Présentation de AMO=H3 Zenon Kelper |
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AMO=H3 n'est pas une formule chimique; elle
serait plutôt Alchimique, |
Le site akhnaton.net présente
Tout d'abord quelques mots sur Hermès-Thoth-Trismégiste:
Une occasion de réfléchir au rôle ou au mythe des
personnages historiques
Il y a de fortes raisons d'identifier le réputé patron des alchimistes,
le Trismegistus chrétien, à l'Hermès-Thoth
ptolémaïque auquel on rendait un culte en l'Hermopolis Magna, comme étant
un souvenir d'Akhnaton égyptien pharaon qui
régna sur le site lorsqu'il était occupé par sa Cité d'Aton (appelée à
l'origine Akh-T-Aton puis connue des Alchimistes sous deux noms au
moins: Adocentyn, Cité
d'Aton, Adon, Adonis et/ou Ashmunein, qui est resté le nom
contemporain de la région). Mais faudra-t-il attribuer en personne à cet
être humain, Akhnaton, récemment découvert par l'égyptologie, cette miraculeuse civilisation
contemporaine, fruit de toute sa science? Oui et non, disons. Akhnaton, ainsi
que tout personnage historique ayant existé, était avant tout une personne
avec ses limitations, entraîné, et souvent malgré lui par des forces collectives,
et comme tout un chacun chargé d'un savoir bien plus grand que ce qu'il pouvait lui-même
le mesurer. Il existe d'autre part d'autres postulants historiques à la
carrière de Trismégiste - par exemple son alchimiste, ou prêtre, Amenhotep
Fils d'Hapu. Si Akhnaton semble avoir eu des ambitions à la mesure d'une
légende, on ne sait s'il fut un aventurier de l'esprit, dopé aux élixirs sacrés
dont l'usage était une règle de prêtrise, ou au contraire un tyran effrayé
par ces voyages. Un bon égyptologue, Daniel Kolos, affronte aujourd'hui
ces questions. Elles participent toutefois d'un ajustement de dernière main qui
ne doit pas distraire du franchissement essentiel: un épisode historique à
Amarna a suscité des enseignements de sciences naturelle,
psychologique et
sociologique (les magies dites naturelles, célestes et cérémonielles)
voire peut-être initié les programmes ultérieurs de la
cybernétique et de
l'intelligence artificielle, si l'on en croit l'interprétation
par Yates des esquisses de Giordano Bruno, le dernier grand mage
hermétiste. En y ajoutant la
morale des lois religieuses, nous nous retrouvons avec une énorme
influence qui ne saurait sans doute avoir été dictée par un seul homme; il
sera plus raisonnable d'y voir la représentation de la pensée humaine,
agrémentée néanmoins de la manière dont elle sait saisir un nombre
restreint, voir un, corps humain, son cerveau, sa personne pour le charger de
ses oeuvres.
Il est temps maintenant donc, de présenter
précisément Akhnaton à ceux pour qui il est encore inconnu
La personne physique d'Akhnaton
Akhnaton ne fut découvert qu'au début du 20em siècle; l'égyptologie avait déjà plus de
cent ans d'âge - c'est dire à quel point sa mémoire avait été soigneusement
réprimée par ses successeurs, et puis plusieurs fois dans l'histoire. Un
schéma (ici sur une page en anglais) montre les vicissitudes de son souvenir,
après que ses successeurs, les ramsessides jusqu'aux ptolémés aient d'abord
interdit de prononcer son nom sous peine de mort, puis rasé sa cité avec
l'intention d'effacer toute trace de sa
tentative révolutionnaire. Car c'est une révolution qu'Akhnaton tenta, et qui
échoua dans le malheur, la honte, et l'apparent oubli. Akhnaton se signale en relief sur un entourage
fameux: son père fut roi d'Égypte durant une période où elle
fut la plus puissante de son histoire, sa mère Tiye est une des
reines les plus marquantes, sa femme, Néfertiti, est encore acclamée
de par le
monde pour sa beauté, et son fils dynastique, Toutankhamon, est
roitelet célébré comme un grand pour sa tombe unique à avoir été ouverte intacte par les
savants modernes. Au centre de ce beau monde, Akhnaton est décrit de façon
disputée, voire passionnée, comme un malade ou une andouille, un pervers
ou un saint, peut-être un extra-terrestre, ou bien un génie. On dirait que la civilisation
éprouve une difficulté à accommoder sa vue sur celui qui occupa
l'œil du cyclone que
fut la 18em Dynastie, et dans la catastrophe de laquelle il disparut, sans
laisser de traces et traité de criminel. On se rend compte aujourd'hui que l'épisode
amarnien sur lequel il régna constitue une charnière dans l'histoire
générale, comme par exemple le Christianisme quelque mille ans plus
tard lorsque pivote le destin de la civilisation méditerranéenne
(d'Alexandrie à Rome), ou comme la Renaissance
encore plus tard lorsque la conscience humaine pivote avec une terre qui
se met à tourner. En terminologie psychanalytique le bref événement
amarnien s'appelle une scène primitive. Une révolution dont Akhnaton fut jugé responsable
vit pivoter la longue histoire égyptienne. Il y a une
mentalité égyptienne avant Akhnaton et sa 18em dynastie - puis une autre
ensuite. En fait c'est un long déclin de l'Égypte qui commence malgré la
brillance et la propagande de ses successeurs, les Ramsès. En contre
partie le nationalisme s'est fait jour dans la pensée humaine; et il évoluera
jusqu'à l'époque moderne.
Les nécessités et le cours de la révolution
Atonienne
Le conditionnement
La situation
Le résultat
Vu de Thèbes, Akhnaton était un officier, pharaon
certes mais pas moins au service de l'état. Il était en charge de conduire l'expérience Amarnienne.
Aujourd'hui, Hollywood à l'appui, on garde tendance à croire que ces
gens étaient très différents de nous; qu'ils obéissaient naïvement à
des rois qu'ils croyaient divins. On appliquait la même condescendance
aux sauvages, qui nous cachait à quel point nous sommes barbares
et aujourd'hui à quel point on
idéalise nos champions. Avec une pareille vision, infantile ou névrosée,
on attribue
à Akhnaton des décision qui en faisaient le Maître du Monde.
Mais cet homme ne fit que
suivre son destin tracé par l'histoire. D'abord obéissant aux ordres et suivant les
plans de ses éducateurs, puis jouant au rôle qui
s'offrait - ensuite... eh, bien, évidemment, développant un sentiment
d'indépendance; et ce fut la foire à Amarna! Mais c'était d'ailleurs la débâcle sur toute la terre d'Égypte.
On en attribua la raison à la tête couronnée; d'autant qu'elle ne se
privait pas de s'exprimer. Quoi de plus banal que cet effacement de
l'administration dans l'histoire. Mais contrairement au sacrifice
conclusif du tyran, habituellement spectaculaire, Amarna présente une singularité:
dans le tumulte des derniers moments,
on ne sait rien de ce qui s'est passé - ou presque rien, sinon qu'une fois que le pouvoir militaire thébain
eut rétabli la
situation, le cadavre d'Akhnaton n'avait été remarqué nulle part. Ne fut
ordonné qu'une interdiction de prononcer son nom tandis qu'à quelque distance l'histoire
d'un certain Moïse aux origines égyptiennes compliquées commençait, ainsi qu'une civilisation grecque, avec des
légendes qui rappelaient étrangement la vie du roi, de ses proches et l'épisode hérétique
(voir
l'histoire de Phaeton, Orphée, Oedipe)...
Même après que
l'égyptologie l'ai découvert en 1900, sa figure resta longtemps floue, voire
inquiétante, et il fallu attendre 90 ans pour qu'un égyptologue s'enhardisse
à poser l'équation de son identité avec Moïse
ce
qui pour n'être qu'hypothèse ne s'en avère pas moins presque évident
à poser et donc, tout aussi évidemment, le lieu de remarquables
résistances s'il fallut attendre tant d'années pour l'énoncer
.
Est-ce Akhnaton qui est à la cause de la mentalité
nationale, ou sont-ce ces successeurs qui l'ordonnent afin de refouler un
mouvement qu'il aurait initié? Telle est la sorte de question ouverte
depuis l'évènement amarnien. Nous voyons à quel point c'est une énigme
des origines qui regarde le temps présent. Au plus réduit tel est ce qui
reste de l'énigme : l'identification d'Akhnaton par des égyptologues
fameux qui le qualifient de Premier
Monothéiste, voire de Premier Individu de l'histoire humaine. Au
plus large, l'esprit humain contemple un tournant de toute la pensée
humaine - ce qu'un coup d'œil sur son contexte nous aidera à comprendre
Les découvertes
récentes, en climatologie, et autres sciences de la terre, voire de la
préhistoire, indiquent un événement majeur au prélude de l'histoire
égyptienne: le Sahara fertile était brutalement devenu un désert, en
deux temps et en rapport
avec des modifications de l'axe magnétique de la planète. Des civilisations
qui s'étaient développées dans ces régions luxuriantes, il ne reste
pas de traces dit-on; mais en même temps nous savons que rien ne s'oublie
dans la nature et surtout dans une humanité déjà parlante et fort
développée. On peut s'interroger sur le Sphinx dont la datation
présente les signes presque comiques du refoulement
pour
les géologues il ne fait pas de doute qu'il présente les caractéristiques
d'une érosion par la pluie, pour les égyptologues, c'est impossible un
point c'est tout. Mais il n'est même pas nécessaire de
s'appuyer sur des symptômes pour preuves quand la psychanalyse nous
apprend qu'il n'y a rien d'oublié qui ne soit notre Inconscient présent.
Au décours d'une époque où des capacités
navigatrices de l'humanité semblent avoir permis de joindre les rives
Africaines et Européennes aux
continents américains probablement, quand l'Égypte
classique émerge dans l'histoire, le Sahara donc, vient de devenir
inhabitable. C'est une certitude qui rend hors de doute que la civilisation
égyptienne résulte d'un contact de populations déplacées et en détresse,
avec des régions avoisinantes moins touchées par la catastrophe
lesquelles
ailleurs ne manquèrent pas non plus, inondation de Mer Noire,
désertification de l'Arabie, du grand fleuve Sarasvati de l'Indus etc...
Au moment où nous découvrons une menace
écologique sur notre climat, nous redécouvrons l'épisode
précédent dont nous avions refoulé la mémoire. Ce phénomène de
répétition peut-être contrôlé dans la mesure où nous prenons
conscience de son histoire durant la période amnésique - nous
appelons cela l'Inconscient et son analyse. Amarna, en tant que
singularité dans l'histoire Égyptienne, est un facteur essentiel
de cet éclairage.
De grandes
familles régnantes échangèrent et disputèrent leurs pouvoir sur cette
région de jonction entre l'Eurasie et l'Afrique déjà chargée d'humanité
puisqu'on
y repère aussi le berceau pas si ancien du Sapiens Sapiens.
Appelons cette région l'Isthme. Elle joint l'Afrique et
l'Eurasie, faite de l'Arabie, du
Croissant Fertile, de la Mésopotamie, de la mer Égée, et de l'Égypte du Nil.
Des siècles après le chaos climatique et magnétique, c'est tout cet Isthme que l'on trouve dominé par
la 18em Dynastie régnante à partir de Thèbes (Louxor/Karnak). C'est le
moment de la plus grande extension Égyptienne connue. Conquis par ses
grand-parents, c'était le domaine du père d'Akhnaton. Or cette Égypte
administrative était
constituée d'un bric-à-brac de peuples et de coutumes historiques et
écologiques. Il lui fallait se définir une identité générale. Telle
était la nécessité qui occupait la famille qui mit au monde Akhnaton.
On sait les débats et les courants qui occupaient Thèbes; un parti
préconisait d'instaurer un slogan unique, un nouvel idéal, un signifiant propre à rassembler la mentalité
collective en une masse qu'on pourrait diriger sur le long terme
ce
parti semble correspondre à celui de la maison Hermonthis au sud de
Thèbes, c'est une
hypothèse; ce qui est sûr c'est qu'Amenhotep.3, le père d'Akhnaton,
engagea un telle politique d'unification et qu'il commença l'opération,
voire même les travaux d'Amarna. En vue de cette homogénéisation, l'idée d'un dieu unique, le soleil
au couchant, Aton, fut élue et l'on traça les plan d'un lieu
d'expérimentation; duquel bientôt Akhnaton allait faire la nouvelle capitale.
Tel fut la raison d'Amarna; c'est à dire notre scène primitive selon
l'expression utilisée ci-dessus. Le problème, c'est
que le projet échoua - ou plutôt, qu'il prit un tour imprévu, incontrôlé ou
indésirable - quoiqu'il en soit, un tour tragique et qui fut bientôt refoulé.
Et c'est le moment de penser à la manière dont
nous vivons notre mémoire
Vous avez dit "Révolution"? Un
minute... je creuse
Aujourd'hui les
égyptologues n'ont pas le temps de penser selon le large cadre que je viens de
décrire. Ils sont occupés à chercher une momie d'Akhnaton en Égypte. Ils le trouveront
peut-être. Pour l'instant ils disent "tant que nous n'aurons pas
trouvé les os d'Akhnaton en Égypte, nous ne perdrons pas une minute à écouter
ce qui s'est passé par ailleurs". C'est une énorme perte de temps au
cas où Akhnaton aurait quitté l'Égypte. Mais, allez parler à quelqu'un qui
creuse!
Jalons de la redécouverte complexe et de la résistance
au 20em
siècle:
Bien que sujettes
à une destruction et un effacement systématiques, de nombreuse informations ont
subsisté concernant le règne d'Akhnaton. Il est par exemple difficile de se débarrasser
de pierres gravées; et les censeurs qui rasèrent Armana imaginèrent d'en utiliser
les vestiges en morceaux pour les fondations de leurs monuments. Ironiquement, l'histoire prouve aujourd'hui que c'était la
meilleure façon de les préserver et de les faire parvenir jusqu'à nous, au
moment ou nous sommes équipés d'ordinateurs pour reconstituer leur immense puzzle
(ainsi les temples d'Akhnaton et d'Amarna sont-ils en cours de
reconstitution). Sigmund
Freud, comme la page détaillée le mentionne, à vrai dire inaugura
la recherche officielle, comme on enfonce un coin, si on peut dire, imposant
pour des dizaines d'années refoulement et résistance. Ainsi la période de
cinquante ans, entre 1938 - ou il publia qu'Akhnaton était un proche de
Moïse, pour ne pas dire Moïse lui-même - et la publication par Osman
en 1990 de la stricte identité Akhnaton-Moïse (A=M)
- tandis qu'un important processus se déroulait
en parallèle: à côté de l'interprétation A=M, évidente et facile, mais
inhibée et stagnante, d'autres auteurs décelaient qu'Oedipe aussi se
distinguait, et qu'il ressemblait trait pour trait au mémorable pharaon. Cette
comparaison avait été suggérée très tôt à Freud lui-même par son disciple
Karl Abraham - mais le maître en avait été tellement troublé que
toute la cour n'en avait plus reparlé. Ce n'est qu'en 1960 - au milieu de
la période de silence quant à A=M - qu'un autre
psychanalyste, Immanuel Velikovsky, publia une démonstration limpide et
extrêmement convaincante, expliquant que la légende d'Oedipe n'était autre que l'histoire
d'Akhnaton, racontée, des siècles plus tard, en Grèce par Sophocle.
En attendant, on a
les associations qui flottent. Et les détails
foisonnent, des indices presque innombrables, non seulement
d'Hermopolis Magna, mais de toute l'histoire biblique lue avec un certain
déchiffrage; s'y ajoutent des témoignages d'historiens. Nous avons par exemple
l'historien Strabon, du début de l'époque romaine, qui explique que Moïse fut
un pharaon, décrit par les prêtres égyptiens exactement suivant les
traits d'Akhnaton. Tous les autres historiens sont aussi porteurs d'indice
(Manethon, Josephus, etc...). Autre détail intéressant, l'Église Chrétienne Copte en Égypte
se souvient que
durant la
fuite en Égypte de la sainte famille - c'est a dire une étape initiatique - le jeune
Jésus résida à Ashmunhein, c'est a dire précisément cette cité d'Hermopolis/Amarna.
Et nous avons
bien sûr tout l'épisode hermétique mentionné
plus haut. Et jusqu'aux pataquès (le refoulement des psychanalystes
eux-même et les lacunes magistrales de nombreux universitaires) d'une communauté scientifique au 20em
siècle qui ne sait que faire d'un refoulement révélé - tout converge, dans
cette histoire résumée, et dans les détails qu'un lecteur désireux peut
trouver, pour identifier un refoulement et voir Akhnaton dans l'histoire, selon
les figures mnémoniques que
nous allons maintenant regrouper et décrire.
Lorsque dans les
années 1900 la découverte et les descriptions de l'épisode Amarnien
informèrent l'Europe, ce fut Freud qui émit le premier l'hypothèse d'une
relation d'Amarna avec l'histoire de Moïse, géographiquement et chronologiquement
proche. Une page séparée détaille les résultats et les
effets complexes de la découverte Freudienne - ici, il suffit de noter que cette primauté psychanalytique ne débuta pas par une
identification stricte: Freud pensa que Moïse avait été un disciple
d'Akhnaton, un proche et non pas ce pharaon en personne. Il débuta d'ailleurs son étude vers les
années 1910, mais, hésitant et frustré, il ne la publia qu'a la veille de sa mort,
à Londres
en 1938.
Après un grand succès Velikovsky, pour d'autres
raisons fut banni de la communauté scientifique; Mais après 1960,
d'autres auteurs - tel l'universitaire américain Martin Bernal - confirmèrent l'observation,
consolidant l'hypothèse de l'identité Akhnaton-Oedipe (A=O). C'est ainsi que
lorsqu'en 1990, Ahmed Osman démontra que A=M, il a suffi que qu'on
lui rappelle qu'avec Oedipe, nous obtenions A=M=O, pour que dans les années
suivantes, cet égyptologue aux larges vues commence à se passionner pour Hermès
Trismégiste, le triple
maître de la légende aujourd'hui objectivée (Ahmed est en train d'écrire son
quatrième livre sur le cette mémoire durant la période Alexandrienne).
Le tour était ainsi bouclé, le 20em siècle avait
restauré la connaissance de la triple identité de celui qui avait régné sur
la scène primitive d'Amarna.
S'il reste un détail irrésolu, c'est a dire que d'Orphée à Oedipe (puisqu'à la Renaissance, on
identifiait le pharaon d'Adoncentyn à Moïse et Orphée - au lieu
d'Oedipe aujourd'hui), il y a une
différence - qu'on se rassure: le rapiéçage a été réalisé par Jean Cocteau, l'initié que l'on
sait maintenant, de la loge du Prieuré de Sion, dans sa transmission par son
film, Le Testament d'Orphée... mais enfin, c'est assez de détails comme ça,
et il y en a tant d'autres. J'espère que cette page suffit pour intriguer un peu mes frétillants
contemporains, avide de savoir, de mémoire, et par conséquent de progrès.
Quatre Liens parmi d'autres pour plus d'information en français Les événements tragiques d'Amarna - une revue de l'hypothèse très
vraisemblable. (partiellement en français) Les origines d'Hermès en Égypte - éclairant son retour à Amarna/Hermopolis Magna
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