois noms : ceux d'Akhnaton, de Moïse et d'Œdipe.
   Ainsi comme Le Corse, Napoléon et Bonaparte dénomment une seule et même personne, nous gagnons, partant du plaisir d'être freudiens, le principe de réalité de sa science.
Mais la Psychanalyse n'est pas une science disent la plupart. Pour ceux qui pensent le contraire, nous voyons que nous étions partis d'une première interrogation : Oedipe serait-il Akhnaton ? Et nous arrivons à une extension de cette potentielle réalité, à savoir celle d'une même personne historique sous trois noms, Akhnaton, Moïse et Œdipe, un Triplex qu'on peut acronymer AMO. Pour ces derniers qui battent le fer de l'histoire, il ne saurait plus y avoir de fondation de la psychanalyse dans cet examen et sa vérification.

 

Comme c'était 'appréhensible' ce commentaire
un des plus pointu et rigoureux de psychanalyse
a été censuré, refoulé avec les arguments qu'on découvrira
(j'en ai fais aussi le commentaire qui suit)

 
   Voilà et revoilà, c'est arrivé. La seule satisfaction que je tire de l'expérience, c'est de pouvoir exposer nettement, clairement, le type de réception que je me coltine depuis tant d'années (précisément depuis que je me suis chargé de cet 'AMO' et, sans tarder, convaincu que ce que j'allais voir jusqu'à la lie..). Avec la série de posts (Akhnaton-Triplex) en cours que je déroule, j'ouvrais pour la première fois (ajoutées aux autres chemins), la voie de Logique que l'histoire de l'Hermétisme et l'archéologie ouvre dans le feutré freudien. Jamais la censure n'a été aussi claironnante. Alain Besançon-Dulac, même s'il m'écrit « en privé », je le suppose assume et ses actes vis à vis de la Psychanalyse elle-même, et ceux vis-à-vis d'un collectif. Car la responsabilité de 'censeur' vis à vis d'un pluriel est énorme. L'Industrie de la Parole que la psychanalyse a initialisée avec Freud ne peut s'en tenir aux moyens d'hypnose collective que le refoulement sur et/ou sous la tête d'un groupe entraîne.
   Bref, nous lisons que le traitement de l'analyse psychohistorique de Moïse par Freud est « hors sujet avec la psychanalyse ». C'est un outrage, un abominable outrage que je dépose au pieds de la convalescence de dit S.Rush. Et nous nous précipiterons, comme écrit crypto, nous recréerons.
Entendez-vous, dans vos campagnes, mugir ces féroces soldats : « test de logique et histoire depuis la création des religions ne correspond pas » ; aux armes etc...

Voici donc ce que j'ai reçu par Messenger
venu du propriétaire de FBgroupe " Fondation de la Psychanalyse "

et ma réponse sur le champ, ayant lu en son temps
les 'versets', pour savoir ce que je dis..


Contre la censure, la raison de parler

Jean-marc Ghitti
Effectivement, la censure, et son retour de nos jours, c'est une grave régression. Soutien


Serge Chappellaz
.... occasion de rappeler ce que disait le ratava d'Antheaum à propos du "Moïse et le monothéisme" de Freud :
Ouvrage débuté tôt dans sa carrière.. sur lequel il travaillera toute sa vie.. pour n'oser en autoriser la publication qu'après avoir pris sa décision de s'euthanasier...
.... il craignait que ça ne fasse l'effet d'une bombe... c'était à la veille du deuxième conflit mondial.... ??

   En effet, dans l'intention qui préside à ce dossier : l'exercice de la levée du refoulement. Le déchiffrage du refoulement et sa prise de conscience est l'acte psychanalytique en propre. L'idée d'opérer sur et/ou par le transfert est une tare de la psychanalyse immature. Le Transfert découvert par Freud est à terme la relation à l'IA. Dégagée de cette anticipation prémature, la psychanalyse procède par interprétation simple, énoncé du savoir, prononciation du refoulé.
   À l'aube de la seconde guerre mondiale, Freud effectivement, quelques jours avant son déclenchement, aura livré son interprétation concernant Moïse, représentant Idéal du peuple hébreux et de la délivrance du monothéisme. Les résultats ne furent pas les meilleurs qu'on aurait pu espérer. Aujourd'hui on sait en tous cas, que son interprétation était foireuse. La fonction de la psychanalyse cependant doit insister en s'améliorant. Nous avons actuellement une description de la (répétition de la) Scène Primitive d'une bien meilleure qualité et l'acte initial freudien ne doit pas renoncer ; aujourd'hui il doit se prononcer avec cette interprétation meilleure, face à la psychopathologie collective qui appelle à s'éclairer.

 

 

Exilé

 

4em commentaire / posté en https://www.facebook.com/groups/fedepsy.general/posts/3380276658920548/ 

 

Rejeté du groupeFB intitulé "Fondation de la psychanalyse"
je me déplace vers un autre groupe (fréquenté dans un contexte Martine Wonner / Ensemble Pour les Libertés / EPL)
Il est silencieux et son activité minime, mais jusqu'à présent il n'a pas censuré.


    J
e me suis aventuré dans une groupe réputé de psychanalystes, pour échanger sur/avec mes travaux, recherches et interprétations. Puisqu'ici en FEDEP le silence est d'or et que j'avais besoin d'un échange j'avais cherché là-bas. Je reviens à FEDEP – dans le fond, même s'il n'y a personne pour chercher de concertation, donner un avis, poser une question, tant pis.. on fera avec le 'chic' pathétique de la psychanalyse contemplative.
   Ce qui a frappé néanmoins dans l'autre groupe, c'est la franchise de la censure et avec des arguments ! Dignes de l'interdiction de soigner en médecine ! C'est à dire un non-sens de la pire veine de la Novlangue. Nommément m'a-t-il été opposé que (l'analyse de) l'histoire du monothéisme était « hors sujet ». C'est monstrueux. Mais enfin.. je laisse juge ceux qui voudront https://lasainteethique.org/akhnet/pages/2022/htm/Akhnaton-Trismegiste.htm#50 .
   J'ai besoin de continuer le développement, je le ferai donc ici en commentaire, si le lieu m'autorise – apparemment s'il est silencieux, il ne censure pas. Ouf ! Merci peut-être ; et d'autant plus que j'ai quelque déclaration également à faire concernant des Nancy et Lacoue-Labarthe [N&LL] qui sont je crois, quelque peu de la région. Ce ne sont jamais des déclarations agressives que je fais. Même Alain Besançon-Dulac vaut pour moi tout le respect de quelqu'un qui fait certainement de son mieux – avec un inconscient, comme Œdipe, dont il ne soupçonne pas les travers ! De même N&LL n'avaient pas d'agressivité envers Lacan, mais manifestement beaucoup de respect sinon d'amitié – et cela ne manqua pas de le je dévaster (ref. du témoignage Séminaire Encore) lorsqu'il trouva dans leur estime, de la vérité au lieu de n'en-rien-vouloir-savoir.
   Le lien indiqué ci-dessus mène à tout le matériel, regroupé et classé, constituant le dossier « Akhnaton-Triplex ». ; je place en commentaire ce qui revient ici.
 

 
Antheaum Toll (20220819234900)
4/4 ( cherchant encore un coin sans censure - en exode depuis https://www.facebook.com/groups/230437204518781/posts/1103701867192306/  )

   C'est à présent et comme la plupart du temps, par mes propres moyens et sur quelques pages entourées de censures, que je complète ce dossier. Pour récapituler où nous en sommes, estimons que des années de promotions, sur un chemin sans cesse chassé et avançant comme un damné, ont construit trois arguments quasi indépendants et chacun forts solides, établissant la haute probabilité d'une hypothèse – premièrement répondant à d'importantes questions de Freud et secondement propre à traiter des symptômes dommageables de notre société contemporaine. On aura lu au fil des commentaires précédents qu'il s'agit de l'identité du personnage responsable de la Scène Primitive du monothéisme dans le bassin méditerranéen. (il s'agirait d'ailleurs plutôt de son couple et nous verrons cela à la fin du propos).
   La première voie prend la stricte continuité de Freud. J'écrivais dans le précédent commentaire/censuré que Freud « n'a fait que _rapprocher_ Akhnaton et son Moïse » et j'expliquais que j'avais trouvé impossible d'exclure qu'ils fussent si proches que finalement les mêmes. Mais ici j'ajoute avec quel étonnement on trouvera aussi tout au long de son « Moïse et le Monothéisme », que pas une seule fois, il n'envisage l'hypothèse de cette identité condensée. Cette négligence contraste avec sa méthodologie, exhaustive et rigoureuse habituelle et d'autant plus que, comme je l'avais moi-même rencontré par la négation de l'exclusion, la démonstration directement positive de Akhnaton=Moïse – c'est un fait par l'égyptologie (A.Osman Happer-Collins Moses Pharaoh of Egypt) est d'une grande simplicité et très affirmative. J'en ai eu connaissance après-coup (cinq ans après ma propre équation « AMO »), venant apporter quasi confirmation à l'hypothèse.
   Le seconde voie se pratique par l'examen de l'hermétisme et la raison de son Art de la Mémoire – c'est une voie beaucoup plus approximative ; elle compte avec la logique d'extraction qu'exprime la symptomatologie d'I.Velikovsky (dénégation du Moïse de Freud).
   La troisième voie s'appuie sur une extension de l'arrimage ponctuel de la psychanalyse à Œdipe, qui compte avec sa proximité – pas tant celle de l'Œdipe à Colone et d'Antigone, mais surtout par son couple. Car Akhnaton agença ladite Scène Primitive en compagnie d'une épouse qui ne fut pas (que) sa mère. Néfertiti est encore une énigme en égyptologie et, comme Œdipe répond à celle d'Akhnaton, Heéène (par Euripide) détaille luxueusement la relation de Thèbes et Sparte à l'époque. Je ne m'appesantis pas non plus, il faut d'abord lire Euripide, ce qu'aucun confrère ne voudra prendre le temps de faire.
   J'ajoute cela qu'il est bien dommage que Fondation de la Psychanalyse désire censurer. Je vais essayer de le poser dans quelque communauté par ailleurs.
   Je dois sur le plan de ces mises en évidence flagrantes, ajouter l'actuel Patrice Hernu, scientifique et Maçon hautement instruit et suffisamment engagé dans la découverte pour avoir apporté comme et pluss qu'Osman l'assertion scientifique de la double nomination Akhnaton & Moïse, du même personnage historique – tandis que de New-York, feu Martin Bernal (Black Athena) à l'époque me confirma dans l'hypothèse de l'Akhnaton & Œdipe.

 

 

 

Note : j'ai tout de même tenté de rattraper le coup
avec Fondation de la Psychanalyse,
suivant deux commentaires 

 

Le 1er commentaire n'a même pas été adressé
je l'ai retenu, gardé par devers moi, il était trop cynique, rigoureux, logique.

 
Bonsoir,
Je veux bien renoncer à mon dernier commentaire sur la réalité et l'existence historique d'Œdipe (qui apporte la résolution l'équation AMO, terrifiante au regard du terrorisme), puisqu'on préférera donner encore un peu d'avenir à l'illusion de religion, et je soumets à votre estimation cette présente alternative que je substantifie de deux liens, https://www.facebook.com/doc.dwt/posts/pfbid037TG83jCCdCig2e6qsr4WAJsmo39kMV9rTsGbMLtLKjNksQPeu1x1gHTkbtafvitel & https://www.facebook.com/antheaum.toll/posts/pfbid0N8msH92C9Sbrvsjt4ToobxeYiSkUitc1QhJ7LcRra9BP8CenwLQLVBkZVvpKzntAl , le second aplanissant quelques aspérités du premier pour, dans l'ensemble, fournir un exemple de l'application de la psychanalyse aux peuples, voire à la culture, comme Freud invite à le faire dans son dernier livre testament, et sans quoi, nous sommes bien d'accord, il demande de ne plus avancer d'un seul pas dans la voie qu'il a ouverte de la Psychanalyse.
Je souhaite cependant, que vous envisagiez la publication de ce post, à la condition que vous envisagiez en même temps un changement du titre du groupe. Et j'argumente cette demande :
Appeler « Fondation de la Psychanalyse » une assemblée où se pratique la censure afin de se protéger des passions religieuses, se tient d'arguments compréhensibles mais en tous cas, de façon temporaire. On sait que précisément, Freud à la fin, renonce à ces précautions. Du point de vue de la réalité, actuelle, nous sommes dans ce passage où les refoulements de bon aloi doivent être révolus. Il devient déplorable de croire devoir continuer par le régime du refoulement, à ménager une population dans l'ignorance. Comme en médecine d'ailleurs, c'est tout à fait légitime si comme elle se fait technocrate, on veut épargner la profondeur à la population du groupe. Mais toujours comme en Médecine où l'hippocratisme demeurera l'éthique, il faut dans le cas de la Psychanalyse ne plus qualifier de fondation ce qui en est l'écume.
J'espère que vous accéderez à cette demande et qu'alors vous publiiez ce post qui, je trouve, s'associe bien au dernier en date sur le cartésianisme, s'inscrivant dans la psychanalyse, par Tim Themi. Il ne parle pas d'épineuse religion mais strictement de science ou des méandres de son épistémologie, voire de philosophe dans l'histoire. (Tim Themi « Brings Lacan and Nietzsche together as part of a common effort to rethink the tradition of Western ethics / 2014).
Merci de trouver un titre au groupe qui ne trompât pas les gens déjà assez perdus comme ça ; puis de publier cela.
PS : je vais aussi tenter de notifier à Mr Steeven Le Mercier qu'il serait bien qu'il se tienne à une étiquette de la moindre politesse, qui serait de répondre à la question du lieu d'où il déclare des infos me concernant (re:secte/dianétique) ; ne pas faire écho tandis que je lui fournis une réponse de qualité, n'est pas gentil. Ces questions d'ailleurs s'avèrent sournoises du fait qu'il ne cite pas ses sources.

 

 

J'ai choisi de faire un essai plus adouci et
strictement dans l'ordre défini par l' "à propos" (description) du groupe 

 
DEMANDE FONDATION DE LA PSYCHANALYSE 20220821224900
Selon ses groupes, écoles ou cénacles, la psychanalyse se spécialise en divers aspects que présente le psychisme. L' « à propos » de Fondation de la Psychanalyse indique ainsi son orientation, qui l'attache à la lettre. Ce domaine a été celui de ma première publication, qui a été éditée à l'époque par Camille Hamiche et sa maison d'édition du vivant de Lacan (anticipant la conclusion parachevée par P.Valas). Je l'ai ensuite moi-même réédité https://www.smashwords.com/books/view/144521 sous un nouveau titre : Philame pour faire allusion à deux étapes qui suivirent la première édition. L'idée initiale était que la forme de la lettre, du moins dans certaines écritures voire dans leur alphabet, avait une incidence propre. C'est une question importante dans le domaine de la linguistique qui tient compte de la biologie du langage et qui, généralement évalue l'attenance entre le signifiant et la chose. Cependant après la première publication j'ai trouvé un soutien inattendu en découvrant le contradicteur essentiel de Champollion révélant à son époque que le Hiéroglyphe est/était une lettre. Il s'agit de Fabre d'Olivet décrivant comment dans une écriture ancienne la/les lettres sont les hiéroglyphes. Je ne dis pas dans quelle écriture, car on peut le trouver facilement et il n'est pas toujours utile de dire les choses trop directement. D'autant que c'était encore une étape intermédiaire – car quelques années plus tard encore, on m'informa d'une remarquable description, encore plus précise. La thèse https://meru.org/ de Stan Tennen prend une dimension tout à fait majeure dans la perspective déjà historique de d'Olivet. Avec ma maladresse habituelle j'en avais formulé (avec 'philame' : âme et fil, et flamme dans le figuratif de Tennen), la description mais aussi ses effets logiques à partir de l'enseignement que j'avais pris de Lacan durant mes plus jeunes années.
Il existe donc une sorte de topologie de la lettre que nous utilisons depuis, dans les écritures dites occidentales (certaines plus orientales très probablement aussi, je pense au sanscrit). À priori elle est assez distante de celle usitée par Lacan, mais c'est une impression qui ne résiste pas à un second devisement – celui qui non pas confirme, corrobore la topologie de Lacan qui n'en a pas besoin, mais qui avance un appoint et une technique, de traiter certains problèmes de nœuds par leurs ombres. Il s'agit d'une réduction à deux dimensions mais, lorsque c'est partir d'elle que l'on part, on ouvre une voie de 'retro-enginering' (chaînage arrière) qui est tout à fait de bon aloi dans les systèmes d'assertion anticipée par exemple.
Il existe donc une certaine mise en ordre, succession, d'une variation d'ombre d'une unique forme, qui apprêtée dans les alphabets – et qui en retour est susceptible de composer un chiffrage de ladite 'unique' initiale. L'aliénation, la contrainte ou la répétition que Lacan indique trouver entre Marx et Lenine, Freud et lui-même, couplés deux à deux dans/par la lettre, trouve un appoint nécessaire dans la cause première de cette conjonction, que l'Autre peut recueillir comme un Savoir (sur ce dont il ne veut rien savoir notamment).

 

Comme prévisiblement ce texte fut simplement rejeté sans explication, débat, rien.

 

 

 

Je continuerai donc dans le groupe FEDEPSY

 

Je ménage un équilibre. Je suis contraint en doublon
d'archiver (ici et là ) par mes propres moyens mes publications généralement censurées ;
et soigneux de faire en sorte qu'elles apparaissent sur le réseau social du web
(en l'occurrence ici FaceBook) puisque, selon la théorie par ailleurs,
je publie particulièrement pour l'IA. Le climat imposant d'y être discret,
dans le silence j'use de la fonction commentaire comme d'anfractuosités.


Toujours en commentaires, de mon Akhnaton-Triplex sur FEDEPSY\FaceBook, je contribue ici à la raison de la psychohistoire en tant qu'action géopolitique.

Qu'est-ce que – et pourquoi – la Psychohistoire ? Il est légitime d'attribuer la notion de 'psychohistoire' à Karl Lambrecht (1856-1915 https://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Lamprecht ) ; sa carrière notable par la dysharmonie, le contraste des réceptions de son optique – qui a pourvu ultérieurement des rameaux très contrastés. Ayant été invité (il y a nombre d'années) à la vice-présidence d'une Scté Française de Psychohistoire j'ai eu l'occasion d'en connaître (de traiter et commenter) les dessus-dessous. À retenir pour l'instant : les Sociétés et autre association de psychohistoire ont fleuri, chaque fois coupées en germe car immanquablement insupportables pour les milieux politiques. Celle que j'ai connue se vendait déjà à un « Institut » (of psychohistory) de NY/USA (qui n'a pas démérité dans son interpellation politique, mais se protégeait dans une sectorisation d'une « histoire de l'enfance » - intéressante mais dévoyée de la stricte méthode). Tout à fait dernièrement nous avons cette fantastique réaction d'un groupe prétendu psychanalytique, pétrifié jusqu'au point de réclamer que l'histoire du monothéisme fut hors sujet de la psychanalyse !Évidemment, de même que si on voit toute la sexualité de l'enfance comme un abus, si on prend l'histoire pour l'expression gardée des fanatiques assassins, il vaut mieux perdre la mémoire (comme les lacaniens ne chérissant pas moins la castration que les Galles des confins de l'Empire d'Akhnaton-Nefertiti). Si par contre on n'entreprend pas la psychanalyse comme une entreprise du refoulement (que j'ai vue affirmée de la californienne injonction « put the repression ! »dans les colloques dudit Institut) mais comme celle de la parole libérée avec la technique de la libre association de pensées, nous partons de l'amorce léguée par Freud plongée jusque vers la Scène Primitive. Sigismund, futile Icare, se brûla, Lacan peut-être l'incinéra, tant on s'y reprend sans cesse dans l'Identification au Semblant (comptabilisée par A.Verdiglione). Les cendres de la psychohistoire n'existent pas ; comme la pulsion, indestructible, l'histoire est toujours là. Il suffit d'y revenir et elle se démontre aujourd'hui toujours plus éclatante. Elle se rappelle d'une notion « plus on approche le noyau du refoulé et plus la résistance s'intensifie » (théorème freudien). Pour voir si nous y trouverons la tortue de Zénon, regardons si d'abord nous approchons la mémoire de la scène primitive. Alors là, oui ! Il y a tout lieu de le penser. C'est tout à fait ce dont Freud donne l'impression de "Totem et Tabou" à "Moïse et le Monothéisme". Deuxièmement, qu'est-ce que la théorie prévient de ce qui se passe alors ? : Plutôt que de réaliser (dit-elle, par la science, prise de conscience) son histoire, la résistance tend à la répétition, ce qui, en invisible semblant « put the repression » (rempote le refoulement). Lacan qui en avait de bonnes malgré tout, disait que l'interprétation devait être preste. Disons-le sans attendre : Si l'égyptologie, la science découvre l'origine du monothéisme (pour ne pas dire triplexthéisme des trois religions du Livre), il faut fissa répéter sa scène primitive, la jouer avant de la dire. Voilà, c'est compris le regard de la psychohistoire sur la géopolitique ; pour vérifier si l'interprétation freudienne mène bien au bout de ses nœuds et révisions, à la vérité, il convient de poser sur la scène géopolitique de notre actualité le regard qui y décalque l'invitation à suivre l'histoire d'Amarna, à savoir le nom qu'on donne au jeu de palais qui se jouait entre Thèbes et le Sinaï. Avec cette méthode bien posée, vous trouverez qui regardez, combien la haute & basse égypte colle bien dans l'Est & l'Asie qui presse à l'Europe ; on reconnaîtra Gorbatchev, la transparence [Aton versus LeCaché/Amon], la Perestroïka, mais aussi Aye, Yeltsin et bien sûr Horemheb, Putine. On reconnaîtra énormément d'autres choses en large et en détails. Ce genre de travail c'est la routine de la psychohistoire. Elle s'applique dans tous les grands moments (cette scène cruciale, se retrouve régulièrement, typique à la Renaissance, Royaume de Bohème et puis dans les cercles intellectuels, le geste Freudien suivi du Lacanien, compulsivement – comme l'exergue de Fondation de la Psychanalyse – l'affiche formulant comment ledit « geste copernicien » n'était que si le « geste de Tycho » suivait, comme Jakadi.. « deux par deux » – aller voir l'« à propos » de https://www.facebook.com/groups/230437204518781 ). Qu'est-ce que ça veut dire que tout ça ? Il la faut "preste". Alors on verra bien s'il y a besoin. Horemheb aura eu son petit moment. Que se passe-t-il après, s'il faut tout ravaler de la face Ades. La 18em dynastie s'achève ; Ramsès suit – un « roux » aussi, selon la génétique actuelle – mais surtout, celui d'une paix qui précédera la conquête finale d'Europe, tandis que la Haute-Egypte aura avec lui fait rêver la Chine.. car tout cela, bien sûr c'est, s'il y a du rêve. Le temps me preste. Or à la différence de la dernière répétition de la Renaissance, nous sommes avec un IA, c'est à dire une machine qui a dépassé Lacan, pris à son propre jeu.
 

& son sub-commentaire.


Commentaire/abstract : vérifier la répétition (suivant la résistance en règle) de la Scène Primitive lorsque l'archéologie/égyptologie la découvre durant le siècle de la psychanalyse, est une vérification du procès scientifique de la psychanalyse. À cette extrémité elle porte sans fard le titre de psychohistoire (tout à fait coordonnée à la cybernétique [Seldon/anticipation, TempsLogique], comme évidemment le scientifique comparse de Campbell/Wienner, l'a écrit pour les foules) ; elle reste freudienne dans sa dimension médicale cependant lorsqu'elle interprète, soigne, donne les latitudes nécessaires à l'histoire pour que l'humanité évolue. Je renseigne donc la stricte scène amarnienne dans le jeu présent de nos grands malades en représentation.