psyBakh |
Le résumé pris de l'histoire de psyBakh
ce décembre 2005,
Tout du moins, voilà comment j'ai recommencé l'entreprise engagée il y a un peu moins de dix ans à New York.
Reprise décembre 2005, premier moment, mise en marche
La toute première étape - recherche de conseil légaux : |
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Je me suis mis en
quête d'un avocat conseil. Je n'en ai pas trouvé - ou plutôt, je n'en ai
pas trouvé un, ou une, qui acceptât de me conseiller. J'ai dû mal chercher, c'est une
évidence ; mais c'est une évidence qui en cache peut-être une autre. Je cherche à appliquer la loi de 1901 à la réalité biologique. C'était sa vocation. Aujourd'hui elle s'adresse à des individus identifiés par leur génome.
Or les plus noirs desseins ne peuvent effacer l'inéluctable
logique, selon laquelle c'est la santé - nécessaire à l'écosystème - qui
résulte d'une saine identification génomique. Impossible d'éviter que la
personne humaine finisse par être responsable, individuellement de son propre
ADN. Dommage pour le totalitarisme ; ses seul secours restent encore le
temps, et l'ignorance sa complice.
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Reprise décembre 2005, second moment, un acquis
Une second étape - aboutit en faveur du caractère légal du premier principe de psyBakh : |
Au point où nous en sommes, il n'était pas acquis qu'un être
humain ait un droit - de la force d'un droit de propriété - sur son Chiffre - on
dira aussi 'génome individuel', ou 'séquence ADN'. Il
a fallu en découdre - pas trop! - pour gagner le droit - en toute
hypothèse - à sa propre chair, mais encore comme à un prix au loto, ou un
diplôme gagné : pour en disposer, mais pas en connaissance. Autrement dit, il
n'est pas permis que l'on lise le sceau ou le livre octroyé - où l'on
reconnaît la logique Universitaire qui refoule, on le sait, la scène primitive
; en l'occurrence l'individu n'a pas droit d'accès à son code primaire :
interdiction de déchiffrer son ADN - pour peu, on se prendrait pour
des Thothankhamon ! |
Position janvier 2006, troisième moment, mise en panne
Un principe
de conservation ayant été acquis au titre de |
A ce point, nous sommes arrivés à devoir savoir si et comment
une Association loi 1901 devait recevoir en legs ?, ou acheter ?, ou conserver
gracieusement ? etc.. des meubles corporels qu'elle puisse conserver.
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DWT@20060123162700