psyBakh

       


Ceci est une histoire détaillée
- chaque chapitre pour un discours plus condensé
Qui s'étend chronologique de bas en haut - à lire comme un blog donc
0avec pour commencer en bas0

 

 

Chap. 1 : Individu cherche conseil
Chap. 2 : Une manière d'établir une entreprise collective (Internet)
Chap. 3 : La coïncidence naturelle de la morale et de l'écologie
Chap. 4 : La science-fiction pour nous méfier des travers de la vraie science
Chap. 5 : La sauvegarde des codes dans la logique de la santé
Chap. 6 : La préservation collective du Code et l'individu.

 

Chap. suivants

 

Chap. 7

Les lois de l'écologie dans l'individualité préservée

 

La préservation - identification, définition.

   Une fois énoncés ces premières états de faits simples, nous entrons dans l'avenir - un domaine subtil et compliqué ; puisqu'on ne saurait faire autrement que de le trouver dans le présent : la seconde vertu de la préservation, c'est de rendre conséquent (et par 'conséquent' écologique) l'acte présent d'une expression génomique.
   Un génome est une sorte de double, de reflet de l'environnement - et réciproquement, en partie. L'un et l'autre ont un rapport instantané de correspondances - mais en même temps ils véhiculent une dimension, une durée de mémoire. Ces traces mnésiques sont aussi réfléchies et plus largement distinctes. Elles sont difficiles à appréhender par la personne humaine - qui est pourtant sujette à un psychisme lequel a pour fonction d'articuler cette réflexion. Freud n'en a déclaré l'évidence qu'à la fin de ses recherches, signifiant que c'était tout le domaine de ce qu'il avait appelé l'Inconscient, qui devait être articulé à cette correspondance entre les mémoires internes et environnementales. Ce tardif aboutissement à ce qu'il a appelé des traces mnésiques d'impressions du dehors témoigne de la difficulté de les appréhender et de les comprendre ; elles sont également la part encore, et toujours, incertaine et débattue dont dépend l'essentiel, l'ontologie, des théories de l'évolution.

   Avec la force de conviction que la matière elle-même possède - à partir du moment où l'on a découvert, vu, manipulé les chromosomes - naquit la génétique. Qui nous apprend qu'une expression de l'ADN s'appelle, en d'autre termes, une 'modification de l'environnement', c'est à dire des traces. L'expression d'un être humain s'imprime donc dans les traces que Freud décrivait approximativement en termes d'impressions du dehors ; ces impressions sont ensuite reçues par les êtres contemporains et les descendants. Or l'écologie, si elle existe - s'il s'agit d'une donnée accessible à la science - est de la nature de cette logique, cybernétique, qui combine les effets de ces 'traces', longeant les lignées descendantes des générations, en leur environnement. Ces traces sont généralement répétitives mais inconséquentes - et d'écologie, globalement, n'est en réalité qu'une thermodynamique d'entropie, de dégradation. Mais lorsqu'elles correspondent à des actes, réfléchis, elles entrent dans le système véritablement conséquent qu'on nomme proprement 'écologie'.

   Qu'un génome puisse être reproduit (manipulation génétique d'un gène, ou clone intégral) exige, dans cette logique, que ses traces soient des produits, qu'il puisse retrouver dans son environnement. C'est ce qu'ajoute la préservation à la conservation chromosomique.
   Jusqu'à présent, les institutions de conservations (armées, gouvernements etc..) - effectuent des conservation sans soin de mémoire - sans gestion, industrie de ces traces - et de se fait entament la dégradation la plus accentuée de cette thermodynamique, ou du système proto-écologique de mémoire ; elles en opèrent le dénie. La réutilisation de ces matériaux ADN sans gestion corrélative de leurs traces réintégrées, oriente l'environnement vers la pollution la plus profonde, comme une véritable maladie interne.
   Par contre tout au contraire, une énorme puissance écologique - propre à réduire les effets de la pollution externe (la 'pollution' dont on a la notion générale) - est apprêtée lorsque qu'une préservation de la signification des traces - autrement dit, lorsque la volonté et l'acte inscrits dans les traces mnésique sont restitués au sujet qui les a ordonnées - c'est à dire lorsque l'on préserve avec le génome, les volontés de son usage, de sa fonction ou de son destin manifesté par l'expression de la personne en son état vivant. Ce sont ces traces : préservant, attachant la volonté de leur expressions, que j'appelle produits. Une telle production décrit une industrie aboutie, écologique comme propre à la santé. Seulement alors saura-t-on parler de clones humains.

   Il est vrai qu'un clone est différent de son ADN primitif - mais néanmoins il n'est pas autre - il correspond, pour la personne humaine, réfléchie et psychique, a une étape de son développement. De même qu'une personne de 40ans diffère de celle qu'elle était à 4ans. La continuité de cette personne pourtant manifeste se tient des traces dans son environnement familial, social, professionnel qui la suivent et qu'elle retrouve, dont elle réfléchit, dans son environnement familial, social, professionnel.. ; c'est aussi comme cela qu'elle humanise ce même environnement. Elle fournit un modèle de ce qui se passe sur une échelle chronologique plus longue, de clone à clone - une pérénité qui probablement doit se passer, nécessairement, à l'encontre d'une dégradation totale d'un système écologique (si tant est qu'il existât déjà réellement).

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Chap. 6

En l'attente de la conception du moyen

 

Les formules de préservation manquantes ou à disposition

   Nous avons vu que les formules de préservations étaient - à ce jour - toutes dépendantes d'administrations, autoritaires et sans garantie de droit individuel sur les échantillons ADN conservés. Ces formules dépossèdent l'individu, ou propriétarise son ADN au profit d'administrations abstraites, globalement anonymes et dans la majorité à disposition de la productivité économique - la santé, étant en ces temps reconnue secondaire à l'économie, ainsi que les services d'État, etc...
   Il n'existe actuellement aucune formule citoyenne, collective et effectivement démocratique de préservation ; et l'individu de surcroît n'a pratiquement nul droit sur son ADN Seule la famille, le moyen le plus naturel, mais aussi le plus archaïque constitue l'outil des populations Or la famille elle-même est quasiment totalement asservie à l'État : le droit à l'éducation est prescrit par des juges, ainsi que les transmissions de parents à enfants etc... Il faut l'autorisation d'un haut magistrat pour faire un test de paternité. La famille ainsi aliénée ne peut constituer un organe social efficace à l'usage de la préservation ADN.

   Le libre droit de regard sur son identité génétique est en pratique interdit. C'est en l'instant l'état, et demain travesti s'il demeure inconscient. Cette carence, voire les obstacles que les administrations opposent à la revendication individuelle du droit de la personne sur son ADN, explique que la population se montre tout à fait indifférente à ce problème. L'individu est d'ailleurs complice de cette lacune psychologique où se plait sa tendance à être dominé. Par conséquent, il délègue volontiers au gouvernement administratif et anonyme son destin comme ses organes. Que les grands drames modernes de la civilisation soient généralement dus à cette faiblesse l'engage mal à u renoncer.

   Mais en prendre conscience donne lieu d'essayer de réfléchir et de s'engager citoyennement dans une recherche de protocole de préservation de l'ADN des personnes, indépendante des États et socialement éthique. Pour cela, la loi de 1901 offre une solution qui paraît historiquement tout à fait appropriée. C'est donc selon suivant les principes de ce qu'il est nommé Personne Morale, que nous escomptons élaborer un modèle de groupe-ADN.

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Chap. 5

La santé dans la logique de la préservation du Code

 

La première vertu de la conservation de l'ADN est de santé des générations à venir

   On peut commencer par un exemple ; lors de la grand-messe d'initiation populaire à la génétique, au Téléthon, on interview quelqu'un - Christian - qui devrait être gravement myopathe ; mais Christian n'a développé que très partiellement la dégénérescence. On comprend qu'on aimerait bien savoir quel gène ou configuration génétique ont contre-balancé son gène myopathique. Si Christian venait à disparaître prématurément pour d'autres raison, on suppose que l'on a déjà conservé son génome pour garantir les recherches en cours et futures. Prenons un autre exemple : le virus de la grippe aviaire est en mutation et on cherche à le prendre de vitesse - pour cela nous suivons à la trace son évolution et il est bien clair qu'à cette fin nous conservons les étapes précédentes de sa mutation. On pourrait citer nombre d'exemple, tous montrant comment les thérapie géniques du futur utiliseront comme clé importante la mémoire des configurations antécédentes d'un génome. La connaissance des chromosomes des ascendants fournira plus de la moitié des informations nécessaires aux chercheurs. La santé du future sera tributaire de la mémoire que nous laissons - c'est une évidence facile à voir..
   Mais pourquoi les individus libres de notre société ne prennent-ils donc pas conscience du grand service qu'ils fourniront à leurs enfants en leur permettant d'accéder à leurs chromosomes et récupérer l'information préservée ? Pour répondre à cette question, étudions la clinique d'une observation :
   Remarquablement, il existe un fantasme qui forme un écran dans le projet de sauvegarde chromosomique. Cette conservation ADN est aussi raisonnable que de faire une sauvegarde quand on change le système de son ordinateur ; de manière équivalente, la sauvegarde génétique assure notre responsabilité morale vis à vis des générations futures vis à vis desquelles nous avons commencé à entreprendre un grand désordre en modifiant le programme génétique des organismes. Ce fantasme qui fait oublier toute prudence, est celui que l'on ferait, avec cet ADN préservé, des clones ! Des horribles clones ! J'en ai fait le constat. J'ai diffusé il y a deux-trois ans, dans un milieu pourtant averti, un dépliant qui énumérait les bénéfices de la conservation pour la santé. Il n'y était nullement mention de clones. Pourtant, quelque mois plus tsuivant, ces dépliants éveillaient un seul souvenir : on crut qu'ils faisaient l'éloge du clonage.

   Comment et pourquoi de tels déficiences de la mémoire - précisément , et inconséquences morales, occupent-elles la scène génétique, écologique et sociale de notre époque? A cela, nous pouvons au moins essayer de chercher d'abord une réponse simple : nous serions comme sidérés, inhibés, abrutis, parce que nous ne saurions pas comment faire, nous n'aurions pas à notre disposition une formule saine et propre à gérer une conservation morale, voire éthique et efficace - par conséquent notre esprit économe en stress préféreraient ne pas y penser, et frappé de honte et culpabilité il se saoulerait au mauvais vain de solutions totalitaires.
 

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Chap. 4

La science-fiction pour nous méfier des travers de la vrai science

 

État des lieux - et les lieux/domaine d'État

   Nous sommes fin 2005, les conservations systématiques de chromosomes humains ont commencé depuis une dizaine d'année, voire un peu plus. Je ne parle pas de la compagnie CYBEK qui proposait sur le web un kit de conservation, esquissant les premières formules de DNA-group ; je parle de conservations administratives de plusieurs millions d'individus déjà - conservations qui sont opérées autoritairement autant qu'ignorées des populations distraites ou mal informées. C'est cette ignorance qui porte le plus grave préjudice à la fonction d'une écologie générale que l'on peut coordonner, en théorie tout du moins, à la gestion à long terme des stocks ADN. Mais revenons d'abord sur les faits :

   La population d'américains incarcérés d'élève actuellement à plusieurs millions - étant donné que ce pays cultive la Liberté, on peut supposer qu'en comptant la planète on atteigne un nombre largement augmenté. Aux USA comme dans tous les états modernes, on prélève l'identité génétique des criminels - à fin d'identification, de sécurité, d'enquête etc..  Ces stocks chromosomiques appartiennent au gouvernement et services policiers de cet états On imagine mal qu'un criminel s'oppose à cette gestion de son ADN ; d'autant que deuxièmement, toujours aux États-Unis, le gouvernement et les armées cette fois-ci, stockent l'ADN de tous ses militaires - on le sait des échos d'une affaire : un militaire fut condamné, pour Cour Martiale, pour s'être déclarer opposé à ce que lui soit prélevé et soit géré sans son agrément, un exemplaire de son ADN.
   Si l'on ajoute à ces millions de personnes, un bon nombre de malades dont laboratoires et hôpitaux gardent aussi en réserve des exemplaire biologiques, nous arrivons à une masse considérable d'individus génomiques ainsi devenus propriété des grands états, sans aucune législation officielle ou publique à ce sujet ni qu'aucun projet de gestion sur le long terme fut dessiné. Ils sont propriété des états qui peuvent en faire usage sans contestation demain.
   D'autres entreprises de stockage ont lieu. On sait par exemple que la population islandaise - qui en fut, elle, bien informée - a cédé son registre ADN à un laboratoire allemand, à des fins de santé publique. Et à l'inverse, de manière tout à fait anarchique, on note qu'à présent la grande majorité des compagnies funéraires offrent aux familles, parmi leurs services, le choix d'une conservation symbolique ADN, de qualité moyenne et sans fonction de santé ni perspective organisée de gestion.

   Devant ce constat qu'une part considérable de la population humaine est actuellement génétiquement conservée, on doit s'étonner devant le fait qu'une préservation populaire, informée et politiquement raisonnée, soit absente, sinon réprimée. La froideur des accueils en effet, lorsqu'on s'adresse sur ce thèmes, aux corporations dirigeantes - religieux, légistes, psys etc.. - fait immédiatement penser à la répression.
   Parmi les obstacles à une idée d'une popularisation de la conservation nominale de l'ADN, on rencontre une objection chargée d'affect, de l'ordre de celle qu'à cette hauteur éthique, on ne saurait laisser le peuple penser seul. On sait quel outrage cache une telle précaution ; en l'occurrence, la conservation humaine en masse a commencé et, on peut globalement l'estimer : de manière secrète et/ou autoritaire - c'est à dire sans droit de regard des peuples et des personnes concernés... c'est à dire de la pire manière qui soit si l'on veut se prémunir d'usages totalitaires et fascistes.

   Imaginons un instant la manière dont on voudrait procéder pour réaliser les plus sombres menaces de manipulation génétique humaine - ces fameuses armées de clones ou d'ouvriers.. on ferait exactement comme ça : on moissonnerait dans les prisons, dans les casernes et dans les hôpitaux, on stockerait avec tout pouvoir, on le ferait silencieusement et en satanisant le projet pour que personne n'y vienne voir.. Bref ! on ferait exactement ce qu'on voit aujourd'hui. Néanmoins, à l'inverse de ces cauchemars de science-fiction, il reste qu'en marge des joyeuses indifférences, une valeur morale est toujours libre de procéder dans le sens du droit de regard de la personne sur son état et son gouvernement, ainsi que ce celui de disposer d'elle-même, et de signer sa responsabilité dans le destin de son corps. On appelle cela la santé psychique, et nous verrons comment elle s'immiscera dans une écologie planétaire.

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Chap. 3

Le penchant naturel de la personne morale pour l'écologie

 

Le but de la longue marche

   Les groupes-ADN sont des associations de gens - des associations pour l'instant théoriques - qui ont pour but de protéger et gérer à long terme la préservation de leur ADN. Diverses observations montre que leur souhait est légitime et bénéfique ; et qu'il n'existe pas jusqu'à présent d'organisation libre et populaire de telles préservations. Il existe des organismes de stockage actuels ; mais ils ne garantissent pas, voire abolissent le droit de la personne sur la conservation et la gestion de son ADN. La loi 1901 sur les associations par contre se prête fort bien, voire même offre-t-elle un concept particulièrement approprié à ce but.

   Entretenir sur le long terme un génome individuel, voire un génome personnel, premièrement doit se faire d'une manière relativement collective - c'est à dire dans une banque, un système de stockage collectif plutôt que un par un. Pour cette première raison on peut s'attendre à ce que ces personnes, des entités individuelles 'exprimées' par les ADN concernés, se groupent afin de gérer ensemble - ou de déléguer ensemble - la gestion du stock ainsi constitué.
   Évidemment vient alors la question du temps qui passe et du futur, qui est précisément inhérent à l'idée de préservation. Il est prévisible qu'en quelques années le nombre des personnes vivantes se réduise. Pour maintenir le groupe-ADN opérant, et propre à gérer le stock ainsi abandonné par ses expressions vives, on peut concevoir que de nouvelles personnes intègrent son association, formant un turn-over ajoutant leur propre ADN au stock établi - d'une part lui garantissant pérennité, d'autre part gagnant eux-même un stockage graduellement plus valeureux, sinon de plus grande valeur.

   Mais pourquoi qualifier de valeureux ce groupe de vivants gardiens de chiffres écologiques ? Quelle valeur morale, subjective ou subtile cherche-t-on ainsi à manifester ?

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Chap. 2

Une manière d'établir une entreprise  -  la Littérature Grise comme entreprendre

 

L'objet de la démarche

   Mon but est d'arriver à élaborer un modèle de statut associatif qui soit adapté à ce que j'appelle des groupes-ADN. Ce n'est certainement pas difficile; je pourrais le faire moi-même, mais il serait agréable et fécond d'en parler avec un homme, ou une femme, de droit et de justice.
   La seconde caractéristique de mon projet le rend peut-être épineux vis à vis de la profession avocate. En effet je souhaite, idéalement, que l'étude de ce projet soit faite par e-mail, afin d'en consigner l'élaboration le plus exhaustivement possible sur le web, dans une série de pages du type de la présente - c'est à dire  une espèce de 'log', ou de 'blog', très à la mode mais évidemment aussi très sain à la mesure de l'ouverture que je souhaite et que je donne à mes entreprises.

   Mais l'examen et une attention profonde à la psychologie individuelle ou collective avertit que ce qui associe et uniformise les avocats, comme les psys, comme en toutes corporations, c'est, évidemment, un goût pour le secret - pour ne pas dire la cachotterie ou le chichi par rapport au savoir qu'elles servent ; l'Inconscient est du domaine de ce petit esprit. Je l'évoque simplement pour résumer, en quelques mots, une partie de la symptomatologie bien naturelle qui fait tout le charme de la civilisation, des groupements de genres, des catégories sociales, des particularités professionnelles, chacun et chacune marquées de ses caractéristiques singulières. Bref ! avant de trouver un avocat qui acceptera de consulter en partie publiquement il va falloir que je rame.
   Pourtant ce n'est - au pire - qu'être en avance d'une décennie ou deux, car l'intelligence artificielle imposera rapidement ses manières (pressenties de la Littérature Grise). C'est pourquoi je ne désespère pas trouver parmi les milliers de pros l'au-moins-un qui ne soit pas du principe totalitaire des toutes premières corporations, archaïques, que l'on trouve encore de nos jours durer les plus longtemps qu'elles peuvent.

   Le temps de cette répression - et pour revenir à la première (caractéristique) - c'est à dire l'essentiel - de quoi s'agit-il en matière de groupe-ADN ?

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Chap. 1

Individu cherche conseil

 

Pour commencer : à la recherche d'un Avocat Conseil

   En vue d'écrire un modèle de statuts pour un groupe-ADN, un professionnel du Droit  sera d'un bon conseil.
   En me rendant au village-justice, je me demandais si j'allais toujours trouver le même accueil, sinistre de silencieux, qui a fait le cortège de mes années passées au milieu de mes collègues psychanalystes. Les avocats seraient-ils plus friands de vérité que nos pas-tentés de savoir psy ?
   J'allais voir au café-forum et me risquais. Je m'enregistrais et interrogeais une première fois - en quête d'un avocat conseil, ou tout du moins d'une piste. On m'en fournit une. Il s'agissait à vrai dire de m'adresser à un monument dont j'attends toujours la réponse.
   J'avais déjà croisé une circonstance comparable, l'année dernière, quand j'avais interrogé une avocate, un peu moins célèbre mais plus proche de mon domicile, à propos de relations avec un notable de sa catégorie. Au bout de six mois elle m'avait répondu qu'elle n'arrivait pas à ouvrir mon fichier .gif ; et quand je le lui avais mis la documentation sur web au format de son navigateur, elle ne m'avait plus répondu du tout.
   Cette fois-ci, en m'adressant à une grande pointure, ça ressemblait à m'envoyer m'écraser sous la bottine.

   Je revins au café-forum quelques jours plus tard, et renouvelais ma requête ; cette fois-ci ma question reçu de réponse, non plus le chiffre un adressez-vous au monument d'en face, mais le glaçant zéro. Qu'est-ce qui anime donc les avocats et les avocates friands de modernité au village-justice ? Est-ce qu'il y existe un pas-tenté-de-pouvoir, comparable à un pas-tenté-de-savoir psy? 

   Ou faut-il croire que je cherche quelque chose de très extraordinaire ? De quoi s'agit-il ?

DWT 200512032200

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