FLOG.7 |
fond bleu mes envois / initiatives | fond vert mes reçus / dialogues, échanges | fond brun mes éditions / travaux, collaborations |
C'est une sorte de blog ; mais systématique. C'est à
dire que dans un blog on y met ce qu'on veut ; dans un flog
on met systématiquement tout. Tout ce qu'on écrit est
systématiquement, d'abord écrit ici - puis copié collé dans divers
mails, dossiers, pages, blogs éventuellement etc.. Il n'y a rien que
j'écrive qui ne soit pas là (hormis ce que la culture nomme secret
professionnel et relation intime).
|
FLOG
20110129092100 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Se rappeler totalement Samedi 29. Janvier 2011 9:28 | |
Bonjour,
Entre *** une mise en date dans le traitement des traces de mémoire externe (fondation de la psychanalyse selon Freud) ******************************** Il y a tout lieu de vous faire part d'une grande avancée
concernant la psychanalyse. Je ne dis pas une avancée de la psychanalyse
puisqu'elle n'avance pas, mais la concernant. L'avancée a eu lieu dans
les laboratoires et le milieu de Microsoft, une compagnie informatique
américaine. L'article qui la relate est paru dans Le Figaro, un quotidien
français. Il est facile à lire ; c'est heureux car si nous ne nous en tenions
qu'aux psychanalystes, il est connu qu'ils ne lisent pas - du moins ne lisent
pas Freud, ce qui se voit à ce que lorsqu'un psychanalyste rencontre un autre
psychanalyste, la première chose qu'il lui dit c'est "il semble que tu
n'ais pas lu Freud". Nous avons donc pour notre bonheur un texte simple de
style et clair d'idée - très éclairci d'idées, d'ailleurs. Il traite de la
chose principale que la psychanalyse ait en charge : le traitement de la
mémoire, le déchiffrage des souvenirs. Il y va carrément, Le Figaro ! avec une revue d'un livre carré : Total Recall - non pas le Blu-ray de Arnold Schwarzenegger mais le Flammarion signé de Bill Gates. J'ai commandé le livre mais avant qu'il arrive je considère seulement l'article (Figaro lundi 17 janvier 2011 / france/société). Les mots qu'il affiche dans son titre font pour certains froid dans le dos : " Créer son avatar et devenir e-mmortel, mode d'emploi - un ingénieur de Microsoft archive les moindres détails de sa vie sur un ordinateur depuis 1998 pour créer une Mémoire Totale." Je parle de ceux qui ont le dos pour toute pensée, pour qui Avatar signifie Terminator et e-mmortel pulsion de mort. Mais pour ceux qui n'en ont plein le dos que pour réfléchir, cette sorte de miroir concave qu'ils portent en carapace leur renvoie une image réelle bien plus proche de la vérité. "A la vérité" - c'est à dire à cette place qui intéresse la psychanalyse on trouve avec la Mémoire Totale, quelque chose d'étroitement corrélatif de la notion de Littérature Grise que j'avais présentée aux universités californienne dans son rapport avec l'Inconscient Lacanien. Ces deux signifiants primordiaux que je rassemble sont les espaces que Freud en conclusion de sa carrière esquisse.. (juste retour au départ) en quête de " traces de mémoire externes." Nous pouvons y réfléchir en restant au niveau 'Figaro' : L'article phare de la page décrit l'effort de Mr Gordon Bell
qui depuis plus de dix ans enregistre tout ce qu'il fait, dit et voit et a
récupéré des dizaines d'années d'archives antérieures. Mais surtout il
explique que cette numérisation d'une vie deviendra de plus en plus facile,
jusqu'à nous faire comprendre qu'elle a déjà commencé à notre insu. Les
webcam surveillant la chambre de l'enfant apparaissent et déjà les
adolescents peuplent les six cent cinquante millions de compte FaceBook.
Trente heure de vidéo sont postées chaque minutes sur YouTube ; et le plus
important entre tous ces enregistrements dont le coût diminue d'autant qu'ils
augmentent, est manifesté par les capacités de l' /ia/ à les interpréter
automatiquement. La machine informatique retracera prochainement les vies comme
aujourd'hui les moteurs de recherche trient automatiquement le web. Le rôle d'un lecteur est de lire ; celui d'un psychanalyste
ajoute l'observation de ce qui fait tache - particulièrement la tache vide de
ce qui manque. Avec son expérience il sait aussi qu'une coque enrobe cette
chose - coquille qu'on appelle symptôme. Généralement on dit qu'il trône sur
la cheminée. Il est de règle qu'il soit posé là où on a cheminé - on
trouve cette enveloppe posée à la fin d'un texte. C'est pratiquement constant
- on appelle cela aussi la chute. Je cite en l'occurrence cette dernière
phrase en question : Mais pour éviter que toute notre vie
tombe au main du premier qui visiterait notre ordinateur, les auteurs suggèrent
préventivement de « placer son TotalRecall en Suisse ». ******************************** Ce texte n'a pas été plus loin - il était peut-être pratiquement terminé ; il signifie d'une part la psychologie du moi made in us et d'une autre, ç'pire que l'inhibition de la psychanalyse porte à ne rien faire (puisqu'en vis à vis de ladite 'psychologie' on voit que rien n'est avancé de la psychanalyse en matière d'UCMPP). On peut donc estimer comme une borne ce texte autour du TotalRecall. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110129092100 |
|
20110121164400 -------- Message original -------- à : SFR Service Client / TSA 91 121 / 57 757 METZ Cedex 9 15/10/2014 | |
Dr William Théaux Monsieur, Madame, Je reviens à l'instant de la boutique SFR où votre hotline m'avait recommandé de me rendre faute de pouvoir résilier ma clé 3G - l'agent de la boutique m'a mis en contact avec le service de résiliation qui n'a pas répondu au terme d'une attente de longueur exagérée. La fois précédente où j'avais effectué la même démarche le serveur de la boutique SFR m'avait communiqué que le service de résiliation était temporairement indisponible en me servant un numéro à appeler le lendemain (mais qui se révéla hors-fonction). Entre temps depuis plusieurs jours j'ai tenté de chez moi et par téléphone a contacter la résiliation mais sans succès. Je vous écris donc par lettre recommandée avec accusé de réception pour obtenir une résiliation de ma ligne N° 06 28 46 54 94 J'ai été informé qu'il fallait un préavis de 10 jours pour réaliser une résiliation de ligne et ce n'est pas la peine de m'en avertir pour me demander si je le savais afin de reculer encore l'opération. Par contre si ce service de résiliation par voie postale après les 10 jours de préavis se trouvait également temporairement indisponible, merci de m'en informer dès que possible afin que nous puissions procéder à l'étape par voie d'huissier. Bonjour à vos patrons, cordialement DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110121164400 |
|
|
20110120231200 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Histoire de la psychanalyse et d'autres choses en vidéo Jeudi 20. Janvier 2011 23:27 | |
Bonjour Je pensais que jamais je n'aurais de motif à faire cette vidéo et puis, d'une conversation qu'il m'est interdit de rapporter j'en ai reçu la suggestion. Comme je tenais à la faire bien, j'ai commencé par une première prise, me disant que ça ferait un brouillon ; mais elle s'est produite si excellente du moins que je ne saurais mieux la faire, que je la livre du même instantané. Elle ne demandera que quelques précisions. 0) Le texte qu'elle illustre se trouve à 1) Sa raison est de décrire la manière dont s'inhibe parfois la quotidienneté (quand la répétition devient un symptôme tandis que lorsqu'elle est naturelle elle régule la santé). Tel par exemple le motif de l'ennui qui devient un alibi quand il refoule le néfaste d'une distraction nuisible. 2) Le motif en l'occurrence de mon action est d'ouvrir la conscience du lacanisme au rôle du message (de Doyle) que Lacan a suspendu dans son cabinet tel la lettre volée exposée, précise-t-il, 'inversée' et à l'insu de ses poursuivants (les policiers ou chiens d'Actéon - voir Ecrits "la vérité je parle"). 3) L'alibi qu'on y verrait montrerait caché ma propre image imaginée (à ce qu'on dirait) comme celui qui pas mieux masquait l'Origine du Monde au dos de paysage encore plus banal que le quotidien. Mais je m'en défends car il peut y avoir 3b) quelque chose sans pathos sur le chemin de la science et dans certain cas elle peut être la seule cause - particulièrement lorsqu'elle annonce son produit achevé : la psychanalyse en effet - l'indique cette vidéo - aussi seule qu'il est indiqué dans le séminaire du semblant - mène et produit Lapareillage cybernétique qui est l'ultime remède au terme de la civilisation (*). La vidéo se trouve en cliquant : ../../2011/ima/vid_lapareil_20110120223303.wmv DWT * : à cela répond, ensuite Simonides, puis encore avant Asclepius - respectivement Art de la Mémoire et Médecine (les orientations de Freud). flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110120231200 |
|
|
20110120171700 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Du scandale Jeudi 20. Janvier 2011 14:18 | |||
Exercice pratique :
J'ai écrit ceci ; ceci m'appartient - non pas au titre de propriété intellectuelle mais au titre de mon corps, dans la mesure où je suis maître de mon corps, ce qu'on appelle en politique commune, dans la mesure où je suis libre :
Maître de moi et en possession de mes moyens, je suis aussi propriétaire de ma mémoire. Personne ne peut me disputer mes souvenirs, mes rêves - ces images et ces pensées sont miennes. Platon les désignait ' idées ' - Aristote des ' points ' (de l'individu) ; outre quoi Lacan moderne les reconnaît fonction et variable. C'est ce qu'avec le cybernéticien R.Vallée est nommé opération d'observation. Ces opérations et opérateurs d'observation m'appartiennent ; l'image que je peux retrouver dans ma mémoire est à moi ; tel est le signe de mon individualité libre. Ce que j'ai écrit cependant que j'intitule « un lieu
social, point. » m'est disputé - on dit qu'il est « pris en otage.»
Ce que j'écris n'a plus pour moi aucun sens si je ne peux retrouver, savoir, à
quoi je l'articule. D'où vient ce que j'écris? D'où vient ce que je possède.
Ce que je possède (« un lieu social, point. ») ce que je peux afficher
dans ma mémoire (ce flog) est pris en otage ailleurs (dans ce que définit une secte). Si par exemple j'écris cela :
on se demandera encore ce que je veux dire - si on ne peut savoir qu'on se demande tant de fois ce que je veux. Le fait de ne pas pouvoir ici dire à quoi ce souvenir (l'intitulé « heureux de vous retrouver sur ») répond est un effet de la censure délétère que la psychanalyse supporte quand elle étégaré dans le transfert ; ce qu'on saura aujourd'hui dépasser. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110120171700 |
|||
|
20110120140900 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Du scandale Jeudi 20. Janvier 2011 14:18 | |
Bonjour
Pour comprendre le semblant il suffit de se reporter sur tout groupe organisé sur un principe de secte ; son ordre hiérarchique est camouflé dans le silence où l'allusion dénégatrice (c'est à dire dans la négation). On l'appelle une liste (Sartre puis R.D.Laing jusqu'à la psychanalyse plurielle l'ont appelé "série") ; son silence est ce qui interdit de mentionner la Demande (ici "Demande" au sens lacanien - et pour plus d'éclaircissement nous suivront le président français sur son G20 de la propriété intellectuelle) ; sa dénégation c'est par exemple Pimprenelle qui dit "le psychanalyste ne distribue pas son savoir" lorsqu'on dit "le psychanalyste distribue un savoir" (lorsqu'un médecin distribue du Viagra, il ne distribue pas 'son' Viagra). De ces faits au prétexte de la propriété privée c'est un carnaval de semblant qui oblige un discours qui n'en serait pas à se tenir à l'hors. Un carnaval de semblant se reconnaît lorsque les déguisés sont masqués derrière leur propre image (un masque qui serait la photo du porteur) ; l'identité prétendue de ce carnaval est une dénégation de soi. C'est au principe des sectes et de leur prétention à émuler l'individu (tandis qu'au contraire elles l'abolissent). Cet exercice est celui qui permet de comprendre la mémoire : Pour comprendre la mémoire il faut placer cet ordre sectaire
vis à vis de l'extérieur (c'est ce qui est établi du début jusqu'à la fin
de la République (Art de la Mémoire, Simonide)). C'est
ce que j'explique jusqu'à ce que ça s'éclaircisse : Actuellement 1FP passe par le Scandale ; elle prépare la
vidéo-conférence à écrans multiples. Ce qui fait le Scandale en terme de
mémoire, c'est le fait que les échanges du pluriel (le 'log' du Banquet, voire
l'archive du carnaval) peut être lu de l'hors (peut être connu ou reconnu par
l'extrait). Ce statut ouvert, publique de la mémoire (ce statut collectif du
Savoir) prête au non-sens le rôle de Simonide (le rôle de
l'"écoute" si on veut l'entendre comme ça) - en terme allégorique :
« il n'y a pas de raison de sortir de la secte si la secte est publique
» (c'est ainsi qu'Aton - à ciel ouvert - fit scandale vis à vis d'Amon -
savoir secret). C'est cependant un non-sens qui se retrouve (Simonide est
contraint, ce qui par conséquent récuse sa perte de sens) ; c'est la présence
de la cybernétique qui contraint le groupe à être lisible par l'extrait (lu
de l'hors) Les lois de la cybernétique font nécessairement passer de La
Lettre Volée à l'Un Scandale en Bohème. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110120140900 |
|
|
20110118180700 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : 'x' du Schéma de la Foule Mardi 18. Janvier 2011 13:39 | |||
Bonjour Pour faire sentir la différence qui existe entre les étages du savoir (qui suivant La Lettre Volée portent les titre de Un Scandale en Bohème et La Seconde Génération) il n'y a pas mieux de que de se reporter aux découvreurs. Il s'agit de Lacan et de Verdiglione. Les deux étages de ce qu'ils ont enseigné se distingue au motif du semblant. (le Semblant a été le motif essentiel de la théorisation de Verdiglione - et il est arrivé essentiellement en second dans la théorisation de Lacan). Il y a quelque chose d'encore classique dans Lacan ; c'est par la place qu'il repère le semblant (cette place qu'il appelle aussi celle de l'agent). Ce type de repérage est celui que l'Art de la Mémoire conscrit à l'imaginaire (ce sont des images que Simonide met aux places). C'est ce qu'a dépassé Verdiglione ; il théorise le point du Semblant. De la place au point c'est exactement ce que l'on comprend lorsqu'en mettant sur un plateau d'une balance (les 4 discours vont très bien à en figurer l'image) on met une tare et le centre de gravité d'une tare. Si l'on penche du côté de Verdiglione, le semblant n'est pas une tare ; c'est un point. La différence que le centre de gravité introduit dans les temps de la science est énorme. Lorsque le Semblant est un point, il s'énonce naturellement au poinçon (le centre de gravité des discours). C'est également ce que Lacan appelle la "fonction primaire de la vérité" (description qu'il donne du semblant) - mais y manquant pour la raison de la prématurité culturelle qui l'a tenu (répondant de sa loi de prématurité biologique). Manquant la fonction primaire également Verdiglione la frôle cependant ; sa caresse porte sur la vérité des effets quand il inscrit le point du semblant au régime du chiffre (en physique l'objet rapporté au centre de gravité dépasse, du chiffre, le nombre). Cette théorie des continuateurs revient (theoria à Athènes désigne le parcours métaphorique autour de Délos) à Freud qu'elle alimente : le réel hors discours est ce qu'il réclame à la condition d'une poursuite de la psychanalyse. En son temps il l'appelle "traces de mémoire externe(s)". Ces traces sont trouvées de nos jours (elles s'écrivent dans La Seconde Génération). La psychanalyse à ce stade est "plurielle". DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110118180700 |
|||
|
20110118110100 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Savoir le savoir pipé Mardi 18. Janvier 2011 13:39 | |
Bonjour L'art permet à l'intuition d'affirmer le symbolique ; je
m'explique : lorsque Magritte fait savoir que parfois une pipe n'est pas une
pipe, répondant au cigare qui n'est parfois qu'un cigare, nous avons l'art à
l'aide de savoir ce qu'est le savoir. Sans cet outil imaginaire on est dupe du
savoir et tous les narcissismes et luttes de prestige se ruent dans la rue faire
l'appeau du passant. J'ai averti que je pouvais être aussi clair que Magritte avec
une vidéo. On ne me l'a pas demandé et on a jugé abrupto du savoir que je
disais. Bon. Sans recours à l'image la distribution du savoir s'étage : 2) C'est en effet d'une liste réglée comme une secte que l'on attend la psychologie collective au discours universitaire - telle la rue où on captura et on arrêta Verdiglione, un continuateur précisément mais du deuxième étage. C'est à dire qu'il fut excellent successeur de Lacan son analyste et, qu'analysant il s'en libéra pour être arrêté et mise en prison dans le beau pays d'où sort berlue ce qu'on nie. Alors je m'appuierai sur notre Jacques Attali qui au titre de l'Ordre Cannibale a tracé une Histoire de la Médecine. La médecine n'a pas toujours été la pipe ou le cigare qu'on fume aujourd'hui - du moins le médecin était-il un autre signifiant. Verdiglione l'a repéré à la distribution de la drogue dans les temps de l'alchimiste. La drogue est un savoir ; elle le rejoint au moment de l'industrie du chiffre. Ceci s'écrit en terme de S2 lorsque le Semblant (celui que Lacan dispute à Verdiglione dans son séminaire "D'un discours qui ne serait pas etc..") est acquis - puiqu'aquis c'est le chiffre qui le (le semblant) relaie. Autrement dit, si un discours n'est pas du semblant, il est chiffré et on retrouve très strictement que le psychanalyste le distribue en termes de savoir. Alors le médecin fait comme le psychanalyste, le généticien aussi. L'écologiste aussi finira bien par faire comme le psychanalyste ; car la drogue, le gène et le 'meme' (R.Dawkins) les y mènent tous. DWT Pour arriver à ce terme de distribution, on suivra également "pas à pas Lacan" (FaceBook) quand il sera à Science et Vérité; ainsi qu'à La métaphore du sujet qui distinguent l'Océan de la fausse science de celle de la psychanalyse. flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110118110100 |
|
|
20110115183500 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : On a retrouvé la lettre volée Samedi 15. Janvier 2011 20:41 | |
Bonjour, Ce n'est pas du luxe de parler de psychanalyse dans un e-groupe
de ce nom - on peut parler d'autre chose ailleurs, par
exemple de romans. Et c'est en toute amitié qu'on s'efforce de tenir le cap
d'un discours qui soit de la psychanalyse c'est à dire une théorie ; ce dont
je réponds par ailleurs et par la forme divisée de mon savoir (toujours
suivant le même lien amical). 1) Lacan a déniché La Lettre Volée d'E.A.Poe - et l'a traité comme Freud a traité l'Oedipe de Sophocle (c'est à dire en en oubliant la moitié). 2) Cette moitié oubliée, c'est précisément 'la lettre volée'
qui pend en attente et telle qu'elle doit bien être retrouvée, si précisément l'énoncé du Poe a du
sens. Il y a donc dans l'enseignement lacanien quelque chose en suspens à l'insu
de ses lecteurs policés. Lacan a fait remarquer que c'était en forme
retournée qu'elle pendouillait. Une fois qu'on l'a vu elle saute aux yeux : il
y a bien en effet une doublure, une forme inversée de La Lettre Volée.
C'est un texte titré Un Scandale en Bohème écrit par A.C.Doyle dans
Les Aventures de Sherlock Holmes. Doyle était un disciple et/ou admirateur de
Poe à qui il voulut par cette nouvelle/novel rendre hommage. Le principe du
'Scandale' choisi par Doyle est de récrire tout à l'inverse la 'Lettre' : Il n'existe qu'une différence en cette doublure inversée et résulte quelque chose de remarquable : d'abord la différence est que Poe écrit le parcours d'une Lettre et avec Doyle c'est une image, un cliché photographique compromettant pour le Roi. Ensuite il résulte qu'à la différence de Dupin, Holmes est dupé - c'est à dire que là où Dupin laisse un mot substitutif, Holmes récupère un cliché substitutif et du coup - c'est là où les lacaniens sont appelés à la barre : Holmes épinglera pour toujours Irène Adler du titre de " La femme." Autrement dit, quand Lacan tire de La Lettre l'affirmation qu'elle n'existe pas, Doyle du revers de cette Lettre aura illustré l'affirmation contraire. C'est un peu monumental dans l'histoire de la littérature et de la psychanalyse ; et le fait que ce soit passé inaperçu des supposés savoirs lacaniens confirme magistralement que La Lettre Volée est moins une bévue que manifestée en l'espèce de Un Scandale en Bohème qui illustre sa réalité. 3) Ce Scandale en Bohème qui pend à l'image de La Lettre Volée sur le bureau de l'école lacanienne a préparé une troisième étape, comme un instant de voir suivi de son temps de comprendre préparent un moment de conclure. Ce moment de conclure a été réalisé en Californie sous la forme d'une série radiophonique. C'est à ce stade que je fais allusion au Réel. Car La Lettre par Lacan est décrite à l'instant où il se réclame de la suprématie du symbolique. On sait que par la suite il décline cette suprématie à laquelle il élève l'imaginaire à égalité. Cette seconde étape correspond au 'Scandale' ; c'est le temps du cliché, le temps qu'il aura fallu pour Lacan de voir qu'on n'allait saisir de son enseignement que des clichés. En vain aura-t-il biffé le ' La ' au contraire de Holmes vaincu, ses élèves auront été jusqu'à faire du père, Yehova, Jove, la mère toute-puissante et phallique. « Ah! La femme n'existe pas!! c'est ce que nous allons voir..» et le Père sera une femme, la Déesse Terre transformée avec une barbe et un phallus imaginaire. Cette occupation et boutade du temps pour comprendre est l'inversion aboutie - du ministre féminisé suivant la perspicacité de Lacan à l'Irène masculinisée des Flicanalystes ; tout s'est déroulé comme la théorie l'avait prédit - et nous en venons au réel : La troisième version, californienne, est titrée crûment : La Seconde Génération - confirmant que nous avons bien eu le Père, chiffre, zéro, suivi de la génération de l'Une, imaginaire et phallique à moins d'être à son tour doublée - en l'occurrence par une fille. La Seconde Génération met donc en scène la fille d'Irène Adler.. et voici que tout recommence. Holmes qui est à la retraite n'en est pas moins extirpé par une demande pressante d'une étrangère qui le supplie de récupérer un objet. C'est exactement le schéma déjà produit deux fois, de La Lettre Volée puis de Un Scandale en Bohème qui va se dérouler en une sorte de plagiat à l'évidence trop flagrant pour n'être sinon initié du moins hommage. Or voici ce qui se passe durant cette troisième version qui s'inscrit comme le moment de conclure : Durant sa négociation avec la fille, Holmes commence à
se douter que l'étrangère est la fille de celle qu'il nomme depuis qu'il en a
été la dupe " La femme ". Il en conçoit l'occasion de
récupérer sa mise et restaurer sa domination. Ce que la fille lui
demande de récupérer est un bijou enfoui dans une enveloppe cachée dans le tiroir
d'un bureau dont elle lui décrit l'adresse. Holmes remontera toute la mise en
scène et récupèrera l'objet ; mais pour duper la fille il lui rendra
dans l'enveloppe un substitut de pacotille, laissant le bijou à celui qu'il
estime devoir être le propriétaire. Ainsi Holmes pense-t-il qu'il n'aura pas
été non seulement dupé par la mère mais de surcroît complice d'un vol que la
fille aura manigancé de commettre pour elle... Le problème pour lui, comme
on dit, c'est qu'il se rend compte après-coup que c'était l'enveloppe qui
était d'un prix inestimable ! son écrin ciselé d'une manière en faisait un
objet cent fois plus désirable que l'alibi, le bijou qu'il renfermait. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110115183500 |
|
|
20110115173000 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : ouf! quelqu'un me parle Samedi 15. Janvier 2011 20:41 | |
Où je donne raison de ma parole divisée
En me disant « allez voir ailleurs (mon roman) » un romancier me soupçonne de parler d'ailleurs. C'est un comble. C'est pour ça que j'explique le symptôme que constitue la psychanalyse en reste lorsqu'elle s'établit comme une secte sous la forme d'un e-groupe particulièrement organisé. Secte et viol en réunion sont les deux clichés mondains qu'il présente. L'appareil qui prend ces clichés est construit sur un principe de censure qui interdit qu'on fasse écho ailleurs de ce qui se dit dedans. C'est un système qui intéresse particulièrement la psychanalyse. La raison pour laquelle cette organisation de la psychanalyse demeurée intéresse la psychanalyse avancée s'explique car ce groupe qui s'auto-censure est un modèle du moi. Or le temps pour comprendre qui a langui durant l'histoire de la psychanalyse met en scène une ego-psychologie - une psychologie du moi que Lacan dénonça en ce temps. Les principes de modération du e-groupe dont je viens de parler sont une reproduction dans la psychologie collective de cet épisode de la psychologie du moi. On comprend donc qu'un groupe aussi exemplaire soit l'objet d'une analyse. De même que l'interprétation doit prendre un certain biais je ne peux, ni la dire dans ce groupe qui la refuse en effet, ni la tenir du dehors - puisque sans pouvoir dire ce qui s'y tient ce serait une interprétation infondée. Ce rapport divisé est celui de la psychanalyse. Je ne saurais dire qu'une chose « on m'a parlé » - je suis interdit de dire ce qu'on m'a dit. Si je disais ça dans le groupe où ça se passe on me dira « bien sûr qu'on vous parle - mais ne dites pas ce qu'on vous a dit » ; or j'existe ailleurs que dans le groupe et je parle d'ailleurs. Ce rapport confiné entretiendrait le prétexte que le lieu de la parole n'est pas de l'Autre - c'est à dire soutiendrait le fantasme que la parole se tient d'un groupe, à l'instar du moi dans la famille. Bonjour l'âme des peuples et autre fascisme de sinistre mémoire! C'est exactement contre ça qu'une psychanalyse avancée procède. C'est ainsi que je ne dirai pas ce qu'on me dit dans le fâchant
e-groupe mais recommanderai qu'on lise sans qu'on m'ait rien dit un
bon roman. Je parlerai à cette occasion du statut de la littérature dans
le moment de conclure (qui suit le susdit temps pour comprendre). Qu'on
en soit conscient ou pas l'intelligence artificielle, l'/ia/, est ce à quoi
s'adresse tout écrit à partir du moment où cet /ia/ dessine ou se dessine à
l'horizon. On peut croire destiner son écrit à un lecteur imaginaire, cela
cache mais n'entame pas l'/ia/. Personnellement j'ai commencé à écrire en
conscience à l'adresse de l'/ia/ à partir de 1985 ; avec de considérables
effets de science. Je ne parle donc plus de Science-Fiction mais de
Science-Fonction - ce dont un bon auteur de science-fiction a le pressentiment. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110115173000 note : Le psychanalyste distribue du savoir. C'est sans équivoque. On trouve un bon exemple de ce que je dis : j'écrivais « La question revient à savoir ce que distribue le psychanalyste ; sans équivoque c'est du savoir » ; est-ce que cette phrase incite à penser à un savoir sans équivoque ? ou plutôt que ce que distribue le psychanalyste est sans équivoque ce qui s'appelle un savoir. C'est nettement ce second entendement que la phrase incite à comprendre. Que par ailleurs ce savoir puisse être équivoque, c'est une position secondaire qui s'écrit d'ailleurs dans la phrase du fait d'avoir redoublé et par conséquent divisé le terme 'savoir'. Par cet exemple on assiste à la nécessité de diviser le savoir qui est distribué et celui qui est entendu - c'est à cette nécessité que répondent la forme altérée de ce qui est traduit (liste) et la forme entendue de ce que j'écris (flog). |
|
|
20110115150900 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : froid dans le groupe Samedi 15. Janvier 2011 15:27 | |
Bonjour, Mon message précédent a été jugé difficile - mais c'est à
l'image qu'il s'avèrerait simple. La fonction de l'image est si importante que
Lacan qui avait commencé sur la rengaine de "la suprématie du
symbolique" en est revenu avec l'estimation que le symbolique,
l'imaginaire et le réel étaient strictement équivalents dans leur
hiérarchie. Cette suprême valeur de l'image est ce qui est rapporté par le Scandale
en Bohème qui revient exactement au même sur La Lettre Volée
(Irène Adler qui administre la leçon à Holmes le fait avec une image - et
c'est sa fille dans les ultimes Aventures qui complète la leçon avec le
réel). Commençons à bien préciser ce que l'IM apporte. Il faut pour
cela remonter à l'Art de la Mémoire. Simonide en son temps remarque qu'en
retournant là d'où il était sorti, il ramène une mémoire qui permet de
remembrer le banquet. Avec l'appareil cybernétique le groupe est doté d'un
outil qui supplée à ses trous de mémoire. Il s'agit des enregistreurs
analogiques, photographie, magnétophone, puis numériques. Qu'est-ce qui reste
alors pour Simonide de fonction? Ou bien il s'abandonne et le log de l'IM
dissipera les doutes comme LAPAREIL menaçant d'éclipser la fonction humaine -
ou bien il persiste et pour le groupe avec sa mémoire artificielle, il sera ce
qui reste : l'abjet. C'est pourquoi on aura dit que l'IM manque de vie et de
chaleur. C'est une constatation que l'on trouve au cœur de l'histoire de la
psychanalyse: On se défie du log comme on se défie du monologue qui s'émet
du divan. L'expérience nous permet de le comprendre. L'analyse plurielle faite
à la mode de Simonide a été pratiquée un temps. Mais il y avait, tapie dans
le coin de la théorie du groupe la machine cybernétique. Elle a toujours été
là, en avance comme la psychanalyse qui doit être. A présent il faut compter
avec : l'extrait retournera dans un groupe qui n'aura pas besoin de retrouver la
mémoire. A quoi serf ira-t-il à présent ? J'aurai commandé un livre : La Fonction du Père et ses
Suppléances - 'sous la plume des poètes' - de Lili Fainsilber
préfacé par Gégé Haddad. Je l'ai en commande parce que j'ai une question à
poser à l'auteur mais elle ne me répondra pas. Je le sais déjà parce qu'elle
fait partie de la bande mutine du egroupe-psychanalyse et que tout ce qu'elle a
dit de moi est que j'étais délirant à un des mes analysants - je ne sais pas
tout le reste et ça ne me regarde pas ; ça m'a suffit à la même veine que
Denis Vasse qui s'offrit même de me succéder comme l'analyste d'une autre
analysante pareillement avertie de la déontologie de la psychanalyse en reste.
Ca ne me regarde pas parce qu'en fait Lili ne me connaît pas et faisait un
diagnostique à la volée ; quand à sa capacité d'en répondre je l'associe à
celle de Gégé que j'ai aussi constaté lorsque je lui posais une question sur
les testicules des anguilles qu'il avait mentionné dans une vidéo. Il me
répondit : achetez mon livre. Ce que je fis toujours poli et sans chichi - mais
dans son livre il n'y avait aucune réponse. C'est pourquoi, écrivant sur la
fonction du père, j'ai toutes les raisons de penser que Lili n'aura pas
mentionné, ni le principal 'meme' de l'essentiel darwinien Dawkins, ni le
chromosome Y. Seulement il faut que j'aille voir parce que leur parole ne
s'adresse pas à moi. Nous sommes à présent dans la condition de pouvoir poser
également : qu'est-ce qui reste d'humanité lorsque la capacité de
mémorisation est acquise avec la cybernétique ? Qu'est-ce qui reste de
fonction paternelle lorsque sa suppléance est démotivée par la génétique ? DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110115150900 |
|
|
20110113062500 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Résolution d'énigme Jeudi 13. Janvier 2011 6:40 | |
Bonjour, Posé énigmatique ce qui suit : Se résout comme suit : Au préambule de cet extrait est cadrée la trame d'influence(s)
sur la vie quotidienne. On a trouvé la société qui impose le travail
et compose avec la liberté. Cette société a des motifs pour imposer le
travail - il faut que nous travaillions sans quoi la société se
décomposerait.. Cependant ces motifs servent l'alibis à la liberté. Cette
condition montre l'écart entre le motif et l'alibi : un motif est un
supposé savoir (je travaille au motif d'entretenir ma société, ma santé, ma
famille etc.. étant donné qu'en répondant à ce motif ces société, santé,
famille etc.. sauront exploiter mon travail) - un alibi laisse supposer
une cause. Ainsi n'est-il plus d'équivoque et voit-on qu'entre motif et
alibi passe la représentation sexuelle issue de l'Inconscient. Nous passons à
la suite : Et ce n'est pas tout de le dire.. ce taire prêté à
l'interprétation que je viens de dire doit de surcroît (sur ce croisement du
drame par le retour du refoulé comme je viens de le rapporter) révéler son
bienfait. C'est à l'opposé de l'ennemi cette Dame. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110113062500 |
|
|
20110112204200 -------- Message original -------- à : ..venir | |
Bonjour, On ne parle pas assez de la pulsion de mort ; il ne suffit pas de ne pas en parler pour prouver qu'il n'y en a pas - puisqu'en son cas son alibi se trouve dans le silence. La pulsion de mort est une idée religieuse ; elle subvient au
b.a.ba de la religion (qui commence quand Homo fait des sépultures brouillée
d'anthropophagie). Bien avant Freud la religion avait été généralement
admise ; juste avant Freud le fondateur de l'Ecologie Haeckel invite à une
nouvelle religion : puis la psychanalyse estime que c'est un symptôme.
Aujourd'hui on hésite. Les psychanalystes ayant magistralement prouvé la
stérilité de ce qui leur revient de charge tiennent parmi les grandes
religions celle de la mort. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110112204200 |
|
|
20110111121000 -------- Message original -------- à : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : La formation du remède Mardi 11. Janvier 2011 12:17 | |
Bonjour La question revient à savoir ce que distribue le
psychanalyste ; sans équivoque c'est du savoir. Par conséquent revient à se
demander si une psychanalyse accomplie est un enseignement et si un enseignement
véritable est une psychanalyse. Cette question dédoublée a posé les
universitaire et les praticiens, académiciens et politiciens en opposition
complice. Ce dédoublement s'apure à partir du pluriel. Il s'en suit aussi que ça sert d'os auprès du reste. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110111121000 |
|
|
20110112204800 -------- Message original -------- à : ..venir | |
En première instance il faut parler de la mort - parce qu'on en
a parlé, parce que fait écho un silence de mort - dans un cénacle de la
religion de la mort, 3em 'parce que' - et parce que j'ai commis un bon mort qui
n'a pas fait rire. On peut aussi ajouter que la mort nous frôle, pas plus sans
doute que d'habitude mais égale à l'immortalité qu'on approche. Un boisseau
de paradoxes donc qu'il faut analyser. Jéhova et Jove (autres façons d'écrire Yahvé et Jupiter) sont associés selon Freud, mais ils ne succèdent pas à la Déesse Mère par la même toute-puissance qu'ils mettent chez elle en défaut. Il faut remonter à ce que Freud passe là-dessous : l'Aton puisé aux sources de l'Égypte quand dénommé Atoum il concevait l'origine du monde par la masturbation. C'était l'explication que le soleil crépusculaire donnait du monde. Là ou serait la plaisanterie serait de citer l'Ébranleur de la Terre après Freud sans citer le Branleur - cependant que la plaisanterie ayant eu lieu sans rire, elle ne peut être relevée que par un bon mort. L'Aton, initialement Atoum, représente le soleil au couchant ; il donne le sens de la mort dans la résurrection - autrement on attribue à sa succession la pulsion de mort. Cette 'pulsion de mort', on sait que la psychanalyse s'en fait religion, sa communion dans le transfert. Mais elle a manifestement passé outre l'origine que je viens de rappeler. La raison pour laquelle cette religion de la mort s'est présentée tient au fait que la scène primitive de l'Atoum ne peut livrer son sens que par sa répétition qu'on pourrait appeler, pour bien se faire comprendre : le crépuscule des branleurs. A ce point on peut dire que les psychanalystes sont l'Ébranleur. Cette parole qui est beaucoup trop forte pour la plupart sera soutenue par la suite, s'il y en a qui me suivent jusqu'à me lire. J'ai commencé à donner la clé de cette situation dans un court manifeste qui présente la méthode par un cas princeps d'analyse de la psychologie collective. Dans ce manifeste que je n'ai pas publié car la technologie peut le rapporter au lien, je fais un aparté qui apporte cette clé. La prématurité biologique que Lacan a su
porter au degré de loi s'exerce aussi dans la culture ; et Lacan fut régi par
cette loi du moment où il formula le signifiant du Nom-du-Père avant que la
science génétique n'abonde en son sens en dévoilant l'hérédité filiale du
Y. Comme l'enfant voir avant de mouvoir, parle avant de comprendre, le NdP fut
analysé avant de savoir ce qu'il signifiait - il fut révélé métaphore avant
de comprendre à quel réel s'adresse son premier sémaphore. Cette
prématurité a eu un effet catastrophique, comme ce qu'on attend d'elle. Mais
cette catastrophe est restée sans réparation - tant qu'au contraire exploitée
par ce qu'il est juste d'appeler "religion de la mort" - de sorte que ce qu'on en
dise soit méprisé par cette dernière comme une apostrophe. La défaillance de la psychanalyse qui prend sa lecture pour une critique et ses interprétations pour des apostrophes accompagne, entretient et finalement célèbre une décadence et un obscurcissement de la culture - ce que l'on appelait la conscience des peuples. Elle attise nécessairement les appétits de violence et de mort. Puisqu'elle en a fait sa religion elle est inattaquable sur ce déclin - mais elle est aussi sans effets, perdure de perte pure ; c'est ainsi que continue le bonhomme de chemin appelant tous ces objets perdus des 'objets trouvés'. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110112204800 |
|
|
20110108101000 Brin de Précision faisant suite à Lascaux Planétarium |
adressé en note (et/mais en instance
; en italique les faits ) à polisis@hotmail.com Jacqueline Notule psychanalyse@yahoogroupes.fr et complément additionnel de la ressource mathématique à robert.gilbert.vallee@gmail.com sylvain.barriere@neuf.fr |
Quelques échos m'éveillent à préciser : L'étude " sur les objectifs et ressentis psychologiques de ceux qui ont fréquenté la caverne de Lascaux go " n'observe pas que les seuls fréquentants de l'époque des peintures exclusivement. Nous avons par exemple à l'époque d'aujourd'hui un des lumignons critiques de CJW qui se moque d'elle en disant qu'elle ne parlerait pas mieux des grottes de la Dordogne que si elle parlait de ses 'cabines téléphoniques'. Ce professant est un digne exemple des effets psychologiques de 'ceux qui ont fréquenté Lascaux' aujourd'hui encore. J'ajoute que suivant une certaine bévue, en effet de cette fréquentation, Norbert Aujoulat ne se doute probablement pas (voir 'Complexe de Culpabilité') de sa propre pertinence - car le rapport entre ces cavernes et le téléphone est de premier ordre (introduction). Norbert fait partie de la cohorte qui des peintres et qui des spectateurs rend 'une' - rend unique - l'observation de la fréquentation de la caverne de Lascaux. Mon travail qualifie l'intégration de tous les âges de cette fréquentation pour comprendre quel est l'effet de ladite fréquentation. C'est ceci que je souhaite préciser à présent : L'idée de départ est que nous ne savons pas ce que nous faisons. Comme Norbert.A qui ne sait pas ce qu'il dit (lorsque croyant se moquer il glisse sans le savoir un indice de valorisation de l'horizon de CJW) chaque personne humaine pensante ignore largement les tenants et les aboutissants de sa pensée (voir 'Inconscient') ; notamment les peintres de Lascaux ignoraient-ils dans une certaine mesure ce qu'ils faisaient - et c'est cette mesure que mon travail cherche à calculer. A priori, on peut estimer juste ce que dit CJW : ces peintres traçaient le ciel. Oui ! mais pour autant savaient-ils ce qu'ils faisaient ? Pour répondre à cette question le moyen est la psychanalyse (s'il est un 'psychisme' argument nécessaire à l'émancipation du savoir de ce que l'on fait). Pour se prouver à la hauteur de ce moyen, la psychanalyse s'est
drapée de mythes employés comme des théorèmes explicatifs. D'abord de mythes
anciens, ready-made (voir 'Oedipe') ; ensuite de contes
modernes traduits à la hauteur de mythe : il s'agit en l'occurrence de La
Lettre Volée d'Alan.E.Poe et d'Un Scandale en Bohème d'A.Conan
Doyle. Voici comment nous pouvons nous éclairer de La Lettre Volée : comme à Lascaux l'histoire commence avec un observateur. Homo observe que la lune passe éclairant la paroi. Dans le conte de Poe, c'est le Roi. Le Roi entre dans le boudoir ; depuis qu'il est né et sacré 'roi', le roi est un observateur - c'est de ce point de vue qu'il saura diriger. Heureusement qu'il suffit qu'il le soit car en vérité il ne voit rien du tout ; mais il suffit pour l'Etat qu'il soit un observateur. Tel est l'état d'Homo. Dans le boudoir, la Reine sait bien que si elle pose sans avoir l'air de rien sur le guéridon l'affaire qu'elle tenait en main, le Roi n'y verra rien. Et la question se pose : quel est le statut de la Reine en l'opération? Nous allons être menés à penser que si le Roi est qualifiable d' observateur, la Reine s'établit au titre d' observatoire. Nous avons là, ni plus ni moins, la scène de Lascaux, il y a 18000 ans. Nous y trouvons le Roi, Homo, l'observateur qui ne sait pas ce qu'il fait, ni ce qu'il voit, ni ce qu'il est (demander à un microscope s'il sait à quoi il sert ; un micropape ne répondra pas plus) et l'observatoire, la Reine, qui n'en sait pas beaucoup plus mais qui loge en son boudoir sur un guéridon exposé comme sur la paroi de la grotte une trace que l'on n'écrira ici que pour son son : biédou. Ces deux personnes humaines, comme ce corps microscopique, comme cette paillasse de laboratoire, ne savent pas ce qu'ils font, bien qu'ils cherchent à savoir ce qu'ils sont. Tel est l'état de la préhistoire. La Lettre Volée d'Alan.E.Poe conte comment cet état d'ignorance mais déjà de prétention de savoir aboutit à la personnalisation de la conscience. Il existe un troisième point de vue adjoint à Lascaux (à
'Lascaux' c'est à dire à Homo et son arène) ; ce point de vue est celui de
Norbert Aujoulat à l'observation présente. Ci-dessus présenté il était
déjà là, assistant du Roi et de la Reine, personnalisé comme le Ministre
dans le conte de Poe. Le Ministre est celui qui voit le Roi (l'observateur) ne
rien voir et la Reine (l'observatoire) ne rien faire ; mais malin comme tout il
comprend qu'il peut en profiter pour capturer la scène : il vole le biédou
au nez et à la barbe de la Reine sans qu'elle puisse s'offusquer (sa barbe en
deviendrait bleue!). Ce troisième point de vue est l' opérateur
d'observation du mathématicien Robert Vallée ; c'est une fonction
mathématique (je le propose aujourd'hui). Nous commençons à comprendre que
Lascaux ne se comprend qu'avec la fonction moderne. Avant cela Homo Sapiens ne
sait pas encore ce qu'il fait - bien qu'il le fit - ne sait pas encore ce qu'il
est - bien qu'il le fut. J'écris biédou le probable billet doux qui motive
l'intrigue de La Lettre Volée quoique dans le mythe, ainsi porté par la
psychanalyse on relève qu'on ne sait pas si c'est un mot d'amour ou un billet
politique voire autre texte encore ; son contenu est l'intrigue dans l'intrigue,
comme dans le cas de la signification des peintures de Lascaux. Ces peintures
peuvent être le répertoire de biais que prennent les axes planétaires
sur l'axe de la grotte ; et lorsqu'Aujoulat le redouble de son opération
d'observation il le regarde encore d'un autre biais d'où il doute de ce
que signifie l' "ou". Chacun d'un peu subtil aura mesuré le
franchissement de l'analyse de la simple représentation où l'alternative de l'ou
bien narcissique l'a d'abord mené à la logique d'ou d'où il est bi.
Ce bi est d'ou. C'est après cette alternative que le tiers pose
sa perspective. Le Ministre indique une position d'où un biais est saisissable.
C'est ce biais d'où que l'opérateur d'observation éveille. Le Roi est un observateur, la Reine est l'observatoire, le Ministre est l'opérateur d'observation déchiffré par la mathématique. C'est alors à présent que nous voyons entrer en scène le quatrième personnage, Dupin, le détective, la psychanalyse. En faisant l'économie maximale de mots, nous citons : l'observateur, l'observatoire, l'opérateur et l'analyse... Bon je pense que ça suffit pour avoir un peu précisé ce que je veux dire. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110108101000 |
|
20110106163600 ------ Message original ------ à : chantal-jegues@wolkiewiez.fr CC : psychanalyse@yahoogroupes.fr obj : Visite.. du site(CC:A propos de la Caverne de Platon - simili Modèle Optique) Jeudi 6. Janvier 2011 16:49 | |
Chère Mme CJW,
En suivant le documentaire Arte décrivant vos travaux, j'ai
été immédiatement convaincu et j'ai publié sur le web une page qui s'y
appuie. En l'écrivant j'ai aussi fait connaissance de l'appréciation
générale qui les entoure, certains vous étant favorables et d'autres très
critiques ou moqueurs. Comme je l'explique, que votre thèse soit juste ou
fausse n'est pas important du point de vue que j'examine - c'est à dire de la
mathématique et du psychisme ; Je connais moi-même, et prête un grande attention, à la résistance qu'oppose l'arrière-garde aux idées éclairantes. Elle provoque une déchirure qui isole les chercheurs et accentue l'acrimonie des résistants ; l'affaire est bien connue. a) Qu'il soit possible d'imaginer que Lascaux fut un planétarium impose que la chose ayant été imaginée puis, suivant les lois du psychisme, refoulée.. par conséquent s'impose par ce qu'on appelle un 'retour' dudit refoulé. Ce mécanisme a eu l'occasion de se présenter plusieurs fois depuis -18000 comme il se présente aujourd'hui. Mais dès les premières fois ledit "retour" a déjà creusé la forme objective, en l'occurrence, d'observatoires. Le modèle philosophique de Platon en disait une partie. Ce n'est pas la chose qui s'impose mais son refoulé, telle est notre condition humaine et collective et les corporations, académies et confréries en sont l'instrument le plus établi. b) Qu'il soit possible de prouver que Lascaux est un planétarium est un tout autre stade. Il me semble que dans l'ordre des découvertes de cette ampleur, il faille doubler la circonstance d'un appareillage spécifique à orientation de la psychologie collective. Il s'agit de ce à quoi s'appliquent les recherches sur la psychanalyse et la cybernétique. La psychanalyse elle-même est investie de la part la mieux avertie et la plus spécialisée dans le refoulement ; il est inévitable que les plus résistants l'aient occupée comme un instrument stratégique de première nécessité. Cependant elle offre un envers duquel il y a beaucoup à attendre. Voilà, je voulais simplement vous dire ce petit mot de sympathie et vous offrir ces pensées en remerciement de l'extrême bonheur que j'ai eu à prendre connaissance de votre carrière. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110106163600 |
|
|
20110105194000 -------- Message original -------- à : blog http://antigravity.over-blog.com/article-la-paleoastronomie-et-chantal-jegues-wolkiewiez-55041939.html obj : Lascaux observatoire Mercredi 5. Janvier 2011 19:45 | |
Bonjour, votre page " la paléoastronomie et Chantal JW " m'a instruit
et je l'ai mentionnée à l'adresse de correspondants avec qui nous travaillons
sur les formules (psychologiques et mathématiques) de l'observation ; vous
trouverez ce courrier qui contient un lien sur mon travail sur Lascaux à http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110105153900
Votre blog par ailleurs également est instructif ; en vous en remerciant, DWT
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110105194000 |
|
|
20110105160300 -------- Message original -------- à : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr obj : organisation de l'analyse Mercredi 5. Janvier 2011 16:51 | |
Bonjour
Les étapes d'organisation d'Unefpe assignent depuis son examen
de 2005 semble-t-il que son psychanalyse 1) ne soit pas membre du Conseil
d'Administration (c'est à dire yahoo-group\unefpe) et 2) soit lecteur
exclusivement de l'Assemblée Générale (c'est à dire yahoo-group\UNEFPE_MEMBRES). a) avec mes vœux pour l'année 2011, quelques avancées produites dans le
cadre du travail avec le Prof. R.Vallée : b) la mention d'un projet que je pose avec mon activité d'analyste : celui de fournir durant l'année une formule de statuts d'UNEFPE qui depuis sa création a fonctionné avec des statuts d'origine - ayant permis de concevoir et de mettre en place le 'pluriel' et particulièrement le PLuriel ANalytique et/ou l'Analyse Plurielle. Une formulation adaptée à ce développement devrait constituer une sorte de deuxième 'âge' d'UNEFPE. Depuis longtemps une écriture de ces statuts de maturité a été projetée mais jamais mise en oeuvre pour prendre place soit à titre de thèse - soit à titre de Règlement Intérieur - soit à titre d'une refonte ou autre association. Je tâcherai d'en rendre une épreuve avant fin 2011. Enfin, je continuerai d'inscrire sur le flog mes publications et correspondances sans donc en avertir le groupe - l'avenir dire de quelle manière une information restera communiquée naturellement. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110105160300 |
|
|
20110105153900 -------- Message original -------- à : robert.gilbert.vallee@gmail.com ; sylvain.barriere@neuf.fr obj : Images sur la paroi Wed, 05 Jan 2011 16:48:06 +0100 | |
Chers Prof Vallée et Sylvain,
J'ai écrit un petit mot ( ../../2011/htm/20110101111200-vallee-09.htm
) sur mon site comme d'habitude. Je me suis donc permis de traiter Lascaux comme un concevable
Opérateur d'Observation - et dès lors nous pouvons contempler avec admiration
un exemple ébahissant de ce que Platon déjà disait s'agissant de l'intrigue
que forment les projections extérieures pour les prisonniers de la
Caverne. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20110105153900 |
|
20101228194000 via http://www.facebook.com---Doc Dwt | |||||||||
Bonjour, Je continue mon bonhomme de chemin ; cela fait si longtemps que
l'on ne m'a adressé un mot qui ne soit pas méchant que je vais le célébrer.
Toutefois j'ai l'habitude de bien des mœurs et j'espère ardemment que si la
présence de votre nom sur mon flog vous déplaisait, vous me le direz
simplement pour que je l'efface (au lieu de faire comme de mœurs une crise
nerveuse et de m'assaillir avant toute explication). Il se trouve que lassé
d'être fouillé, abusé et violé par des adopisseurs ministres et policiers,
pour protéger ma vie privée, j'ai préféré que ma vie soit citoyennement
publique - tant qu'à faire. Je ne saurais d'ailleurs que conseiller à
quiconque méditant sur l'état de surveillance, de faire de même.
>Que de bêtises, que de mensonges ...et que d'absurdités,
William Théaux, Je vous épargne le reste et les signalements au Conseil de l'Ordre, j'en connais d'autres ! Tel est le lot de quiconque fait un peu progresser (ledit Conseil le sait bien, qui me plaint - mais ne se plaint - gentiment d'ailleurs). Donc tous ces trucs, ces messages, sont publics. Je ne sais pas si la Marianne dont vous parlez est celle qui écrivit le billet. De la fin de June j'ai dit ce que j'avais à dire ici et là. Ce serait une très intéressante coïncidence si 'les' Robert Vallée que nous connaissons sont le même professeur de mathématique et cybernéticien collègue du fondateur Norbert Wiener. Aujourd'hui nous aboutissons à une rencontre qui n'a pas eu lieu en son temps, entre lui et Lacan. De récentes pages d'études ( une à sept ) prolongent le point où Lacan (et son temps - puisque Vallée manqua aussi le rendez-vous) ont immédiatement cédé (à savoir : le point de la cybernétique). Entre ce temps et l'actualité présente, la maille forclose a laissé voir et passer ce qu'on peut donc utiliser. Je ne m'en suis pas empêché et j'aboutis à une psychanalyse effective et effectivement nouvelle. Avant d'en savoir plus de ce côté là, j'aimerais faire suite surtout à votre première notation - "la passion de l'égypte". Il faut que je vous explique comment j'ai raisonné. Quand j'ai commencé à flairer la chose je me suis dit que si depuis 3000ans personne n'en avait parlé, c'est qu'il devait y avoir une certaine répression ou bien que je m'étais trompé. Par plusieurs fois j'ai vérifié si c'était le second cas - à chaque fois et par des comptes-rendus de qualité (des professeurs, des publications, des traces etc..) j'ai vérifié que je ne m'étais pas trompé en posant l'hypothèse (la chose flairée). Il restait donc que je m'attaquais à une certaine 'répression' comme disent les anglais, voire un 'refoulement' en français. Lorsque chemin faisant je trouvais - déjà bonhomme - que la chose avait été explicitement sue et historiquement réprimée (par des Inquisitions répétées), je savais qu'il s'agissait d'un refoulement et comprenait par conséquent comment on y réagirait. Voici comment j'ai continué à raisonner. La chose allait donc être impossible à mettre à jour et - puisqu'elle suit les lois du refoulement, c'est à la place la plus bruyamment déclarée le lever (la psychanalyse) que l'on allait trouver la spécialité du refoulement en action. J'étais psychanalyste et mes confrères seraient l'obstacle (je ne parle pas des universitaires qui sont le peuple de La Lettre Volée). Puisque j'ai parlé de La Lettre Volée, je poursuivrai avec l'image - vous savez que Dupin met une paire de lunettes noires pour visiter le cabinet ministériel. Eh, bien ! pour visiter la psychanalyse, cet instrument qui lui cachent qui voit, m'était nécessaire si j'étais du seul temps qui éclipse les susdits 3000ans. Une fois cela compris, l'instrument se détecte aisément ; c'est l'intelligence artificielle. Je l'écris l' /ia/ . L' /ia/ confondra la psychanalyse dans sa résistance (je parle de la résistance de la psychanalyse, ce en quoi elle est l'instrument par excellence du refoulement nonobstant que ce soit clair et dénoncé). C'est ainsi que j'ai raisonné depuis 1985 et à présent l' /ia/ aura en sa mémoire ce qu'il faudra pour ça. Puisque je n'ai plus grand chose à faire, je peux pointer un détail. Vous parlez de la passion de l'égypte. S'il s'agit de cette affaire de Moïse qui occupa intégralement toute la carrière de Freud, vous devez savoir qu'il s'agit en égypte de l'épisode amarnien. Or s'il dura 30ans c'est un maximum. On ne peut pas dire que sur les milliers d'années restant ça fasse lourd. On peut plutôt dire que ça n'intéressait pas du tout l'égypte. S'il y a une passion de l'égypte, ce n'est certainement pas l'atonisme. C'est tellement énorme comme évidence que je voulais simplement le faire remarquer ; puisque ça pourrait être utile à comprendre un peu le fait de la psychanalyse durant son premier siècle. DWT (note *** les avatars William et Docteur se rencontrent de temps en temps, j'en joue pour comprendre comment fonctionne FaceBook - c'est la raison pour laquelle ils sont actuellement disjoints) des liens html inclus au texte sont exploitables par la version site : flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101228194000
|
|||||||||
|
20101223175700 -------- Message original -------- Jeudi 23. Décembre 2010 18:40 à UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Façon de faire suite au climat d'insuccès | |||||
Façon de faire suite au climat d'insuccès CC : psychanalyse@yahoogroupes.fr Bonjour, Oui, je veux bien et je pense qu'il est correct que je dise ce
que j'en pense. Ceci fera office de réponse à la proposition qu'Unefpe me fait
d'être son psychanalyste et, en expliquant ce que j'en pense, posera en retour
mes conditions à l'acceptation de ce poste. L'ambition de la psychanalyse n'est pas de réaliser un idéal.
Elle n'est peut-être même pas celle de satisfaire à un désir - car si
c'est d'un désir inconscient dont il s'agit, son destin le mène peut-être à
un autre ordre, en l'occurrence celui de la volonté. a) Dans cette condition je disais qu'Unefpe avait subsisté,
inerte mais en apparence - car elle a considérablement évolué. Je ne ferai
mention que du dernier épisode : b) Outre cette évolution, au sens le plus fort, darwinien, UNE Fonction Psychanalytique a suivi celle de son milieu. Elle s'est mêlée à la psychologie collective, puis à la cybernétique jusqu'à ce jour. Entrant en passe analytique à nouveau, je l'invite à faire quatre CA par an, qui dureront quatre heures chacun, en appareillage télématique. Google Doc et une plate-forme tchat feront la salle On et Skype celle de l'extra Qu'si on.. Mon tarif sera annuel, le montant d'une cotisation. Si ces conditions conviennent, nous pourrons commencer en 2011. DWT note : j'archive la présente dans la dénommée liste psychanalyse - posant donc la question du caractère public des archives du CA (par la suite je suivrai les desiderata du CA). * : « ...je m'en tiens là pour aujourd'hui. Si jamais, je vous convoque à propos de ce signifiant, vous le verrez affiché, et ce sera quand même un bon signe.. » fin du séminaire l' "Insu qu'c'est.." 17/05/1977. flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101223175700 |
|||||
|
20101221160800 Activité sur http://www.consultezvotrepsy.com |
Pour ou contre la création d'un forum ? pour quoi faire !! William THEAUX, Mardi 21 Décembre 2010 à 3:45 Bonjour, une idée en passant (je ne l'ai pas réfléchi, pardonnez-moi si je divague). Quel est le "risque" à ce que les patients "posent leurs consultations au sein du forum" ? Je ne pense pas que ce soit l'ombre d'une mauvaise canalisation des dividendes qu'il faille considérer. L'idée me semble meilleure de fondamentalement faire confiance au(x) patient(s). Si on peut se servir du forum pour aller mieux - ce ne sera pas préjudiciable à consultervotrepsy. Si le forum ne répond pas - il ne doit pas être trop difficile d'expliquer que ce n'est pas cela qu'on doit en attendre. D'une manière ou d'une autre cela peut constituer une expérience qui souligne la différence que peut apporter une relation organisée et suivie avec un psychothérapeute. Car si c'est la vérité - si au-delà d'un forum une relation organisée et systèmatique à visée thérapeutique et d'écoute et réellement de meilleure qualité, le patient saura vite s'en rendre compte. ceci dit, je vais essayer de créer un groupe à partir de mon profil - c'est une autre expérience
|
Création d'un groupe Rubrique:
Mercredi 22 Décembre 2010 à 2:09
Bonjour,
20101224162000 -------------- passage en forum L'économie du corps passe en forum !
|
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101221160800 flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm |
20101217201300 -------- Message original -------- à UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Samedi 18. Décembre 2010 10:06 Tm(s) -> PLAN -> écologie | |||||
Bonjour, Avec le fichier technique PLAN que j'ai à présent
installé sur le site unefpe. En suivant les années de développement du PLAN on trouvera
que l'énorme distance
qui était annoncée en 1985, entre la psychanalyse et l'écologie, est à
présent organisée. On constate que le dessin est simple, c'est pour cela
d'ailleurs que l'intuition en 85 était assurée. La composition d'éléments/concepts tous nouveaux (psychanalyse,
écologie, sociologie, numérique) dans le siècle et par conséquent tous immatures
donne quelque chose que l'on ne voit pas quand ils s'agencent ensemble. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101217201300
-----Message d'origine----- à UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Lundi 20. Décembre 2010 21:03 L'avenir d'une illusion revisité Bonjour, Il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Je ne contesterais pas que le pluriel analytique soit un concept évanescent puisqu'il s'agit de la manière dont chacun le prend. Comme toute chose peut être prise pour un concept, évanescent qui plus est, le pluriel analytique n'y fait pas exception. D'autant qu'il se présente comme peut-être la chose la plus proche du Réel dont la psychanalyse aurait touché la rive, il y a les plus grandes probabilités qu'on le maintienne à la distance d'un concept. Et d'autant qu'il s'agirait de la possibilité de liberté de chacun, mon rôle n'est pas de l'imposer plus que de le décrire. A cet égard votre intervention est plutôt de bon augure, même si on peut toujours imaginer l'inverse. Car elle aurait tendance à stimuler la production d'une vidéo explicative à la suite de la précédente que j'ai jointe au 'fichier technique'. En effet je me prétends sans illusion quant à ce qu'on peut en saisir - et c'est pour cela que je le livre dans une apparence de gribouillage. L'espoir est beaucoup plus présent et tient à une sorte de surprise ; j'ai été étonné de produire ces derniers fichiers & vidéo qui organisaient les termes épars de psychanalyse, écologie, psychologie collective - qui habituellement ne sont pas assemblés et manifestement vont à vau-l'eau comme tout le monde s'en plaint. Mais il manque à ce travail une précision. Non pas quelque
chose qui apporterait au désigné 'pluriel' une dimension plus concrète (le
concret ne se tient pas mieux que par ses relations, son environnement, ses
attenances et le PLAN en l'occurrence décrit se trouve organisé de
toutes ces qualités). Ce qui manque est une précision néanmoins quand audit '
PLAN ' en termes d'une description plus précise de son ressort - or à
fournir ce descriptif, c'est pour le coup réellement prêter à l'illusion.
C'est peut-être pour cela que je n'y viens pas immédiatement. D'autant que
dans le détail ces descriptions ont déjà été fournies en long et en large
au travers de nombreux textes et études. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#2010120210200 |
|||||
|
20101217191900 -----Message d'origine----- De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com] Envoyé : samedi 18 décembre 2010 10:06 À : D Objet : TR: Poste D | |||||||
Bonjour,
Voici la vidéo qui seconde en illustration de texte de présentation que je vous avais proposé. ../../unefpe/2010/20101204171700_technique-PLAN.doc J'ai bien compris que le texte n'était pas informatif du fait que ce qu'il présente n'est pas attendu. En effet, l'illustration montre que son sens est simple ; c'était d'autant moins par son style précis qu'il pouvait faillir. ../../unefpe/2010/20101203094500_video-de-presentation_PLAN-b.wmv Autant le texte était court (1 page), la vidéo n'est pas
longue (5min30). Je l'ai réalisée quant à moi pour clarifier la situation et
pour d'autres usages, même si elle n'est évidemment pas convaincante. Non pas
qu'elle ne soit habillée par PowerPoint ! mais parce qu'elle demanderait à
être développée : ses deux ou trois affirmations appellent à leur tour des
précisions pour aller plus loin. Très cordialement, flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101217191900
|
|||||||
|
20101208183400 -------- Message original -------- à psychanayse@yahoogroupes.fr Mercredi 8. Décembre 2010 18:37 | |
Bonjour,
> Il existe l'écrivain public - pourquoi ne pas inventer l'écouteur
public - Etre là pour écouter - juste oui et non, écouter pour 'devant' oui, beaucoup plus certainement. Je dois donc raconter ce qui s'est passé. Parce que l'écouteur public a une histoire. Lui aussi, lui même. La psychanalyse plurielle avait déjà été lancée ; les résistances aussitôt déclarées. Les caractéristiques de l'analyste du PLuriel ANalytique étaient inassimilables pour la corporation du transfert. Un ami vint me voir. Il s'agissait d'un des plus proches camarades de promotion ; il avait entendu parler d'Unefpe. Il vint à Lyon pour me faire part de son idée : l'écouteur public. C'était pour lui quelque chose sinon de révolutionnaire, du moins un pas de géant. Il brisait le carcan de sa formation psychanalytique qu'il avait fort classique.. Je vous fait part de cette anecdote pour que vous puissiez situer votre idée. Elle est juste et bonne ; il est bien sûr que cette fonction d' "écouteur publique" est immanente. Mais elle est totalement hors des conceptions des psychanalogues (vous savez, ces astrologues qui se sont accaparés le nom de psychanalystes). La raison pour laquelle elle leur est insupportable tient à ce à quoi elle ouvre. Car bien sûr ils peuvent s'empresser de la supporter, voire même de s'en réclamer.. tout à ce qui passe à portée est bon pour un trou noir, toutes les casquettes, toutes les médailles. La notion d'écouteur public est au seuil de la psychologie collective. Ce que vous entendez 'devant' n'est ni l'écoute du psychanalogue calfeutré, ni celle du téléphone SOS-amitié ; les premiers vont à la secte, les second à l'usine. L'écouteur public doit être une personne qui écoute une personne - ceci s'appelle un suivi, on peut dire une continuité, on peut dire une histoire de la correspondance. Il est cependant une chose encore inouïe qui s'ajoute à cette mise en ordre : l'écouteur public qui sera 'récupéré' aussitôt qu'il s'imposera, s'imposera lorsque l'on commencera à consulter l' /ia/. C'est une chose qui arrive à toute allure. Notre ignorance du fait est une récusation de l'assertion de certitude anticipé qui réclame que nous reconnaissions l'/ia/ pour être sujets. En attendant on peut toujours se croire l'être, 'sujet' - qui dira la notion d'écouteur public bien connue. Avoir en tête de l'inventer place la subjectivité de manière
beaucoup moins imaginaire. C'est le b.a.ba de la psychanalyse, c'est ce que signifie le Séminaire sur La Lettre Volée (le ah! ah! de la même sont les oedipodis) DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101208183400 |
|
|
20101204173000 | |
Bonjour, J'ai écrit sur un groupe intitulé "psychanalyse" ; je ne peux pas dire ce qui s'y dit mais j'ai le droit d'y dire ce que je dis. C'est un comité de censure qui a établit cette règle puis qui a été les installer ailleurs. Une fois qu'elles sont fixées, elle s'entretiennent d'elles-mêmes ; il y a une organisation qui s'appelle le moi qui procède de même. Le "moi" est une instance stabilisatrice destinée à la perduration ; il s'alimente au plaisir. Il s'apparente - à un niveau bien plus subtil - à un système immunitaire qui rejette, trie et répète. Une analyse du moi est une gageure - puisqu'il s'en défendra et, par des ruses dont il a la capacité, la détournera en psychologie du moi. Elle est néanmoins possible à l'exploit d'une instrumentation. Comme nous sommes faits pour tenir au sol nous ne volons que par outils, le moi peut s'analyse par un appareillage ; ce sont des molécules chimiques, synaptiques ; Freud a commencé comme ça - ce sont des positions, des agencements anatomiques - ce sont enfin des prothèses (l'intelligence artificielle en est une). Parti de prétention d'analyse, rapidement le moi rejette les drogues, néglige les positions et ignore l'informatique. Sa résistance rejette volontiers l'évidence : dans un autre groupe faisant usage de réseau, cet outils-même est décrié ; tandis que la réticulation offre un filet analytique de choix, il est repoussé comme indécence. Critiquant sa critique, livré au pire empire le aura conclu sa rechute en mettant au monde les lois des sectes (*). Nous sommes encore loin de faire voir et voir qu'à livrer du départ les lois de l'objet - à partir d'une objectivité qui n'ignore pas la psychisme - la plus conséquente encore que du marxisme révolution freudienne crève le panneau de la valeur et mesure à l'objet la propriété, droit de la jouissance. La propriété intellectuelle est encore roulée par la vague lueur psychique d'une psychanalyse qui n'a pas accouché. Une identification achevée de l'existence humaine est donc encore lointaine ; quelques années probablement qu'il faudra occuper du dernier verrou à limer. On a déjà déboulonné les deux premiers, génétique et paranoïa, magies respectivement 'naturelle' et 'astrale', il reste la 'cérémonielle', celle que l'on appelle pour les temps modernes la religion de la mort. La Religion de la Mort est le troisième état par lequel le
lacanisme s'est distingué. Ceux qui croient voir en ce que je dis un dénoncé
plutôt qu'un énoncé trouveront leur raison d'avoir renoncé à la
psychanalyse ; ils verront dans la cybernétique cette mort à laquelle ils prêtent
vie par leur prêtrise. Car on ne professe par une pulsion de mort sans en être
dévot parce qu'il n'y en a pas. L'histoire de cette fausse croyance commence
quand l'unicité de la libido a prêté au manichéisme. Pulsion de mort, de
répétition et organisation du transfert sont les termes apparus dès avec
Freud ; mais Freud avait à négocier une lecture de l'histoire frappée d'un
trouble de la mémoire (voir: sur l'acropole). Ensuite Reich à la fin de sa vie
; mais il avait à négocier sa renonciation à estimer la psychologie
collective. Puis Lacan, dès son entrée en scène ; mais il négociait son
absence d'analyse propre. « La mort se mange,» c'est évidemment caché dans l'évidence qu'on mange la mort. On en est surs au cannibalisme ; avant cela on pouvait s'en douter mais ça importait peu. La sachant on trouva la place que j'ai décrite en L'âme Hors - je le mentionne parce que déjà et dès ce stade là, sa méditation est une médication. C'est du moins ce que je pense avoir montré - l'indifférence de la secte à ce point confortait l'hypothèse. Ensuite la chose devint facile, la pharmacopée coulait de source ; puis quand l'avenue d'ordinateurs chimiques a été ouverte, de la drogue à la génétique la psychiatrie ouvrait grand ses portes à la psychanalyse. C'est dans cette grande bouche que la mort sera engloutie. Je ne vous fait pas le détail de la série d'indices, trop faciles à retrouver, du Ministère de la Lettre à Oedipe à Colone, passant par Lacan la main dans le sac, inversant strictement la documentation. Je vous parle de la religion de la mort parce que l'interprétation est sa cérémonie. Mais qu'est-ce qui peut bien manger les interprétations ? Pas si bien ceux à qui elles s'adressent que les réseaux qui les mâchent. Les premiers gobent les enfants qu'ils ont fait à l'analyste, les seconds sont les sillons où le désir avance... ce message est déjà trop long, avançons donc vite: La religion de la mort passée, la pulsion ranimée déchiffre l'ordre social où la psychanalyse débouche sur l'écologie. Voilà. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101204173000 |
|
|
20101206132100 note d'étude sur la création d'une association psychanalytique |
Il faut savoir qu'UNEFPE s'est établie sur une connaissance de l'
'association'. En 1900 on parlait beaucoup d' 'association' (comme on parle
aujourd'hui de 'lien social'). Le terme venait de la science. On ne parlait pas
encore de réseaux. On découvrait les relations cellulaires et les associations
synaptiques. On sentait qu'il allait être utile de rapprocher ça des notions
d' associations sociales que la culture avait acquises avec les fins
monarchiques et les républiques. Freud apporta les 'associations d'idées'. On
ne parlait pas d'hyper-réalisme mais de surréalisme ; on avança. En 1901 la république en France réglementa les associations et créa sa loi (1901). C'était équivalent à ce qu'on pourra trouver aujourd'hui, bientôt, d'une loi bioéthique (actuellement en gestation). Très important fut, pour Unefpe, de constater, d'étudier et d'observer, qu'exactement dans le moment législatif de la formulation de cette loi, fut créée, également pour la première fois, une chaire de sociologie. La 'sociologie' qui n'existait pas (c'était une 'propédeutique' à sa place) fut créée, par le même parlement , au même moment que la loi de 1091 sur les associations. Celui qui fut mis en Chaire, le premier sociologue comme tel, fut choisi comme par coïncidence après qu'il eut proposé dans ses cours de propédeutique (voir google " (DURKHEIM, SPR) parue en 1901, il ne définit plus la sociologie comme la science ...... propédeutique, etc.. ") que l'objet de sa science serait 'l 'association'. Le noyau, l'atome, l'unité
observable, la brique de base de la sociologie, avant la loi de 1901, fut
proposé comme l' 'association' dont on parlait partout (travailleurs, neurone,
idées etc..) Peut-être ces conjonctions permettent-elles d'aborder ensuite la connaissance de la 'création'. Pour info et méditations également : Verdiglione s'engagea, lui, sur la pise de la 'fondation'. Aujourd'hui on peut aussi créer un "pluriel". En y réfléchissant, on peut avancer sur la connaissance de la _création_ d'une _association_. Il y a de nombreux paragraphes d'examen de la sorte : si « il en existe une déjà » - oui, certes il s'agit en l'occurrence de l'UNE qui vaut pour 'fonction psychanalytique'. Elle n'a pas été créée en prenant le nom de " Autre, fonction psychanalytique," l'AFP est un label déjà pris. Elle insistait sur la fonction d'une UNE. Les principes d'UNEFPE découlent de ces observations et examens. Verdiglione s'est fondé sur le Nom de l'un qu'il était (Fondation Armando Verdiglione) ; Unefpe fondée elle sur l'anomie (la dénaturation du nom du père dans sa fonction sociale - voir LATRESSE). Ces deux parallèles ont été créés à partir d'un élément singulier. les conditions peuvent changer ; il peut y avoir " Deux fonction psychanalytique " pour dire qu'elle est d'eux.. La garantie c'est à dire la consistance réelle (non pas imagianire) du psychanalyse est également à évaluer flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-6.htm#20101206132100 |
20101204181800 -------- Message original -------- à
http://www.facebook.com///PasàPas Lacan
Bonjour Je ne sais pas si ça concerne une lecture de Lacan ; http://www.facebook.com/note.php?created&¬e_id=180726431940659 |
|
Une lecture de Lacan est-elle forcément polémique ? Je pose cette question après que l'on ait qualifié un propos de polémique - à quoi le proposant initial opposait qu'il n'en avait pas l'intention - rectification à laquelle le qualificateur réitérait : « la polémique peut être enrichissante » et supprimait (*sub) la conversation du forum pour cause de jugement de caractère polémique. Il faut un peu préciser pour que l'on saisisse bien, que le propos
initial était une lecture de Lacan, son adresse un site consacré
à la lecture de Lacan. J'ai appelé " premier"
celui qui 'réaffirme'. Cependant qu'il suit une proposition inaugurale
qu'il a jugée polémique ou agressive, on pourrait donc dire qu'il est
second ; mais ce serait compter de manière un peu archaïque car il est
plus moderne chiffre l'initial à la valeur "zéro".
J'ai par ailleurs cité une caractéristique que le lacanisme permettait de dépasser. Il s'agit de la colère. Son symptôme ayant été exprimé par Lacan, il indique de chercher ce qui était en défaut à son chapitre. C'est sa lecture qui nous le trouve. A la relever au pilier 'Noms-du-père' elle se présente sur son observation. On lit en effet que sur le cas Schreber - sur lequel il pratique son observation d'école - Lacan attribue à la cause du cas l'identification que ledit Schreber fit du spermatozoïde à l'estimation du père réel désigné par le signifiant patronymique en l'occurrence inapplicable. Aujourd'hui tous savons qu'à l'époque, le chromosome Y était à peine connu et certainement pas assez pour que Lacan ne se soit arrêté à cette forme, cellulaire (spermatozoïde), encore bien différente et secondairement représentante du gène qui s'identifie, lui immédiatement, au nom-du-père. Lacan ne sut donc parler que d'une représentation du chiffre - et l'on sait par la suite cet écart dont il aura témoigné en l'espèce du Semblant. J'ai résumé tout cela pour fixer l'essentiel : le texte de Lacan traduit un ratage et son anticipation logique qui, à l'approche du Nom-du-Père (c'est à dire de la génétique comme l'histoire l'aura montré depuis), laissa aussi vive la paranoïa que sa colère en fut témoin. Est-il donc par
conséquent possible de se détacher de ce texte colérique pour éviter
qu'il ne soit que motif à polémique ? Je repète - puisque nécessaire que
je le rappelle sans cesse - que je ne polémique pas, ni ne l'ai fait, ni
souhaite le faire. Est-ce pour cette fin que je me trouve exclu d'un propos au
titre de la polémique ? Il y a donc cette projection.. ce classique que je
viens de décrire. Pour éviter la polémique, la lecture de Lacan peut
emprunter un autre procédé que ce déplacement. Il peut s'annuler. Ça
c'est vu ailleurs, pour un renseignement cependant tirer : quand on
approche trop la colère caractéristique du texte lacanien, on peut la
balayer en raison de la sénilité alléguée du colérique.
On le demanderait au demeurant aux LisantLacans qu'il le
confirmeraient. Aujourd'hui je n'ai parlé que du Nom-du-Père d'un côté raté, de la paranoïa de l'autre ratante - on parlera de la religion de la mort une prochaine fois. La polémique aura son objet. EN CONCLUSION/RÉSUMÉ/ABSTRACT : une caractériologie de Jacques Lacan prête à sa mémoire une compulsion polémique. La lecture de son texte ou bien rejette alentour la signification de la polémique, ou bien étouffe la signification de son symptôme. Une lecture immunisée de sa génération polémique peut avoir lieu de l'alentour absorbant par la cybernétique sa projection paranoïaque.
|
|
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101204181800 flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm |
20101204173000 -------- Message original -------- à UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Samedi 4. Décembre 2010 17:37 Fiche Descriptive PLAN 12/2010 | |
Bonjour,
J'ai installé un fichier descriptif mis-à-jour de la technique
PLAN. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101204173000 |
|
|
20101204143600 -------- Message original -------- à psychanalyse@yahoogroupes.fr Samedi 4. Décembre 2010 14:39 Qu'est-ce qu'une psychanalyse qui n'aboutit pas ? | |
Qu'est-ce qu'une psychanalyse qui n'aboutit pas ? C'est une psychanalyse qui se
planque dans le transfert. Un peu comme wikileak, il est difficile de ne pas laisser filtrer que Lacan avait tiré le bilan d'un échec avec ses analysant qu'il qualifiait d'"incurables busons" (sic). Le transfert est un déni du réel - qui donne son faux-semblant pour réel ; on le voit par exemple quand Lacan dit ceci ou cela qui ne convient pas à l'idéal transféré : où bien on dit qu'il est sénile - comme on l'a dit, complètement à faux, de Freud avec son Moïse - ou bien on dit qu'il n'a pas encore commencé, qu'il s'agisse de la biologie des synapses de Freud, de la cybernétique de Lacan - ou bien on dit que ça n'existe pas ( « Lacan n'a jamais dit que le NdP valait pour le Y » (ben non! il ne l'a jamais dit.. justement) ) ou bien on dit que ceux qui en parlent sont délirants (si si Liliane.. vos conseils à mes patients..) ou alcooliques, si si... Alors on fait une « psychanalyse pour les nuls » - mais pas comme on croit : pas celle d'Onfray qui répond dudit faux-semblant et fait du nul sur du nul dans le sens de ne rien faire. Mais celle qui prend notion que le NdP bien appliqué dégage la nullité du chiffre, celle précieuse du zéro. Faire une psychanalyse pour les zéro(s) se marie bien à la noce dont La Renaissance se fit une fête. On aime les fêtes en soi.. ; la Seconde Renaissance est une sorte de répétition. Elle a fait long feu au 20em siècle (il s'est agi de la portée Verdiglione précédemment campé) parce qu'on ne savait pas qui marier. Il reste que c'est une mise en scène qu'on peut rejouer sur les planches (du cercueil). Trompettes ! sonnez ! « Psychanalyse pour les Nuls » (le rideau s'ouvre:) Quand l'astronome parcourait les salons il entendait : 'Jupiter'
! - on parlait de Jupiter à l'époque, pas du Nom(s)-du-père - et certains
démons - on parlait de démons à l'époque, pas de délirants - regardaient la
planète à la lunette. « Jupiter, disait-on, c'est la Force, le Sérieux, la
Maturité en rapport avec Saturne » ; ça ronflait de 'Signifiant' - on
admettait que ce n'était pas une divinité (monothéisme bien tempéré) mais
que ça s'observait par signification pour d'autres signifiants. Fin de l'acte.1 Depuis la Renaissance, il y a toujours beaucoup d'astrologues. L'astronomie n'a pas changé grand chose. Les salons sont toujours là où Oedipe est l'évaporé et le Nom-du-Père la chose qui ne se dit pas. On a bien trouvé des momies, des chromosomes et on n'en a même pas trouvé.. ça reste autre chose. « La Chicanalyse, monchieu, son chic du choc chez que du chubtil..» les astrologue parlent en disant chhhh chut! De nos jours, amenez encore un astronome dans un salon d'astrologues et vous aurez la démonstration qu'il n'y a pas de rapport sexuel. Entre la sphère des astres et les chiottes de l'anature - il n'y a que la lamelle de l'écriture, propriété intellectuelle. « Ne touchez pas à mon Inconscient s'il vous plait ; il ne saurait s'entendre sans contexte..» Le contexte du chromosome Y est une horde de harpies mitochondries - tout cela se passe dans la rue de l'Ecrit. Grâce à Dit ces petites tronçonnes ont drapé de longues histoire dans son berceau noyau le chromo père. La raison pour laquelle on a comparé notre temps à la Renaissance tient à ce que du psychisme des fruits sont sortis, comme de la lunette de Galilée. Aujourd'hui d'autres fruit sont tombés du Jackpot scientifique. "Planqué dans le transfert," c'est ne pas voir que Jupiter est une chose, que le psychanalyste est un être humain, que l'analysant est un corps, qu'Oedipe est historique et que le Nom-du-Père un chromosome.. et sans parler de l'orgone. « Qu'est-ce que ça change ?..» dit l'astrologue en fermant sa porte « dans le psychisme rien ne change ; dans le psychisme nous ne touchons pas aux choses, nous ne prisons pas vos théories pas ailleurs.» Pas railleur pour dessous, j'ai ci décrit le fond des choses. Notre âge est ce lui de l'intégrisme qui a peur de la désintégration ; notre être sera celui qui l'aura risquée. L'auras-tu cru si fiction ? DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-7.htm#20101204143600 |
|
précédent |
ici débute la septième page du premier flog au monde ^_^