table = Génomique > astral > Moi > mémoire > propriété > âme > Conscience > science > force > synthèse |
En précisant la physiologie du Moi, RS fournit le détail de la mémoire
caractéristique du stade humain. Il propose de la qualifier par la
particularité qu'il appelle le souvenir. Un animal ou le corps Astral
n'a pas à proprement parler de "mémoire" - du moins pas tant qu'un
Moi n'y imprime ce qui sera un souvenir.
A partir de ce moment-là, l'Astral aura, non seulement conscience, mais
conscience de soi - ou du moins, avant cela, conscience d'un passé.
Nous sommes arrivé au stade où les éléments sont au complet (Matière, Ethérique, Astral et Moi). Pourtant cette composition va provoquer une série de conséquences qui vont immédiatement s'ajouter. Les quatre coins de cette quadrature ne s'entendent pas. Pour qu'ils réfléchissent il leur faut se dissocier. RS résume cela en expliquant que l'introspection est illusoire, trompeuse ou vaine. Le Moi ne peut juger qu'il a des souvenirs qu'en les projetant hors de lui - ce que RS écrit «par l'observation du rapport de la vie avec le monde extérieur».
Nous savons comment schématiser cela. Du moins, nous avons un Modèle Optique qui permet d'illustrer exactement cela.
Cependant ce jugement ainsi construit réclame à sa source une force. La disposition schématique qui place le corps éthérique et l'astral en vis à vis situe ainsi, en vis à vis de la forme, la force dans le domaine de l'Autre.
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