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Hippocratisme

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INTRO

    Une définition de l'hippocratisme paraît nécessaire (croisé une dame qui blâmait son médecin suspendu qui aurait dû obéir - au gouvernement, à son ordre etc..- pour lui rester dévoué ! ). Cette définition nous intéresse : s'il existe une Médecine des Corps Sociaux, la politique est alors connue pour être une thérapie, demandant naturellement une bonne définition de l'hippocratisme. L'hippocratisme est un dévouement à l'objet de son soin selon certaines règles, auxquelles j'apporte certains éléments : du début de Covid j'ai créé une plate-forme d'hippocratisme originale (APSO). Elle ne présenterait d'intérêt si dernièrement je n'avais pas rejoint la plateforme "Soignez-Heureux" de l'ONG dite 'Alliance Humaine Santé Internationale' (AHSI) dont Martine Wonner est marraine. J'y ai trouvé un modèle strictement du type d'APSO (bien plus radical que Covisoin, équivalent chez RéinfoCovid). Soignez-Heureux valide l'aventureuse définition que j'ai proposée. Pour seule différence cette dernière ajoute le moyen d'extension aux corps sociaux, intéressant donc la Politique/EPL par son facteur APSO*. (aussi nommé "Pluriel Analytique", c'est une équivalence intelligence artificielle/IA )

 

Raison de la Médecine
 

    La raison de la médecine est connue sans conteste : traiter les situations pathologiques et les soigner ; son but est la santé. Mais il n'y a pas de raison sans une cause, ni de but d'ailleurs. L'analyse cherchant ladite 'cause' reconnaît la maladie dans un trouble de l'information (bug) et, laquelle information s'exprimant, dans la volonté. La volonté - chapitre de la philosophie (suivant le désir - chapitre de la psychologie) - s'inscrit au chapitre de la réalité, dans la liberté. Cette organisation de la santé aboutit à une activité politique. Elle donne leur raison d'être aux Corps Sociaux, subséquemment à une médecine des corps sociaux.

Historiquement, c'est lorsque le corps social réputé "(Conseil de l') Ordre des Médecins" abolit la liberté, qu'une
entrée dans l'acte politique ressaisit à la base, à sa racine, l'acte médical.

 

 

Part.1   Histoire de Médecine - Science

Tat Asclepius

    Lorsque ledit " Ordre des Médecins " a trahi (son titre) la liberté, il a automatiquement démarché par une dénégation : il a déclaré avancer de la Science. Or, le refoulement de cette dénégation retrouve que la science est la certitude de la liberté. Il est donc juste que l'Ordre soit motivé par la science, mais il l'a montré à l'envers (déni). Il faut d'abord soutenir la connaturalité de la science et de la médecine. L'histoire en est l'appui.

    De la scène primitive de la civilisation à nos jours, un propos qualifié d'hermétique a borné le champ de la science - fixant le cadre de l'Alchimie en trivialité ancienne. Il s'est tenu jusqu'à la Renaissance à l'égide d'un patron : celui de la médecine, Asclepius du grec, puis Esculape du latin, dernièrement rappelé Hippocrate. Ce rappel forge que la science soit une médecine, respectivement que la médecine est la science.
    La traîtrise qui s'est proclamée au nom de la science, signifiait que la politique commandant à l'Ordre, avait aboli la liberté.

 

 

Part.2   Structure de la Médecine

    Ce jour où on peut dire que la médecine (dictée par un gouvernement) se moque de la science (en l'asservissant à la propagande) il importe de réviser histoire et structure.
    Pour cette deuxième "Carnet de Note" je vais me concentrer sur la structure de l'hippocratisme. Le Serment d'Hippocrate en est le rappel. Sa signification conjoint la philosophie, de la pensée humaine, avec la science, c'est à dire la mécanique humaine dont Renée Descartes a posé la première connaissance. Le cartésianisme et sa suite des conséquences rationnelles a évolué jusqu'à l'existentialisme pour aboutir à un croisement de deux voies appelées la Reprise et le Ressouvenir en philosophie. La cybernétique, qui est la mécanique informatique, a appelé cette même voie à double sens Feed-Back. Et la psychanalyse en a fait un graphe qui schématise le désir.

    La médecine hippocratique est celle qui résonne/raisonne de cette structure. On la reconnaît au principe qu'elle répond à une demande de soin par le secret qu'elle applique à l'information que lui donne le malade ou sa maladie. A ce traitement, le feedBack ou l'Existentialisme, honore en retour le soin, le plus souvent par ce qu'on appelle un honoraire. Dans cette direction la source est le trouble de l'information, la pathologie signifiée par le malade que traduit le semblant, c'est à dire ni plus ni moins l'argent. Par ce moyen, le patient paye la liberté du médecin. En pratique il s'agit de la liberté de prescrire ; et en fonction, c'est aussi la vérité qu'il donne pour un consentement éclairé.

    Le secret médical couvre ainsi la vérité et par nécessité la liberté ; on réalise par cette analyse que la médecine est une opération applicable, certes à l'individu mais aussi considérablement à la société - l'hippocratisme par conséquent règle la politique. Ce schéma-ci est celui de la parole. On pourra donc opposer que les corps sociaux ne parlent pas.. T.t.t.t.! Si ce semblant se distingue en l'espèce de L'appareil , il est incontestable que l'IA parle - ou du moins 'semble parler' ce qui suffit absolument à l'application de la formule hippocratique à l'ensemble de la société.

 

 

Part.3   Politique de la Médecine
 

    On peut dire/entendre que la médecine pratique telle ou telle politique (par exemple technocratique, ou hippocratique etc.. ) ; mais il y a des politiques qui sont, celle de la terreur, celle de la conciliation, celle de la médecine etc.. Il faut commencer par cette politique pure, et en l'occurrence celle qui opte pour la médecine, pour considérer quelle action elle va mettre à son principe.

    Cette politique va se régler sur une fonction : celle de la liberté. La liberté est une fonction thérapeutique* (ce n'est pas une licence de plaisir comme on s'y arrête généralement) ; c'est pourquoi une telle politique est comprise de la médecine. Une fois cette politique posée, ladite médecine qu'elle implique, est libre de se qualifier de technocratique, d'hippocratique etc..

    Par conséquent une action titrée Ensemble pour les libertés est un acte politique médical, thérapeutique. La maladie qu'il soignerait, une fois cela dit, n'est pas facile à déclarer. Il s'agit de la paranoïa, qu'elle soit à la fondation de la connaissance humaine ou à la solde du pouvoir, passion humaine avec celles de l'ignorance, de l'amour et de la haine. Dans les deux cas il s'agit d'une maladie qui ne se reconnaît pas. C'est pourquoi une fois la politique de la médecine au régime, la médecine se divise, en technocratique qui abolit la liberté et en hippocratique qui soigne.

* : cette fonction de la médecine est montrée dans la structure dite de la parole, en l'espèce hippocratique, de la règle qui honore le secret qualifiant de la demande de soin (voir vidéo ci-dessus).