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Ceci est la 3em page -
renvoyé d'un discours plus
condensé
Qui aborde la pérennité du projet psyBakh
Vers la première série de correspondance(s)
- pur avocats
Vers la première série de correspondance(s)
- avocats/écologistes
sujet : Bien intéressé par une réponse
Sujet: de Conservation à Préservation Posté le: Mar 03 Jan 2006 11:15 am Bonjour, Comme prévu, je reprends mon élaboration débutée l'année dernière. Nous avions acquis 1) que j'étais en droit d'être propriétaire d'un certain objet et d'y appliquer les mesures possibles et connues pour le préserver d'altérations dommageable (longues expositions à des radiations, à des températures nocives etc..). A cet égard cet objet - que j'appelle-le tube-ADN - peut être comparable à un tableau, une peinture que je désire préserver du feu, de l'humidité, etc.. A cette étape que j'appelle "conservation", je voudrais commencer 2) d'adjoindre celle que j'appelle "préservation" et qui prolonge cette conservation dans le futur. A cette fin je souhaite considérer la Personne Morale - l'Association Loi 1901 - et la définir comme l'agent de cette conservation à long terme et, particulièrement après mon décès. Quel est la formule ou le moyen d'associer une Personne Morale à ma propriété désignée ci-dessus ? Faut-il que je lui délègue des droits ? que je lui lègue l'objet ? ou que je le lui vende ? Merci et tous mes vœux pour cette années débutante DWT |
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Sans réponse ; j'engage une relance : |
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On entend d'une entreprise humaniste responsable qu'elle s'informe - et s'instruise - du milieu dans lequel elle entend s'exprimer. En l'occurrence, quelque soit sa fondation de
raison, il importe de mesurer l'ostracisme éventuel qu'un projet
risque de rencontrer. Dans la circonstance présente, une
information majeure est celle-ci - au reflet virtuel d'une
conception qui n'a même pas eu lieu ; on peut imaginer qu'une
association qui préserverait quelques chromosomes non-analysés de
manière à les protéger d'altérations diverses soit - bien que
strictement légale au cas où elle serait attaquée - prévenue
qu'aucun homme de loi n'accepterait d'en prendre la défense. Le beau droit dont il s'agit, dis-je, est celui de se grouper en association qui protège à terme, à long terme, des tableaux, des peintures que ses membres ont peint et qu'il souhaitent garder en bon état pour la célébration de l'an 3000. Vous voyez, je ne voudrais pas vous gêner ; nous allons raisonner avec des peintures ; à quel titre de ces peintures, une association loi 1901 peut-elle se soutenir de garantir leur préservation? Faut-il qu'elle les achète, peut-on les lui léguer ? ou la législation propose-t-elle d'autres titres spécifiques et plus spécialement idoine à cette fin de préservation ? DWT
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Sans réponse ; en visitant le site j'y découvre un titre à mon sujet (que je ne me souviens avoir écrit moi-même) ; je remercie : |
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Sujet: Un excellent titre - intermède Posté le: Dim 08 Jan 2006 8:12 pm Pour faciliter les choses, on dira que
c'est ma façon d'être ou de communiquer Néanmoins en passant sur le site
www.village-justice.com/forum,
je constate qu'un titre indique ma série de message ; |
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Toujours sans réponse ; je ré-engage une relance - entre-temps un autre canal s'est ouvert : |
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Sujet: Français, encore un effort ! Posté le: Lun 16 Jan 2006 4:28 pm
Nous observons trois coïncidences
historiques et scientifiques : quand on tourne une page, passe d'une
époque à l'autre, nous passons par une phase psychiatrique*. A
l'approche de la singularité de la Renaissance la torture par
l'Inquisition a été promulguée sur le thème de l'amour ; à
celle de la singularité des science humaines la guillotine et
la décapitation ont été développées sur le principe de la
liberté. Nous approchons à présent une singularité que l'on peut prénommer
écologie et c'est avec une troisième expression du silence que
nous examinons l'observation de cette coïncidence à nouveau. Le moment de l'écologie porte une critique au droit de détruire la vie - un droit forgé du principe de la nomination propre au langage et de son dérivé en propriétarisation. Nous exerçons ce droit en l'appliquant sur des objets (l'esclavage, le droit de bombarder une ville, de mettre des échantillons ADN dans des passeports informatisés et nombre autres traitements de l'homme et/ou du prolétariat généralisé sont ainsi abordés et traités par le détour par l' objet ). C'est ce qui a interpellé notre Association. Nous sommes une association de peintres qui nous sommes réunis afin de valoriser nos oeuvres. Notre Association a pour objet l'ennoblissement de la peinture citoyenne et pour but de grouper et d'entretenir nos peintures. Nous avons loué un local pour cela. On l'appelle entre nous "le musée" - c'est un raccourci pour résumer les grands traits de notre soin collectif. Un volontaire ouvre un secrétariat quelques heures par semaine ; des visiteurs dernièrement y avaient pris rendez-vous. Après l'évènement, notre secrétaire que nous avons retrouvé un peu abasourdi, s'est souvenu qu'il s'était étonné d'entrée qu'ils fussent cinq - et qu'il avait surtout remarqué qu'ils portaient tous des chaussures identiques, caoutchoutées, silencieuses et souples. Par la suite il a noté un troisième fait intriguant, mais sans doute déjà trop tard : ils étaient tous les cinq cagoulés et, bien qu'elles fussent bleues couleur gendarmerie, il en éprouva une appréhension inhabituelle. Il n'avait pas eu tort car après l'entretien, qui ne fut pas très long, et qu'il refit un tour dans la salle des pièces, il constata avec effroi que tous les tableaux avaient été tagués et traités à l'acide. Nous nous sommes
rapidement renseignés - ce qui n'a pas été facile car peu de gens
parlent dans l'immeuble - mais nous avons appris que le local, sur
la base de sa location, n'avait pas été dégradé, qu'il n'y avait
pas eu de violence constatée et que ça n'intéressait personne.
Nous avons même écrit à un correspondant en Roumanie. Après
délibération, il nous paraît à présent nécessaire que nous
annexions aux statuts de notre Association un chapitre qui règle le
droit de protection de nos oeuvres. En vous remerciant, très respectueusement, mes chers
Maîtres et Maîtresses |
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Sujet: Posté le: Mar 17 Jan 2006 5:34 pm Chère Cleyo, Votre message est intéressant d'appeler une confirmation et une correction ; cette dernière étant le fait que je ne discute pas seul - au moins avec vous ; et la confirmation étant que je ne suis pas tout à fait lu en effet ; car si on prend les messages du début, on notera tout du long, que ce que je recherche est un professionnel - je l'ai demandé plusieurs fois - et beaucoup moins la rédaction de statuts sur ce forum. Je dois ajouter que je recherche des professionnels par ailleurs - mes pages comptes-rendus le relate ; j'ai quasiment écumé, dans la mesure de mes moyens, la ville de Lyon par exemple, au Puy-même c'est à présent pour de moindres et autres affaires qu'on ne me répond déjà plus. C'est donc en fonction d'une vastitude, si on peut dire, des
limites étendues d'un '_domaine_' selon votre expression - vous dites aussi
'quelque chose d'aussi important' ; en fonction de cette 'étendue' dis-je que
mon expérience prend la mesure de la difficulté de rencontrer un professionnel
coopérant. C'est pourquoi la psychanalyse est en effet concernée. Non
seulement parce qu'il s'agit d'un 'art de la mémoire' débordant jusqu'au
biologique, code génétique, hérédité etc.. mais aussi sur les inhibitions,
complexes individuels, comme l'expérience en fait la preuve. De surcroît, et
de manière profonde, il se trouve que la psychanalyse est appelée à la
psychologie collective (juste pour information, vous pourrez constater les
prescriptions explicites de Freud sur la page : Votre message est donc bienvenu pour repousser quelque fantasme
qui auraient pu germer. En quel termes l'Association peut-elle se porter en quelque sorte propriétaire, ou en tous cas responsable et dotée des moyens de garantir une certaine protection d'objets ainsi remis à sa garde ; faut-il qu'elle les achète, peut-on les lui léguer ? ou la législation propose-t-elle d'autres titres spécifiques et plus spécialement idoine à cette fin de préservation ? Quant à la nature desdits objets, ils ont été scrupuleusement et laborieusement définis comme "des meubles corporels (au sens juridique du terme)" tandis que sans illusions sur les passions rétractactives que phobies et tabous nourrissent je les ai par moi-même accentués à l'image de tableaux/peintures - sachant, comme vous le savez sans doute, qu'il existe actuellement des encres, propres à constituer un conditionnement de l'ADN et qui sont proposées à l'authentification des oeuvres en s'en servant pour les signer. On voit donc que ce que vous appelez justement la 'banalisation' était déjà en cours depuis aussi longtemps qu'il y avait des mèches de cheveux d'amants ou amantes lointains ou défunts. DWT |
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en l'attente d'une réponse |
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Sujet: Posté le: Mer 01 Fév 2006 7:20 am Suivant la référence que vous faites à la psychanalyse que vous semblez connaître, je me distingue en effet de la fameuse position du Dr Lacan, et de sa topologie qu'il résumait en disant " il n'y a pas de degré du médiocre au pire " - ce n'est pas mon avis ici ; car je crois que des paysages font sur cette échelle des degrés. Ces paysages sont connus - de l'inhibition au symptôme à l'angoisse. Pour qui traverse cette inhibition, puis la censure et la répression, le voyage rencontre frontières, barrières voire prison. On sait que c'est ce qui a injustement frappé Galilée dont la référence classique économise la caricature. C'est ainsi que je me tiens à la description de l'inhibition au bord de votre censure, que je ne touche tant qu'elle promet la répression. Je ne veux pas alourdir ce forum de
psychologie en dépit de son besoin. Je ferai
simplement remarquer que les sociétés peuvent être frappées de tabous, de
censure, totalitarisme et dictatures. Contre cela une Justice ; dont les agents
assurent neutralité et équanimité. Constatant que pour une part les agents
décideurs font une courroie forcément liée à l'ordre, donc pouvoir et
idéologie - une autre part de ces agents sera exquisement (selon l'expression
médicale) neutre et véritable, il s'agit des avocats, qui défendent
même s'ils n'approuvent pas, le
criminel, qui donnent des conseils dévoués etc.. Cette partie en bleu, que j'ai mise sur le forum, fera la fin de
cette communication à cet endroit. Ayant examiné l'état de la situation, en
effet, elle conclut à ce qu'il est vain d'en attendre autre chose que de la
mauvaise foi et éventuellement de la répression ; en effet c'est de cette
manière que la répression induit la formation de sectes qu'ensuite elle
réprime. Je n'envisage pas de suivre ce forum dans cette suggestion
inconsciente. Il y aura d'autres moyens de manifester le principe organisateur de la
liberté citoyenne - car une société malade, forcément demande
un soin sans nécessairement être encore plus malade. |
En parallèle au forum des avocats, je
m'adresse au site des Vies Associatives, Santé Environnement |
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From: "William Theaux"
<williamtheaux@gmail.com> To: <secretariatparis@fne.asso.fr> Sent: Friday, November 25, 2005 10:37 PM Subject: Conseil vie associative Bonjour, J'ai trouvé votre site en cherchant Google "réseau juridique". J'ai trouvé votre site - lequel je crois correspond à ma recherche ; mais j'ai encore besoin d'affiner ma recherche. J'espère que vous pourrez me diriger vers une de vos adresses diversifiées ; j'ai trouvé trois termes : "juridique", "Vie-Associative" et "Santé-Environnement" ; je ne sais lequel choisir et il m'a semblé que m'adresser au secrétariat par le Museum d'Histoire Naturelle était aussi indiqué. Je suis médecin psychiatre et travaille de mon cabinet et avec une association qui étudie la psychologie collective ainsi que les notions "santé-écologie". Actuellement nous nous penchons sur la génétique, la stabilisation des réserves génétiques versus pollution et autres toxicités Nous voudrions considérer ces aspects sous l'angle de la vie associative - et sommes en quête de nous attacher un conseil avocat spécialisé en ce domaine (concernant les statuts de l'association). C'est pourquoi 'vie-assocciative', 'santé-environnement', 'juridique'.. sont tous des termes indiqués. Mais cette brève explication vous permettra peut-être de nous diriger vers une adresse mail indiquée pour cerner et cibler notre recherche. En vous remerciant par avance Dr C.Neirynck/UNEFPE |
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-----Message d'origine----- De : Jose CAMBOU [mailto:jose.cambou@fne.asso.fr] Envoyé : samedi 7 janvier 2006 11:00 À : williamtheaux@gmail.com Objet : Votre demande Bonjour, Lors d'un pointage nous nous apercevons que
votre courrier électronique du 25 novembre est resté sans réponse.
Je ne vois pas bien ce que vous attendez de nous, pouvez-vous
nous préciser votre demande.
Administratrice et Pilote du Réseau Santé Environnement de
France Nature Environnement |
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-----Message d'origine----- De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com] Envoyé : samedi 7 janvier 2006 18:23 À : Jose CAMBOU Objet : RE: Votre demande Bonjour, Merci bien pour votre réponse, tardive mais pas perdue car, si j'ai avancé depuis, il reste des questions en suspens. C'est particulièrement sur la constitution de statuts pour une Association Loi 1901 que je suis à présent arrivé. Je cherche un Conseil concernant les règles de la vie associative à appliquer en vue de conserver des objets génétiques. D'une manière générale, à quel titre une association peut-elle garantir la garde, conservation et/ou la protection, d'objets - ce qu'un avocat me décrit " l'association aurait pour simple objet de conserver des meubles corporels (au sens juridique du terme) ". J'ai besoin d'aller un peu plus loin : l'association doit-elle être 'propriétaire', 'gérante', ou doit-on préférentiellement lui 'léguer' lesdits 'meubles corporels'.. ce sont les détails que j'aurais besoin de préciser à présent. Cordialement |
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De : Jose CAMBOU [mailto:jose.cambou@fne.asso.fr] Envoyé : mardi 10 janvier 2006 19:49 À : williamtheaux@gmail.com Objet : Votre demande Bonsoir, Je reçois le message de mon collègue, j'espère que cela vous éclairera. Salutations José Cambou
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-----Message d'origine----- De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com] Envoyé : mercredi 11 janvier 2006 09:55 À : Jose CAMBOU Objet : RE: Votre demande Bonsoir, Merci beaucoup. Nous avons le moyen d'arriver à quelque chose ;
mais à moi de vous apporter plus de précision. L''objet'
que les juristes ont appelé 'meubles corporels' est constitué
d'un simple tube contenant conservateur+ADN. Je suis médecin
et psychanalyste et j'ai eu l'expérience d'avoir été un des
premiers sinon le premier à avoir proposé au marché public
ces kits de conservation. C'était aux Etats-Unis, il y a bientôt
dix ans.
Je souhaite aussi préciser que ce métier de psychanalyse que
j'exerce et applique dans le domaine de la santé à long terme
(déclaré auprès du Conseil de l'Ordre mon intérêt/recherche
pour une 'médecine des corps sociaux') est intégré à un
vaste corpus de recherches, toutes initiée à la base, d'une
perspective essentiellement écologique. C'est à partir de cette
perspective que j'ai contacté votre site qui m'a paru
attractif. Je pense que la théorie de l'Inconscient s'applique,
ou doit compter avec l'environnement et l'écologie. Ceci m'a
amené à cette démarche et observation que j'expérimente en
droit et sociologie. Dr
Claude Neirynck |
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Sans réponse ; j'y reviens avec politesse et prudence : |
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-----Message d'origine-----
Bonjour, Voici une dizaine de jours que nous avons finalement correspondu et, si la dernière fois j'avais attendu six mois un e-mail d'un avocat qui me disait que son système n'arrivait pas à ouvrir un fichier '.gif' attaché (envoyé six mois avant), à présent les démonstrations se font assez nombreuses pour que la statistique penche moins pour une mauvaise volonté de ma part que vers une inhibition corporatiste, de la sorte que l'on trouve dans la fin des rêves. Je mentionne à ce point les avocats (car c'est ce qui
réside à l'arrière-plan de notre échange) car forcé à pareille
lenteur ce n'est qu'un grade à l'approche effective de ma trajectoire
entière qui vise, depuis le début de ma carrière, à indiquer la cause
psychique au lieu de l'écologie. Je parle donc 'écologie' ; et la
surdité que j'observe m'a conduit depuis longtemps à la profession de
débouchage d'oreilles qui passe par différents canaux, dont à ce stade
les professionnels du droit. Soit dit en passant, je cherche simplement à savoir quel régime, pour préserver des 'meubles/biens corporels' une Association Loi 1901 doit adopter et/ou à quel titre conserver ces 'meubles/biens' (legs? achat? dépôt? etc..)
Précisant m'être fait connaître de vous sous le nom de Claude Neyrinck d'un nom composé acquis d'un fait d'adoption, que j'emploie comme celui de William Théaux, avec mes salutations, DWT PS ; vous accèderez aussi aux pages correspondantes par
:
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Je recevais finalement une réponse.. |
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-----Message
d'origine----- De : Jose CAMBOU [mailto:jose.cambou@fne.asso.fr] Envoyé : jeudi 26 janvier 2006 05:31 À : William Theaux Objet : Re: Continuation
bonjour, Je vous ai transmis l'avis que j'ai récolté d'un
collègue juriste à FNE ; je ne peux pas davantage pour vous. José Cambou |
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.. qui méritait bien la mienne (considérant la récolte agrée de l'appui de JC) |
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-----Message d'origine----- De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com] Envoyé : jeudi 26 janvier 2006 07:35 À : Jose CAMBOU Objet : Bonne nuit à vous aussi Pionce Pilate.. ^_^ |
DWT@20060123223900