COMD
Le 5 mars 2006 à Mme Delabre
Chère Mme Delabre, A notre rencontre ce mardi 28 en compagnie de mes autres voisins, vous avez accusé mon architecte d'avoir fait des faux en écriture. C'était au cours d'une discussion délicate que pareille déclaration menaçait de rendre houleuse. De surcroît ces accusations publiques m'obligent à me défendre, soit contre mon architecte, soit contre vous pour diffamation ; leur gravité m'interdit de rester sans réaction. J'engage donc une enquête. J'ai écho par ailleurs que vous vous porteriez contre le
permis de construire qui concerne ma propriété. Je vous contacte à ce
sujet par l'intermédiaire de l'agence VELAY. A ma connaissance
Mr
LEYRE y est votre représentant, qui n'a pas commis l'indiscrétion de me procurer
votre adresse directe et personnelle. Si vous voulez que nous
communiquions directement, vous me le direz en me répondant. Je joins à
ce point la copie d'un
courrier du 09/12/2004 par lequel Mr VALLAT vous avertissait du projet de parois et du dépôt du
permis de construire. Je vous prie de considérer que nous avons bien
agi en vous contactant. Peut-être saurez-vous aussi considérer qu'il n'aurait pas été dommage que vous
eussiez
répondu. Espérant que l'on peut laisser-là ce point suspect, j'arrive au but actuel de ma correspondance : je souhaite en fin de compte savoir exactement ce que vous me reprochez ou reprochez à mes travaux de restauration. Quand nous en avons parlé verbalement, j'avoue avoir été parfois débordé mais il m'a semblé que des propos nettement contradictoires apparaissaient dans la chronologie un peu éparpillée des arguments. Je crois qu'il serait bon que vous me fassiez une liste écrite. Nous pourrons étudier point par point cette douloureuse situation. Salutations
pj : Vallat à Leyre\Delabre 20041218171315 |