Psychopathologie
de la vie administrative L'
homo pouvoir Médecine
des Corps Sociaux |
Précaution / Avertissement :
La
présente page est ajoutée au fil
qui a cours sur ce site depuis plusieurs mois. Elle a été
mise en ligne ce 12nov en même temps que j'en informe le
syndicat UMESPE par le mail suivant : |
à J.F.Rey Président UMESPE : jeudi 12 novembre 2009 12:24:15
par blog http://jfrey.blog.lemonde.fr/
; jean-francois.rey@wanadoo.fr
Bonjour,
Je reçois par mail votre " Objet :
UMESPE - Infos du President - 09 novembre 09
" qui fait écho à ce que de mon côté je traite sur le
site de mon cabinet (http://www.william-theaux.net/2009/htm/20091109191700_medcosoCPAM-UMESPE.htm
). Vous verrez que c'est par l'aspect de la
psychopathologie des corps sociaux (en l'occurrence administrations) que
je cherche à apporter ma contribution thérapeutique.
Bien cordialement et confraternellement,
Dr.W.Théaux
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Clinique de la dépression par la pression de la honte
Je reçois ce jour le bulletin N°26 - 09 novembre 09 de l' umespe (Union
Nationale des Médecins Spécialistes conférés) qui traite de ce dont j'ai
traité jusqu'à présent seul et à la seule observation d'un comportement des
Caisses vis à vis des mes patients et de moi-même.
Ce bulletin Info du Président apporte un complément et
confirme ce que
j'écrivais ; au titre de FEUILLES
DE SOINS «PAPIER», TÉLÉTRANSMISSIONS : TAXES, elle relaie
les informations du Figaro, de Généraliste.fr et de Egora.fr qui prédisent
que les Feuilles de Soins " papiers" seront bientôt taxées.
Le Président de l'umespe/csmf fait l'analyse de cette annonce scandaleuse. Il
est probable que pour faire avaler cette contrainte hors-convention les Caisses
les liera à une revalorisation ; et il est certainement hors de question que le
coût des obligations technocratiques (la télétransmission) revienne à la
charge comme il se doit des Caisses (qui livrent les médecins aux entreprises
mercantiles pour comble de mépris des Conventions passées).
J'ai traité dans ma propre analyse
la manière dont les médecins sont alors soumis à une charge décuplée (les
officines mercantiles de télétransmissions trouvent une manne dans cette
clientèle qui leur est fournie déjà ligotée) - mais l'essentiel à mon
niveau de pratique ne se situe pas à ces points techniques de contestation.
J'examine surtout - et c'est la raison pour laquelle mon cabinet s'y oblige - la
pathogènie et la dépression causée par ces comportements de l'Administration,
qui opère à la manière d'un clan mafieux, par pression et chantage.
A la différence qu'il ne s'agit pas de mafia - là où la mafia entraîne son
propre lot de troubles cliniques, le fait qu'il s'agisse d'administration d'État
entraîne spécifiquement un état dépressif de la clientèle, c'est à dire
des patients. L'identification à ce que j'appelle l'utilitaire est un
facteur dépressiogène essentiel.
Si l'administration de la Sécurité Sociale ne fait pas attention au fait
qu'elle traite les malades comme des utilitaires, elle les conditionne à la
dépression avec les répercutions sur le corps médical lui-même.
Pour l'instant les Caisses se sont contentées d'utiliser les patients comme
moyen de chantage sur les médecins pour leur imposer de supporter des coûts
qui relèvent contractuellement de la Sécurité Sociale. Cette honte que cette
politique introduit entre les deux contractants (médecins et Caisse) arrive à
être refoulée. Si les Feuilles de Soin "papier" deviennent taxées,
il s'agira spécifiquement d'une extorsion.
L'analyse de la clinique de l'utilitarisme continue..
DWT
DWT@20091112114700
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L'assurance maladie et la formation des
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