* Conférence 05-06-07 Sept 2002
Cette communication collective est archivée au Forum de la Psychanalyse
La préparation proprement dite a été précédée d'un préambule consacré à la corporéité - étant la notion actuelle où la psychanalyse s'éprouve. Ça commence donc par battre le rappel de la véritable corporéité du Réel par la nature historique d'Oedipe
ne tenant rien de plus qu'un déni
- par quel biais, opération ou position, pourra-t-on donc obtenir un présent objectif? |
- Puis le préambule en trois pas se décompose en introduisant la Nature sociale du corps et nature du corps social
Date : Mon, 29 Jul 2002 19:20:08 +0200 Cher SPB, Très intéressante page que tu m'indiques; J'y trouve le même syndrome que je pressens dans la revue: On dirait que ça commence avec l'intention de traiter du Corps Social et puis, très vite, ça s'évente, ça s'élude, et à chaque fois ça revient, retombe sur le corps individuel. On en arrive à des discours sociologiques qui sont centrés sur le corps individuel. C'est très bien - mais ça semble rater l'objectif (corps social). De surcroît la psychanalyse affiche dans sa candeur, que des corps on ne prendrait au sérieux que ceux des mythes. L'ironie réputée de l'Inconscient nous ferait-elle marcher sur la tête en sociologie aussi? Voici mon rapport de page: ----- Pour commencer, J.Dubois écrit: <<Le " corps social ", est tout d'abord une notion métaphorique plus suggestive que cernée par un ordre d'idées.>> Un 'corps' en général n'est pas réputé pour être difficile à objectiver. Il existe des corps chimique, fait d'atomes on ne peut plus matériels (si tant est que matière il y a); les molécules que ces atomes forment constituent aussi des corps que l'on ne dit pas souvent 'métaphoriques'. Quant aux "corps" dont Galilée étudiait les chutes, c'était pour éliminer que leur notion fut suggestive. Pourquoi donc, si l'on attribue la qualité de corps dans un grand nombre de domaines, n'y en aurait-il pas dans le domaine social? Cette question est encore plus actuelle lorsque J.Dubois arrive à la Sociologie. Il écrit <<Déterminant l'objet propre de la sociologie, tel que le social s'explique par le social>> ; en quoi on trouve une ressemblance avec les études de la métaphore serrées par la psychanalyse. Acculée à sa redondance, c'est le moment où elle émet un corps. Voir le classique Modèle Optique si besoin - si pareil modèle est correct, la sociologie serait particulièrement propre à traiter de corps spécifiquement sociaux. Un troisième extrait nous appelle encore à "cerner par un ordre d'idées" pareille notion que corps: <<parler d'une " instrumentation des affects ", au sens donné par Michel Maffesoli, où la contagion affectuelle se transmet du corps individuel au corps collectif ?>> Qu'est-ce donc qui peut recevoir un affect transmis par un corpsADN? Je reste gros de la question de la nature d'un corps social, à la recherche d'une pulsion de vie (Eros/Libido) dont paraît-il l'écosystème aurait besoin. Zénon |
- puis en explicitant le corps selon la sociologie (c.a.d. association ; à confronter à la condensation, image réelle, et autres formes linguistiques du Modèle Optique)
Date : Tue, 30 Jul 2002 21:09:55 +0200 Cher Philibert S. Bernard, Ton message ci-dessous décrit bien le problème. Ce que donc je constate en psy, le sociologue l'observe dans son domaine. En résumé: pour les sociologues d'aujourd'hui, le corps social est "vilain" ('vilaineté' ci-dessous); un mot qui met sur la piste, peut-être, d'un vile 'un.' Les psychanalystes en effet dénotent avec le déclin des idéaux, une abjection corrélative du Un. Et ils ajoutent que pour en faire une teneur éthique, s'en soutient le Zéro. En d'autres termes du Corps au tissus - comme de la Machine au réseau - l'intelligence manifeste la conceptualisation du Un suivie de la conceptualisation du zéro. Certains osent suggérer que ça puisse se comparer à une sorte d'intégration d'une imago de la mère, suivie ou confirmée d'une du père. Mais ce n'est qu'une base approximative dont les réserves du Totalitarisme disent bien comme il faut s'en méfier. Je salue donc bien les autruches en passant. Et nous voici en phase d'éveil ; maintenant que tout est minuscule (comme tu expliques ci-dessous les aboutissant, jusqu'à présent, des sciences sociales), nous sommes soudain percutés par la globalisation, mondialisation. Il n'y a encore que des troublions qui le manifestent, mais bientôt on va voir les universitaires leur courir après. Le Big Body d'ailleurs est déjà à l'affiche du Surmoi. Puisqu'on en est à préparer le spectacle, pendant qu'on remonte le chapiteau, voici ce que j'avais remarqué à la dernière mise-en-scène, concernant Émile Durkheim ; j'aimerais bcp que tu me dises ce que tu en penses, puisque je ne le connais que du point de vue psychanalytique. C'était à l'époque où Freud inventait la psychanalyse, d'un geste que Lacan décrivit plus tard ; à savoir : en assignant à l'âme (telle qu'on appelait encore Psyché à l'époque) le marqueur d'une lettre algébrique. Ainsi apparut un objet, dit 'a' selon Lacan, au registre des formules de la science psychologique. A l'instar de Freud, Durkheim inventait, lui, la Sociologie. Comme Freud il assigna à sa science un objet ; en cette occurrence : l'association. Je crois comprendre qu'aujourd'hui, si on dit 'association', on entend 'lien social' - comme si déjà on avait abandonné le 'corps' associatif. Retenons-le un instant. L'association, disons que c'est l'objet 'a' de la sociologie. Ce qui m'a immensément intéressé, fut de considérer le fait qu'aussitôt Durkheim avait-il ainsi posé sa première lettre abgébrique [ce n'est pas un lapsus; il est commode d'intituler l'objet 'a', un abjet, et partant de citer une abgèbre] - aussitôt donc, Durkheim est appelé de Bordeaux à Paris et, dans la même année: d'une part les politiciens s'emparent de ladite 'association' et la désignent Personne Morale - et d'autre part on crée la chaire de Sociologie, et on met Durkheim dedans. Dans cette bourrasque de l'année 1901 on aurait donc à la fois déclaré une science et porté un objet scientifique à la charge du Code Civil. Pour bien faire sentir l'étonnant de l'évènement, les psychanalystes apprécieront la fiction d'une législation qui va codifier le droit applicable à l'Inconscient, voire à l'objet de la pulsion. Il me semble que c'est quelque chose d'analogue qui est arrivé en 1901, lorsque le gouvernement, les députés et le Sénat ont décidé qu'un corps social serait le représentant le mieux personnifié de la Morale. J'en ai donc conclu que le Corps Social constitue l'objet par lequel le 20em siècle a sublimé la morale au faîte de l'abgèbre, accomplissement scientifique. Je salue en passant les lanceurs d'anathèmes. Voici ce vers quoi je débouche après le virage ; aussi résumé qu'une carte postale : Les psychanalystes demeurent embarrassés dudit 'abjet' tant qu'ils ne le voient pas plus loin que par le Signifiant. C'est là où Lacan les a mené, "pour que la psychanalyse y mourut," à ce qu'il raconta quand on le dit gâteux. Mais il suffit d'y regarder de la bonne manière pour observer qu'à ce terme fatal une issue donne le change - à savoir lorsque ledit 'abjet' en est repris par la logique de Code. (le code est un degré où Lacan n'avait pas pu aller de son temps). C'est ainsi que mené plus loin par le Code, la psychanalyse répondra des énigmes des clones ainsi que de l'écologie. Semblablement les sociologues paraissent embarrassés par cet abjet équivalent que constitue l'association (dite 1901). Selon eux, le Corps Social est, in status nascendi, une pourriture du totalitarisme. Or ce mort-né est généralement condamné par des sociobstétriciens qui n'ont pas porté attention à l'usage du Code dans leur salle d'accouchement républicaine. Pas plus que Lacan ils ne se sont frottés à la lecture scientifique du Code Civil (qui est en passe d'être engagée, par l'Intelligence Artificielle, comme son pendant, celui de génome, par les analyses moléculaires computarisées que Lacan n'avait pas connu de sa jeunesse). Salut en passant les passéistes ! Je serre la pince au présent, Zénon |
- Le 3em, répondant par le jeu des mots (pluriel) à la question de l'Un social
Hypothèse et/ou risque
que le corps social fait
UN
3em pas: introduction du psychisme au corps, par la psychanalyse qui le pluralise et résout le risque de l'UN
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Sur ces entrefaites un intervenant rappelle que l'on était parti de la corporéité au sens premier de matière comme la physique l'entend , et selon ce que le corps, cadavre, par le transfert, pulsion de mort, en fait pressentiment. Cette considération préalable sur le transfert est peut être consulté sur liste
http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3628
= Les instances de la mémoire selon Freud http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3595 = Génération spontanée de la psychanalyse ou mémoire? http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3582 = Paranoïa et Génétique http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3570 = Une intéressante perspective http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3553 = Le travail de la Caverne http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3483 = Le jeu "qu'on-prend-rien" - un jeu pour les vacances http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3470 = La mort en charge http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3387 = La série des Transferts (et à Fab et Fred) http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3351 = Du transfert à la transformation http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3335 = Le transfert dans tous ses états http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3256 = Petite intervention sur le transfert http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3236 = A force de tourner autour du propos http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3221 = Le corps de haine, et celui du désir http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3208 = Pourquoi rattraper les ratés s'il se sauvent? Agnès http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3201 = Tanquafert |
avant compilation qui recentrera ce qui s'en éclaire du Corps Astral, antérieurement ésotérique, et que la psychanalyse resitue au demonaine du discours scientifique avec l'astronomie. La comparaison des psychanalystes aux astronomes l'appuie .
Mention d'une association
des thèmes astronomiques
Apparté: corps célestes et psychanalystes
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Ainsi introduites, six pages/chapitres sont présentés une par une
1er Chap : La psychologie des corps
Objet : Dans le cadre d'une
préparation d'exposés sur la pulsion et la voix JPE, Merci pour votre observation http://fr.groups.yahoo.com/group/psychanalyse/message/3809 Ca ne m'étonne pas ce que vous avez trouvé chez les japonais. J'étais un peu au courant mais surtout je me souviens que c'est aussi du Japon que furent achetés la plupart des qq livres qui furent vendus il y a qq années. Leur coût s'élevait pour certains d'entre eux à plus de 2000Fr. Certaines universités française en ont fait acquisition, mais il y avait aussi le Maroc, les US et d'autres. Le monde culturel n'est pas tout à fait ce que la rubrique du Nouvel Obs affiche! Je n'en ai pas vendu beaucoup, que personne ne s'énerve; et l'exemplaire de FLEUVE, et un autre je crois, dont la fameuse Bibliothèque Publique de New York a fait l'acquisition, y est répertorié à la rubrique "Marxisme"! C'est dire que Liliane n'a pas à faire plus de complexe que moi quant à nos opinions. A propos de "ne rien comprendre", l'histoire nous donne de nombreux exemples bien sûr. Voyez l'obtusion totale de Tycho Brahé à l'argument de Johannes Képler quand ce dernier lui explique qu'un boulet tombe à la même distance du canon, qu'on tire vers l'est ou vers l'ouest. Pourtant Tycho mérite qu'on l'appelle astronome. Quant à moi, de mon chemin bonhomme, je garde mon pas sûr à la comparaison d'une fiction qui n'existe qu'en psychiatrie. Une blague canonique de ce milieu d'où Lacan émergea, et celle du fou qui se prend pour Napoléon. Évidemment on ne va pas se soucier chaque fois de la vie de Napoléon, lorsqu'on rencontre un cas pareil. Mais c'est parce qu'on tient pour su que Napoléon exista. Notez cependant que la situation serait encore plus comique si les psychiatres négligeaient radicalement qu'il fut un personnage historique. Et les efforts du Napoléon délirant encore moins bien compris. A vrai dire, vous admettrez avec moi qu'il importe pour la théorie en ce cas (du narcissisme et tout ça), qu'on soit averti que Napoléon fut ce que Freud appelait un grand homme. Or c'est bien de psychanalyse dont il s'agit quand on cherche la raison sociale et psychologique de l'Idéal du moi. Imaginons deux minutes une psychiatrie qui prétendrait que cela n'a aucune importance, que Napoléon ait été réel ou pas. On voit bien qu'elle partagerait à peu près pour moitié la folie du fou. Je sais bien que c'est ce qu'on dit des psychiatres - qu'ils sont fous. Et d'ailleurs, on peut réduire la psychanalyse à ce degré de lucidité tant qu'elle néglige, ignore ou méprise l'importance du personnage historique - Akhnaton - dans la casuistique du Complexe d'Oedipe. Revenons à Tycho, et rassurez-vous en si vous ne comprenez pas. Et considérant seulement l'éclairage de la psychanalyse, vous comprendrez que le but que je me suis assigné demande beaucoup de travail et pas mal de peine. Je dois avancer sans trop traîner. Dans la préparation d'exposés sur la pulsion et la voix, j'ai conçu une page rapide et introductive, qui présente l'avantage de définir la psychanalyse par rapport à la psychologie; ça permettra à ceux qui veulent se faire une idée, de vérifier quelques fondations logiques de la théorie freudienne: http://www.akhnaton.net/pages/2002/voxpopuli/20020801VPmptpmWWW.htm Merci de bien me dé-lire; c'est comme ça que le peuple avancera Dupin euh pardon, Zénon |
2em Chap : Les moyens de la perception de ce qui est étranger au corps
Date : Mon, 5 Aug 2002 22:26:31 +0200 Chers, Bien sûr mon message n'a qu'un titre de paradoxe, puisque les psychanalystes ne sont pas révolutionnaires - tout du moins pas dans le sens de cet appel que l'on doit à Sade. Mais par contre ils sont sûrement intéressés à la marque 'I' de Ça. Cet Idéal - indiqué parfois par un 'Trait Unaire' - est lié à la sociologie d'une part - que le modèle de la foule de Freud relie à l'objet d'autre part. Cet objet, lui par contre, est lié à la biologie. La psychanalyse donc oscille dans cet espace entre la bio et la socio. Puisque la dernière fois j'ai présenté cette orientation socio, http://www.akhnaton.net/pages/2002/voxpopuli/20020801VPmptpmWWW.htm voici à présent la fondation analogue de la psychanalyse au versant biologie. Nous savons que Freud et Lacan y ont planté leur graine de psychanalyse, en souhaitant qu'on continue leur type de culture. Allons-y, http://www.akhnaton.net/pages/2002/voxpopuli/20020803VPsycxWWW.htm Bien à vous, Zénon |
3em Chap : La perception de ce qui n'est pas de tous les corps
Date : Sat, 10 Aug 2002 14:12:31 +0200 Très chers, J'arrive donc au 3em chapitre de l'Existence et la Voix. Le premier a décrit le saut que constitue le passage de la psychologie à la psychanalyse. Le second a rappelé que les sphincter étaient considérés par la psychanalyse comme les points d'ancrage de la libido - et a montré comment la neurologie permettait aussi d'en rendre compte, mais dans la mesure où un 'saut' aussi y était appliqué; à savoir leur chiffrage par la fonction du langage qui y est corticalement jointe. A présent le troisième chapitre introduit un objet que la psychanalyse, plus occupée de résistance, n'a pas encore souvent relevé. Pourtant il s'agit d'un objet sphinctérien, et partant pulsionnel, qui est constitué par le mécanisme que Lacan mit au principe de son Modèle Optique; c'est à dire une convergence d'onde qui forme un objet réel. Lacan mit en exemple la focalisation d'ondes ou rayons lumineux. Dans le cas de l'objet que forme la cavité laryngée, il s'agit d'une condensation d'ondes sonores. A ceci près c'est tout à fait semblable. D'autre part évidemment, qu'un pareil objet (que la phonologie nomme 'formant') soit à la source du langage, met l'étude de cette pulsion en première ligne des intérêts psychanalytiques - quand la résistance ne l'en détourne pas. Enfin, pour introduire la suite, ce 3em chapitre complète la description de la 'neurologie sphinctérienne' par le graphe de la pulsion tel qu'il a été dessiné et théorisé par Lacan. http://www.akhnaton.net/pages/2002/voxpopuli/20020804VPlfdsWWW.htm Je salue au passage les remarquables études sur Dieu, qui est toujours là quand on en a besoin. Vôtre Zénon |
4em Chap : La diachronie au sein de la perception
Encouragement
ou appel au 4em
la diachronie de la perception
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5em Chap : De la diachronie à la synchronie anomique
Sorte de piège tendu à
l'arrivée au 5em
Question trou
Dans le piège
Au trou
De la diachronie à la synchronie anomique
Sorte d'encouragement à l'issue du 5em
Pas si pressé!
Attente
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6em Chap : Anomie, prêt, partez!
De : William Théaux <wtheaux@c...> Date : Mardi 20, Août 2002 9:15 Objet : Niveau d'autorisation de la psychanalyse Voici la dernière page avant le résumé - c'est à dire celle qui exprime pratiquement que, pour élucider le refoulement des objets primordiaux de la pulsion (c'est à dire arriver à une 'objectivité' authentique) il faut s'être anomisé dans la société (à partir de quoi la psychanalyse obtient des résultats autres que pire). Anomie ne veut pas forcément indiquer anonyme, et j'explique en deux mots d'où vient l'anomie et ce qu'elle vient faire là: la sociologie française, voire la sociologie, a été fondée par E.Durkheim quand une chaire fut crée pour cette nouvelle science en 1901, et pour Durkheim qui fut donc le premier à l'occuper. Précédemment, il avait défini à Bordeaux l'objet de sa science à venir; il appelait cet objet "association". Évidemment, Freud durant les mêmes années parlait lui aussi de l'usage des associations et de l'association libre. Disons que c'était un mot dans l'air du temps. Un mot commun. Une autre étape majeure de l'œuvre de Durkheim fut un traité sur le suicide. C'est principalement à cette occasion qu'il exploita le terme d'anomie, qui présidait sociologiquement au suicide. Ce serait certainement une résistance--voir comment Freud décrit la censure; dans son 'Mot d'Esprit' à propos des connexions entre les diverses science--de tenir éloigné cette considération de Durkheim avec celle du transfert et de la pulsion de mort. En fait sociologie et psychanalyse se fondent aisément, et c'est bien évident que c'est ce qu'il faut attendre de l'une et l'autre. Il ne faut pas attendre trop longtemps non plus. Dès que la voix et le sexe sont introduits dans la machine industrielle, il est temps. (respectivement ces introductions commencent avec le téléphone, les enregistrements.. et la génétique, les manipulations..). http://www.akhnaton.net/pages/2002/voxpopuli/20020809VPsociWWW.htm Cette page n'apporte pas beaucoup à ce qui précède, mais elle marque le coup. C'est à dire qu'elle s'achève en déclarant l'analyse de l'anomie. Zénon |
Débat et Conclusion (inachevé)
De : "Marie-Joelle
Tardieu" <mariejoelle.tardieu@f...> Date : Mardi 20, Août 2002
20:31 Objet : Formant et voyelles
Questions à William Théaux: 1.Comment êtes vous si sûr que l'infans
n'entend pas le formant ? J'ai beaucoup de témoignages de mères où il
l'entend très bien avec réactions à l'appui. MJT
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