Le DSM-Avatar Projet

Littérature Grise

 

Vers la blanche

 

Convention couleur :

DWT
LM
ATN
MEX dite bbb

 

Ici la source du positionnement qui situe le DSM à l'interface d'une Unité Cyberntique de Mémoire de Personne Physique ; deux éléments correspondance associative :

A) une chaîne-de-correspondances à partir d'une requête - demandant que je me positionne sur une question de gestion politique de l'ADN :

5 ) La requête - partant d'une association du traitement de l'ADN avec le racisme

4 ) Réponse positionnement resituant les opinions raciste comme déplacement de l'industrie du code*

3 ) Un lapsus relevé dans la réponse

2 ) Une variation de la réponse** - ou de la question - y situant l'industrie médiatique

1 ) La totalisation*** des indices

notes :
* : où DWT introduis un positionnement du DSM vis à vis des avatars persistants
** : où il n'est pas sans intérêt de relever qu'Al Qaida signifie La Base dans le sens de Le Code
*** : où la totalisation inspire le fait que la cybernétique lacanienne était encore insuffisante à défaut de la réalité de la réalité virtuelle.

 

B) une chaîne-de-correspondance appliquée à la construction d'une interface "intelligence artificielle & avatars" - et au cours de laquelle construction se dégage l'observation que le DMS y pourvoit mieux que tout autre registre de code actuel.

10 ) Une avancée de la définition du code-interface organique des UCMPPs *

9 ) Un doute ouvert dans l'avancée

8 ) Réponse** sur le doute de l'avancée et introduction du DSM en concurrence interface

7 ) Réitération et soutient de l'UCMPP in situ ou in vivo ou (autre terminologie psy : in praesentia

6 ) Répétition et soutient - la philosophie soutenant les deux position, praesentia et in abstentia des UCMPP***

notes :
* : ces avancées continuent leur série de projets prototypes et théoriques.
** : un principe d'évolution répond aux doutes ouverts par les avancées - en place et occupant telle brèche : la cybernétique (LAPAREIL ou le code, DSM par exemple) voir fig10 ' c '  lien ebook / alternatif
*** : avec le principe d'évolution la construction d'un UCMPP de son vivant est logiquement combiné à sa situation post-mortem ontologique.

 

 

 

Littérature Grise de cette page :

 

 

-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : lundi 22 octobre 2007 14:42
À : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Objet : Avatars persistants

 

extrait : " Et si l'information la plus cruciale n'était pas l'information génétique mais l'information mediatique ? "
 
Oui, j'adhère à votre question.
 
   L' ADN est 'relativement' important parce qu'il, si on peut dire, quasiment 'avant l'essence' . C'est la branche sur laquelle on se trouve.
   C'est pour cela que les disputes autour de l'ADN me semblent 'relativement' vaines - autrement dit : elles présentent moins d'issue qu'une question dont on puisse se saisir.. comme celle que vous notez : l'information médiatique.
   L'information la plus cruciale est moins la génétique que - dirait-on - la " médiatique " , dans la mesure où la première est de base et où sur le seconde on peut agir mieux, ou plus librement : dans la mesure où elle créée par la personne humaine et/ou sa collectivité l'information médiatique est subjective par rapport à l'ADN ; on peut désigner sa réalité de virtuelle.
 
   Je prend l'occasion de cette adhésion pour confirmer ou préciser encore ma ' position ' concernant le chiffrage de cette médiatique : l'information médiatique est congruente à la codification des croyances et des attitudes de la personne humaine. Il s'agit du comportement, dont la codification est regroupée en divers registres, dont le plus élaboré est titré DSM.
 
   Dans mon mail précédent, j'ai introduit la valorisation que je donne au DSM et l'usage auquel ma formation de psychiatre des années 70 le destine - à savoir une fonction d'assimilation de la vie humaine au sein d'espaces artificiels, dits virtuels. Ce mail fut l'occasion d'un lapsus qu'on m'a bien fait remarquer : son analyse tendrait à dire que la cybernétique, sans une application pratique du DSM pour introduire la vie humaine dans l'intelligence artificielle, serait encore insuffisante.
   Le DSM permettrait à la cybernétique d'assimiler la vie - en permettant d'y introduire les avatars persistants que j'ai donc décrits :
 
   En tout état de cause cette page était nécessaire, dans l'intendance de la commercialisation du kit Cyberon .
 
DWT
 
-----Message d'origine-----
De : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr [mailto:UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr]De la part de psychologue.com
Envoyé : lundi 22 octobre 2007 07:05
À : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Objet : RE: [UNEFPE_MEMBRES] Un code plus crucial que l'ADN


Historiquement, la question de la discrimination avec l'ADN se pose progressivement et de façon plus accrue, suite aux événements du 11/9, avec l'hypothése officielle et médiatique que cet événement est dû à Al quaïda.
Les étrangers d'origines arabo-islamiques deviennent suspects, potentielement dangereux et il faut alors les discriminer !
 
La question est de savoir si le formatage médiatique des consciences mondiales correspond à la réalité.
 
En 1939 Wells raconta, avec beaucoup de réalisme, à la radio américaine, une fiction sur l'arrivée des extra-terrestres.
Il créa une veritable panique chez les auditeurs, des milliers de personnes allérent dans les rues et les campagnes, certaines se retrouvérent à l'hôpital !
 
Et si l'information la plus cruciale n'était pas l'information génétique mais l'information mediatique ?
 
(Cf l'incendie du Reichtag en 1933)
                                                                   L.M.

-----Message d'origine-----
De : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr [mailto:UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr]De la part de ATN
Envoyé : lundi 22 octobre 2007 00:43
À : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Objet : RE: [UNEFPE_MEMBRES] Un code plus crucial que l'ADN

 

 

Plus bas, J’ai vu jaune.

Las des haines : et si l’avant en place d’avec était plus crucial ?

Car à bien comprendre, avant, l’avec et sans lapsus c’est sans fondement psychique. Ils pensent donc je suis, bêtement quelques fois même, en masse. A vous relire, avec l’avant, l’histoire, celle du sujet, prend le temps. Oui, ça prend du temps aussi,  même si l’on dit si dense, le dissident nous dit, nous indique le pouvoir et nous prévient à mort.  

Comme un lapsus, je jaunie, sous l’effet de la lumière, de l’âge dirait le temps, à l’ombre des vivants.  Est-ce à dire que le DSM ou la psychopathologie, grâce  aux absences et aux manques matérialisés par le virtuel de la cybernétique, pourrait enfin nous outiller à penser le vivant. Sortir les psys du pathos et du morbide, là est la révolution. Il est interdit, d’interdire l’interdit : tout ça pour dire.

Semblant de psy signe d’ATN

À : unefpe_membres
Objet : [UNEFPE_MEMBRES] Un code plus crucial que l'ADN



Bj,

   Je réponds ici à ce mail-perso ci-dessous parcequ'il correspond à un domaine que j'aborde ou - plus précisément - parce que je me positionne, dernièrement, à partir d'éléments qui y sont liés.

   D'abord en général, je me tiens à la déclaration de la libre circulations des êtres humains et des idées. Les variations et les écarts par rapport à ce principe sont, selon moi, toujours une dégradation ou cachent quelque chose.

   Evidemment, tenir à des idée simples et pures prête à l'accusation de négligence et/ou de silence. Il est donc rare qu'on évite de se compromette.
   Par bonheur je puis néanmoins répondre sans en dire plus - parce que je me positionne - par ailleurs - d'une manière bien plus conséquente qu'une soumission.

   L'ADN est un code, objectif et naturel. Il donne et donnera lieu à des tats de disputes - parce qu'il faut bien trouver un endroit pour placer notre malaise déplacé. La terre, les surfaces de la terre, par exemple sont objectives et naturelles (géographie) - elles ont donné lieu à d'excellents placements de disputes. Le malaise qui jette ses ombres - ou plutôt la pellicule qui projette ses volutes sur ces écrans, est une construction qui n'est ni objective ni naturelle.
   Pour me faire comprendre, je citerai le code civil, qui n'est ni objectif ni naturel - il est subjectif et artificiel.

   La psychanalyse permet de distinguer ces choses en identifiant la solution de continuité qui les sépare - et qui s'appelle le moi ou que l'on nomme 'semblant'. Puisque j'ai choisi l'exemple du Code Civil, il permet par contraste de cerner par approche : l'étiquette, les codes de bonnes conduites.. ceci nous menant au degré bien plus élevé qui part du code civil, à savoir les codes comportementaux.
   Entre le CC du Code Civil et le CC du Code Comportemental, il y a tout le progrès qui, de la République - la res publica - la chose commune, aboutit à la Démocratie où l'individu émerge de l'en-commun. La liberté ne se chiffre pas tant au code civil qu'au comportement. Cette réflexion que je veux brève, peut être suffisante à désigner ma position :

   Il y a trente ans, je me suis instruit à des observations psychiatriques et à des descriptions qui ont passé - et qui sont aujourd'hui remplacées par une technique de codification que l'on appelle DSM. Le DSM assure une codification des comportements anormaux. Par une sorte de soustraction, il permet une certaine évaluation du normal - mais ce n'est pas cette évaluation qui est à son principe recherchée. Ma position est celle d'un soutient à l'endroit du DSM. - je vais la préciser à l'instant ; avant cela je puis répondre, sans me compromettre, au message ci-dessous.
   Pouvons-nous nous défendre du racisme - voire éventuellement de l'ADN ainsi que de tout ce qu'on a fait, en fait et fera, et accepter que l'on range ma vie au chiffre du DSM ?

   Une réponse à cette question est nécessaire pour se positionner quant à la première.
   Je puis fournir à ce propos la contribution que je dois :

   Ma position de soutient du DSM s'appuie sur la fonction de la mort dans l'existence. Nous pouvons certainement établir cette fonction à partir du moment où nous avons établi sa virtualité : la mort, dans l'existence, est virtuelle. Le DSM, voire le nec- plus ultra du CC (sus-dit), est une entreprise qui tend à établir le chiffre des fantômes que nous appelons les avatars succédant aux personnes physiques, vivantes. Pour le dire en raccourci - ce qu'on demande dans une position - la psychiatrie du DSM est une psychiatrie de morts ; elle est juste et nécessaire et bienvenue.
   C'est une position qui n'était pas tenable avec la cybernétique - et en deux mots : " Second Life " (ou apparenté) . C'était une position sans fondement. A partir du moment où l'objectivité et le naturel de la cybernétique sont acquis, elle peut être tenue.
   C'est ainsi que l'on peut trouver - par une sorte de soustraction, le normal, le vivant ou la santé ; on peut ainsi retrouver ce qu'on appelle quelque fois une singularité. Une singularité française ou latine.. je ne sais.. là nous touchons au domaine de l'historien ; mais en tous cas, sur notre propos, un humanisme et une psychiatrie qui soient intègres. Disons : la psychiatrie du vivant revient à l'histoire.

DWT

 

-----Message d'origine--- --
De :
Envoyé : dimanche 21 octobre 2007 04:36
À : wtheaux@club- internet. fr
Objet : Test ADN : un acharnement méprisant.

//..// 

JE SOUHAITERAI QUE VOUS PRENIEZ POSITION SUR CECI :

(merci de vos commentaires)

> Message du 16/10/07 13:14
> De : "MRAP-Secrétariat de Direction"
> A : communiques@ lists.mrap. fr
> Copie à :
> Objet : Test ADN : un acharnement méprisant.
>
> Test ADN : un acharnement méprisant.
>
> Malgré une vaste mobilisation citoyenne, la condamnation sans appel des
> autorités morales, politiques, associatives, religieuses, le
> gouvernement persiste et signe dans son obstination à criminaliser le
> droit fondamental de vivre en famille. En maintenant l’infamant et
> humiliant amendement discriminatoire ADN, en biologisant le droit, le
> gouvernement manifeste son mépris face aux valeurs républicaines, à
> l’expression de l’indignation massive, et fait preuve d’autisme politique.
>
> Le vote de la loi sur la maîtrise de l’immigration, assortie de cet
> amendement dangereux restera comme une tache dans la série des
> violations des droits et des libertés fondamentaux en France.
>
> Aussi, le MRAP, qui espère la saisine du Conseil constitutionnel,
> appelle à une riposte déterminée à la hauteur de cet affront en
> participant massivement à la journée de mobilisation nationale du 20
> octobre 2007 (départ Belleville à 14h30).
>
> Paris, 16 octobre 2007.
>
> --
> Message transmis
> Secrétariat de Direction
> Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples
> 43 bd Magenta - 75010 Paris

 

 

 

 

-----Message d'origine-----
De : DWTheaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : dimanche 21 octobre 2007 15:22
À : bbb bbb
Objet : RE: suite...

Bonjour,
 
   Votre dernier message - sur un autre ordin ; j'y réponds de mémoire avant d'y revenir probablement.
 
   Cette question de l'absurde..
 
Si les UCMPPs ont l'ambition de soutenir quelque chose de l'existence ou de la vie - et de prolonger quelque chose à la mesure de considérables modifications que le monde entreprend, ces UCMPPs soutiennent nécessairement des données que l'on rangeait à la philo précédemment. D'où l'absurde. L'absurde est une dimension essentielle. En pratique, l'absurde n'est pas ce qui prime dans un système commercial, dans un système gagnant ou un système politique. Pourtant, s'il y a quelque chose d'absurde dans un UCMPP, c'est bon signe - qu'il s'agisse d'un UCMPP du vivant, ou pour la mort.
 
   A l'occasion si vous trouvez une des dernières conférence - sinon la dernière - de S.Dali - quand il quitte le surréalisme et aborde l'hyperréalisme - copiez-la.. j'aimerai la revoir.
 
   J'espère que vous allez au cube
 
L'approche du DSM me paraît à présent très importante. J'approfondirai cela. Mes relations psy de Paris ne sont pas des pratiquants DSM, et j'en ai peu. Peut-être sur l'annuaire un dénommé ...
 
dans pages jaunes :
B. //..//
  •  

prévenez-moi avant, si vous pensez le contacter

à bientôt,

DWT

 
-----Message d'origine-----
De : bbb bbb [mailto:claxie2001@yahoo.fr]
Envoyé : vendredi 19 octobre 2007 15:15
À : DWTheaux
Objet : RE : A la croisée de doigts

Une réponse, malheureusement encore trop rapide.
je ne suis pas d'accord avec vous lorsque vous dites que plonger les ucmpps dans le vivant serait absurde.
Les ucmpps ont une fonction de paliatif de l'absence. Morte ou vivante.
Bien sur la position du créateur de l'umpp et l'impact que ce dernier aura sur lui (et vice versa), sera bien différente selon que l'ucmpp soit opérationnel immédiatement uniquement immédiatement et post mortem ou uniquement post mortem, et ce sont des points qui méritent sans doute de s'arrêter un peu.
Mais personnellement, je ne vois pas en quoi il est important de conserver une position post mortem. les ucmpps sont déjà multi facettes et multi fonctionnel d'une certaine façon, et ne méritent pas d'être cloisonné au post mortem je pense.
Je repars ce soir qq jour (eh oui début d'années franchement chaotique), et devrais me stabiliser un peu en milieu de semaine prochaine, moment auquel j'aurais également une réponse définitive en ce qui concerne mon intégration du cube.
Bon week end,
mex.

PS : En effet il me serait intéressant de parcourir un DMS. Connaissez vous un psychiatre sur paris, chez qui vous pourriez éventuellement m'envoyer afin que j'en consulte un ?
-----Message d'origine-----
De : DWTheaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : samedi 13 octobre 2007 12:53
À : psybakh-AG; bbb bbb
Objet : A la croisée de doigts

Bonjour,   je réponds à votre mail ci-dessous, par un petit commentaire et une page qui s'y trouve liée.
 
   La piste laboratoires comme Cube est excellente. Vous remarquerez que pour ma part si je réponds critique ou prudent - c'est pour tenir à ma fonction de traiter le projet à partir de degrés pyschologiques éventuellement très abstraits mais en fin de compte - puisque s'agissant de santé mentale - plutôt politiques. La psychanalyse, qui est ma perspective, engage la politique à partir de zones à peine traduites : nos présidents ne parlent pas de clones ni d'ia ; ils laissent éventuellement cela à des secrétaires d'Etat excentriques. Pourtant il s'agit des véritables choses importantes ; leur soin est remise à la psychanalyse - que l'Etat a toujours évité d'accadémifier, diplomer.. car elle est de la politique.
 
   bon! .. je souligne en vert les points que je ressors de votre texte - et je place mon commentaire en dessous :

//..//

 penseés.. :


    Un petit tour d'alambique de l'alchimiste psy, là où MEX écrit :

en y réfléchissant, il m'apparaît comme absurde finalement de garder une position post mortem

   bien d'accord, bien d'accord.. !   en ajoutant cette petite pincée de poudre philosophique du flacon de la mort : à savoir l'absurde.
   En d'autres termes c'est précisément inhérent à l'ucmpp de baigner dans.. ce qu'on appelle ou appelait l'absurde. Cette apparition qui surgit à la réflexion de MEX n'est pas forte à changer la position traditionnelle  :  la mort nourrit dans l'existence humaine l'absurde - il est possible que tout l'absurde vienne de là - et du coup, il faut se méfier que ce ne soit pas de plonger l'ucmpp dans le vivant qui soit absurde ! puisqu'il perdrait ce qui le nourrit. Nous sommes là dans un nœud complexe et il me semble qu'il tienne à la théorie de l'évolution, comme je m'en explique dans la page où je réponds : 

http://www.lasainteethique.org/psybakh/2007/htm/20070928094300_quest-usager.htm

   Il s'agit de la réponse que je donne aux troisièmes questions. Sur celle question que MEX soulève la page se termine ainsi,  avec la phrase suivante :

    Si ce point doit être débattu plus avant il faudra introduire le facteur que constitue actuellement le DSM psychiatrique...

... phrase que je continue ici :

   le DSM psychiatrique.. qui offre un échantillon extrêmement développé de ce que MEX décrit (interface) - et qui fait pressentir à quel point l'ia peut être actuellement proche de comprendre de façon satisfaisante les traces écrites dites PPH . Je ne sais pas si MEX peut consulter un DSM - elle peut le faire au coût d'une consultation psychiatrique remboursée si elle trouve un psychiatre conciliant - sinon, je puis lui poster le mien - mais au poids de ses 1000 grosses pages les frais aller-retour seront importants. Il serait bien d'une manière ou d'une autre qu'elle en prenne connaissance ; elle peut aussi le trouver dans une librairie spécialisée (médicale) ou dans une bibliothèque - il doit être possible aussi de le trouver sur web mais.. pirate - la santé et le fric n'étant pas étrangers.
   Évidemment ce sont des critères psychiatriques et on rencontrerait les problèmes que Lacan rencontra quand il déclara que la fondation de la personnalité humaine était folle, si nous faisions des avatars à partir du DSM, l'académie ne s'y retrouverait pas. Mais disons que.. ça pourrait aider, en tournant la donne à l'envers, à faire des ucmpps activement sains d'esprit. Le DSM est certainement un outil potentiel de très grande qualité à considérer.

-----Message d'origine-----
De : bbb bbb [mailto:claxie2001@yahoo.fr]
Envoyé : vendredi 12 octobre 2007 15:41
À : DWTheaux
Objet : réflexions entre deux.

Bonjour,

Suite à un long entretien (deux bonnes heures) avec F A , - qui est notamment co-fondateur du cube et commissaire du festival 1er contact, et que je vais peut être donc assister cette année (réponse au plus tard lundi) -, dans lequel nous avons notamment discuté du projet ucmpp, il s'est dégagé deux questions assez intéressantes, et finalement assez évidentes :

 - Pourquoi les ucmpps devraient-ils être des acteurs post-mortem ? Pourquoi devoir préserver un patrimoine (celui sur la clé usb), alors qu'ils pourraient déjà être utilisable et évoluables dès la conception de l'ucmpp ?

 - Pourquoi ne pas déjà essayer avec les technologies actuelles de réaliser de véritables ucmpps, comme cyberons embryonnaires ?

Bien la première réponse est technologiques, mais il semblerait que les contraintes technologiques ne sont plus insurmontables.

Pour le premier point, en y réfléchissant, il m'apparait comme absurde finalement de garder une position post mortem. Et cela ne remet rien en cause le principe de gardiennage de la société cyberontime. Disons qu'en terme de viabilité il faut peut être rapidement qu'elle se concentre sur des services d'accompagnement et d'aide à la création.
Cette réflexion n'apporte rien de fondamentalement nouveau, mais souligne selon moi la nécéssité de mettre en oeuvre rapidement une expérimentation concrète et non virtuelle d'un ucmpp.
Bien sur, nous ne pouvons pas dès aujourd'hui compter sur une ia capable d'analyser et de comprendre de façon satisfaisante les traces écrites dites PPH. Petite parenthèse : cela ne change en rien, mes recherches sur une interface, puisqu'elle se situe non pas vers une aide au découpage pour l'intelligence artificielle, mais plutôt pour l'utilisateur.
En revanche, ce qui peut être fait aujourd'hui, en collaboration avec un des premiers constructeur d'ucmpp (qui peut être maj, si elle a le temps et l'énergie de s'investir, ou moi même ou qq'un d'autre, voir plusieurs personnes), est d'expérimenter une traduction des PPHs réalisés à un organisme artificiel intelligent (voir en concevoir un spécifique pour cela).

Lors de notre discussion d'un ton finalement collégial, F.A. m'a informé qu'un tel projet pouvait éventuellement être mené dans ses ateliers de création (au cube) ou intéresser divers laboratoires parisiens.
Bien entendu, cela ne signifie pas que "c'est comme fait", mais disons, qu'il me semble que c'est une bonne piste qui se dessine.

Qu'en pensez vous ?

Mex.

 

-----Message d'origine-----
De : bbb bbb [mailto:claxie2001@yahoo.fr]
Envoyé : dimanche 7 octobre 2007 12:44
À : DWTheaux
Objet : suite...

Bonjour,

Je vous réponds brièvement de façon un peu bric à brac, car je me retrouve étranglée par un début d'année commençant sur les chapeaux de roues.

D'abord il y a un lien que vous devriez visiter. Si je suis prise au cube (j'aurai la réponse sans doute en début de semaine prochaine), je serai certainement en contact direct avec eux, et le projet ucmpps peut directement les intéresser (et inversement) :
http://metalab3d.blogspot.com/2007/06/metalab-3d-du-blog-de-veille-au-projet.html

Pour ce qui est de votre demande pour un informaticien, je n'en ai pas en tête de disponible actuellement pour cela, mais vais me renseigner autour de moi.

Pour ce qui est du deuxième versement du divan, n'avions pas convenu un prix entre 7000 et 10000 l$ ?

Pour ce qui est de la conception du premier UCMPPs, où en est il ? Pourrais-je suivre ses étapes de conception ?

Pour ce qui concerne mon adhésion ou non à psybakh, personnelement j'en ai le désir, d'autant que j'aimerai aussi avoir la possibilité d'interagir éventuellement avec les autres membres. J'aimerai également réaliser un ucmpps, mais pour deux raisons je préfère attendre : je n'ai pas l'argent, et je souhaite prendre le temps de bien réfléchir à comment l'aborder. Pour ce qui est des frais d'adhésions à psybakh, je n'ai rien à redire à cela, en revanche étant coincée budgétairement, je voulais savoir s'il n'était pas possible en mon cas, de faire un échange de service à définir afin d'obtenir une adhésion ?

Pour une suite de réflexion sur une interface PPH, à y songer, je trouve la première proposition trop lourde. Voici donc une seconde proposition (non mise en forme, par manque de temps…).
Séparer 4 types de PPH en onglets dans lequel l’utilisateur pourra facilement naviguer.
<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->un onglet ARCHIVES
<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->un onglet MEMOIRES
<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->un onglet TESTAMENT
<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->un onglet CARACTERISTIQUES
puis :
<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->un onglet LISTE
<!--[if !supportLists]-->-         <!--[endif]-->un onglet AIDE
Le premier onglet est un espace permettant d’indexer les archives administratives.
Le second, les mémoires de l’utilisateurs.
Le troisième, les dernières volontés et éventuellement des missions que l’utilisateurs souhaitera donner à son cyberon.
Le quatrième permettra éventuellement de donner des traits de caractères ou types d’attitudes au cyberon.
Le cinquième est une liste pratique des données déjà indexées.
Le sixième est un centre d’aide pour les utilisateurs.
Chaque interface (dans chaque onglet) sera très simple. Titre, éventuellement durée ou période (pour les mémoires et testaments) puis le texte. En revanche chaque interface devra posséder une option approfondissement pour ceux et celles qui souhaiteront détailler et caractériser leurs PPHs en parties ou en entier. J’ai déjà une idée assez précise de ce à quoi pourrai ressembler cette interface et le détail des ses options d’approfondissements, mais je ne pourrai malheureusement sans doute pas les mettre en forme dans les prochains jours.
Je vous en ferai part dès que possible.
A très bientôt,
Mex.

Ps : merci pour le lien de la nuit blanche...