Journal/Page précédente

psyBakh

Journal-Base

Journal-source

Journal/Page suivante

 

Ceci est la 3em page - renvoyé d'un discours plus condensé
Qui aborde la pérennité du projet psyBakh

 

 
 

Résumé
Cette page présente deux suites de correspondances :

L'une et l'autre brille par leur refus de livrer
des informations simples - certes du droit de se taire
mais aussi du probable orgueil de savoir mieux qu'autrui
quelle est la vérité et le juste chemin
prescrit par le Surmoi...

 

Vers la première série de correspondance(s) - pur avocats

Vers la première série de correspondance(s) - avocats/écologistes

  


  
 1er Série

 

   sujet : Bien intéressé par une réponse   

  sur fond sable DWT  
fond blanc les réponses de mes correspondants

 

Sujet: de Conservation à Préservation     Posté le: Mar 03 Jan 2006 11:15 am

Bonjour,

   Comme prévu, je reprends mon élaboration débutée l'année dernière. Nous avions acquis 1) que j'étais en droit d'être propriétaire d'un certain objet et d'y appliquer les mesures possibles et connues pour le préserver d'altérations dommageable (longues expositions à des radiations, à des températures nocives etc..). A cet égard cet objet - que j'appelle-le tube-ADN - peut être comparable à un tableau, une peinture que je désire préserver du feu, de l'humidité, etc..

   A cette étape que j'appelle "conservation", je voudrais commencer 2) d'adjoindre celle que j'appelle "préservation" et qui prolonge cette conservation dans le futur. A cette fin je souhaite considérer la Personne Morale - l'Association Loi 1901 - et la définir comme l'agent de cette conservation à long terme et, particulièrement après mon décès.

   Quel est la formule ou le moyen d'associer une Personne Morale à ma propriété désignée ci-dessus ? Faut-il que je lui délègue des droits ? que je lui lègue l'objet ? ou que je le lui vende ?

Merci et tous mes vœux pour cette années débutante

DWT

Sans réponse ; j'engage une relance :

 
Sujet: Silence on tourne     Posté le: Jeu 05 Jan 2006 11:28 pm

 

   On entend d'une entreprise humaniste responsable qu'elle s'informe - et s'instruise - du milieu dans lequel elle entend s'exprimer.

   En l'occurrence, quelque soit sa fondation de raison, il importe de mesurer l'ostracisme éventuel qu'un projet risque de rencontrer. Dans la circonstance présente, une information majeure est celle-ci - au reflet virtuel d'une conception qui n'a même pas eu lieu ; on peut imaginer qu'une association qui préserverait quelques chromosomes non-analysés de manière à les protéger d'altérations diverses soit - bien que strictement légale au cas où elle serait attaquée - prévenue qu'aucun homme de loi n'accepterait d'en prendre la défense.
   Il ne faut pas prendre cela à la légère - croire que j'exagère. J'ai connu dans ma propre profession, médicale, la défection de confrères lorsqu'il s'agissait d'affronter l'inconnu SIDA -- je sais que dans la profession légiste, certaines tournures, ou tourments, de la psychologie collective fait qu'à peine certaines formes de crimes sont défendues par d'égaux assermentés ; nous ne parlerons donc même pas de ces sortes de crimes qu'on ne parle pas, ceux que simplement le silence signifie. Je veux dire que le silence auquel on assiste sur la question présente - qui est pourtant, on s'en rendra vite ou facilement compte, pressante - témoigne de ce qu'on trouve dans les zones très dégradées de l'éthique de certaines tournure surmoïque des sociétés. Il s'agit d'une expression psychologique spécialisée : 'surmoi' indiquant ce qui est tel qu'au défaut de la loi - oui, car la loi expose un caractère obscène dans certaines phases de la civilisation. Cette brutalité du silence est une espèce de taire mot maître.. excusez-moi, Lacan aurait fait mieux.
   Je me tiens à ma mesure, celle d'un citoyen, dont on assure avec moquerie qu'il est en droit et qui, lorsqu'il en demande un peu plus pour s'organiser entend le silence lui dire..    va-s-y va-s-y, tu as le droit, mais si on te les casse, tes éprouvette, on ne te défendra pas. Le beau droit dont il s'agit..

   Le beau droit dont il s'agit, dis-je, est celui de se grouper en association qui protège à terme, à long terme, des tableaux, des peintures que ses membres ont peint et qu'il souhaitent garder en bon état pour la célébration de l'an 3000. Vous voyez, je ne voudrais pas vous gêner ; nous allons raisonner avec des peintures ; à quel titre de ces peintures, une association loi 1901 peut-elle se soutenir de garantir leur préservation? Faut-il qu'elle les achète, peut-on les lui léguer ? ou la législation propose-t-elle d'autres titres spécifiques et plus spécialement idoine à cette fin de préservation ?

DWT

 

Sans réponse ; en visitant le site j'y découvre un titre à mon sujet (que je ne me souviens avoir écrit moi-même) ; je remercie :

Sujet: Un excellent titre - intermède     Posté le: Dim 08 Jan 2006 8:12 pm

Pour faciliter les choses, on dira que c'est ma façon d'être ou de communiquer
qui n'appelle pas de réponse ; expliquant le silence dans ce florilège de civilités où je me trouve.
Je ne crois pas que la conservation génétique soit digne d'une telle indifférence.
Il y aurait besoin d'une attention profonde pour constater la source de mon cynisme
dans un silence antécédent - en vérité un préjugé, voire une aliénation, que je dénonce.

Néanmoins en passant sur le site www.village-justice.com/forum, je constate qu'un titre indique ma série de message ;
je ne sais pas depuis quand
Je ne crois pas me souvenir avoir énoncé si clairement mon objectif et ainsi titré mon propos de : 

Droit de conserver ses chromosomes?
Je suppose donc - ou je rêve pour m'adoucir - qu'il a été écrit par l'administration du forum
lequel de ce fait, je remercie.

Toujours sans réponse ; je ré-engage une relance - entre-temps un autre canal s'est ouvert :

Sujet: Français, encore un effort !  Posté le: Lun 16 Jan 2006 4:28 pm

   Nous observons trois coïncidences historiques et scientifiques : quand on tourne une page, passe d'une époque à l'autre, nous passons par une phase psychiatrique*. A l'approche de la singularité de la Renaissance la torture par l'Inquisition a été promulguée sur le thème de l'amour ; à celle de la singularité des science humaines la guillotine et la décapitation ont été développées sur le principe de la liberté. Nous approchons à présent une singularité que l'on peut prénommer écologie et c'est avec une troisième expression du silence que nous examinons l'observation de cette coïncidence à nouveau.
   * On peut qualifier ces périodes de 'psychiatriques', car elles logent, dans leur dite 'coïncidence', une spécificité de la psychiatrique qu'elle nomme 'surmoi' et que la langue indique de traits (linguistiques et attributifs) - qu'on entend en français classiquement tels qu' 'obscène' et 'féroce' ; d'où les silences par la Question, la décapitation et finalement la mauvaise foi.

   Le moment de l'écologie porte une critique au droit de détruire la vie - un droit forgé du principe de la nomination propre au langage et de son dérivé en propriétarisation. Nous exerçons ce droit en l'appliquant sur des objets (l'esclavage, le droit de bombarder une ville, de mettre des échantillons ADN dans des passeports informatisés et nombre autres traitements de l'homme et/ou du prolétariat généralisé sont ainsi abordés et traités par le détour par l' objet ). C'est ce qui a interpellé notre Association. Nous sommes une association de peintres qui nous sommes réunis afin de valoriser nos oeuvres. Notre Association a pour objet l'ennoblissement de la peinture citoyenne et pour but de grouper et d'entretenir nos peintures. Nous avons loué un local pour cela. On l'appelle entre nous "le musée" - c'est un raccourci pour résumer les grands traits de notre soin collectif.

   Un volontaire ouvre un secrétariat quelques heures par semaine ; des visiteurs dernièrement y avaient pris rendez-vous. Après l'évènement, notre secrétaire que nous avons retrouvé un peu abasourdi, s'est souvenu qu'il s'était étonné d'entrée qu'ils fussent cinq - et qu'il avait surtout remarqué qu'ils portaient tous des chaussures identiques, caoutchoutées, silencieuses et souples. Par la suite il a noté un troisième fait intriguant, mais sans doute déjà trop tard : ils étaient tous les cinq cagoulés et, bien qu'elles fussent bleues couleur gendarmerie, il en éprouva une appréhension inhabituelle. Il n'avait pas eu tort car après l'entretien, qui ne fut pas très long, et qu'il refit un tour dans la salle des pièces, il constata avec effroi que tous les tableaux avaient été tagués et traités à l'acide.

   Nous nous sommes rapidement renseignés - ce qui n'a pas été facile car peu de gens parlent dans l'immeuble - mais nous avons appris que le local, sur la base de sa location, n'avait pas été dégradé, qu'il n'y avait pas eu de violence constatée et que ça n'intéressait personne. Nous avons même écrit à un correspondant en Roumanie. Après délibération, il nous paraît à présent nécessaire que nous annexions aux statuts de notre Association un chapitre qui règle le droit de protection de nos oeuvres.
   Pouvez-vous nous indiquer un site, un forum ou un cabinet de légiste conseil qui puisse - voire qui osât - nous indiquer à quel titre l'Association peut-elle se porter en quelque sorte propriétaire, mais en tous cas responsable et dotée des moyens de garantir une certaine protection d'objets ainsi remis à sa garde.

En vous remerciant, très respectueusement, mes chers Maîtres et Maîtresses
DrWT

Sujet:       Posté le: Mar 17 Jan 2006 2:47 am  
Cher DWT,

Je me permets ce petit post, car il me semble que vous discutez tout seul....

En outre, je m'étonne qu'une démarche aussi réfléchie que la vôtre ne débouche pas sur la consultation d'un professionnel, lors d'un rendez-vous, avec les documents...

Ceci, sans préjudice des colistiers et de leur compétence, puisque nous sommes entre professionnels, pour la plupart.

Maintenant, psychanalyser quelqu'un par internet me semble délicat, et à rebours des principes fondamentaux de la discipline.

Et bien c'est pareil pour la consultation juridique : elle ne peut être véritablement éclairée que dans un cadre approprié, avec l'ensemble des pièces, le temps de la réflexion, de la recherche.

Votre problème est délicat ; il pose des problèmes juridiquement intéressants, mais complexes, car nous sommes à la limite des lois sur la bioéthique, sauf erreur de ma part, mais ce n'est pas mon domaine, je reste très prudente.

Vous obtiendrez ici des renseignements, mais certes pas la rédaction de statuts pour quelque chose d'aussi important que la banalisation, par le biais d'un organisme, de la conservation de l'ADN de quelqu'un.

Entendez banalisation sans jugement de valeur, mais par référence à un processus prédéterminé et rodé.

Cleyo
_________________
Si tous les gens du monde voulaient bien se donner la main, il y aurait des doigts en trop.
 

Sujet:       Posté le: Mar 17 Jan 2006 5:34 pm

Chère Cleyo,

   Votre message est intéressant d'appeler une confirmation et une correction ; cette dernière étant le fait que je ne discute pas seul - au moins avec vous ; et la confirmation étant que je ne suis pas tout à fait lu en effet ; car si on prend les messages du début, on notera tout du long, que ce que je recherche est un professionnel - je l'ai demandé plusieurs fois - et beaucoup moins la rédaction de statuts sur ce forum. Je dois ajouter que je recherche des professionnels par ailleurs - mes pages comptes-rendus le relate ; j'ai quasiment écumé, dans la mesure de mes moyens, la ville de Lyon par exemple, au Puy-même c'est à présent pour de moindres et autres affaires qu'on ne me répond déjà plus.

   C'est donc en fonction d'une vastitude, si on peut dire, des limites étendues d'un '_domaine_' selon votre expression - vous dites aussi 'quelque chose d'aussi important' ; en fonction de cette 'étendue' dis-je que mon expérience prend la mesure de la difficulté de rencontrer un professionnel coopérant. C'est pourquoi la psychanalyse est en effet concernée. Non seulement parce qu'il s'agit d'un 'art de la mémoire' débordant jusqu'au biologique, code génétique, hérédité etc.. mais aussi sur les inhibitions, complexes individuels, comme l'expérience en fait la preuve. De surcroît, et de manière profonde, il se trouve que la psychanalyse est appelée à la psychologie collective (juste pour information, vous pourrez constater les prescriptions explicites de Freud sur la page :
http://www.lasainteethique.org/psybakh/2006/20060117134600_medcorso.htm
   de sorte que vous constaterez que je ne vise en aucun cas à 'psychanalyser quelqu'un' ici-même - du fait, d'ailleurs, que je connais un peu les bords, bouts et rebours de ma discipline).

   Votre message est donc bienvenu pour repousser quelque fantasme qui auraient pu germer.
   Actuellement je cherche des renseignements - que je reprécise - tant concernant un professionnel qui saurait me donner un rendez-vous (l'unique adresse que l'on m'a suggéré ici était quelqu'un de trop occupé à l'évidence, et qui n'a pas répondu) ; que concernant des règles ou définition - si nous devons nous débrouiller seuls - que je recite de mes précédents messages :

   En quel termes l'Association peut-elle se porter en quelque sorte propriétaire, ou en tous cas responsable et dotée des moyens de garantir une certaine protection d'objets ainsi remis à sa garde ; faut-il qu'elle les achète, peut-on les lui léguer ? ou la législation propose-t-elle d'autres titres spécifiques et plus spécialement idoine à cette fin de préservation ? Quant à la nature desdits objets, ils ont été scrupuleusement et laborieusement définis comme "des meubles corporels (au sens juridique du terme)" tandis que sans illusions sur les passions rétractactives que phobies et tabous nourrissent je les ai par moi-même accentués à l'image de tableaux/peintures - sachant, comme vous le savez sans doute, qu'il existe actuellement des encres, propres à constituer un conditionnement de l'ADN et qui sont proposées à l'authentification des oeuvres en s'en servant pour les signer. On voit donc que ce que vous appelez justement la 'banalisation' était déjà en cours depuis aussi longtemps qu'il y avait des mèches de cheveux d'amants ou amantes lointains ou défunts.

DWT
 

 en l'attente d'une réponse

Sujet:       Posté le: Mer 01 Fév 2006 7:20 am  

 Chère Cleyo,

   Suivant la référence que vous faites à la psychanalyse que vous semblez connaître, je me distingue en effet de la fameuse position du Dr Lacan, et de sa topologie qu'il résumait en disant " il n'y a pas de degré du médiocre au pire " - ce n'est pas mon avis ici ; car je crois que des paysages font sur cette échelle des degrés. Ces paysages sont connus - de l'inhibition au symptôme à l'angoisse. Pour qui traverse cette inhibition, puis la censure et la répression, le voyage rencontre frontières, barrières voire prison. On sait que c'est ce qui a injustement frappé Galilée dont la référence classique économise la caricature. C'est ainsi que je me tiens à la description de l'inhibition au bord de votre censure, que je ne touche tant qu'elle promet la répression.

   Je ne veux pas alourdir ce forum de psychologie en dépit  de son besoin. Je ferai simplement remarquer que les sociétés peuvent être frappées de tabous, de censure, totalitarisme et dictatures. Contre cela une Justice ; dont les agents assurent neutralité et équanimité. Constatant que pour une part les agents décideurs font une courroie forcément liée à l'ordre, donc pouvoir et idéologie - une autre part de ces agents sera exquisement (selon l'expression médicale) neutre et véritable, il s'agit des avocats, qui défendent même s'ils n'approuvent pas, le criminel, qui donnent des conseils dévoués etc..
   Seulement voilà ; il arrive en certains temps que même ces professionnels-là servent et s'affichent 'avocats' moins des gens - par civilité 'indépendants', libres et respectables dans leurs intention - que de tabous ; ils deviennent alors garants d'une idéologie, couperet excellent et silencieux de la rétorsion. A l'extrême, tandis qu'encore dans l'Etat des dictatures, on trouve des éléments qui s'opposent à ce rôle de valets (selon l'expression révolutionnaire) il est des temps où la psychologie collective est tellement affectée de tension délétère, que l'aliénation (selon l'expression philosophique) aveugle sincèrement ceux-là même.
   Un détail plus large de ce point de vue clair et concis se trouve sur les pages de témoignage d'étude :
http://www.lasainteethique.org/psybakh/2006/20060103094500_journal.htm#20060201060300
(cette page-ci)

   Cette partie en bleu, que j'ai mise sur le forum, fera la fin de cette communication à cet endroit. Ayant examiné l'état de la situation, en effet, elle conclut à ce qu'il est vain d'en attendre autre chose que de la mauvaise foi et éventuellement de la répression ; en effet c'est de cette manière que la répression induit la formation de sectes qu'ensuite elle réprime. Je n'envisage pas de suivre ce forum dans cette suggestion inconsciente. Il y aura d'autres moyens de manifester le principe organisateur de la liberté citoyenne - car une société malade, forcément demande un soin sans nécessairement être encore plus malade.

DWT

 

     

  


  
  2em Série

 

 

En parallèle au forum des avocats, je m'adresse au site des Vies Associatives, Santé Environnement
Communication débutée Nov.2005

From: "William Theaux" <williamtheaux@gmail.com>
To: <secretariatparis@fne.asso.fr>
Sent: Friday, November 25, 2005 10:37 PM
Subject: Conseil vie associative



Bonjour,

    J'ai trouvé votre site en cherchant Google "réseau juridique". J'ai  trouvé votre site - lequel je crois correspond à ma recherche ; mais j'ai  encore besoin  d'affiner ma recherche. J'espère que vous pourrez me diriger  vers une de vos adresses diversifiées ; j'ai trouvé trois termes :  "juridique", "Vie-Associative" et "Santé-Environnement" ; je ne sais lequel  choisir et il m'a semblé que m'adresser au secrétariat par le Museum  d'Histoire Naturelle était aussi indiqué.
    Je suis médecin psychiatre et travaille de mon cabinet et avec une  association qui étudie la psychologie collective ainsi que les notions  "santé-écologie". Actuellement nous nous penchons sur la génétique, la  stabilisation des réserves génétiques versus pollution et autres toxicités  Nous voudrions considérer ces aspects sous l'angle de la vie associative -  et sommes en quête de nous attacher un conseil avocat spécialisé en ce  domaine
(concernant les statuts de l'association). C'est pourquoi  'vie-assocciative', 'santé-environnement', 'juridique'..  sont tous des  termes indiqués. Mais cette brève explication vous permettra peut-être de  nous diriger vers une adresse mail indiquée pour cerner et cibler notre recherche.

En vous remerciant par avance

Dr C.Neirynck/UNEFPE
-----Message d'origine-----
De : Jose CAMBOU [mailto:jose.cambou@fne.asso.fr]
Envoyé : samedi 7 janvier 2006 11:00
À : williamtheaux@gmail.com
Objet : Votre demande


Bonjour,

   Lors d'un pointage nous nous apercevons que votre courrier électronique du 25 novembre est resté sans réponse. Je ne vois pas bien ce que vous attendez de nous, pouvez-vous nous préciser votre demande.
   A vous lire.
   Mme José Cambou

Administratrice et Pilote du Réseau Santé Environnement de France Nature Environnement
Tel / Fax : 05 61 35 88 08
Consultez notre site : www.fne.asso.fr
Abonnez-vous gratuitement à la Newsletter de FNE : www.fne.asso.fr/newsletter.htm

-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : samedi 7 janvier 2006 18:23
À : Jose CAMBOU
Objet : RE: Votre demande


Bonjour,
      Merci bien pour votre réponse, tardive mais pas perdue car, si j'ai avancé depuis, il reste des questions en suspens. C'est particulièrement sur la constitution de statuts pour une Association Loi 1901 que je suis à présent arrivé. Je cherche un Conseil concernant les règles de la vie associative à appliquer en vue de conserver des objets génétiques. D'une manière générale, à quel titre une association peut-elle garantir la garde, conservation et/ou la protection, d'objets - ce qu'un avocat me décrit " l'association aurait pour simple objet de conserver des meubles corporels (au sens juridique du terme) ".
   J'ai besoin d'aller un peu plus loin : l'association doit-elle être 'propriétaire', 'gérante', ou doit-on préférentiellement lui 'léguer' lesdits 'meubles corporels'.. ce sont les détails que j'aurais besoin de préciser à présent.

Cordialement
Dr C.N    

----- Original Message -----
From: Jose CAMBOU
To: William Theaux
Sent: Saturday, January 07, 2006 10:55 PM
Subject: Re: Votre demande

Bonsoir,

   Je ne sais pas répondre à votre question. Je la transfère dès ce soir à un collègue, juriste de France Nature Environnement.

Salutations,
José Cambou

-----Message d'origine-----
De : Jose CAMBOU [mailto:jose.cambou@fne.asso.fr]
Envoyé : mardi 10 janvier 2006 19:49
À : williamtheaux@gmail.com
Objet : Votre demande


Bonsoir, Je reçois le message de mon collègue, j'espère que cela vous éclairera. Salutations José Cambou

L'association choisit le régime juridique qu'il lui paraît le mieux appropriée pour ses biens corporels ou incorporels, immobilisés ou non
RL

 

----- Original Message ----- From: Jose CAMBOU   Sent: Sunday, January 08, 2006 6:55 AM Subject: SVP petit appui
Bonjour, Cette personne a sollicitée FNE. En l'état de sa nouvelle formulation d'hier je ne sais pas répondre et penses que tu pourras peut être plus l'aider. Ci-dessous son premier message vers FNE que le secrétariat avait transmis en parallèle au RSE et au RJ puis notre récent échange.
Après vérification le RJ n'avait pas répondu.
A + JC 

 

 

 

-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : mercredi 11 janvier 2006 09:55
À : Jose CAMBOU
Objet : RE: Votre demande


Bonsoir,

   Merci beaucoup. Nous avons le moyen d'arriver à quelque chose ; mais à moi de vous apporter plus de précision. L''objet' que les juristes ont appelé 'meubles corporels' est constitué d'un simple tube contenant conservateur+ADN. Je suis médecin et psychanalyste et j'ai eu l'expérience d'avoir été un des premiers sinon le premier à avoir proposé au marché public ces kits de conservation. C'était aux Etats-Unis, il y a bientôt dix ans.
    Or ce qui m'intéresse, c'est beaucoup plus la psychologie collective que la conservation génétique elle-même qui est techniquement du domaine des biologistes généticiens. Il me semble, pour mon domaine, bien plus important d'isoler la sorte de dérèglement mental - possible, voire probable - qui peut affecter nos sociétés dans la gestion de la puissance génétique. De fait, je crois avoir montré - sans y l'avoir trop induit de moi-même - toutes les circonvolutions parentes à la névrose qu'il a été nécessaire d'éprouver dans un forum de légistes, pour simplement acquérir une définition et l'estimation du droit à conserver ses propres chromosomes.
    Mon approche demande un petit peu de temps pour en prendre connaissance ; c'est souvent pour ce seul fait qu'elle présente une difficulté. En la dépassant vous trouverez une explication exhaustive à la page suivante de cette étude :    http://www.lasainteethique.org/psybakh/2005/200512032200_journal.htm   
   Arrivé au point présent, je cherche quel serait "le régime juridique le mieux approprié"... comme dit la réponse de RL. Vous verrez s'il y a lieu de me fournir un réponse précise et informative. Actuellement, je cherche à savoir en quels termes une association peut pourvoir à la protection de ces chromosomes préservés - sans chercher une quelconque analyse ADN, ni prétendre à quelconque idéologie, ni projet sectaire ni quelque projet autre que celui, simplement de les préserver un temps très long - éventuellement associé à un lot de documents informatiques
(par exple: photos, texte, memo, bio - ce qui rangerait ledit objet dans la catégorie des 'objets numériques' - donc soin, conservation, préservation de fichiers informatiques et d'objets 'numériques' bio associés type ADN).

      Je souhaite aussi préciser que ce métier de psychanalyse que j'exerce et applique dans le domaine de la santé à long terme (déclaré auprès du Conseil de l'Ordre mon intérêt/recherche pour une 'médecine des corps sociaux') est intégré à un vaste corpus de recherches, toutes initiée à la base, d'une perspective essentiellement écologique. C'est à partir de cette perspective que j'ai contacté votre site qui m'a paru attractif. Je pense que la théorie de l'Inconscient s'applique, ou doit compter avec l'environnement et l'écologie. Ceci m'a amené à cette démarche et observation que j'expérimente en droit et sociologie.
   Sensible à la manière ouverte et rigoureuse suivant laquelle vous communiquez, j'espère pouvoir continuer à m'éclairer avec vous,

 Dr Claude Neirynck

Sans réponse ; j'y reviens avec politesse et prudence :

 

-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : lundi 23 janvier 2006 17:08
À : jose.cambou@fne.asso.fr
Objet : Continuation

 

Bonjour,

   Voici une dizaine de jours que nous avons finalement correspondu et, si la dernière fois j'avais attendu six mois un e-mail d'un avocat qui me disait que son système n'arrivait pas à ouvrir un fichier '.gif' attaché (envoyé six mois avant), à présent les démonstrations se font assez nombreuses pour que la statistique penche moins pour une mauvaise volonté de ma part que vers une inhibition corporatiste, de la sorte que l'on trouve dans la fin des rêves.

   Je mentionne à ce point les avocats (car c'est ce qui réside à l'arrière-plan de notre échange) car forcé à pareille lenteur ce n'est qu'un grade à l'approche effective de ma trajectoire entière qui vise, depuis le début de ma carrière, à indiquer la cause psychique au lieu de l'écologie. Je parle donc 'écologie' ; et la surdité que j'observe m'a conduit depuis longtemps à la profession de débouchage d'oreilles qui passe par différents canaux, dont à ce stade les professionnels du droit.
   Je vous informe donc que je continue mon développement sur
http://www.lasainteethique.org/psybakh/2006/20060103094500_journal.htm#20060119092700
   qui intéressera - je le gage - les écologistes, le jour où sera réalisé qu'une Médecine des Corps Sociaux est le soin nécessaire, à pourvoir par la psychanalyse, à la passion que l'humanité a introduite dans la vie terrestre.

   Soit dit en passant, je cherche simplement à savoir quel régime, pour préserver des 'meubles/biens corporels' une Association Loi 1901 doit adopter et/ou à quel titre conserver ces 'meubles/biens' (legs? achat? dépôt? etc..)

 

   Précisant m'être fait connaître de vous sous le nom de Claude Neyrinck d'un nom composé acquis d'un fait d'adoption, que j'emploie comme celui de William Théaux, avec mes salutations,

DWT

PS ; vous accèderez aussi aux pages correspondantes par :
http://www.lasainteethique.org/psybakh/2005/20051218172100_resumepris.htm#20051226223500

 

Je recevais finalement une réponse..

-----Message d'origine-----
De : Jose CAMBOU [mailto:jose.cambou@fne.asso.fr]
Envoyé : jeudi 26 janvier 2006 05:31
À : William Theaux
Objet : Re: Continuation

 

bonjour,

Je vous ai transmis l'avis que j'ai récolté d'un collègue juriste à FNE ; je ne peux pas davantage pour vous.
Bonne chance.

José Cambou

 

.. qui méritait bien la mienne (considérant la récolte agrée de l'appui de JC)

-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : jeudi 26 janvier 2006 07:35
À : Jose CAMBOU
Objet :
Bonne nuit à vous aussi

Pionce Pilate.. ^_^

 

 

 

 

DWT@20060123223900