Chronique des oppositions à - et révélations dans - la reconstruction
Comme la Loi permet de préparer de travaux - pour la dérégler, il faut intervenir après la préparation, avec précision : juste après et au début des travaux.. ainsi commence : |
13 janvier 2006 La réunion en Mairie comptait le maire et son adjoint,
l'architecte et l'entrepreneur, moi-même et successivement un couple
propriétaire voisin, et une voisine. La première réunion avec le couple
faisait suite à une alerte de la dame, qui faisait suite à une alerte de ses
locataires ayant vu s'effondrer mon immeuble avait fermé une cour intérieure et leur bouchaient la vue depuis des années ; tout à coup
ils voyaient jusqu'à la rue de l'autre côté du bloc des bâtiments! Étant
donné que nous avions mis à présent deux ans à débuter les travaux, nous
avions eu le temps de prévenir la propriétaire - la première dame - par l'intermédiaire
de son agence et par deux fois. Elle n'avait jamais rien répondu - et à
l'évidence n'avait averti ses locataires, lesquels avaient été bouleversés. Étaient-ils
bouleversés par l'évènement ou parce qu'ils n'avait pas été prévenus ?
L'annonce et le descriptif des travaux étaient affichés en mairie et sur ma
façade. La dame qui avait fait la morte, se
réveillait soudain furieuse, et son mari déplorait qu'on ne leur ait envoyé
un petit mot avertissant du début des travaux - visiblement sa dame ne lui
avait pas dit non plus qu'elle avait été avertie. Mes courriers lui avaient
même posé des questions ; après être restée silencieuse et tapie durant
toute la préparation, elle cherchait à présent à tout empêcher sur le
départ, s'écriant qu'on avait fait des faux en écriture et qu'on voulait
voler sa propriété. Par la suite on verra qu'elle sera repartie sans relâche et sans aucun respect pour cet accord, continuant à inventer des preuves et des fautes, appeler des experts de droit pour les abandonner aussitôt qu'ils répondaient qu'elle n'avait pas raison. Nous sommes ensuite passés à la seconde réunion. |
Quand nous prîmes rendez-vous, pour que j'aille voir par où la dame entrait dans mes caves |
Nous avions pris rendez-vous ce 21 février,, sinon tard le
soir après-demain. Je
sonne à la porte ; personne ne répond. La Mairie est à quelque pas. Je m'y rends et, avec l'adjoint de la Mairie, nous téléphonons à la dame absente. Elle répond ; elle est là mais dit qu'elle n'avait aucune notion de notre rendez-vous pris. Nous écoutons encore, plus tard elle dit que le rendez-vous n'avait pas été confirmé. Elle est chez elle mais n'ouvre pas : en fait, la dame des cours et la dame des caves s'étaient rencontré et voudraient me voir ensemble. Nous convenons d'un rendez-vous à mon cabinet pour la semaine prochaine. J'y serai. |
Intermède |
Le dyke qui pointe au cœur du village est consacré à Saint Michel, l'archange qui montre ou s'appuie sur terre à la bête souterraine dite Vouivre. J'explique au Maire que je me sens mal à élever un bâtiment sur un terrain incertain. Je fais un lapsus en l'appelant Michel-Ange. Est-ce qu'on construit une maison sur un sol quand on sait qu'il est creux et sans avoir évalué la taille et la géographie des cavités ?! La Mairie n'exige pas que l'on connaisse les mesures du sous-sol que la dame veut maintenir interdit et occulte. |
Les dames allèrent quérir un Conciliateur dans l'espoir qu'il leur donnât raison - il les dépita, resignifiant la Loi. Elle le rejetèrent ensuite puisqu'il ne leur servait pas |
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L'avis d'un homme de Loi a été recherché. Déjà l'avis des hommes de 'terrain', notaire, avait bien conclu la situation. Les dames de la cour et des caves ont été chercher le soutient d'un Conciliateur, personne autorisée par le Ministère de la Justice - Cour de Riom et Tribunal du Puy. En les recevant, ce technicien leur décrivit ce que concluait la Loi. Mais il parut que ce n'était pas le droit dont elles cherchaient à faire cause - puisque lorsqu'il émis son rapport, après qu'elles eurent compris qu'il dirait qu'elles avait tort, il ne fut même pas reçu.
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A l'issue de ces étapes ; je ne pouvais que conclure que, là où le droit me donnait propriété, un voisinage calculateur s'y opposait et nourrissait l'intention que ces parties miennes aboutissent en la leur (propriété) sans qu'il ait fait usage d'autres moyens que (sans titre, ni achat, ni déclaration) : 1) détourner la loi et, accessoirement 2) spolier celui ou celle qui normalement en était le bénéficiaire. Ce sont deux choses distinctes et je pense que mon voisinage a surtout considéré la première - la spoliation de l'autre étant quelque chose que l'on refoule facilement (surtout par rapport à la première, plus excitante). Nonobstant, la santé des corps sociaux surtout m'intéressant, je m'engageais donc à poursuivre. |