-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : lundi 22 octobre 2007 14:42
À : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Objet : Avatars persistants
extrait :
" Et si l'information la plus
cruciale n'était pas l'information génétique mais l'information
mediatique ? "
Oui, j'adhère
à votre question.
L' ADN est 'relativement' important parce qu'il, si on peut dire,
quasiment 'avant l'essence' . C'est la branche sur laquelle on se
trouve.
C'est pour cela que les disputes autour de l'ADN me semblent
'relativement' vaines - autrement dit : elles présentent moins
d'issue qu'une question dont on puisse se saisir.. comme celle que
vous notez : l'information médiatique.
L'information la plus cruciale est moins la génétique
que - dirait-on - la " médiatique " ,
dans la mesure où la première est de base et où
sur le seconde on peut agir mieux, ou plus librement : dans la
mesure où elle créée par la personne humaine et/ou sa
collectivité l'information médiatique est subjective
par rapport à l'ADN ; on peut désigner sa réalité de
virtuelle.
Je prend l'occasion de cette adhésion pour confirmer ou préciser
encore ma ' position ' concernant le chiffrage de
cette médiatique : l'information médiatique est
congruente à la codification des croyances et des attitudes
de la personne humaine. Il s'agit du comportement, dont la
codification est regroupée en divers registres, dont le plus élaboré
est titré DSM.
Dans mon mail précédent, j'ai introduit la valorisation que je
donne au DSM et l'usage auquel ma formation de psychiatre des années
70 le destine - à savoir une fonction d'assimilation de la vie
humaine au sein d'espaces artificiels, dits virtuels. Ce
mail fut l'occasion d'un lapsus qu'on m'a bien fait remarquer :
son analyse tendrait à dire que la cybernétique, sans une
application pratique du DSM pour introduire la vie humaine dans
l'intelligence artificielle, serait encore insuffisante.
Le DSM permettrait à la cybernétique
d'assimiler la vie - en permettant d'y introduire les avatars
persistants que j'ai donc décrits :
En tout état de cause cette page était nécessaire, dans
l'intendance de la commercialisation du kit Cyberon .
DWT
Historiquement, la question de la discrimination avec
l'ADN se pose progressivement et de façon plus accrue,
suite aux événements du 11/9, avec l'hypothése
officielle et médiatique que cet événement est dû à
Al quaïda.
Les étrangers d'origines arabo-islamiques deviennent
suspects, potentielement dangereux et il faut
alors les discriminer !
La question est de savoir si le formatage médiatique des
consciences mondiales correspond à la réalité.
En 1939 Wells raconta, avec beaucoup de réalisme, à
la radio américaine, une fiction sur l'arrivée des
extra-terrestres.
Il créa une veritable panique chez les auditeurs,
des milliers de personnes allérent dans les rues et les
campagnes, certaines se retrouvérent à l'hôpital !
Et si l'information la plus cruciale
n'était pas l'information génétique mais l'information
mediatique ?
(Cf l'incendie du Reichtag en 1933)
L.M.
|
-----Message
d'origine-----
De : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr [mailto:UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr]De
la part de ATN
Envoyé : lundi 22 octobre 2007 00:43
À : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Objet : RE: [UNEFPE_MEMBRES] Un code plus crucial que
l'ADN
Plus
bas, J’ai vu jaune.
Las
des haines : et si l’avant en place d’avec était plus
crucial ?
Car
à bien comprendre, avant, l’avec et sans lapsus c’est sans
fondement psychique. Ils pensent donc je suis, bêtement quelques
fois même, en masse. A vous relire, avec l’avant, l’histoire,
celle du sujet, prend le temps. Oui, ça prend du temps aussi,
même si l’on dit si dense, le dissident nous dit, nous indique le
pouvoir et nous prévient à mort.
Comme
un lapsus, je jaunie, sous l’effet de la lumière, de l’âge
dirait le temps, à l’ombre des vivants. Est-ce à dire que
le DSM ou la psychopathologie, grâce aux absences et aux
manques matérialisés par le virtuel de la cybernétique, pourrait
enfin nous outiller à penser le vivant. Sortir les psys du pathos
et du morbide, là est la révolution. Il est interdit,
d’interdire l’interdit : tout ça pour dire.
Semblant
de psy signe d’ATN
À :
unefpe_membres
Objet : [UNEFPE_MEMBRES] Un code plus crucial que
l'ADN
Je réponds ici à ce mail-perso ci-dessous parcequ'il
correspond à un domaine que j'aborde ou - plus précisément
- parce que je me positionne, dernièrement,
à partir d'éléments qui y sont liés.
D'abord en général, je me tiens à la déclaration de la
libre circulations des êtres humains et des idées.
Les variations et les écarts par rapport à ce principe
sont, selon moi, toujours une dégradation ou cachent
quelque chose.
Evidemment, tenir à des idée simples et pures prête à
l'accusation de négligence et/ou de silence. Il est donc
rare qu'on évite de se compromette.
Par bonheur je puis néanmoins répondre
sans en dire plus - parce que je me positionne - par
ailleurs - d'une manière bien plus conséquente qu'une
soumission.
L'ADN est un code, objectif et naturel. Il donne et donnera lieu
à des tats de disputes - parce qu'il faut bien trouver un
endroit pour placer notre malaise déplacé. La terre, les surfaces
de la terre, par exemple sont objectives et naturelles
(géographie) - elles ont donné lieu à d'excellents
placements de disputes. Le malaise qui jette ses ombres - ou
plutôt la pellicule qui projette ses volutes sur ces écrans,
est une construction qui n'est ni objective ni naturelle.
Pour me faire comprendre, je citerai le code
civil, qui n'est ni objectif ni naturel - il est subjectif
et artificiel.
La psychanalyse permet de distinguer ces choses en
identifiant la solution de continuité qui les sépare - et
qui s'appelle le moi ou que l'on nomme
'semblant'. Puisque j'ai choisi l'exemple du Code Civil, il
permet par contraste de cerner par approche : l'étiquette,
les codes de bonnes conduites.. ceci nous menant au degré
bien plus élevé qui part du code civil, à savoir les
codes comportementaux.
Entre le CC du Code Civil et le CC du Code
Comportemental, il y a tout le progrès qui, de la République
- la res publica
- la chose commune, aboutit à la Démocratie
où l'individu émerge de l'en-commun. La liberté ne se
chiffre pas tant au code civil qu'au comportement. Cette réflexion
que je veux brève, peut être suffisante à désigner ma
position :
Il y a trente ans, je me suis instruit à des observations
psychiatriques et à des descriptions qui ont passé - et
qui sont aujourd'hui remplacées par une technique de
codification que l'on appelle DSM. Le DSM assure une
codification des comportements anormaux. Par une sorte de
soustraction, il permet une certaine évaluation du normal -
mais ce n'est pas cette évaluation qui est à son principe
recherchée. Ma position est celle d'un soutient à
l'endroit du DSM. - je vais la préciser à l'instant ;
avant cela je puis répondre, sans me compromettre, au
message ci-dessous.
Pouvons-nous nous défendre du racisme - voire
éventuellement de l'ADN ainsi que de tout ce qu'on a fait, en
fait et fera, et accepter que l'on range ma vie au
chiffre du DSM ?
Une réponse à cette question est nécessaire pour se
positionner quant à la première.
Je puis fournir à ce propos la contribution
que je dois :
Ma position de soutient du DSM s'appuie sur la fonction de
la mort dans l'existence. Nous pouvons certainement établir
cette fonction à partir du moment où nous avons établi sa
virtualité : la mort, dans l'existence, est virtuelle. Le
DSM, voire le nec- plus ultra du CC (sus-dit), est une
entreprise qui tend à établir le chiffre des fantômes que
nous appelons les avatars succédant aux personnes
physiques, vivantes. Pour le dire en raccourci - ce qu'on
demande dans une position - la psychiatrie du DSM est une
psychiatrie de morts ; elle est juste et nécessaire et
bienvenue.
C'est une position qui n'était pas tenable avec
la cybernétique - et en deux mots : " Second Life
" (ou apparenté) . C'était une position sans
fondement. A partir du moment où l'objectivité et le
naturel de la cybernétique sont acquis, elle peut être
tenue.
C'est ainsi que l'on peut trouver - par une
sorte de soustraction, le normal, le vivant ou la santé ;
on peut ainsi retrouver ce qu'on appelle quelque fois une
singularité. Une singularité française ou latine.. je ne
sais.. là nous touchons au domaine de l'historien ; mais en
tous cas, sur notre propos, un humanisme et une psychiatrie
qui soient intègres. Disons : la psychiatrie du vivant
revient à l'histoire.
-----Message
d'origine---
--
De :
Envoyé : dimanche 21 octobre 2007 04:36
À : wtheaux@club-
internet.
fr
Objet : Test ADN : un acharnement méprisant.
//..//
JE SOUHAITERAI QUE
VOUS PRENIEZ POSITION SUR CECI :
(merci de vos
commentaires)
> Message du 16/10/07 13:14
> De : "MRAP-Secrétariat de Direction"
> A : communiques@
lists.mrap.
fr
> Copie à :
> Objet : Test ADN : un acharnement méprisant.
>
> Test ADN : un acharnement méprisant.
>
> Malgré une vaste mobilisation citoyenne, la
condamnation sans appel des
> autorités morales, politiques, associatives,
religieuses, le
> gouvernement persiste et signe dans son obstination à
criminaliser le
> droit fondamental de vivre en famille. En maintenant
l’infamant et
> humiliant amendement discriminatoire ADN, en
biologisant le droit, le
> gouvernement manifeste son mépris face aux valeurs républicaines,
à
> l’expression de l’indignation massive, et fait
preuve d’autisme politique.
>
> Le vote de la loi sur la maîtrise de l’immigration,
assortie de cet
> amendement dangereux restera comme une tache dans la série
des
> violations des droits et des libertés fondamentaux en
France.
>
> Aussi, le MRAP, qui espère la saisine du Conseil
constitutionnel,
> appelle à une riposte déterminée à la hauteur de
cet affront en
> participant massivement à la journée de mobilisation
nationale du 20
> octobre 2007 (départ Belleville à 14h30).
>
> Paris, 16 octobre 2007.
>
> --
> Message transmis
> Secrétariat de Direction
> Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les
Peuples
> 43 bd Magenta - 75010 Paris |
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Bonjour,
Votre dernier message - sur un autre ordin ; j'y réponds de mémoire
avant d'y revenir probablement.
Cette question de l'absurde..
Si
les UCMPPs ont l'ambition de soutenir quelque chose de l'existence
ou de la vie - et de prolonger quelque chose à la mesure de
considérables modifications que le monde entreprend, ces UCMPPs
soutiennent nécessairement des données que l'on rangeait à la
philo précédemment. D'où l'absurde. L'absurde est une dimension
essentielle. En pratique, l'absurde n'est pas ce qui prime dans un
système commercial, dans un système gagnant ou un système
politique. Pourtant, s'il y a quelque chose d'absurde dans un
UCMPP, c'est bon signe - qu'il s'agisse d'un UCMPP du vivant, ou
pour la mort.
A l'occasion si vous trouvez une des dernières conférence -
sinon la dernière - de S.Dali - quand il quitte le surréalisme
et aborde l'hyperréalisme - copiez-la.. j'aimerai la revoir.
J'espère que vous allez au cube
L'approche
du DSM me paraît à présent très importante. J'approfondirai
cela. Mes relations psy de Paris ne sont pas des pratiquants DSM,
et j'en ai peu. Peut-être sur l'annuaire un dénommé ...
dans
pages jaunes :
B. //..//
prévenez-moi
avant, si vous pensez le contacter
à
bientôt,
DWT
Une réponse, malheureusement encore trop rapide.
je ne suis pas d'accord avec vous lorsque vous dites que
plonger les ucmpps dans le vivant serait absurde.
Les ucmpps ont une fonction de paliatif de l'absence. Morte
ou vivante.
Bien sur la position du créateur de l'umpp et l'impact que
ce dernier aura sur lui (et vice versa), sera bien différente
selon que l'ucmpp soit opérationnel immédiatement
uniquement immédiatement et post mortem ou uniquement post
mortem, et ce sont des points qui méritent sans doute de
s'arrêter un peu.
Mais personnellement, je ne vois pas en quoi il est
important de conserver une position post mortem. les ucmpps
sont déjà multi facettes et multi fonctionnel d'une
certaine façon, et ne méritent pas d'être cloisonné au
post mortem je pense.
Je repars ce soir qq jour (eh oui début d'années
franchement chaotique), et devrais me stabiliser un peu en
milieu de semaine prochaine, moment auquel j'aurais également
une réponse définitive en ce qui concerne mon intégration
du cube.
Bon week end,
mex.
PS : En effet il me serait intéressant de parcourir un DMS.
Connaissez vous un psychiatre sur paris, chez qui vous
pourriez éventuellement m'envoyer afin que j'en consulte un
?
Bonjour,
je réponds à votre mail ci-dessous, par un petit
commentaire et une page qui s'y trouve liée.
La piste laboratoires comme Cube est
excellente. Vous remarquerez que pour ma part si
je réponds critique ou prudent - c'est pour
tenir à ma fonction de traiter le projet à
partir de degrés pyschologiques éventuellement
très abstraits mais en fin de compte - puisque
s'agissant de santé mentale - plutôt politiques.
La psychanalyse, qui est ma perspective, engage la
politique à partir de zones à peine traduites :
nos présidents ne parlent pas de clones ni d'ia ;
ils laissent éventuellement cela à des secrétaires
d'Etat excentriques. Pourtant il s'agit des véritables
choses importantes ; leur soin est remise à
la psychanalyse - que l'Etat a toujours évité d'accadémifier,
diplomer.. car elle est de la politique.
bon! .. je souligne en vert les points que je
ressors de votre texte - et je place mon
commentaire en dessous :
//..//
penseés..
:
Un petit tour d'alambique de l'alchimiste psy, là
où MEX écrit :
en y réfléchissant,
il m'apparaît comme absurde finalement
de garder une position post mortem
bien
d'accord, bien d'accord.. ! en
ajoutant cette petite pincée de poudre
philosophique du flacon de la mort : à savoir
l'absurde.
En d'autres termes c'est précisément
inhérent à l'ucmpp de baigner
dans.. ce qu'on appelle ou appelait l'absurde.
Cette apparition qui surgit à la réflexion de
MEX n'est pas forte à changer la position
traditionnelle : la mort
nourrit dans l'existence humaine l'absurde - il
est possible que tout l'absurde vienne de là - et
du coup, il faut se méfier que ce ne soit pas
de plonger l'ucmpp dans le vivant qui soit
absurde ! puisqu'il perdrait ce qui le nourrit.
Nous sommes là dans un nœud complexe et il me
semble qu'il tienne à la théorie de l'évolution,
comme je m'en explique dans la page où je réponds
:
http://www.lasainteethique.org/psybakh/2007/htm/20070928094300_quest-usager.htm
Il s'agit
de la réponse que je donne aux troisièmes
questions. Sur celle question que
MEX soulève la page se termine ainsi,
avec la phrase suivante :
Si ce point doit être débattu plus avant il
faudra introduire le facteur que constitue
actuellement le DSM psychiatrique...
... phrase que je
continue ici :
le DSM
psychiatrique.. qui offre un échantillon extrêmement
développé de ce que MEX décrit (interface) -
et qui fait pressentir à quel point l'ia peut
être actuellement proche de
comprendre de façon satisfaisante les traces écrites
dites PPH . Je ne sais pas si MEX
peut consulter un DSM - elle peut le faire au coût
d'une consultation psychiatrique remboursée si
elle trouve un psychiatre conciliant - sinon, je
puis lui poster le mien - mais au poids de ses
1000 grosses pages les frais aller-retour seront
importants. Il serait bien d'une manière ou
d'une autre qu'elle en prenne connaissance ;
elle peut aussi le trouver dans une librairie spécialisée
(médicale) ou dans une bibliothèque - il doit
être possible aussi de le trouver sur web
mais.. pirate - la santé et le fric n'étant
pas étrangers.
Évidemment ce sont des critères
psychiatriques et on rencontrerait les problèmes
que Lacan rencontra quand il déclara que la
fondation de la personnalité humaine était
folle, si nous faisions des avatars à partir du
DSM, l'académie ne s'y retrouverait pas. Mais
disons que.. ça pourrait aider, en tournant la
donne à l'envers, à faire des ucmpps
activement sains d'esprit. Le DSM est
certainement un outil potentiel de très grande
qualité à considérer.
Bonjour,
Suite à un long entretien (deux bonnes
heures) avec F A , - qui est notamment
co-fondateur du cube et commissaire du
festival 1er contact, et que je vais peut être
donc assister cette année (réponse au plus
tard lundi) -, dans lequel nous avons
notamment discuté du projet ucmpp, il s'est
dégagé deux questions assez intéressantes,
et finalement assez évidentes :
- Pourquoi les ucmpps devraient-ils être
des acteurs post-mortem ? Pourquoi devoir préserver
un patrimoine (celui sur la clé usb), alors
qu'ils pourraient déjà être utilisable et
évoluables dès la conception de l'ucmpp ?
- Pourquoi ne pas déjà essayer avec
les technologies actuelles de réaliser de véritables
ucmpps, comme cyberons embryonnaires ?
Bien la première réponse est
technologiques, mais il semblerait que les
contraintes technologiques ne sont plus
insurmontables.
Pour le premier point, en y réfléchissant,
il m'apparait comme absurde finalement de
garder une position post mortem. Et cela ne
remet rien en cause le principe de
gardiennage de la société cyberontime.
Disons qu'en terme de viabilité il faut
peut être rapidement qu'elle se concentre
sur des services d'accompagnement et d'aide
à la création.
Cette réflexion n'apporte rien de
fondamentalement nouveau, mais souligne
selon moi la nécéssité de mettre en
oeuvre rapidement une expérimentation concrète
et non virtuelle d'un ucmpp.
Bien sur, nous ne pouvons pas dès
aujourd'hui compter sur une ia capable
d'analyser et de comprendre de façon
satisfaisante les traces écrites dites PPH.
Petite parenthèse : cela ne change en rien,
mes recherches sur une interface,
puisqu'elle se situe non pas vers une aide
au découpage pour l'intelligence
artificielle, mais plutôt pour
l'utilisateur.
En revanche, ce qui peut être fait
aujourd'hui, en collaboration avec un des
premiers constructeur d'ucmpp (qui peut être
maj, si elle a le temps et l'énergie de
s'investir, ou moi même ou qq'un d'autre,
voir plusieurs personnes), est d'expérimenter
une traduction
des PPHs réalisés à un organisme
artificiel intelligent (voir en concevoir un
spécifique pour cela).
Lors de notre discussion d'un ton finalement
collégial, F.A. m'a informé qu'un tel
projet pouvait éventuellement être mené
dans ses ateliers de création (au cube) ou intéresser
divers laboratoires parisiens.
Bien entendu, cela ne signifie pas que
"c'est comme fait", mais disons,
qu'il me semble que c'est une bonne piste
qui se dessine.
Qu'en pensez vous ?
Mex.
|
Bonjour,
Je vous réponds brièvement de façon un
peu bric à brac, car je me retrouve étranglée
par un début d'année commençant sur les
chapeaux de roues.
D'abord il y a un lien que vous devriez
visiter. Si je suis prise au cube (j'aurai
la réponse sans doute en début de
semaine prochaine), je serai certainement
en contact direct avec eux, et le projet
ucmpps peut directement les intéresser
(et inversement) :
http://metalab3d.blogspot.com/2007/06/metalab-3d-du-blog-de-veille-au-projet.html
Pour ce qui est de votre demande pour un
informaticien, je n'en ai pas en tête de
disponible actuellement pour cela, mais
vais me renseigner autour de moi.
Pour ce qui est du deuxième versement du
divan, n'avions pas convenu un prix entre
7000 et 10000 l$ ?
Pour ce qui est de la conception du
premier UCMPPs, où en est il ?
Pourrais-je suivre ses étapes de
conception ?
Pour ce qui concerne mon adhésion ou non
à psybakh, personnelement j'en ai le désir,
d'autant que j'aimerai aussi avoir la
possibilité d'interagir éventuellement
avec les autres membres. J'aimerai également
réaliser un ucmpps, mais pour deux
raisons je préfère attendre : je n'ai
pas l'argent, et je souhaite prendre le
temps de bien réfléchir à comment
l'aborder. Pour ce qui est des frais d'adhésions
à psybakh, je n'ai rien à redire à
cela, en revanche étant coincée budgétairement,
je voulais savoir s'il n'était pas
possible en mon cas, de faire un échange
de service à définir afin d'obtenir une
adhésion ?
Pour une suite de réflexion sur une
interface PPH, à y songer, je trouve la
première proposition trop lourde. Voici
donc une seconde proposition (non mise en
forme, par manque de temps…).
Séparer 4 types de PPH en onglets dans
lequel l’utilisateur pourra facilement
naviguer.
<!--[if !supportLists]-->-
<!--[endif]-->un
onglet ARCHIVES
<!--[if !supportLists]-->-
<!--[endif]-->un
onglet MEMOIRES
<!--[if !supportLists]-->-
<!--[endif]-->un
onglet TESTAMENT
<!--[if !supportLists]-->-
<!--[endif]-->un
onglet CARACTERISTIQUES
puis :
<!--[if !supportLists]-->-
<!--[endif]-->un
onglet LISTE
<!--[if !supportLists]-->-
<!--[endif]-->un
onglet AIDE
Le premier onglet est un espace permettant
d’indexer les archives administratives.
Le second, les mémoires de
l’utilisateurs.
Le troisième, les dernières volontés et
éventuellement des missions que
l’utilisateurs souhaitera donner à son
cyberon.
Le quatrième permettra éventuellement de
donner des traits de caractères ou types
d’attitudes au cyberon.
Le cinquième est une liste pratique des
données déjà indexées.
Le sixième est un centre d’aide pour
les utilisateurs.
Chaque interface (dans chaque onglet) sera
très simple. Titre, éventuellement durée
ou période (pour les mémoires et
testaments) puis le texte. En revanche
chaque interface devra posséder une
option approfondissement pour ceux et
celles qui souhaiteront détailler et
caractériser leurs PPHs en parties ou en
entier. J’ai déjà une idée assez précise
de ce à quoi pourrai ressembler cette
interface et le détail des ses options
d’approfondissements, mais je ne pourrai
malheureusement sans doute pas les mettre
en forme dans les prochains jours.
Je vous en ferai part dès que possible.
A très bientôt,
Mex.
Ps : merci pour le lien de la nuit
blanche...
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