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Chronologie générale

 

Un Volet Claque

Présentant mes excuses pour cet évènement indépendant de ma volonté - que je corrige aussi vite que possible

 

  Le téléphone sonne, la journaliste m'appelle en urgence - " il y a une alerte dans votre voisinage, un coup de vent - la rédaction m'a avertie, il faut que je vous rencontre immédiatement " - je lui réponds que je m'en doute, et que je viens d'avertir le maire ainsi :
 

   J'ai pris connaissance hier à 18H18 d'un message déposé à 10H58 - et ce samedi 28 octobre j'appelle le maire d'Aiguilhe sur son portable à 11H36 en lui laissant ce message :

   J'ai essayé d'appeler la Mairie ce matin sans réponse ; hier un message téléphonique m'a averti qu'un volet ou une fenêtre de ma façade Impasse des Vignerons claque dans la nuit. Je ne suis pas au Puy et je ne pourrai intervenir qu'à partir du 6 ou 7 novembre. L'informateur est resté(e) anonyme et je lui aurais bien donné l'autorisation d'intervenir pour coincer ou démonter ce battant s'il y a urgence. Comme je ne peux lui répondre, je me demande s'il y a un service municipal, s'il y a urgence.. il y a du vent en ce moment. Si vous commandez une intervention que je vous autorise, et demande, je prendrai les frais à ma charge.
 

 
   Elle me répond :

- C'est l'occasion de faire le point. Ils ne répondent plus à vos courriers maintenant ?

- Oui, c'est ça, effectivement, ils font les morts et les volets claquent - c'est lugubre.

- Avec Halloween qui approche, ça ne va pas arranger vos affaires

- Pourquoi me dites-vous ça ? vous savez bien que je suis la victime dans ce coup

- Ben, oui, justement..

 

- Mais j'ai fais suite à mes lettres sans réponse ; en effet il y a des raisons de nous revoir - venez.

 

 

La journaliste vint avec son collègue,
il y avait raison d'être en masse - je pouvais leur fournir
quantité de nouvelles pièces quand avait surgit une lettre d'avocat :

   Par l'intermédiaire d'un avocat, ma voisine m'avait contacté ;

 Elle en appelait toujours, à ce qu'il faudrait bien appeler un droit de squatt ,

c'est à dire sans aucun argument valide en droit - selon mon opinion

que je soumettais à cet avocat.

   Ne recevant plus alors de réponse

au bout de deux mois, alors que celui-ci m'avait sommé sous quinzaine,

   je suis ré-intervenu pour quérir cette fois-ci un dédommagement