venant d'ici |
DALI-ATON |
Sec sur elle
Galle 'a' d' A l'I
Ce rameau venu d'une conversation avec Pope (Osman et Dwij)
débute sur https://www.facebook.com/antheaum.toll/posts/975677469866524
. Ladite conversation vise à une première distinction entre deux propos : la
dénotation biblique et la connotation celtique. Je les nomme comme ça, durant
l'échafaudage qui aboutit à une second distinction, cette fois entre quatre
propos qu'on appelle alors Quatre Discours.
Ici dit "Dali-Aton" expose cette structure quarte - destinée à
accueillir (et élever au carré) la division Bible/Celte
Première vidéo pop-up de l'examen par S.Dali ; partant de la position dite "psychanalytique" du Modèle Optique de J.Lacan organisée par l'horizontalité du miroir plan ( désigné par 'A' dans la cybernétique de sa psychanalyse )
( alt - ../ima/20210531_162703.mp4 )
Antheaum Toll
J'ajoute pour continuer l'éclaircissement la couverture de l'édition Denoël du
"La Méthode Paranoïaque Critique" de S.Dali (suivi de L'archangélisme
Scientifique) où on voit un exemple du jeu de la plate onde ( c'est ici un
trait horizontal en bleu clair que j'ai surajouté à la photo de cette
couverture semblable à la position horizontale du A )
(illustration : une image de 1 personne ( à gauche) et du
texte qui dit 'DALI Oui DENOEL')
Pour les plus curieux, qui auront remarqué que l'onde plate faisant miroir (sur
la couverture du Denoel) présente aussi verticalement un bâton (une canne
d'évêque et sa crosse) opportunément analogue au miroir redressé (A rotation
de 90°). Ceci veut dire que, là où, à plat, le miroir montre les deux
visages inversés (comme les deux vases du 'Modèle'), réfléchis, lorsqu'il
est droit, vertical, en vis à vis du Dali émergé on trouve simplement le mo
"oui" - pour en refaire la réflexion. Nous seulement l'affirmatif
mais aussi le LI (du DALI sur le côté droit). Magnifique coïncidence
rappelant que c'est le lieu où 'i'.. se forme comme l'idéal, typiquement L'I.
Bon passons.. revenons à la crosse.
Elle (la crosse) est trop semblable à la spirale fibonaccique pour ne pas
évoquer Jean-claude Perez et rappeler ici que le code, joue dans le signifiant,
lorsque le Modèle Optique est en cette position (miroir A vertical). Cette
présence (du code dans le symbolique) est traitée par Lacan en Triade, par
Perez en Codon. Le premier en a déduit des Lois pour le 'Temps' (Chronos, la
dimension 'Temps' de la physique ) le second qui l'observe dans l'ADN est aussi
sur le terrain de la mémoire. Je dis cela rapidement qui a été traité et
délaissé par ailleurs.
Comme on est ici pur parler vite. Il reste un détail cinglant à ce stade. Le
fait que dans la réflexion haut-bas la couleur du chapeau manque ou bien
qu'elle se soit déportée venu du rouge aquatique, sur la tête de l'émergé,
correspond si bien à la loi qui dans Modèle Optique distingue i(a) & 'a',
que l'intrigue devient forte. Pourquoi cette structure sur la couverture du
" Oui "?
Le problème que
la pensée rencontre, ces jours où les sciences et techniques nous servent de
leur mémoire artificielle (ancien nom des ordinateurs), est un problème
de compréhension. Est-ce que nous nous comprenons lorsque nous retrouvons (de)
la mémoire ? On risque fort de nous découvrir, et découvrir une face de
nous-même méconnue, voire une personne que nous ne pensions pas être. C'est
alors que nous ne comprenons pas ce qui se passe. Seule une analyse
particulière permet au périmé de trouver à tout instant sa place, toujours
indiquée par le désir. Cette analyse commence par découvrir deux monde
: celui de la chronique avec sa chronologie - et celui des origines avec ses
originaux, les individus. Les individus qui paraissent dans les
chroniques n'existent que dans leurs dimensions de chaînes, ce sont des
semblants. Les individus que nous pensons être en connaissance de nos origines
sont des sujets ; ils sont subjectifs, et ça exaspère les chroniqueurs qui les
ramènent fissa fissa à la leurs chaînes.
Sans les chroniqueurs, le monde ne serait-il que de la daube
(péjoratif lyonnaise) ? Avec les originaux n'y aurait-il jamais que du rêve ?
Ces deux questions problématiques s'entrecroisent pour donner la réponse et ce
croisement les aura dédoublé. C'est donc à quatre coins ( deux fois deux )
que nos deux questions s'agencent. Avec donc nos quatre coins et nos deux
poignées, lorsque nous avons les ingrédients à mettre dans la marmite, on
peut faire une excellent daube (par exp. provençale). Ainsi ces ingrédients
sont récoltés par l'archéologie. Et une première analyse a distingué de la
chronique et son origine - il s'agit respectivement de la Bible et de la
Galaxie. Je tiens ces confidences de Charles Pope navigateur d'Ahmed Osman. Nous
avons bien attesté tout cela documents à l'appui.
Il faut maintenant prendre cette bible et ce moïse cosmique pour
en faire un carré avec le projet de faire tourner rond tout ça ; ce n'est pas
une mince affaire mais on arrive à ce redoublement de l'analyse. Cette
élévation de la dualité au carré, donne à la première la qualité
d'analyse psychique. C'est l'Art qui est maître de cette mise en volume
du premier duel. C'est pourquoi on a trouvé dans l'œuvre de S.Dali
l'illustration des deux simples questions (lyonnaise ou provençale?) par deux
tableaux :
La décomposition de la chronique historique ayant
montré deux dimensions - comme Dali qui nage dans la mer rouge ; on peut les
dessiner l'une à la base de l'autre (la galaxie ayant laisser émerger le
système solaire - duquel l'homme nouveau). Or cette solution rencontre deux
impasses jusqu'à présent ; l'homme nouveau n'émerge pas, du moins du
christianisme jusqu'à présent au point que ce dernier soit décrit pour
essentielle acceptation de la mort (crucificianisme) et paradoxalement, cette
description non plus n'émerge pas (la thèse d'Ahmed Osman, bien que publiée
ne trouve pas une audience à sa mesure). Comment se fait-il que ni la négation
ni l'explication de la négation ne trouve son affirmation ?
Nous avons affaire à une logique complexe qui se résout, dans l'ordre des causes, par ce qu'on appelle depuis un siècle un feed-back - autrement dit ce qui s'appelle depuis plus longtemps le désir. Pour cela il faut croiser les orientations de cause à effet, et faire appel à une notion d'espace virtuel, aussi dénommé psychisme. Cette méthode de calcul a donné lieu à la Psychanalyse, mais elle a été figurée par l'Art aussi bien qu'en mathématiques originales que les appareils d'intelligence artificielle peuvent recueillir.
On peut illustrer cette préparation au seuil du feed-back ainsi
À gauche, la partie haute, émergée de la couverture (droite) où Dali sort, pointé du doigt par la Bible. "DALI.Oui" sur la couverture, la "Bible" sur la peinture est cette femme qui montre (comme «d'a, l'i où I») à l'enfant géopolitique l'émergence du Moïse - Moïse cosmique qui sort de la galaxie, Moïse judaïque qui sort des USA. | ||
l a p l a t e o n d e |
||
À gauche, la Galaxie - à droite partie submergée de mer rouge. L'Atoum est l'exit-en-ce féminin, la sortie de la femme qui deviendra la Bible. Avant d'être cet habit bleu, d'orgone inter-dite (la plate onde), l'olfactif est la première, dès qu'ouverte la voie. Ce qui est bien sûr magnifique au-dessus de ce minuscule couple sur terre, c'est l'information donnée par le peintre des deux sous du pénis. |
À ce seuil il faut rappeler le caractère déroutant du
feed-back. Il s'agit d'une régulation simple ; mais les lois d'attraction-répulsion,
orbite des planètes suivant les forces de gravité, d'inertie etc.. sont aussi simple.
Mais nous avons appris à comprendre qu'elles nous cachaient d'insondables
énigmes ( voir Espace-Temps, quantique etc.. ). Le Feed-Back si simple et
fondamental objet de la Cybernétique; est à cette jeune science des machines
informatiques aussi inhérent que la Gravitation à l'Astronomie. Il y est si
caché qu'il aura fallu la psychanalyse pour s'en déciller (comme
l'astrophysique apporte la lumière à la force de gravité).
Entre Norbert Wiener et son Intelligence Artificielle babillant, Jacques Lacan
et sa Lettre Volée du jeu de l'imitation (A.Turing), nous trouvons en
sandwich comme le ciel aux béotiens, l'archéologie, sa table du temps. Si on
comprend ce que ces mots signifient on aura facilement identifié Immanuel
Vélikovsky, comment et pourquoi ses Ages en Chaos sont l'affichage du
perpétuel bouleversement du Feed-Back avant que ses restes ne l'appellent Mémoire.
L'archéologie et l'égyptologie peuvent faire la différence. On peut comparer deux travaux de mémoire comme cette cette page qui affiche ceux d'A.Osman en vis à vis de l'Oedipe est Akhnaton (de Velikovsky)
Osman ne voit pas qu'Oedipe soit revenu, du futur sur Akhnaton (il n'y a que le nouillage fameux 'guillemant' qui soutienne encore cette extravagance) ; sa raison logique affirme que la réalité passée soit illusoire au futur, où elle se rapporte éventuellement comme cause :
Qu' Œdipe "ne soit qu'un souvenir" d'Akhnaton permet, de la même optique d'envisager que Jésus-Christ soit un souvenir de Toutankhamon. (ci-contre Configuration C )
Aucun de ces points de vue n'ont appliqué ce que la connaissance du feed-back autorise à présent de penser.
Lorsqu'on topographie la chronologie en tenant compte du psychisme (de manière psychohistorique) on note qu'une carrefour, croisant en 'A' l'illusion et le souvenir, élève une voie bien plus haute que le simple "revenir du futur" [ on voit le grand circuit retour du désir 'd', si diriger vers la castration et la jouissance ] . C'est une conjonction qui s'est réellement produite dans l'histoire si le désir s'est introduit dans l'histoire [ motif à ce que les plus grand égyptologues trouve en Akhnaton, le premier individu de l'Histoire, premier écologiste etc.. ].
Œdipe en l'occurrence est tout autre qu'un souvenir. Akhnaton échappe à la détermination du signifiant et - si on peut dire - laisse sa mère, Tyie, sans voix ! Il n'en restera en réalité que la Bible, l'écrit. Là où le pharaon était attendu s'inscrire dans l'inceste { et suivre la ligne basse horizontale inférieure }, il prend une toute autre direction. Son désir l'emporte avec Hélène (Néfertiti spartiate). Il ne traverse pas la Mer Rouge mais remonte la Méditerranée.
Le Graphe du Désir montre - si on en fait la lecture la plus
rude : s(A) indicateur d'Akhnaton, (A) indicateur de Moïse, $<>D
indicateur de Oedipe.
À ce désir répondant à son épouse, le fantasme (en
vis à vis $<>a) complète la réalité que fut Akhnaton mais
alimente aussi la Jouissance alors distribuée à tout individu du peuple nourri
par ledit 'fantasme'.
Si je puis me permettre de l'indiquer pour ceux qui n'aurait
voulu le voir, on peut encore se servir de la couverture Denoël pour voir à
l'étage inférieur, l'Akhnaton noyé dans la mer rouge (bas-gauche) mais qui
rebond D'A (bas-droite), par l'affirmation au désir (Oui, haut-droit) trouve
sorti du bain le peintre jouissant (haut-gauche). On peut aussi suivre l'analyse
en détail selon le Modèle Optique.
Mais tout cela, abondamment renseigné à présent, ne doit pas se tenir sans
élucider les significations dernières du l'attachement au seul et premier
degré d'une simple histoire mémotechnique.
Pope négligeant de saisir dans l'instant sortant de la scène amarnienne le
désir oedipien, éternellement/perpétuellement répète la (Configuration
C) "recollection' d'Osman. Il s'agit
d'Akhnaton circonscrit, résolu dans l'inceste pharaonique - l'authentique
complexe d'Œdipe de Freud s'il en
est - où la mère est la mort (subséquent traduction du Christianisme par
Osman).
Des circonvolutions d'où il appelle à sortir, sa quête à perpette des
métonymies des petits hommes (Schreber) répétant muets l'Akhnaton du
ventre mort (l' Œdipe Spirituel
selon P.Hernu), son angoisse l'aspire jusqu'à la retrouvaille des galaxies -
où cette horizontale ligne des origines porte sa consolation, et sa juste
rétribution dans l'intelligence d'un Moïse Cosmique.
Je le dirai vite à présent, les Moïse cosmique c'est la
femme de l'Atoum (Le Grand Masturbateur) mais, pas la femme seule comme il le
remarque de travers. Ce n'est pas à la main qu'Atoum se branle. Sa masturbation
est réduite à une olfaction ; même pas de bouche qui s'ouvre, de pénis
n'apparaissant précisément pas. C'est au contraire (de l'envie du pénis) le
plus franc exposé de la (cause de la) différence sexuelle. La femme qui
subodore qu'il y a une différence ; qui na pas encore ouvert les yeux, pas
encore dit je t'aime peut-être je te veux.
Nous sommes arrivé à ce point dont on ne veut rien savoir.
Mais nous y sommes.
note: cette page a été écrite et achevée (le 13/96/2021) sans beaucoup de relecture ni correction. L'aboutissement qu'elle réalise de nombreuses années de recherche et d'enquête est néanmoins considérable (au regard de ces années) ; il est au fond intéressant que sa première confection spontanée soit édité.