mercredi 21 mars 2007
Madame, et chers Maîtres
Je mets les avocats Maître D et Maître G en position
respectivement de vous conseiller à reconnaître que ma réponse
du 25/01/2007 valide ma position et vous incite à libérer ma
propriété - et de me conseiller afin d'obtenir une
application du Droit et une réparation que mon architecte évalue
- depuis une année que votre occupation interrompt les travaux
environ à 6000 euros.
Ce montant pourrait être estimé plus élevé si
nous faisons appel à une expertise.
L'absence de suite donnée par Maître D ou vous même à ma
réponse du 25/01/2007 valide effectivement ma position, puisque premièrement
depuis un an, janvier
2006, vous n'avez pas une fois présenté la moindre pièce soutenant
vos allégations d'usage public trentenaire, c'est à dire
de droit à l'usage du bien que j'ai acquis. S'il était nécessaire,
l'examen du 1er
mars 2006 par un
conciliateur précisait cette importance à fournir votre acte de
propriété ou au moins " prouver l'existence d'une
servitude établie et connue ". Deuxièmement ces
conclusions du conciliateur de la Cour de RIOM évoquent l'accès
aux caves concernées ; et cet accès est établi puisque je l'ai
ouvert et ne réclame que le moment que vous leviez votre
obstruction (seul un troisième élément
était évoqué en la crainte de Mme D qui s'est avérée fictive
ou anormalement imaginaire).
Vous avez donc rejeté cette conciliation que vous aviez
appelée logiquement dans le seul espoir qu'elle vous convienne.
Personnellement, comme je l'explique, me concerne la
santé psychologique et par conséquent sociale. La justice en est une
intime partie. Encadrée par la vérité et l'honnêteté elle me
pousse à comprendre et vous demander si vous avez jamais parlé
de ces caves au(x) notaire(s) qui ont assisté à votre
acquisition de la propriété voisine de la mienne à présent.
Est-il possible que vous ne leur ayez pas demandé conseil sur ce
sujet ? Sinon ils vous auraient certainement expliqué la
situation, et particulièrement l'embarras dans lequel vous alliez
mettre votre voisin prochain acquéreur, voire l'immense danger
dans lequel sa construction, par ces cavités que vous cachiez,
serait mise.
Puisque vous avez dit que ces caves étaient publiquement
connues et s'ils vous avaient mal conseillés, peut-être
pourrez-vous vous retourner contre eux. Quoiqu'il en soit, je
demande par la présente à Maître G de contacter Maître D et de
faire le nécessaire afin de procéder à mon dédommagement - et
je vous demande encore une fois, quatrième ou cinquième fois, de
libérer et permettre mon accès aux caves de ma propriété.
Salutations
William Théaux
|