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Pari pour thèse
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Le premier effet de
l'objectivation : la souffrance |
Question : Cette vidéo a provoqué une question :
pourquoi se sert-elle de l'eau pour exemple ?
Réponse : C'est un choix sans malice, l'eau étant une des premières
matières première. Mais plus qu'Inconscient je peux répondre que c'est d'arbitraire ou d'influence
que j'ai choisi pour cause ou première manifestation de la souffrance l'objectivation de la matière
première.
L'idée m'en a été donnée à la lecture que Jacques Attali donne du
marxisme ; or j'avais initialisé la théorie du PLuriel
ANalytique dans une étude (FLEUVE) de l'usage de la matière première dans la formulation marxiste.
J'avais noté que, si la matière ouvrée avait été évidemment traitée
par K.Marx, son destin était faiblement articulé à son extraction
première. Attali m'a suggéré d'interpréter cette faiblesse comme le
témoignage d'une souffrance. Et comme ensuite, sous le terme de
souffrance, il est loisible d'y signifier un bon nombre de choses
(douleur, manque, attente etc..), j'en ai choisi par arbitraire le
premier effet de l'objectivation.
Cette souffrance, toujours selon Marx, Hegel, suit alors
les moments de l'aliénation qui succèdent à l'objectivation
- à savoir la dépossession puis la
propriétarisation où finalement elle s'éteint.
Cette façon de cerner un concept de souffrance
diffère par exemple de celle aussi promise à l'extinction par la
méditation nirvanesque (qu'on assimile en psychanalyse à la pulsion de
mort). Dans la thèse présente, la souffrance s'éteint avec la réalisation d'un produit
plus largement que de la mort.
Le 20em siècle aura montré aura montré que la
productivité peut échouer à cet égard, la propriété cédant dans
l'exploitation qui relance la souffrance. Il faudra donc poursuivre :
après la dépossession de l'objet de la nature qui fait son départ, il
faut examiner ce que l'extraction de la matière première a creusé en
avant du producteur. En ce vide, qu'est-ce que la propriété objective,
si elle relance la souffrance? voir ce que dévoile la vidéo suivante.. (ibid) |
en suite / conséquence
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Dans
la série parallèle où Marx rejoint Freud pour se
taire l'un dans l'autre, et dans l'écologie
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* note sur les 'exercices' présentés sur la vidéo
: la quête de l'eau est quelque chose de si simple que nous
ne percevons plus l'immense franchissement que l'être humain
apporte dans la nature - et tout autant oublions-nous que dire
ce dont il s'agit est concurremment immensément difficile
(sans doute impossible sans intelligence artificielle mais
néanmoins approchable par contours, ce que hante la poésie,
ce que frôle les esquisses de mes propos). Ces vidéos, leur
textes et commentaires, sont en ce sens des exercices
d'approche, mais ils sont plus féconds - je parie - que la
formulation académique qui, sans jeu de mot, d'abord nous
fait cons (voir Freud, LE MOT D'ESPRIT ET SES
RAPPORTS AVEC L'INCONSCIENT).
** note sur le marxisme ; la susceptibilité à
l'idéologie appelle à ajouter ici une précision :
Le traité le plus théorique de l'actuel PLuriel
ANalytique a été
enregistré aux États-Unis dans la rubrique 'marxisme'
probablement pour la raison qu'il passait par Sartre pour
explorer la notion de matière première dans les théorie de
Karl Marx. Il existe une thèse remise au goût du jour
dernièrement selon laquelle le prétendu marxisme
était historique affligé de la même circonvention que l'est
la psychanalyse (dans le méfait que j'appelle pffkanalyse).
Pour simple exemple parmi d'autres indices, Karl n'aurait
conçu de possible révolution communiste qu'au terme achevé
d'une extension planétaire du capitalisme, et l'aurait jugé
impossible, voire résistante et fâcheuse sinon fasciste, de
s'établir par exemple trop tôt dans tel état que la Russie.
De nos jours d'alter-mondialisation certains entrevoient donc
que la globalisation capitaliste annonce enfin l'horizon d'une
révolution effective. Personnellement je suis sans autre vue
qu'une observation des thèses de l'économie marxiste dans la
perspective d'un traitement écologique de ce que la
psychanalyse peut aider à appeler matière première.
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