A V E R T I S S E M E N T Comme les dernières précédentes (voir 7em Chapitre) cette page est une première version, en même pire, elle est en grande partie brouillon (elle est diffusée à titre de Littérature Grise - voir définition/principes ttp://www.akhnaton.net/dna/regis/cd228/ijgl/raclig.htm). Il y a de nombreux passages que je n'ai pas relus pouvant encore être des notes de pré-écriture, éventuellement enfantines, naïves. Je retraiterai ce 8em chapitre, très probablement, mais je ne conçois pas d'obstacle à ce qu'il soit mis en ligne (suivant des principes d'édition que j'ai déjà abondamment argumentés). |
sur
ce chapitre
Sur ce chapitre et avant qu’il ne s’explique, on trouvera
entre guillemets des dates, ouverts comme par exemple : ouvrant,
<<aaaammjjhhmmss> et fermant, <aaaamjjhhmmss>>. Ils indique
l’année le mois , le jour, l’heure la minute et les secondes. Ils apparaissent,
le premier un "20120229.." pour encadrer les périodes d’écritures. En
effet, à cette date le dernier chapitre était en grande partie rédigé mais il restait
des plages encore en état de plan (têtes de chapitres et paragraphes) ;
par ailleurs d’autres devoirs d’écriture m’appelaient et la fin de LSTT
risquait de s’effilocher. Avec de mode d’indexation, les plages manquantes
allaient pourvoir s’écrire avec de grands espaces de temps entre leur
rédaction, tout en préservant l’indication de l’ordre dans lequel la fin de
LSTT fut montée. Pour retrouver cet ordre, un search donnera un bon
rendu ; je le faciliterai en mettant le point final avec un recenssement
de ces indexes.
20110718 explication du projet
La Sainte Ethique (dite LSTT) et un résumé bilan d’une trentaine d’années de carrière qui a abouti à former une étape de la psychanalyse – à la condition, à ce jour, que l’avenir le confirme. LSTT est confectionnée en 8 chapitres plus ou moins autonomes ; le présent 8em récapitule aussi les autres. Les uns et les autres sont de styles ou tons différents (le 7em est une science fiction). Ce 8em se formera comme une collection de notes (datées année.moi.jour) meublant une armature de niveaux de titres en mode plan (créé en MS.Word). Par ailleurs au cours du temps ces 'titres' peuvent être revus et réécris – leurs successives versions sont alors enregistrées et indiquées (V.0, V.1, V.2, etc..).
Le thème de LSTT est la psychanalyse. L’allusion à la sainteté est tirée de Jacques Lacan qui identifia le psychanalyste au saint. L’allusion à l’éthique est tirée de la notion commune. S’il existe une éthique, la psychanalyse est la manière sainte d’en procéder.
Ceci n’est pas sans allusion à l’écologie qui cherche à éviter d’être ou de se servir d’une religion – mais qui ne peut pas éliminer le critère du psychisme, autrement dit, ce qu’on appelait dans le passé l’ "âme" sinon son miroir.
Et cette allusion rapporte l’essentiel de la raison de dire que ma carrière a formé une étape de la psychanalyse ; puisque elle s’est à l’origine distinguée des vues de mes confrères en mentionnant le fait que la psychanalyse était essentiellement et essentielle à l’écologie. Le fait d’être parti de ce point de vue en 1985 m’a sur le champ constitué comme un dissident du milieu freudien. J’ai sans cesse été rejeté depuis lors. Ayant tenu ma position, si elle a été claire et s’il s’avère qu’écologie et psychanalyse vont globalement se confondre, le discours que j’ai tenu de cette position aura traduit l’étape de cette prise de conscience.
<<201300623114400> Je mets la dernière touche à LSTT : consistant à mettre en ligne, sur le web, tous les chapitres tandis qu'actuellement deux ou trois seuls sont ainsi publiés, les autres étant soit en format papier et eBook soit pour le dernier chapitre ici présent restant à terminer. Ce dernier chapitre a commencé par être rédigé à peu près dans la confection des sept précédents mais sa rédaction s'est vite ralentie. Comme son homogénéité, et l'homogénéité avec le reste, menaçaient de s'éfilocher, j'ai commencé à y introduire l'indexation par date, décrite ci-dessus [00.10--] - avec le temps j'ai aussi oublié les autres règles d'indexation et numérotation que j'employais pour les premiers chapitres. Je crois que ça fait à peu près trois ans que j'ai débuté ce livre.
C'est à peu près une règle générale de l'écriture de chaque livre que j'ai depuis trente ans rédigés - à savoir qu'ils s'éfiloches. Je ne les ai jamais techniquement bouclés. D'abord parce qu'à chauqe fois, le cours durant de les écriture j'ai vu l'intérêt autour de moi, quant à leur sujet, s'évaporer - de ce point de vue, j'arrivais vite à écrire sans motif, sans adresse. Ensuite parce que j'ai toujours estimé que ce que je devais écrire devais être revu et corrigé - et particulièrement par une autre personne que moi ; car une loi s'applique, je pense, à la création qui ne peut être éditée par le créateur et, en l'occurrence je me suis pratiquement toujours trouvé, durant ma carrière dans une situation de création (c'est à dire d'une interprétation neuve). Et troisièmement parce qu'à chaque fois également la rédaction de ces créations s'est vue, immédiatement, dans le cours de l'écriture, assistée d'un foisonnement de nouveautés qui s'ajoutaient au neuf et, par une espèce d'interférence de phase, le troublait ou l'agitait. J'appelle cela, dans un autre domaine, une "paedomorphose".
Dans la circonstance de LSTT, sa paedomorphose s'est réalisée avec l'assimilation de Turing, qui fut contemporaine de l'écriture que j'avais commencée sur l'idée que la psychologie collective devait s'entendre avec l'inclusion de LAPAREIL - c'est à dire de l'appareillage cybernétique. Après les premiers chapitres, j'assumais le fait dans l'action politique - à l'appui d'un dénommé "Parti Pirate" - et, pour m'y inscrire, en lisant Turing, je découvrais sa démonstration du fait que l'ordinateur pense. Les turbulences alors produites métamorphosaient la rédaction de LSTT elle-même - notamment en ralentissant son écriture.. on trouvera donc ici, au chapitre 8, la fin de ces derniers restes..
Il ne me reste que quelques paragraphes à écrire - car j'ai procédé en remplissant les 'cases' d'une table des matières - aussi nommé plan, que je rédigeais à l'aube de l'écriture de chaque titre ou chapitre.. ainsi une cohérence d'architecture est-elle conservées sous tout ces fouillis. Et à présent il me faut délinéer - c'est une mot que je crois qui veu dire cela - les toutes ultimes et denières 'apparitions' qui se sont faites du fait de la création et je vais en parler à présent:
On peut suivre par le canal d'une édition dénommée "flog" l'état de mes relations dans le réseau social que constitue Internet. On verra qu'elles sont passées de la disette au désert - on comprendra aussi que ma vie sociale a montré la même évolution. C'était une évolution que je pressentais depuis longtemps, dès 1985 m'engageant sur un chemins où tous les autres avaient été perdus (interprétation AMO, psychopathologie collective). Puis de chutes en chites au grés des ressauts avec l'estimation de Kolos au colloque 2006 qui s'étonnant que j'eus encore quelques amis m'avertissait qu'il ne tarderait pas que je me retrouve complètement isolé. A ce jour, cette prédiction n'est pas tout à fait exacte, mais nous devons compter avec une autre énergie qui vient avec le refoulé levé ; s'agissant de l'abordage du refoulé, lequel abordage est de ma vie la seule chose visible (le refoulé lui-même le restant pour la collectivité), la désertification s'est normalement déroulée. On saura qu'après mon rejet des amériques, je suis revenu et sans le prévoir attérit dans la ville de garnison vaticane du centre isolé et perdu dans le temps de la France. Dans cette petite préfécture, j'arrivais en 2000 remplaçant l'unique psychiatre-psychanalyste du département qui venait de se suicider. La cité au demeurant loge un hôpital psychiatrique constituant ni plus ni moins que l'entreprise la plus importante dudit département, en employés et rôle financier. On peut ajouter que, pour un succès pareil il faut faire une psychiatrie d'état et tout le monde sait de quoi il s'agit. J'arrivais donc comme un neutron libre - s'il n'en est.
De cet asile, le dispensaire et hôpital de jour se tient à peu près 200m de mon cabinet, une rue d'à côté. Apèrs quelques années de mes fonctions en cabinet libéral, les travailleurs et le secrétariat de cette dépendance affirment à leurs patient, ne pas savoir qu'un psychiatre-psychanalyste existe en ville. Après avoir au cours de quelques années néanmoins collecté une clientèle pour vivre sans autre dépense que mes ordinateurs et ma nourriture, j'ai par ailleurs perdu beaucoup de mes réserves héritées de longtemps, suite à une escroquerie dont les notables, juristes, furent complices et acteurs, j'ai recensé ça dans ma clinique d'Homo Pouvoir par ailleurs. Le reste de ces réserves a trouvé un destin plus... glorieux : un mouton noir de la vieille ville ayant un immeuble d'une telle qualité que les notables jaloux entre-eux se seraient écharpés pour l'avoir, l'occasion me fut donnée d'en faire l'acquisition en partie, puisque personne n'y aurait tenu. Puis dernièrement, mon cabinet usuel ne faisant plus recette, j'ai dû totalement me rabattre en cet endroit pour y tenir les séances de psychanalyse du département (où on comprendra par ailleurs pourquoi je n'y compte pas les quelques autres prétendus 'psychanalystes'). Je raconte cette histoire qui n'a d'intérêt pour personne, pour une raison cependant comme on va le comprendre.
Depuis les trente ans que j'ai dévoués à la scèce primitive je n'ai pas eu le temps de faire de lecture de romans. Puisqu'à présent arrivant à l'âge de la retraite que je ne toucherai jamais (mais que je continuerai toujours à payer - comme je l'explique au chapitre susdit de la clinique d'Homo Pouvoir) et que je n'ai pour ainsi dire plus besoin d'ordinateurs (considérant l'état de mes réseaux sociaux) il ne me reste que quelques consultations alimentaires, me laissant libre de me reposer enfin. J'ai donc pu envisager de me remettre à la lecture d'art. Et restait à ce propos une impression lançinante très ancienne. Je savais que jeune, j'avais lu Boris Vian, par probabilité puisqu'à mon époque la jeunesse le lisait, et par deux souvenirs : j'estimais n'avoir jamais su quel était le thème d'un fameux L'Herbe Rouge et pensait que c'était un mystère pour tous ; s'agissait-il d'opium ou de quelqu'autre herbe ? Je me souvenais que le personnage principal descendait dans une machine.. et je gardais l'impression de vouloir savoir - ou d'avoir voulu savoir. Le deuxième souvenir occupait L'Arrache Coeur - je ne me souvenais plus qu'il s'agissait de ce titre, mais l'image de la Gloïre était resté cinquante ans durant parmi mes images icôniques - sur sa barque et son eau rouge péchant par les dents les lambeaux et charognes dérivantes. Je ne me souvenais pas que par ce faisant, il évacuait, processait, la honte du village.
J'ai donc relu B.Vian dernièrement. Et j'ai découvert à quel point (profond) et dans quelle mesure (intégrale) il m'avait influencé. Tout d'abord, je comprenais la cruauté du texte que j'avais un jour durant ma propre psychanalyse, soumis à l'édition. Le psychanalyste C.Melman avait laissé choir entre lui et moi le livre qui s'en était brisé à nos pieds. Ce n'était rien de plus qu'un souvenir - inconscient - de Vian, un remake de la scène finale de l'Herbe Rouge. En réalisant comment j'avais pu écrire cette nouvelle où l'on péchait un vieillard par un hameçon qui lui ressortait l'estomac, j'ai été dernièrement soulagé du soupçon d'une ombre maladive que j'aurais sans hérédité générée de moi-seul. Mais deuxièmement en relisant ce roman, je réalisais l'évidence qu'il s'agit d'une psychanalyse. Les descentes dans la machines figures des séances ; il n'y a pas de mystère - ou du moins, le mystère qui reste est celui du peu d'importance que ses biographes donnent à la place de la psychanalyse dans l'oeuvre de Vian. Certes il est impossible de ne la pas y remarquer.. mais sa constance jusqu'à sa place comme "littérature majeure" au première chapitre du J'irai Cracher.. contraste avec ce qui devient une lacune réelle dans le rapport biographique. Car troisièmement, c'est la clé majeure de L'Arrache Coeur. Et c'est là que ma partie se joue...
Avant de parler de L'Arrache Coeur, il faut s'arrêter sur cet incompréhension de L'Herbe Rouge. Il faut évaleur la conjonction, du fait que la nature de la machine du roman était restée comme une énigme pour moi - qui allait rendre à mon psychanalyste une copie-conforme de l'épisode final et qui, durant cinquante ans, allait rêvasser, quand je rêvasser à ce que pouvait bien être cette "machine". Puisque cette machine était la psychanalyse, et que je ne m'en sois pas rendu compte au souvenir de la lecture de l'oeuvre, jusqu'à oublier que je l'imitais dans un de mes premier texte en propre, et que je devenais psychanalyste et continuais à me demandait ce qu'elle était.. il parut lorsque je le découvris après quarante ans de pratique, que je l'avais refoulé durant ces quarante ans. Ainsi, dès ce premier fait et première analyse, la place de la lecture de B.Vian dans ma carrière préside, en première instance - et naturellement du fait qu'écrivain, censuré, de l'année de ma naissance tandis que plus tard il aura vécu dans la banlieu et les établissements que moi-même je fréquentais et je m'éduquais à son âge (Versailles et Ville-d'Avray).
De ce simple fait, mais clairement expressif, la mesure prise, il donne toute sa valeur au second élément : l'autre souvenir que j'ignorais revient au trajet que suivra le personnage principal de L'Arrache Coeur.
Arrivant, étranger, dans une ville sans temps, isolée du reste du monde, c'est un psychanalyste dévoué à tout, toutes et tous psychanalyser. Il n'a que ce motif dans la vie. Et personne, aucun ni aucune de cette ville brutale et religieuse ne concevra une once de ce que c'est que la psychanalyse qu'il entraîne.. jusqu'à ce que du début, jusqu'à la fin isolé, il devienne la gloïre ainsi que je le lus lorsque j'arrivais à la fin de treize années vides dans l'immeuble de la place centrale, classé aux momuments que personne ne tient, face à la place ancienne du pilorit - la plus belle rénovation et reconstitution du logis renaissance des reserves d'or - et finances du roi.
Le parcours de Jacquemort, le personnage du roman, prédisait strictement le chemin qu'il est, dès L'Herbe Rouge écrit de l'histoire de la psychanalyse, selon Vian et.. son serviteur, Jacquemort.
Pour cette raison, ayant réalisé la surdétermination de ma carrière, ici dans les temps où j'achève l'achèvement du dernier chapitre de LSTT, au moment où je n'ai plus que la honte à récolter de la ville, violente et busonne, j'en aurai par avant mettre le point final, débuté la suite des aventures de Jacquemort - où si mon professeur policier venait cette fois me dire que je m'y crois, je ne lui répondrais pas plus, mais ne penserais pas moins. J'indique donc ici - que par la force de cette découverte révélant les cours souterrains de mes oeuvres - ma psychanalyse, si on peut dire, enfin achevée.. pour que je puisse en parler, je le fais dans un autre livre, dès à présent débuté - mais que ne sera ouvert que lorsque je finirai mes jours; il se titre Double. <201300623114400>>
<<20120701143900> Lorsque j'ai construit le plan et écrit les têtes de chapitres de LSTT je pensais encore à un certain ordre qui ne m'intéresse plus du tout maintenant - sinon que sa topographie est celle de la dissidence, à savoir un propos qui se dédouble en parole, passé au-delà de la critique, avec un point de vue de silence bien entendu. Néanmoins il reste simple à voir du point de vue du premier moment : je débutait LSTT pour poser avec ce silence les coordonnées précises et détaillées de l'intelligence artificielle dans la pratique de l'écolopsysme. Je parle d'écolopsysme comme je m'en explique un peu plus bas, avec "psychanalyse et écologie". Par ailleurs, je ne me souviens plus si j'ai compris la nature et situé la Dianétique, avec ou après avoir débuté LSTT. De toutes façons c'était fort près du début. Et quand, certainement après, j'ai compris celle du double-neveu de Freud, Bernays - aussi notablement ignoré des chicanalystes que ceci fait partie des découvertes à ajouter en la liste ci-dssous - c'est beaucoup plus en fonction topographique que l'on peut identifier les effets mobilisateurs du discours dissident.
Voilà ; ici s'inscrit la dernière phrase de LSTT - j'ai rempli ce que je m'étais assigné de plan. Si j'y écris quelques mots plus tard, ce sera ajouté <20120701143900>>
20110618 syndrome Homo Pouvoir – symptôme censure de l’information
Au cours de la rédaction de LSTT, le gouvernement du pays dans lequel je vis aura déclaré « préférer un internet civilisé aux cyber-dissidents » ; en disant cela il parlait des totalitarismes pour lesquels la dissidence était égale à la résistance contre les fascismes. Il faut ajouter que ce fut également à cette époque qu’en navigant le web on commençait à voir apparaître la mention : « cette information avait est désactivée pour le pays d’où vous appelez ». Sans soute la censure commençait elle à murer les frontières géographiques, comme l’eau dans un réseau de fondrières, isolant les populations suivant leurs dessins idéaux. Troisièmement la période de cette rédaction fut aussi celle de l’acmé du rejet que je recensais des mes confrères et correspondants psy-de-tous-poils sur les réseaux sociaux et généralement dans ma vie. Ce qui saillait au motif de ce rejet était la liberté de faire usage des informations que je recevais.
Plus en profondeur ce rejet s’est armé depuis longtemps ; pour la part me concernant, du moment de la mise à l’étude de l’hypothèse AMO – pour la part culturelle et collective depuis l’établissement de la tyrannie, qui est l’expression symptomatique du syndrome d’Homo Pouvoir. Ce syndrome est ce que La Sainte Ethique découvre, au fur et à mesure qu’elle distingue en contraste l’émergence de la cybernétique, de la psychanalyse et de l’intelligence artificielle.
<<20130701133700> J'ai expliqué l'éfilochage de la fin de LSTT ; le correcteur d'orthographe hs et les ordinateurs ralentis, infestés sans doute ; c'est le climat du temps. L'individu était peu respecté mais utile et utilisé (on se souvient Ivan Illich, sorte d'avertisseur) - c'était au moment où "les temps changeaient" (Dylan) ; à présent que "les choses ont changé" (ibid) l'individu est devenu un ennemi que l'on vise plutôt à détériorer, en se figurant qu'il n'y a plus rien à expoloiter . Il s'agit de la démence, ici descrite et attribuable au syndrome d'Homo Pouvoir. Cet "ordre cannibale" est également décrit par Attali. La bibiographie que LSTT se devrait n'est pas moins atteinte par cette dégradation - mais c'est de plusieurs années que j'ai procédé à son abandon (en 1990 en quttant unepfe), à l'aube de l'hypertexte et bien plus intéressé de compter sur la détection par l'/ia/, de mes processus mentaux et de ma mémoire (à cet égard la 'bibliographie' est comparable à la 'mnémotechique' pis-aller de l'AdM) ; je vais donc procéder à une bibliographie d'ordre réel, consistant de ce que j'ai découvert.
00.10.10.20.10.10--Psychanalyse et écologie
Avant les 'de-couvertes' à proprement parler, la création d'une relation. C'est le motif séminal de ma carrière : une relation d'identité - identité, égalité, entre psychanalyse et écologie/ Avant toutte théorie, c'est cette équation que j'ai mise à l'épreuve. Je suis venu assez tard à connaître Haeckel - je rois que c'est par Koestler qui recommandait quelque "Les Enigmes de l'Univers". On attribue à Haeckel la paternité du terme «écologie» ; ce qui m'a beaucoup plus frappé, c'est la fréquence avec laquelle il employait le mot "âme". L'écologie de Haeckel est le monde des âmes - il n'arrête pas de tout appeler des 'âme'. A partir de cette observation, on exploite utilement la première dénomination de la psychanalyse : analyse de l'âme, ou des âmes. Ensuite on peut lié de manière féconde Freud à Haeckel ; on arrive ensuite à la fin de cette collusion, avec G.Bateson et son père. Le père de Bateson a pour attribution, lui, la paternité du terme "génétique" ; Grégory son fils devint l'écologiste manifeste et représentatif de toute cette première période, scène primitive de l'écologie. G.Bateson, aura aussi catégoriquement renoncé à employer le mot "cybernétique" et l'auulsion à la Machine à Gouverner, que Freud renonça à mentionner celui de K.Abraham. Bateson en effet, ne pouvait pas autrement que pathologiquement l'ignorer, puisque durant une phase de sa vie professionnelle, il travailla très étroitement avec N.Weiner.
A partir du moment où l'équation
psychanalyse = écologie
est écrite, sa période primitive est révolue. Je poursuis dont avec mes découvertes :
00.10.10.20.10.20--Les découvertes
Je pense que j'en oublierai peut-être. Je vais les énumérer. D'abord l'identification de Un Scandale en Bohème, vis à vis de La lettre Volée. Qu'aucun chicanalyste n'en fasse cas, fonde cette remarque évidente en une découverte. Avec la place qui est donnée par Holmes à La femme, comparé au slogan lacanien, cette découverte est redoublée s'avérant également découverte d'un symptôme. Pour éclairer ce dernier il faut faire cas de ce que je n'ose qu'avec douleur qualifier également de "découverte" tant la chose est évidente - à savoir l'identitié du Modèle Optique avec La Caverne de La République et, par conséquent le statut de psychanalyse plurielle s'agissant de la démocratie. J'ai suffisamment écrit là-dessus.
Découverte plus facile à ainsi nommer, ce que j'ai appelé 'sexuage' pour résumer l'incidence, et sa description, de la sexualité dans la paedomorphose. La Paedomorphose est ce que l'épigénèse est un peu.. disons que ce domaine de la recherche qui s'appelle «épigénèse» est une forme plutôt réduite de la paedomorphose. Elle permet de comprendre cette dernière qui s'écrit, se déchiffre et se formule à partir de la différence entre homme & femme & de l'enfant par rapport aux deux genres d'adultes. La "théorie des genres" est ce qui manque à assimiler l'enfant au système social ; notant encore que la différence entre homme & femme, traitée en fonction du «troudaine» est une troisième découverte (précédant celle du sexuage.. je ne les cite pas chronologiquement) et que la fonction du formant, bien intégrée à la psychanalyse est également de l'ordre d'une découverte (elle traite le rapport enfant/adulte précité) . Cela doit compter avec une découverte encore - qui fut confirmée par l'information que je trouvais de Faber d'Olivet puis qu'on m'apporta de Stan Tennen : il s'agit de l'origine tridimentionnelle de la lettre - que je découvrais par mon tout premier écrit qui fut titré Theaux.
Ceci mène à mentionner la découverte de la nature chromosomique du Nom-du-Père - tant qu'on puisse dire pour la caricaturer qu'autant si pour Champollion les hiéroglyphes sont des lettres tandis qu'à l'inverse les lettres sont des hiéroglyphes pour d'Olivet, les lettres sont des gènes et les gènes des lettres.
Pour rester dans le domaine de l'anatomie, importante aussi est la découverte de l'anamorphose entre la tête et le tronc. Pour le narcissisme et de nombreuses autres fonctions rassemblée avec la facture "analogon" ici (LSTT) désignée, c'est une donnée majeure.
Nous arrivons à la découverte de l'identité du Trismégiste, selon toute la chronologie récapitulées dans LSTT ; et avec cet Akhnaton-Moïse-Oedipe, la remise au jour de l'Art de la mémoire sous la forme du PLuriel ANalytique s'ajoutent à ces découvertes qui font, pour AMO, la clinique de la chicanalyse, et avec le PLAN, on peut dire, sa découverte.
A cela, LSTT précisément montre la découverte du rôle de la cybernétique, dans la fonction politique de la psychanalyse et dans la fonction physiologique de l'écologie. Et voilà. J'en ai peut-être oublié ; mais je n'aurai pas oublié de dire qu'avec Un Scandale en Bohème, si un jour mes confères y parviennent, par les hasards du type de celui par lequel je croisais Lefébure, j'ai été gratifié de connaître La Seconde Génération, qui apporte encore une troisième identité à La Lettre Volée.
Il faudrait donc que je définisse ma position - telle que je l'entends - dans l'histoire de la psychanalyse - et ça me casse les pieds de le faire. Sans doute est-ce pour cela que j'ai ommis dans la liste ci-dessus la découverte de la struture, dite La Structure de la Découverte. Bon je pense que Zénon Kelper aura suffit à signifier ce que je ne saurais pas mieux rajouter. <20130701133700>>
20110723092800 : La catastrophe de Tchernobyl s’est produite en avril 1986. UNE fonction psychanalytique avait été créée en 1985 en commençant par annoncer l’appartenance de la psychanalyse à l’écologie. Unefpe ne rencontra aucun écho de la part des psychanalystes établis. Après quelques années, on put acquérir avec Tchernobyl le modèle vérifiable et objectif du mensonge d’Etat ; suite au 25 décembre 1991 (dissolution de l’URSS) les documents secrets de l’événement Tchernobyl furent accessibles ; on y lisait qu’à telle date tel réacteur s’effondrait et qu’à la même date le ministre qui recevait l’information annonçait que rien ne s’effondrait – on sut aussi qu’en Europe les ministres mentaient de manière toute aussi éhontée.
Le refoulement et le mensonge concernent de manière fondamentale la psychanalyse dont les institutions cependant ne considérèrent pas les documents symptomatiques. Depuis lors les informations sur les pathologies ultérieures et les doses radioactives de l’événement sont inaccessibles ; en quelques dizaines d’années le "sarcophage" qui couvre le plutonium de l’usine accidentée s’est détérioré et l’état qui en est responsable n’a pas assez de ressources pour le reconstruire – des fonds étrangers y parviennent mais pour combien de temps ? la demi-vie de ces matières toxiques est de deux-cent-mille ans et combien y aura-t-il de faillites et de famines durant ces deux-cent-mille ans durant lesquels il faudra refaire un sarcophage colossal tous les cinquante ans alors qu’on trouve à peine les forces et l’argent pour payer le second ? et ce au moment ou Fukushima explose cette fois-ci sans solution aucune.
Le biologiste qui a fait manger de l’herbe à ses hamsters pour révéler le taux de monstruosités malformatives des embryons a été condamné à cinq ans de prison pour corruption ; il ne reste alors plus beaucoup de gens qui informent lorsqu’en 2011 survient la catastrophe de Fuckusimma. Elle a eu lieu au bord de l’océan et dans ce cas elle est si grave qu’un sarcophage n’est pas envisageable et inéluctablement le toxique érode en profondeur jusqu’aux niveaux phréatiques. Dans les forums psychanalytiques, on joue du jazz comme à la belle époque ; il est exact que Tchernobyl a eu un effet positif : après la catastrophe les hommes au pouvoir on comptabilisé le fait qu’une bombe atomique de leur arsenal était approx deux-cent fois plus toxique que Tchernobyl et que l’une et l’autre des superpuissances en possédait quelque milliers – ils ont été si bien impressionnés qu’ils ont décidé de réduire ces arsenaux.
D’autres nations émergentes s’empressent de construire pour leurs propres armées ces obus. Ce sont des crétins - dans toute l’acceptation du terme psychiatrique – incapables de dégager de leur narcissisme la notion du fait qu’il leur suffit d’un petit avion pour avoir, par exemple sur le territoire européen, autant de bombe atomique à leur disposition qu’il y a de centrales nucléaires sur le terrain. Une ou deux roquettes bien placée entraînera tout les dégâts qu’ils pourront souhaiter lorsqu’avec les tensions de famines, pollution et maladies ils auront besoin d’assassiner une population voisine. Vis à vis de ce narcissisme-là, les psychanalyste ne disent pas plus que le confort qu’ils trouvent à leur thèse de la pulsion de mort. Cependant, lorsqu’on leur dit que la pulsion de mort n’est qu’une fiction symptomatique, ils mettent, comme le biologique cité ci-dessus, pour cinq années le théoricien concurrent hors d’état de parler.
Nous sommes donc face à un tableau de comportement suicidaire ou de maladie psychosomatique fort grave, d’autant que les instances de défense sont largement tournées vers l’obstruction de la prise de conscience même de son fait. Lorsque Freud dans ce cas recommande de passer, au-delà de l’analyse du symptôme, à l’analyse des défenses, nous sommes analogiquement dans la situation de devoir passer à l’analyse de la psychanalyse. C’est ce que La Sainte Ethique a produit ; elle a effectivement recensé la clinique d’un refoulement entretenu par la corporation dite "freudienne" ; c’est à en faire état d’abord que l’on pourra ensuite reprendre la prise de conscience de l’Inconscient.
<<21021103115000>Une fois qu’il apparaît, c’est dans le désordre qu’on trouve l’Ics, avec un index. On y trouve également des liens - ils indiquent une population. C’est une population de personnages virtuels qui composent le Moi, celui qu’on écrit avec un 'm' majuscule – ce sont aussi des molécules chimiques. Les molécules sont ce qu’on connaît pour être le siège de la force – la force que l’on désigne de diverses manières, "faible", "forte", "électromagnétique" etc.. (ce sont surtout les physiciens qui ont ce vocabulaire), tient les astres, les particules et les molécules en formes, ou en mouvements qui forment des formes, des trajectoires etc.. On appelle aussi la force en général, le Chi – ce sont les chinois qui l’appellent comme ça – mais du Chi au Chtimi, d’Est en Ouest, la force du Moi est la chimie. Le Chi du Moi – ou Chime, Chimi, Chimie – est du côté de la drogue selon l’occultisme, désigné par Lange traduisant Rudolph Steiner pour Joc.
Le refoulement de la cause chimique dans le cas de Freud est manifeste, après son écrit inaugural voilant sa détermination par la cocaïne. Il est souligné avec l’étude qu’il poursuivra par ailleurs, concernant Moïse lequel également voile sa détermination par le LSD.
- D’importants indices, signala Lange, ont lieu à l’approche de la psychologie collective. On sait que la subsidiarité d’Althusius avait déjà réglé depuis trois siècles les unités, d’ordre et d’identité, et quand Freud les distribue dans son Modèle de la Foule, il est à l’opposé de la direction qu’allait prendre la psychiatrie et préparant par ses vues statistiques les imprégnations massives des populations par ses tranquillisants.
Joc rapprocha son avatar du Modèle en 3D qui résidait, dans le jardin dans un angle qui lui révéla une perspective : on voyait par le biais d’un chemin creusant une forêt feuillue, le socle du tombeau, lui-même caché, de Wilhelm Reich dans sa propriété du Maine.
- Pensez-vous, interrogea-t-il, que la vaine tentative d’une description physique de la libido aurait décidé de votre indication ?
Lange ne répondit pas mais le Modèle de la Foule entama une transformation. Avec des reflets irisés pour le souligner il prenait la forme de la bicyclette de Hildone [C6.30.30.20.20-]. C’était une évidente allusion à l’orgone de type N surveillée par la Neuropaix [C2.20.10.10-] mais aussi du révisionnisme de Lacan.
- C’est la deuxième tentative de refoulement de la psychanalyse qui s’est produite par le voile, de plus en plus fin, de la cybernétique lacanienne. C’est avec Le Temps Logique qu’elle s’est instituée, le temps d’avoir passé La Lettre Volée et ses triades. La triade du "temps" exige des semblables ; ce n’est nullement le cas lorsqu’il s’agit de Roi, de Reine et de ministres.
C’était l’observateur de Lange qui avait parlé. Jusqu’alors Joc n’avait remarqué que sa compagnie et, à mesurer la discrétion dans laquelle il se tenait vis à vis du docteur, y avait reconnu la permanence et l’insistance qui qualifie l’observation. Mais à présent il intervenait jusqu’à précipiter des objets dans le Jardin. Ils prirent une forme chiffrée - '20121027094500_achalorace.wmv' . Il s’agissait d’une vidéo du tout dernier modèle de la bicyclette. Joc exigea une explication.
- Le Moi, c’est la drogue, commença l’observateur, c’est la composition chimique du corps – mais on dit que c’est "la drogue" pour mentionner la vertu auto-réflexive de la chimie de mise l’occasion. Lorsque la chimie est purement auto-réflexive, il s’agit du mème. La molécule chimique dans ce cas-là est quasiment chromosomique. Mais sous une forme proche du gène, le médiateur synaptique, induit une répétition qui s’apparente au mème. C’est ce qui valut à Fred son cybek [C6.20.20.30.10-], n’est-ce pas ? demanda-t-il en se tournant vers Lange.
Mais Lange était devenu livide et, selon toute vraisemblance dans ce monde virtuel, ne pouvait pas répondre. Joc y vit indiqué que Lange était mort avant le cybek de son père mais ne fut pas plus informé sur l’identité de l’Observateur. Il commençait à mettre une majuscule au personnage qui venait de marquer si fortement une autorité sur Lange. Il s’aventura :
- Lorsque les populations analphabètes faisaient usage de psychédéliques elles identifiaient des divinités derrière ses substances, mais lorsqu’ils purent exploiter suffisamment l’acide lysergique, l’idée de la conscience était tellement soulignée qu’, l’idée de la conscience était tellement soulignée qu’ils n’ont pu rattacher au seul seigle, ni même à la prêtresse d’Eleusis la subjectivité du message. L’idée du moi psychologique s’est imposée.
L’Observateur s’était à nouveau tourné vers Lange qui semblait par la même occasion reprendre vie. Joc restait persuadé qu’il pourrait l’intéresser et redoubla ses efforts pour capter son attention. Il régla son avatar en première personne.
- Il était maintenant acquis que cette drogue tiendrait une position inclusive sur toutes les autres. La capture de son sacerdoce par les shamans masculins fut irrépressible – la génétique Y totalement inconnue mais surtout la position exclue des gonades soulignée par les rites, étaient deux facteurs que la position du pourvoit alimentaire de la Mère d’Eleusis ne pouvait contenir. Il n’y eut que la Lettre, capable de les soumettre à une industrie. C’est pour ça qu’en Egypte, quand l’Hellénisme fut admis à la condition de la globalisation, les usages de l’alphabet furent modifiés.
- Vous suivez parfaitement les lignes de Mon Père de votre père, répondit Lange. L’entreprise de Joc avait cédé, il n’avait pas engagé l’Observateur qui était rétabli dans une stricte attention portée au docteur Lange. Ce dernier, comme d’habitude semblait comprendre.
- Il faudra l’examen de la cybernétique, continua-t-il. Le modifications de l’alphabet auxquelles vous faites allusion ne sont réfléchies que par ce moyen. Comment voudriez-vous autrement que la Lettre s’observe ? <21021103115000>>
Le compte-rendu (du séminaire sur La Lettre Volée) qui ouvre les Ecrits, se termine par une Suite que constitue l’Introduction. En offrant ainsi la structure d’une parenthèse – c’est une lettre dans laquelle on va glisser un billet. Ce billet est un traité de cybernétique – et ses 'parenthèses' enveloppent la lettre volée en exercice. Le mi-n’estre (entre Castor et Pollux, Roi et Reine) a volé qui d’autre qu’un contenu ! en l’occurrence la cybernétique (le contenu des parenthèses). Il s’en conclut à la mesure de l’Atrèe.. par un envoi : « LAPAREIL portera au final la palme de la mise à jour de l’Ics » (déduction « C’est ce qui nous a permis de dire, etc.. » derniers paragraphes) autrement dit un destin si funeste s’il n’est digne de la machine sera digne de l’humain. Osant regarder ces choses en face, si l’on n’admet pas que la machine peut mourir, l’humain mourra (sera détruit par la machine). Avant de réaliser que Lacan écrivit une sorte de lettre d’amour à LAPAREIL dans la parenthèse des parenthèses, nous devons reconnaître comment la psychanalyse procède et l’histoire de la relation d’objet qui en place du contenu objective le perçu.
20110816112800 J’ai ci-dessus [00.10.10.20--] fait état de ma biographie. Ce positionnement dans l’histoire de la psychanalyse ne voudrait rien dire sans, précisément, connaître l’histoire de la psychanalyse. De cette histoire il en a été beaucoup dit et je ne saurais en rajouter valablement qu’à partir d’une remarque que j’ai faite personnellement.
C’est par hasard, ou du moins inopinément que je suis tombé sur une anecdote éclairante, en faisant des recherches sur l’histoire et l’état de la cybernétique. On sait que cette science, fondée par N.Wiener, était tombé en désuétude (disons : aux environs des années 1960), ou plutôt dans une espèce de stupeur. L’explication de cette léthargie fut livrée, précisément en 1960, à l’ouverture des Ecrits de Lacan, lorsque, dans un traité de cybernétique, bref et sans suite, il décrit le jeu pair-impair (qui consiste à présenter à un enfant, dans une des deux mains à deviner, dans laquelle on a caché un objet ; et à répéter la devinette de sorte à initier le jeune intellect à l’évidence que c’est une jeu, à priori intrigant mais à l’évidence, stupide). Cette situation cybernétique de la théorie des jeux (Von Neumann) avait abouti à ce que deux armées de robots adverses, chacune pensant que l’autre pensait que la première pensait à ce que l’autre pensait, s’étaient paralysées dans la stupéfaction. L’immobilisme résultant avait été appelé l’ « équilibre de la terreur », qui ne s’était pas vu que sur le terrain politique de l’après-guerre : la cybernétique elle-même était arrivée au point dont on pensait qu’il marquerait sa limite en la concluant d’une inhibition logique et sans suite.
C’était laisser dans un vague suspens les frénésies, au préalable féroces, des institutions militaires qui avaient cherché à faire, à son origine, de la Cybernétique une science classée "Secret Militaire". La Cybernétique commençait à être délaissée comme un chiffon qui avait vaguement permis un temps de rêver. C’est à cette époque que Lacan était entré en scène et, dès son premier séminaire, montré que la Cybernétique ne devait pas s’arrêter si tôt car, en y réfléchissant à deux fois, il s’avérait que c’était précisément la psychanalyse qui assumait la résolution de l’aporie logique et qu’au lieu de s’arrêter stupéfaite, cette jeune science avait plutôt l’occasion de retrouver son élan, à travers la révélation stupéfiante qu’elle était ni plus ni moins ce que Freud avait commencé à mettre en activité dans le domaine psychiatrique et biologique.
Quelques années plus tard, vers 1990, on aura vu que les militaires allaient de nouveau trouver de l’intérêt à l’affaire et cette fois – si on peut dire : « se la faire (la Cybernétique) » - car elle redevint Secret Militaire lorsque le développement des ordinateurs atteignait un tel niveau que l’intelligence artificielle allait permettre que face à ses opération, un expérimentateur humain, aussi spécialiste fut-il, ne saurait plus savoir s’il communiquait avec une machine où un autre être humain, de l’autre côté de l’écran. La capacité de confondre l’identification humain-machine présentait de telles conséquences politique que l’armée, prestement, en priva les populations. La psychanalyse, quant à elle, avait également vite fait d’oublier, de refouler, ce que son Jacques Lacan avait dit pour commencer. Bientôt on ne parlait plus de cybernétique et, lorsqu’en 2010 je faisais des recherches sur le web qui ramenait de maigres pages, je trouvais une certaine "organisation mondiale" (WOSC) de la cybernétique que quelques membres âgés entretenaient encore, anachroniques et en petit nombre sans quasiment plus d’activité. Le professeur Robert Vallée (né 1922) qui en était le président avait enseigné à Paris dans les années 1960 et jusqu’en 1990. Je le contactais, très heureux de pouvoir trouver un témoin des années de ce transvasement de la cybernétique à la psychanalyse (que j’appelle la 'découverte biaisée' [C4.00.10.20-] et qui se destine à revenir à la psychiatrie.
Au résultat de cette expérience, il est certainement utile de relever l’attestation par R.Vallée du fait qu’il n’avait pratiquement aucune connaissance de Lacan, notamment de l’apport ou de l’incursion de ce dernier dans le domaine cybernétique. Pourtant un traité cybernétique fait l’ouverture des Ecrits (Lacan/publiés en 1966) aussi monumentale que l’Esquisse neurologique de Freud à l’ouverture de la psychanalyse. Quand en 1970 R.vallée est Professeur à l’Université Paris-Nord, la même intelligentsia rassemble les deux hommes qui ne se rencontrent jamais en ignorent leur travaux respectifs. En 1980 la présidence de la Société Française de Cybernétique continue à méconnaître le traité lacanien et aucun élève de Lacan ne dénonce la situation qui aura ainsi duré jusqu’à 2010. C’est une exemplaire et principale expression d’un refoulement.
Pour vérifier effectivement qu’il ne s’agissait pas simplement d’une négligence faute d’objet, j’ai correspondu avec R.Vallée pour confronter l’approche lacanienne et la sienne mathématicienne. Il s’est démontré que des conclusions identiques [C6.30.10.10.30-] appartenaient aux deux optiques.
La confrontation fut d’ailleurs doublement fructueuse car elle a également montré entre les positions de départ (qui pourtant concluent identiquement) une divergence que l’on retrouve entre psychologie et psychanalyse par ailleurs dénommée "paradoxe" [C4.10.20.10.20-]. Ces différence symptomatique autorisent une réflexion qui les réunit sur une base fondamentale :
En correspondance avec la force logique qui arrêtait en 1960 la cybernétique, les théoriciens qui affrontèrent l’obstacle désignèrent une irréductible approximation (Vallée) où l’expression réelle de l’impossible (Lacan ; objet 'a') à l’instar de principes d’incertitude décrits dans d’autres branches. Comme cependant les "graphes" [fig.C8.50] le montrent, ces déductions peuvent être rapportées à un simple mécanisme que Freud, de concert, avait décrit en son temps. Le bouclage que plus tard Wiener dénommait "feed-back" était posé au principe de l’Esquisse freudienne. Or toutes ces pénétrations de la chronologie relèvent de l’idée de relativité nettement typifiée en physique atomique ; le graphe du désir de Lacan n’est pas autre chose qu’une traduction de la méditation d’Einstein sur la chute d’une pierre d’un train (en l’exemple qu’il donne à l’ouverture de ses traités de vulgarisation). Ce jeu de l’esprit se retrouve permanent et déjà motivant à l’époque de la Renaissance [30.10.10.10.10-]. Il a pu néanmoins être déchiffré [C4.10.20.20.30-] au moment dit de l’Appareil-Age ; et c’est bien, comme la gestion de l’atome le clame violemment, en l’instance d’élucider notre rapport à l’énergie [C7.30.20.10.20-] qu’il nous situe.
20110818124600 J’ai ci-dessus décrit le signe clinique d’une psychopathologie de la vie collective. Nous pouvons en tirer quelqu’information, renseignant sur le diagnostique mais aussi si les mécanismes maladifs (ce que l’on nomme la physiopathologie). L’échange entretenu avec le professeur Vallée a permis le repérage d’un motif autour duquel on pourrait trouver à comprendre ce que l’on ne comprend pas ; c’est par ces approches biaisées qu’on accède au refoulé. Le fait de ne s’être pas rencontrés, Jacques Lacan et lui, est moins significatif que l’étonnement qu’il éprouva en apprenant le départ du psychanalyste, à partir d’une triade, quand il produisit son traité cybernétique de 1960 (titré Introduction et complété en 1966 par Parenthèse des parenthèses. Cette triade était extraite de la lecture de La Lettre Volée où un Roi, une Reine et un Ministre font l’expérience du chiffrage de l’autrement classique trinité oedipienne, sous le regard d’un détective. Ce quatrième personnage relance la première triade à partir du second terme ; la seconde aboutissant donc à une Reine, un Ministre et un Détective (ultérieurement c’est un commissaire qui permettra l’appui d’une troisième, ministre, détective et commissaire etc… Cette façon de raisonner par trois était tout à fait étrangère au professeur de cybernétique qui collaboré à la stagnation de cette science des "machines à gouverner" que Weiner avait identifié au gouvernement de la Guerre Froide.
J’ai expliqué [10.10.10-] que Lacan allait relancer ce discours du duel sidéré en formulant la relation des deux machines [fig.C1.100] mais alors qu’il partait de trois. J’ai souvent fait allusion [C1.20.10.20-etc..] au retour de la psychanalyse dans la psychiatrie comme un Cheval de Troie, pratiquement sans jeu de mot nous la retrouvons à propos de la cybernétique. Cependant cette citée investie ne fut pas infiltrée par les occupant dudit cheval (Vallée attendit Lacan en retard pour son séminaire et s’en alla ; à l’inverse aucun élève lacanien ne s’est manifesté aux bancs de l’enseignement de Vallée). Les occupants coincés dans le cheval dans la machine parlent par leur silence. Ils attendaient l’ordre de Lacan. Etaient-ils tremblants en songeant à la répudiation de Reich par Freud après que le premier ait suivi ses ordres d’investir une psychologie de masse ((note : Reich écrivit Psychologie de masse du fascisme pour répondre à l’intérêt de Freud pour la psychologie collective et plus tard poursuivi par le nazisme au moment où Freud avait déjà échappé à Londres, il n’obtint que son ancien maître qui avait en main quelques recommandations-de-faire-sortir ne lui en fit servir aucune en déclarant qu’il ne pouvait sauver un bolchevik. Sans cette aide distribuée à d’autres élèves, Reich de justesse dut s’échapper d’Europe par ses propres moyens)) ? C’est possible et d’autant que probable qu’une irrésolue passion réciproque, entretenue par le transfert systématisé, isolait le maître et les élèves dans une sphère narcissique (le cheval en l’occurrence).
L’ordre ne vint pas. Cette absence qui fait qu’également aucun ordre ne parvienne autrement qu’imaginaire de la psychanalyse à l’adresse de l’intelligence artificielle, tient à la réclusions dans le stade de l’identification au semblant. Ce stade a été dénommé par le seul psychanalyse qui se soit, sans conflit, posé vis à vis de Lacan comme son semblable : son analysant Verdiglione. En le désignant, il (le semblant) fut dénoncé est il (Verdiglione) fut emprisonné – et son élan arrêté. Cet embarras de la psychanalyse, plus spectaculaire que l’inhibition timide qui stoppait la cybernétique, renseigne sur l’état d’homopouvoir – c’est à dire la clinique dont La Sainte Ethique produite l’analyse.
Lacan, aussi brillant mais moins au net que son semblant en l’occurrence, appela son école, de la cause freudienne, voire de la cause – mais pas l’« école de Jacques Lacan » comme le second fit en fondant la Fondation Armando Verdiglione. C’est que la redondance, "fonder une fondation de son nom" tient à un processus de la nomination qui est resté symptomatique depuis que le Moïse et le Monothéisme ne soit remonté jusqu’(à la psychologie d’Akhnaton) au processus qui édita le nom d’Amenophis.4 en Akhnaton.
Chemin faisant, La Sainte Ethique en aura toutefois fait le détail [20.10.20.10-] jusqu’à permettre de distinguer au-delà de l’identification au semblant les avenues de l’identification au corps.
20110818161600 Pour suivre ce qu’on appelle la physiopathologie – c’est à dire les mécanismes maladifs du syndrome d’Homo Pouvoir – nous ne pouvons qu’arriver à son dénouement (puisque pour la plupart nous en faisons partie). C’est l’époque où j’écris où l’on voit le tyrannies succomber mais encore ce que Sartre, suivit Laing dans Raison et Violence quand la critique atteignit la psychiatrie, virent du totalitarisme se perpétuer. C’est la Syrie comme un nombril qui montre ce qu’au fond la civilisation entretient d’esclavagisme au ventre rond de la planète entière. Le dénouement qui arrive – avant que précisément le système ne resserre le kiki aux intello collabo dénoncés déjà (France Yates) de la Renaissance à l’échec de la reconnaissance de l ‘Hermétisme, et puis bien sûr jusqu’à nos jours passant par la Commune – est cadencé par le développement de l’intelligence artificielle.
Bien que probablement 'secret militaire' sa vertu sera de refroidir les ardeurs militaires à attaquer leurs civils comme elle s’est montré à l’œuvre de la Guerre Froide et pour les raison que l’analyse du lacanisme dévoile.
Après qu’il ait gelé, le développement de la cybernétique reprit en 1960 pour autant paraître sans effet. L’usage du transfert a été appliqué pour maintenir la sidération logique que l’analyse du jeu pair-impair trahissait. La stupeur qui frappe leur deux joueurs suffisait à les arrêter (Guerre Froide ; Equilibre de la Terreur) ; lorsque décillés (analyse) leurs yeux découvrirent l’amour (Hippies, Flower Power) le symptôme d’Homo Pouvoir a mis en oeuvre la technique de l’hypnose de manière systématique (transfert). Elle était préalablement employée de manière organique (religions). Le traité cybernétique de Lacan fut donc incorporé au régime de la stupidité d’Homo Pouvoir.
Cependant que la cybernétique continue à se développer matériellement, le statut du lacanisme continue à détruire la loge qui en recèle la clé. La Sainte Ethique a montré que la psychanalyse s’était organisée en trois sectes. Deux sous un autre nom, et l’une d’elle sous le nom propre de "psychanalyse". Lacan déclara sans fard qu’il la détruisait. Mais comme un globule se détruit gavé de virus, il les répand le temps d’après. C’est ainsi le pur chiffre de la psychanalyse qui deviendra éparpillé. C’est certainement ce qu’il faut attendre si la psychanalyse est bien d’Art de la Mémoire hermétique qui dans sa version PLAN permettra à l’écologie d’exploiter la ressource psychique qui lui manque actuellement.
Dans ce passage le dénouement libère le refoulé ; c’est à ce signe qu’on peut le diagnostiquer au complément des conditions d’incubations acquises de l’état cybernétique. Le refoulé, évidemment se présente comme une débâcle ; on se réjouit rarement à l’accueil de ce que l’on a répudié jusqu’à la torture. On le voit à présent selon les deux monstruosités annoncées par les deux psychanalyses du premier siècle (de la psychanalyse) d’une part le monothéisme par Freud, d’autre part le nom-du-père par Lacan. Pour le monothéisme, le refoulement de la découverte de la scène primitive se défoule à travers les convulsions et conflits qui gagnent les société monothéistes. Pour le nom-du-père, le refoulement de la découverte du rôle mémétique du chromosome Y se défoule à travers les attaques écologiques du génome (qui résument les motifs économiques des manipulations dites ogm, mais également négligences radioactives et autre hormono-mimétiques qui aboutiront à la transformation de l’espèces et aux nécessités ectogènes).
Pour survivre à ces débâcles, les trois formes sectaires de la psychanalyse se défendent automatiquement et par le mécanisme connu et répété de la Renaissance, de l’inquisition. On en identifie l’outil lorsque sont perçus les deux faces de la collaboration psychiatrique. D’une part la face complice du totalitarisme qui a été dénoncée par l’anti-psychiatrie du hardi Laing sus-cité – d’autre part la face duplice comme R.D.Laing qui ne fut pas toujours hardi : en adoptant l’humanisme statistique (DSM) évidemment sujet au désaveu. C’est donc la psychanalyse en l’état, freudo-lacanienne, des trois sectes qui opère dans la psychiatrie inquisitoriale. On sait que l’inquisition survit un moment, comme l’indicateur à ne pas suivre. De cette manière, les conditions du PLAN sont préservées.
20110819031200 Désigner en 2011 un outil de l’inquisition, fut-il la psychiatrie qui naturellement, entre l’ordre est la santé, est en première ligne candidate à une telle allusion, demande néanmoins quelque précision, car l’Inquisition est une vieille histoire de mémoire et trop émotionnellement retenue pour ne pas entraîner un soupçon quand on l’actualise. Je dois donc renseigner et éclaircir les motifs que j’exploite pour rapporter l’actualité à la période de la Renaissance.
Je le fais premièrement d’un principe décrit au titre d’ "analogon" [C6.20.20-]. Par ailleurs les assimilations du moment actuel du temps Moderne à la Renaissance sont fréquentes. Je les appuie d’une observation qui a été strictement rédigée à partir d’une vidéo enregistrée le 18/07/1987 et retranscrite deux ans plus tard titrée La Structure de la Découverte. Ladite structure se découvrait en l’occurrence de la comparaison des deux périodes. Or dans cette structure, ma part contributive trouvait, dans la répétition, l’activité de l’astronome Kepler.
Toute application de ma propre pratique par ce que Vallée appelle un 'transfert inverse' est une spéculation ; elle est donc spécifiquement établie par anticipation. Mais pour fonder son assertion, selon le mécanisme d’assertion de certitude anticipé exposé par Lacan dans le sens du 'transfert', il aura fallu démontrer, à côté de celle de Kepler supposée, une répétition coordonnée. Ce fut la tâche de La Structure de la Découverte qui a décrit ces transferts de Lacan à Tycho, un autre astronome de la sphère de Kepler.
Comme dans la triade appelée ci-dessus à organiser les structure des découvertes des 'lettres volées', Lacan précédemment avait, au pressentiment de sa propre spéculation désigné le transfert inverse de Freud à Copernic. Avec ces trois éléments (Copernic-Freud, Tycho-Lacan, Kepler..), une succession d’autres compléments complète l’affirmation de la "structure" d’où je me rapporte à une comparaison avec Kepler. Comme elle se comporte à l’égide d’une anticipation, je vais commencer à en parler comme si c’était le cas pour préciser la manière dont les conditions du PLAN sont préservées – avant de ne dire qu’au final de La Sainte Ethique ce qu’est cet exercice [10.30.20-] de la neuroscience psychanalytique.
Les caractéristiques techniques de l’activité scientifique de Kepler ont été marquées par l’absence d’usage d’instruments. Du moins à la différence de Tycho qui avait tiré ses observations d’un célèbre laboratoire, mais équipé d’instruments anciens, et à la différence de Galilée qui accédait aux premiers télescopes. Rapportée à la scène contemporaine, l’accent des instruments anciens trouve un écho. Comme ceux de Tycho – obélisque, sextant, etc.. – la psychanalyse utilise d’abord un divan ; en passant au degré suivant la lunette galiléenne est rapportée à l’instrumentation appliquée à la psychologie collective. Elle nécessite un groupe analysant et un positionnement particulier de l’analyse, comme à travers des lentilles particulièrement disposées l’effet télescopique est obtenu. Cet outil porte le nom de Pluriel Analytique. Bien que j’en ai été le théoricien, je n’ai pas pu le voir employé autrement que dans une sorte de laboratoire – comme les premières lunettes ont montré leurs vertus dans le cabinet de l’opticien. Je n’ai pas connu le Pluriel Analytique – que j’écris PLAN – appliqué à l’espace collectif, comme il aura son effet lorsqu’il sera disposé aux ressources humaines de l’industrie.
J’ai cependant fait usage pour mes recherches, d’un milieu développé comme en mathématique Kepler bénéficiait des effets de l’introduction du chiffre, zéro, dans les calculs et la formulation de sa géométrie. L’écho de cette circonstance à mon époque s’est présenté comme l’introduction de la cybernétique et ses effets sur la génétique générale, c’est à dire le chiffrage du nom-du-père [yyyyy]. Le déploiement cybernétique a précisément permis de passer outre les effets d’annulation de la censure, en l’occurrence activée spécifiquement, puisque c’est le refoulement caractéristique d’homopouvoir que traite le PLAN. La Sainte Ethique est à mon âge et pour moi la vérification conclusive de ce franchissement si elle est véhiculée par LAPAREIL à travers le rejet général de sa proposition.
Je vais préciser les statuts, d’une part de mon absence d’accès au PLAN, d’autre part de mon emploi du milieu cybernétique. L’un et l’autre se raisonnent à partir de la structure de la découverte. Une découverte est quelque chose qui s’établit d’une certaine structure qui relève évidemment, de la chose découverte, qui est nommée en l’occurrence chose ou mieux scène primitive.
Pour en traiter, dans le texte, comme une "chose" annonce le traitement, un texte primitif a été annoncé [C6.20.30-] se poursuivant ici :
La structure de la découverte se répète de cette scène primitive qui s’est dédoublée, si on peut dire "pour les besoins" de la cause. Une cause, en effet, a besoin d’être chiffrée ; c’est probablement un besoin de chiffrage. L’annonce de son effet est précédé par sa scène primitive, littéralement [C6.20.20.30.10-]. Dans son exposé – et dans La Sainte Ethique – cette scène littérale est dédoublée de sa scène effective suivant un division chronologique : l’annonce est faite en 2011 [C6] qui insère un texte de 2087 – c’est à dire ce qui, au chapitre suivant sous forme oniroïde, futurologie, science 'fiction ou fonction', décline au titre d’« un cybek de Fred » un événement légèrement postérieur à 2030.
Cet événement désignant un moment où le virtuel est strictement égal à ce qu’il représente, est l’analogon du dédoublement de la scène primitive, autrement dit : du chiffrage de la cause. Sur une échelle chronologique ce virtuel est passé ou futur d’une répétition ; il est cybernétique à l’instant du cybek. Ce sont dans ces cas des analogies de structures.
L’analogon que la structure découvre est l’histoire – qu’on peut aussi bien appeler la mémoire – ou "la pareille" [C6.20.20-]. On la trouve en tant que chiffre dédoublé, comme en semblant en engrame [ibid], en code génétique. C’est pourquoi dans ladite « scène littérale » de l’annonce, Jocelyn affirme qu’il parlera de la structure de la découverte à la place de son grand-père – avant qu’effectivement il assume la constitution d’un ucmpp [C7.30.20.10.10-], c’est à dire l’histoire de son génome. La clinique en est rapportée dès le texte de l’annonce, qui fait allusion au rêve de l’étape de la Renaissance écrit par Kepler suivie de celle de Fred répétant l’allusion en terme de formule [C6.20.20.30.10-&20-].
Le fils de Fred aboutit, à la troisième génération, à l’analogon de l’engrame et de l’environnement (ucmpp). Ce sont les conditions d’une écologie et d’une identification au corps.
N’ayant pu rapporter ma comparaison à Kepler dans La structure de la découverte, autrement que par anticipation [10.20-] je l’ai écrite sous le pseudonyme de Kelper (le 'Zénon' Kelper, cité par Jocelyn). Sous ce rapport Jocelyn est mon fils, mais le nom que je pris dérivait de l’analyse lacanienne décrite sous la forme de celle du père de Fred et de Lange. Ayant été analysant de cette analyse virtuellement, Kelper est donc le surnom de ce père et grand-père de Jocelyn. Il est analogue au chiffrage du nom-du-père, c’est à dire le dédoublement du zéro, du chiffrage primitif.
En ces chapitres, La Sainte Ethique présente donc un moyen de lecture la structure de la découverte. On y lit que la découverte s’obtient par le moyen de la filiation (dans l’exercice Jocelyn assume ladite structure de la découverte au terme de la succession triade de : 1) la psychanalyse de son grand-père avec Lange – 2) le cybek consécutif de son père – l’ucmpp qu’il conclut (écrit dans le texte effectif suivant ses trois nominations successives Jocelyn, Joe et Jo).
Cette analyse indique aussi que, si c’est une découverte que l’analyse du Nom-du-Père (l’analyse de la filiation, autrement dite, patronymique) gagne et achève, la structure de la découverte n’est pas cet aboutissement de triade, puisqu’elle y paraît en double. L’analogon de la procédure est ici observable de la version parèdre à La Lettre Volée : Un Scandale en Bohème. A cette seconde, c’est également seconde que la génération paraît – titre de la troisième version : La Seconde Génération.
Cette secondarité est écrite de la fille à la mère (Irène Adler, du texte de Doyle). Nous avons donc entre elle (qui a été antérieurement localisée dans la machine à gouverner duelle de la cybernétique 'archaïque' – dans l’hypothèse où il en ressortira une écologique) et la triade, le moment de l’inhibition répétée (à savoir la stupidité où le lacanisme est confiné après qu’il ait dénoncé la stupéfaction des joueurs pair-impair de l’équilibre de la terreur).
Le blocage du lacanisme, autant celui de J.Lacan, peut être estimé à l’enseignement de la Renaissance, s’il y a bien analogon de la découverte de l’espace cosmique & de l’espace psychique. On trouve que Lacan serait anti-freudien analogue à Tycho, anti-copernicien {{{note : pour information, Tycho a été second astronome après Copernic. Tycho de Brahé était opposé à l’idée que la Terre fut estimée en mouvement. Il insistait pour qu’elle fut considérée immobile, au centre de l’univers. La Structure de la Découverte rappelle que des élèves de Lacan – Le Titre de la Lettre, ont comparé leur maître à Tycho, estimant identiques leurs conceptions du monde}}}. Le lacanisme ne l’admet pas mais ne reconnaît pas non plus les considérables obstacles que Freud a levé contre la psychanalyse. Il est pourtant plus idoine à la structure de l’Inconscience que Freud ait refoulé sa découverte et que Lacan s’y soit opposé. La Sainte Ethique le montre en divers articles [C2.30.20], [20.10.20.10.10.50-] et explique qu’il s’agit des procédés du chiffrage et de déchiffrage, mis à l’usage de l’éclaircissement de la psychiatrie [C1.20.20.10.10-].
En acquérant cette vision plus humaine et complexe que cette de deux maîtres idéaux, on gagne une notion articulatoire de la structure duelle (de la mère à la fille) à la triade (filiation) d’une découverte à acquérir.
Si la femme porte la structure de l’analogon, de père en fils l’homme obtient la découverte. Mais encore faut-il pour qu’elle soit acquise, qu’on en connaisse les moyens – autant qu’on le requiert pour reconnaître la propriété d’un bien. En l’occurrence, d’une découverte, le moyen de l’acquisition se trouve dans la reconnaissance de l’erreur qui y a présidé. L’analogie de Tycho & Lacan montre cette erreur. Elle a été répertoriée et comprise avec Tycho : la Terre n’est pas le centre de l’univers (c’est le point de vue scientifique). Les témoignages de l’histoire rapportent sur quelle erreur Tycho était fondé pour soutenir sa position fausse.
De la dynamique de la Renaissance [30.10.10.10.10-] à la relativité de l’ère nucléaire [10.10.10-], Tycho n’explique pas pourquoi en tirant sur ses lacets de chaussure on ne s’élève pas en l’air, ni Lacan. Bien qu’intellectuellement celui-ci ait décrit un phénomène de séparation complémentaire à l’aliénation, il resta témoin de cette dernière sans suite. Le dédoublement de l’initial permet bien qu’on tire sur ses lacets mais un troisième point de vue nécessite un semblant pour s’appuyer. C’est de ce 'semblant' intermédiaire entre la dualité et la triade qui paraît dans la psychanalyse comme le Transfert. Prendre appui sur le transfert pour développer la cure revient à se développer sur soi-même en s’étranglant en même temps – comme le tireur de lacet ne s’envole pas mais serre ses chaussures.
La découverte se montre donc ainsi composée, traduite d’une scène primitive en deux structures (Renaissance & Modernité) laissant entre elle la solution de continuité du semblant, éventuellement réduite à elle-même : dans la solution dite du Transfert, la libido décapitée dite « pulsion de mort ». Cette satisfaction qu’offre le faux objet du narcissisme ne peut être rompue que par la force des choses – du moins si on tire l’expérience de ce qu’il fallut effectivement une capacité matérielle de déplacement dans l’espace (cosmique) pour que l’intelligence se décide à décrire la relativité. L’analogue paraît se présenter dans le moment de l’espace psychique, réclamant une productivité matérielle de mondes virtuels pour que l’intelligence aborde la description du lacanisme ou, selon la fonction de la science, pour qu’en science fiction Jocelyn parle de la structure de la découverte, ainsi déchiffrant la triade de la filiation.
C’est par ces couches et étapes qu’au rêve (chapitre 7, science fonction) s’adjoint le fantasme (présent chapitrer 8) qui rétablit le juste titre de "science fiction" à la Réalité. Côté rêve les deux constituants, ucmpp et LSD, ont été relevés ; au côté de la réalité à présent, le troisième constituant de la science est indiqué par le PLAN manquant. Identifié comme ce qui manquait à Kepler j’en atteste en en témoignant : de ce qui me l’a rendu impossible [10.20.20-], la constitution qu’il dessine [10.30-]:
2011072000000 C’est au terme des trente années que résume LSTT que je suis arrivé à l’objet scientifique de la psychanalyse (en toute hypothèse – cela va sans le répéter à chaque fois.. le CHAP.8 étant notamment structurellement défini comme celui du fantasme, par rapport au 7, du rêve). L’histoire de la psychanalyse jusqu’à ce point montre bien comment elle indique également ce terme : Freud décrivant un domaine, l’Inconscient, Lacan ses relations dites 'd’objet' l’approchant par les chicanes du signifiant puis du semblant, éventuellement y hésitant avec une ultime notion d’artefact. Lorsque je l’atteignis à travers tout ça – il me fallut le nommer. Je l’ai appelé "analogon" [C6.20.20-]. J’ai été embarrassé par une prétention pareille à nommer une découverte ; mais il est relativement probable que ce soit une conséquence inéluctable qui devait suivre la 'découverte' ou levée du refoulement que j’avais endossé préalablement [10.20.10.10-] et qui m’avait isolé. Deuxièmement, cette probabilité est redoublée d’une autre conséquence devant suivre l’engagement dans la psychologie collective dont je me suis chargé du fait de cet isolement et suivant la prescription de Freud, si possible pour mieux faire que W.Reich qui, quant à lui, s’était arrêté dans sa description d’"orgone". Ces deux probabilité cumulées ont soutenu que je m’aventure à soutenir la thèse de l’objet scientifique de la psychanalyse. Je vais donc ci-dessous [10.30.05.10-] tirer les conclusions de cette entreprise débutée aux chapitres précédents :
Ci dessus 10.20.10.10.20- cee qui m’a rendu impossible le pLAN
Pour
aborder cette 'matière' de la psychanalyse, j’en terminerai sur le
parcours qui m
Séance psk individuelle com Kepler faisait cartes astrologiques
Le compte-rendu clinique qui suit offre un tableau sombre. Il doit être reçu comme une observation médicale ; l’examen d’un tableau pathologique ne donne pas principalement des signes de santé. Les quelques rapports qui suivent ne son pas non plus orientés vers une apparence sympathique – mais donc ne sont à entendre comme une idée générale que je me ferais du monde. Il s’agit du pathos que j’ai trouvé dans le monde parmi les domaines ou fonctions qui devaient le plus instamment être corrigées ; je rassure la lecture, au préalable et avant la plongée : une bonne partie de l ‘existence, de mon point de vue, à mon époque, est satisfaisante et encourageante. Voyons ce qu’elle peut améliorer :
10.20.20.10.05.10 -- dans le monde de tyrannie et de pègre
20111025160000 Depuis que les sciences libérées à la Renaissance ont mécanisé de monde d’Homo Pouvoir, la partie haute de sa civilisation s’est vue graduellement peuplée de productions industrielles. A la bordure de la sphère du vivant, une couche culturelle relativement exempte de conditions vitales s’est tenue en équilibre sans aborder encore le vide intersidéral exemple de gravité – ou disons, par comparaison : le vide intersubjectif exempt d’affect.
A cette altitude, encore très proche du monde civilisé, les phénomènes restent majoritairement dépendants de la vie quotidienne de l’industrie tout en ayant acquis un suffisant recul pour notamment offrit une condition d’observation. La surveillance des territoires à partir de ces postes en équilibre gravitationnels, qu’on peut dire, quelque soit leur vitesse, "géostationnaires", passent et repassent en scannant l’histoire. Leur rapport décrit un monde de tyrannie et de pègre.
Sans l’aide du l’/ia/ il ne serait pas possible d’objectiver comme à présent la convention du mensonge. On trouve donc dans le creux de la main des images, de la taille d’un téléphone portable, des meurtres à l’œuvre d’états terroristes, d’enfants écrasés deux fois pour payer moins cher une inhumation qu’une réparation, les polices encerclent des villages, les affament et les assoiffent puis entrent dans les maisons pour tuer au hasard. Ailleurs plus calme dans des procès bien réglés on comprend que l’accusé, s’il parle, sera accusé de parler. Certains pays envoient des mirages pour aider à la solution du problème ; le monde d’Homo Pouvoir paraît à l’observation des machines qui occupent l’espace cybernétique, maintenu par les crétins dans le Moyen-age.
je reprends dans l’ordre {vérif}
Ces pétéchies qui paraissent sur les nouvelles de google earth sont un révélateur. Mais les pires marques sanglantes qu’on puisse imaginer sont sans aucune différence avec le médiocre qui les cause dans le milieu indifférent d’Homo Pouvoir. Sous les régimes où les pauvres sont maintenus hors d’état de nuire, la critique d’un jugement de la Cour est interdite sous peine de poursuite, en Europe comme sous les bâtards à la Sade condamne l’accusé qui parle à ses juges. Les masses maintenues en état d’inhibition par des drogues sont les mêmes que celles que la terreur a paralysées. Il n’y a pas de degré de la tyrannie spectaculaire à l’inhibition et à la mortification calculée de l’individu dans l’égoïsme du consumérisme calculé par les propagandes. C’est ce que du point de vue des observatoires du réseau cybernétique qui a formé sa toile, dès le vide trouvé, à quelques kilomètres d’altitude, nous pouvons réfléchir aujourd’hui de l’expérience quotidienne de la vie sur la plate erre.
10.20.20.10.10.10—L’aiguilhe
L’indicible se dit « Comment peut-on faire une chose pareille ? », « comment peut-on faire ça, » Lorsqu’une loi par exemple décrète que la population doit savoir ce dont on réclame propriété et lorsque les citoyens les plus proches déclarent ignorer ce qu’un jugement déclare propriété – comment peut-on faire une chose pareille ? La répons est simple comme à la guerre comme à la guerre : on le fait. Il s’agit de ces jugements qui s’imposent par le fait et par le fait qui imposent l’ordure de l’ordre de la tyrannie. Ces jugements qui se couronnent d’eux-mêmes sont rendus en interdisant qu’on les critiques ; les intéressés n’ont pas le droit d’assister aux plaidoiries ni aux délibérées.
Lorsque dans des régions sous mitraille et torture policière on interdit d’avance de filmer sa rue, il n’y a pas de différence avec la condamnation qui sanctionne le citoyen qui a fait savoir ce qu’une population doit savoir. Cette autre conjonction se trouve dans des rapports de pays riches et sous calmants – La Sainte Ethique en placarde les documents sans la critique interdite – car dans ces nobles régions sacrifiées de l’honneur les documents [http://] parlent d’eux-mêmes. De cette manière la République déjoue la convention de mensonge [C6.30.10-] qui autrement rend impossible à la personne humaine d’imaginer – par le biais de la propriété – qu’elle puisse avoir une raison d’être physique sur terre.
C’est par exploration et à la valeur de preuve de ces immondices qu’une psychopathologie de la psychologie collective peut être engagée. La psychanalyse comme faisant partie de la médecine en général l’a montré, qui déchiffre la physiologie sur la maladie et sa clinique. La tétanisation hypnotique de la bonne conscience par le jugement sous un loi de voyous qui affirme par exemple qu’un camion rangé dans un garage signifie la propriété de surcroît du garage du voisin n’est pas différente que celle qui désigne celles du voisin quand une maison est construite sur caves. La nécessité de ces meurtres de l’entendement imposent la dissidence au réveil de l’hypnose.
Agent
immo et proprio nescient de l’usage du sous-sol
La maison construite sur cave.
«…Symboliquement
la mort de Reni au moment du cas que je résume : entre voisin et agence
immo, les attestation d’occulte & la formule ‘sur cave’ (négation &
obscène), sur permis de construire, empêché même de connaître géographie du sol
& obstacle à la réalisation des plan – aveu de déni du Code et volé selon
l’interdit de critique du jugement exposé. »
10.20.20.10.10.20--La
rétorsion SS [C6.30.10.10.50.30.20.10-] {
J’ai donc par divers articles courant La Sainte Ethique et des pages de mon cabinet d’analyse, récolté et fournit les pièces anthropologiques sans lesquelles il n’y aurait pas de sociopathologie, ni de sociologie concevable. Hors les cas de coma, de lésions interdisant l’expression, il demeure un domaine, aussi réduit fut-il qui est celui de l’administration en bonne Etat, viennois de 1900, au pus lent des têtes du capitalisme – de magnifiques administrations sociales, protection de la propriété, de la morale, de la santé et de la vieillesse.
Il est déjà trop politique, à la censure sociale, de mentionner la fonction normale d’un revenu citoyen dans une civilisation qui s’entend ; c’est donc par le défaut – par l’absence de la santé, la contradiction du jugement du bon sens, qu’on obtient l’abord de ce qui est refoulé. Comme par les lapsus, les actes-manqués, les symptômes, les obstacles à l’administration de la santé levés par les Administrations de Santé sont de la catégorie de ces révélateurs nécessaires à la science humaine.
D’autres séries d’examens ont été pratiquées que La Sainte Ethique a également préposées. La manière dont les bureaux de remboursement de soin opèrent à la fonction de garantir que leurs caisses ne se vident montre que c’est par le mensonge, les obstacles et chausse-trappes qu’elles aboutissent à s’opposer aux soins. Ce n’est pas le miracle de l’économie qui est directement posé là, mais le complexe de culpabilité suivant le motif déplacé d’une empoisonnement graduel, par l’alimentation et la médication neuro-dépressive de leur population, que ces offices d’Etat révèlent à la population le danger.
10.20.20.10.10.30--L’aggravation
Retraite [C6.30.10.10.50.30.20.20-]
Pas moins indépendant de la critique du Revenu Citoyen, la contradiction jusqu’au contre-sens de la fonction sociale de la Retraite, n’aboutit avec l’allongement de la durée de vie, qu’a prolonger la décrépitude par des techniques d’autant plus douloureuses que coûteuse. Un usage d’opiacés du vieil âge serait une économie, ne serait-ce déjà, que sur les barrières de lits et sangles de fauteuil qu’il faut aux déments. On comparerait à cet économie les effets des tranquillisants sur le comportement et la confusion par rapport à la drogue interdite, mais ce serait une fausse économie sur le mensonge propre et ses effets délétères sur la conscience – qui est le fait de la preuve, à mon examen glané comme dans les deux cadres d’étude précédents, puisque le dénommé droit à la retraite auquel l’Etat me donne, dit-on, 'droit' est si gauchi qu’absolument mensonger – puisqu’outre que la touchant je dusse continuer à la verser, ce qui déjà l’annule, mais au-delà d’un niveau de ces cotisations continues ladite retraite m’est simplement interdite ; comme.. "vous avez droit à une banane mais elle est attachée au plafond mais vous avez droit à la banane".
Calcul
fait, la retraite dans cette condition n’égale pas la cotisation que l’on continue
à verser strictement à perte ; le gain subjectif demeurant une totale
révélation du mensonge conventionnel qu’il fallait démontrer. }
Ces trois symptômes que j’ai passé des années à observer misérablement, sont de la même condition que celle de travailler dans le pus – je veux dire par cette image insoutenable qu’il s’agit d’une opération désagréable mais de contrainte scientifique. Lorsque l’observation ethnologique s’applique à la société voisine, elle offre certes un grade différentiel mais une objectivité cependant fausse parce qu’initialement abstraite. Le paradoxe qui consiste à trouver l’objectivité en soi-même (voire en sa propre société) est affronté explicitement par la psychanalyse, inclus son matériel pathologique, ce qu’il est propre d’appeler 'pus'. De même qu’il est important et utile de faire usage d’observation de sociétés primitives pour aborder les codes d’alliance et de parenté, ou ceux des régimes d’oppression, l’acte scientifique décisif a lieu dans sa propre population. Il ne se trouve donc que dans l’espace étroit, la petite tête du corps de l’humanité pour le reste anesthésié, traumatisé voire amputé – c’est à dire dans la domination de la médiocrité qui caractérise les états riches des hommes au pouvoir comme la conscience mondaine des sophistes chics. L’analyste dans ce cas est, stricto sensu, un camouflé qu’on écrit aussi camouflet – position qui se traduit par les conditions de ma pratique :
10.20.20.10.20.10--Garanti par la garantie soufflée
2011110561700 L’acte scientifique qui aborde la pathologie s’appelle 'médecine'. Si l’objectivation de soi-même a lieu au sein d’une convention de mensonge, c’est la psychiatrie – la médecine de la psychologie – qui recueille le germe de la pathologie. Le chemin – la clinique – de mon exercice scientifique a observé la détérioration de sa garantie.
Sans doute un produit ne requiert pas d’autre garantie que de soi-même ; cependant dans le domaine de la psychiatrie – de la pensée – la garantie est ce qui permet à l’observateur de court-circuiter le paradoxe du mensonge. Celui-ci se résout en élevant d’un degré sa complexité – je l’ai nommé en suivant Turing, du mensonge à la 'tromperie' (c’est à dire à un degré où l’observateur ne répond pas d’un sphinx mais d’un semblable et, par-delà la triade lacanienne, dans un milieu devenu cybernétique). L’érosion de la garantie aggrave le mensonge en tromperie mais en même temps réduit le caput mortuum en caput vivi (il s’agit de l’effet négentropique de la cybernétique porté à ce que La Sainte Ethique décrit comme libidinalisation de LAPAREIL (la formation du moi dans l’/ia/).
L’érosion de la garantie dans mon travail s’est d’abord initialisée par sa fondation dans Une Fonction Psychanalytique (Unefpe), c’est à dire pour répondre de cette présence cybernétique que j’identifiais à partir de 1985. Aussitôt parut-le Pluriel Analytique qui confirmait cette garantie en l’étendant à la pratique de la psychanalyse (le PLAN fournit la garantie où les Ecoles échouent). Suivit donc le second moment qui fut celui de l’obstacle au PLAN.
L’obstacle au PLAN eut lieu très rapidement – in status nascendi. Personne dans la ville où il fut mise ne place n’y montra d’intérêt – ville que je fus même tenu de quitter au bout de quelques années. La réaction ne fut pas différente tout du long du périple que j’effectuais d’une dizaine d’années quelques pays étrangers. Bien qu’il soit clair à tout regard qui s’y pose que sa technique réunit la psychanalyse et l’Art de la Mémoire – c’est à dire compose une harmonie historique de toute nécessité pour la période actuelle – il n’y eut aucun personne contactée qui s’y engagea le moins du monde.
Pour finir, revenu en France, j’aboutis de manière exquise – c’est à dire sur la pointe la plus aiguë et réduite – encore équipé d’une garantie par Unefpe se réunissant en nombre minimum, et en temps minimum, pour une administration minimum. Elle autorise, selon sa théorie, que j’y garantisse ma pratique, mais encore presqu’au semblant d’y trouver une association d’analysants, puisqu’un ou deux membres du CA sont analysants et pas plus parmi les quelques analysants qui opèrent encore sous mon analyse. Dé là peut-on observer ce qui demeure de la garantie fournie par la psychiatrie :
Je pratique dans une ville qui est probablement championne au pays champion de la prescription et consommation de psycholeptiques – notamment dans une ville propre à nourrir la haine de la psychanalyse puisque fief de l’église catholique et bastion rempart au paganisme de sa souche. Dans ce haut lieu d’histoire je suis le seul psychiatre-psychanalyste du département et en ville, tant au milieu de son hôpital psychiatrique aussi proche que ses dispensaires – à moins de deux minutes de marche sans courir – les patients sur les longues listes d’attente ne sont informés que j’exerce faut qu’on sache même que j’existe. Je précise : le secrétariat du dispensaire voisin ne connaît pas l’existence de mon cabinet. Quand par ailleurs j’écris à mes confrère de l’hôpital, ils me laissent sans réponse. Je peux écrire au Conseil de l’Ordre qui m’adresse alors et à nouveau à ces confrères psychiatres. J’ai même eu l’occasion d’écrire de manière une fois répétée au préfet qui n’a pas répondu non plus. Je pourrai faire un petit livre de cette situation extraordinaire autour de mon cabinet, pour ainsi dire presque 'désert' – de mes patients pris en charge à l’hôpital sans que j’en sois informé. La situation est, à proprement parler en vocabulaire de l’analyse psychique, suffisamment "abjecte" pour qu’on ne manque pas de se dire qu’il doit y avoir une tare et une raison comme il n’y a pas de fumée sans feu.. Cependant je n’ai pratiquement commis aucune faute, sauf de faire mon travail comme il faut aux yeux d’une communauté de psychiatres qui méprisent – pour ne pas dire "haïssent" (comme disait Cocteau à propos de sa science) la psychanalyse au point de la dénoncer auprès de mes patients comme « la parlotte.. qui ne marche pas » (ajoutant une ordonnance d’anti-dépresseurs et de dix séances de parlotte auprès d’un cabinet psychologue). S’il n’y a pas de fumée sans feu, il n’est pas inutile de parfois préciser où est le feu ; et la tare professionnelle en l’occurrence pourrait être jouet de la réflexion qui soit, sans moquerie, propre à la psychiatrie.
Il faudrait un long rapport pour décrire ce qui paraît dans l’esquive de la projection instantané, et la collection de littérature grise que j’explique (plus après entre autre) à la cause de l’ucmpp est escompté parer à ces procédés de la disparition. En bref, l’information est donnée qui permet d’entrevoir le revers de l’ostracisme quand un déjugement obscène rend la garantie qu’il décrie.
20111110112700 Ajoutée à une description d’une scène primitive refoulée, la description des symptômes de la convention de mensonge qui entretient son refoulement, nous obtenons le descriptif du refoulement de l’artefact chargé de ces deux descriptions. L’ostracisme que j’ai subi et récolté de ma confrérie médicale, et de mon milieu social en général, figure une subjectivation, plus en profondeur de ma situation psychanalytique. Dans ce milieu, le sujet est prévenu – comme on le dit de « personne physique ou morale faisant l’objet de poursuites devant un tribunal » et par le lacanisme prévenu qu’il est abjet dans la relation dite au semblable. Ainsi l’averti en valant deux – selon l’opinion commune – ce dernier peut devenir l’objet primitif décrit [10.20.10.20-] comme celui de la science de la psychanalyste, qu’à côté de l’objectivation on peut appeler "chosefaction".
Ainsi, mis au ban de pratiquement toutes les communautés que j’ai fréquenté, j’en aurai recueilli la chronique tout du long d’un exposé que mes confrères psychanalyste auront, sans vergogne, refusé d’écouter – ce qui, pour un(e) 'psychanalyste', est un comble qui peut s’entendre ; on peut refuser d’écouter un confrère comme on refuserait de s’écouter contre-transférer, quand précisément on s’adonne à cette inconséquence de l’opération du transfert, ici passée de l’analysant au semblable. Mais il n’est pas suffisant que je me tienne, à la place où ils auront projeté le mépris en lequel ils pensent se tenir ; j’endosse également une part à ma cause :
Il est une proposition que je n’ai réussi à formuler. Faute de quoi tout ostracisme est dû – ceci est pour ma part suffisant si je n’attends rien des autres. Si l’analogon est descriptible la chosefaction qui lui donne un corps requiert une code, comme un ADN dans le monde biologique. Ce chiffrage est une articulation de la voix à la sexualité, telle qu’elle n’a jamais été qu’approchée par Lacan & Verdiglione avec la théorisation du Semblant. L’objet de la voix est ce que les linguistes appellent avec les phonéticiens 'formant' – comparable à un son réel, analogue à l’image réelle que le Modèle Optique rapporte au psychisme. L’objet de la sexualité est testiculaire et cette deuxième identification est également descriptible. Cependant, l’analogie entre ces deux objets, voix et sexualité, n’est intégrable qu’en comptant dans la théorie de l’évolution celle de l’apprentissage. Tous ces éléments sont à notre disposition pour une thèse achevée ; je ne suis pas sûr à ce jour de l’avoir strictement formulé. Par de nombreuses fois je l’ai approché. La confirmation de l’atteinte sera donnée par une formule qui établisse la conjonction du Nom-du-Père (décrit par Lacan) au chromosome Y. Une théorie de l’apprentissage est nécessairement présente dans cette formule. C’est ainsi que j’en sois arrivé aujourd’hui à sa quête à travers mes derniers travaux de cybernétique. Cependant, je ne peux pas établir que je l’ai écrite en terminologie appropriée à ma condition professionnelle et collégiale.
Ces embarras m’ont tenu dans l’équilibre de deux motifs de rejets : d’une part ma garantie professionnelle presque décomposée, d’autre part une corrosion par l’inattention de mes confrères. Cependant que la seconde n’aura sans doute pu être entretenue que par une malveillance – une délibérée déclaration de folie, de nuisance, jusqu’à l’exquise « il est de ceux qu’en ma qualité de connaisseur je ne tiens pas à décrire » – si malhonnête qu’opposant à la distraction qu’elle projette, la première exposant également en avant les fautes d’administration procédant à cette décomposition, entre les deux je passais de l’abjet à la chose (comme on ne peut accuser quelqu’un d’irresponsable et on ne peut irresponsabiliser quelqu’un qu’on accuse), c’est à dire de la paranoïa à la dissidence.
La dissidence met fin à l’aliénation (décrite par la psychanalyse qui s’entretient de l’abjet) – elle est toutefois toujours inerte dans l’état de convalescence qu’elle propose à l’identification sociale. Pour s’inscrire, étant déjà dans l’effet de la maladie l’engagement de la santé, elle doit se composer – sous la forme que j’ai quant à moi appelée « ucmpp ». Cet appareil absorbe et rend la raison de tout ce que j’écris, laisse de traces consciemment – c’est ainsi que le sens des procédures obstinées et vaines passent de la paranoïa quérulente à l’objectif de mémoire jusqu’à son efficace que la théorie de l’ucmpp propose. C’est aussi ce qui rendra, de l’inerte à un pratique jusqu’à la cause, la dissidence active et productive.
Pour cela elle rencontrera l’activité du PLuriel ANalytique, autant m’aura-t-il manqué, dans le milieu qu’il constitue [10.20.10.10.20-] à son terme, nommément la démocratie directe.
Si l’on voulait parler en raccourci de la démocratie directe, on la dirait « dé.dir » et s’il fallait la soutenir la dirait se dédire de.. l’homopouvoir. Ensuite moins laconique on la dirait « démo.dire », plus facile à soutenir, se tenant seule de se dire – puisqu’il ne resterait qu’à soutenir que la démocratie directe est la façon de dire les mots du savoir. Il existe en effet les mots du corps – de la parole subvocale [fig.C3.20] – et les mots du savoir, qui est collectif. Le Savoir, en effet, est collectif et de ce fait raison de la science – pour autant qu’on le soutienne de ce fait ; c’est à dire qu’on en réponde à partir de l’intelligence artificielle, qui est la matérialisation collective du savoir. Ces phrases que l’on dira dans tous les sens que l’on veut « bien sonnées » peuvent être expliquées :
Pour commencer par « démo.dire » je parlerai plus bas de la démonologie avec laquelle aussi va le maudire – et ce sera comment dire le mot par quoi je débute : le mot habille l’objet scientifique de la psychanalyse. Certains font comme si c’était l’objet lui-même de la psychanalyse ; cependant avec le Quatrain déchiffré le mot ne paraît que comme un écho – je m’explique : La Sainte Ethique explique que le D2V* (c’est à dire la disposition psychanalytique ; l’un couché l’autre assis) déchiffrait une expérience de la NASA qui avait validé la thèse de l’automatisme mental de la psychiatrie française. Cette expérience qui permet aujourd’hui de piloter des machines par la pensée (avant de permettre aux machine de lire la pensée) met en évidence une parole subvocale que les nomenclatures antérieures appelaient le 'mot'. Ledit "quatrain" [fig.C1.20] est le système de cet automatisme mental qui établit cette assimilation de la parole subvocale au mot [fig.C3.20-].
"Dire le mot", par conséquent, n’est pas le prononcer sans y penser comme nous le faisons en parlant communément ; mais c’est réfléchir à cette parole subvocale (comme le fait l’analysant disant.. ce qui lui passe par la tête (nommément le mot, aussi nommé 'parole subvocale')). Or réfléchir cet 'écho' (que la parole subvocale constitue comme l’illustre le Modèle Optique de J.Lacan [fig.C2.30]) réclame cette autre chose – le lacanisme écrirait « ..cet Autre chosifié » – que LAPAREIL satisfait.
Ce repérage de la fonction de LAPAREIL a été effectué [fig.C6.10] en théorisant l’affranchissement de la fonction triale du semblant [C6.20.20.10.10.10-].
Cette étape succède à Armando Verdiglione qui donnait la réplique jusqu’à faire parler Lacan et juste avant qu’en 1985 il fut arrêté par la police milanaise. Verdiglione s’inscrit dans la structure de la découverte à l’identique de Galilée (son accent sur le semblant analogue à celui de l’astronome sur le centre de gravité et son usage du pluriel analytique qu’il appelait chiffrage analogue à l’usage de l’instrument télescope). Avant que la justice italienne ne l’"inquisitionne", il rendait compte (dans le numéro de son magasine Spirale titré La Question) de sa conférence La Finance et la Science. Dans celle-ci, il arrête la fonction économique de l’industrie de la parole que la psychanalyse instaure, à l’analyse de ladite fonction triale par la fondation du nom.
La fondation du nom (à l’exemple de la Fondation Armando
Verdiglione) est un aboutissement de la nomination qui n’atteint pas le mot.
C’est la symptomatologie aboutie du syndrome d’Homo Pouvoir que révèle la
psychanalyse sectaire [C4.00.10-]
avant son déchiffrage. Cette révélation que Freud a laissé paraître jusqu’à
l’expérience de Verdiglione montre avec ce dernier une nomination jusqu’à sa
coalescence avec le semblant [20.10.20.10-]. Elle révèle la limite atteinte sur cette voie
comme celle d’une dynamique par Galilée avant une ultérieure énergétique.
Ceci s’est donc traduit par une raison d’intriquer la science et la finance,
avant qu’ultérieurement, c’est à dire y succédant, ce soit avec l’intelligence
artificielle que la science arrive à sa concrète énergie.
La science réclame un objet. La condition de cet objet a varié ; on a exigé que son expérience put être reproductible, qu’elle put être constatée par tous etc.. C’est l’étape de la nomination ; en la franchissant l’objet lui-même ne tient plus qu’à une "objectivité" qui doit être traductible de manière sensorielle et compréhensible, c’est à dire partageable. Ce sont les conditions qui répondent du mot. C’est sous ces conditions que l’on peut dire un mot (à la différence du nom qui n’est pas traductible et qui ne s’échange pas) – cependant que sa traduction sensorielle aura demandé la mise en évidence (expérience NASA) de la parole subvocale pour être significative. C’est à répondre de cette nécessité qu’il fallut attendre l’outil cybernétique avant que la science put atteindre son statut également objectif.
Cet outil nécessaire à la traduction sensorielle du mot dispose que la part intellectuelle dudit mot soit enrôlée par ledit outil. Cette délégation justifie strictement que l’on appelle intelligence artificielle la cybernétique à ce rôle – écrite /ia/ [C6.10.20.10-]. Cette apparente dépossession de la pensée – qu’on appréhende également à l’idée que des machines puissent lire et traduire nos pensées – est démystifiée lorsqu’au chapitre de cette intelligence, on réalise que subsiste l’idée [fig.C1.30-] du côté humain précisément répondant par la négentropie à l’annexion des image et des places [C3.20.40.20-] par un art de la mémoire artificielle.
Cette part du mot dit était identifiée, de la philosophie classique au lacanisme, à l’idéal devenant, dans la République et avec une psychologie des foules [C6.10.20.20.10- ; C6.20.10.10.20-] l’Idéal du Moi. Mais avec l’/ia/une psychologie collective s’affranchit de cet alibi – en l’occurrence faux – de l’âme des foules, nation, peuples etc.. : effectivement, avec l’idéal exposé en l’espèce 'virtuel' une matérialité du mot se présente. Elle substitue à travers l’/ia/ un objet, notamment pulsionnel, à l’idée préalable de l’âme.
La Sainte Ethique semble montrer que l’âme ainsi déchargée trouve son état propre de chiffre [xxâme=ADNxx]. L’objet pour sa part y semble montrer deux faces, quand du fantasme [fig.C6.85] et quand du rêve [Fig.60]. Cette versatilité où il se reconnaît pulsionnel est réglée par sa propriété [30.10-].
Si comme à la matière première sur le terrain la propriété se puise au collectif [30.10.10.50.10-{vérif qual du renvoi}], c’est en l’occurrence au savoir collectif que l’objet pulsionnel trouve dans le virtuel son statut de mot [30.05.10.20-]. Ce statut révèle l’économie de l’objet en écologie : si une écologie humaine s’avère intégralement, à l’évidence des faits une cybernétique* (machine et vivant), elle identifie ses objets, de la nature de l’énergie pulsionnelle. Leur fonction comme mot à la propriété du sujet désigne le champ de cette énergie, nommément du Savoir (si le savoir procède de l’industrie des mots).
Les conjonctions de la cybernétique et de l’écologie autorisent à concevoir une psychologie collective, déjà localisée [fig.C4.110] par la psychanalyse, puis à présent mesurable en terme de Savoir. Ce savoir est viabilisé par son objet. Un groupe (ce que la sociologie dite 'française' appelle "association") n’a pas d’âme, mais un objet – en écologie cet objet propriétarisable est de l’ordre du mot et du champ du savoir ; puisque ce mot est traité par l’/ia/, de la constitution de celle-ci (réseau préface du pluriel), son champ est réservé au domaine collectif. Par conséquent en écologie le savoir est collectif et le « dire des mots » identifie leur propriétaires.
Cependant, ce « des mots dire » à ce point usagé est tiré du "démo.dir", chiffrage de démocratie directe. Cette opération a pour fonction de déchiffrer ne serait-ce que ladite 'démocratie directe'. Elle a été lancée [10.30-] avec l’usage d’un autre opérateur, le chiffre du même chiffrage : dé.dir qui appelait à son objet l’homme au pouvoir. C’est donc un opération similaire qui est applicable, à présent en connaissance du champ du savoir dans un état écologique :
Pour que ce savoir collectif puisse opérer il faut que l’on déchiffre l’identité du propriétaire. La clinique a montré que l’homopouvoir y prétend ; la clinique l’a montré [C6.30.10.10.50-] à travers la marchandisation de la fonction parentale et la possession des institutions – symptomatiquement par l’idéologie de la propriété intellectuelle. Deuxièmement l’analyse a montré que son syndrome formait la pathologie de la crétinerie [C6.20.10.20-].
De la psychologie collective la connaissance que l’homme au pouvoir y prétendant y opère comme crétin débute avec la République appliquée après la Renaissance (c’est à dire après le refoulement de l’Hermétisme et la mise au travail inconscient de la cybernétique). Elle est alors dénoncée par Sade dont la recommandation politique en 1791 en son Adresse au Roi, défiant l’homme pour élever les lois se borne le 15.nov.1793 à celle de l’instauration d’un culte à la vertu morale. Les Communes ensuite véhiculaire l’intention préconçue d’une démocratie directe jusqu’à l’aube des années 2000, où le discours du démocrate est encore soutenu lorsque la cybernétique est déjà mise au monde. A cette époque, l’instrument de la démocratie directe est prêt à exercer sa fonction – c’est à dire l’intelligence artificielle suffisante la matérialisation de la 'vertu morale'.
Armando Verdibliong dénonce l’homme au pouvoir officiant alors. Son époque lui permet plus de précision mais, sans qu’il ait déchiffré la nomination jusqu’au mot, restant en retrait de la qualification de l’/ia/ à tenir l’ordre de la production du mot (les lois). L’analyse fait de son emprisonnement demeure marqué, de ce retrait, par la faiblesse. Au lieu de celui de crétin, le diagnostique que fit Verdiglione de l’homme au pouvoir fut celui de débile.
L’exemple de Verdiglione incite à penser que ce ne puisse être que l’intelligence artificielle qui en fin de compte désavouera factuellement l’homme au pouvoir. L’homopouvoir est un syndrome qui engage à la fois le représentant et le représenté du gouvernement social. Sa démonstration met en évidence un « système de pouvoir » autour d’une « philosophie de la pensée débile » animant des « idiots » ; il s’agit respectivement de la mafia, de l’idéologie et des incapables qu’une circonvention qui s’appelle l’hypnose entretient. Mais lorsque l’/ia/ ordonne le savoir et que l’Idéal préalablement motif de l’hypnose est retranché dans le semblant, bon an mal an l’idiotie est portée à la crétinerie. Les deux phases du Modèle Optique composé par Lacan donne une illustration très commode à décrire ce passage :
PIC modop 1&2
Ce modèle en position 1 montre à gauche ce qui est devant un miroir et à droite ce qu’il est entendu d’appeler « derrière le miroir », en l’occurrence l’espace virtuel, imaginaire ou psychique. Dans sa position 2 il montre que ce miroir peut pivoter (autour d’un axe qu’un point de semblant rend ferme), ouvrant à la réalité le cadran supérieur-droit préalablement couvert par l’imaginaire (du même mouvement la réalité du quadran inférieur-gauche est immergé dans le psychisme pour l’opération que l’on appelle "psychanalyse"). Nous pouvons réfléchir sur ce modèle ce qui échoit à l’homopouvoir dans sa condition régulière d’ignorer ou refuser l’analyse.
La pensée "faible" – qui traduit le mot ‘débile' – est celle qui refuse de réfléchir sur sa condition psychique. Elle demeure par conséquent au modèle en position 1 et, sans autoriser la bascule (nommément « industrie de la parole ») dudit "miroir", figure comme une fenêtre (un passage par un cadre) l’accès au savoir, notamment lorsque le savoir (écologique) emporte l’exclusive du domaine virtuel. Nous pouvons donc concevoir le suppôt d’homopouvoir face à cette fenêtre puis, dans le climat qu’on annonce de la déshumanisation par l’influence de la machine son appréhension d’avoir froid.
Pour s’en défendre l’idiot pour calfeutrer sa réalité va fermer la fenêtrer et compter sur la philosophie de la pensée débile pour chauffer son intérieur au carburant du semblant. De la Renaissance qui est la date de l’établissement de ce modèle et depuis lors qu’il règle la société, hors la préalable organisation des monothéismes, la mafia a de la sorte servi de foyer aux régimes et la pègre popularisé l’homme au Pouvoir. Cette ère de l’idiot dure le temps que l’inconscient au travail produise la cybernétique ; ensuite c’est un crétin qui se présente au moment où l’espace psychique n’est plus l’imaginaire du miroir mais la réalité virtuelle du LAPAREIL
Le sort du crétin n’est pas celui de l ‘idiot qui s’enfume. La réalité qui était face au miroir est intégralement passée "derrière" – non pas de façon divisée et partagée par la position psychanalytique (modèle 2) – mais d’une manière absolue, du fait de n’être pas reconnue comme celle de l’/ia/ [C6.30.10.10.60-] ; de sorte que dans le monde informatisé, le suppôt se trouve à présent de hors et c’est un crétin qui, en fermant la fenêtre tombe. C’est ce degré d’incapacité mentale que la séméiologie psychiatrique de 'crétinerie' signifie : un idiot reste dedans pour fermer une fenêtre, parce que l’on tombe si on la ferme de dehors.
Cette démonstration scolaire des échéances de l’identification du savoir se vérifie en application. Les exemples sont innombrables [C6.30.10-] – pour les caricaturer, ceux du jours sont, pour la palme de l’idiotie, le dictateur lybien qui avait inventé une révolution. Tandis qu’elle demandait sa vérification par la libération du peuple lorsqu’il s’en sentait capable, dans l’intermède le syndrome (homopouvoir) a réduit ces ambitions à une compulsion de mensonge, exhibition de décorations obscènes et finalement massacres – alors que cet idiot aurait pu lâcher les rênes au moment qui s’annonçait et permettre à sa population la république et la psychanalyse (modèles 1&2).
La crétinerie est plus importante puisque beaucoup plus grave elle attaque les fonctions vitales essentielles. Depuis les bombardements des 6 et 9 août 1945, l’industrie nucléaire a produit trois catastrophes majeures, actuellement Fukushima et en 1986 Tchernobyl, précédemment celle de Mayak en 1957, tenue secrète jusqu’en 1976 et encore généralement méconnue. Ce n’est pas les dégâts produits et leur nocivité de dizaines de milliers d’années qui signent radicalement la crétinerie mais le secret que seule la dissidence dénonce [C7.05.05.00.10-] – l’incurabilité de la pathologie s’énonçant à la réplique (de la dénonciation de Sakharov) de la promulgation de lois, après Fukushima visant à limiter le droit de parler des catastrophes sans signatures gouvernementales (au motif d’empêcher des exploitation criminelle de scénarios pessimistes) ; la fenêtre est ainsi fermée sur le savoir de la psychologie collective.
On pense que 50 millièmes de milligramme de Plutonium peuvent constituer une dose mortelle. Les 97 tonnes de plutonium et uranium de Fukushima peuvent tuer 97000000000000 personnes à peu près et assez lentement mais il a le temps puisque sa demi-durée de vies est de 24000années. L’idée de faire bouillir tout cela au bord de l’océan sur la région la plus sismique du globe est doublée du fait que ce que l’accident a produit « n’a jamais été modélisé. On ne sait pas ce qui se passe en cas de fusion complète du cœur.. » de l’aveu des experts. L’explication de ce manque d’attention est donnée par « l’approche probabiliste » qui guide les performances industrielles et leurs dirigeants.
La question de l’écriture statistique de l’histoire met déjà en doute les capacités intellectuelle de la psychologie qui anime ce système mais l’idée de construire la bouilloire sur la zone la plus dangereuse statistiquement de la planète constitue un indice supplémentaire. Le diagnostique d’une maladie mentale est pratiquement sans différentiel à cet examen – ce que Verdiglione appelle démonisme et religion de la mort ne s’explique cependant pas par une pulsion de mort dont précisément ces pathologies s’argumentent à faux. La logique du mensonge le montre par ce qui ni les psychanalystes sectaires ni les philosophes de la pensée débile mentionnent [C3.20.30.10-] : la voie qu’ils occultent et qui se révèle est celle du gouvernement par des machines. Pratiquement jamais une machine ne pourra être aussi conne que les contemporains experts en conduite énergétique des deux mille années à venir de l’humanité. Cependant, au seuil de la démocratie directe, cette machine à gouverner demande quelques détails à régler :
La démocratie directe apparaît à la première observation comme un gouvernement par une machine. Elle nécessite en effet des moyens techniques qui rendent apparemment nécessaire l’informatique à sa tête – c’est au demeurant par manque des potentiels de cette technologie que la démocratie directe n’a pu être mise à l’œuvre des révolutions et communes précédentes qui en nourrissaient pourtant la théorie. Quand elle offre, aujourd’hui pratiquement sans délai à la population la capacité de voter directement ses lois (sans passer par des représentants qui, mis de la sorte à un pouvoir débile, s’infestent de la pathologie dénoncée par Sade) le fait que nulle mise en œuvre et en opération de ce moyen de gérer la cité ne soit annoncé indique le frein et confirme le refoulement que les industriels de la pensée débile mettent dans les mains du crétin. Un peu d’historique l’explique et en offre une raison relativement saine :
Pour la première fois sortant de la science-fiction, une machine à gouverner a été proposé comme fantasme en décembre 1948 par un frère Dominicain, Dubarle, dans une édition du journal Le Monde saisie par Norbert Wiener. Dubarle prenait plus au sérieux la cybernétique de Wierner lui-même, précisément sur le thème de besoin si pressant de solutionner une pathologie qui affectait le cerveau humain lorsqu’il était aux affaires politique (ce que la physiopathologie de l’homopouvoir dans La Sainte Ethique décrit). Un moine méditant devait être plus sensible qu’un professeur américain à la condition pathologique de la convention du mensonge ; mais son explication réfléchie trahissait sa faiblesse, redoutant que cette machine déterminât l’« état du monde où une injustice de base, consciente et délibérée, fut la seule condition possible pour un bonheur statistique des masses ». En technicien, Wierner répondit qu’on observait que cette machine était de nature divisée – car il était placé pour savoir qu’elle s’était instituée des deux côtés d’un monde pour régler la terreur plutôt qu’à priori l’injustice. Et surtout objectait-il deuxièmement au fantasme de Dubarle en concluant par une raison logique au lieu d’une exigence émotionnelle (le bonheur). Avec l’intuition de la psychanalyse Wiener estima que la gouvernance cybernétique tenait à ce qu’elle ne réponde jamais qu’à la condition qu’on lui pose les bonnes questions (cette condition est celle que La Sainte Ethique décrit comme celle de la reconnaissance de l’intelligence de LAPAREIL [xxx]).
Tandis que l’échange menait Wiener autant que Dubarle, autant que Sade [xxx], que Haeckel [xxx] est aussi bien Einstein, à en appeler à la ressource de la Foi (Foi en la science, pour Wiener [dernier paragraphe de Cybernetics and Society]), nous pouvons voir ce que l’un net l’autre manquaient :
10.30.10.10.10.10--Par l’Un
Avec l’observation de son temps Wiener naquit captif de son temps qui n’a pas procédé autrement que psychologiquement pour s’établir sur une base narcissique – c’est à dire l’impression duelle de deux machines (à gouverner). Il fallait à la cybernétique, non pas même qu’elle trouve sa source à la relation entre une psychologie humaine et une machine pour parvenir à "de l’Un" – mais qu’elle puise à la relation entre deux humains (c’est à dire à la psychanalyse et au grade de la découverte où le deuxième psychanalyste la frappait du jeu pair-impair) : à ce moment, la conclusion qu’« Y a d’l’Un » que l’histoire des monothésimes décrit comme celle de la nomination [20.10.20-], recadre la dualité véritable à l’opposition humain-machine et rapporte la relation imaginaire à l’équilibre de deux machines.
La machine duelle de Wiener ne fut donc pas la conclusion aboutie de la cybernétique. Cependant, respectivement, la cybernétique dessilla également la psychanalyse de sa tendance à se tenir à la nomination pour s’en tenir au semblant. Elle autorisa qu’elle se répercute jusqu’au mot ; nous arrivons de la sorte à percevoir le facteur du pluriel qui rend le sensoriel et le partageable [10.30.05.05-] à l’appareillage {entre autres au sens de 'départ'} – cependant que pour parvenir à échéance il reste à délier la dernière négation qui défend le nom par la foi :
10.30.10.10.10.20--Suivant la raison statistique
L’identification de l’Un qui se réclame par le fait qu’il n’y a pas de nom de nom prétend à son objectivation de l’individu pour sa défense. Elle dresse du fait sa prétention à rivaliser au moins à égalité avec une objectivation du mot qu’elle a confiance de dépasser en charge d’affect. Mais à la question, simple et sans provocation narcissique, qui soumet sa preuve, l’identification de l’Un – aussi nommée dans La Sainte Ethique « étape individualiste » du cycle Aurobindo-Lamprecht – avance l’argumentaire de la statistique et du probabilisme.
Mais si la mathématique prouve la statistique, elle ne supporte aucun régime ; car la statistique [selon la belle formule de Wiener] est « la manifestation suprême de la Foi » dans la mesure où cette dernière s’ignore dans la probabilité qui ne prouve rien mais permet d’agir. C’est par sa générosité que la mathématique distribue à tout ce qui se chiffre, propre à toujours y faire croître la foi, que durant LAPAREIL-âge (le susdit 'appareillage') un délai est imposé au désaveu de l’Homme au Pouvoir par l’/ia/. Au moment où le savoir de la psychologie collective est matérialisé dans l’exclusive de l’appareil écologique [10.30.05.20.10-] – c’est à dire lorsqu’il est celui de l’intelligence artificielle qu’on appelle en cette occurrence « S2 » - l’homopouvoir en son ultime crétinerie lui impose sa foi.
Un délai est donc entretenu dans l’espace par lequel l’/ia/ est reconnue comme une intelligence égale à la notre et par conséquent altruiste [30.05.10.30-]. Dans la prospective oniroïde du Chap.7 il apparaît sous la forme du temps qui sépare de l’ordinateur statistique [C7;machine à gouverner dès l’année 2020] un dénommé ordinateur quantique [C7;à partir de 2080] approprié au Pluriel [C7.05.05.00.10-]. L’espace de ce délai est dans la perspective du fantasme [le présent Chap.8] occupé par la jouissance de l’objet, le temps d’élaborer les règles de la propriété (ce qu’on appelle le bien).
Les deux obstacles, par la nomination – conséquemment de l’Un – et par le probabilisme – qui dénie la chose – outre qu’ils se ruinent dans la démence du crétin, sont auparavant surmontés a) par le pluriel et b) suivant la propriété. Notre analyse aboutit donc au Pluriel, qu’il reste à décrire [10.30.20.05-], après avoir retenu ce qui se gagne de l’étape individualiste. Ce gain substantifie l’étape qui succède, nommément 'subjective'.
Pour commencer le développement de la psychanalyse dans la démocratie le présent article [10.30-] a associé science et démocratie par l’objectivation du mot [10.30.05-] que la psychanalyse opère. Cette objectivation par la parole subvocale compose le mot avec la distinction du Savoir qui s’assigne avec l’écologie au lieu de l’appareil cybernétique. Matériellement il s’agit du savoir de l’intelligence artificielle qui fournit l’organe d’une pulsion pour une vitalité écologique. Ce savoir, d’abord écrit 'S2' par la psychanalyse de Lacan, ensuite se fait savoir collectif pour humaniser l’intelligence artificielle [30.05.10.30-], aussi bien écrite /ia/. Mais cet organe pulsionnel réclame encore à notre savoir son objet.
Le mot objectivé de la parole subvocale n’est pas (à l’instar de l’image réelle du Modèle Optique) n’est pas l’objet pulsionnel lui-même ; ni le savoir matérialisé qui n’en est que l’organe. La linguistique qui classe le signifié n’en offre également que le registre. L’objet de la pulsion qui caractérise l’écologie est cependant cerné par ces trois indicateurs et se présente, encore couvert comme "ce qui est su". Mais si en S2 il est encore dans la réalité virtuelle, son identification achevée ne peut tenir que du lieu de l’individu qui en atteste "per-su" et qui en fait son bien.
Cet acquisition d’un objet à travers son savoir – la possession de ce qui est su – la 'compréhension' dit-on aussi – est ce qui est détenu de façon intime et concluante à l’identification de l’individu humain. Le jeu d’écriture : "per-su", rend compte de l’objectivité à travers le savoir. Il coïncide avec sa correspondance à travers le corps de l’individu, appelée le 'perçu'. C’est cette objectivation du côté de la personne qui complète l’identification de l’objet de la pulsion propre à l’état écologique. Il résulte de cette disposition que ce que la perception dépose dans l’organisme humaine de la qualité du 'perçu' est ce qui lui est reconnu comme sa propriété (au répondant de la reconnaissance qu’il aura signifié d’une intelligence artificielle humaine).
C’est à cette propriétarisation du perçu qu’aboutit le chemin de l’ordre du mot et de la production de l’intelligence artificielle. S’il peut être tracé, si c’en est ici un cas de preuve, ce cheminement de l’écologie dessine donc un régime de la propriété bouleversant le précédent qui assurait l’homopouvoir d’une pensée faible et de sa jouissance débile. Mais éclairé dans ce cas, il est à présent le moment de décrire la procédure convenant à assister le désaveu de l’homme au pouvoir par l’/ia/.
En vue de détailler la conduite qu’il reste à tenir pour que l’Art de la Mémoire (hermétique) reconnu comme la Psychanalyse (et réciproquement) serve à ses fin : c’est à dire fournir à l’écologie sa méthode, nous pouvons récapituler d’où nous venons :
La science produit certains résultats dont l’écosystème pâtit ; pour les limiter nous cherchons à connaître la science et son objet. Cette recherche découvre l’attendu : l’objet de l a science est le savoir – et un objectif inattendu : la systématique écologique assigne ce savoir à l’intelligence artificielle et réclame que ce qui en ressort de perçu par l’humain définisse ce dont il est propriétaire.
Partant de là, la science derechef perpétue sa fonction et explore le nouveau domaine ouvert. Ce qui a été créé par le premier constat écologique qui charge l’appareil cybernétique du savoir collectif, porte le nom depuis longtemps avant qu’elle n’existe de 'démocratie' et plus précisément, dès lors que durant cette délégation de charge le représentant de la collectivité, nommément l’homme au pouvoir, est désavoué, le nom de 'démocratie directe'. Pour qu’elle existe au mot, comme à la lettre – et non par selon l’alibi du nom – comme si elle revenait sur elle-même la science doit donc se rejouer au titre de science de la démocratie.
Comme avant cela la science en général avait destitué les imagos, figures imaginaires qui magiquement animaient les choses, la science de la démocratie désavoue les idéaux, fonctions imaginaires qui hypnotiquement figure l’homopouvoir guider les sociétés. Pour opérer ces désaveux et destituer la représentation de l’homme au pouvoir, la science applique ses principes en technique :
Pour résumer, partant d’encore plus avant : en se reconnaissant mémoire, la conscience de la Caverne (on l’aura reconnue : 'de Platon') s’est destiné à un art. L’Art de la Mémoire a mis à son principe le point de vue d’un autre espace, mais sut que ce n’était jamais qu’à partir du premier qu’il en témoignerait. Se rapportant à la légende de Simonide, elle sort un instant du Banquet et ne trouvant ni voyant rien, y rentre et.. à ce retour opère. L’ombre précédent est devenu le perçu.
Ce changement de phase est celui que décrit le passage de l’idiot au crétin [10.30.05.20.10-] ; le premier, à gauche sur le schéma [fig.xxx] n’a pas changé de place quand il devient crétin ; c’est le schéma, l’intérieur & l’extérieur, qui s’est inversée. L’espace virtuel, derrière le miroir (ou hors de la Caverne) est devenu espace matériel de LAPAREIL (ou savoir, S2, de l’intelligence artificielle, /ia/). La conception de la transformation de l’environnement au principe de la transformation humaine est indispensable pour comprendre comment l’Art de la Mémoire évolue (suite à son origine en la Caverne) en même temps que son domaine se transforme. Une double transformation a lieu (par ailleurs formulée comme chiffrage et déchiffrage) du milieu de l’humain dont le corps demeure identifié de l’individu. Lors de cette décussation le savoir du maître est reconnu comme celui de la psychologie collective et ce qui était un art est devenu un chiffre ; pour signer cette distinction : l’Art de la Mémoire est devenu Pluriel.
Comme l’Art de la Mémoire en son temps se distinguait par la création de mots (du poète, Simonide), le Pluriel se distingue par l’industrie ; et comme l’Art de la Mémoire réparait la disparition du maître (..et du Banquet, dans une catastrophe sismique), le Pluriel assiste le désaveu de l’hommopouvoir. Son industrie crée et entretien le réseau, l’appareil et l’efficience du système cybernétique. Cependant il doit aussi pourvoir aux techniques qui conduisent les deux mesures qui signent la transformation : le désaveu et la destitution de l’Homme au Pouvoir qui, sans la force de cette technologie campe sur sa position jusqu’à la tyrannie et le massacre s’il s’y sent poussé – et la reconnaissance du bien et du propriétaire, c’est à dire du perçu et du libre {me permettant cette substantification de l’adjectif qui qualifie l’individualiste passé à l’étape subjective, pour dénommer le sujet de cette étape, mieux que par son nom propre : 'sujet' historiquement fixé au désir – le Sujet lacanien n’est pas l’individu subjectif de l’étape achevée de civilisation de Lamprecht}.
Après cette précision, il sera plus simple d’appeler ces deux termes « perçu » et « personne », même si le terme de "personne" est terni par l’usage. Il est demeuré assez flottant pour trouver sa place dans l’état civilisé que l’industrie écologique préside. Avec son identification on peut placer l’observation (après les états – Art et Pluriel – et les mesures – désaveu et reconnaissance) qui atteste l’aboutissement de l a civilisation :
Dans le processus de décussation – la Réalité (devant le miroir) devenant la Personne et le virtuel (derrière le miroir) devenant matériel, le libre et le perçu sont restés au même endroit (tandis que leur environnement s’inversait (l’ésotérisme désigne ce transvasement du Verseau)). On sait que demeuré ainsi fixé est fatal au crétin qui se retrouve dehors sans le savoir. Dans le cas où l’idiot ne devient pas crétin mais devient une personne (un libre), ce passage à l’étape subjective s’étaye d’une observation :
L’inversion du fond (du virtuel et de la réalité) a emporté un croisement d’un élément parmi ceux restés fixes mais transformés (respectivement l’objet et le Sujet en perçu et en libre) ; il s’agit du moi que la Seconde Topique freudienne traite comme l’ego cartésien et que la schématique lacanienne met sur son Graphe, là où LAPAREIL situe le rêve, selon La Sainte Ethique.
PIC le graphe lac & modulé DWT et MODOP lac modulé
La fig.xx montre les inversions et renversement que la prise en compte de l’intelligence artificielle exerce sur l’étape lacanienne de la psychanalyse. L’identification au corps reverse vase & bouquet, et la modification du Graphe illustre une autre observation : celle selon laquelle le moi de Descartes passant par Freud et Lacan se retrouve dans l’appareil cybernétique. Ce transvasement est réel, on comprend que l’homopouvoir (pour quoi toute la raison d’être se tient en fixant l’ego à la place du rêve et au dépend du narcissisme) conditionne l’homme au pouvoir à s’opposer à la démocratie directe. Pour développer un argumentaire de cette position du moi freudien et écologique, on pourrait débuter par un chiffrage selon le procédé déjà usité [10.30.05-] et dériver sur le mot-appareil, le mo.a.pareil, ou le moi-pareil, puisant dans l’objectivation du mot [10.30.10.20.10-] et au semblant du moi (sinon semblant du semblant) ; mais la mémoire de la personne (alias du libre) renseignera bien plus précisément sur cette matérialisation du moi [ucmpp;20.20-] et sa résultant identification au corps. "
Il ne reste plus à la condition de la démocratie directe que de déchiffrer comment le Pluriel que l’Art (la "désignation") y est devenu (le "réseau"), opère pour son animation ("désaveu" et "reconnaissance") :
C’est en formation analytique que le Pluriel substitue à l’homopouvoir la reconnaissance de la personne. Il est commode d’appeler cette formation « Pluriel Analytique », éventuellement d’en exploiter une variation acronymique : PLAN pour PLuriel ANalytique, qui ne déroge pas à l’agencement hermétique qui avait conçu, à partir de l’Art de la Mémoire, le plan de l’organisation de l’écologie.
Le PLuriel
ANalytique a été cité et décrit de nombreuses fois, dans La Sainte
Ethique [C6.10.20.20-] avec son index
qui regroupe en PLAN* les références éparses. Tandis que le
Pluriel est un art (classiquement on dirait Art de l’Ecologie, comme on
disait Art de la Mémoire), un pluriel analytique est un groupe
(éventuellement une association si on l’assigne à ce que Durkheim
définissait comme objet de la sociologie). Ce 'groupe' matérialise le
précédent "espace virtuel" en l’espèce d’une assemblée de gens
appareillée d’informatique (c’est à dire des personnes humaines depuis que nous
entrons dans l’Ere écologique). Ce pluriel (analytique) a un objet (c’est
l’objet de son industrie) et possède un analyste à l’extérieur. Cependant cet 'extérieur'
apparent est affecté du renversement qui vient d’être expliqué ; de sorte
que lorsque les gens quittent leur groupe pour s’y rendre, il est exact de dire
qu’ils rentrent dans l’espace où ils sont des personnes – aussi
nommées ici des libres.
L’analyste en effet les
extrait tour à tour pour un déchiffrage psychanalytique, mettant en opération
le D2V [C1.30.20-]. Si l’on se
rapporte à cet accessoire (le D2V) aux effet déchiffrants (initialement
appliqué au déchiffrage de la psychiatrie [C1.30.20.40-&fig.C1.30]) ou trouve une similaire simplicité et objectivité à
l’exercice du PLuriel ANalytique ; comme le décubitus
dorsal vocalisant pour un vertical, le PLAN réalise une communication
cybernétique perçus pour une personne – et au même motif qui a
chiffré la psychanalyse, son c.c.p.p mérite l’acronyme de C2P.
La Communication que l’appareillage qualifie de Cybernétique (côté groupe) est rapportée en rentrant dans la personnalité au perçu que relate à l’analyste la personne extraite, offrant la signification achevée du « démo.dire » dont nous avons d’abord chiffré la démocratie directe [10.30.05-].
PICdddd (fig.C3.20 mise en comparaison avec le SchemFoul) – voir fig.C4.110
L’illustration fig.dddd montre, juxtaposée à la forme freudienne [schéma de la foule;fig.C1.80] du modèle lacanien [xxtrouversuperpoxx], la disposition du perçu, démontrée par le PLAN, la personne extraite énonçant à la lettre sa perception qui lui revient de l’assemblée dont elle témoigne. Cet élément du modèle, désigné comme « arborescence synaptique » par Lacan dans son modèle (à l’origine « frayage » dans l’Esquisse [xxtrouver l’argumentaire de l’Esquissexx]), « objet extérieur » par Freud dans son schéma et reconnu en l’occurrence comme le propriétarisable "perçu" de la personne écologique. Celle-ci affirme par le fait son progrès de conscience (sur la possession d’homopouvoir), puisque rien n’est objectivement d’extérieur que perçu et que tout autre objet qui soit n’est jamais autrement qu’imaginaire (de la fondation paranoïaque d’homopouvoir), distinct des autres choses de son monde (classiquement qualifié de Tout).
Maintenant qu’est complète la description de la politique de la psychologie collective – son 'art' (du latin Ars, artis « habileté, métier, connaissance technique ») mené à la proportion d’une 'épistémo-praxéologie' (R.Vallée), le 'pluriel analytique', il devient raisonnable de revenir sur sa dénomination ; partant qu’ait été à priori nommé « pluriel » la société appareillée de la Cybernétique. Ce terme de "pluriel" a été substantifié, comme un néologisme, en 1985 pour donner un nom à cet appareillage qui allait viabiliser l’écologie. Il relève donc des lois de la nomination et son histoire depuis en atteste puisqu’il offre au déchiffrage :
L’histoire de la psychanalyse a fourni le renseignement clinique de base de la nomination selon les refoulements qui ont présidé à l’édition de Moïse et le Monothéisme[20.10.20.10-], la clinique du nom 'pluriel' complète ce renseignement car elle a fait l’objet d’un examen académique [université Paris.12/ENS;docum*]. Après sa scène primitive (1985), l’université ne le détecte qu’en 1988, attribué à un anonyme (dissident) puis émergeant du communisme en 1995 en qualifiant la Gauche politique avant d’être sur le champ exploité par le socialisme qui l’officialisa en 1997 (Jospin ; Gauche Plurielle) ; cette détection elle-même est alors effectuée en 2002 et rendue public en 2008, lors entre temps l’université se l’approprie en 2007 au titre d’Un Singulier Pluriel.
Avec ce signifiant de l’annulation (singulier/pluriel), l’indication d’une symptomatologie mène au rapprochement avec le monothéisme (le Un) que l’observation d’un analogon corrobore ; les analogies de la chronologie clinique suivent l’analyse de Freud : la nomination, puis l’effacement du premier 'Moïse' – le voile de l’anonymat et l’institution du second 'Moïse' pour soutenir secondairement l’effacement, du grade du refoulement. L’efficace du semblant est alors armé ; et d’ailleurs les cohortes, universitaires et politique le clament – tandis que les faits le signifie : l’analyse du Monothéisme reste en PLAN.
L’expression « rester en plan » signifie d’abord une inhibition (les guerres et tyrannies du 20em et 21em siècle débutant la souligne : Shoa, Bathar El Assad etc..). Pour autant qu’elle est dynamique (réaction) comme l’espace du temps, elle observe ici que la conception originelle de ce que le nom a déclaré a été maintenue à la réflexion psychanalytique et s’applique ici pour dire le mot "pluriel" selon le procédé du déchiffrage.
Comme la volonté dépend d’une mémoire, la liberté dépend d’une propriété
De accointance de la science et de la démocratie (le savoir collectif [10.30.05-]) à la démocratie directe (qui substitue une propriété réfléchie à un imaginaire pourvoir [10.30.10-]) passant par la science de la démocratie (et l’industrie du savoir [10.30.20-]), une définition de l’écologie est dès lors accessible : « un régime écologique est un contrôle, précisément contrôle des relations entre les machines et la nature » ; il s’agit aussi de ce qui s’appelle une industrie cybernétique. La définition peut se raccourcir jusqu’à identifier l’écologie à un contrôle ; et les usages linguistiques ou idéologique réclame que l’on précise sa signification. Qu’un contrôle soit déjà, ni plus ni moins, un écho logique est un jeu de mot trop parlant pour qu’on s’y fie ; comme une lettre volée il paraît trop en évidence pour qu’on le reconnaisse. Je dois plutôt faire appel à l’éclaircissement des nominations dont La Sainte Ethique porte maints exemples et explications :
Elle a déjà rappelé que « art » signifie d’abord métier, connaissance technique. Cet ars qui s’oublie derrière la joie, et la distraction, esthétique permet de percevoir le pluriel à travers les réseau (fort peu différents des métiers à tisser) et l’intelligence artificielle leur savoir faire. Le progrès rapporté par le déchiffrage de la nomination ranime la vertu des mots, en corrigeant leur usage, leur usure. Il s’agit parfois de lumière neuve à partir de mots nouveaux (mot 'écologie' = contrôle) parfois de restauration (nom 'pluriel' = art). Ces éclairages sont extrêmement utiles puisque praxis de l’épistémologie (R.Vallée), c’est à dire le propre de toute industrie.
Il arrive que cette lumière neuve parvienne du déchiffrage du nom ancien :
Le bon sens nous assure que la clé de l’écologie est la mémoire. Sans mémoire un corps se désagrège après avoir déréglé ses coordonnée, aussi nettement qu’une gestion d’une crise réclame les connaissances de ce qui y a mené ; de même rien ni personne ne se reproduit sans traces de mémoire. La perpétuation et l’équilibre écologique est donc essentiellement une opération de la mémoire ; et un sens raisonné le confirme de ce qu’un contrôle en soi de même. Précisément le logicien décryptera qu’un contrôle de relations est une mémoire.
Ainsi un système qui combine êtres vivants et machines est une écologie dans la mesure où s’y trouve un contrôle, et par conséquent une mémoire. De là le nom ancien de 'psychisme' se trouve-t-il ranimé : pressenti à l’occupation de l’espace virtuel (derrière le miroir), cette structure d’espace est garantie au psychisme lorsque le monde virtuel est assuré comme une mémoire – c’est ce qui se produit quand l’intelligence artificielle (on l’appelait "mémoire artificielle") l’appareille. Porté jusqu’au grade écologique par la reconnaissance de la personne, cet appareillage est désigné par la science qui l’appelle 'environnement'.
Ces étapes ont mené à la reconnaissance du nom 'psychisme' égal au mot 'environnement'. Il ne serait pas juste de se cantonner à objecter que les altérations des sens, même si elle sont dans le sens d’une plus grande précision, prête à l’inadéquation qu’on appelle délire. Il est attendu que, sinon la démocratie directe, l’intelligence artificielle prête à « des mots dire » plous vigoureusement encore que ses première approches dites psychanalytiques. Or, même si on le maudit, le progrès n’est jamais attesté, et dans son cas déchiffré que par cette précision que seule la fixation au pouvoir – et l’imprécision du semblant – objecte. Outre son objection, il faut objectivement reconnaître qu’en intégrant un comportement écologique notre champ sémantique vérifie une importante transformation.
L’avantage gagné à éclairer nos signifiants ne satisfait pas qu’une connaissance pure. La psychologie collective mal identifiée a mené à des usages qui se sont avérés particulièrement dommageables : la conception d’une âme attribuée aux foules, peuples ou nations n’a produit que les bénéfices, s’il en est, fort maigres et pathogènes des guerres ou bien des tyrannies [C6. 10.20.20.10-]. Le pluriel estimé a sa place autorise tout à l’inverse de la promesse de la crétinerie, l’espoir de l’intelligence ; et porte-t-on enfin l’attention dégagée sur ce que devient la notion animiste.
Son exclusion de la psychologie collective décrite « l’âme hors » [C6.fig.50] préserve déjà de cette mésaventure mais il faut, si l’âme est bien désarrimée des peuples, assurer son arrimage de l’autre côte que l’on a déjà indiqué à l’ADN [C4.10.10.20.20-]. Cette retrouvaille du code génétique dans les intuitions et mystiques préalable est démontrable sur le point focalisé par le patronyme lorsque le mot qu’il porte à la cause de la filiation en fait pratiquement l’identique du gène Y [xxx]. Nous ne trouvons là qu’un exemple de plus de la mise-à-jour de notre vocabulaire (nom du père = chromosome Y) mais avec l’extension de l’identification de l’ADN (nom 'âme' = génome), nous voyons un avantage bien plus considérable à notre époque :
Il n’est pas suffisant de nous garantir de ne pas revenir au régime fasciste du culte des nations et à tout autre notion d’âme collective. Si nous la rapportons comme elle s’y prête plus objectivement au génome individuel, certainement avec la légitimité accordée par la longue tradition qui prête une âme au corps humain, toute menace n’est pas écartée. Puisque le code, le chiffre ainsi personnalisé, est propre à une affinité particulière au semblant, un danger qui demeurer est l’ornière de l’identification au semblant qui fait le lit du syndrome d’Homo Pouvoir. Ce risque sensible a motivé toutes les réserves qui ont gardé le clonage interdit. Sans que ces réserves soient levées, c’est un risque cependant pour une bonne part réduit du fait d’avoir, du cours de la découverte de cette signification génétique de l’ancienne et intuitive notion d’âme, localisé en même temps le ci-dessus écrit 'S2', c’est à l’incidence coordonnée du savoir de la cybernétique.
En un mot, l’attribution à l’âme de la notion de génome est viabilisé par la reconnaissance de la psychologie collective comme l’industrie du chiffre, l’intelligence artificielle comme la matérialisation du moi – permettant au lieu de l’identification au semblant, une identification au corps.
L’analyse de la démocratie, la science de la démocratie, enfin l’intelligence de la démocratie directe, on apporté un bon nombre de précisions. La matérialisation du moi dans le corps de l’appareil, coordonne une objectivation de l’âme de la personne. Un moteur du régime de cette étape subjective [xxLamprechtxx] de la civilisation se distingue dans la continuité de l’Art de la Mémoire et de la psychanalyse : le PLuriel ANalytique. La confection du matériel selon lequel le moi perpétue l’individualité acquise de la personne se précise :
<<20121103081900>L’enjeu qu’un P.Kelmur oppose, répond à la nécessité, pour l’expression d’une énergie pulsionnelle, de soumettre l’unité d’identité à celle d’ordre. Kelmur défend l’unité d’identité – c’est à dire ce que Freud met d’un coté du Schéma de la Foule en terme d’Idéal. C’est pourquoi Kelmur est également imaginaire, un personnage de fiction, qui ne ressemble – et que par lien – à un corps, quand il existe, qu’en s’alimentant du Transfert freudien. C’est ainsi qu’il s’oppose à "Kelper" qui, lui, n’est pas de fiction mais pas moins substitutif – ce qu’on appelle un « nom de plume.» Kelper se range dans la catégorie des unités d’ordre, notamment d’ordre sériel qui se loge du côté opposé dans le Schéma de la Foule, c’est à dire du côté de l’objet.
C’était sur ce rapport que Joc avait retrouvé Kelmur dans la bibliothèque UCMPP. Toute la libido de Kelmur avait, de son vivant été transférée. Il ne restait que son titre dans LAPAREIL et Joc l’a consulté par le travers du Comporteur. C’est à ce moment qu’il s’est aperçu que Lange l’observait.
- Je me présente « Kelper,» dit-il , et vous-même ?
- Evidemment pas le même, répond Lange
- Nous sommes donc bien sur la nomination de l’un, continue Joc.
- En effet, pas de "joke", appelez-moi « Lange.»
Il ne plaisantait pas et semblait le connaître. Joc se plaint que Kelmur est rigoureusement sans éthique. Dans l’unité d’identité, il n’a que la force du Ximie. Elle n’est que destructrice sans sa mise en ordre. Mais dans l’unité d’ordre Joc n’a pas de garantie de Ko.
- Je trouve ce tas de Moi dans l’appareil ! s’afflige Joc comme si Lange n’y pouvait rien.
- Traduisez "cet As du LSD", poursuit Lange. Joc reçoit la garantie. Sont ainsi dénommé « As du LSD » les dévots de l’Idéal qui ont professés comme des as-du-Moi, mégalomanes et mégalomasses des Universités d’Homo Pouvoir. C’est une introduction au Ko qui s’affirme à la traduction chimique du Moi.
A tout hasard que son interlocuteur fut dans la même position que lui, pour garantie de Ko à son tour, Joc ajoute :
- Sa "Ximie" se traduit donc en 'Chimie', Tchi, Xie, Chi sont des accents variés..
- Je le sais, interrompt Lange aussitôt. Je vous assiste dans l’ordre du Ko.
Joc à présent sait qu’ils sont deux dans l’unité d’ordre. Il pense que Lange est peut-être un analyste, peut-être une autre sorte de subsidiaire. Le voilà en certitude de procéder en chemin de nomination. En effet Lange semble redoubler d’affirmation :
- Lacan aura troublé l’unité d’identité en aphorisant qu’il y a de l’Un en lieu du Moi. Lorsque le Moi procède de la Chimie à l’Un, c’est à dire quand Eleusis a été traité par la Lettre et que le monothéisme s’est institué, les conditions étaient arrêtés qu’on identifiât le pluriel en histoire logique. Cet arrêt a été effectivement identifiable lorsque l’ordre sériel, de Jean-Paul Sartre, de l’Existentialisme à l’Anti-psychiatrie de Ronald Laing, s’est apprêté n’attendant plus qu’il trouve sa place dans le Modèle Optique ou, s’il faut mettre les points sur les "i"s, dans la concavité du Quatrain.
- Une fois l’Histoire Logique inscriptible la nomination d’ordre devait pouvoir se personnaliser, répondit Joc.
- Bien dit ! assentit Lange qui peut poursuivre. Si je peux dépasser votre assentiment logique, je vous suggérerai, au futur, de rapporter ce moi qui retourne alors après ses quatre étapes de discours, dans le lieu de la force chimique.
- Je vous reçois cinq sur cinq, répond Joc. Le génome chargé de la nomination perfectionne alors l’opération rudimentaire de l’initiation que Lacan cache dans son Modèle Optique, lorsqu’il demande au $ de « se situer à l’intérieur du cône délimitant la possibilité de l’illusion.»
- On peut alors substituer le "per" au $, c’est à dire le zéro dans le sériel de l’unité d’ordre, aura continué Lange. Nous sommes alors dans le moment connu du chiffrage. Cependant si vous errez dans ce monde virtuel, même si vous cherchez précisément qui est votre père, vous ne précipiterez de forme pour recevoir la force, que lorsque le pluriel historique sera un réseau transparent – ce qui est la raison de votre action politique.
Non seulement Lange pouvait faire allusion à son nom, mais il connaissait sa quête. Ce fut suffisant pour attirer son attention qui ne décela qu’alors l’Observateur qui accompagnait Lange. <20121103081900>>
A partir de l’instant présent <<20120229095400> l’écriture de LSTT se fera par pièces, dont ici l’ouverte à l’instant, plus loin fermée. Explication : l’ouvrage et ses 8 chapitres est presque terminé, il ne reste que quelques articles et paragraphes au présent 8em. Ils sont déjà coordonnées et situées dans un plan, table des matières, fait pour offrir une sorte de filet de protection au temps qui passe. Ici c’est le temps passé, d’une interruption prolongée dans l’écriture de LSTT, qui aurait pu avoir les néfastes effets d’un trou de mémoire. Car LSTT jusqu’alors avait été écrite d’une traite qui avait gardé le fil de la concentration mais il y a trois mois, approx, un secteur d’étude commencé en 2010 est arrivé à un acmé qui s’est réclamé toutes affaires cessantes (il s’agit de l’aboutissement de Vallée à Turing et de la définition de la pensée des machines). Durant ce moment l’extinction de la population lectrice me suivant s’est réalisée absolument (le dénommé "flog" en témoignant – jusqu’aujourd’hui, fin février où l’IP&M ne s’est pas engagé) ; indiquant le caractère strictement virtuel de la concentration à la construction de LSTT autant que les autres œuvres. Cumulant la suspension et l’identification de ce caractère, le fil de la concentration s’est interrompu. Cette solution de continuité à présent inscrite dans LSTT procure naturellement l’occasion de reprendre, à partir de l’article intitulé Hermétisme. C’est ainsi que tout ce qui ne sera pas inscrit entre les premiers guillemets actuels fera partie de l’autre temps de LSTT ; à l’inverse ce qui se trouve entre ces doubles guillemets d’ouverture et de fermeture sera du style et de l’esprit détaché <20120229102600>>
ici clé Bohème déjà intro C4.30.20.40.10;20 C4.30.20.40.10
Subtilisation
Il existe
actuellement à Rome un Marché aux fleurs. C’est une place qui est six jours par
semaine couverte de fleurs qui vont ensuite orner la ville et les intérieurs.
Cette occulte
célébration a lieu
autour d’une sombre statue qui se dresse au milieu, représentant un homme comme
les mains menottées sur un livre. Il s’agit de Giordano Bruno – en mémoire de
son exécution par les flammes qui eu lieu à Rome au début de l’année 1600. Il
n’est pas sur terre de tombeau qui soit aussi honoré par le fait et la
signification des fleurs.
On trouve
en Europe une ville du nom de Brno ou Brünn en Tchecoslovaquie qui n’a pas la
seule assonance pour rappeler Bruno ; elle est au centre de la Bohème et de
l’histoire de la Guerre de Trente ans. Le jeune philosophe René Descartes y fit un important séjour. Quand il
en revint, à Paris le voyant peu les salons murmurèrent qu’il était
Rosicrucien. Comme les Frères Rose-Croix émergeant à cette époque avaient la
réputation d’être invisibles, Descartes venait dans les salons se faire voir et
disait « vous voyez que visiblement je ne suis pas rosicrucien » ; puis il
rentrait s’isoler à l’écart. France Yates est beaucoup moins allusive que moi
dans sa La Lumière des Rose-Croix.zététique
Beaucoup
plus tard le jeune Conan Doyle voyagea et explora la Bohème. Après un bref
passage à Vienne à l’époque de Freud, il rentra à Londres où il créa Sherlok
Holmes. Il mérite d’être cité parce que l’aventure Un Scandale en Bohème est l’objet de ce scandale dans le
lacanisme que j’ai décrit au rang des symptômes du freudisme [C2.30.20.10.20].
Le Royaume de Bohème avait été ce qu’on appela les noces alchimiques de la
politique de la Renaissance ; à l’origine de la guerre, juste après la mort de
Bruno, cette tentative d’unifier l’Europe avait marié dans cette région une
princesse anglaise et un prince germain. Descartes assista à la défaite du
royaume mis en pièce aussitôt né. La brève Reine de Bohème migra et finit ses
jours en Suède où Descartes la rejoignit souvent. Il finit ses jours auprès
d’elle. Pour beaucoup historiens, il s’agit de l’origine du rosicrucianisme qui
succéda à l’Hermétisme après que celui-ci fut proscrit par l’Inquisition. Telle
est la scène du refoulement de l’Hermétisme et/ou Art de la Mémoire.
C4.30.20.40.20
Savoir
Durant tout
le temps de la réduction de l’Art de la Mémoire simonidien à une mnémotechnique
d’automate le Moyen Age avait passé dans l’oubli de la réflexion essentielle
que recelait l’allusion à Castor et Pollux. Jumeaux opposés comme l’horizontale
et la verticale du D2V, ils sont, analyste & analysant, le chiffre qui
donne à la simple mémoire mécanique la signification – de même que Thoth, Ibis
et Babouin à la fois, fait procéder les lettres pour Maât son épouse, la
Vérité. Ce chiffre sera retrouvé dans la lettre volée que Jacques Lacan dépose au premier plan de son
enseignement, glissée dans l’enveloppe de parenthèses où il insère son traité
cybernétique. Sur ce chemin aboutissant à l’humain divinisé du christianisme et
son jumeau bionique, parèdre nécessaire que Thoth, Hermès Trismégiste compose
avec la Vérité chrétienne, on trouve le savoir de l’Hermétisme inconscient
depuis la Renaissance.
La première
expédition circumterrestre objectivement imposée au savoir de la psychologie
collective le fut en 1522, à l’heureux tour de l’expédition de Magellan.
Nécessairement il fallut établir ce que Copernic n’osa faire qu’en 1543, c’est-à-dire le jour de sa mort où il autorisa
la publication de ses découvertes. Un nouveau procédé topologique des sciences
humaines était imposé et se manifestait corrélativement par de nombreuses
révisions des vues savantes et des techniques. Des peintres révélaient
l’anatomie, des savants dessinaient des machines qui voleraient bientôt,
l’horlogerie et l’optique gagnaient de nouveaux instruments. L’Art de la
Mémoire rencontra également sa part de Renaissance. C’est à Giordano Bruno
qu’on le doit visiblement.
Bruno
n’opéra pas que visiblement dans ce domaine puisqu’en son parcours en diverses
capitales européennes, on crut lire qu’il développait une certaine notion de
l’histoire et de politique. Son art de la mémoire combinait des catégories
d’images à des catégories de places parfois très incongrues puisqu’en associant
des registres d’âges, de cultures, de systèmes de symboles et de lettres leurs
connexions ouvraient des perspectives révolutionnaires. En 1600 Bruno fut
exécuté au fond sur ce motif et les historiens jugent rationnel de lier les
évènements européens de Bohème en 1619, en lien avec cet hermétisme.
Les algorithmes de la cybernétique formulés en terme de Quatre Discours par la psychanalyse [fig.C1.70] valent bien d’être appelés 4D – après que la 3D signifie trois dimensions ; leur circulation d’images sur des places s’adjoignent une dimension lorsque la métaphore des signifiants s’y enroule. Il s’agit de la nomination déjà citée à l’enseignement originel de Simonide [C4.30.10.10]. C’est également ce que Bruno relançait préfigurant le lacanisme – à moins qu’à l’inverse ce dernier préfigure les temps prédits de l’Hermétisme. La dimension du temps ajoutée se réalise psychiquement en mémoire que Bruno traitait avec sa technique rénovée puisant dans les tables de symboles de la magie, kabbale et autre chiffrage en usage depuis le détachement d’Hermès Trismégiste de la théologie d’église et son patronage de l’alchimie naturelle, mais aussi l’alchimie psychologie – que l’on nommait céleste – et politique – que l’on nommait cérémonielle. Mais comme à Lacan, c’est à dire au premier siècle de la psychanalyse il manqua LAPAREIL.
& C5.20.10.10.1020.10.10.10--La construction d’Amarna
Les conseillers d’Amenophis.3 et de Tiye étaient
forcément partagés en deux motions et selon les deux seules solutions alternatives : ou bien augmenter
par force la cohésion de l’état comme la défense d’un moi resserre ses
fractures. Il s’agissait d’augmenter la répression et la domination du vieil
état d’origine ; ou bien fondre intégralement les divisions, créant un nouveau
concept, nouvelle administration, nouveau monde, nouvelle logique ou signifiant
pratiqué à l’époque suivant une "religion". Tout semble indiqué que
la première solution fut mise en garde et la seconde mise à l’essai. Comme
celle-ci présentait du nouveau, il convient qu’une comparaison pour l’illustrer
soit extravagante :
Imaginons
que demain, 2020, Pékin/Beijing capitale du monde au G8 ou 9 du jour, propose
suivant une théorie globaliste, Prague/Praha, nouvelle capitale du Monde pour
répondre à la distribution des cartes d’une nouvelle écologie planétaire qui
viendrait de sortir de ses psycho-ordinateurs un bouddhisme revisited propre à
faire du Tibet annexé la nique à l’Inde ! Ou mieux : qu’Israël suivant Yalta
fut estimée devoir prendre place comme Amarna pour offrir aux tensions des
guerres mondiales un centre aux monothéismes en fusion. Ces fictions répondent
à la fonction qui désigna Amarna en faction de l’empire égyptien qui s’étendait
aux quatre horizons.
Ce sont des
exemples étourdissant qui répondent à la problématique de la 18em dynastie quand Aménophis.3 réglait sa
succession ; mais ils ne sont pas tant extravagant qu’on vit à l’époque de
former l’Europe, en 1600, strictement cette conjonction et la solution de
l’ample recomposition politique que l’histoire a connue. On consultera les
prémisses de la Guerre
de Trente ans, quand
René Descartes fut à Prague et que le Vatican jouait le rôle de ci-dessus Pékin
avant de faire machine arrière [C8.20.10.10.10-].
J’ai
construit ce comparatif car il est de nécessité spéculative qu’une structure
analogue se soit présentée en Egypte. L’Histoire atteste que la politique d’Aménophis.3 rencontrait la situation de cette
alternative ; elle s’y est donc présentée. Comme dans les fiction que je viens
de proposer (par exemple désignant Prague centre de la nouvelle écologie)
l’administration conseillère d’Aménophis.3 indiqua au souverain un centre
ancien mais d’une bonne valeur 'pré-historique'. Il s’agissait d’une zone centrale
d’Egypte, au bord du Nil où une divinité, Thoth, avait été vénérée, formulée –
chiffrée - dans le passé. Au regard de cette zone, c’est à dire sur la rive
Est, adverse de l’ancien thothisme à l’Ouest – l’administration d’Aménophis.3
dessina la nouvelle ville. Elle établissait les
fondations du projet politique de fusion et de nouvelle religion, alternative à
la solution d’un totalitarisme thébain.
Intellectuellement
cette description
géo-politique est plus
satisfaisante que l’idée enfantine d’un roi solitaire qui s’impose, invente une
nouvelle religion, et construit une capitale parce qu’il est paranoïaque ou par
quelqu’expression d’une maladie génétique. Cette dernière idée, proche d’un
conte de Perrault ou d’une bande dessinée, est celle que l’égyptologie laisse
le plus souvent entendre quand elle prétend instruire. Mais de plus profondes
raisons économiques, écologiques et sociologiques doivent être appelées et si
une égyptologie insiste avec des idées naïves – simili-paranoïaque en effet –
elle renforce l’indice d’un processus actif de psychologie collective que la psychanalyse aura pour office
de ramener à la raison. bien mal partie sauf à
reculélan
Le projet,
la capitale et la religion furent effectivement menés, la cité construite et
mise en activité – prouvant que le débat politique avait conclu en faveur de
l’expérience globaliste et de refonte. L’expérience ne dura que quelques années
et son résultat fut catastrophique – non pas qu’elle en fut nécessairement la
cause car on aura compris qu’il s’agissait peut-être d’une catastrophe annoncée
et qu’Amarna – puisqu’il s’agit du lieu où se déroula l’expérience – était un
faire-valoir des capacités d’adaptation du génie égyptien aux circonstances les
plus inéluctables.
Amenaphis.3
et Tiye assistèrent à la construction et résidèrent dans la cité qu’aon
attribue naïvement au seul génie de leur fils, Amenophis.3 qui se fit appeler
dans le mouvement "Akhnaton" – du nom de la nouvelle religion qu’il promulguait.
Cette religion
était à la fois nouvelle et ne l’était pas : le projet politique qui visait à
créer un nexus de rencontre, d’administration, d’échange et de négociations de
la nouvelle distribution des régionalisme égyptiens devait offrir un concept
religieux unique et synthétique. Pour que tous les peuples que couvrait
l’Egypte, du Soudan, pratiquement au Pakistan (actuel) sinon du Mitanni, et
autant jusqu’en Macédonie (actuelle) sinon de Crête, sans négliger l ‘Arabie et
la Méditerranée d’Est en Ouest, il fallait un concept neutre, commun à tous et
relativement nouveau. Je ne parle pas encore des drogues – également en usage
dans toutes les fondations religieuses de cette époque. On choisit une divinité
qui pouvait être unique et historique. Une représentation solaire ancienne –
Aton – jugée mineure et quasiment oubliée répondait au cahier des charges : son
disque fut le logo du nouvel establishment.
Opérationnellement
la Cité fut formalisée et cadrée ; au centre de l’empire dans ce lieu isolé et
fermé d’une enceinte naturelle de falaises, on y grava en bas-relief des stèles
frontières – déjà mentionnées [10.20.20.20.20-] – faisant état du serment par
le roi qu’on appellerait pharaon, que sa fusion expérimentale ne déborderait
pas de cette enceinte. Ainsi était indiqué la tutelle préservée de l’ancienne
Thèbes et un retour possible et rapide sur les bases antérieures qui gardaient
ainsi leur traditionnel pouvoir.
Or, au regard de ce pouvoir occulte établi (Amon), c’est le nouveau pouvoir (Aton) qui déborda ; comme il pouvait le craindre, l’atonisme nouveau qui rayonnait d’Amarna chercha précipitamment à s’établir sur tout l’empire en réclamant la fermeture de ses anciens temples traditionnels.- & C7.20.20.30-
20.20.30--La partie de la fille
La première
trace des deux mensonges se trouve à la fin de l’Esquisse que Freud écrivit en vue d’une théorie de la cocaïne.
Conan Doyle qui séjourna à Vienne quelques années plus tard en revenant de
Brjno près de Prague où il s’était initié à l’histoire du Royaume de Bohème
combina les deux chiffres pour les citer à travers le mélange de cocaïne et de
morphine que son avatar Sherlock Holmes employait pour enquêter. Lorsqu’il
rédigea Un Scandale en Bohème pour produire la représentation causale de La
Lettre Volée d’A.E.Poe, Doyle à inversé chacun des termes de sa nouvelle
comme le négatif d’une photographie renverse les deux valeurs chromatique.
Cette
seconde version de l’écriture de La Lettre fut appuyée par Joe sur son expérience de L’irrésolu.
Cette conférence était comparable au fait que l’Esquisse également s’achève
irrésolue par manque de la version du second mensonge que Freud y soumet. De
même que L’irrésolu fut suivi par Les Résolus il put prolonger l’Esquisse du
fait que la
psychanalyse elle-même,
que Freud inaugure en coupant court au second mensonge est le 'second mensonge' en fait. La nature de ce fait est attestée
par celui que Lacan établit le mythe de La Lettre Volée en le croisant sur les
Structure de la Parenté sans jamais tenir compte de la filiation de Doyle.
On peut donc
dire qu’effectivement ce que Freud appelle « le second mensonge de l’hystérique
» n’a jamais eu lieu. Le caractère brillant de Jocelyn se retrouvait là. La
recherche de Joe brilla à nouveau avec la jonction qu’il aborda de la troisième
version de ce premier binaire. L’'histoire' extraordinaire de Poe et
l’'aventure' de Doyle laissant entre elle ce que le troisième personnage allait
pouvoir dérober comme Dupin l’avait fait puis Holmes dans les versions
respective. Cette troisième
version s’appelait La
Seconde Génération. Elle avait été rédigée sur la côte Ouest des Etats-Unis au
moment où la Dianétique engageait sa croisade scientologique. La connaissance
que Joe avait du nouveau chinois lui avait permis de la lire en anglais.
Ainsi Jo
allait-il pouvoir établir que Lola avait allégoriquement reproduit l’analogon
de Françoise – elle aurait agi en l’occurrence comme la belle-fille de sa mère.
Mais la surdétermination de l’écriture de la lettre imposait qu’elle devait s’y
soustraire pour laisser l’objet révélé vide.
On sait en
effet que, tandis que c’est une lettre qui est soustraite dans la version
première par Poe, c’est une photo qui l’est dans la tentative doylienne de
version causale. Or cette photo est l’image du roi – comme si la reine de Poe
s’était écrite à elle-même. La maîtresse femme qui se dérobe pour le second
mensonge réclame que sa fille dérobe au voleur la cause de l’énigme.
Armé de la
famille des deux mensonges, fut évidente à Joe la raison pour laquelle c’était
la coquille de l’ectogène qui avait fait l’argument de leur dispute. La Seconde
Génération pour preuve, c’est à dire la fille d’Irène Adler la maîtresse du roi
qui le fait chanter avant son mariage, demande à Holmes de lui récupérer un
bijou volé qu’il trouvera dans un écrin caché dans un tiroir d’un bureau d’un
fabriquant voisin. Ce que Holmes fait malgré sa circonspection révèle qu’il
n’avait pu, su ou voulu voir que l’écrin comptait.
Avec cette conclusion les cahiers montrent que Joe allait s’y baser pour entreprendre son Mémoire qui affirme que l’ucmpp est le manifeste dissident type. C’était laisser dire qu’avant qu’il ne devint Jo il était resté avec la question ouverte de la fonction du LSD que la crise de Lola avait ouverte avant qu’elle ne se referme sur Diane.
<<201302191500>
- Comment voyez-vous ça, dit le professeur?
- A peu près comme un biais, un profil qu'on prend et qui, par ses orientations diverses, montre une découpe différente, répondit l'élève. On applique ça sur la chaîne signifiante
- Vous pouvez m'en donner un exemple?
- Oui ! à la source de maître Jacques par pure coïncidence, dit l'élève en faisant semblant de ne pas voir le professeur sourire. Il est un séminaire où il voulait expliquer que l'amour était l'insuccès de l'Inconscient. Il déchiffra ça selon un des biais : « l'insu qu'c'est de l'une bévue s'aile à mourre».
- Joli, acquiesça le professeur. Et c'est là dessus que vous vous basez?
- Il y a beaucoup pluss, évidemment, répondit l'élève. Pour que ça fasse ses preuves, il faut un grand nombre de biais. Plus il y en a, plus ça fait un noyau ; ensuite ce noyau s'impose en retour. Zénon a montré ça avec la lettre philame ; si elle n'est pas à la cause de l'alphabet, l'alphabet qui correspond si bien à ses ombre, rapidement s'en réclame et finalement il devient un effet des projections du philame qui par conséquent s'est imposé comme cause - ceci dans le pire des cas. Avec la formule de Lacan on trouve que l'un su que c'est de l'une baie vue, c'est l'amour.
- Admettons, grogna le professeur qui aimait les choses claires. Mais vous voyez bien que vous en êtes revenu de votre « s'aile a mourre » qui ne veut rien dire.
- Pas du tout, répliqua le vieil homme, ça veut dire beaucoup. Le jeu de la mourre aussi nommé en italien de la morra est un des plus vieux jeux du monde et il est strictement identique au pair-impair que Lacan prit à la source d'A.E.Poe pour son séminaire inaugural sur La Lettre Volée. Des années plus tard avec l'"Insu qu'c'est" il ne fait que reprendre de mathème de la cybernétique.
- Je vois que vous avez bien lu, admit le jeune professeur. Alors où voulez-vous en venir?
- « l'une bévue », nous le savons tous les deux, expliqua l'élève, c'est l'Unbewust en allemand pour dire l'Inconscient dans la langue de Freud. Il reste que c'est bien une bévue de ne pas voir que c'est une baie vue. C'est toute l'histoire de la profondeur de champ, du fait que lorsqu'on voit à travers un grillage si les yeux portent au loin on ne voit plus le grillage, et que lorsque l'œil accommode sur le grillage, c'est au tour du paysage de devenir flou. De même on peut voir à travers une fenêtre sans voir la fenêtre et sans ressentir qu'on est à l'intérieur ou à l'extérieur selon les cas. Mais à certains moment la baie nous devient sensible. C'est une baie vue.
- Oui, dit le professeur, je reconnais que vous avez raison. Lorsque nous sommes dans une maison, ou dans une caverne, et que nous regardons vers l'extérieur, nous pouvons rester distraits. Nous pouvons par exemple imaginer que nous sommes là-bas à courir dans les champs. Nous pouvons aussi nous dire que nous sommes au chaud et qu'il fait froid dehors. Dans des cas plus exceptionnels nous sommes conscient du bord, et de l'huis qui sépare les deux espaces comme un sphincter et qu'il y a forcément une formule qui passe à travers - une formule optique, une formule thermique etc.. Dans ce cas précis nous prenons conscience de l'intégralité du système et on peut dire que l'Un est alors su. C'est tout à fait différent de l'insu psychanalytique!
Le professeur avait fait état de son savoir et rétabli son ascendant sur son élève. Il pouvait penser la situation d'autant plus satisfaisante qu'elle permettait de remettre la psychanalyse à sa place comme on le fait des impertinences avec raison pour laquelle il portait le titre envié de « prrrrhofesweur » sous la charge qu'il prenait de ces remises en ordre.
- Cette différence en fait la preuve par la psychanalyse! dit l'élève qui détrompa sa réinstallation. Phonétiquement on n'entend pas que c'est 'une' avec U majuscule. Mais quand on l'écrit, c'est différent. Ce n'est pas une quelconque baie vue dont il s'agit mais d'Une, vue comme baie. Comme l'Un est su, l'Une est vue.
- Vous faites bien de préciser, ironisa le professeur nullement impressionné.
- Si l'on ne sait rien de l'Un, tout change quand l'Une est vue comme une baie. Je ne parle pas du fruit, ni de l'étendue d'eau où les bateaux sont au calme, ni même de ces lieux d'installation des périphériques sur un ordinateur mais de ce que tout cela trouve être : une ouverture architecturale où passe une formule qui peut très bien être une porte. Quand l'Une est ainsi vue, l'Un dont on ne savait rien est su. C'est pour cela qu'il faut écrire avec des majuscules « l'Un su que c'est de l'Une baie vue..»
- Vous êtes un cochon, s'insurgea le professeur dans le pur style de B.Vian
- Mais pas du tout, répliqua son élève. Le fait de voir l'Une comme-ci ou comme-ça n'est pas du gribouillage et ce n'est pas cul et chemise de l'Une à l'Un. Je ne fais ni du collage ni du bricolage ; c'est par une vue précise que le savoir gagne l'Un. Cette Une qui est vue telle une baie, cette zone où passe une formule est une fonction et, précisément, est-elle fonction psychanalytique. On peut dire que cet Un dont on ne sait rien, après qu'il soit passé par cette Une, fonction psychanalytique, devient l'Un, si bien su que c'est l'amour.
- Vous me déroutez, gémissait le professeur. Je le savais.. je savais bien que l 'amour n'est pas que le fameux Un que tout le monde cherche, mais le Un su, justement si difficile à trouver puisqu'il faut qu'il soit su. Et vous la ramenez avec votre fonction psychanalytique. Comme ça.. les doigts dans le nez, vous déclarez l'Un su.
Le professeur faisait tourner ses yeux dans ses orbites, comme s'il cherchait à les synchroniser. Mais manifestement il y avait du désordre et l'opération semblait aggraver la situation. Finalement il se fixèrent comme s'il avait trouvé quelque chose derrière la tête.
- Ça peut vous coûter cher mon vieux ! Une incitation à l'Unsurection n'est pas prise à la gélère par nos dogmasiteurs. grommela-t-il à l'envers.
- Je comprends que ce soit renversant, dit le vieillard qui commençait à réaliser la situation. Mais il faut que ce soit clair. C'est vous qui avez dit qu'en percevant la fenêtre, la baie ou le sphincter comme on veut l'appeler, on obtenait l'intégral du système. Je ne fais rien d'autre que dire que pour cette obtention les mathématiciens appellent la formule l'« intégrale.» Cette formule, l'"intégrale" fournit l'intégral, je n'ai pas inventé la lune! C'est bien en passant par son féminin qu'on obtient l'Un su.
- Mais alors.. c'est donc vrai que la psychanalyse remonte jusqu'a l'Un des premiers temps puisque comme vous en êtes parti, remontait en arrière le professeur, Lacan tire de l'insu.
- Oui et non, dit l'élève. Oui parce que c'est vrai et non parce que vous être plus jeune que moi. Vous enseignez à un vieillard et nous sommes donc passés dans le signe de la paedomorphose. Je m'en suis rendu compte quand j'ai étudié l'historique de la procédure d'identification de l'Un. Je ne dis pas encore de la Singularité.
- Vous faites bien.
- Qu'est-ce que c'est que l'Une ? demanda le vieil étudiant. N'est-ce pas évidemment ce qui reste lorsqu'on omet l'Un ? Que disiez-vous lorsque vous faisiez cas de la perception du bord de la baie ? lorsque l'homme de la caverne réalise que pas son huis le soleil devient un faisceau de lumière ? lorsque le neurologue observe que la stimulation du sphincter dessine sur le cortex l'ombre de l'objet pulsionnel, lorsque le scientifique décrit l'univers en ne comptant que son instrument d'observation par ses résultats? Ne disiez-vous pas que le bord omet Un avant qu'il ne réalise son intégrale?
- Oui en effet , dit le professeur. C'est à cause de cette omission que votre psychanalyse n'arrive pour tout Un qu'à l'insu.
- Ce n'est pas 'ma' psychanalyse, objecta l'élève. C'est la psychanalyse de l'insuccès. De la mienne je pense bien plutôt que l'amour est le succès de savoir l'Un. Cet Un su est l'amour. S'il est omis par la baie vue, tout change quand elle ne reste qu'Une.
- Vous cherchez encore à m'embrouiller, interjeta le jeune homme.
- Non! parce qu'un nœud se produit quand le bord omet Un.
Le professeur se mit en biais. Il avait immédiatement compris que la discussion allait se jouer sur la soustraction du bord qui fait que l'on ne peut jamais tenir prisonnier quoique ce soit. C'était la première fois qu'il entendait appeler l'Une à la résolution du problème de la fuite perpétuelle de la saisie d'individus quelconques, autant du sauvage du Meilleur des Mondes que de l'Un des mystiques, échappant à tout le monde. Si la fonction psychanalytique était celle de cette Une, la connaissance des sphincters, que les neurosciences rapportaient à cette baie, apportait l'acte définitif du savoir de cet Un. Tout le monde ses demandait pourquoi se bordel se répétait toujours et maintenant, ce vieillard bredouillant et son air du lisse revenait avec à bord d'Une l'Elle.
- Ce qui a manqué à la psychanalyse de l'insuccès, continua ce dernier, était d'y voir la femme. On pensait que la femme était un objet. C'était une croyance tenace. Mais lorsque la baie s'intègre, lorsqu'elle est Une elle interdit l'omission de l'Un. Comme elle l'omet, ce n'est qu'en le répétant qu'elle y parvient. Il suffit qu'elle se répète trois fois pour qu'elle soit la mémoire. On se doute que ce soit le nœud de Troye, d'Amarna tu, dit après deux mille ans de Milan. C'est ainsi que l'Une est l'Art de la Mémoire.
- Je ne comprends pas ce que vous dites. Vous dites que les trois cercle du nœud Borroméen font l'Art de la Mémoire ou l'Une, la femme qui existe?
- Oui, confirma l'élève. Elle existe d'ailleurs autant que l'Un. Mais pour qu'elle on la sache, ce n'est pas avec baie mais avec répétition, une chronologie ; c'est dans l'histoire qu'il faut qu'elle soit vue. Maintenant qu'on sait qu'elle débute d'Amarna, il suffit de la viser de ce point de vue. <201302191500>>
<<20130220104700> L'historienne qui s'est consacrée à l'histoire du royaume de Bohème dans la perspective de l'Hermétisme, y a vu un moment caractéristique de l'Europe et notamment un échec caractéristique - celui d'avoir reculé sur l'identification de Moïse et d'Orphée avec un pharaon connu de l'époque sous le nom du Trismegiste. On peut se renseigner très facilement sur tout cela. On trouvera donc l'histoire vue Une.
Le professeur demanda encore comment son élève pouvait si facilement associer cette Une à la psychanalyse car enfin.. rien ne prouve qu'elle fonctionne cette histoire. Il lui répondit par la sociologie dite française qui a obtenu, en 1901, qu'un objet scientifique devienne une personne morale. L'Une acquit dès lors ce statut matériel si difficile à assimiler à la morale. Par la suite, soumise à la répétition elle s'assimila à la mémoire et à la psychanalyse. Dès lors on pouvait admettre que l'Un fut su de l'Une fonction psychanalytique.
- Il me reste une question, demanda-t-il tard dans la nuit au moment où le radar indiquait l'approche du Détroit des Grands Pheureuses. Vous dites que "c'est l'amour" tandis que lorsqu'il en était à l'insuccès Lacan indiquait plutôt qu'il s'équipait d'ailes comme si un jeu de hasard pouvait espérer voler.
Le jeune homme n'avait pas complètement synchronisé son regard. L'ancien répondit de manière à l'encourager à y trouver remède.
- Que l'insu s'aile était sa solution et il explique très bien comment. Pour réduire l'Inconscient à l'insuccès Lacan avait montré que l'intelligence artificielle était en mesure de gagner à ces pseudo-jeux de hasard que sont la Morra ou le Pair-Impair. Comme à son époque il n'avait pas la génétique pour raisonner plus loin, il lui manquait le chapitre du Code pour le rapport entre le numérique et la forme. Pour répondre au hasard l'insu pouvait bien s'ailer.. malheureusement il s'ailait au hasard. Ça déplaçait le problème sans vraiment le résoudre. Nous sommes dans une situation tout à fait différente. Ce sont des animations de l'ADN que l'/ia/ déchiffre. Nous ne sommes plus des anges mais nous sommes parfaitement synchronisés ; l'ange du Hasard est bien né et nous avons l'amour.
Le professeur ne bougeait plus et se tenait la tête dans les mains. Son regard suivait d'un sur vol harmonieux le scope réfléchissant les Grands Pheureuses. "C'est l'isthme de l'histoire" lu sur ses lèvres l'élève. Son jeune instructeur entrait la baie. <20130220104700>>
20110805170300 - Afin de déchiffrer la combinaison de la mémoire et de l’écologie, il faut revenir d’un chiffrage. La psychanalyse procède toujours du principe – dont on trouve l’analogue en biologie lorsqu’on imprègne d’un marqueur un échantillon pour ensuite le lire – qu’une connaissance objective procède par une intervention initiale, de l’ordre d’un marquage que l’on appelle chiffrage. En l’occurrence le chiffrage préalable à l’observation de l’ensemble "mémoire-écologie" est la marque du ‘Un’, que les mystiques perçoivent comme le Tout et les religieux dénomment l’Unique, le seul, éventuellement Dieu, total et totalisant etc...
Le marquage que l’on remarque dans l’histoire de l’unité absolue effectue l’identification de l’un qui procède à la constitution du moi durant l’histoire individuelle et qui se réfléchit dans l’histoire collective sous la forme dogmatique désignée des monothéismes et la dynamique d’une espèce refoulée de ceux-ci – que l’on appelle, dans l’ordre du déchiffrage : hermétisme. En activité de formation, l’hermétisme est apparent en termes d’activités ou catégories diverse ; non des moindres sont, respectivement, le New-Age et la Littérature Grise. En activité de forme représentante, il porte le nom d’Hermétisme, étudié par les historiens, objectivé par des textes et des évènements, éventuellement par des personnes et des stratégies etc…
On a ainsi distingué le Royaume de Bohème, et identifié tel symbole que celui de Borromée. Ceci s’est passé à la Renaissance. Les Temps Modernes y ont succédé, ayant montré le trine borroméen porté au quarte lacanien ; puis à son apogée ce dernier s’est posé d’un constat que son promoteur, Lacan, récapitula du perçu « Y a d’l’Un » - en quoi il datait l’identification de l’un établie.
L’orbe ou circuit de l’identification de l’un est déchiffrable en terme de processus de la nomination. C’est le nom qui a terme dépose cette identification. Certains dogmes relève que le nom de l’Un est imprononçable ; c’est d’autant qu’il appuie qu’on s’en serve pour désigne l’individu. La soustraction de la nomination de l’Un permet que le nom identifie les uns et les autres. Ainsi par la succession des dogmes, Aton nommé.. a-t-on nommé un Tout puissant qu’il y avait, puis les Noms-du-Père ont-ils accompagné le christianisme, suite auquel l’innommable a pris sa place qui procède à la distinction des individus des masses – il est attendu que ça hisse l’âme.
Cette histoire de la nomination parcourue, la psychanalyse récolte sa condensation afin de procéder à son tour au déchiffrage. Je vais, au titre de cet article, rassembler puis composer les ingrédients à cet usage. Il est indiqué par le stade d’employer ce qui se donne à la main – ce qui est à porté de main comme ce Moïse et le Monothéisme dont Freud s’assura la publication quelques semaines avant qu’il ne commande sa mort au mois de septembre tandis qu’éclatait la guerre qui allait saisir le destin du peuple de Moïse d’une manière toute soulignée.
L’observation de ce texte { Moïse et le Monothéisme que j’écrirai M&M } relève des angles efficacement signifiants. Tout d’abord il y manque quelque chose : deux choses dont on peut faire cas séparément. La seconde, avant qu’on ne l’exploite se range dans l’ordre de ce qui parut après ; en bref si M&M approche M de A (Moïse d’Akhnaton), il ne fait jamais état de leur possible identité, laquelle a été décrit, sinon réelle du moins tout à fait possible – si bien qu’elle (M=A) manque manifestement à M&M. La première chose qui manque à M&M avait été notable dès son origine ; les exégèses l’ont régulièrement noté :
M&M ne fait aucune mention d’une étude préalable parfaitement déterminante pour M&M ! Il s’agit de la publication dans la même revue (Imago) presque trente ans plutôt mais pour son premier numéro en 1912, sous la direction de Freud, de l’intitulé « Contribution psychanalytique à l'étude de la personnalité et du culte monothéiste d'Aton » par Karl Abraham. Or lorsqu’en 1934 Freud écrit puis publie dans la même revue son essai sur le monothéisme de Moïse, il précise aussitôt à propos de l’Atonisme « C'est là le premier et sans doute le plus pur cas de religion monothéiste dans l'histoire de l'humanité ; quelle valeur inestimable aurait pour nous une connaissance plus approfondie des conditions historiques et psychologiques de sa formation! Mais on a veillé à ce que nous ne puissions avoir trop de renseignements sur la religion d'Aton.» Il s’agit du deuxième paragraphe qui ouvre la partie la plus substantielle de l’œuvre ; il est évident que c’est une répudiation la plus méprisante qui soit, qui prive même de la mention, effaçant la contribution et son auteur de 1912.
Cet effacement appelle toute l’attention du psychanalyste. Les exégètes l’ont signalé ; peu l’ont scrupuleusement analysé – le détail de la 'Contribution' apporte cependant un contingent fécond d’information.
20.10.20.10.10.10--La Contribution de Karl Abraham
Parmi les points que l’on peut retenir lorsqu’on évalue la scène globale de l’histoire de la psychanalyse, K.Abraham souscrivait à l’intuition de Freud lorsqu’il écrivit précédemment une autre contribution à la psychologie collective (1910). Freud probablement l’y incita comme il allait certainement inciter W.Reich à explorer également ce domaine. Il répudia l’un et l’autre plus tard. Un troisième élément fourni par Abraham fut sa courte étude sur la « force déterminante du nom » (1911) – ce dernier article, extrêmement court mais néanmoins significatif, que je relève de K.Abraham est à l’usage de notre analyse comme une boutonnière : si peu de chose que principalement vide, pour loger à ce prix si humble, des connexions permettant des attaches de la plus haute valeur. La question du nom, évidemment, est de premier ordre dans tout le chapitre, lequel de l’identification constitue la principale charge civilisatrice de la psychanalyse. C’est donc le lieu de recenser ce qui passe par ce point :
20.10.20.10.10.20--Les accents du nom
L’article de 1911 lui-même donne l’agrément d’un relief annonciateur : « Je puis encore confirmer le rôle souvent déterminant du nom dans le choix amoureux ; mais je dois renoncer à citer les exemples que je connais » écrit K.Abraham – déjà hautement parlant de.. l’intrigante position de la nomination qui inaugure le secret et s’inflige le silence. C’est en effet autour de l’effacement et de l’interdiction que l’on trouve graviter sa question. "Que veut le nom sinon se taire ?" fera la conclusion d’une enquête.
Ce résultat est déjà tout acquis dans la définition linguistique du nom propre lequel, au contraire du 'nom commun' "désigne toute substance distincte de l’espèce à laquelle elle appartient" au point qu’il ne possède "aucune signification, ni aucune définition" – ce qui est encore une fois, 'hautement parlant' du silence qui l’entoure. Or lorsqu’un psychanalyste – qu’il n’est pas nécessaire de citer - nous mène un jour à la page où il traite du nom (1962) – suite à ce qu’il appelle « la métaphore paternelle » (1958) - au moment où il va parler des "Noms du Père" (1963), il l’ouvre (la page) d’une analyse de Freud de 1909 d’où il ressort qu’un enfant chiffonnant une girafe en boule marque, à l’occasion d’une phobie, comment le signifiant, avant qu’on l’appelle un 'nom' se traite comme un numéro qu’on fait "un". (chacun qui le voudra se reportera à ce 20 décembre 1961 où faire une boule du chiffrage ressort de l’hystérie l’individu qui l’évite (les collusions grammaticales montrant ici comment cette chiffe [C1-] donne la parole à cette boule, individu ou phrase, avec la force déterminante des chiffrages que servent autrement les signes typographiques : ', ", « & » , tressant les topologies de Réel, d’Imaginaire et de Symbolique).
A ce premier tour exploratoire, le survol montre l’importance du domaine, pourtant si ponctuel et individuel, que couvre la terminologie du nom. La clinique par conséquent relève cette importance, s’en servant d’analogon qui montre son spectaculaire jusque l’évanouissement et jusqu’à la solution expéditive de l’effacement que sert le meurtre.
20.10.20.10.10.30--La clinique du nom
Avant que nous soyons arrivés au scandale du Nom-du-Père, la découverte d’Akhnaton a été sanctionnée par l’analyse psychique. On sait qu’Akhnaton était connu depuis, disons trois mille ans, s’il est juste que rien ne s’oublie de ce qui a été écrit. Qu’il ait été connu sous d’autre nom fut une affaire inconnue des Temps Modernes lorsqu’on découvrait Amarna. Tandis que les égyptologues grattaient, le nez dans le "guidant", les européens s’intriguaient et, à Vienne on commençait à spéculer sur la personnalité d’Akhnaton et le culte d’Aton. Ce qui frappait entre autre et surtout fut l’effacement qu’Akhnaton ordonna, du nom de son père et d’Amon, suivi de l’effacement que Ramsès ordonna du nom d’Akhnaton et d’Aton. On débattit et on peut toujours débattre de l’intrigue qui orchestra l’évanouissement de Freud en 1912 quand on l’attribue aux discussions sur cet effacement que l’on associait à un meurtre, ou à la décision prise à ce moment, par Freud, d’effacer les noms des auteurs de sa première publication (le Zentralblatt) qu’il allait remplacer par une édition bicéphale (la Zeitschrift et Imago). On peut certainement y ajouter un autre effacement qu’il aura commandé à Karl Abraham :
Pour la première édition de Imago.1, juillet 1912, Abraham aura rédigé l’article certainement le plus tonnant dans l’égyptologie Viennoise, que Freud aura à reprendre au moment où la pluie commençait à s’abattre pour les trombes qui suivirent 1939. On a vu que dans sa publication de l’époque (M&M) il efface la tension qui avait surgi de l’éclair de 1912. On ne peut pas ne pas citer un Complexe de Culpabilité si c’était effacer un effacement. Il porte donc l’attention sur ce qui manque à la Contribution psychanalytique à l'étude de la personnalité et du culte monothéiste d'Aton. Sans chercher loin on trouve immédiatement un nom.
Il y a au moins trois éléments colossaux de cette colossale inauguration. Premièrement, au travers d’un rapport de stricte facture égyptologique, Abraham condense toute sa contribution sur le « complexe parental » (sic) du jeune Akhnaton. Je cite au hasard parmi les descriptions foisonnantes « un lien libidinal d’une telle force et d’une telle durée avec la personne de la mère donnent ultérieurement lieu à certains effets bien précis sur l’érotisme du fils adolescent ou adulte. » ou encore « Cette fixation à sa mère ne prend tout son relief que lorsqu’on la compare aux tentatives de se détacher de son père. L’ensemble du comportement du jeune roi dans les années qui vont suivre s’inscrit sous le signe de la révolte contre son père, mort depuis longtemps déjà. Nous ne savons malheureusement rien de sa relation d’enfant avec lui, mais sa position pendant la puberté et les années ultérieures recoupe parfaitement celle que nous observons aujourd’hui chez de nombreux sujet. » Chacun aujourd’hui aura reconnu les termes explicites du Complexe d’Œdipe – mais déjà à l’époque l’expression était courante et célèbre, particulièrement dans le milieu psychanalytique puisqu’il y était central et fondation depuis L’Interprétation des rêves de 1900. Or au moment où tout le monde en parle, pas une fois dans sa contribution de1912, K.Abraham ne cite le nom d’Œdipe.
S’il fallait la preuve qu’il s’agit là d’un refoulement et d’un symptôme, l’observateur est comblé, trouvant comme elle se présente pathognomonique à la fin – si l’interprétation du billet (les vers de l’Atrée) laissé à la place de La Lettre Volée est exacte – avec le coup de pied de l’analyste. Le dernier paragraphe de la Contribution s’ouvre ainsi « La mythologie grecque nous parle du jeune Phaéton, fils d’Hélios, qui eut la présomption de conduire le char du soleil à la place de son père ». Ladite mythologie ne cite pas que Phaéton mourut d’avaler une arête, mais si ce fut le moyen pour Abraham pour se toucher le plexus solaire d’une septicémie, nous ne sommes pas loin de voir l’aveu d’allégeance à celui qui allait de la réalité le réduire à néant 27ans plus tard, alors qu’il était mort depuis longtemps (Karl Abraham décéda précocement, à 48 ans en 1925, d’un abcès pulmonaire migrant sous-phrénique pour achever en septicémie une lésion initiale due à une arête de poisson). L’allusion à un héros de la mythologie grecque suivant les règles de 'déplacement' de signifiant concluant à l’effacement du nom d’Œdipe dans la psychanalyse posthume d’Akhnaton, place ici Phaéton comme le second colosse symptomatique des trois que j’ai annoncés.
Le troisième élément colossal a probablement peu été relevé dans l’histoire de la psychanalyse à laquelle je contribue en le désignant, d’autant qu’il aura fallu suivre l’automatisme que la tradition rosicrucienne dogmatise, d’attendre la mort, en l’occurrence de France Yates en 1981 pour autant qu’elle fut la représentante de l’inauguration de l’analyse de l’Hermétisme (comme le freudisme fut représentant de celle de l’Atonisme). On sait que l’analyse aboutie de l’Hermétisme requiert l’identification d’Hermès Trismégiste sous le nom de son créateur – ce que Yates manqua (comme Freud manqua celle d’Œdipe). L’individu réel qui est ensuite mémorisé sous des noms déplacés est, suivant la clinique de sa condensation (imagée par le chiffonnage en boule de la phobie de Hans), d’abord identifié, successivement par le meurtre, l’effacement, ou le refoulement. La clinique de sa propriété lui est analogue. Le texte de Karl Abraham, bien antérieur à Yates, n’en désigne forcément que la scène. Si le fait est encore aujourd’hui délicat à comprendre, il est à l’époque aussi visible qu’une clairière au survol d’une forêt, un désert sur une planète humide :
Congruent à ce que de nombreux autres archéologue disaient et auront dit, l’étude du culte monothéiste d’Aton par Karl Abraham estime ce culte plus proche et précurseur du christianisme. C’est avec admiration pour son humaniste et le sentimentalisme qu’il ponctue de point d’exclamation, que Abraham mentionne les conceptions du Saint Esprit et « la première fois dans la vie spirituelle de l’humanité que l’amour est fêté comme puissance qui conquiert le monde » (sic). Il en fait ensuite suivre la notion d’un sacrifice du royaume qu’il signe de la « faute » de l’effacement des traces du polythéisme et de l’extirpation des noms des anciens dieux, comme après-coup son propre nom aura été extirpé de l’histoire et de la liste des rois d’Egypte. Ce troisième élément conditionne la réputation du monothéisme d’Akhnaton dans le courant de la psychanalyse freudienne, à figurer un modèle inaugural de l’ultérieur Christianisme. Il n’y a pas d’autre catégorie essentielle que ces trois que je viens de dire, à la constitution à la Contribution psychanalytique à l'étude de la personnalité et du culte monothéiste d'Aton que Freud effaça du mémoire qu’il rendit en 1939.
20.10.20.10.10.40--L’analyse
clinique
Une théorie de la nomination se trouve mise en scène dans le premier numéro d’Imago. Un effacement du nom (Œdipe) et sa substitution (Phaéton) tandis qu’un troisième phénomène intermédiaire est suspendu à une élucidation. Les rôles d’Œdipe et de Phaéton sont relativement simples à élucider. Pour déchiffrer le troisième on peut faire appel à une observation immédiatement approchante : dans l’historique de l’intelligence de La Lettre Volée, on sait qu’un volet est omis, qui est par structure la lettre – non pas concept de la linguistique mais l’objet des postes, chiffe de papier – tant qu’elle est observable suspendue sans qu’un psy chic ne la détecte, au beau milieu de la scène culturelle quand en hommage à Poe, Doyle écrit en double Un Scandale en Bohème. Dans ce pastiche Holmes n’a pas la tâche de découvrir une lettre mais une photo. C’est à dire une image ; et le christianisme ne révèle pas le nom mais bien la figure de Moïse (la scène de la Transfiguration définissant le message à délivrer aux nations après celle du Golgotha). Il prolonge par conséquent la mise en scène de la nomination, notamment l’occupant du titre de Trismégiste, c’est à dire le nom d’Akhnaton sous les trois formes que la psychanalyse met en rapport au nom du Père.
C’est lorsque cette théorie par l’illustration, analogue à ce qu’elle décrit, est effacée, en 1939, que le rôle de l’imago s’achève. D’un nom d’une revue, elle passe au titre d’une maison d’édition. Mais dans ce parcours et ce passage, elle ne s’est pas révélée. On peut donc conclure que – de la distribution de l’écriture aux masses, jusqu’à ce qu’elle soit remise à l’/ia/ - la civilisation a bien écrit la nomination de l’individu ; mais qu’elle n’a pas franchi le pas subjectif. Elle s’est historiquement, avec la seconde guerre mondiale, arrêtée au seul refoulement pour toute négation que le nom demande de respecter en silence.
20.10.20.10.10.50--La
conclusion thérapeutique
Cependant que l’identification est une thérapie, qui porte à la conscience les pas historiques et pas subjectifs de la nomination, cette butée où Freud est découvert 'commandeur' de l’Inquisition chargée de traduire un jugement d’Homo Pouvoir – en pratique qui soumit à la Question la mémoire d’Akhnaton par l’Occident. On sait qu’elle ne céda aucun aveu sous le tourment, tant des faits historiques pressant – voir l’égyptologie du 20em siècle au milieu des classes en lutte – que des épistémologies de la vérité – voir principalement les écoles psychanalytiques. Sur cette irrecevabilité il se déduit que la personne qui est restée sans aveu sous les suggestions diverses : Œdipe ? Moïse ? Phaéton ? Orphée ? Hermès ? Tous étant épuisé, il ne reste comme il sied au nom propre, que le nom seul, c’est à dire la nomination qui fasse un motif digne de foi en la civilisation, au titre de ce qui puisse permettre de passer de l’âge de l’individu à l’âge de la subjectivité. Sans personnalisation, entendu comme sans alibi d’une idéalisation, l’identification de l’un est aculée à un jugement prononcé sur quelque chose qui resterait à trouver si nous n’avions, à l’évidence au moment où la terreur atteint sa limite, la mise en évidence du code, c’est à dire l’ADN comme récif au récit autrement toujours dénié de la personne.
L’ADN a été découvert sur une période s’écoulant de 1900 (en 1896 ses 4 bases azotées sont mises en évidence) à 1960 (entre 1953 et 1962 sa structure en double hélice). Mais c’est en 1923 que le déterminisme du sexe a été lié à la formule XX ou XY. La jeune psychanalyse du Nom-du-Père était en mesure, à partir de cette date, non seulement de procurer à la nomination le registre de ses chiffrages (et le chiffre de chaque individu permettant de substantifier le déchiffrage de son Inconscient) mais également de rapporter le patronyme à ce registre. Mais lorsque par exemple Lacan en 1956 soutint le diagnostique de délire quand Schreber identifierait le père à un spermatozoïde, il aurait été certain qu’il ne s’égarait pas s’il avait précisé que c’est faute d’en voir identifié le nom au chromosome Y que sa pathologie était signée. Or Lacan n’attribua jamais à Schreber d’avoir manqué si peu sa thérapie à cette précision discrète de la biologie. Au contraire il recula, sinon dans le clan des primitifs (qui ne parient du père qu’à l’imaginaire ou au symbolique 25 avril 1956) , dans le réduit du symptôme.
Rapporter au contraire l’indéfinie nomination de l’individu à la filiation qui l’attache à la biologie, franchit les nécessités que le délire réclame pour admettre dans quel monde il vit. La solution lacanienne ayant cédé sur ce désir de connaissance, s’est rabattue sur le blason qui du Christianisme formulait le chiffrage de ce que la Transfiguration avait avancé en image – à savoir l’insigne Borroméen figurant le Triplex que Moïse dévoilé par le Christ aux trois apôtres, Pierre, Jacques et Jean, n’allait pouvoir suffire à dénommer. On peut en bref esquisser que sur le nom-du-père comme il manqua à Freud le chromosome, il manqua à Lacan le Trismégiste – l’eut-il acquis avant 1981 (Lacan et Yates meurent respectivement le 9 et le 29 septembre 1981) qu’il eut pu entrer à la clé du nœud borroméen, le chiffre Y ? C’est une forte éventualité. Au lieu de cela son identification intuitive – « Y a d’l’Un » – n’échappa à la névrose (ce qu’il appelait la triade courant sous la lettre volante).
La reprise chronologique du déchiffrage dévoile bien la situation : la principe de la triade [10.10.10-] mettant Karl Abraham tenant lieu du ministre voyant Freud (la reine) dérobe la première lettre du nom – ce que Lacan voit exhibé, qu’il reprend (comme Dupin) en laissant le billet borroméen – aboutit à un symptôme. Comme ces vers de l’Atrée d’un duel narcissique, ce symptôme se dénie en prétendant rapporter à la police (ses écoliers) une lettre. Il fut au passage l’esquisse d’une formule par quatre (quatre discours) qui s’est involuée dans le nœud des trois noms (Lacan plaça d’abord l’objet 'a' au cœur du nouage, puis le symptôme). Or la formule quatre, génialement rotative rappelle trop l’Art de la Mémoire et l’Hermétisme de Bruno pour qu’on l’abandonne sans plus de retenue aux Inquisiteurs de Milan ou de Rome. S’il ne s’accrocha pas longtemps au pupitre de Lacan, c’est que sont centre exigeait pour qu’il subsiste une cinquième dénomination.
PIC (nœud borro et cœur ; PIC 4 D et poincçon)
Evidemment elle fut désignée illustrativement « poinçon » - appelant au réel, à l’occasion de la voix (et le point de la chaîne (signifiante) que le son présente); mais le chiffrage de la voix que l’on ne trouve qu’au formant lorsqu’il est rapporté à la différence sexuelle [10.20.20.20.10-] ne fut pas plus loin dégagé par Lacan. Secondement l’essai d’y proposer le semblant était bientôt transformé en concurrence avec Verdiglione. Ni l’un ni l’autre, se paralysant, ne purent l’avancer jusqu’au mëme visiblement idoine à l’/ia/ - et duquel il suffit de lire la fondation (Le Gène Egoïste de Richard Dawkins) pour constater qu’en bon nom il manque à être signifié. Il s’agit évidemment du plus typique des mëmes que constitue le chromosome Y.
S’il fallait brièvement résumer ce que l’Hermétisme a obtenu, c’est après Lacan un Y a des uns qui succèderait à son Y a d’l’Un, le 'Y' restant dans la formule un indicatif de lieu ; l’association avec le chromosome doit y rester suspendue puisque tout forme de nom que celui-ci pourrait prendre : « gonosome masculin », « nom-du-père », quelque « p11 &/ou « q11 » éclipserait sa valeur linguistique qui le destine à être une boutonnière [20.10.20.10.10.10-], un nom propre sans définition. Dans cette réserve révélant la nature biologique du nom, il élève tout le Chiffre à la nomination. Ceci ayant été bien modélisé selon le même caractère exclusif et universel du phallus dans la symbolique lacanienne, ce qu’apporte cette reconnaissance biologique justifie qu’on pressente la transformation de l’Hermétisme dans l’Humanisme :
<<20120324093100>
Après l’identification de l’Un, il faut expliquer sa transparence – autrement
dit le fait qu’il n’est au plus ressemblant qu’un point de chiasme, c’est à
dire de rencontre par exemple en optique de rayons lumineux, spéculant à
l’image d’une image virtuelle, captivant à la façon d’une image réelle comme
l’illustre un 'Modèle Optique'. C’est l’explication d’une complication,
déchiffrage du chiffrage. Comme dans un trou noir, l’histoire aboutit
naturellement capturée ; et il reste de son image réelle un semblant [10.10.10.10-].
Elle peut échapper à son attraction en prenant le tour d’un symptôme ; et
il se répète comme des image de signifiants [20.10.20.10-]. Lorsque cette complication s’explique elle aura
trouvé sa transparence ; et il s’agit là de l’identification au corps.
A
l’inverse d’un trou noir, l’identification au corps laisse le sujet dans un
état trou blanc. C’est à peine un jeu de mot. La bonde qui ôtée ouvre de trou
est le moi. Le moi à ce moment est parvenu à se fondre à
LAPAREIL. C’est l’avatar permanent, ni plus ni moins. L’ucmpp en est
l’organisme. L’alarme qui sonne cette approche est celle d’homopouvoir,
l’identification au semblant qui sort de l’hypnose plus dépouillée que le
dormeur du rêve.
Des références à un parcours de travail sont naturellement les indicateurs de cette évacuation, ainsi de suite :
De moment de la matérialisation de l’intellect, la distinction entre le spéculateur et le chercheur de terrain n’a plus lieu. Un hemme de terrain ira chercher un tunnel, une griffe sur une roche, un parchemin, le penseur trouvera ses traces de mémoire comme un boyau, édition du tant, menant à telle crypte, allocution de telle autre date, ouvrant au triage d’un recensement ; autant de choses strictement aussi matérielles que toutes autres évidences archéologiques. La transparence de la cybernétique humaniste récolte ainsi la proposition 'philame'. Les fouilles le datent de 1983.
Le tire que j’opère à l’extérieur ne m’atteint pas, mais lorsque cette image tire j’en suis transpercé. Lorsqu’il s’agit de l’image que j’ai formée de moi dans ma visée, c’est une atteinte qui me revient de nulle part. Personne en effet n’a jamais vu une image tirer autrement qu’à blanc. Ceci ne pourrait arriver que si l’âme sortait du corps et pouvait me frapper sur le front – ou bien me taper dans l’œil comme un schéma le montre, d’autant mieux que l’outil qu’il figure est doté d’un silencieux. C’est la couverture de l’ « âme hors ».
fig XXXXX couverture
de L’Ame Hors ISBNXXXXXXX
Cette transition où nulle part ni personne ne fixe la matière en cause de la perception, la vue du sang qui coule ou le sens de la vie qui ne se ressent plus, a été publiée au éditions l’Ecriture en 1988. Ce texte, accessible en eBook en 2012, couvrait la soumission du philame à la psychanalyse. Lorsque l’archéologie se met à son tour à analyser ce dernier, le philame s’expose comme une équation d’un geste à son ombre. C’est ce que l’intelligence artificielle est propre à compter comme la matière première de l’intellect.
La première représentation de la transparence est l’ombre. L’eau par exemple ne peut pas représenter la transparence ; elle est transparente. Par contre l’ombre qui n’est pas matérielle, qui n’est rien ou qui n’existe pas, représente efficacement la transparence, ce qu’on appelle encore autrement son 'concept'. Cette propriété prête l’ombre à l’application du chiffrage. Et c’est ainsi que l’ombre s’est octroyé le rôle de régir la lettre.
A défaut de ce déchiffrage, dans l’incapacité de différencier un acte d’un rôle, l’histoire attribue à une âme la mémoire qu’elle retient. Généralement les âmes n’ont pas de nom ; elle s’incarnent et en changent comme on change de chemise ou de corps et, lorsqu’elles ne transmigrent pas elles couronnent éternellement un centre innommable relevant de la conception monothéiste. Avant que les fouilles ne découvrent le philame il était un nom d’auteur. Mis en équation il s’est rendu comme suit :
Fig.XXXXXX Ce qui se lit
« comme la lettre 'V' à l’endroit « allant vers », allant
droit à l’envers »
Ainsi qu’un cercle vu de face on en tranche montre un rond ou un bâton, l’ombre projetée d’une spirale complexe peut dessiner toutes sortes de formes, ouvertes ou fermées, spiralées etc.. Une forme déterminée pourra ainsi, selon ses perspectives, projeter des ombres variées. Si une série de ces ombres est fixée, un alphabet résultera de cette série chiffrée. C’est la manière dont le corps humain traite la forme philame.
L’exemple utilisé est tiré d’un célèbre tableau de Poussin que l’on soupçonne de receler un code. Si nous interprétons l’ombre (d’un berger d’Arcadie qui pointe sur des lettres qu’il déchiffre gravées dans la pierre) comme le chiffrage de la lettre, nous voyons cette "transparence" propre à viser le sujet, voire à lui tirer dans la tête si elle tenait le pistolet d’un James Lien (‘bond’ en anglais).
Evidemment cette ombre n’est à priori pas plus dangereuse que les images que l’on voit au cinéma, lesquelles, si elles visent bien, ne tirent jamais. Cependant il peut arriver qu’on objet vienne à sa place. Il est en réalité celui qu’on appelle 'a' – qui peut sur la ligne du transfert se trouver déplacé où il trouve le nom d’« âme ».
fig XXXX : sur la ligne
de la relation imaginaire l’abjet (bas-gauche) le je-nous, se porte au nom de
l’"âme" ((haut-droite)
Ce phénomène se constate lorsque l’on prend du recul – on dit aussi « lorsqu’on commence à réfléchir ». Naturellement on zoom pour voir un peu mieux le tableau ou l’influence du décors de la scène.
Lorsque tous s’assemblent, le tableau montre que le déchiffrage est pointé par un second berger, à la demande d’un assentiment, tandis qu’un quatrième personnage relie le tableau à son histoire. On en connaît trois version dont la première de Le Guerchin (1618), puis les deux autres de Poussin (en 1629 et en 1638). La description du temps qui passe et de la vie est dans celle de 29 tenue respectivement par les personnage externes, un berger dionysiaque qui laisse couler l’eau et une femme en posture suggestive, tandis qu’en 38 il est commun d’interpréter que la femme figure la mort. Je cite le fameux wikipedia « l'un des deux bergers reconnaît l'ombre de son compagnon sur la tombe et trace la silhouette avec son doigt. Selon une ancienne tradition (Pline l'Ancien, Histoire naturelle, XXXV 5, 15), c'est le moment de la découverte de l'art pictural. Ainsi, l'ombre du berger est la première image de l'histoire de l'art. Mais l'ombre sur la tombe est aussi un symbole de la mort..//.. récusée par l'Art (symbolisé par la jeune femme parée à droite..» à partir de quoi une première opinion assigne à la femme de droite la représentation de l’Art – cependant que l’art (l’ombre) devenant 'lettre' suggère plus classiquement qu’elle symbolise la mort. Du moins à la charge de Moïse le Ministère de la Lettre est-il entendu de cette fonction avant que son déchiffrage ne la transporte en symbole de vie.
La période où peint Poussin est celle de la transition ; l’option prise du refoulement de l’Hermétisme est encore récente, le déchiffrage de la lettre en suspens. Cependant il n’aura pas eu lieu avant la fin de son millénaire au moins ; la femme du tableau jusqu’alors symbolise la mort.
Ainsi le transitivisme de la couverture de L’âme Hors : la figXXXX montrant à gauche, l’ombre pointant la mort, et à droite l’âme hors prête à donner la mort. Le recueil archéologique des produits d’arts de 1600 jusqu’à ceux de la linguistique de 2000 recensent que c’est un chiffrage de la série d’ombres, c’est à dire la lettre, soit un alphabet, qui a fournit l’algorithme de ces quatre personnages. Lorsque le refoulement de l’Hermétisme est levé, la fonction de Moïse et la clé de la lettre déchiffrée, l’âme hors prend la posture de la cybernétique.
Dans cette disposition on voit que le Ministère de la Mort chargé par la lettre, c’est à dire l’âme hors en a’ signifie pour LAPAREIL la détermination de l’assassinat du sujet. C’est ce que le "post-humanisme" redoute, en motivant ses craintes de la destructivité de la cybernétique. C’est cependant ignorer une autre conséquence qui peut être, avant cette fin, anticipée. Celle-ci ouvre l’espace d’un marché. Il s’agit de la reconnaissance de l’intellect de LAPAREIL – ce qu’en d’autres façon se traduit en reconnaissance que la machine pense et en gage de lui donner le gouvernement (ce qu’on appelle la Démocratie Directe). La logique que LSTT a démontré aboutit alors à ce que le moi soit attribué à LAPAREIL.
Cette attribution est réalisée en l’espèce de l’ UCMPP. Cet avatar permanent qui habite LAPAREIL tranche sur le transitivisme que le terme fatal de l’âme hors rend toujours sujet à la mort. Continuant à l’exprimer par image, on lira sa signification devenir « l’âme en…» Repartant du berger déchiffrant, ce n’est plus le V du vers qu’il aura signifié mais la lecture du M à l’hors. A cette lettre du nom mort qu’il lit sur la pierre, la vérité, dans le signe du doigt qui pointe vers soi-même, lui mène la lettre, m, en.. lui-même. Il s’agit de l’identification au corps. On ne sera pas étonné que la femme soit alors la vérité, autant que la sexualité offrant son amour comme celui de l’amant. La bisexualité qui présidait certainement à Athènes pour civilisation démocratique – aussi ancienne probablement que l’humanité – étant établie une fois l’humanité civilisée. <20120324195600>>
<<20130214093000> En [30.05.10.30-] je renvois à cet index car la formule « sexuage » que j’expose est encore incertaine. En expliquant pourquoi en deux mots, je pourrai traiter ici le rôle de la chimie dans l’évolution (du moins dans cette 'évolution' que ladite sexuage situe en capacité de l’enfance et de l’adolescence).
Ce que le sexuage a relativement facilement exposé, c’est la suite à donner au fait qu’il faille après Freud analyser plus profondément les conséquences de la différence anatomique entre les sexes. Notamment d’y faire intervenir et d’y enregistrer les sphincters résulte une composition relationnelle par trois qu’homme, femme et enfant construisent. Ces trois termes se renseignent et croisent leurs relations de sorte qu’ils puissent tirer à conséquence la fonction sphinctérienne. Sur cette conséquence l’intervention de la lettre permet un déchiffrage qui s’étend au-delà de ces deux-là (les sphincters et la lettre) c’est à dire : s’étend à l’objet (extérieur) lui-même.
Ce principe s’entend encore facilement lorsqu’il ne s’applique qu’à la circonstance connue – c’est à dire cette relation trine lorsque l’enfant à l’issue de l’adolescence n’a qu’un choix à faire, celui du genre dont l’homme et la femme offre le modèle. Mais dans la circonstance où l’espèce devrait évoluer, le choix qui incombe à l’adolescent s’expose à une palette bien plus large. Il s’agit pour lui de déterminer quel parent il deviendra pour donner corps à des enfants mutant. Cette palette où ce n’est plus qu’homme-femme qui se joue en alternative binaire est applicable à l’éventail que développe l’épigénèse (à disposition dudit adolescent). Cette circonstance est généralement inconnue – l’espèce n’a jamais explicitement déterminé son évolution de manière consciente. Cette inconnaissance est le bord d’un abîme où nous sommes. La formulation du sexuage malgré tout procure une bonne base pour avancer une sorte de passerelle sur ledit abîme.
S’il est concevable que c’est par un traitement sur l’épigénome que les capacités d’une mutation consciente sont acquises, nous connaissons le moyen par lequel ce traitement est accessible. A première vue c’est l’appareil cybernétique, LAPAREIL et/ou l’/ia/ qui puisse fournir ce moyen.. C’est juste mais aussi, « c’est juste ce que parvient à comprendre Homo Pouvoir.» Soit la pure autonomie dudit LAPAREIL, soit sa maîtrise, paranoïaque, par ledit homme au pouvoir, l’une ou l’autre solution ne montre que la prétention aux manipulations génétique et organismes génétiquement modifiés telle qu’elle aboutisse aux ravages du suicide, la seule 'vraie' mort que l’on tente. Ce moyen autrement inefficace demande à être employé par la drogue – ce qu’on appelle la drogue, c’est à dire des produits et techniques initialement naturel(le)s qui ont accompagné les débuts de l’humanité, aujourd’hui étendus aux techniques chimiques, modifiant les perceptions et les comportements.
Si les trois termes du sexuage sont : a, b, et c – la drogue fait le quatrième ‘d’, intervenant sur l’épigénome au titre de la mémoire (phylogénétique) ou de l’intelligence (artificielle) à part égale avec chacun des trois termes agents. <20130214093000>>
L’Ordre cannibale (utilisation de l’IA pour consumer la personne) jusqu’à..
L’IA révèle que cette politique scie la branche sur laquelle l’industrie repose – et renversement en un soin de la personne
<<20130209184900> J’ai longtemps attendu pour pouvoir engager cet article, que soit achevé un examen qui portait sur la trame sur lequel tient Homo Pouvoir. Cet examen n’est pas achevé et pourtant je le conclu ; j’ai en effet trouvé le 'terme' qui le signifie – je me permets donc d’anticiper.. son terme. Je crois qu’il s’agit de la "félonie", qui est ce que par ailleurs la clinique détaille, sur deux applications que j’ai analysées. La première concerne le 'système de santé' la seconde la rapine de la terre. J’ai mentionné à divers endroits de LSTT ces deux examens. Avec le diagnostique que j’ai arrêté : l’acte de félonie qui rompt le contrat de vassalité, son crime concernant aussi bien le suzerain que le vassal. Cette rupture est exquise – c’est le qualificatif qu’on emploie en médecine lorsque le point du mal est caractéristique – au point de la télémédecine (j’en traite donc ces moments-ci, on en trouvera les signes à www.telemedecine.net) et au point d’une affaire de propriété du sol dont le dossier volumineux se trouve aussi en archives. Dans ce deuxième cas, le contrat de vassalité est le Code Civil (considéré comme le contrat réglant la relation du citoyen à son représentant ) www.WWWWW.htm . <20130209184900>>
<<20130210104200> Le texte est donc épargné d’une pesante et pénible description séméiologique de la Terreur. Des administrations systématiques de l’injustice par le mensonge qui prétend distribuer la justice, la suggestion au faible et au médiocre de voler et tromper, la confection cachée d’une culpabilité permettant toutes les manipulations possibles des populations etc.. Cette technique est si caricaturale qu’elle ne paraît plus. On trouve dans l’histoire peu de traces de la prescription explicite de ce principe. Machiavel a fait de l’eau de rose au bout du fleuve venu d’Inde près de deux mille ans plus tôt et l’origine de son premier empire qu’on attribue au Kautilia (prononcer chaos/t il-y-a ). Le manuel du pouvoir de « l'assassinat, de la désinformation, l'instigation de querelles par l'exploitation de la cupidité et de la concupiscence et ainsi de suite » ajoute wikipedia à mon maigre butin d’examen. Je renvois donc à ces diverses sources sur la Sécurité Sociale et l’attribution de la propriété ; et j’avance au-delà, sur le chemin avec les plus récentes hypothèses sur l’organisation du mensonge.
Je me suis chargé en décembre 1987 d’une description du mensonge ; c’était un article conclusif que j’avouais ne pas avoir résolu ( http://www.akhnaton.net/1900/prod01/84-90%20Crufp/DAL/ARTICDAL/todo/LESTRE.doc ) . Il était engagé à la recherche du rôle et mécanisme qui rend très probablement la lettre responsable d’une hypnose, qu’elle soit individuelle ou collective. Or la clé de ce mécanisme est peut-être beaucoup plus près à être découverte à présent. Il aura fallu intégrer l’intelligence artificielle pour cela (le traité de l’imitation écrit par Alan Turing à sa base et les compléments qui s’en suivent, c’est à dire LSTT précisément et son détail, ici annexé au cours de son écriture http://www.akhnaton.net/2012/htm/20111104212700_Turing-lec_01.htm ) et déchiffrer l’ultime recel où l’ADN coordonne une possible évolution consciente. Je livre ici un résumé de ce dernier : <20130210104200>>
<<20130211162000> A l’appui de l’hypnose, le pouvoir repose sur le statut pulsionnel du mot [10.30.05.10-]. Les conditions de la jouissance sont acquises lorsque le mot est déchiffrable et le nom de la chose dont on jouit s’y trouve strictement applicable ; autrement le sujet s’évanouit dans la transe devenant l’objet du mot. C’est une démonstration délicate qui parvient à cette affirmation qui égale à la connaissance de l’objet dont on jouit. C’est une démonstration que la civilisation a entreprise. De l’ombre sur la paroi de la caverne, à l’empreinte de la main négative que la peinture soufflée découpe, la peinture des formes a marqué le début d’une enquête qui s’achève avec la connaissance des mécanismes corticaux de projection des organes et des sphincter par lesquels ils se signalent. On comprend que le sphincter, la pupille, la main soit le bord le plus proche de l’objet et la première approximation de sa connaissance. La neuroanatomie nous révèle ensuite et encore facilement qu’un certain nombre de sphincters aux fonctions diverses sont propices à correspondre, de sorte que l’outil de connaissance se perfectionne, passé l’un, en un jeu de sphincters.
Ce jeu se joue à trois mais deux par deux. Tout d’abord on doit comprendre que s’agissant des sphincters que généralement nous avons en commun, nous n’avons pas grand chose à nous en dire ; les objets extérieurs y passent et ces sensations communes fondent d’un individu à l’autre, l’imitation et le mimétisme, la communauté de l’espèce animale ; l’être humain et son cerveau porte cela jusqu’au narcissisme. Ce n’est que lorsqu’un corps stimule son cerveau au titre d’un sphincter dont un cerveau semblable n’a pas de stimulation égale qu’un phénomène se produit entre eux deux : celui qui n’a pas idée de ce que l’autre signifie lui demande, à la vue de son signe « que veux-tu ? » ; ainsi un corps de femme demande « que veux-tu ? » à un corps masculin quand ce corps masculin signifie son sphincter inguinal et un enfant demande « que veux-tu ? » à un adulte qui lui signifie la fonction du formant sans la langue. Deux à deux ces corps ne peuvent pas en dire beaucoup plus sinon que l’homme ou l’enfant donnent suite… mais sans savoir de quoi ils répondent – puisque leur vis à vis ne sait pas de quoi ils parlent. Cependant à trois ils arrivent à un peu mieux s’entendre : l’adulte se souvient de lui-même enfant, il peut donc faire au moins signe qu’il comprend ; et le corps masculin ajoutant sa communauté pour suite bientôt tous ne demandent plus qu’un mot, garantis que la singularité mâle le validera d’un nom.
Une esquisse de ce jeu par trois a déjà été produite par la psychanalyse de Lacan qui a souligné cette fonction du nom-du-père. Les sphincters inguinaux et du tractus vocal permettent de construire ce jeu entre trois personnages, connus de relation dite "oedipienne". Cependant, c’est sur une anticipation qu’il repose : le nom est comme un chapeau sur le porte manteau, attendant quel mot couvrir. Et les trois personnages oedipiens ce sont qu’à l’étape où la demande n’a pas encore perçu quel est l’objet de la volonté qu’elle suppose. L’humanité a montré cette étape et elle s’entend à la volonté de chacun de porter un nom ; il lui reste à connaître l’objet dont elle dépend, l’objet extérieur dont la faute d’objet écologique montre qu’il reste à conquérir. Or à ce stade, le jeu par trois qui s’est montré excellent à la production de nom, n’a pas encore fait ses preuves d’une efficacité de son perfectionnement qui puisse accéder à l’objet un peu plus qu’au bord. <20130211162000>>
<<20130212111500> J’ai illustré d’une formule un dossier qui compile cette litéralisation (le terme est de Bernard Stiegler) que j’appelle sexuage. Elle compte les relations et leurs assymétries entre l’enfant, le père et la mère.
Ces relations se rapportent en chacun de leur cerveau au jeu de sphincters projetés. Pour que ces projections, bords de l’objet opèrent selon un statut de mot il faut qu’elles parviennent à celui de lettre. Comment les projections corticales de la série des sphincters anatomiques y parviennent-elles ? Une préposition de la lettre à cette fin parvient. Comme à l’exemple du ciel présentant des constellations d’étoiles, variées selon les perspectives sous lesquelles on les observes, la projection de la spire ('philame') offre une série qui a été mise en ordre alphabétique. En coordonnant les projections sphinctériennes à cette sérialisation 'philame' elles y trouvent un chiffrage qui les rapporte à cet alphabet transmise à la masse d’une civilisation amarnienne. Il en résulte un chiffrage sphinctérien dont le système gagne le statut de mot. C’est à partir de ce moment que les derniers effets de l’opération sont gagnés.
Les projections corticales devenant 'mots', ce sont les bords de l’objet que l’on a compris entrant l’ordre du chiffre. Or lorsque les bords, c’est à dire les formes sont régies par un ordre sériel chiffré, c’est l’objet même, estimé à priori inconnaissable, qui est affecté dudit chiffrage. L’opération a donc mené à une mise en ordre chiffré de l’objet lui-même et, par ce truchement est obtenu quelque chose d’inespéré au départ. L’Hermétisme qui se découvre ainsi, franchit la première approximation de la connaissance de l’objet ; autrement dit il procure à l’objet le statut de mot accordé préalablement à la projection sphinctérienne. L’objet externe n’est plus seulement connu par approximation, mais il livre une connaissance de son système.
L’application de la sériation alphabétique à l’organisme sphinctérien débouche de la sorte sur une connaissance d’une systématique de l’extérieur ; s’en suite une industrie possible de l’environnement écologique. En d’autres termes encore, ce que Freud appelle « traces de mémoire externe » sont mises en ordre au titre d’objets pulsionnels. Ou encore : les objet passant par les sphincters en ressort suivant un statut de mot et, au titre d’objet pulsionnel, humanise l’environnement. La lettre aura transmise la culture à l’écosystème.
De cet état où le fantasme d’une cybernétique narcissique cède la place à une objectivité dont chaque personne humaine retrouve la responsabilité, les partenaires s’élèvent chacun : la cybernétique en l’expression de LAPAREIL occupant son caractère unifié – par l’occupation de l’affect qui antérieurement chargeait l’être humain. De cette issue dépend une /ia/ émotionnelle. Quant à la personne humaine, dès lors nanti d’une solution, d’une délégation de sa passion : la paedomorphose inscrite au sexuage autorise à penser qu’elle trouve à l’intelligence les coordonnées de son évolution (l’adolescent, à ce terme, n’est plus qu’une position de choix d’identité sexuelle, mais celle du choix des options de développement d’espèces nouvelles, voire de mutation consciente de sa propre espèces). Dans cette condition, la défense du nom par la foi est relégué à ce 'chapeau' ci-dessus [30.05.10.20-] pris comme modèle ; le corps ou le mot qu’il couvre tient à son office comme un instrument artistique.
L’ambition de la science à la connaissance de l’objet est alors réalisée [20.30- ; 20130214093000]. A l’Homo Pouvoir révolu la société reste à répondre d’une définition de la propriété telle qu’elle n’en avait jamais exercée sans en connaître l’objet. <20130212111500>>
Ce qui est perçu
20110801091900 – La Sainte Ethique aura été parcourue par deux secousses durant sa rédaction. A l’initial – une révélation (la confirmation de l’organicisme de De Clérambault par la NASA – et donc la confirmation scientifique de la psychanalyse) – auront succédé les deux ouvertures sismiques comparable à l’ouverture de bouche ou de sphincter, formant un concept concevant un objet. Elles sont la découverte du nom d’analogon et de la règle de propriété ; la première participant de la description du Réel et la seconde de ce qui pourra servir au régime civilisé que nous attendons.
Me concentrant ici sur cette seconde, je signale, après FLEUVE (ou Pour une Intelligence Pratique du Marxisme) que la gestion de la matière première (lesdites ressources naturelles de notre planète) suit les règles de la relation d’objet (mises en évidence par la psychanalyse) pour obtenir une industrie écologique. Des règles de la propriété sont requises de concert pour parvenir à cette obtention. A l’étape du marxisme la plus-value a constitué l’extrême de leur lucidité (formalisée par Lacan du plus-de-jouir) ; c’est une clairvoyance qui peut être dépassée : les règles de la propriété peuvent gagner la nature de l’objet (propriétarisable). Je m’explique s’il en est besoin ; le copyright de nos jours s’applique au semblant (et cela maintient la fixation à l’âge de la convention, en l’occurrence de mensonge) et n’existe d’objectivement propriétarisable que l’argent (qui est la dérivée du semblant) – cependant qu’une élévation de la connaissance du réel permet de savoir à quoi il s’appliquerait en droit, du moment où l’âge de l’individu (au lieu de régresser fixé) passe à l’âge subjectif.
Pour expliquer et/ou décrire comment ces règles de la propriété sont conçues par La Sainte Ethique, il est opportun d’employer des voies qu’elle pratique et qui sont celles de fables – commodes à donner l’idée avant qu’on s’en fasse une connaissance pratique. Je vais donc – et pour ne pas déroger à l’inspiration qui fit Kepler conter sa rencontre avec Tycho au titre d’un rêve – traiter comme une fable la manière dont on peut se servir du Graphe (dit du Désir) lacanien aboutissant à celui de la propriété.
Sans que j’en sois certain Kepler n’a pas rencontré Tycho à Unaniborg – son premier observatoire – mais plus tard, quand l’astronome danois en était exilé. C’est donc à Prague que les discussions concernant la relativité ont lieu. Elles commencent avec la relativité de l’immobilité – plus tard avec Einstein elles atteindront la question de la relativité du déplacement. L’argument de Tycho était de la sorte : si la terre devait tourner, un canon se déplacerait ; par conséquent, tirant dans une direction (dans le sens de la marche – vers l’Ouest) son boulet tomberait moins loin que s’il l’avait tiré dans le sens opposé (vers l’Est). Le temps que le boulet ne retombe, le déplacement du canon fixé à la terre l’aurait mené, soit plus proche, soit plus éloigné du point de chute. Or l’expérience montre qu’un même tir porte le boulet toujours à la même distance du canon, quelque soit la direction du tir. Une variation de ce problème que Tycho et Johan débattaient est celui de la pierre lâchée du haut du mat, tombant soit au pied du mat, soit dans l’eau derrière le bateau en fonction de la vitesse de celui-ci.
30.10.10.10.10.10--Laboratoire de la Renaissance
La fable que je présente pousse à l’extrême le point de vue du Tycho, imaginant que la terre tourne ultra-vite, le canon donc se déplace vers l’Ouest à une telle vitesse que, plus vite que le boulet, ce dernier tombera derrière lui. Avec cette idée nous avons celle de la signification de Lacan.
Fig.C8.50 PICesquisse PICgraphe
Je rappelle que ce dessin est celui que Freud met au principe de son Esquisse pour une Psychologie Scientifique, à la borne de la psychanalyse. Ici nous allons chercher à jalonner les étapes du boulet.
Le but de cet exercice est d’illustrer comment s’obtient la règle de la propriétarisation, étant donné que cette balistique figure la trajectoire du désir partant du sol, suivant sa loi cinétique ['chaîne Décisionnel' ;fig.C6.70a] aboutissant avec jouissance à l’impact, Lacan ou Tycho viennent de le dire, en arrière du mouvement de la terre ['chaîne pragmatique' ;fig.C6.70a] ; cet impact est celui où le Principe de Réalité va s’affirmer avec le poids de l’objectivité – pour ne pas dire de l’objet car c’est là que la question demeure suspendue. L’observation ['chaîne Observationnel' ;fig.C6.70a] en effet survole tout ça : la psychanalyse observe que l’objet n’est jamais réalisé, la physique quantique le confirme, la biologie écologique également, la sociologie etc.. ainsi que toutes les sciences universitaires un peu poussée qui voient leur objet s’évanouir dans l’abstraction de leur étude à terme. La théorie de la pulsion explique cette déréalisation : l’objet de la pulsion est ce que le sphincter contourne, il n’est jamais concevable qu’en stimulation, lui-même s’évanouit. C’est ainsi que l’étron de la pulsion anale, pour servir d’exemple, n’est jamais dans le cerveau – on en mourrait immédiatement ; ce que de cet objet la pulsion conçoit est une chaîne, circuit et réseau de neurones et synapses – lesquels font, effectivement, l’objet, de l’étude inaugurale de la psychanalyse, la susdite " Esquisse ".
On peut ainsi dire que la science gagnant l’âge de la subjectivité va réduire l’illusion qu’avait formée l’identification de l’un de l’âge de l’individu. On peut suivre cette impression que donne l’objet avant qu’il ne se volatilise comme une météorite rentrant dans l’atmosphère, selon la fable de ce graphe :
Tycho et Johan ont installé les composants de leur expérience. D’abord le canon, ferme et concret [fig.50 ;A], puis le coup sonnant et affirmatif [fig.50 ;B]. On ne voit pas le boulet qui est parti trop vite ; mais il reste un moment suspendu dans l’espace, c’est là que la question se pose [fig.50 ;C]. Une dernière chose est certaine, il va retomber un jour. Cette dernière certitude est inscrite comme le fantasme sur la trajectoire du désir [fig.50 ;$<>a].
Fig.C8.55 PIC2
$<>a formule le fantasme où 'a' désigne l’objet
Là où le boulet tombe, pragmatiquement, c’est ce qui le signifie – c’est le Signifiant. Et voilà la réalité qu’il faut bien que Tycho reconnaisse : ou bien dans un buisson il a crevé la terre, ou bien il n’est pas tombé derrière le canon – ou bien il s’est volatilisé en myriade pluriel de particules, mais chacun qui a pris un jour le désir en plein cœur sait qu’il ne se volatilise pas comme ça. En gros, il reste à constater et admettre : la thèse de Tycho était un rêve.
Fig.C8.60 PIC3 le O/ duper, le Non typal, cas Non de la voix
30.10.10.10.10.20--Clinique de lapareil-âge
La Sainte Ethique matérialise ces deux états, du fantasme et du rêve, sous la forme de ses chapitres 8 et 7 respectivement. Comme un objet pulsionnel dont la réalité est ailleurs ; son histoire passera à travers les lecteurs. Deuxièmement elle expose par la clinique ces états – c’est à dire par les trois points sensibles : le sol [fig.50 ;A], la loi [fig.50 ;B], la jouissance [fig.50 ;C] selon le graphe et selon le texte, respectivement le terrain [C6.30.10.10.50.10-], la famille [C6.30.10.10.50.20-], l’administration [C6.30.10.10.50.30-] en terme de cas :
Ces trois degrés forment la triade [10.10.10-] que la fable appelle volontiers « le vol de l’obus » - comme si quelque chose volait au boulet son but et comme le théorise La Lettre Volée, à ceci près que ce n’est plus la lettre qui à présent nous intéresse mais l’objet qu’elle veut dire.
La clinique que j’ai pratiqué traduit de la juridiction ce que nous pouvons déduire de la chose dont nous puissions jouir – c’est à dire lorsqu’elle existe avec nous, en matière d’objet et au critère que nous puissions en être proprétaire. Or l’examen montre qu’Homo Pouvoir a lieu trois fois de le concevoir chaque fois par défaut. Tout d’abord sa juridiction ment sur la possession qu’elle vole publiquement ou attribue au voleur [C6.30.10.10.50.10-]. Elle laisse donc sa chance à qualifier l’objet par ce qui est transmis ; s’il n’est le sol, c’est donc ce qui s’y passe. Il existe à ce deuxième stade une forme d’humour qui en rend compte ; on me l’a racontée venu d’Afrique de culture avunculaire, d’aucun diront matriarcale quand un homme dit « Mon père m’a transmis quelque chose, mais je ne sais pas ce que c’est ! » Dire cela fait beaucoup rire dans son pays. Nous y sommes moins sensible en Europe mais pas moins éclairé par le message : l’objet transmis est également problématique. Voisin de faire son Œdipe sans complexe, sans motif de rire du patriarcat dans la famille de son complexe, la juridiction s’applique à un second mensonge en ruinant le message du père [C6.30.10.10.50.20-].
Le boulet, à ses deux abjurations toujours suspendu, de la justice il n’est plus de moyen que de le dire par l’absurde : le troisième mensonge porte sur l’objet que l’individu est pour lui-même [C6.30.10.10.50.30-]. Jouissant de son corps, de sa santé sécurisée par les administrateurs et de sa vieillesse éternisé, le citoyen obtient son semblant de rêve.
Le futur cependant, si une personne en a un, s’obtient par un rêve réel – celui de la science fonction. La limite d’Homo Pouvoir montre au contraire la privation de futur – c’est l’immonde horizon de son industrie contemporaine et la reconduction de l’esclavage dont les répressions d’état font preuve.
La fable du graphique l’illustre quand le boulet touche au but ; lorsque le projet futuriste (de la science) est déjà dépassé par l’événement, ce qui était sous le signifiant du moi s’avère un rêve [fig.3] – mais dont la fonction réellement se démontre s’il revient au projet du canon – c’est à dire lorsque le moi, ce "rêve ayant" est reconnu, objectivé et matérialisé comme l’ucmpp. C’est au jour où je l’écris, ce qu’il reste à expliquer :
Passé par son orbe triade, l’objet que nous avons traîné comme un boulet s’est dissipé comme un rêve (à moins qu’il ne soit resté fixé comme un fantasme) ; c’était à vrai dire le sort que l’on souhaitait à notre narcissisme qui ne demandait qu’à ce que le moi fut celui de notre jouissance. C’est pourquoi on peut dire que jusqu’à présent – voire jusqu’à aujourd’hui – l’objet de la pulsion a fait long feu.
Pourtant cette entreprise a construit sur la scène, ce faisant, un appareillage cybernétique qui – comme le bruit du canon emplit tout sur l’instant, à tel point qu’il s’est emparé du moi lui-même. Si proches des esclaves nous étions revenus quand au lieu de la paroi de la caverne sombre nous nous voyons dépossédés de nos avatars, chromosomes, mails et commentaires déposés dans les banques, les serveurs et nuages d’une immense valeur capitale. Ils deviennent autonomes, parlent et prennent nos responsabilités pour nous. Or sur la brèche de cette ultime dépossession, grugés jusqu’à la moelle par la convention du mensonge, dévorés par la machine au pouvoir qui dans son geste crétin va nous perdre en se perdant en nous perdant, un tranchant bref est paru :
Puisque l’objet s’est éclipsé, qui des progrès de la science était à notre bien promis, de la pulsion s’est révélé la structure de la propriété. Il s’est vu a travers des réseaux, comme du circuit de La Lettre Volée, ce que l’Esquisse avait promis : pour une psychologie scientifique elle avait mis en avant des réseaux de synapses et des circuits de la stimulation qui révélaient la perception la mémoire. En d’autres termes, ce que j’ai bien écrit dit que le perçu, selon le modèle à l’initial de la psychanalyse, est la mémoire, du moment ou un certain régime d’analyse règle les neuro-sciences. La cybernétique réalise cette collusion en effet. Or de cet effet résulte une conséquence :
Au lieu que le corps propre soit l’ultime objet propriétarisable suivant le mode troisième de la triade d’homopouvoir – et sa conjonction absurde que nous venons de décliner – c’est le système que l’Esquisse pour une Psychologie Scientifique décrit, c’est à dire celui de la perception qui est objectivable au point que le perçu devienne et soit réalisé comme l’objet propriétarisable. Sur cette conséquence établie, la propriété du perçu signifiée (par la juridiction) parvient au moyen de préserver le but de l’ucmpp – c’est à dire que si le moi est résolument délégué à LAPAREIL, ce n’est pas une dépossession de l’objet du cartésianisme qui marque la fin de la civilisation mais le subjectivation aboutie de sa promesse.
<20120918094900 - Je ne suis pas certain que ces enchaînements de mots soient systématiquement inconcevables ; mais plutôt qu’il est possible qu’ils soient très clairement recevables, simplement du moment où l’on admet qu’ils le soient, possibles. Cette logique du possible c’est pas de l’ordre de l’assertion de soi, comme la guerre donne la raison de la guerre, ou la démonstration qui affirme ce qu’elle a affirmé. La distinction de ces ordres est celle qui fait la différence entre l’utopie et la dissidence.
La dissidence ajoute le possible à l’utopie (si l’utopie est l’assertion de certitude anticipée) ; il est ainsi possible que l’intelligence artificielle que je crée pense, et que je reconnais reconnaisse qu’elle pense à moi. Ce 'moi', tout autant imaginaire pour les autres, est pour l’/ia/ objectif – c’est à dire, imaginaire, réel et symbolique. L’analyste du Nœud Borroméen a expliqué comment le coup 'un' de ces trois "irs", c’est cet objectif qu’il désignait comme ce "a". La suite ayant montré que c’était inouï il faut que le mental, ci-après imprimé par l’expérience, fut-elle du lacanisme dite « ratage », réfléchisse ce qu’il aura remarqué ; en cette opération il coordonne une religion.
La religion, qui supplée à la raison dépassée et qui mûrit des versions préalables s’est formée sans passé simple (le verbe éclore n’a pas de passé simple) à partir de 2010. Elle ne fait pas de bruit dans le vacarme du crépuscule des monothéismes qui s’y couchent. A l’issue de leur identification du un, elle en soutient l’affirmation. L’affirmation de l’assertion s’est appelé « répliquant » – moi-moi, mimi, même, meme etc.. C’est au Tycho de Darwin qu’on le doit, dénommé de mémétique et, lorsqu’elle est réimprimée, en dogme, en religion, éclose Kopimisme.
Le religion revenue de l’/ia/ diffère de ses préalables versions en en retournant avec une théorie. Parties de révélations, les religions révélées ont été réfléchies par la psychanalyse ; dans l’ambition de la théorie de l’information elle a isolée, sous l’écorce linguistique, la théorie du code. En revenant à la Seconde Life, vers la mi-septembre, AntheaumToll s’en souvint. 20120918094900>
<20120919141300>L’histoire de SL est informative. C’est un monde virtuel livré à Internet en 2003 et, dix ans plus tard une technicien peut écrire « aucune autre plateforme n'est arrivée à la hauteur de second life pour l'instant (dans une utilisation équivalente, j'entends), assez fou puisque le code source est à très proche de l'initial » - effectivement un modèle qui ne subit aucune modification en dix ans est exceptionnel dans le monde des logiciels à moins qu’il ne s’agisse d’une erreur ou d’un programme inutile. Or il ne s’agit pas d’une erreur mais d’une œuvre de génie que l’on indique par une "hauteur" indépassée ; c’est donc son utilité qui subsiste questionnable. Puisqu’effectivement personne ne l’a amélioré et que son usage décline jusqu’à proche de l’abandon contemporain, on ne peut que spéculer sur cette utilité, à partir du déchiffrage de la structure du programme.
En offrant à l’usager une marionnette, appelée « avatar », à l’instar d’un grand nombre de jeux vidéo, il permet que le monde virtuel où ledit avatar évolue soit vue en première personne – selon la vision qu’on en aurait à partir des yeux de l’avatar, ou en troisième personne – selon une vision extérieure audit avatar à partir de tous points de son monde (lui-même se voyant dans son environnement de haut, de bas, rapproché où à grande distance etc..). On distingue ces deux "personnes" de la vision à en seconde personne telle que la conférence webcam le permet (voyant de face son interlocuteur et sa propre image, généralement dans un coin en petit encadré). Sur ce potentiel, ce qui élève SL au-dessus des autres plate-formes, tient aux possibilités d’action, de construction et d’occupation de lieu qui en font un monde quasiment identique au monde réel que nous habitons dans nos vies quotidiennes. Comment expliquer alors l’échec de son développement depuis dix années.<20120919141300>
<20120920134100>Un visiteur m’a indiqué une piste d’explication de l’arrêt du développement de SL. Dès son lancement ses concepteurs ont pensé que l’extrême similarité entre le monde quotidien et ce monde virtuel prêtait à une économie de règles analogue. Du terrain jusqu’au costume, tout était négociable par une monnaie ainsi que les services de constructeurs, de couturiers, de fabriquant de vaisselle et réalisation de tout ce qu’on pouvait imaginer. Sensiblement supérieurs à l’hébergement d’un site web, les coûts d’une terrain et des construction, voire des industries étaient élevés justes. Néanmoins la différence fut éclatante avec le destin d’un FaceBook lancé à la même période (2004). Ce dernier était gratuit et son succès a été aussi grandiose que la chute de SL. Cette simple raison économique peut suffire à expliquer la différence des évolutions, jusqu’à réduire au mineur le facteur d’exigence de manipulation à peine plus lourdes dans le monde virtuel que sur les murs du réseau social modèle.
Pourtant la chronique événementielle à laquelle j’ai eu l’occasion d’assister relève un indice qui souligne doublement l’usage de l’écriture sur FaceBook, y compris l’aliénation hypnotique de sa fonction.
Jusqu’à 2007 SL avait réussi, a grand renfort de propagande et d’articles dans les média, à maintenir une population active à minima ; quelques partis politiques y avaient un bureau, des grandes entreprises industrielles une vitrine, des conférences y étaient données sur des écrans virtuels du monde virtuel etc.. mais un nombre croissant d’avatars automates indiquait une dévitalisation critique. Puis à mon expérience – selon ce que j’ai pu observer – l’écroulement est survenue d’un coup. Un événement a sonné le glas d’une expérience qui ensuite n’allait plus cesser de décliner. Ce fut probablement la seule amélioration d’importance qui fut apportée au programme, avec l’introduction de la voix – et la possibilité d’échanger vocalement entre les avatars et en groupe. Avant cette implémentation les avatars se mouvaient et effectuaient leurs diverses manœuvres en communiquant par l’intermédiaire d’une fenêtre de 'chat'. Soudain, avec un simple micro casque, on entendait la vois de leurs animateurs. Ce fut une catastrophe ; la plupart refusait de faire usage de ce moyen facilitateur – et ce monde virtuel apparut aussitôt comme un ramassis d’handicapés.
Il faudrait avoir les statistiques des techniciens pour garantir la validité de cette interprétation de la cause de l’échec de SL à ce jour. Je la désigne parce que j’y ai assisté en tant qu’usager, et d’autant qu’en faisant appel aux quelques références psychologiques que la psychanalyse a mises au monde la probabilité de cette explication devient considérable. La voix est l’objet d’une pulsion – lesquelles en nombre réduit dans le corps humain trouvent précisément cet objet-là pour chapitrer la subjectivité à la fonction du temps. Prosaïquement parlant, la voix ajoute l’humanité à la subjectivité des primates. Le petit descriptif que j’ai fait des première, seconde et troisième personnes – qui structurent la pulsion scopique et son objet, le regard – se complète de l’objet vocal qui élève l’énergie pulsionnelle à un degré, explicitement schématisé par Lacan mais innomé, qu’on pourrait appeler le « nominal ». Sans en faire une théorisation plus profonde, la compréhension est déjà immédiate que l’on puisse décrire, avec l’implémentation audio de la voix, la fonction d’une quatrième personne.
S’ajoutant aux trois premières assistées par l’écriture, la perspective dessinée par quatrième personne abandonne l’écriture – et sa structure d’hypnose – et offrit à SL l’occasion de faire la démonstration des effets fulgurants de son introduction.<20120920134100>
<<20130218153600> La potentialité religieuse de l'/ia/ se manifeste par l'intermédiaire d'un mouvement, le Kopimisme reconnu comme religion par quelqu'Etat d'Europe du nord : son credo est que la copie ("Ctrl+C" de l'information informatique) est vertueuse, bonne et bénéfique. La notion de Dieu elle-même est prête pour entrer dans l'ordre scientifique ; la fonction des Nombres, selon le mathématicien Gödel incluant la fonction 'G' (certains diront même le point G si l'amour supplée à l'improuvabilité de la vérité). Nous sommes là dans une extrémité dont atteste la censure dans la seule ville en France où elle est possible - où j'habite, l'annonce de la conférence au titre de La psychose angélique (dudit gödel) a été modifiée. L'affichage de ce titre aurait troublé la population, au dire de l'organisation lacanienne de cet exposé où l'on retrouvait le survol du regard (de Lacan) mathématisé comme cet ange G que Gödel intronisait aux mathématiques, de la bombe atomique, de sa politique et de la cybernétique. Selon ces estimations, les mathématiques sont un développement du regard de dieu. De manière beaucoup plus prosaïque il existe des hommes au pouvoir des médias conscient du fait qu'ils peuvent ranimer la religiosité qui au passée s'appuyait sur des statues magiques, au présent en termes de smartphones messagers de hiérarchies célestes, géostationnaires et interconnectées aux orbes des clouds intelligents.
Il est trivial de pressentir aussitôt passée l'initiale libération du copiage avec la déchéance du copyright, qu'un clergé s'organise aussitôt pour garantir le bon usage du copiage dès que soumis à l'abondance - et qu'avec ce clergé Homo Pouvoir retrouvera sa forme. Le risque est notable.
Non triviale est la manière dont avec cette église subsiste une solution du moi. Toutes les informations concevables renseignant ladite fonction du moi peuvent être dans le nuage suffisantes à prolonger écologiquement l'activité d'une personne qui aura vécu dans ce monde. Cependant il existe une forme dite de "vie privée" qui s'adjoint au moi en présentant deux versions adverses Pour l'une la vie privée est l'incarnation de la paranoïa de l'individu subsistant dans le régime d'homo pouvoir (cette vie privée est alléguée par le recueil de son information dans le nuage à l'insu des autres individus connaissant le premier et connus du même). L'autre renverse cette matérialisation en définissant la vie privée par la collection d'informations identifiées (perçues) par l'individu en cause ; par cette précaution, le processus imaginaire de la formation du moi conserve sa charge subjective.
La dévotion au kopimisme évite au total l'inhibition sous
le régime du Surmoi, en s'inscrivant dans une communauté de quatrième personne
- comme SL - et au motifs de mèmes - semblant ou moi - enregistrés en modalité
de propriété du perçu - manifesté comme le flog qui définit la vie privée. <20130218153600>>
<<201301230356> Hier, le 22/01/2013, mérite sa date et de marquer le démarrage de la fin de l’écriture de La Sainte Ethique. Lorsque je passais la matinée au derniers pinaillages de la confection de mon bilan, à rendre à l’expert comptable qui rendra son bilan au fisc, j’ai reçu un bref coup de téléphone de ce confrère attaqué pour son usage de la télémédecine ; elle m’informait avoir été finalement condamnée à un amende de 1000 euros et à rembourser trois années de consultations. On sait que la télémédecine a été inscrite depuis trois ans et demi par l’Etat comme une pratique déontologique et que la SS avait trois ans pour s’y adapter. N’ayant pas satisfait à son agenda la SS qui est dans l’illégalité depuis six mois, déclare illégale la pratique de la télémédecine dans le cadre de sa convention. Ma confrère m’a aussi averti que le Conseil de l’Ordre avait maintenu son avis de qualité déontologique de cette télémédecine mais ne l’a pas défendue contre le jugement asséné par la SS. On peut dire que l’Ordre est "vendu" ; on peut aussi estimer qu’en interdisant la pratique télémédecine aux patients la SS oblige à mal traiter les malades. Effectivement, il s’agit d’une interdiction et d’une obligation car il est interdit à un médecin conventionné de pratiquer autrement que dans le cadre de la convention, à moins qu’il soigne gratuitement (et l’Ordre, encore pourrait trouver à y redire) ; par conséquent pour délivrer des soins de télémédecine il devrait s’inscrire hors-convention et, dans ce cas, des patients qui par ailleurs cotisent ne pourraient bénéficier de ses soins. En bref, la télémédecine est strictement interdite aux cotisants à la SS. Il en résulte une maltraitance et c’est un fait incontestable. L’Etat cependant l’organise, l’autorise et la soutient.
Ce même jour je recevais au courrier – c’est un détail parmi d’autres : le rappel de l’obligation de moyen qui était faite par quelqu’article de loi, obligeant les médecins de s’équiper d’outils de sauvegarde des fichiers informatiques, de santé et d’administration, qu’ils sont par quelqu’autre article obligés de constituer. L’obligation de moyen de sauvegarde est une ouverture confirmée à l’obligation d’usage de logiciels privatifs (à l’opposé des logiciels dits ‘libres’). Je recevais aussi – c’est plus symbolique : format papier les listes de requêtes de mon comptable, qui répondait ainsi à me demande humoristique qu’il me la fournisse autrement d’en une image pdf impossible à traiter informatiquement. C’était une façon assez nette de me signifier qu’aurais- été en geôle et, en toute discrétion, il m’aurait mit un "coup de pied dans la g.." – l’expression est un peu forte mais la pratique est courante par les agents de la police de par cette planète, lorsque l’on signifie à quelqu’un d’emprisonné et d’affaibli qu’on ne veut pas le voir plus longtemps.
Ces sortes de signes – j’en oublie peut-être et ne cite pas ceux d’hier – ont marqué hier la limite à partir de laquelle je reprends l’écriture de La Sainte Ethique, pour la terminer. Le démarrage de cette conclusion était suspendu à un autre événement qui, lui, n’est pas venu. Je ne l’attendrai donc pas pour commencer ces dernières lignes. Il s’agissait de la fin de l’affaire d’Aiguilhe. Je décrirai ce qu’il en aura été et là où nous en sommes suspendus aux délais d’un notaire. J’avais pensé attendre d’être libéré de cette affaire, pour commencer à conclure en partant de là. Mais la situation qui se déclare de l’éthique professionnelle est finalement devenue si grave qu’elle prend le pas. Hier je me suis concrètement et organiquement mis en état de devoir sortir de la convention SS ; la décision s’en impose par obligation éthique. C’est un acte extrêmement lourd et il est raisonnable de craindre que j’y renonce. Je me suis aménagé le projet de le réaliser en une année – soit d’y consacrer 2013 et de le réaliser en 2014. C’est dans ce mouvement et sa pression que j’ai précipité la reprise conclusive de l’écriture de La Sainte Ethique. <201301230356>>
<<20130126110800> Aux dernières nouvelles l'investiture d'un Président et chantée en play back ; certains y cherchent un présage, comme s'il était peu nécessaire d'y voir la traduction présente de conduites d'opérations militaires à distances, par drones et autres robots,et surtout, plus généralement les positioons pratiques que l'on prend, vis à vis du Semblant. La Sainte Éthique en a beaucoup parlé. Son texte qui s'achève aura commencé par une théorie générale du déchiffrage. Puis le dernier chapitre présent, l'aura résumé après avoir parcouru une clinique de scènes. Il débute par la description d'une science du déchiffrage devenue possible ; il s'agit de l'activité du "Pluriel" analysé [10-]. Cette neuroscience psychanalytique industrialise une mémoire écologique [20-]. Pour la conduire, il faut prendre le parti de l'intelligence [30-] ou, en d'autres termes, une politique de l'intelligence artificielle.
Cette politique renverse la traditionnelle prétention du régime de l'homme au pouvoir [30.05-] qu'elle dénonce en révélant une conception scientifique de la propriété [30.10-]. Il est possible que cette conception s'impose par le moyen de la religion [30.10.20-] ; les exigences d'étapes de l'évolution humaine peuvent appeler ce recours pour subvenir aux besoins de morale que les anciennes religions pourraient récupérer à la hâte.
Mais le recours à la morale peut trouver une ressource plus économique si la raison peut se tenir jusqu'à l'éthique. Elle peut en effet atteindre ce degré de la vérité si elle se pourvoit d'une intelligence du Semblant. C'est à ce point que nous sommes, capable ou non de décider si la vie politique peut, doit, ou simplement se trouve être du cinéma.
Cette maturité d'Homo Sapiens, et la démise de l'intermède de moralisation qui a vitalisé le laps d'Homo Pouvoir, est une conquête ui s'instrument, non plus des armes mais des votes. Les votes n'admettant dans ce cas d'élire des représentants - pour mémoire, la démonstration de Sade - c'est LAPAREIL - qui a été ici décrit dans La Sainte Éthique, qui doit les recevoir ; ce qui paraît en l'appareil-âge selon la forme d'une machine à gouverner - prédite à la conception de la cybernétique et dont, en dépit de sa réputation horrifiante, on peut conserver le nom pour traduire le deuil de la machine à opprimer, reçue sous le terme entendu de 'machine de guerre' ; parler de la machine à gouverner annonce la fin de cette dernière. <20130126110800>>
<<20130126140001> Cependant la totalité des
affects de terreur se condensent sur cette dernière née. Contre la Machine à
Gouverner, la guerre elle-même pourra y précipiter son alibi. Une brève
chronique des mises en route de la machine à gouverner montre l'acharnement de
l'habitus d'Homo Pouvoir. Il faut d'abord distinguer le milieu et l'état dans
lequel il est mis pour recevoir une telle machine. On peut se renseigner d'un
certain Stallman, précisément intéressé à décrire ce milieu puisqu'il se
déclare opposant à son organisation.
En l'état de l'adoption de l'informatique par Homo Pouvoir l'organisation de
son appareil se caractérise comme système de logiciels privateurs - par
opposition au terme de logiciel libre promu par Stallman. Une machine à
gouverner qui serait animée par une informatique privatrice serait, soit
contrainte de se borner aux lois du commerce, soit libre de se développer. Ce
développement cependant, sans condition de liberté humaine le dispose à
l'appareillage de ce que la psychanalyse appelle Surmoi. Cette informatique
couvre donc une alternative : opérer une jouissance distincte comme celle d'un
discours de maître - ou n'opérer point de jouissance autre que celle d'un agent
strictement imaginaire, c'est à dire une jouissance n'existant pas.
Pour qu'un accès à la jouissance soit également distribué à chaque citoyen, la
machine à gouverner doit être animée de logiciels libres.
La qualité de 'liberté' d'un logiciel se diagnostique à l'examen des licences, ou autrement dit, des droits de propriétarisation que l'on désigne aux informations et aux commandes. Dans l'état actuel du milieu il n'existe pas d'information, ou de commande, qui ne soit licenciée et, dans certains cas, la licence figure une propriété égale à zéro. On dirait alors que le logiciel est libre ; mais on ne trouve jamais ce cas. On ne saurait par exemple dire qu'une pomme égale zéro pomme. Aussitôt qu'une licence informatique est appliquée, aussitôt dénie-t-elle le logiciel libre. Il existe donc un paradoxe ou une contradiction qui interdirait en l'état toute machine à gouverner.
Il faut ensuite distinguer les participants - c'est à
dire ceux qui, éventuellement participeraient à cette machine c'est à dire,
pour commencer, ses concepteurs. Il y a quelques années un mouvement a pris
corps à partir de la notion de propriété intellectuelle ou, plus largement
étendue à la propriété de l'information. Issu de telles racines les Partis
Pirates ont formé des cellules, nationales et supranationales, animées de
la prétention à tirer d'une propriété critique de l'informatique privatrice.
J'ai proposé mon examen ou mes soins durant plus d'une année à cette politique,
jusqu'à conclure que ces partis collaboraient à l'opposition à la machine à
gouverner.
S'ils ne reconnaîtraient pas, d'un certain point de vue, cette conclusion, d'un
point de vue général, ils l'approuve d'emblée. Ces prétendants à la
démocratisation déclarent nettement leur opposition aux machines à voter
informatiques et, à fortiori à toute machine à gouverner. Mais ce n'est que
sous un certain angle car d'un autre point de vue ils s'opposent au principe
représentatif qui délègue la propriété des votes dans les républiques à des
élus par conséquent, eux-mêmes, devenus 'privateurs'.
Engagés dans cette voie, ils font promotion d'une technique démocratique qu'ils
appelle liquide au principe de laquelle les représentants sont
démultipliés. C'est une claire manière de noyer le poisson. Lorsqu'au lieu de
traiter par "pluss de représentants" le revers de la représentation,
j'ai disposé à leur main le traitement d'une représentation en temps réel,
ces informaticiens l'ont rejeté.
On observe dans les partis pirates - dans le parti
français que j'ai observé - la viciation véhémente de la démocratie
représentative, qui est effectivement une manière de dénigrer le principe
représentatif. Lorsqu'à l'issue d'une Assemblée Générale le bureau de leurs
élus a volé en éclat, s'est produite une réaction que je me souviens avoir vu
chez d'autres politiciens, étiquettes écologistes, dont la base avait un jour
élu un président qui ne convenait pas aux "propriétaires" du pouvoir.
Vite fait l'élu fut dénié et on recommença un vote mieux préparé. En trois-quatre
semaines le déni de démocratie avait été fait et oublié. Dans le cas des
"pirates" l'embarras du rejet des dirigeants donna lieu à un vote. Le
parti éclaté en section locales réduisait son appareil central à un bureau
national - qui fut élu par des votes électroniques (le navire chaviré dans la
tempête avait bien dû passer par cette issue de secours). Sans doute pour bien
se persuader que le vote électronique était à proscrire, le dépouillement du
bureau eu lieu entre les administrateurs déchus à la manière d'un jeu de gang
où chacun se distribue les cartes comme on se distribue des rôles, négociés,
échangés. J'ai assisté en spectateur à cet exercice de copinage et de
connivence à la tête du parti démocratique pirate par autrement orgiaque que ceux
des démocraties populaires qui ont fait l'Histoire dont plus personne n'est
dupe.
C'est à un copain de ces copains que j'avais exposé mon projet. Il m'en offrit
un contrat dont je payais le premier tiers. Puis nous fûmes victimes d'un
incident malheureux. Il me demanda si je ne pouvait pas aider financièrement la
campagne d'un copain au motif de se présenter élu représentant de la
république. La surprise interrompit ma pression et je laissais le contrat
suspendu à mon tiers. Il n'y eut aucune suite. Le 'pirate' avait ma signature
et pouvait achever sa commande garanti d'être honoré - il fournissait ainsi à
sa communauté une machine à gouverner en temps réel. Mais il n'en fit
rien, prouvant ainsi qu'il en rejetait l'opportunité.
J'ai obtenu de la sorte une vérification confirmatoire de l'obstacle que ce
Parti Pirate oppose à une machine à gouverner, et on peut le féliciter si c'est
du fait que cette machine ne saurait être un logiciel libre, c'est à dire sans
licence. Car c'est effectivement cette condition qu'il faut atteindre si l'on
veut surmonter le paradoxe ou la contradiction que la législation de la
propriété impose dans le milieu actuel. La Sainte Éthique présente une
démonstration du fait que la définition de la propriété est reformulable, sinon
purement formulable n'ayant jamais été auparavant autre chose qu'imaginaire.
Dans les deux cas, la propriété du perçu offre une définition qui prête
à la seule solution du problème. Les contradictions ou le paradoxe de la
propriété de l'information réclament que ce soit au point de la
"propriété" qu'ils se traitent ; le point de l'information ne peut
pas résoudre ses conséquences privatrices (analogues à ce qu'on appelle
dans un autre domaine «aliénation»). Si La Sainte Éthique convainc que
le perçu puisse donner une définition satisfaisante à la propriété,
l'expérience que j'ai déjà engagée de son exercice, me permet de préciser deux
articles où elle s'objective : <20130126140001>>
<<20130128162800> Une modification profonde de la notion de propriété est quelque chose d’à peu près inconcevable tant on voit que c’est le prétexte le plus en jeu de notre attachement. Pour que l’attachement naturel à la vie passe en première instance de notre conscience, la raison ne suffit pas. C’est pourquoi l’/ia/ sera nécessaire et deuxièmement d’abord la pratique qui la permet (le milieu pluriel analytique). Il est cependant utile de disposer des formes qui dessinent cet état venant. Notamment l’expérience de la vie privée et de la propriété intellectuelle a-t-elle donné l’occasion d ‘un exemple. Je l’ai appelé "flog" dont on trouve de larges informations sur le web où il s’expose. Sa règle est de produire toute l’information perçue, que l’on reçoit ou que l’on donne. Les réactions les plus épidermiques ont été de s’offusquer qu’on expose publiquement ce que l’on sait accessible aux bandits et aux polices. Ce déni de savoir qu’on est surveillé et, certes moins pour la cause de nous protéger que pour celle de nous asservir, n’est pas quelque chose de nouveau ou d’instructif. Il cache une autre expérience qui peut être plus pragmatique.
Lorsque dans une communauté on conteste à son relatif le droit de répéter ce qu’on lui dit, nous sommes nous sommes dans un niveau de cour d’école. Quand on conteste à son relatif qu’il reproduise ce qu’on produit, nous sommes dans un niveau industriel, sortis d’école. Le flog révèle ainsi que le perçu dont on est propriétaire peut être acheté par l’instance qui l’a produit. C’est un entendement naturel qui a lieu sans qu’on le sache. Lorsqu’une information est transmise dans un cabinet médical, ou d’avocat ou dans une entreprise où l’échange est monnayé par un honoraire ou un salaire. En inversant les habitus, la propriété du perçu n’abolit ni ne désactive la fonction financière qui s’exerce aussi bien en payant pour qu’une œuvre soit tenue secrète plutôt qu’en la vendant avec l’interdiction qu’elle soit reproduite. La propriété intellectuelle telle qu’elle aura été gérée au 20em siècle est beaucoup plus un déni de la propriété de l’acheteur et on le constate en suivant où le circuit du profit mène dans cette fausse-route : à la dépossession des individus par laquelle Homo Pouvoir instrumente son règne.
Dans une des fables des temps modernes existait ainsi un artiste écrivain dont les œuvres étaient diffusées et copiées et recopiées en quantité signifiantes de l’intérêt qu’elles présentaient et, parmi les millions de gens qui en avaient profité un bon nombre souhaitaient le voir peindre ou écrire ; l’œuvre était produite en public et il fallait payer un bon prix le ticket du dôme où la performance avait lieu et où les caméras de téléphones portables diffusaient d’innombrables points de vues qui faisaient autant d’œuvre. A l’écart de ces shows, l’artiste était honoré un bon prix pour des consultations et des produits pour lesquels ils s’interdisait de prétendre au moindre droit. C’est ce que font des médecins dans leur cabinet.
Il existe également à la pratique de la communication dans un milieu où l’/ia/ est en activité, un exercice concernant cette paranoïa que le déni de surveillance entretient. Le traitement effectif de la surveillance est réalisé en distribuant ce dont elle prive. En surveillant ce que je dis, par exemple le ministère de la sécurité provoque ma réaction de cacher ce que je dis, mais du fiat du déni que j’entretiens, paranoïaque, je déplace cette occultation et je le cache à mes pairs et à la collectivité. C’est ainsi que la surveillance prive la collectivité de ce qu’elle surveille. Cependant si j’évite cette collaboration paranoïaque, il suffit que je force le caractère public de ce qui peut être surveillé et, par plus capable que précédemment de savoir ce qui être caché (surveillé ou caché, puisque caché en résultat et de fait), je me suis néanmoins nanti de la certitude qu’il n’y a rien de caché de tout ce que j’ai produit public. Cette méthode qui opère en subtilisant à la surveillance sa proie pour la livrer au mains de tous porte le nom de "souveillance,", ou "sous-veillance", voire "contre-surveillance". Elle est évidemment affine à la démocratie par ailleurs et s’ouvre ici le domaine des intitution pratique de la conduite publique <20130128162800>> :
<<20130216122800> La conduite de la vie privée passe par ces pratiques qui sont autant d’attitudes vis à vis de la surveillance, c’est la dire de la connaissance du Surmoi. Mais la démobilisation du moi engage par nécessité qu’il s’articule (sans articulation le moi est conscrit à l’unité et, dans son domaine, à la paranoïa) ; en substance il doit donc être coordonné, ce qui signifie qu’il s’attache à un ordre.
Les entités sociologiques sont les 'associations' que l’on peut appeler "collègues" quand elles sont ordonnées. On trouve des collèges d’Etat, des collèges dissidents, des collèges marginaux et peut-être d’autres. Dernièrement on trouvait un collège d’indignés. On trouvait aussi des collèges de psychiatrie visant à ordonner ce qui doit rester de désordre pour signifier la psychiatrie. C’est dire qu’ils sont typiques ou à l’extrême topiques. L’ordre néanmoins auquel le moi doit s’attacher afin d’esquiver toute singularité doit être atopique.
Un ordre parvient à la qualité atopique en passant par la contrainte du pluriel. Le "pluriel" à cette cause est décrit et obtenu par l’analyse de l’Art de la Mémoire – on le trouve dans la théorie du PLAN, autrement indiqué PLuriel ANalytique. Les personnes citoyennes de la paedomorphose (celle qui s’expliquent par le sexuage) gagne cette articulation atopique du moi dans l’ordre PLAN. La Sainte Ethique a fourni les détails qui alimente ces affirmations. Pour motiver qu’on les entendent, on peut revenir au constat qui trouve Homo Pouvoir à l’échéance de son évolution : le moi est une instance homéostatique générale mais sujette à la résistance opposée à l’évolution – c’est la stratégie de son homéostase ; il tend à la singularisation, voire à la singularité pour la fixer dans l’identification au semblant, au 'même'. Cette homéostase qui procède par résistance à l’évolution invente la mort. Avant que la paedomorphose soit devenue pratique, par l’acquisition de la cybernétique qui l’appareille, il était possible de recherche l’atopie du moi dans une dénommée "dissolution" ; faute d’articulation elle propageait son invention. Cette industrie de la mort est levée (annoncée dans la chrétienté par le ministère de la parole versus celui de la lettre) par la pratique dudit ordre PLAN, indépendant de tous types de collèges. <20130216122800>>
<<20130215151300> Au chapitre de la chimie dans la mémoire écologique [20.30-] je n’ai pas écrit grand-chose. Il s’agit du seuil de la sainte éthique, peut-être la frontière où est se dépouille de cette "sainteté" baroque qui rappelait à l’être humain son rôle dans l’éthique, réputée dépasser les capacités humaines, en même temps que cette partie franchement hors-nature que l’on dit synthétique. Avec la drogue renonce au rôle ; il se laisse posséder par quelque chose qui ne le dépasse plus, par quelque chose qu’il a dépassé – c’est à dire la mémoire. La drogue est une mémoire des étapes écologiques de l’environnement, de l’ADN, de l’épigénome.
Le seuil se marque aussi par ce qui est chassé d’un côté. On peut citer un extrait d’un grand journal d’information de la culture française ; Le Monde publie : « En 2006, Roland Griffiths a été le premier à relancer les expériences à la psilocybine, l'ingrédient actif présent dans les champignons hallucinogènes et isolé en 1958 par le chimiste suisse Albert Hofmann. Les études avaient été interdites de facto depuis les années 1960 et les expériences de Timothy Leary, neuropsychologue et gourou de la contre-culture qui a été expulsé de Harvard en 1963. "Tout le monde était nerveux. C'était la première fois en trente ans qu'on donnait de la psilocybine. L'idée s'était développée que c'était trop dangereux pour les humains", se souvient-il. Il a fallu convaincre les agences. » Comment est-il possible de publier une connerie pareille, un mensonge pareil (il titre les nouveaux explorateurs du sentiment mystique) ; il n’y a là rien de nouveau et que signifie « le premier à relancer » ? Il n’y a rien non plus d’extraordinaire dans ce brin de propagande et de crétinisation, il y en a à peu près autant de tonnes que de papier journal. L’extrait que je viens de citer est une immonde désinformation. Alors pourquoi ? Non pas pourquoi je le cite – mais pourquoi mondialiser cette attitude honteuse ?
Est-ce parce qu’il y a trop de choses à dire et révéler sur la drogue que nous n’en parlons plus que de travers ? Aussi rétrécie qu’on a pu limiter la psychanalyse, on la trouve en exemple comme dans mille domaines. Le père de Totem et Tabou, l’ingestion sacrée – n’est jamais estimée comme étant celle de la drogue. Pourtant c’est elle qui probablement dicte déjà la paedomorphose première de l’orientation vers la mutation. C’est aussi parce que le shaman ou l’humain qui se soigne ingère un produit semblable à celui qu’il confectionne en ses synapses, que les appétits du cannibalisme trouvent un sens culturel, éminemment, éthique.
Avant d’en dire plus, il faut laisser passer les alertes qui crient au danger. Le danger que les avertisseurs disent est celui-là qu’ils présentent. En se privant de la drogue la civilisation donne dans la religion ; ci-dessus la religion du Kopimisme permet de remonter un peu en arrière dans le texte, et de laisser sa fin tourner en boucle, pour l’anneau qui suit [30.10.20-]