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Les examens, rapports et correspondance juridiques
Outre l'avis d'un Notaire
un Conciliateur de Justice, titré du Ministère de la justice
fut interrogé
et remis un rapport de deux pages -A-
& -B-
Il avait été consulté par les dames de la cour et des
caves,
qui n'auraient été intéressés par la Loi que si elle s'était manifesté en
leur faveur
car du moment ou ce fut le contraire, elles le décommandèrent.
outre les pièces jointes - ci-dessus liées - je correspondais avec les représentants juridiques :
Mr Daniel LOUBIER - Ministère de la Justice - conciliateur en justice / Cour d'Appelle et Tribunal |
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Monsieur Daniel LOUBIER, Ci joint le memo que j'adresse à Mr CLAVELIER, Maire d'Aiguilhe. Je joins aussi la lettre que j'adresse à Mme DELABRE par l'intermédiaire de son agence. J'y associe un pièce-jointe où l'on voit que Mme DELABRE à partir du 09-déc-2004, c'est à dire depuis un an avant l'ouverture des travaux avait à sa disposition et les informations concernant les parois sur cour et accès au permis de construire qui a été régulièrement exposé à sa consultation (en mairie et sur les lieux du projet). Il est notable que durant toute cette période, elle n'a pas répondu à ce courrier ainsi qu'à d'autres et qu'on peut lui reprocher de ne pas avoir averti ses locataires des travaux qui étaient annoncés. En l'attente de notre rendez-vous prochain, Salutations pj : mémo-Mairie-Aiguilhe
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Annexe de la considération juridique |
Maître Jean-François Barrière, Huissier
Cher Maître, Vous en ayant fait part par téléphone, je vous adresse comme convenu le constat 19 janv. 2006, où j'ai surligné les points problématiques : Le premier point que je cite "la présence de deux
caves voutées propriétés respectives des parcelles 190 et 192
" appelle plusieurs remarques : c) lorsque je dis que ces caves ont été 'occultes' - c'est pour
indiquer leur manquement à la règle dite de l''usage', qui réclame que
cet usage soit 'public'. Or elles ont été plutôt nettement occultées.
La Mairie/Mr Clavelier dernièrement m'a dit "vous pensez bien
qu'elles ont recherché la moindre traces dans toutes sortes d'archives -
elles n'en ont trouvé aucune" - de telle sorte que le constat 19
janv. 2006 serait la première pièce à jamais mentionner 'propriétés
respectives.. etc..' Au total il me semble, et en tout état de cause, que la seule chose que l'on puisse dire - est qu'une cave a été découverte (qu'elle s'étende en effet sous la parcelle 190 n'indique rien de sa propriété). Le deuxième point souligné correspond à la légende de la photo correspondante. La voisine '190' ne s'est jamais proposée ou déclarée propriétaire de cette cave. Qu'elle débouche manifestement dans le lot 190 rend encore plus confuse ou suspecte la situation vis à vis du 192. J'ai donc écrit deux propositions de texte et légende, qui semblent correspondre le mieux à la réalité. En vous remerciant des modifications que vous trouverez juste à
apporter ;
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