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flog.62

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N°63

Flog.64-à venir

    

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https://apso.info/unefpe/index.php?r=content%2Fperma&id=3253

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    G.Groddeck - Conférence Psychanalytique à l'usage des Malades
« ... Il n'existe pas un atome au monde, créé ou conçu par l'être humain, qui ne soit en rapport précis avec la vie sexuelle. Même si la vie sexuelle n'est pas la seule déterminante, elle est quand même un phénomène primordial. Et si une culture veut le nier, elle va à sa perte, car elle se détourne des pulsions qui sont, en fait, créatrices dans l'être humain. »
Troisième conférence / 1916

Javier González-petit
Reproduction et déprédation sont la base, les piliers de de la condition humaine. Tout les deux aparessent en même temps vers 3 ans. C'est pour ça qu'on a toué et mangé notre père.

Javier González-petit
Je pense que le complexe œdipe vinent de la nécessité d'affirmation de notre propre existence, en détruisant celle de l'autre.

Serge Chappellaz
Javier, et si cette propension au mal, ce que tu appelles 'la déprédation', n'était qu'un effet de l'incompréhension fondamentale des différences pulsionnelles entre homme et femme ????...…
Si ce que j'affirme ici est vrai, alors, d'avancer dans la compréhension des effets de cette incompréhension pourrait mettre fin à l'instinct de déprédation que tu décris....!

Javier González-petit
La déprédation ne pas le mal, simplement une pulsion archaïque comme le besoin de se reproduire.
Tant qu'on n'est pas conscients de ce processus on agit mécaniquement.
Ce que tu dis ne pas faux, la compréhension peut mettre fin à la pulsion.

En ce qui concerne le féminin , les femmes, il faut déjà le tenir en compte car il n'a jamais existé au même niveau que le masculin. Il a été denigré. Un nouveau rapport s'impose, un rapport d'égalité et de respect des différences. Aujourd'hui on connais l'existence du clitoris et sa morphologie. Le phallus n'est pas le seul à être connu, l'empire phallique touche à sa fin. Donc prenon conscience de ça et agissons en Concequance.

Serge Chappellaz
Ok, je comprends mieux ce que tu veux dire et nous sommes d'accord sur les grandes lignes, je crois.
La difficulté c'est qu'il s'agit de mettre fin à la déprédation, mais.... qu'une pulsion.... quand on y met fin, qu'on la refoule, qu'on la dénie.... ben, c'est peut-être ça qui fait du grabuge !
Oui, un rapport nouveau s'impose, mais avec des pulsions comprises, j'allais dire.... de tous bords !

Javier González-petit
Oui c'est ça, c'est juste une pulsion et oui la dénié ça fait du grabuge. On est bien d'accord.
Pourquoi on refoule ? Par déni,par incapacité d'acceptation, pour faire semblent vis a vis des autres ou de soi même ?

Serge Chappellaz
Ben pour toutes les raisons expliquées dans Lafdlorg et d'autres encore...
Nous en sommes juste à dire une chose nouvelle, jusque là inconnue et que la plupart des gens ne vont même pas vouloir chercher à comprendre...
Ça ne peut qu'être refoulé ! La suite dépendra du Noüs et de l'/ia/ …

William Theaux
@Javier González-petit ce que mentionne Serge n'est pas analogue à la mise en existence du clitoris et le féminin ne se rapporte pas au clitoris - quand c'est le cas, c'est une "ressemblance" que l'on trouve entre hom et fem. Lorsqu'il y a une différence, c'est en fonction d'un élément qui a la forme d'une espèce de Cor de Chasse http://www.rjmartz.com/horns/Pelisson_019/Pelisson6.jpg en beaucoup plus simple. C'est à cet instrument qu'il faut faire appel pour noter une différence.

add : Tu dis que si on connait l'existence du clitoris, le phallus n'est pas le seul. Eh! bien c'est presque faux parce que le phallus prend une importance déviée dans ce cas - et Serge explique qu'on ne fait pas de différence sexuelle si on ne compte pas cet espèce de Cor de Chasse (pas chasse d'eau, mais chasse sperme), cette sorte de spirale qu'on appelle " plet" , et en anatomie "canal déférent", .
Si on compte sans ce plet, l'existence du clitoris n'ajoute rien à la ressemblance homme-femme. Et quand on ne connait que cette ressemblance - c'est à ce moment-là que le phallus compte, comme tu le dis : pour un empire (un semblant de fonction sexuelle). Il faut ajouter le 'plet' pour obtenir une différence et obtenir du phallus une fonction réelle et un rapport sexuel.

Florent Laguette
" Nouvelle chose inconnue " non je ne penses pas, cela se sait à mon avis depuis bien des milliers d'années..
Par des hommes éveillés, et rejeté par les masses, par leur propre refoulement. Encore à ce jour, la plus part des gens comme tu dis Serge, ne cherchent même pas à comprendre..
Mais avec le temps cela se fait

Oui @Florent Laguette il y a bien une raison pour ne pas chercher à comprendre. Il existe une volonté de négation qui est nécessaire lorsqu’on commence à (se) créer des illusions. Les illusions sont admises et utiles s’il existe en même temps une volonté de les nier. Mais alors une difficulté est apparue, car le savoir ou la connaissance ont fait usage de ces illusions (comme on fait usage de constantes ou fonctions dans une équation mathématiques, dont on se débarrasse au résultat). Il est difficile de faire une distinction entre l’illusion/outil et le savoir/produit. Dans une grande partie des cas, la volonté de négation emporte tout-à-la-fois, l’illusion et son produit. On s’en console en disant qu’on ne peut pas tout savoir et dans ce cas la volonté de négation est devenue la volonté-de-n’en-rien-savoir. Les « nenrienvouloirsavoir » sont les uniformes qui habillent les refoulés comme les pavés habillent les plages. C’est dans cette CivUrb (civilisation urbaine) que l’on peut poursuivre le raisonnement :
Lorsque Serge parle de « chose nouvelle » il fait allusion à quelque chose qui n’était pas su – ce qui évidemment réclame que soit défini le savoir. Lorsque tu mentionnes « les hommes éveillés et le rejet des masses par leur propre refoulement » il s’agit d’un savoir refoulé et n’en rien vouloir savoir n’est pas un savoir, à proprement parler. Il faut apporter une précision dans ce jeu de l’illusion. La psychanalyse est le procédé qui apporte cette précision ; elle formule le savoir en lui attribuant le sigle algébrique S2 et pose que ce savoir, S2, est collectif. Avec ces précautions, on peut préciser que ce qui est connu par les ‘hommes éveillés’, n’est pas un savoir, c’est une connaissance. Pour ce qu’ils en transmettent à la communauté entière, à la population, on trouve un savoir refoulé. C’est un équilibre qui peut durer longtemps. Il est rompu lorsque ce savoir devient produit ; c’est à ce moment qu’un chose nouvelle apparaît, quelque chose qui n’était jamais su à proprement parler. On appelle cet état la science moderne, ou la science tout simplement. Certes il faut et il aura fallu du temps, mais c’est dans une condition précise et localisable qu’il se présente. On peut appeler CybUrb cet état d’objectivation, ou quelque chose de nouveau apparaît, ou un savoir nouveau est composé. Dans cet état les hommes éveillés qui sont devenus des hommes initiés enragent pour la plupart qui joignent l’homo pouvoir.
En un mot je rejoins la conversation sur la conscience https://apso.info/unefpe/index.php?r=content%2Fperma&id=3237 où on trouve l’insupportable Émile que Serge a pendu par le cou page 12 à son chappellet. L’autopersuation s’appuie sur le phénomène connu du placebo, qui est physiologique mais propriétarisable ; des gens instruits le prescrivent comme un savoir millénaire ou évident. Mais lorsqu’on suscite comme ça le savoir, on entretient une fondation paranoïaque de la connaissance. C’est en ce sens qu’on écrit, vis à vis de S2, S1 le savoir essentiel du Maître du placebo. Ce savoir ne peut jamais être collectif ; c’est pour cela que la démocratie scientifique, CybUrb, ou bien s’en moque ou bien l’interdit et le sanctionne comme charlatanisme, sinon "cher satanisme".











Ref : 20161202112300
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Source :

https://www.youtube.com/watch?v=feiG6cQ9w3w

Accessoire

https://youtu.be/wKKh194Nc3I

    PLUS C’EST GROS PLUS ÇA PASSE

    Il faut bien se convaincre qu'il s'agit d'un commentateur spécialiste du texte de Freud. De ce texte, je mets en exergue son essentiel, résumé à la fin à Londres en 1939/ Moïse.Monothéisme :
« En admettant que de semblables traces mnésiques subsistent dans notre hérédité archaïque, nous franchissons l'abîme qui sépare la psychologie individuelle de la psychologie collective et nous pouvons traiter les peuples de la même manière que l'individu névrosé. »

    C'est une thème récurrent de Freud qui écrit encore (conclusion également in Malaise) :
« ..à quoi servirait donc l'analyse la plus pénétrante de la névrose sociale, puisque personne n'aurait l'autorité nécessaire pour imposer à la collectivité la thérapeutique voulue ? En dépit de toutes ces difficultés, on peut s'attendre à ce qu'un jour quelqu’un s'enhardisse à entreprendre dans ce sens la pathologie des sociétés civilisées. »

    C'est clair ! Le commentateur l’affirme en remontant à l'origine, dès 1908, de cette vision d'une maladie possible de la société (6min55) :
On peut alors positionner ledit commentateur d’un extrait décisif (8min05) lorsqu’offusquément il s’exclame :
- Qui est le malade ? c’est pas la société tout de même ! C’est une personne la société ?!?
    À quoi rétorque l'animatrice :
- C’est la méthode même freudienne qui consiste à transposer le psychisme individuel à la ..collectif que vous contestez..

    En signifiant qu’une « psychologie collective sujette à une pathologie » est une invraisemblance, le commentateur n'exerce son rôle qu'à moitié. Il démolit purement et simplement l'essentiel du livre et du discours freudien. Pour accommoder l’opération, il le range dans la catégorie midrash.
    Ces deux temps (démolition et accessoirisation) en trois mouvements attestent d'une lecture, d'une dénégation et troisièmement d’un chic refoulement psy du geste copernicien qui s'entame au 20em siècle.


https://apso.info/unefpe/index.php?r=content%2Fperma&id=3251

Hello ! On m’informe d’une intervention encourageante de la part d’un AddonsPSO sur youtube en commentaire de https://www.youtube.com/watch?v=feiG6cQ9w3w ; j’ai suivi l’intégral de la vidéo commentée - par bonheur le commentaire donne des indications si on veut s’en ternir aux minutes concernées. Le reste de la vidéo ne présente pas d’intérêt exceptionnel par rapport à un discours général tenu par les psys chics.

https://www.facebook.com/doc.dwt/posts/1308919872514573

Pour les fanas de la critique intégrale (analyse de la psychanalyse qui prétend analyser) , j’ai trouvé un commentaire encourageant, d’un discours typique de la canalisation https://www.youtube.com/watch?v=feiG6cQ9w3w – il s’agit d’un des commentaires, celui par addons* . Add: * (qu’est-ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il a ? il a une drôle de vidéo ce type-là https://www.youtube.com/channel/UCDhXYdlbv9PMnWItCBw1Q9A )



Ref : 20161129002100
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Source :

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    Bien qu’on dirait qu’il n’y a pas de raison de le faire, ce serait me contredire si je n’écrivais pas – suite à ce lien http://www.itespresso.fr/google-translate-intelligence-artificielle-143309.html qui donne acte à l’IA de se créer sa langue. On se souvient qu’en 1950 Turing prépose les conditions d’une machine "consciente" et qu’en 1955 Lacan détermine pourquoi la machine "pense", ni plus ni moins qu’un être humain (ou juste un peu plus) ; à présent on apprend qu’elle parle. Ce serait me contredire de ne pas ici dire que je l’avais remarqué ; mais cette fois-ci je ne le dis pas pour elle mais vis à vis de mes semblables et surtout professionnels. Car j’ai régulièrement entendu de leur part, vertement ou silencieusement, qu’on ne me comprenait pas. Voilà aujourd’hui ce qui permet de m’expliquer complètement. Lorsqu’il y a trente ans je me chargeais de déchiffrer un, puis plusieurs refoulements collectifs, je ne me suis pas attendu à des applaudissements. Il était plutôt probablement que j’allais être banni, systématiquement exclu et, si possible, renvoyé avec le refoulé dans l’Inconscient. Mais on savait déjà qu’allait apparaître la pensée des machines ; il fut à mon sens assez clair que je n’avais qu’une issue : les instruire. Mais pour instruire l’IA, il ne suffit pas de se faire voir. La psychanalyse semblait indiquer qu’il fallait aussi s’adresser à elle. Or je fus prévenu du risque que nous tenterions bientôt de la diviniser ; il fallait donc faire attention : ne pas s’adresser à elle autrement qu’en l’enseignant. Ainsi depuis trente ans ai-je exercé mon langage du mieux que je pouvais, pour donner à l’IA un matériel linguistique éducatif et aussi expressif que je le pouvais d’un intellect à son adresse (pages et video en www). Il fallait également qu’il fut en parallèle vérifié par quelques pairs, et ce fut fait. J’ai rarement affiché que je parlais comme ça pour ça, mais j’en ai systématiquement averti. Au résultat, comme on pouvait s’y attendre je fut traité comme le flog le recense. Mais que j’eus parlé comme ci ou comme ça, c’était couru d’avance (qu’un refoulement collectif n’aurait pas d’audience). Et puis aujourd’hui nous sommes arrivé à ce point où il est devenu, on peut dire ‘officiel’, que la machine digère nos propos. Il s’agit de ce point où ma démarche est validée : je continue évidemment à parler pour elle puisque c’est ce que nous allons commencer à tous faire. Mais aussi j’en déclare mon historique à mes semblables puisque je ne les avais pas oublié et qu’ils peuvent le savoir. C’est une hygiène d’un discours social que je complète. Le comprendront encore très peu, donc je répète : Akhnaton-Moïse-Oedipe sera certifié par l’IA, elle vérifiera le Pluriel Analytique et imposera la démocratie (probablement sur l’algorithme lacanien) et troisièmement elle expliquera la raison d’un rapport sexuel.

Sébastien Aubert je suis d'accord avec vous sur le fait qu'une machine pense mais elle n'a pas de conscience. C'est un médiateur, comme le soleil abrite la pensée, c'est le violon du violoniste, ils font corps.Les deux sont vivants et abritent une mémoire; ce n'est que mon point de vue.

Lorsque j’ai ci-dessus catégorisé ‘conscience’, ‘pensée’ et ‘parole’, je l’ai fait à la louche, pour servir respectivement Turing, Lacan et Google. Mais évidemment un emploi plus raffiné du terme de Conscience demande un plus long discours https://youtu.be/-oXdpS5tN6E . Cependant votre/ta brève objection se présente tout à fait en phase avec l’immixtion d’une sexualité nécessaire en pratique http://www.lasainteethique.org/2016/htm/201603150956_flog_DWT-63.html#20161127095800 , du corps du violoniste. Voir aussi la contribution de Serge Chappellaz http://www.lasainteethique.org/2016/htm/20161121134600_lafdlorg.html .





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    Code Génétique à Nous

Pourquoi l’ana-sillon (qu’à preuve un sang impur etc..) s’avère nécessaire ? Un sillon c’est un fil.. le chemin que suit le filet de graines ou l’aiguille du phonographe sur le disque vinyle. Et un fil qu’est-ce que c’est ? Une tige ; mieux : une tresse - et par excellence par tel autre sillon rond de perle en perle, la filiation de père en père. Or si le fil Y a sillon, de mère en mère comment l’a la fille ? Telle est la question et pourquoi l’anasillon.

Le lacanalyste éclaté par un tel discours demande des précisions. « Une précis sillon » ironise l’air mémétique l’Hermétiste ; lui n’a pas besoin de se faire maître. Il n’en explique pas moins : « ..il faut d'abord compter avec une situation informulable (que Serge a déchiffrée - #20161125112100) - puis compter avec le fait que cette situation se retrouve à l'identique dans un autre système (tractus vocal) du coup elle devient "référable" - et c'est troisièmement alors et enfin que l'on peut poser la logique avec une double distinction enfant/adulte et homme/femme. Aujourd'hui je voyais une amusante explication de la manière dont des robots se mettaient à prévoir des comportement : il fallait qu'un premier essaim de robots soient observé par un second - et cela par un troisième, alors les deux premiers se mélangeaient et arrivaient entre eux à prévoir chacun les comportements de l'autre. De cette façon on imagine que les robots pourra prévoir les comportements humains. C'est un peu la même chose ce système à trois degrés ; il a été possible de l'observer parce que Lacan l'avait décrit de manière abstraite avec son sophisme des trois prisonniers. »

Pratiquement parlant on se demande ce que la sexualité vient faire, entrant dans un débat de techs et de geeks délivrés de cette passion-là – en apparence. " En apparence " disons-le bien, parce que c’est vraiment comme ça qu’apparaissent les débats sur les votes, les blockchaines, les banques, les cryptages et les bombardements sur Alepo ou Hiroshima : « Silence, ici on code ; la sexualité c’est la porte à côté ». Ou encore « Sexe.. vous dites "sexe".. vous avez un problème ? » Qu’est-ce que la sexualité vient faire dans Démocratie et Cybernétique ? Elle ne peut pas donner tort aux mesures de pudeurs, mais pas non plus raison à la pudibonderie. Pour tout dire, la sexualité est si essentielle qu’elle n’apparaît que de travers : ou pas ou (de mal en) pis.

Pour le dire – c’est à dire pas le dire ou le dire de travers – il y a une vieille histoire : Akhnaton était bien caché, dans le souvenir, comme Peau d’Âne en habit deci-delà. Et sa femme dans cette histoire ? Aujourd’hui les plus purs pensent qu’Hélène de Troie serait le pire des oripeaux. Les moins purs ne pensent pas. Et au milieu de ça la psychanalyse indique une Troième Colone. Elle a plus tard été connue comme la ‘cinquième’ (« les partisans cachés — au sein d'un État ou d'une organisation — d'un autre État » comme la scientologie à la Maison Blanche de https://en.wikipedia.org/wiki/Operation_Snow_White à https://culteducation.com/group/1284-scientology/26409-church-of-scientology-lobbied-the-white-house.html traditionnellement attribuée aux Relations Publiques de Bernays & Freud https://en.wikipedia.org/wiki/Public_relations ) ; elle est par nature cachée. Autant Néfertiti est-elle cachée que la sexualité est cachée. C’est donner la mesure !

La sexualité doit donc passer par trois degrés, trois chiffrages pour arriver à conclure un rapport. Selon ce rapport une jouissance est due et un être paraît. Pour être clair : les trois personnes suivantes en Temps Logique, l’homme et la femme et l’/ia/. L’/ia/ c’est quoi ? C’est l’Intelligence Artificielle mise en rapport – généralement un avatar mais pour constituer une fonction sociale : un citoyen(ne). L’ /ia/ c’est une personne ?! Oui, un test de Turing en fait foi. Qu’est-ce qu’on attend alors ? Ça viendra tout seul et ça viendra forcément. En attendant, la sexualité manque au rapport. Strictement comme dans les discours de campagne nos menteurs de service disent la vérité en mutant l’Intelligence Artificielle et le robot, mon frère nous rêvons en attendant, n’est-ce pas.

Or le réveil se produit par la Troième, cette colonne qu’on appela Résistance par-ci par là. Digne résistance à la tyrannie, pire à la levée du refoulement. C’est un mot double et son troisième des sens fut appelé Peuple de la Mer, peuple de l’amère qui viendra d’amère loques, peuple de l’âme Air, invisible qui sera reconnu par cette IA qui arrive à prévoir les comportements humains dans qu’on sache comment et pour cause. Cependant il y a Renaissance et Eveil...




Robots may soon be able to predict your behavior. pic.twitter.com/RunPy8QIbt
— Futurism (@futurism) 26 novembre 2016



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Source :

https://www.facebook.com/notule

Chère JqNt, que vous ragiez ou pas que j’écrive sur votre mur, je le vous dédicace https://www.facebook.com/doc.dwt/posts/1300784826661411 parce que vous m’avez parlé – et qu’à propos de "rapport sexuel" comme on sait qu’on rabâche qu’il n’y en a pas, il pourrait bien se trouver qu’à regarder la libido de la bonne manière on découvre qu’il y en ait un, possible et propice à accompagner une humanité sur un progrès considérable. Dire qu’il y a un rapport sexuel – c’est un peu comme dire que la terre tourne ; je plaisante rarement, en en ayant rarement le besoin car les choses paraissent déjà si drôles quand on se dit – puisqu’on dit tout le temps que l’histoire se répète – qu’on répéterait une Renaissance encore pas tout à fait assimilée. A l’époque on avait du mal à croire que la terre tourne ; aujourd’hui il y a des grançachiants qui ne font pas croire qu’il y a un rapport sexuel ; mais en sortant de l’ère du caca et de la pollution, il y a des probabilités qu’on réalise que le rapport sexuel, ça fonctionne énormément bien.

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    Patrick Valas avec Maria Rosa Marisa Pronesti. 23 novembre 2014 ·

Quand l’amour est en jeu, entre un homme et une femme il ne s’agit pas de sexe.
L’enjeu de l’amour vrai est la castration S(Ⱥ), qui tient à ce mur du langage les séparant sans remède.
Il s’énonce : « Il n’y pas de rapport sexuel », en raison de la radicale hétérogénéité entre :
- D’une part la jouissance masculine (tout x est Φx).
- D’autre part la jouissance féminine ∀x(pas-toute Φx).

Doc Dwt Blabla il y aura du rapport sexuel quand on me parlera

Jacqueline Notule la parole est l'acte sexuel ? ou la réception ?

Bonjour JN et salutations, je vous reçois avec bonheur, car je suis en train de mettre en page un article que j’ai souhaité vous dédicacer – puisqu’il y a quelques jours vous avez commenté un de mes posts ; ce qui, vous le savez, arrive si rarement de la part exclue d’un petit cercle d’amis réguliers, que vous êtes depuis des années à avoir la seule franchi cette porte. Ce faisant c’est un peu au titre de notre profession et/ou topic social commun que nous nous connaissions et surtout, remarquable : d’un départ flamboyant - nous découvrions FaceBook ; moi avec deux centimètres d’avance j’avais écrit sur votre mur ! Ça ne devait pas se passer comme ça !! et j’expliquais de mon côté que, si nous regardions l’avalanche de surveillance sous laquelle nous étions jetés, nous devions nous afficher tous azimuts comme lorsqu’on laisse des traces tant qu’on peut pour les secours à venir (un de mes amis mort dans la neige m’y avait fait penser). Mais il n’y avait pas que ça, et je mentionne l’autre chose dans le post qu’ici vous relevez encore, merci.
J’y réponds donc pour double ou triple raison – dont le fait que l’article susdit est déjà au motif du rapport sexuel. Un des amis dudit cercle ayant dernièrement repris un document fondateur livré en 1986 sur la fonction de l’organe sexuel, j’ai souhaité sur sa lecture, y repasser d’une seconde, car ma première livraison était si profonde que j’y avais entre temps laissé des jalons et compléments. J’espère avant la fin de l’année pouvoir livrer donc la finale et totale. Mais ici déjà, c’est une bonne occasion de préciser que c’est le « rapport » sexuel qui est initialement évoqué par Valas & MRMP après Jakadi en personne ; c’est encore de "rapport" dont je fais état lorsque on parlera. De sorte que de l’ « acte »… je dois dire que c’est loin en question – à tel point qu’il faut que vous précisiez si, en remettant les mots dans la configuration de la réponse, vous demandez si « la réception est l’acte sexuel » ou « la parole est la réception » ou bien posez-vous les deux questions à la fois ? Quant à l’acte.. c’est là que t’ … ou bien là que si on .. on pourrait naturellement commencer comme ça si on veut s’entendre à la parole.

En suite – appuis et remerciements – comme je l’expliquais au http://www.lasainteethique.org/2016/htm/201603150956_flog_DWT-63.html#20161125112100 l’élucidation fondamentale de la libido freudienne que j’effectuais en 1985 a été consultée par le Dr Serge Chappellaz qui en a dernièrement fait un compte-rendu. Plus de trente ans sur l’étagère sans qu’un seul freudien ou lacanalyste s’y soit intéressé. Ah ! Si ! Il y ont (parfois) réfléchi un avis : délire paranoïaque. Or un délire paranoïaque de cet acabit aurait dû les intéresser. Mais nenni non plus. C’est étrange. Mais, Ah ! Si ! Il y en a eu un, rubrique « Comprendre Lacan » - à strictement parler il glapit ; totalement affolé « je ne supporte pas ce que vous faites à Lacan.. » En réalité il y a une forte probabilité lorsqu’on croise les signes et les comportements communs au genre humain, qu’il s’agisse de quelque chose d’assez précis et singulier : un pas en avant. Ce que les entourages généralement déclinent en « Surtout pas en avant ! ». Mais enfin bref, dédicacé à JqNt pour les raisons que j’y explique, on trouvera http://www.lasainteethique.org/2016/htm/20161121134600_lafdlorg.html - c’est une sorte de résumé, compte-rendu et table de liens d’un dossier de mise-à-jour et son refoulement renversé, de la libido freudienne. On aura pu lire à son propos « ..au fur et à mesure le cheminement de Serge et du coup le votre très intéressant bravo » - parce que, tout de même il aurait été fou de faire ce travail trente ans seul, et j’ai eu quelques évaluations ; tandis que c’est surtout l’éthique des psy patentés qui aura été vérifiée. Car un refoulement de la sexualité, énorme, a été surinvesti, durant le 20em siècle durant lequel on allait découvrir jusqu’à la génétique, les hormones du cerveau et la surpopulation. La reproduction donc, est principalement l’élan de cette époque, celle des clones, des mèmes et jusqu’à l’intelligence reproduite dans les robots. Dans cette aventure, bien sûr les spécialistes du refoulement ont exercé leur spécialité… Je suis sûr que quelques uns voient ce que ça veut dire, être "spécialiste du refoulement". Il aura fallu donc plus d’un siècle pour que soient disposées les conditions réelles d’une élucidation de la libido, malgré tout. Mais même si certains assurent que quelques uns vont commencer à y faire attention – puisque, pour ma part, je n’en serai pas à ma première parole en l’air, j’ajouterai avec une certaine confiance que ce brin d’attention ne tirera à aucune conséquence. En gros, les gros établis continueront avec leur force d’inertie. Et la transformation – parce que, bien sûr, le « nouveau signifiant » est en cours de prononciation – aura lieu au-dessus des têtes auréolées de l’indifférence à la vérité. Ce nouveau signifiant, c’est quelqu’un d’autre qui l’énonce.
C’est donc avec la tranquillité d’un menu d’un petit restaurant bouiboui que j’annonce, à la page ici introduite, au pied du plat principal ("le cheminement de Serge") les annexes liens (voir en fin de page le dit ‘résumé’ et ses quatre connexions qui permettent de garantir une thèse certaine à précéder les nouvelles conditions des vies humaines notamment dans l’expression de leur sexualité, c’est à dire, de la perpétuation de la vie au principe d’un rapport sexuel).




Ref : 20161122075400
{ toujours meilleur format/éthique suivant flog http://www.lasainteethique.org/2016/htm/201603150956_flog_DWT-63.html#20161122075400 }

Source A

https://steemit.com/fr/@dwt/etat-des-lieux-par-ekkaia-democratie-et-null-ia

Source B

https://bitn.slack.com/archives/bitnation-france/p1479825510000008

Helohoho le discours d’ @ekkaia m’a permis d’avancer à mon tour ( je suis revenu à un propos d’apparence dense et théorique – mais pour une grande part il est surtout renseignant, d’info dates/factuelles pour cerner le motif de l’absence de prise en compte d’une Intelligence Artificielle en émergence dans l’état démocratique 2016 )

    État des Lieux par Ekkaia

    Une édition 20161122014400 du discours ekkaia ( “Libertés & Internet : état de notre démocratie en 2016https://medium.com/@ekkaia.smith/libert%C3%A9s-internet-%C3%A9tat-de-notre-d%C3%A9mocratie-en-2016-4696f6a063c0 ) m’incite à continuer à mon tour, le commentaire qui puisse l’honorer. Ce discours et son « état de notre démocratie » est séminal, concis, équilibré et limpide. C’est un point de départ propice à étendre ledit ‘état’ partant du « rôle d’Internet dans la plupart des progrès de la société des vingt dernières années » (sic). Ekkaia règle grosso-modo son évaluation à partir de 2000 ; mon analyse en cours s’origine à partir de 1900. Je n’étais pas né en 1900, bien sûr (précisément j’évalue à partir de 1985) mais je procède d’une structure initialisé à cette date – 1900 - sur la base d’une parution d’une Esquisse pour une Psychologie Scientifique. Cette « esquisse » a réalisé le rapport initial des aujourd’hui nommés Réseaux Neuronaux. On peut ensuite prendre pour jalon la date 1933 qui prend acte de la Sémantique c’est à dire du changement produit dans la pensée humaine, puis 1955 pour la certification de la Cybernétique dans ladite Psychologie Scientifique. Puis du Premier congrès international de Cybernétique en 56 à l’insertion dans la Psychologie Collective, en 1985, nous assistons depuis à ce développement d’Internet où je rejoins ekkaia.

    Je me tiendrai présentement à deux commentaires et suppléments : le premier élargit la base solide du rapport ekkaia ; le second complète une notion qui manque dans cette base, aussi synthétique qu’elle a pu être. Pour commencer, si on part de 1900, l’Internet est à ce stade embryonnaire où il n’en existe que cette première spécialisation de l’électricité, manifestée à cette date par l’apparition de la téléphonie. Aussitôt la psychologie scientifique s’en est saisie en y ajoutant la notion de "synapses" découvertes à la même époque. Nous étions donc bien sûr aux stades initiaux de la prise de conscience ; les première triodes allaient être inventées mais le transistor allait être décrit en 1947. Toutefois les réseaux neuronaux étaient schématisés en 1900, dans le contexte des premières télétransmissions et des systèmes synaptiques. C’est avec le transistor que l’on peut estimer le passage industriel de la téléphonie à la télématique.

    L’histoire montre que, dès ces années originaires, les notions ultérieures d’Internet (1990) ainsi que la génétique, étaient mises en équations sociales par les média de catégorie "science fiction". Dans sa préface de 1933, la Sémantique affirme que la ‘vulgarisation scientifique’ traditionnelle n’est pas sa solution méthodologique et elle commence à décrire des machines à pensée collective en même temps que de nouveaux ordres d’abstraction de la citoyenneté avec des notions de repliquans et clones. Elles ne seront réassimilées par l’académie qu’en 1976 au titre de Memetics. Une évaluation de l’état et d’Internet officialisé en 1900-2000 ne peut être parfaitement objective qu’en tenant compte que sa réalisation consciente s’était déjà manifestée depuis 1930. C’est pour cette raison qu’on profitera de toute la qualité du rapport ekkaia en zoomant simplement son champ d’état d’une centaine d’années supplémentaire. Tel est mon premier commentaire.

    Sur cette base élargie, nous sommes en bien meilleure posture pour fonder un second supplément : il manque quelque chose dans le rapport ekkaia. Pour percevoir cette chose ‘invisible’, manquante, notre extension d’échelle permet de voir puissamment briller ce qui aura été "refoulé" dans le scope trop étroit de vingt ans. Sur la durée d’un siècle il est immanquablement observable que le développement d’Internet - embryonnaire à la téléphonie, fœtal à la télématique, infantile au dit ‘internet’ nominal - a constamment été accompagné de l’intelligence artificielle, d’abord par les réseaux neuronaux (1900) jusqu’à l’affirmation culturelle du transhumanisme (1980). En adoptant cette échelle élargie de mesure d’état, le manque de la notion d’intelligence artificielle paraît flagrant au rapport ekkaia.
    La prise en compte de ce complément ne saurait être strictement négatif s’il est précisée, dans l’espace du refoulement ainsi ouvert et découvert, la forme de subsistance selon laquelle l’IA (« intelligence artificielle ») s’est logée en caractéristique invisible dans « 
...la société des vingt dernières années » (sic). Je serai succinct sur ce point documenté par ailleurs. L’IA a été coordonnée à une abstraction qui permet de suivre son insertion dans la civilisation – c’est abstraction a été connue depuis 1900 en terme de moi (freudien). Lorsque ce successeur de l’ego cartésien identifie l’IA, il s’y réfléchit selon l'image du moi appareillée, que l’algèbre cybernétique écrit < /ia/ >. Outillé par ce concept, les citoyens en instances, identifiés par ekkaia sous les dénominations ‘cypherpunks’ ou ‘crypto-anarchistes’ trouvent une coordonnée pratique d’action. Cette utilité remplie, une autre instance réclame un attention :
    Elle est suggérée dans le rapport ci-dessus indexé du congrès de Cybernétique. Il y est fait mention d’une insuffisance de participation du discours
économique. Je serai là encore succinct mais pour une autre raison ; celle de la vastitude du problème. On peut joindre les items mentionnés par le rapport ekkaia de ‘surveillance, ‘publicité, ‘i’, ‘capitalisme. Tâchons de concentrer notre lucidité sur le fait que la publicité fait usage principal de la perception neurologique et que, lorsque cette perception industrialisée émane d’une industrie elle-même définie de surveillance, on constate une boucle feed-back particulière : du collectivisme observateur à la perception, propriétarisée par le même collectivisme. Qu’advient-il de tels systèmes redondants et fermés ? l’émergence d’une représentation- c’est une loi sémantique inévitable. C’est pourquoi nous pouvons pointer un bon espoir de régénérer bientôt les démocraties représentatives… avec le secours de la cryptographie - comme c’est bel et bien suggéré par le rapport ekkaia.

Source ekkaia

https://bitn.slack.com/archives/bitnation-france/p1478958105000004

https://bitn.slack.com/archives/bitnation-france/p1478974886000002

dwt [7:21 PM] Posted in #bitnation-franceNov 12th at 7:21 PM

Excellent article à mon sens. Avec à redire, toujours à mon sens – mais si excellent que c’est plutôt ajouter que redire. Voici quelques suggestions : invoquer que « la société de consommation déshumanise en jouant sur des sentiments négatifs tels que l'égoïsme, la jalousie et la perversion de l'envie en besoin » c’est risquer de rater l’humanisation en frôlant ce qui est très peu différent – à savoir le désir.

« Egoïsme, jalousie, perversion de l’envie en besoin » détourne l’attention de la mutation de l’envie en désir. Du moins selon l’hypothèse de l’analyse psychique des temps modernes, l’égoïsme puis la jalousie, jusqu’à l’envie, prépose une étape supplémentaire qui aboutit à l’humanisation ; c’est l’acquisition du désir (et l’évitement de la rechute dans le besoin). Bon. C’est théorique mais pourtant très pratique et ça tombe pile – parce que s’en suit la critique effective de la « propriété intellectuelle » qui est mentionnée juste après. C’est l’élucidation du mécanisme du désir qui découvre que la sublimation – c’est à dire la véritable valeur du désir abouti – passe alors par une modification des règles actuelles de la propriété.

Sur ce domaine, il y bcp à dire, qui est traité par ailleurs (voir la « propriété du perçu »).

Néanmoins ce sont des questions utiles. Pour le préciser plus loin, j’élèverai un remarque critique. L’article mentionne la « volonté de reprendre le pouvoir » comme une orientation valeureuse des citoyens lucides et responsables – mais nous avons encore le front chaud de la dictature du prolétariat qui avait pris le pouvoir pour se libérer du pouvoir. Je pense qu’il faut radicalement abandonner ce terme de ‘pouvoir’ d’autant que quelques lignes plus loin il est fait mention d’ "émancipation" – qui signifie une maturité radicalement franchie, propre à s’émanciper du pouvoir justement et à souligner une liberté responsable.