S u i t e à l ' é m i s s i o n d e d i v e r s d i s c o u r s e n t e n d u s a l a r m é s e n c o n s i d é r a n t l e r e c u l d e l a s o c i é t é f r a n ç a i s e
une texte et sa préface
J'ai de nombreuses fois et longtemps cherché quel nom appliquer - ou par quel nom le reconnaître - au facteur nouveau ; tel par exemple celui qu'on voudrait ajouter à la Culture Google, à son transhumanisme ou - en d'autres termes ce facteur qui serait spécifique d'un FrenchTouch comme disent les anglo-saxons. Il y a quelque chose, soit de trop ancien et de dépassé du côté de l'académie française - soit quelque chose qui s'est perdu, ou quelque chose qui ne se trouve pas tandis que le monde anglo-saxon se développerait naturellement et sans autre forme de question. L'université française se trouve dépassée. L'anglo-saxonne l'a dépassée et l'analyse s'arrêterait simplement là.
Si la situation doit être
différente, il faut émettre l'hypothèse que - si ce n'est pas la
"rejoindre" (ladite anglo-saxonne) qui caractérisera l'avenir d'une
spécificité française, il n'est de solution qu'un surpassement. Autrement
dit, l'académie est en quête, en souffrance, d'un facteur qui réalisera un
surpassement du progrès à présent acquis du côté américain.
Évidemment j'emploie ces termes :
"français", "américain", "anglo-saxon",
"académie" etc.. étant bien entendu que j'en fais un usage flou,
imparfait, voire détourné ou absolument faux - mais sans que cela ne soit un
problème ou une difficulté, puisque c'est exclusivement un autre terme que je
cherche. L'important n'est donc pas les usages baroques, altérés ou
inadéquats de ces accessoires temporaires - comme on peut se servir de clous
pour faire usage de fourchette, le résultat est de porter quelque chose à la
bouche. En l'occurrence ici l'affaire est de situer quelque chose et, au point
où j'en suis, de trouver un terme - adéquat celui-là, approprié et juste -
qui puisse servir à distinguer ce que l'on peut encore apporter de nouveau, qui
surpasserait les progrès des NBICs.
J'ai donc cherché ce terme, longtemps
et souvent, et je n'ai rien trouvé, ni de contemporain, ni de passé. En fin de
compte - peut-être - s'il doit s'agir de quelque chose de nouveau, faudra-t-il
que ce terme aussi soit nouveau. c'est une hypothèse.
De surcroît - puisque c'est
précisément du côté que je cherche - je ne crois pas qu'il faille que je me
passe de la mémoire. Il faut donc que je me base - si j'invente quelque chose -
sur du passé. Alors tout naturellement je suis porté à puiser dans la
période inaugurale des temps modernes et des distinctions de leurs cultures et
sociétés. Je chercherai donc à l'époque dite des Lumières. Dans ces temps
qui firent le lever de rideau de la modernité, l'humanité a distingué au
centre de son progrès la personne citoyenne - devenant libre, agissante,
responsable etc.. Mon idée, à défaut d'avoir trouvé mieux, partira de là.
S'il fallait trouver 'le' terme caractérisant l'émergence et le rayonnement des NBIC dans l'histoire humaine, on pourra proposer celui de personal computer - dénommé PC. À peu de choses près on dit " le PC " et tout est dit des temps nouveaux. Avec cela, comment nommer ce que l'on ne connaît pas encore.. et qui surpasserait le PC.. et qui viendrait, par quelque lien les Lumières..? Je (me) propose d'employer pour la suite de mon exposé la désignation de ce facteur à discerner : la PC - signifiant " la personne citoyenne " - c'est à dire cette entité dont tout s'est distingué, tant de l'industrie récente que de sa sociologie, que de sa politique etc.. L'opportunité que cette expression soit grammaticalement féminine, en français est une heureuse opportunité. Son emploi permet ainsi de montrer : a) la stricte proximité avec l'aventure NBIC et b) la particularité française que nous hypothéquons de ce qui soit attendu à surpasser l'élan déjà manifesté, ainsi que c) l'indication que c'est spécialement la personne, voire celle qui pose la question du genre autant que la personnalité politique, que concerne l'effort présent de sauvegarde et de développement.
Ainsi pour résumer - et pour
commencer - je dirai que nous allons voir ce que l'écosystème que j'appelle psk
- acronyme de psyBakh - ajoute à la venture anglo-saxonne en y ajoutant ' la PC
'.
Dès un tel commencement on attend un
objection - non pas contre la méthode sémantique pour réfléchir telle ou
telle découverte - mais une objection du fait que la personne est prise
en considération par les anglo-saxon avec scrupule et d'une manière qui n'a
pas à pâlir devant les facteurs académique de quelques antiques citoyens
révolutionnaires et plus sanguinaires, régicides ou parricides - que d'autres.
C'est pourquoi je prenais ces précautions [ un peu avant dans le texte présent
] qui garantissait de ne pas prendre à la lettre les distinctifs culturels et
nationaux que je n'employais que pour un cadrage arbitraire et temporaire. Ce
que rappelle " la PC " n'est qu'une émergence retour du passé
- naturellement venant de cette académie française, de la partie ' dépassée
', pour offrir l'occasion d'un apport de mémoire commune aux acteurs de la
civilisation occidentale.
Nous voici donc à peine un peu mieux avancé que lorsque je débutais ce propos. Je disais que nous cherchions ce qui manquait sans savoir de quoi il s'agissait ni comment le nommer. A présent nous n'avons rien découvert d'autre qu'un mot inventé - qui présentera cependant le mérite utilitaire de donner un nom à ce que l'on ne connaît pas mais que l'on doit découvrir, et l'autre mérite, de la raison, de rappeler que la mémoire est la ressource de premier ordre lorsque l'on ne sait pas où l'on va. C'est donc avec cet instrument un peu spécieux que je vais poursuivre et, pour ne pas lui manquer, je vais continuer avec un équipage tout aussi alambiqué. Je vais me servir de ce langage qu'on emploi à la mode présente pour dire que la PC - la personne citoyenne - va trouver à se surpasser, non pas seulement dans une écologie, ni non plus seulement dans un système au seul et unique thème transhumaniste mais dans :
Un Écho Six Thèmes
réflexion NBIC entre six thématiques
que présente l'écosystème psk
../../2014/htm/20140218165200_sixthem.htm#2140221175300
définir d'abord un point d'écho de système définition Le phénomène de l'écho, tel qu'on le connaît d'abord ne demande que deux éléments : un émetteur et un élément réfléchissant - c'est quand il reçoit l'écho (son propre écho) que l'émetteur l'identifie le mieux et comprend son mécanisme. On peut aussi distinguer un émetteur, un réflecteur et un récepteur. Mais cet écho simple rencontre une configuration intrigante lorsqu'il est inclus dans un système. A partir de ce moment, le réflecteur devient un point. Ce point de système est illustré optiquement par l'image réelle exploitée dans le Modèle Optique exposé par la psychanalyse. Il était mentionné déjà dans La République de Platon en terme d'écho sonore. Pour le premier, c'est un objet (objet de la pulsion), pour le second un mot (les mots émis par les porteurs d'image). A degré où nous sommes le point d'écho de système et lui-même élément de l'ensemble-élément : c'est une point d'écho-système. Il est système part du système. Il s'agit de ce qu'on appelle une écologie. Un ensemble auto-normatif. Un système vivant au sens où la pensée moderne acquiert l'idée que la matière est vivante après qu'elle soit partie de l'estimation que le vivant était matière. Un point d'écho-système se figure au centre de son système - dont chaque partie/élément trouve par sa réflexion son écho dans une autre partie du système. Cette particularisation du phénomène d'écho est étudiée largement et depuis longtemps - par exemple - on le connait aussi représenté au sein de système par l'intermédiaires de la lettre. Ces références permette ainsi d'illustre la présence de pbk au centre et au motif de l'écosystème à six éléments - auxquels s'ajoutent la télémédecine (l'objet de la question présente) et le Pluriel Analytique (l'indicateur de la PC).. * c'est à dire réservé à se casser la tête - on passera donc à la vidéo ci-dessous plus simple |
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