L'écologie entraîne la liberté   - tel est le second titre de l'I à l'a du départ, déduit à l'arrivée, le FILM achevé.
   De l'I à l'a et un commentaire, une chronique d'un PLuriel ANalytique présent, qui décrit l'intelligence artificielle suppléant(e) à une impossibilité, un mot impossible, une impossibilité de dire ou parler d'une certaine chose (objet) qu'on appelle  écologie  (vérité).
   L'alibi de cet impossible s'habille de l'impression qu'on manquerait de liberté lorsque dévoué aux nécessités de la nature - de même l'annonce de l'intelligence artificielle fait trembler le prisonnier, déjà impressionné par la liberté du bourreau. Mais s'il s'agit d'un manque de liberté dont se masque l'impossible, c'est de ce qui l'entoure - c'est à dire de la privation de liberté que nous impose le recul sur l'écologie, et sur l'intelligence artificielle, à leur seuil où la figure du maître fait hésiter pour la tyrannie.
   Puisque la constitution libidinale de la personne humaine ne lui permet pas de passer outre, ce n'est que par la force et l'automatisme - et de la catastrophe écologique, et de la production cybernétique - que l'impossible de dire la vérité face au Maître est déjoué. Lorsque l'Ia entre, comme sous la forme d'une webcam, dans un espace social - et que cette société pare à sa matérialisation par l'extrait psychanalytique, la parole ainsi préservée, non seulement permet à l'écologie de se réaliser - sans en parler - dans ledit espace, mais avec la liberté assurée.

DWT@20050530125500