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De l'I à l'a
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Amarna

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Amarna

L'effacement de l'histoire du complexe rapport du moi du corps
se voit en masse ;

    FILM                          

 

Avec passion jusqu'à la rage
la présence d'Armana au rôle du monde
a été effacée, la ville d'abord rasée par sa nation ;

sa mémoire ensuite, durant des siècles de fiction
et comme si l'histoire n'y croyait pas encore,

jusqu'à la croyance, persistante au vue des photos d'Amarna
qu'Oedipe n'avait pas de corps.

 

 


Durant quelque temps, Oedipe enfant écrivit au Père Noël

 

Introduction 

   C'est trop drôle de dire qu'Oedipe est un mythe. Les astrologues aussi disaient que Saturne était un fluide, de l'insubstanciel brillant au ciel. Ce sont les mêmes types et nanas, en se moquant des astrologues, qui analysent le psychisme en fonction du mythe oedipien. Bonjour le principe de réalité !

"Oedipe" qui signifie "Patte Enflée" (oedème au pied)
laisse rêveur devant la représentation d'Akhnaton

Les pèlerins d'Hermopolis Magna passaient-il déjà devant
sans le voir?


 

Transcription  de la piste audio du FILM


DWT@20051127152600 
Ce que nous devons à La Renaissance mettant fin à la légende hermétique


" Tu n'as rien vu à Hiroshima, rien, rien, rien,
Au musée à Hiroshima, j'ai regardé les gens ,
j'ai regardé moi-même pensivement le faire,
le faire brûler, le faire brisé, le faire-deux, venu vulnérable..

Tu n'as rien vu à Hiroshima,   rien...

(Marguerite Duras & C°)

 

   Comme à Hiroshima, on n'a jamais vu personne à Amarna.

   Les prodigieux instruments de la science fondent sur le moindre indice, et au plus près le penseur rapproche Oedipe d'une filiation d'Akhnaton, comme si d'Athènes hâte Aton.

   Comme si Zorro était une filiation de Don Diego ! mais C'EST Don Diego, masqué ! Lui fallut-il un fils, César, pour déloger Zorro de cette bévue ?! -  Don César/Hollywood pour ne pas dire Jules, du fameux JC qu'il aurait fallu pour... *

  
Akhnaton, Don Diego sont des
matières premières à Oedipe, à Zorro/d'Amarna qu'on n'a jamais vu - et dont le refoulé s'en suit en symptômes et violences. Pire que masqué, l'incorporel Oedipe appelle les viols de ses esclaves et les scribes battu(es) dans les crises de colère d'Akhnaton qu'on a jamais vu(es).

   L'inaptitude à reconnaître qu'Oedipe a existé réfléchit l'identification du moi au corps qu'il réfute en-même temps au point d'ignorer son propre chiffre - immense mépris de soi écologique.


Suivi par Eva on show - Chauff Eva ! Chauffe.. le biberon

 


* : qu'aura-t-il fallu rendre à JC  - sinon son gène-  pour qu'Akhnaton, Oedipe, existe ?!  question à poser contre Osman **


 


Questions/Réponses - information - documentation

 

Question - à propos d'Eva

   Eva est un bébé, une petite fille presqu'encore nouveau-né, qui paraît dans le film - en faisant allusion à la scénographie familiale qu'on trouve - on peut dire : uniquement à Amarna.

  

   La vidéo présente Armana dans sa fonction de chiffrage  (voir matière première/matière zéro) - qu'on appelle autrement scène primitive. La 'scène primitive' que la psychanalyse désigne dans la relation sexuelle et procréatrice des parents, désigne la psychogenèse de la relation en général. Le soin que le père prend de l'enfant y est inclus - comme ce facteur ziffra dans la langue maternelle (voir Autre/Nom-du-Père). Comme le rôle de la famille dans l'économie industrielle, c'est un facteur discret qu'on omet ou désigne symptomatiquement ; Lyod de Mause se revendiquant de la Psychohistoire me l'a publiquement présenté (Londres#1992) pour un modèle d'inceste et/ou d'abus sexuel infligé par Akhnaton sur son enfant.
   Mais le souffle de vie que d'autres explications fournissent égale au rôle discret que le soin paternel occasionne, proche de zéro, dans le rapport ultérieur de la subjectivité au chiffre. C'est pourquoi cette scène familiale contribue à la description d'Armana dans sa fonction génératrice de notre rapport au chiffre contemporain et du culturel génétique à venir.

 

Question - à propos de Don X, fils de César

   La Petite Illustration CINÉMATOGRAPHIQUE a publié en Avril 1926 sa revue critique du film américain Don X, fils de Zorro qui mettait en scène l'aventure du fils de Don Diego de Vega (joué par le divin Guy Williams - de 'Zorro' à 'Lost in Space') nommé Don César (joué par le non moins divin Douglas Fairbanks). Pour le distinguer de son père, au lieu du Z, le X continue à signer une dé-nomination dans le film émaillé de " - Don César est vivant ! s'écriait Dolorès " tandis qu'il luttait pour récupérer le carton qui l'innocentait du meurtre de son futur beau-père. Son père (Zorro) avait pris le bateau pour venir le rejoindre en Espagne, pour qu'à eux deux ils réussissent une odieuse machination.
   Dans l'usage de ce document, et dans ces commentaires, je fais allusion aux deux JC, comptant pour un sinon quasi contemporains, César et Jésus dans le sens où l'un dit de l'autre qu'il fallait lui rendre ce qui lui appartenait. Ainsi rendre au représentant & au corps, chacun sa part - en reconnaissance de chacun des parts pour qu'une industrie écologique et/ou ou une démocratie fut réelle, comme en comprenant Noms-du-Père & Y (chromosome) ou Moïse/Oedipe/Phaëton/Orphée/Trismegiste etc.. & Akhnaton, le Z d'Aménophis 4. 

 

Documentation - Sacré Oedipe

   Thierry GAILLARD qui écrit Une lecture transgénérationnelle du mythe d'Oedipe, aura dans son écrit plutôt noyé le poisson que sorti quelque chose de nouveau du monde du silence. Qu'une vie d'Oedipe fut écrite par Sophocle, personne ne le remet en question - mais que Sophocle fit acte d'historien pour la nouvelle Athènes qui venait au jour, après la mort de Socrate et avant les conquêtes d'Alexandre, cela n'intéresse les académiciens que dans la mesure d'appuyer que l'Histoire est une fiction. Du coup, nos intellos ressassent ad vomitum que l'histoire d'Oedipe est un mythe.

C'est comme si le défunt Napoléon 1er exilé à St Helène - appelons-le Napoloedipe - était une filiation du petit Bonaparte - appelons-le Bonapakhnaton - à Ajaccio une cinquantaine d'années auparavant. Évidemment, en termes de Signifiant ils étaient des choses autres - mais en termes de chromosome ? en terme de Chiffre ? de matricule SS - comme on dit de nos jours. Si la Sécurité Sociale nous impose l'unique et fixe individualité d'un chiffre, c'est en vue de notre santé et, intuitivement nous le sentons, de l'opération de cybernétisation et seul sauvetage écologique qu'ont entamé les temps présents. Seulement la possibilité de l'immortalité du matérialisme génétique probablement nécessairement associé a une programmation ectogénèsiale annonce un tel avenir de nos illusions qu'il faut en fournir les concepts dans la jeunesse pour correspondre aux lois païdormophiques. C'est pourquoi nous apprenons tôt que le Père Noël n'existe pas mais paraît en Idéal - et que Zorro, lui, existe, en représentant un Idéal.

   Jusque là, tout va bien et on pourrait se contenter de ça, avec des universitaires berçant les populations de comptines et de paraboles. Ca ne devient un problème qu'au moment où on arrive au stade du mensonge. Car celui-ci emporte avec lui une aliénation particulière en un phénomène hypnotique qui ouvre à une génération perpétuelle de perversions de toutes les sortes ; ce qui n'est pas bon pour les enfants et ce qui les rend violents.

   T.GAILLARD n'est pas le seul mais c'est le dernier en date qui a été porté à ma connaissance - c'est pourquoi je le cite. Au long des pages où il parle du mythe de Napoloedipe, il croise brièvement Immanuel VELIKOVSKY dont il écrit qu'il a montré l'existence d'une filiation entre Bonapakhnaton et Napoloedipe. On pourrait le laisser dire si finalement il ne s'appuyait sur cette benoiserie pour nier qu'Akhnaton (Bonapakhnaton) fut reconnaissant d'un héritage paternel, maternel, honorant son histoire et agent du futur avec en corrélatif un respect de la nature et de son environnement.
   Je cite ensuite TG ouvrant le paragraphe suivant son assertion d'une filiation : " D'Akhenaton à Oedipe, un même thème est à dégager, celui d'une autogenèse, d'une émancipation de tout héritage, fut-il parental ou culturel. " Emancipation de tout héritage  - veut dire qu'il s'en détache et/ou qu'il l'ignore.

   Voici ce qu'écrit I.Velikovsky : " Oedipe fut un roi dans la Thèbes égyptienne "ce qui signifie qu'Akhnaton est l'Oedipe originel.

   La différence est si radicale entre ce qu'exprime IV et ce qu'en rapporte TG, que le statut de ce rapport est celui d'un mensonge - certes inconscient, je n'en jugerai pas TG 'responsable', d'autant qu'il l'assorti de l'aveu - par le procédé de la projection - d'une émancipation d'héritage - et en effet, il doit bien peu de chose à IV.

On peut ainsi résumer et déclarer :

   Oedipe est la nomination, non pas la filiation d'Akhnaton. Bien sûr, la nomination prête au semblant (de la filiation). Ce petit jeu d'intellectuels rusés à camoufler serait inoffensif et les laisserait dans les froufrous des jupons de leur mère, s'il ne s'agissait de l'emploi que la politique dérobe ! de la fonction représentative appliquée et systématique du leader, le führer typique qui représente l'esprit de la population, l'incarnation de l'âme des foules. En effet la philosophie sur laquelle les deux grandes tyrannies se sont appuyées dernièrement suggérait que les masses fussent gouvernés par de ces 'filiations', voire des 'petits pères' des peuples, de race ou de pays, où chaqu'individu pouvait s'identifier.
   De surcroît, comme le signifiant de tous symptômes, la thèse de la filiation loge dans sa manche, cachée la lettre qu'à saisir on lit tout de suite : c'est de descendance, de reproduction et de génétique dont il s'agit.

   Hors de ces tromperies on rectifie : Oedipe n'est pas la filiation, mais le nom porté par l'expression génique ailleurs nommée Akhnaton, Amenophis 4 ou Moïse ou encore par d'autres noms. Les rôles dans l'histoire de ces prétendus mythes sont l'expression d'un même individu-ADN.  

 

 

 


 

Commentaire ou  Comment dire

 

Oedipe

ou

 le réchauffé planétaire

 

-  une pièce manquante  -
par DWT

 

   " Le Signifiant qui enchaînait les signes en déclin.. " - prophétie à l'imparfait, interprétation qu'on voit, des gens en masse se tournant vers les marques, étiquettes et logos. Les marques sont les attestations de la propriétés. Il y a un siècle on vérifiait déjà le pressentiment que les gens ne sauraient volontiers gagner leur liberté. Cela se traduisait par l'orientation du prolétariat soit vers la bourgeoisie, soit vers la tyrannie - du pareil au même quand à l'identification de la personne à son corps.
   Le bourgeois et propriétaire d'objets - le tyran occupe en vis à vie l'Idéal. Entre les deux oscille la possibilité de l'art - c'est à dire du comble du refoulement - qui s'exprime de la scatologie au maquillage. Quant au corps.. ce n'était pas vraiment le sujet.
   Aujourd'hui, dans l'ombre de toutes ces formes de la résistance, l'absence de l'identification physique brille de plus en plus nettement : là où La Lettre Volée (le Signifiant) se déchire, la nomination laisse paraître une nuée de chiffre, des gènes qui papillonnent ; on appelle ça la génétique. La génétique est une science brillante.
   Chiffrage, code, c'est à ce chiffre que l'être humain est appelé à s'identifier - non pas au détriment mais en pluss de son passage signifiant au sein de tel ou tel environnement. Néanmoins c'est encore dans l'ombre que l'ADN brille ; le chiffre par lequel l'individu accède à l'écologie est interdit  - s'il n'y avait le neuf de l'Internet il faudrait encore l'autorisation du Préfet, ou autre Procureur pour avoir le droit d'analyser son ADN - tout du moins telle est l'aliénation qu'on a voulu identifier à l'Histoire ; identité de l'esclave, propriété du prolétaire etc..

 

   Mais 'interdit' ne veut pas dire 'empêché' quand on parle du chiffre ; au contraire, il foisonne entre les lignes, entre-dits il est même pré-dit : avant qu'on en parle il prédit les mot qui, eux prédisent le retour du chiffre. Ceci s'appelle la scène primitive qui, elle, est égale à zéro - chiffre, ziffra. C'est aussi le code du chiffrage ; c'est à dire ce sans quoi on ne déchiffrera rien de la nature. C'est dire l'importance de l'identification du chiffre.

   On le voit dans l'histoire amarnienne, rayée des tables et de la carte, ignorée. Elle se révèle point zéro de l'histoire, postule au Chiffre de l'histoire. Même si - et à la fois parce qu'on imagine tout sauf ça..
   Mais pourquoi est-ce arrivé là et comme ça ? Parce que c'est une logique de la globalité qui conditionne que le zéro s'affiche.
   Amarna fut un siège politique visant, pour l'époque, une globalisation, mondialisation. Une configuration culturelle logique en résulte. Quand il n'y a plus d'Autre, il reste à faire du Neuf. Tant qu'on est dans le plus ou moins ça, le nombre suffit (le nombre 'romain' qui ne connaissait pas le zéro) - mais lorsqu'un gouvernement couvre tout (rien de pluss) et que tous les états se mettent à faire un (rien de moins), cet un-tout n'est calculable que du représentant zéro - adresse du Thoth à la figure de l'Une.

   Ce zéro n'est pas dire qu'Akhnaton fut nul - mais dit à quel point son identité ne peut être ré-identifiée que dans une logique de chiffre - c'est à dire dans un système et/ou une société qui connaisse l'identification au chiffre, le code, le chromosome. L'époque actuelle en est plutôt à la convulsion de ce côté là, on frise la violence plutôt que de passer à l'être génétique - on pollue, massacrant nos gènes de chimies innombrables et plutôt immondes, nous n'en sauvegardons rien. Nous aimons nos jeunes, ils nous le rendent bien.

Reculant sur l'identification du corps, les universitaires en tête chantent en chœur : Oedipe est un mythe.
et  Marlbrough s'en va-t-en guerre  ! par la même occasion

   Faire d'un corps un mythe, c'est encore soutenir le mythe de la mort. C'est la voix des nations.

L'écriture d'une idée politique égale au monde, non seulement précipita Amarna à la fonction du chiffre, mais initia aussi l'industrie appropriée à la logique planétaire de la vie : l'écosystème global sans lequel il n'y a pas d'écologie.

L'écologie est Toute, ou n'est pas.
Naturellement son signe sera la reconnaissance du rôle historique d'Amarna,
une piste dans le désert effacée à suivre..

 

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en suite / conséquence

   Quand un être s'identifie dans la nature tout simplement et à tous bouts de champs c'est bien. Quand il s'identifie à sa forme, à une image de lui-même et qu'il s'abstrait  c'est mieux, c'est plus chic, maquillage et chichis, et puis surtout, ça supporte la propriété & ça entraîne une industrie. Mais quand il s'identifie à son chiffre, c'est à dire à sa situation dans un système de choses - bien plus qu'à sa signification pour un autre, c'est top ! quand l'être humain s'identifie à son génome, il est apte à vivre dans un éco-système. Avant cela, il vit dans un imaginaire ; c'est à ce point de passage où nous sommes en 2005 que nous voyons les restes du passé repousser l'identité génomique d'Oedipe, refuser l'identification de l'être humain à son ADN.
   Pourtant il s'est passé quelque chose à Amarna, et Amarna n'est pas le Sinaï.

Amarna n'est pas une légende - c'est un thème proscrit qui détient une clé du destin de l'humanité

Oedipe est un Complexe ?

Oedipe est Thoth ?

Oedipe est un Sphinx ?

Oedipe est un mythe ?

Oedipe est un  Chiffre ?

Amarna, en fin de compte avait bien pour Roi :  Oedipe

 

 

** : Osman n'aurait rien vu à Amarna d'Oedipien, pour une théorie de l'hallucination - du nom du père forclos, l'hallucination Jésus retournant au Réel Toutankhamon - retour.

 

DWT
20051127153106