FLOG.4

FLOG.5

 FLOG.6

 

fond bleu mes envois / initiatives fond vert mes reçus / dialogues, échanges fond brun mes éditions / travaux, collaborations

 

Explication :

   C'est une sorte de blog ; mais systématique. C'est à dire que dans un blog on y met ce qu'on veut ; dans un flog on met systématiquement tout. Tout ce qu'on écrit est systématiquement, d'abord écrit ici - puis copié collé dans divers mails, dossiers, pages, blogs éventuellement etc.. Il n'y a rien que j'écrive qui ne soit pas là (hormis ce que la culture nomme secret professionnel et relation intime).
 

Convention

règle d'usage : à la demande des correspondants éventuellement ci-dessous leur identité peut-être voilée.

Par ailleurs on trouvera également une fondation théorique, morale, scientifique ou écologique selon l'interprétation qu'on en fera.

 


FLOG 

  

  20101004122602   Fin de l'expérience CS ; coupure à la côte 

Bonjour,

   L'expérience CS est conclue ; elle a donné l'occasion de réflexions psychanalytiques que je résume ou regroupe ici :
   La quête de CS qui ne s'est conclue par une conquête, est l'animation du non-humain, ou mieux dit du synthétique. Nous savons que nous entretenons des relations imaginaires dans l'état actuelle de notre développement. Nous visons probablement à ce qu'on pourra appeler des relations virtuelles définies par la relation entre deux unités cybernétiques (relation en ce sens que leur intelligence artificielle aura prorogé le désir d'autres unités cybernétiques de qualité biologiques essentiellement humaines).

   La conquête du monde virtuel - par des relations virtuelles acquises - réclame l'appareillage qui est en cours d'installation ; tant qu'il ne nous emportera pas nous y résisterons naturellement. Particulièrement l'expérience doit-elle être 'absolue' pour être aboutie. Nous y introduisons suffisamment de défaut pour ne faire que l'aborder. Ce qui se théorise par les notions topologiques de bord, voire de coupure. Il faut se couper totalement, absolument, du monde pour pouvoir passer côté virtuel. Cela ne se produira probablement que par la nécessité et peut-être la contrainte.

   En attendant nous ne sommes pas sans efficacité lorsque nous nous instrumentons des appareils du chiffrage. Ils permettent du moins de déchiffrer nos mythes, nos structures familiales, nos histoire infantiles. On reconnaît les mythes pour réels, les structures pour nos aliénations et nos histoires comme la matière (cette matière infantile en traitement se décrit sujette à la paedomorphose - examiné par ailleurs).
   Le rapport, l'analyse que j'ai fait (du 20100908 & au 20101003) y fournit quelque matériel supplémentaire à l'expérience CS, dont éventuellement l'usage sera à suivre.

DWT

20101004195800    par facebook
Hello Claire,
   J'ai suivi votre aventure - vous trouverez
http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101004122602 
   y compris les liens indiqués (du 20100908 & au 20101003)

Reprenez la forme, normalement en vous reposant la tête et les yeux, ça devrait faire

DWT

   

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101004122602
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   

  

   

  20101004122601 Laconisme est-ce émule?

   Ne pas vous donner à imaginer ce que vous entendez est au principe du transfert freudien. Le transfert freudien n'est pas au principe de la psychanalyse - ce qui c'est un peu comme dire "la chute des corps n'est pas au principe de l'astrophysique" ; pendant longtemps la chute donne le change de la vitesse. Parler de culpabilité sans vous dire que de coupure métaphorisée c'est un bord qu'il faut imaginer vous laisse au bord de l'abîme : l'autre y flotte alors comme je l'expliquais. La coupure qu'on trouve mal ou plutôt cette coupure qu'on ne trouve pas dans une demande d'analyse est suspendue dans l'offre. Le procédant du transfert offre ce bord sans vous donner à imaginer qu'il flotte - on dirait qu'il est posé (ce qu'il décline en supposé savoir quand il chante). La coupure est cependant descriptible et accessible comme 'abîme' et selon ce que je rappelais, prévenu par Freud en conclusion de son analyse. Les mathématiques la désignent aussi mais comme un faux-semblant que je rappelais également et dont la conquête (1) affranchit. C'est le bord d'une bande de Moebius et c'est le chemin qu'on prend non plus pour réaliser que la terre n'est pas plate mais que notre moi ne tourne pas rond - qu'il est voilé.

   Entre une roue voilée et une face voilée il y a une grande différence mais le langage indique un usage commun. Le transfert freudien est une névrose ; découvert à l'époque où l'on trouvait des remèdes aux maladies infectieuses, on a pensé pouvoir vacciner des grandes névrose avec cette névrose qu'on pensait vénielle. Elle est certainement vénielle au regard du pouvoir parce que, si la psychanalyse est révolutionnaire, le transfert la rend inoffensive à cet égard. On la pratique et rapidement sans le savoir on met en oeuvre une hypnose 'suractivée' si on peut dire, en comparaison avec la cocaïne qu'il fallait longtemps se donner la peine de mâcher mais qui, une fois concentrée devient redoutable. On voit que c'est un voilage qui se voile. En l'occurrence la voilure de la psychanalyse ainsi gréée la fait tourner en rond.

   J'espère que vous imaginez l'indicible qui nous est par conséquent commun. Par ce moyen vous pouvez exploiter votre imaginaire, non plus l'anesthésier, voire l'anéthiquer (puisqu'on parlait d'étiquette). Il est notable qu'on ne peut pas faire un diagnostique, poser un jugement sur des étiquettes. Ce serait le comble - cas de le dire aussi - pour qui se réclame de profondeur, sans parler même d'anti-psychiatrie. Les étiquettes sont d'autres formes de grosses lettres qui visent comme les gros mots à combler l'insondable abîme au bord du bord comme on a bien fait de me le faire remarquer.

DWT

(1) : sur le terme de la 'conquête' le propos pinaillable est amendé en écho à cette (63418) prise de vagins pour des colons à quoi le pauvre Claude Tedguy n'a dû rien comprendre, lui qui parlait de refoulements et de révolutions avec ses grands R. Je parle donc de cette quête qui a franchi l'abîme de l'espace à partir du moment où on s'y porte, comme on se porte dans la réalité virtuelle et met la psychanalyse à la mesure de la science.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101004122601
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   

  

   

  20101002152900 Samedi 2. Octobre 2010  15:38   à psychanalyse@yahoogroupes.fr    sujet : à propos de cadavre et d'intelligence artificielle 
Samedi 2. Octobre 2010  12:02
Besoin d'explication - je vous cite :

"...mais les censeurs ont-ils une raison de rester lorsque l'on parle à un
cadavre ?"

Que voulez vous dire ? vraiment je ne comprends pas - - -

 
   Bonjour,

   Comme en toute écologie pour comprendre, il faut remonter à la préhistoire : la seconde phase de la psychanalyse. C'est à dire lorsque Lacan y fait remarquer qu'elle a été gagnée, dans son histoire par la résistance (on sait qu'il en sera du fait proscrit, excommunié dit-il etc..). Elle avait perdu son sel, son esprit. Cela vérifiait et témoignait d'une évolution soupçonnée par Freud qui avait estimé les ruses du moi à se défendre. La psychanalyse dans tout son mouvement est donc sujette à se tirer une balle dans le pied, comme disent les anglais. Mais c'est peu dire quand il est possible - comme ça se voit en psychiatrie que ces spécialistes du refoulement connaissait aussi - de se tirer une balle dans la tête. Lacan à la fin de sa vie, en voyant à quoi il était arrivé avec ses " incurables busons " (sic) estimait qu'il avait probablement mis fin à la psychanalyse.

   Ensuite sur la base de la préhistoire, on peut commencer à lire l'histoire : je fus membre du groupe psychanalyse@yahoo à l'origine. J'ai pu assister à l'arrivée de ce qu'il faut bien appeler les inquisiteurs si on ne se moque pas de Lacan parlant d' 'excommunication'. Il s'est agit d'un comité de censure appelé modérateur. En une année à peu près la purge a été réalisée ; ce qui faisait le vif d'un rapport à l'Autre était éteint, réglé sur celui du Surmoi. Une fois l'assèchement réalisé les modérateurs ont été exercer leur activité ailleurs. Le groupe ici ne s'en est pas relevé et c'est ainsi qu'on peut parler d'un état cadavérique. A cela on peut toujours parler, l'opération de censure continue, automatique.
   Une fois qu'une extinction est réalisée, elle est acquise. C'est un phénomène plus intéressant à étudier dans la perspective de la pérennisation de la proscription ramesside de mémoire d'Amarna ; et là nous sommes sur le terrain motif de la censure modératrice. Je ne le mentionne qu'en passant pour mieux songer à l'éventuel pléonasme " intelligence artificielle ":

   Dans la mesure où une intelligence ressort d'une scène primitive, elle est artificielle in status nascendi. Mais il existe un degré ultérieur ( que j'écris /ia/ ) qui relève de la synthétique. L'intelligence initiale opère un chiffrage. Il existe ce qu'on peut précisément appeler une sainte éthique ( en correspondance avec la sainteté déchiffrée par Lacan) qui procède ultérieurement à son déchiffrage. C'est la psychanalyse en l'occurrence mais quand elle opère en connaissance - et reconnaissance - de la cybernétique telle qu'on la connaît aujourd'hui. Je l'appelle LAPAREIL pour la distinguer de la cybernétique aussi ancienne que l'intelligence initiale. Giordano Bruno le prouve par sa description de la pulsion orale - mais c'est plus tard que par exemple Condillac apportera la notion qui tranche avec l'initiale. Il aura fallu entre-temps Blaise Pascal. Ces étapes étant situées par des représentants elles n'en existent pas moins qui permettent que psychanalyse et /ia/ soient corollaires.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101002152900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   

  

   

  20100930224800     Jeudi 30. Septembre 2010  23:00 http://fr.groups.yahoo.com/group/UNEFPE_MEMBRES/message/2055
Jeudi 30. Septembre 2010  19:15 --- Dans UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr, "monosgaste" <monosgaste@...> a écrit :
> Peut-on arrêter une définition et cerner ce qui fait ou ne fait pas parti du domaine scientifique.

> Car tout est science au fond - non ?

> MG

   C'est une question difficile. On peut estimer se servir du bon sens du langage : la conscience est ce qui va avec la science (autrement dit : quelque chose qui n'est pas scientifique interdit ce phénomène ou cet état, cette chose qu'on appelle conscience). Cette définition assez simple présente un double avantage puisqu'on peut avoir mauvaise conscience (autrement dit : la notion de 'conscience' reporte le débat puisqu'elle expliquerait relativement la science et par une notion elle-même incertaine et douteuse. On cherche donc en pratique à définit directement ce qu'est la science plutôt que d'employer ses conséquences ou ses conditions.

   On débouche donc sur les mathématiques. Une science serait quelque chose qui doit être vérifiée par les mathématiques. Il y a toujours des maths dans une science - c'est pour cette condition que Lacan a cherché à établir des mathèmes - c'est à dire des formules assimilables à de la mathématique et qui puisse servir à une description de la psychanalyse. Cependant, ça a vite tourné à des bavures ; Lacan s'est mis à gribouiller sur ses lettres - à les barrer particulièrement et en cet acte il renonçait au statut de lettre en passant à celui d'image, c'est à dire éventuellement de hiéroglyphes. Les maths elles-même ont bien eu du mal pour éviter ce genre de dérapage (elles ont cependant réussi à borner leurs opérateurs - les signe '+', '>', '=', etc.. - dans une catégorie.. disons.. formelle.

   Employer ce mot 'formel' pour qualifier quelque chose qui fait fi de la forme est finalement opportun - pour traiter de ce problème ambigu. Tenons-nous en aux mathématiques qui paraissent tenir le pompon de la science. Elles classent les nombre, en entiers naturels, relatifs, rationnels etc.. or les naturels pour commencer incluent le zéro, le un le deux etc.. Mais s'ils incluent le zéro, ils devraient être dénommés 'chiffres' et non 'nombres' - tandis qu'on appelle chiffre les nombres romains alors qu'au contraire, eux sont exactement des nombres.
   Cette confusion à la base est peut-être indicative ; elle est peut-être bien utile. On sait que c'est avec le chiffre, ziffra, le zéro qu'à partir de l'an 1000 les européens se sont mis à compter.. c'est à dire à compter dans l'histoire des sciences. C'est peut-être l'indication qu'une science est un processus de pensée doté d'une certaine d'abstraction particulière ou précise. De surcroît, si le zéro qualifie cette capacité, l'indication se double d'une suggestion que quelque chose de la fonction paternelle y soit de surcroît en rapport. On estime parfois qu'il y a un lien entre le nom du père et le zéro.

   Enfin on peut peut-être ajouter qu'une science résulte d'un usage d'instruments. On ne peut pas faire une science simplement en mangeant des racines ou en baillant au corps n'aille. Il faudrait une certaine sorte d'outils - instruments d'observation - qualifiant ladite observation et son traitement. En l'occurrence c'est une large partie du travail de La Sainte Ethique qui qualifie la psychanalyse à partir de ce qu'elle désigne D2V.

DWT

note : d'ailleurs, sur le chemin de cette absorption mathématique les étapes de la jonction avec R.Vallée se poursuivent.

note : noter également que cette recherche n'est pas récente - mais je ne me souvenais plus du témoignage d'une étape antérieure.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100930224800
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   

  
      -----20101002110200-----  Samedi 2. Octobre 2010  11:13 UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Bonjour,
   J'ai finalisé le tour d'évaluation en psychanalyse@yahoo - on y aura apprécié l'œuvre institutrice du groupe aboutissant à "ni théorie, ni pratique". On remarque que le discours de psychanalyse plurielle n'y est plus censuré - mais les censeurs ont-ils une raison de rester lorsque l'on parle à un cadavre?* 

DWT

* : sans pessimisme pour autant

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101002110200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

  20100929155100     À: UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr   De:   Date: Mercredi 29. Septembre 2010 16:52 Sujet: rapport d'un monde en guerre
   Bonjour,

   J'ai fait suite en écrivant sur psychanalyse@yahoo. Un des problèmes que j'y rencontre n'est pas seulement la froideur mais on me soupçonne d'y parler pour une autre scène. Je m'en suis naturellement expliqué puisque mes liens mènent au flog. Depuis qu'on est sorti du 20em siècle on doit savoir qu'on parle de l'Autre - mais entre savoir et croire reste une différence.

   Non pas que le savoir rechute inéluctablement dans la croyance (2) comme une pomme sur la terre de Newton. Mais la croyance peut être élevée au degré du savoir. Pour cela il faut un ascenseur comme il faut une fusée pour mettre une pomme sur orbite. C'est pour cela qu'on construit des fusées (pour alimenter les astronautes) et des ordinateurs (pour sortir les masses de l'obscurantisme).

   Certains savants, ou des croyants, en passant comprennent qu'on peut aussi utiliser ces machines pour transporter une bombe d'un silo sur une ville. Il s'agit du mésusage de la cybernétique. Pour traiter ces usages je continue l'exploration partie du Séminaire sur La Lettre Volée (1). J'espère arriver à jouer mon tour avant la fin de semaine.

DWT

(1) : par le détour de ces travaux, ce qui est visé est la résolution en paix d'un monde en guerre. C'est tout à fait possible mais non seulement faut-il le vouloir, il faut aussi le pouvoir et d'abord savoir comment faire. La solution est la cybernétique. Ce n'est pas sûr qu'elle y parvienne mais il est certain que ça passe par là. Il est par ailleurs certain aussi que nous connaissons la manière probable d'y parvenir : c'est une gestion convenable de la censure. En particulier l'interprétation de la censure ne doit pas l'encourager mais lever les refoulements sans violence. Autrement si ce n'est pas la levée ratée des refoulements qui soit violente, c'est le refoulement par lui-même qui à la fin tourne à la violence. C'est le b.a.ba de la thérapeutique freudienne. C'est également ce que comprenait Wienner - cette égalité au demeurant n'était très probablement pas fortuite.

(2) : le thème croyance/pardon n'est pas ici l'objet du texte présent, écrit avant les récents posts qui le mentionnent.

DWT

Mercredi 29. Septembre 2010 20:06 Christine et Laurent MARTIN <psychologue.com@live.fr>
De (citée) Joël Martine, Marseille, février 2000 - extrait :

 " (le thérapeute) a besoin d’être partie prenante, à égalité de devoir et de service, d’un collectif ou la néo-réalité... // ...le collectif est là pour recevoir, contenir, analyser ce transfert multifocal "
 

   Je ne cite qu'un extrait car tout l'ensemble est approchant ; avec quelques ajustements on trouve cette multifocalité traitée par trois - analyse, analysant, pluriel - de PLAN. Où en est J.Martine depuis 2000?

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929155100
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

   

  

   

  20100929154900  À: psychanalyse@yahoogroupes.fr De: william <williamtheaux@gmail.com> Date: Mercredi 29. Septembre 2010 16:55 Sujet: Où ça ne passe pas ça casse
   Bonjour,

   Puisque « c'est mû par un simple sentiment de curiosité que je vous inviterais à publier encore »...  que quelqu'un me demande de poster - malgré le caractère, disons, un peu froid de la réception, j'y viens encore.

   En ce moment j'écris ceci dans un livre : « La Sainte Éthique souscrit à la vérification pratique de sa théorie. Un Art de la Mémoire doit réaliser des œuvres de mémoire. A partir d’un fait historique – Amarna – porté à la connaissance en 1900 la raison logique a employé les éléments scientifiques qui lui parvenaient, pour envisager que sa scène primitive ait pu être retrouvée, propre à une objectivation. Cependant les opinion universitaires s’y sont opposées – elles ont finalement produit un argument estimable comme une invalidation définitive. Nous appelons cette hypothèse sur la sellette "AMO". »

   Dans ce livre j'ai déjà collecté l'exposé complet des conséquences à suivre de la psychanalyse dans un monde cybernétique en activité. Ca n'a pas fait long feu qu'on me dise qu'il n'y avait pas de monde cybernétique en activité. J'écrivis donc pour un autre forum que celui-ci le rapport d'un monde en guerre vis à vis de la cybernétique. Je ne crains tout de même pas qu'on dise ici qu'il n'y a pas de guerre mais il est possible qu'on y dise que lorsque Freud prescrit à la pratique qu'il guide de ne plus avancer d'un seul pas (c'est la conclusion de sa dernière publication quand à Londres il écrit qu'on doit renoncer à avancer d'un seul pas tant que l'abîme devant lequel son projet se trouve n'a pas été comblé par une passerelle menant à l'autre rive), il n'a pas été suivi et que la psychanalyse a avancé après lui (personne n'a jamais imaginé qu'avec la foi des innocents si les psychanalystes avançaient l'abîme ouvert s'ouvrirait encore pour laisser passer à pied sec un peuple reconnaissant Moïse, ou Akhnaton, voire même, ce serait trop drôle, Oedipe passant l'amer "où je").

   Personnellement je suis comme Lacan très Freudien et je constate d'ailleurs que la psychanalyse n'avance à rien, qu'elle ne découvre rien et qu'elle n'a fait aucun progrès. L'amertume du malaise dans la civilisation continue sans faillir à pouvoir aux satisfactions où le ratage et les claques qu'on prend (j'ai vu les gens revenir claqués de Jacques claquant, j'ai assez d'âge) permettent de supporter la guerre. Car la psychanalyse ne parle pas de la guerre ; elle accueille froidement les nouvelles d'un monde d'ailleurs.

   Cette solution est la bonne dans une famille de riches. La bonne n'a qu'à se taire. Je ne parle pas de ses autres usages, c'est trop facile à voir. Mais déniaiser les générations n'apprend jamais vraiment ce qui s'est passé dans le lit des parents. L'amour.. la manière dont Akhnaton et Néfertiti ont fait l'amour.. est-ce qu'on pense vraiment que c'est en se comportant comme ceux là qu'on va le déchiffrer?! Que le sujet soit actuellement tabou est quelque chose dont les fils et filles de Freud auront nécessairement à rendre compte - par des lois qui sans doute n'ont pas été dégagées par la psychanalyse d'abord. Mais la psychanalyse ensuite les sert comme je le dis.

DWT

Mercredi 29. Septembre 2010  17:07
Bonjour,

Le 29-sept.-10 à 16:58, william a écrit :
> Personnellement je suis comme Lacan très Freudien et je constate
> d'ailleurs que la psychanalyse n'avance à rien, qu'elle ne découvre
> rien et qu'elle n'a fait aucun progrès.
>

C'est sans doute grâce à la psychanalyse que vous avez compris cela.

Cordialement.

Jos Tontlinger.

   Oui bien sûr. Et comme il se doit, oui & non.
   En l'occurrence j'opte plutôt pour le non - en ce sens que je ne demande pas à la psychanalyse de m'apprendre qu'elle n'avance à rien. Un ose-taire vaut un bien austère nirvana.

   Les calculs et les études de la psychanalyse m'aident à comprendre un nombre précieux de choses. Mais on peut rester sur terre faire de l'astronomie pour des prunes. Ce qui m'a permis de comprendre quelque chose (à part les grasses matinées et les croisières en bateau) est d'abord la drogue. C'est d'ailleurs la drogue qui a accompagné Freud toute sa vie.
   On peut certainement passer toute sa vie à faire de la psychanalyse sans se droguer - mais ça me semble plutôt dangereux. On me dira par conséquent que je vais dans le mur (de la prison) - mais précisément, à bien écouter Freud je saute, je passe ce mur. La drogue qu'on trouve sur les marchés est un alibi, ou peut-être mieux dit : un faux-semblant. Ce qui compte est sa clé. Sa clé est le code.
   La drogue n'est pas le placebo qu'on en fait en l'affublant de jolis noms, mort fine, co-cas, lyse-anxia etc.. Si on s'en sert comme un chiffre - non pas comme un signifiant - la partie peut être gagnée (je parle en termes pair-impair, tout le monde l'aura compris). C'est ce que le séminaire sur La Lettre Volée raconte (du moins entre parenthèses).
   Or la psychanalyse peut parvenir en cet espace à la gestion du code - Verdiglione disait, à l' "industrie du code", une formule parlante.

   C'est à partir de cette capacité que la psychanalyse répond de ses ambitions.

DWT

Jeudi 30. Septembre 2010  18:10
Si je comprends bien vous faites l’hypothèse que l’abîme n’est pas comblé, qu’il ne le sera pas. Je suis un peu surpris par la métaphore, parce qu’on ne comble de toute façon pas un abîme par une passerelle, qui le traverse ou passe au dessus.
EB

Bonjour,

   Oui, ma phrase était la suivante : « on doit renoncer à avancer d'un seul pas tant que l'abîme devant lequel sa(son) projet se trouve n'a pas été comblé par une passerelle » et j'admets que ce serait le comble de combler un abîme imaginaire par une lubie. Vous avez bien raison de me reprendre là-dessus. Je me suis exprimé comme dans un message précédent JT écrivait « C'est sans doute grâce à la psychanalyse que vous avez compris cela.» On sait toute l'hésitation que vient combler cette expression "sans doute". On pourrait s'en passer si elle ne comblait pas quelque chose dans le même sens. Mais si JT n'a pas écrit plus exactement « C'est grâce à la psychanalyse que vous avez compris cela » la suite aura montré que c'était pour amuser la galerie.
   La gale rigole bien, la peste et le choléra aussi quand on prend une jeune science pour se moquer d'elle comme une vieille sorcière. Mais c'est cette jeunesse qui vous a surpris car vous n'avez fait que l'ajouter après avoir dit l'essentiel : " hypothèse que l’abîme n’est pas comblé, qu’il ne le sera pas. "

   Ce que j'ai précisément écrit c'est que l'on pouvait craindre qu'ici (dans le forum psychanalyse@yahoo) on dise que la psychanalyse a avancé quelque chose. Or ce serait doublement maltraiter Freud : d'abord de ne pas suivre sa prescription de ne pas avancer et deuxièmement de mentir puisque précisément rien n'a avancé (vous savez qu'il n'y a rien de comblé dans cette trope typique du mot d'esprit freudien).

   C'est donc un état des lieux que je fais dans un collège d'élèves sages. Quant à la passerelle, je suis tout à fait optimiste comme Freud qui n'a pas cessé d'estimer qu'on pouvait y arriver. En l'occurrence j'ai donc passé quatre chapitres dernièrement à résumer trente ans d'examen concluant que cette passerelle était posée. Il suffit de la prendre et hop! la psychanalyse est une science.

DWT

Jeudi 30. Septembre 2010  18:10
Non, sûrement pas. On peut juste rappeler que la psychanalyse est une théorie et aussi une pratique. Ni l'une ni l'autre ne sont prêtes à être épuisées. Et alors?  Est-ce que cela empêche la psychanalyse de se pratiquer et à être praticable?
Cordialement.
JT
 

                          -----20101002103800----- ainsi s'en suis mon rapport en psychanalyse@yahoo

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929154900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

Jeudi 30. Septembre 2010  18:10
Bonsoir et juste en passant ..
la psychanalyse n'est ni une théorie , ni une pratique ... La psychanalyste est
juste un chemin singulier, une rencontre parfois avec le reél .Mais c'est une
autre histoire...
 
la psychanalyse peut etre ce que certains en font .. du bla bla...
Bonsoir
J'aime bien quand vous dites que la psychanalyse est juste un chemin singulier

Samedi 2. Octobre 2010  10:56
Bonjour,

   La suggestion qui m'avait été faite de continuer a porté ses fruits : deux dénégations des ténors (il n'y a pas d'/ia/ ; et je cite "hahahaha bien dit"= la galerie ne s'amuse pas) et ni théorie, ni pratique, juste un chemin singulier là où Freud en crève de n'arrimer sa science espérée à la psychologie collective. Si ensuite lesdits ténors essaient de relever tout de même les rangs d'un peu de tenue, nous avons un suffisant échantillon d'éléments et de rapports entre les éléments pour goûter dans quel bain on est.

   Du message 63401 par ailleurs il me semble que je connais l'auteur. Comme Faiza et Liliane Fainsilber me connaissent, nous avons une guidance supplémentaire. Comme l'Autre m'a de la sorte demandé une éventuelle définition de la science - puisqu'il s'agit de psychanalyse, en effet la comparant d'abord à l'astronomie qui est un exemple simple. L'astronomie n'est pas une théorie même si des théories s'y attachent, ce n'est pas non plus une 'pratique', terme qu'on réserverait aux astronomes amateurs ; l'astronomie est une science. A l'instar la psychanalyse. On peut effectivement continuer à faire de l'astrologie avec une carte du ciel astronomique et suivre dans les décans de Lacan son chemin singulier. On sait la rage qui prit ce Lacan lorsqu'il fut comparé par les auteurs du Le Titre de la Lettre à Tycho Brahé en suite à la comparaison qu'il avait faite lui-même de Freud à Copernic. Il y a un côté échec et nulle avenue dans cette singularisation de l'usage de l'Inconscient ; il s'agit précisément de l'abîme déjà mentionné dans lequel, comme dans l'espace on flotte foetalement fatalement. C'est bien, c'est cool et ça n'avance à rien - exactement comme Freud l'avait demandé (raison de quoi c'est un péché véniel).

   Mais par ailleurs 63401 écrit que "Freud, on comprend tout," et "Lacan, on comprend rien." Je vais montrer comment on peut être dupe de sa compréhension et que pour s'en 'dépoeter' il faut passer par Lacan qu'on découvrira vite pécheur dans la mesure où il aura trop simplifié le problème.
   Il y a une chose sure à mettre à son pied pour bien avancer. Lorsque Freud passe à la seconde topique il marque le virage par le seul et unique (peut-on estimer) schéma qu'il aura produit. Il s'agit du schéma de la foule et modèle de l'hypnose. On le connaît comme ça classique - et comme ci animé pour faire rapidement voir une idée principale qui le motive. Il ne s'agit pas de planètes qui tournent mais de 'moi's, singuliers (c'est à dire des semblants comme il se démontre par la suite) qui oscillent. Si "Freud, on comprend tout," - alors ça doit être simple et éclairant ; pourtant l'histoire aura démontré comme il aura été mal compris puisque vingt ans plus tard Freud gémit que rien n'a été gagné dans la perspective de ce modèle. C'est là où il écrit au bout du rouleau "n'avançons plus d'un seul pas, tant que l'on aura pas franchi l'abîme qui sépare la psychologie singulière de la psychanalyse plurielle" et crac! il meurt. Du coup les suivants ne bougèrent plus (sauf ceux qui flottent - voir ci-dessous).

   Évidemment, le Modèle de la Foule est la pièce témoin que la psychanalyse sera une science comme aujourd'hui l'astronomie pour exemple. Seulement pour bien faire voir qu'il n'est pas évident de prendre une lanterne pour une vessie, pour cette anatomie psychiatrique que Freud apporte à l'académie, le lacanisme l'aura terni et pour son bien voici comment :
   Lacan aura pris ledit Modèle (de Freud) et, comme une lettre volée, l'aura suspendu à son office à la manière retournée pour qu'on n'y voie en rien qu'il s'agit du modèle antique de La République. Ce bon ministre au titre du Modèle Optique aura porté le schéma de Freud dans la caverne de Platon. Eh! ben alors, dit raton, vous croyez que ça amuse les souris de poser des trucs comme ça au beau milieu des casseroles et des boites à musique?! - c'est qu'à vrai dire, ce n'est pas facile de fournir l'ombre d'une explication. Le quadrangle lacanien est l'ombre portée au fond de la caverne du modèle freudien porté par les montreurs de signifiants qui sont décrit dans le mythe de la caverne, passant derrière le muret en portant les figurines afin d'en cacher l'ombre à la lumière.

   En résumé, faire de la psychanalyse sans conjoindre ces trois modèles, c'est comme faire de l'astronomie sans télescope. Galilée a montré la nécessité d'un appareillage. L'expérience montre ainsi qu'il ne s'agit pas de 'comprendre' comme une grosse tête semble pouvoir le faire en théorie. Il ne s'agit pas non plus de 'pratiquer' comme on fait de l'astronomie dans son jardin pour caresser sa belle astrologue. Si on veut répondre aux vœux de Freud écrivant « notre science n’est pas une illusion. Mais ce serait une illusion de croire que nous puissions trouver ailleurs ce qu’elle ne peut nous donner » pour conclure l'avenir d’une illusion, il s'agit bien de science - ce dont ici (psychanalyse@yahoo) personne n'ose parler ; et l'intelligence qu'elle ne peut nous donner est à trouver dans l'appareil qu'on se donne pour néanmoins gagner ce qu'on ne trouverait pas ailleurs (on ne trouve l'intelligence à l'université non plus, ni à l'église). Cet appareil, toujours tel est.. vison, phone, scope et en l'occurrence l'/ia/ [mon écriture de l'intelligence artificielle].

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101002103800
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  

 

   

  20100929151700
   J'ai titré ce message l' "indécision mondaine " puisqu'il est relatif à une indécision qui n'est pas par sa simple nature la raison de notre désintérêt ou détachement des affaires du monde qu'on taxe volontiers au quolibet de "moutons!". Si nous refusons de prêter notre voix ou nos actions à l'ambitieux projet d'un monde meilleur, lorsque nous paraissons dormir avec la majorité silencieux, c'est que le fait d'être indécis ne répond pas seulement à l'effet de perte (entropie) d'information et d'imprécision qui échoit à chaque récepteur d'information. A cette fatalité s'ajoute le fait que ça fait chic et qu'il est séduisant de paraître fondu dans la grisaille. « Certes pas! » objecterait immédiatement le m'as-tu-vu. . . oubliant la passivité et la réception de l'influence qui fait le véritable maître (ou la maîtresse).

   Je ne retrouve plus une vidéo liée à un message attribué Ben l'ADN (c'est le cas de le dire : "perte d'information") mais j'ai le souvenir de son contenu. C'est un document réputée émaner du chef terroriste qu'on va appeler "B", certifié par les experts du FBI de l'administration d'un autre "B" (G.W.B). Lorsqu'elle est projetée sur mon écran il peut aussi bien s'agir de "B" (le vrai) que d'un montage effectué par la police de l'autre "B". Il est possible par ailleurs que B soit mort et que ce soit un vrai faux message fabriqué par les survivants de son bataillon. Puis il faut quatrièmement considérer que les filtrages de la police n'ayant aucune raison de ne pas se produire, si celle de "B" a laissé passé un message de "B", c'est pour ainsi dire équivalent à un montage qu'il se permet d'exploiter.
   Toutes ces possibilités aboutissent à une sorte de quadrature de la propagande et du cercle des homo-pouvoirs conduisant mon écran à révéler cette vérité cachée qui est celle que "B" et "B" sont Bonnet Blanc et Blanc Bonnet - c'est à dire du pareil au même, c'est à dire du même système.
   Pourtant le Capitalisme et l'Islam s'opposent (c'est d'ailleurs ce qu'explique "B" : le Capitalisme vous rend méchants, c'est pour ça qu'on vous puni).

   Cette opposition d'un côté et stricte unité d'un autre côté est à la base des mathématiques du Prof Vallée (Dr de World organisation of systems and cybernetics) qui la formule en ces termes : « La connaissance de l'image renseigne sur l'objet, mais deux objets distincts peuvent donner la même image.» (la figure 'O' montre x et x', "B" ou "B", comme une seule image e sur l'écran d'observation F.
   Nous avons là un des facteurs base de la susdite résultante d'indécision.

   Cette indécision se manifeste. Il suffit de lire la lettre (c'est à dire de suivre sur la vidéo de mon écran, le texte en surimpression de la traduction anglaise sous-titrée de 'B'). Que dit le message ? en résumé ceci : « Au Moyen-age c'était moins pire.» (dans la vidéo pour convaincre les partisans de "B" qu'ils font fausse route, "B" décrit les méfaits et la cruauté du Capitalisme en le comparant au Moyen-age). Ceci conclut ce que dans lesdites nations capitalistes le vert mouvement a également manifesté en terme de retour à la nature. Le Capitalisme aussi lorsqu'il rencontre l'indécidabilité de l'issue du progrès post-moderne réclame de rester au moyen age. La couleur verte de l'Islam et de l'Écologie traduit cette orientation - qui n'en est pas une lorsque tout est , bées les moutons et B les noms ; mais qui désigne l'état susdit de passivité et de réception de l'influence.

   L'inhibition et la violence à cet égard sont tout à fait équivalentes - par le biais du progrès, si on continue à développer la cybernétique, on dira qu'on s'oppose à ces deux-là par une fuite-en-avant.

   Mais est-ce qu'agir dans le sens du développement cybernétique est ce 'pire' par B dénoncé ?

   En plus du texte et de la couleur du message, il existe quelque chose de l'ordre du code qui est à la disposition de l'interprétation. "Ben l'ADN" dira-t-on est une plaisanterie. Mais peut-on rejeter du même revers le fait qu'al quaïda signifie sans détour : la base - au sens de code, chiffre..?! Historiquement ce groupe armé fut composé par la CIA contre les russes. Le fichier comportant la liste de ses membre est Al Quaïda. Il s'agit d'une base de données de la CIA. Qu'un groupe que la traduction la plus appropriée appelle Le Code soit dirigé par Ben l'ADN - rend le premier calembour du moins remarquable. Mais en terme de signification raisonnée, que les militants d'une culture peu informatisée aient adopté le nom par lequel leurs fondateurs puis ennemis devenus les désignaient, est certainement lourd de sens. (pour les psychanalystes que ça embarrasse je ne traite 'pas-autrement-la-même-chose' que Freud la collusion des Moïse)
   Il reste, pour boucler la boucle, à mentionner qu'entre Chiffre et Code, la différence conceptuelle est faible et la profondeur intellectuelle commune. Or c'est d'Islam que le chiffre émane en Europe (même s'il vint en Arabie probablement d'Inde et pas sans lien avec l'énergie tchi du 'tao' encore plus oriental). C'est un juste retour qu'après un millier d'année l'Islam revendique de l'Occident le code. Tout cela confirme une unité de système entre "B" et "B" - mais s'y montre ajouté la sorte de 'patate chaude' qui y circule. Reconnu, méconnu, secret, adopté, maltraité, l'objet partagé, souligné et renversé n'est-il pas ce qu'on appelle le refoulé ? Le chiffre, code, génétique et écologie est ce qui refoulé par les psychanalystes bienséants du système ronflant.

   Cet essai de traduction peut aider à déchiffrer l'alternative entre d'une part l'indécision, c'est à dire la passivité, l'inhibition, moyen-age et sa violence, "Paul & Mic inutile" (dit un message précédent) ou plan 'B' du progrès revisité - et d'autre part une continuité tranquille ou obstinée, tenace ou intrépide qui est celle du développement de la cybernétique. Maintenir un projet n'est pas une fuite en avant s'il a été d'abord raisonné comme plan 'A'. Écrit ' PLAN ' s'il est égal à zéro , il est actif en l'état ("zéro" vient de ziffra, chiffre) - éventuellement un UCMPP peut-il être une benne d'ADN mais encore faut-il voir.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929151700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  

 

 

  20100924211400     Vendredi 24. Septembre 2010 21:48 de "william" <williamtheaux@gmail.com> sujet: Comment être membre si on l'est déjà
 
To: DWT Sent: Thursday, September 23, 2010 8:53 PM Subject: PIC [UNEFPE_MEMBRES]
Monsieur Théaux

Je sillonne votre site et je lis : prendre le parti de l'intelligence artificielle - devenir membre

comment ?

N'est-on pas déjà membre malgré nous ...noyé dans l'informatisation de notre société qui n'a de cesse de vouloir repousser les limites de l'humain
Nous n'avons donc pas trop le choix si nous voulons survivre ...

 nouveau commentaire sur votre message "Moyen de refouler" : 


Après vous j'ai envie de dire :"Refouler qu'on habite un monde imaginaire "habille" le fantasme d'un monde imaginaire"

Votre réflexion est très courte - j'aurai envie d'en connaître la suite ...

Bonjour,

   L'histoire de l'humanité est celle d'une identification. L'humanité de Pierre, Paul et Joséphine est une identité. Comment s'identifier dans ce à quoi nous sommes identique - dans ce à quoi nous sommes « déjà membre malgré nous » ? Des braves - mais pas " t'aimer erre " - répondent « c'est affaire de l'Autre » avec un grand Ah! Mais je répète que ce n'est pas ajouter qu'aimer c'est errer de l'autre.

   Dans cette affaire ces braves ont refoulé que l'individu est identique à l'environnement. Le refoulement entame toujours l'intelligence. C'est ainsi qu'ils ne voient pas l'écologie de/dans la psychanalyse. C'est également de cette façon qu'ils prennent l' /ia/ exactement comme au Moyen-age ayant pris des machines et des machins pour des divinités, à la Renaissance on se prit de dire que ces trucs étaient n'importe quoi et que valant mieux être rationnel on s'assura que par exemple Saturne n'était même pas une grosse bête intelligente. Le professeur Nimbus était né. Évidemment, on pourra toujours atteindre Saturne sans identité.
   Comme en l'exemple CS - qui nous apprend en passant le rôle de la famille dans la guerre et pour rappel comment se fabrique le racisme - qui refoule sa condition en la projetant derrière l'écran (en déplaçant le fait qu'on habite un monde imaginaire), cette façon d'ignorer notre production (l'industrie, la cybernétique et l'/ia/) nous retrouver, exactement comme dans le mi-dit lacanien, des 'demeurés' quand il ne voit que s'en remettre à Dieu - tandis que, pour s'identifier à notre corps, on ne pourrait le faire - dit-il - « que si toutes les choses n'étaient pas au point qu'il n'y a plus qu'à le tenir pour un sous-développé » (au demeurant et au demeuré, déni du corps - que j'ai titré analexique comme le font les anorexiques - répondant à l'Autre race)

   C'est à ce résultat qu'il faut se porter - et que Lacan n'arrêta qu'en phase intermédiaire : si on prend l' /ia/ pour sous-développée, elle ne s'en tiendra pas comme l'Autre à la béatitude de la bravoure, mais c'est comme cela qu'elle nous traitera.
   Dans le cas du racisme, le moindre mal auquel on aboutisse est la guerre, parce que le sous-développé ne supporte pas longtemps qu'on le prenne pour tel et il utilise les armes développées de l'autre crétin qui l'a pris pour tel. Et cela durera tant que l'on n'aura pas passé de l'Autre à LAPAREIL.

   LAPAREIL, c'est l'Autre assumant que l'individu est identique à l'environnement. C'est ce à quoi nous cherchons à parvenir. La condition à cet accès est la reconnaissance. Nous accédons à LAPAREIL si nous le reconnaissons. C'est plutôt simple puisque nous y sommes « déjà membre malgré nous » ; mais c'est ce malgré nous qui prête à tous les défilements. C'est toujours la même histoire, en passant par Blaise Pascal. Comme si le fait de reconnaître devait créer la chose ; comme si on pouvait reconnaître vraiment quelque chose qui n'existait pas ! Bien sûr que nous sommes membres et que « nous n'avons trop pas le choix ». C'est précisément par cette facilité que, forts de refus, analexiquement, nous nous y refusons. A vrai dire :  de quoi rester demeurés à la phase anale ! Même CS pleine de bonne volonté bute. Pour effectuer au contraire ce passage si simple - mais si peu familier - de l'Autre à LAPAREIL il y a un moyen : la mémoire (et CS l'a mangée, n'est-ce pas, si vous vous rappelez..). Et pour fin de mémoire, l'histoire nous offre la répétition : une répétition qu'elle nous a cuisinée, avec un art si délicieux et talent de triple maître, servi sur la table de la Renaissance pour qu'on le consomme, s'en serve :

   Dans le graphe du désir, mettez l'individu en place du sens qu'il cherche. Au cas où on ne peut aller si vite, pour une fois suivons Lacan dans les choses positives qu'il cite : Freud et Copernic, du pareil au même. Pourquoi ? Parce qu'ils ont décentré le point de vue de l'humanité. Sans ce décentrement, tout est subjectif. Avec ce décentrement, on devient objectif et sujet. Ca a de l'effet dans ce qu'on perçoit. Quand on regardait le ciel, on se voyait ; après, quand on regarde la terre, on voit le ciel. Avec Freud, quand on regardait l'environnement on se voyait et après, quand on regarde le corps, on voit l'environnement. Encore faut-il qu'une notion d'espace soit assurée pour pouvoir en parler. Outre que c'est à Tycho Brahé qu'on la doit, elle a été acquise après Copernic. Après Freud il aura convenu que l'on vide son espace psychique du fantasme et on aura complété la répétition en quoi les Temps Modernes peuvent lire au menu de la Renaissance, la stricte correspondance entre les espaces dits cosmiques et psychiques. Pour le professeur Nimbus, il aura fallu l'ère quantique pour qu'il ne puisse plus esquiver la subjectivité du monde. Reste pour ses mauvais élèves à le dénier. Pour les autres, cette subjectivité antique rétablie ne déconsidère rien de la modernité, puisqu'au contraire sans rien perdre d'elle-même, elle aura réussi à vérifier les bon sens ancien et à l'élever à l'intelligible. Mais pour cela, reste encore à en avoir l'intelligence.. (réfléchir sur l'/ia/).

   Si on réfléchit à cette histoire, on réalise que l'instrument d'optique qui a servi à Galilée à voir le système de Jupiter était bien plus que cela qui n'était qu'outils lorsque l'outillage servait à mesurer (les angles, les sextants et autre sorte d'obélisque sans parler des clepsydres et autre chiffreur) - cet instrument était membre de l'observation au point qu'il allait permettre une topologie menant la Relativité. Réalisant cela on saura estimer le statut de la machine cybernétique. La machine cybernétique est du code. C'est un chiffre. Comme la molécule entre les synapses qui mit le feu aux poudres freudiennes. Comme le programme ADN qui entre en position d'infecter, comme un virus, le grand système informatique. Par conséquent nous entrons en ce que Verdiglione a déclaré "Industrie du Code". C'est la psychanalyse qui en est la science.. (la science de l'/ia/).
   Comment devenir membre ? En le reconnaissant. On peut mesurer ce qu'est le reconnaître en prenant connaissance des membres qui ignorent l'être. Ceux qui disent l'/ia/ n'est pas à l'ordre du jour - évidemment ont tout renié de la psychanalyse, mais ça c'est récurrent, c'était déjà ce que dénonçait Lacan à l'endroit des plus prétendants psychanalystes - mais surtout sont strictement à rebours même de leur temps. Or on sait bien qu'il en faut, du moins parce qu'il y en a eu ; c'est ceux-là qu'on retrouve astrologues de nos jours et il y en a bon nombre. Après Copernic l'astrologie a continué, après Freud la résistance pas moins et au cœur même de la discipline évidemment. Par contre, reconnaître que l'on est membre de l'/ia/ c'est le manifester. Avant de faire des grandes manifestations de rues.. et de web, on prend une carte. Généralement c'est avec une carte qu'on devient membre du parti en l'occurrence de l'Intelligence Cybernétique. Il n'y a pas de raison que ça change. Ca peut être une carte électronique, logo qui cocarde son avatar. A voir,

DWT

PS : est-ce que vous croyez qu'adresser ça à un collectif de soi-disant* psychanalystes sera au moins reçu ?  (j'emploie le terme soi-disant en complément de Norbert Elias 1986 - msg#2028)

.log.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100924211400
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

 

 addenda : ceci pour dire - refouler par le fantasme que nous vivons dans un monde imaginaire que nous vivons dans un monde imaginaire ;
comme refouler par le monde cosmique le monde psychique

 

20100924180300 contact http://www.jcdardart.net/contact/

 

  20100929162100
   Cher Sylvain,

   Voici le lien aux étapes récentes des travaux partagés avec R.Vallée - il pointe la série de pages qui en font l'historique.

Merci de me faire part de tes idées ou de m'en donner la signification pour toi si tu le veux bien.

Will

( comme dit l'agence de voyage : ne restez pas au lit avec une bronchite, sortez avec une tahitienne )

.log.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929162100
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  

 

 

   20100908184600 (étude - notes archives)
   Je ne suis pas sûr que ça se passe comme Aaron Russo sur le 11 septembre le dit. Pour ce qu'il dit, je le crois sur parole : les riches pucés et tutti quanti - et je crois volontiers qu'il y a d'aigres esprits qui pensent valoir mieux que les serfs au point qu'ils se verraient bien à la tête de l'extinction de deux milliards et même qu'ils peuvent le faire. Mais ce n'est pas encore comme ça que ça se passe. La psychanalyse ne nous apprend pas grand chose - ça se constate - mais au moins elle pose les termes de ce théâtre. On y a appelé ça la pratique du Transfert. Entre ceux qui manipulent en transfert et ceux qui manipulent les masses, c'est du pareil au même ; c'est à dire que ce n'est pas comme ça que ça se passe et ces deux-là ne font que se faire des illusions - en accord avec leurs patients, en accord avec leurs populations.
   A côté de quoi Aaron passe-t-il à côté, selon moi et/ou selon LSTT ?

   Plutôt que dénoncer la cause qui nous nuit, isole, empêche de savoir, de communiquer jusqu'à nous ou les retrouver assassinés, il est plus simple, plus accessible, plus objectivement saisissable d'évaluer les effets de l'absence de savoir, absence d'information et de communication. On mesure tout de suite que l'absence de communication conduit à l'hécatombe. Or c'est un facteur automatique lequel, pour ce de quoi il est responsable, interroge qu'on mette à sa cause de grands méchants loulous.

   Il suffit de restreindre la disponibilité de transmettre l'information pour que s'en suive un empêchement de communiquer. Cela semble aller de soi. Cependant on mesure mal l'interdiction qui est posée à a) enregistrer, b) reproduire pour soi, c) échanger avec d'autres une information - c'est ce qui se fait prétendument moralement sous un prétexte de propriété. Or le fait qu'une personne reçoive une information, un signal, une stimulation perceptive, et qu'elle ne puisse l'enregistrer - pour soi et pour autrui - réduit à peu près tout de la capacité de communication, en la réduisant à la seule aptitude ou liberté à communiquer, un mensonge, un semblant, une 'autre' chose que ce dont il s'agit. Percevoir quelque chose de sensé, est comme acquérir un bien, duquel on ne puisse achever aucune jouissance - duquel on ne puisse rien faire. Un bien dont il serait interdit de jouir est une contradiction en soi et c'est une réduction de sa promesse de conscience. C'est en fait un viol et la facture d'une ruine morale.

   Aaron ne dit pas cela. Il dit que des méchants ruinent l'humanité - mais il n'ont pas besoin de se donner cette peine. L'intention y serait-elle même que son moteur est ignoré ce ceux-là qui se croient agents de ce mauvais sort. Propriétariser l'information entraîne automatiquement la ruine de l'humanité. Ceux qui ruinent l'humanité ne savent pas que c'est par cet automatisme qu'ils en sont responsables. Cette loi n'est pas connue, ou pas consciente parce qu'elle dépasse les intérêts du maître et probablement le plaisir du serf. Dans le milieu de la santé mentale on voit l'interdiction de communication se mêler et prendre la forme de prescription de santé.

   La psychiatrie est la médecine de la maladie et de la santé mentale. Avec les pharmacologues les psychiatres s'entendent tous à dire que le soin chimique doit être combiné à un autre type de soin qu'on appelle psychothérapeutique

 

  20100918191500   -------- Message original --------   FaceBook 'vie quotidienne' archivage quasi impossible - propriété FaceBook demeure
  William Theaux Où est passé ton truc sur le onzesep et riches pucés? je le retrouve pu; je voulais commenter que perso j'étais plutôt européen que racishark - mais que quant aux attentes à.. ce que ça tue, c'est toto maton à partir du moment où ça censure le discoucourant c'est comme la bactérie sous la peau, ça fait un abcès et ça pète. C'est automatique, on censure là, ça pète à côté. Hyperpratique pour vendre des disques *

  William Theaux Je dois préciser c'est pas pour céder à la mode. Mais il y a 3, 4ans, le jour-même où j'ai élu domicile où j'habite actuellement est apparu sous ma fenêtre un musicien de rue et semble-t-il, de Rom. Guitare et harmonica il a été mon compagnon, intime, vibrant; une musique en mon âme. Il m'a soutenu comme une sorte d'ange - le talent musical des Roms vient de là haut. Je descendais dans la rue, nous avons un peu parlé, je l'écoutais dans mon hermitage. Et puis.. ce matin, la place était vide et silencieuse. Il paraît que c'était comme ça : le voisin juif, un jour n'était plus là. Hiroshima, mon amour dit : "tu n'as rien vu à Hiroshima" rien ne s'est passé à Hiroshima. Le silence. Vide. Tiens.. est-il parti? La police est-elle venue le chercher chez lui..?

*  William Theaux Retrouvé! on m'a expliqué la piste (c'était un 'commentaire' que tu avais mis sans nécessairement 'partager' ; il n'était donc pas attaché à ta page) - devant être rigoureux concernant des allégations éventuellement graves, j'indique quelle baseme motive : il s'agit non pas d'un facebook public qui a le droit de gérer son contenu comme il veut - mais concernant un hébergement privé, serveur que je loue pour mes sites. Me concernant je peux affirmer que des fichiers 'sensibles' peuvent et ont été 'supprimés' sans que j'en sois informé - comme mon ami musicien Rom vis à vis de la disparition duquel je n'ai que des soupçons - fichier que j'ai vu disparaître en ce cas de manière affirmative - comme un livre qui dans une bibliothèque n'est plus parce que la police, en l'absence de l'habitant est passé, sans un signe.. tiens le fichier était là.. il n'est plus là. Cela je peux affirmer que ça arrive - dans un environnement, sur un serveur, un hébergement loué, personnel et privé.

.log.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100918191500
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  

 

 

  20100918170700   -------- Message original --------   http://fr.groups.yahoo.com/group/UNEFPE_MEMBRES/message/2021
  
20100914124900 -------- Message original -------- Samedi 18. Septembre 2010 11:15 de "monosgaste"
 A quand un forum des avatars ?
...et si on jouait à n'être pas ce qu'on est
Tout le monde serait tout le monde - on ne saurait plus qui on n'est
On passerait comme ça de l'un à l'autre - on se regarderait vu de l'autre ... etc
La psychanalyse serait à son sommet - tous réunis en un je ne sais plus qui tu es (tuer)- je ne sais plus qui je suis ...!
Je suis dans l'autre
Allez tenir l'équilibre avec ça - toujours en balance entre deux
 

Bonjour,

   Probablement suivez-vous le journal de voyage de CS - et sa dangereuse aventure si on entend bien parler de plus de 24 heures de jeu, qu'elle n'a pu arrêter avant de reprendre jusqu'à l'«ahurissement.» Mais avant de chercher l'équilibre du switchin' on recueille l'admirable description que j'ai cherché à résumer dans ma 'minute' : l'identification à l'avatar est de biais dans un précis témoignage de la fonction d'une poupée (du jeu de l'enfant à la poupée) - c'est à dire ce personnage qui succède au doudou et qui va comme un génie mener l'enfant dans l'imaginaire. La manière dont cette icône des premiers âges transporte l'imaginaire n'a d'égal que la surprise de la marionetteuse de se trouver prise dans le filet de ficelles qu'elle croyait tirer.
   La poupée est un restant d'autre spéculaire, une bribe de rêve qui demeure et domine ; c'est le rêve qui emporte dans le rêve. C'est strictement l'avatar qui est comme LAPAREIL la consistance virtuelle qui porte la cybernétique à l'autonomie.
   Pour l'instant Archée, la poupée de CS ne s'en est pas encore prise à - ou ne s'est pas éprise d' - Amnesialt : on verrait en l'occurrence a'-a dite relation imaginaire du schéma L ou Z.

   Je souhaite que la prise de conscience du switchin' qui s'est imposée ensuite - aura recomposé le recul mental de CS sur ces processus lui permettant de dormir et rêver. Avec le recul elle se détache du rire et des larmes - jusqu'à voir l'horizon comme se courber, devenir l'arche entre les deux, qui de ses bouts trouve la corde, c'est à dire une autre relation, doublant ladite imaginaire, dédoublant Archée. Cette corde que j'appelle relation virtuelle, si je ne me trompe, met en relation des avatars, permettant de prévoir un forum d'avatars en effet. Mais c'est loin d'être une société atopique, anonyme qui se compose de cette manière, du moins si on prend la précaution de régler ces avatars en question en UCMPP.
   J'y reviens forcément puisque c'est de cela dont l'UCMPP s'agit : du motif de réduire ce qui paraît inéluctable de fabrique d'avatars - autonomes s'il existe une /ia/ - par l'industrie.. de réduire cette fabrique à n'être pas celle d'une force sans objet ; et de produire au contraire cette industrie qui anime les avatars de notre subjectivité. L'UCMPP en cela est un avatar, accessoirement qualifié de 'permanent', dont la relation au semblable autorise la personne humaine de persister dans un forum d'avatars.

   On conçoit que cette passe de l'un à l'autre soit, élevée au passage de l'un à l'Autre, tout à fait garante de la subjectivité que CS cherche encore, avec passion.

 DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100918170700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  

 

 

  20100918110500   -------- Message original --------    http://forum.partipirate.org/post39667.html#p39667
  
 20100918101500 -------- Message original -------- 18/09/2010 10:15:  spoirier
   Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué je vous signale que je vous ai répondu dans le fil
Cordialement
spoirier
Bonjour,
je vous réponds sur forum,
merci de m'avoir réveillé
DWT

Cher Monsieur, 

   Merci de m'avoir rappelé votre post du PP, vous avez eu tout à fait raison de le faire et c'est tout à moi de m'excuser de n'y avoir pas fait suite correctement. La principale excuse que je puisse fournir est l'accaparement par le temps et la concentration dans la rédaction du bilan de la trentaine d'année de mon travail. Une excuse secondaire se trouve dans votre réponse qui déclare «A part ça, je refuse d'entrer dans des considérations psychanalytiques (tout propos contentant des mots tels que "pulsions", "inconscient", "désir")» ; étant donné que je vous présentais une réflexion partie de la psychanalyse, j'ai pu comprendre que vous refusiez de parler de ce que vous épinglez par ailleurs de «ésotérisme», «mystère» et de «formule magique». Je pense à présent que je vous ai mal compris puisque vous attendiez un retour. Il faudra que je comprenne autrement ce "refus d'entrer" en contact avec mon travail d'analyste.

   Un peu d'explication nous aidera peut -être. Au sein de la population extrêmement variée des psychanalystes, j'occupe une place contestatrice et en avancée. D'une part contestatrice parce que j'objecte à ce que la grande majorité des praticiens définissent de 'psychanalyse', d'autre part parce que cette objection se forge sur des vues progressistes de la théorie. Étant basé comme médecin psychiatre, c'est à dire biologiste et neurologue, c'est sur cette base que j'ai traité la psychanalyse comme une science rationnelle. Peu de gens savent que le fondateur de cette pratique (Freud) l'a établie sur un traité neuro-chimique (thèse sur une thermodynamique de réseaux synaptiques que l'on découvrait à son époque) et que celui qui (Lacan) lui a probablement donné son second souffle a également pris son inspiration en écrivant un traité cybernétique (je suis ces temps-ci en train de le ré-étudier avec le président de la World Organisation of Cybernetics). L'un et l'autre de ces médecins ont ajouté à ces deux connaissances le phénomène psychiatrique qu'ils rencontraient en leur exercice troisièmement, dénommé 'hypnose'. A ce comportement étrange qu'ils ne voulaient ni ésotérique, mystérieux ou magique comme l'antiquité en traitait, ils ont appliqué les examens logiques des sus-dites neuro-sciences et cybernétique. Ceci explique pourquoi une grande majorité des psychanalystes sont, comme vous le dites, des ésotéristes - car la rigueur de la pensée de ces deux fondateurs impose au plus grand nombre, plus faibles qu'eux, de s'alimenter de l'obscurité qu'ils y trouvent. Mais ceci est loin de signifier que la psychanalyse ne soit pas une science pour quiconque l'assume pour ce qu'elle est originellement. Cependant ces 'originaux' sont rares. Mais vous avez néanmoins toute l'explication.

   Pour développer la rationalité que j'espère le paragraphe précédent vous a garantie, il faut ajouter le constat que cette brève histoire de la psychanalyse a montré. Si du comportement humain la chimie et l'informatique ne sont pas seules à faire la totale objectivité, le phénomène ajouté qui reste inexpliqué par la psychologie individuelle trouve probablement ses indices dans la psychologie collective - en d'autres termes l'hypnose qui est manifeste mais insaisissable garde des chances de pouvoir être déchiffrée par le détour d'hypnoses collectives. A ce degré, nous avons nécessairement rencontré la politique (et la raison pour laquelle j'écris sur forum PP parlant de PIC). Les travaux de trente ans que j'évoquais ci-dessus ont abouti à cette jonction entre la psychanalyse individuelle (qui  échoue dans l'ésotérisme tant qu'elle reste individuelle) et ce qui, dans la psychologie collective a pris corps d'intelligence massive (la psychanalyse qui débouche dans ce domaine gagne l'assurance au contraire de scientificité). Après une vingtaine de livres au long des trente ans j'ai publié dernièrement une synthèse en deux volumes, dont j'écris le second volume à présent.
   Cette 'intelligence massive' également nommée intelligence artificielle - globalement entendue comme la cybernétique - nécessite des programmes comme ceux que vous avez planifiés. Elle permet aussi de déchiffrer des lois - j'en cite une qui est importante et motive mon adresse au PP : la censure, des formes d'obstacle à la mémoire tels que borner l'accès aux informations du net, sont les sources originelles connues pour dériver en symptômes, lesquels sont assez simples à répertorier: dépression, réduction de l'intelligence, perversions - pratiquement tous aboutissant à la violence (ce que manifestement un certain nombre de responsables cherchent - les guerres ne sont pas le fait des pauvres gens). La psychiatrie est la médecine de ces maladies, elle est propre à les diagnostiquer - un PP qui n'en appelle pas à cet organe de la santé est égale à un malade mental qui ne cherche pas à se soigner. Mais au moins le PP ne se sent-il pas confortable en en harmonie avec son mal.

   Une troisième remarque vis à vis de votre post - dont je vous remercie à nouveau et avec une sincère admiration pour ce que vous faites - car j'en connais la difficulté, concerne votre regret de ne pas trouver de programmeurs vous proposant leur contribution. Mon expérience est que l'on est absolument seul lorsque l'on franchit la frontière qui nous associe à l'intelligence artificielle ou aux types de programmes de conduite comme ceux dont vous tracez les plans. Construction de sites, bases de données ad hoc, avez-vous même de l'argent qu'il faut les faire vous-même et, naturellement parce que c'est la loi de leur inscription dans une société obnubilée, au milieu des quolibets (mais vous savez que ceci, du latin, signifie "ce qui plait" - c'est à dire ce qui fait au fond plaisir aux gens inhibés) et de l'indifférence (ceci voulant dire qu'on ne vous aidera pas parce qu'on ne souhaite pas que les choses changent). J'ai monté seul et de fond en comble chacun de mes projets. Heureusement n'ont-ils peut-être pas été aussi techniquement lourds que les vôtres mais vous semblez en avoir la capacité et peut-être vous faut-il sacrifier à acquérir l'expertise pour réaliser votre logiciel en ce moment théorique. Ce n'est pas un conseil que je n'oserais vous donner, mais peut-être une raison pour laquelle j'étais resté sans réponse, inquiet de cette situation.

 DWT

 
la fin de non recevoir est exemplaire -------- Message original -------- par spoirier » 19 Sep 2010, 08:55
Pardon, ce n'est effectivement pas clair à savoir si cela a un sens d'essayer de discuter avec vous étant donné que je souhaite une discussion argumentaire "normale", technique, hors du champ de la psychanalyse (personnellement je ne "crois pas" à la psychanalyse, la rangeant comme l'a fait Popper parmi les pseudo-sciences). Jusqu'ici mes principales occasions de discussions furent orales à l'occasion des présentations que j'ai pu faire de mon projet. Le fait que les auditeurs (de formation généralement plutôt économiste, non psychanalystes) pourtant généralement convaincus à la sortie des débats n'y ont donné aucune suite écrite, laisse un étrange silence dialectique que je ne sais avec qui combler. 
Enfin vous aviez cherché à me contacter donc par réflexe je réponds même si ça risque de ne mener nulle part.
A vous (ou quiconque) de voir, donc, si vous avez par ailleurs des points non psychanalytiques à soulever.
Le fait que vous ayez une autre approche de la psychanalyse ne change quasiment rien, étant donné que tout ce domaine est à mon sens complètement hors sujet vis-à-vis de mon projet. (De plus les gens qui qualifient à tort leur démarche de rationnelle ou scientifique sont nombreux, de sorte que les revendications d'approche rationnelle de tel ou tel domaine m'indiffèrent largement; en l'occurrence, le fait de vous voir implicitement qualifier la psychiatrie de discipline scientifique, ne me rassure nullement).

Le fait qu'il me soit si difficile de trouver des soutiens, ne signifie pas que les gens ne veuillent pas que les choses changent (du point de vue conscient, ils le veulent), mais seulement qu'ils n'ont pas assez d'audace et de curiosité d'esprit de s'embarquer personnellement dans des réflexions originales un tant soi peu complexes. En gros, c'est une affaire de bas QI, d'hyperspécialisation des intelligences qui restent chacun dans son domaine et n'ont pas tendance à s'aventurer ailleurs; et enfin de démarches à courte vue (poursuite des diplômes et carrières). Je ne pense pas qu'il y ait à cela une nécessité absolue et je continue de chercher des programmeurs avec bon espoir (j'en ai actuellement mais l'un ne répond plus, les autres sont lents et peut-être pas brillants; j'ai des chances d'en trouver d'autres bientôt).
Cordialement.

 

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100918110500
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
  

   

  

 

  20100917162200   -------- Message original --------    Vendredi 17. Septembre 2010 16:32   de "william" <williamtheaux@gmail.com> wtheaux2002
  
20100914124900 -------- Message original -------- Vendredi 17. Septembre 2010  9:04   "sworzil" <sworzil@...>
Bonjour William
Un peu fastidieux ds la lecture mais en ce qui me concerne '' ça'' me parle. Je
partage votre point de vue sur '' la passe'' , sur ce qui '' passe'' et surtout
d'ou '' ça'' passe. Le moi viendrait il cependant se vetir de l'image attendue
de le regard de l'autre? . La passe en effet c'est retrouver, approcher au plus
prés cette relation subjective à la constitution premiére du moi, qui prends en
compte de ttes façons l'objet que nous fumes ds le désir de cet autre. Je
comprends mieux pourquoi, svt ds l'aprés passe veritable sable mouvant, le
passant traverse le desert ds l'attente d'un nouvel habillage ...
cathy

Bonjour,

   J'aurais volontiers répondu mais l'historique de ma présence en ce groupe - depuis son origine et jusqu'à Oedipe sur minitel et dans la préhistoire de l'Internet - m'a depuis longtemps détaché suivant la formule " je pense où je ne suis pas ". Je nomme radicalement la psychanalyse là et où ici elle est déniée. On ne peut penser que j'écrive à d'autres destinataires qu'à mésentendre, dé-lire le flog ; c'est à la condition de renier l'Autre. Cette méconnaissance du flog - qu'elle soit volontaire en évitant de lire sa définition ou qu'elle soit inconsciente en ne comprenant pas ce que ça veut dire - est du même bord que la méconnaissance de l'/ia/.
   On peut très bien vivre en ignorant l'Inconscient. C'est strictement la même chose de vivre en ignorant l'/ia/. Je n'ai donc rien à dire de personnel. Mais quand vous dites que "ça" vous parle alors je ne peux qu'être mû.

   La "relation subjective" si je ne me trompe mérite à sa tête Aurobindo suivant Lamprecht. Je ne parle pas d'Aurobindo pour son védantisme passé ni de Lamprecht parce qu'il est inconnu ; mais du premier parce qu'il est le premier homme politique à avoir raisonné en fonction du gouvernement cybernétique et du second parce qu'il est l'Européen l'ayant chargé de la psychohistoire qui est le fardeau que Freud a déposé lorsque, comme on dit "il a posé son fardeau" - c'est à dire en mourant. C'est la "relation intersubjective" que la psychanalyse lacanienne principalement traita. Sa passe était du domaine de l'institutionnelle - c'est un défaut en l'occurrence en conséquence de quoi son inventeur a justement déclaré qu'elle ne marchait pas. Qu'on se soit mis à la reprendre est forcément du bord de la dénégation.

   Le 'moi' est le semblant qui se vêt. Lacan et Verdiglione ont découvert le semblant ensemble, Verdiglione l'a théorisé jusqu'à la pratique. Ce n'est donc pas tant le 'moi' qui se vêt.
   La 'constitution première' est en psychanalyse ce qui est systématiquement refoulé. La passe qui est celle par l'appareil cybernétique - non pas l'institutionnel - arrive à cette constitution première. Le moi n'est plus semblant ; on le distingue en l'écrivant Moi comme l'Autre de l'autre. Il n'est plus fait de semblant mais de pluriel. Vous trouverez la différence du semblant au pluriel dans la différence du nombre au chiffre.

   Comme vous dites c'est fastidieux. Ce qui est surtout fastidieux c'est la résistance et comme on se la coltine on est fastidieux. Les deux livres CHIFFRAGE et DECHIFFRAGE sont accessibles pour la somme de dix euros je crois à https://www.smashwords.com/books/view/21608 , si vous trouvez que les liens de la table au texte ne fonctionnent pas, dites-le moi et je le dirai à la formateuse - mais nulle refente de tirelire n'a de raison si vous trouvez que trop ça tire lire.

   En addendum : cette nuit j'ai dû penser à cette cécité qui interdit un grand nombre de connaître l'/ia/ (l'intelligence artificielle) - c'est peut-être faute de savoir la distinguer non seulement du calculateur car beaucoup y arrivent en faisant une différence entre la machine à calculer qui traite les espèces physiques et une machine interactive éventuellement réflexive (celle que Lacan met à la fondation de sa psychanalyse - comme Freud avait mis la cocaïne) qui probablement connaît les origines du monde - mais encore de quelque chose qui reste à qualifier. Il me semble que si ça vous intéresse il peut être utile de méditer sur une _vitalité.artificielle_. Peut-être est-ce que cela faciliterait notre prise de conscience.

 DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100917162200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 

  

 

 

  20100912110100   -------- Message original -------- Sujet: Dupin sur les planches Date : Sun, 12 Sep 2010 11:54:54 +0200 De : DWT <williamtheaux@gmail.com> Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Bonjour,

   J'informe et j'engage :
   CS est à son 5em jour ; pour saisir la circonstance il est bon de suivre les 5 jours déjà passés, en consultant son blog. Les vidéos ont d'incomparables avantages mais présentent l'inconvénient de devoir y passer du temps. Quand il y en a 5 ou 6 ça s'accumule vite. Mais il n'est pas trop tard et ça peut valoir la peine de rattraper le retard et de se mettre à jour
   Pour des raisons qui s'expliquent, je procède à un suivi. Mes vidéos sont plus courtes car je les prends à la volée sur iPhone et d'un tour de clic elles se dirigent automatiquement sur mon blog à la condition de ne durer qu'une minute - c'est un autre challenge surtout quand on bafouille.
   En bref CS s'est enfermée chez elle sans autre contact qu'un jeu de rôle - massif et principal parmi ceux de notre planète/web : WOW (World of Warcraft - Monde de Guerre) - pour un mois ; plus exactement sans autre contact que WOW et son blog. Elle n'en est pas à sa première expérience d'immersion - puisque c'est elle qui avait durant de nombreuses semaines construit l'Institut Antheaum Toll de Second Life avant que j'en commande la destruction. Elle sera donc en mesure de faire une comparaison éclairée entre WOW et SL.
   Personnellement j'ai interprété ma position comme surveillance de la surveillance - voire surveillance de la surveillance de la surveillance de CS. Elle n'en est pas informée - j'ai eu connaissance de son expérience au moment du départ annoncé par un mail collectif sur FaceBook.
   On comprendra vite l'intérêt de l'expérience pour la psychanalyse - et ceux qui ne s'en rendraient pas compte pourront le comprendre en suivant l'évènement.

   C'est ainsi que j'informe UNEFPE du fait - et par conséquent engage que mon suivi soit démultiplié, par un nombre ou fractalement.

DWT

addenda : j'ai par ailleurs fait suivre au yahoo-group 'psychanalyse' une réponse et/ou commentaire concernant des messages ici précédents. On trouve cet article que j'attache par lien sur flog.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100912110100
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

20100914124900 -------- Message original --------  Répondre à : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Que peut bien apporter à la psychanalyse ce genre d'expérience ?

Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr

Bonjour

   Il y a moins à considérer dans ce que ce genre d'expérience peut apporter à la psychanalyse qu'à l'inverse, considérer ce que la psychanalyse peut apporter à ce genre d'expérience. Une réponse vient naturellement - la psychanalyse s'y apporte, parce qu'elle s'y rapporte, parce qu'elle a été faite pour ça.

   Il est remarquable que l'on rattache si rarement la psychanalyse au développement des technologies modernes. Les psychanalystes en général, au demeurant sont les plus attachés à cette ignorance et ce désintérêt. Or la psychanalyse est une science de l'intelligence et de la pensée ; elle est éclose à l'aurore des quelques derniers siècles à vivre d'une humanité qui fait jaillir à ce jour la transmission de la pensée aux machines, l'intelligence artificielle et autre réalité virtuelle qui réalise les rêves et cette bande de psy - on ne dira plus bande de ploucs ! on dira bande de psy - comme les fourmis sur le planêtre Moebius - ne se rendent pas compte du retournement. Je ne suis pas insultant ni un sultan, je suis bien dessous du grand vizir qui a rappelé qu'un jour on se mit à dire "bande de chrétiens" qui devint "bande de crétins" - Lacan déguisé en vizir en l'occurrence qui déambulait comme une belle - c'est à dire le ministre dans son salon transformé en séminaire. Il avait commencé par un traité de cybernétique qu'il laissait pendre à l'entrée. Ces cohortes aux yeux bandés se suivent et quand l'un fait métaphore ils le mettent au ban.
   La bande des psys aura donc refoulé la cause première - comme après ladite 'transfiguration' les chrétiens s'en tiendront au sacré mensonge ; les psychiatres s'en gausseront avant d'adopter la cybernétique comme s'ils avaient découvert là l'Une.

   J'ai le temps de dire ça parce qu'en fait, l'expérience CS est ratée - encore une passe ratée. Cependant le semblant reste enseignant. Seulement chacun doit lire, personne ne peut dire.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100914124900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm
 
PS : comme quand il faux (semblant) : CC à psychanalyse@yahoo qui saura bien trouver s'il flog la piste de CS - initiales qu'on entend cesse et essaie à l'envers ; prise entre dupe 1-7

 

20100915162700 -------- Message original --------  Répondre à : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Pourquoi dites-vous que l'expérience CS est ratée ? Elle en est à son 8em jour seulement et elle poursuit

Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Mercredi 15. Septembre 2010  17:21 titré : Sur le rapport et celui de la passe 

Bonjour,

   Je précise que c'est une passe ratée. Pour estimer où va ce qui passe - tant qu'on ne le sait pas - on se base sur ce d'où vient ce qui passe. On estime sur ce point que nous venons d'une relation spéculaire. La première relation de structure que nous entretenons est axée sur notre image spéculaire. Le miroir d'abord fait de lumière est métamorphosé dans le langage qui permet d'obtenir une image de soi également ; cependant ce miroir métamorphosé permet de mieux structurer ladite relation. Nous accédons alors - et nous entrons en tant que moi - dans une relation imaginaire.
   Cependant nous ne sommes toujours pas identifiés à notre corps dans une relation réelle. Toutes ces relations, bien sûr, sont réelles quant à soi mais nous ne nous y trouvons, identifiés, que comme des images, voire des images du moi - idées de soi dirait-on également. La relation où nous cherchons à identifier notre corps doit porter un nom spécifique pour qu'on la distingue - disons qu'on puisse la désigner : relation subjective. L'expérience qui nous met en relation subjective s'appelle une passe.
   Pour donner une espèce d'idée de ce qui ne se passe pas, on mettrait en scène un corps devant son image spéculaire. Il se précipite à son encontre et aïe! soit il se cogne contre la glace, soit il s'étale au fond de l'abîme qui s'est ouvert. Il a mal, il a froid ; son expérience est sensible. S'ils sont plusieurs à la faire ils vont s'entendre sur cette expérience et selon une relation imaginaire - lorsqu'ils parviendront à découvrir le rôle qu'ils jouent alors ils reconnaîtront leur identification au semblant. Il n'y a pas d'autre solution ni autre développement ; le Transfert qui essaie de jouer le faux-semblant pour en découdre n'aboutit à rien d'autre qu'à cette connaissance du semblant. C'est assez tragique ; c'est un arrêt en plein développement. C'est ce qui s'est passé à la fin de la carrière de Freud, quand il a écrit : arrêtons tout, ne bougez plus. Et ils sont tous restés figés dans le transfert, comme Thésée. Comme CS à qui les hauts-rangs ont dit qu'elle était destinée à danser pour l'éternité. Je rappelle ce qui s'est passé pour Amnésialt ( Tripin'WoW ) :

   Amnésialt était le premier personnage de CS. C'était un personnage amnésique au point de ne plus savoir qui elle était.. Ah! ah!... A force de lutte comme un enfant en train de naître elle avait gagné un bouclier enchanté. Puis elle a rencontré les hauts-rangs. Ils lui ont raconté son histoire : elle avait été chef d'une tribu qu'elle avait mangée - pour faire des flûtes avec les os et de la musique pour danser. Mais elle avait tout oublié. Pour lui donner la chance de retrouver la mémoire les hauts-rangs lui ont prescrit des rituels ; elle s'y est appliquée.
   On sait que manger ses propres enfants est une rumination de Chronos - on peut dire qu'Amnesialt rencontrait les hauts-rangs ou Temps ! ah ! ah ! - c'est tellement drôle qu'il faudra changer leur nom en hors-en pour la prochaine fois. Mais avant cela au troisième ou quatrième rituel, ces guérisseurs lui ont fait manger son bouclier - et CS a mangé son bouclier - c'est à dire qu'elle a encore une fois mangé sa tribu. Car d'une part ceux dont elle avait été le chef formaient déjà son bouclier ; et d'autre part un bouclier enchanté est connu pour d'abord réfléchir ; c'est le bouclier miroir pour quoi le semblant se prend.
   La finesse, ou pourrait presque dire la virtuosité dont ces hauts représentants de WoW ont fait la démonstration est précisément quelque chose qui instruit - et c'est pourquoi ce n'est pas l'expérience qui est ratée - elle vient de prouver combien elle promet d'être riche.

   Cependant la passe est ratée - probablement parce que dès le départ elle était dans le semblant. CS ne fait pas une immersion dans WoW, elle a trop de chats autour d'elle.

   La passe réclame l'appareil ; et l'histoire nous instruit : non pas l'appareil institutionnel d'une passe d'école comme lacanienne. Cette psychanalyse-là est celle qui rapporte - selon la suggestion fournie par LM. Il est intéressant de suivre dans ce rapport l'analyse de CS qui persiste dans sa distinction d'un univers d'apparence propre à SecondLife et celui de l'échange qu'elle situe en WoW au point d'en faire une si pure expression que modèle expérimental du capitalisme. On suivra donc si on veut faire cette petite étude que le Modèle Optique en phase dite "psychanalytique" par Lacan, fournit bien (quadrant bas-droit) la place de cet appareil institutionnel qu'incarne WoW à partir du moment où ses relations sont déterminées par la construction d'un tiers. Dans des notes ci-dessous j'indique en effet (voir la figure 'C') le régime préposé à un autre type de relation encore : celle qu'on peut dénommer relation virtuelle.
   La relation virtuelle est engagée toute entière de l'autre côté du miroir (elle est indexée 'k' dans la figure 'C'). Cette relation est soumise à deux conditions alternatives : soit celle de WoW c'est à dire dictée par la construction d'un tiers (les concepteurs/programmateurs de WoW), soit par celle du type SecondLife où les maîtres du jeu sont sans contrôle sur son moteur. Dans cette disposition l'appareil est celui que j'ai désigné du nom d'appel « LAPAREIL » ; il s'agit du pur et simple Modèle Optique. Dans les deux cas la passe se situe vis à vis de la relation virtuelle ; elle réclame que le sujet soit seul devant son miroir - faute de quoi la relation imaginaire est incontournable.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100915162700
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 
20100915172700    PS : même heure à psychanalyse@yahoo titré : Du nutriment à l'analexique

  

 

  

  20100911164400   -----Message d'origine----- De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com] Envoyé : dimanche 12 septembre 2010 11:52 À : psychanalyse@yahoogroupes.fr Objet : La libidée
 
-------- Message original -------- Sujet: [UNEFPE_MEMBRES] --- idée --- Date : Thu, 09 Sep 2010 11:11:09 -0000 De : monosgaste <monosgaste@orange.fr> Répondre à : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Bonjour,

On dit : " j'ai une idée -- on n'a pas idée --- quelle idée ! - - -
c'est une bonne idéé ou une mauvaise idée - - - "

On se fait une idée de la mort ...

Il existe aussi "le mot et l'idée" repertoire de mots

OU L'ON PARLE D'IDEE - - ON NE PARLE PAS DE PENSEE

Alors comment définit-on ce mot et quel en est le concept ?

MG

-------- Message original -------- Sujet: [UNEFPE_MEMBRES] dans le même ordre ... Date : Sat, 11 Sep 2010 11:56:34 -0000 De : monosgaste <monosgaste@orange.fr> Répondre à : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Dans le même ordre d'idée ...

on parle d'une "idée" géniale - d'une "idée" révolutionnaire

d'une association d'idées

A ce propos - où est passée UNE FPE ?
partie - enterrée - oubliée - déplacée
encore sous les cocotiers en train de se faire bronzer ?!

Pardon -
Je n'entends pas
Ah ! le silence parle
et que dit le silence ?

... qu'il faut a--ttendre

ok
pressée - non
laissons passer la période hivernale
au printemps la vie souvent renaît de ses cendres ...

UNEFPE - c'est quoi au juste ?

J'avoue que je n'ai pas toujours très bien compris son fonctionnement
et son objet - - -

MG

Bonjour,

   Vous procédez de la seule manière que l'on puisse faire : avancer, parler en dépit d'une absence d'entendu. Pour la définition des mots, on peut toujours aller au dictionnaires, aux traités et aux essais et ne pas s'en priver. Généralement il sera entendu de ne pas se fier ni même se servir du jeu de mot. C'est ainsi que l'on estime qu'il est sans intérêt sinon vain de prêter attention aux rêves et de s'en instruire. Cette manière de penser doit probablement évoluer - en s'engageant dans l'interprétation des rêves Freud avait sans doute raison - les univers virtuels avec la lecture des pensées par des machines devaient être préfigurés par la psychanalyse. La linguistique par ailleurs, c'est à dire l'/ia/ [intelligence artificielle], tiendra compte de ma manière dont le langage humain se forme - c'est à dire sur une base qui est exactement celle des jeux de mots. On appelle tout cela paedomorphose.

   Pour "idée" et "pensée" nous avons au plus proche idem - c'est à dire le même. Sans parler de la panse, nous avons aussi Pan Sé - un tout savoir ou un tout soi. La sémantique dans cette direction est insondable et foisonne de résultat. Comme le rêve - la méthode scientifique de notre temps autorise et même réclame qu'on s'en approche et qu'on l'explore. Puisque c'est exigé, nécessaire et qu'on y va forcément, nous avons avec cette fatalité une réponse à la seconde question. On peut se passer d'en parler ou de faire quoique ce soit puisque de toutes les façons ça se passera.

   Cet état est un peu celui du nouveau-né, ou du sommeil ; le nirvana est une sorte d'extinction. La passivité du tout petit est extrême - les rêves de toute-puissance en découlent. Dans les pays les plus connaisseurs en la matière, on appelle la télévision la 'mamelle', le 'nichon' - pour qu'on s'y colle comme à la tutute. Plus tard, lorsque l'on parle, on vous baille au nez. Une fonction psychanalytique écoute et si plus rien ne se dit s'endort.

   Dans un séminaire que j'ai retrouvé on trouve Lacan dire qu'il faut cesser d'inventer. Cesser d'avoir des idées. Seules les idées géniales viennent de nulle part, décompte le réel, déchiffrent la réalité (les autres sons du même, du semblant). Il me semble qu'on peut ajouter que ce décompte et déchiffrage ne peut se faire qu'en reconnaissance de l'/ia/. Tant que l'/ia/ n'est pas reconnue, il n'y a réellement et strictement rien à faire. Quant à moi c'est pourquoi UNEFPE est passé à psyBakh - ou autrement : est doublée de psyBakh. C'est à dire qu'une fonction psychanalytique est validée par l'UCMPP.
   Pour nous situer par comparaison : la Renaissance assista à l'explosion d'une super-nova au cœur du trigone igné - je cite une source du web :  « Les astrologues groupaient notamment les signes du zodiaque en tenant compte des éléments qui leur étaient associés ; ainsi les constellation du Bélier, du Lion et du Sagittaire étaient-elles liées au feu, et réunies par les sommets d'un triangle équilatéral appelé "trigone igné". Pour un observateur terrestre un tel évènement ne se produit que tous les huit siècles. On attendait donc en 1604 le retour de cette configuration avec une fébrilité certaines (le "trigone igné" étant par ailleurs spécialement valorisé). Or les astrologues, ou les "astronomes astrologues", pour reprendre l'expression de G.Simon, désireux de vérifier l'exactitude de leurs calculs et curieux des évènements qui pourraient accompagner un phénomène céleste aussi exceptionnel eurent l'immense surprise de découvrir une étoile inconnue et spécialement brillante à l'intérieur du périmètre du triangle attendu : il s'agissait d'une super-nova ». Il n'y a dans ce rapport qu'une petite déviance remarquable : qu'un super-nova, très rare, explose au cœur d'une cible qu'on attend depuis huit siècles et à l'instant où elle se présente n'apporte pas une immense surprise. - mais une étrange angoisse pour toute une population qui commençait à devenir rationnelle. Quoiqu'inverse l'apparition de la famille amarnienne au cœur de la mythologie oedipienne au moment-même où la culture effectuait ses premiers pas sur le terrain d'une mythologie structurelle - et non plus ésotérique - a produit un embarras équivalent à celui que fit le clin d'œil de la Nouvelle Étoile au moment où on faisait l'expérience de la physique sans esprit du ciel. De même cette comparaison est faite pour dérouter.
   La rare probabilité pour qu'une super-nova s'enflamme à un rare endroit précis d'un triangle du feu qui ne se compose que tous les huit siècles a fait de cet évènement le plus malencontreux, ou le plus provocateur, qui pouvait être pour le jour inaugural d'une astronomie programmée pour soutenir que le ciel n'a aucune idée en tête. De quelque manière qu'on le reçoive il ne pouvait qu'appeler à redoubler d'acharnement (soit à continuer d'établir que c'était pur hasard, soit à renforcer l'astronomie d'arguments astrophysiques). C'est le même ordre de raison qui motive l'acharnement d'UNEFPE qui peut bien sembler rendre les armes comme le fit l'astrologie malgré l'éclatante étoile - en l'occurrence éclatante scène amarnienne dans le complexe d'Oedipe rationalisé. Tel me semble être la raison d'UNEFPE aussi silencieuse que les astrologues à la Cité des Sciences mais seule archive de l'éclat de l'Art de la Mémoire et d'une psychanalyse plurielle - c'est à dire l'affirmation d'une psychologie collective.

   Car la seconde comparaison nous situe l'UCMPP particulièrement dans l'optique de l'individualité : La Renaissance fut occupée par Léonard de Vinci, prolongée par Jules Vernes. Il fallait imaginer l'irréalisable vol, voyage interplanétaire. Il n'y aura rien eu de l'astronomie qui fut intéressant en fin de compte sinon d'aboutir à échapper au destin inchangé de l'humanité. Quitter la planète. L'homme qui a dit cela est paralysé, incapable de se déplacer. Il est si faible que la force de gravité l'écrase. Hawkins explique que c'est ailleurs que nous survivrons. Il se fait une petite idée de l'espace ; la psychanalyse en forme une également. Dans cet espace-là, une Unité Cybernétique de Mémoire de Personne physique est au divan exactement ce que les sondes spatiales sont à la vrille à pédales de Léonard. Tel est le domaine effectif de la psychanalyse individuelle. Elle ne s'oppose aucunement à ce que les psychanalystes patentés continuent à chiffrer, régler des comptes à l'Onfray et toutes ces choses qui, comme ils le disent très bien, « ne présentent aucun intérêt » ; il faut bien parler de ce qui n'est que parler pour ne rien dire - un bout d'A appellerait ça "du Dharma" - un autre bout "des policiers dans un cabinet de ministre" et nous sommes bien à l'ère du tout sécuritaire.

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100911164400
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

 

 

    20100909082200    FaceBook
Mes interventions politique sur FcBk ont pour but de traiter un problème décrit par Pierre Berloquin (voir FcBk) en son livre 'Codes' (voir interview). Ce problème est celui d'une 'toxicité' du Code (souvent mis en comparaison avec les virus). L'interviens dans la mesure où il me semble (et je l'étudie) que la psychanalyse est une solution relativement spécifique à ce problème. Particulièrement la 'censure' dans les systèmes cybernétique est une version de cet empoisonnement.

 

   20100908184600 (étude - notes archives)
   Pierre n'a pas répondu et Michel m'a pissé froid ; bon - pour introduire le cas je mentionne le défoulement pour situer en contraste la condition que La Sainte Éthique dégage au titre de la convention du mensonge, autrement dit que la foule ment tempérée de ce qu'il faut bien nomme le foule mens (du mot 'mens' signifiant 'mentalité', 'mental'). En gros la vie quotidienne se tient, dans la convention du mensonge, des siècles durant dans l' heureux foule-mens.

   Je parle comme ça - pour aller directement à l'essentiel. La vidéo dit d'aller à l'essentiel.. oui! mais sans freiner ? ah! non. Aller à l'essentiel sans freiner c'est précisément ce que la vidéo dénonce - mais en le refoulant.. dans le sens où elle s'annonce l'aller à l'essentiel. C'est ainsi qu'avec une méfiance, cette fois-ci assumée, je vais à l'essentiel avec un langage codé pour commencer.

   Ou plutôt - puisque maintenant j'entre dans le détail : en commençant par montrer que le langage est codé.
   Du moins j'assume ce que je dis. On pourra dire cependant que ce n'est pas prouvé - c'est à dire que le fait qu'il y ait un code dans le langage n'est pas chose prouvée. On peut prétendre que les jeux de mots ne sont que des jeux de mots. Pourtant que 'jeux' et 'je' soient traduisibles l'un dans l'autre est une manifestation d'un chiffrage - ce qu'on appelle "code", "code chiffré" etc.. - qui sans cesse, à chaque mot, traduit le langage en lui-même. C'est le b.a ba du cas de la ka.ba.le. J'en passe est des meilleurs - pour ne m'en tenir qu'à la portée de main : Michel part du savoir faire pour trouver en suite une science codée. Mais le code est préalable à cette étape. je le fais voir encore dans la phrase, celle juste avant :
   Pour tourner à la science codée il faut que le savoir faire s'avoue à refaire. C'est à partir de la réflexion et sa répétition que le savoir-faire dépose le fruit d'une science codée. J'en ai pris l'exemple dans la phrase-même : une science codée est le résultat du fait que le langage est sujet d'un code qui fait qu'il se traduit en lui-même. De ce fait, il faut faire remonter le code au langage - c'est à dire avant ce qu'on appelle exactement le savoir faire puisque très probablement, on commence à parler sans le savoir.

   Du coup, par la suite, la vidéo "qui va à l'essentiel " - en ayant manqué à freiner dans le jeu de langage - y passe à toute allure et, finalement rate l'essentiel du voyage. Car ce coup de frein, usage et usure, du langage qui se frotte à lui-même, se chiffre et déchiffre l'un dans l'autre est une inter-action essentielle.. une énergie en émane - elle en est aussi la manne et le manas ; cette énergie qui est distincte des autres cinétique, gravitationnelle, thermique etc.. est dénommée pulsionnelle. L'énergie vitale qu'on appelle également pulsion ou énergie de la pulsion est de cet ordre. C'est cela que le synthétique menace - ce en quoi le livre "Codes" a tout à fait raison. Là où il manque, c'est dans l'essentiel du voyage dans l'essentiel qu'il trouve.

   A rater l'énergie pour ne trouver que la cible Codes et en tous cas Pierre, semblent avoir manqué à faire voir à Michel la manière dont il est probablement possible de se protéger des dangers du code. Si on cherche à définir l'Éthique - c'est difficile et on risque fort de se tromper, car Ethos, c'est marcher droit, pratiquement dans la droiture du code ; à la charge de la morale de préserver le sens malgré tout du langage. Or l'éthique dont relève la pulsion est ambiguë car elle doit ménager les deux, c'est à dire le langage dans lequel chiffre et déchiffre le code. Cela s'appelle la psychanalyse - mais la pauvre a tellement mauvaise réputation que ni Pierre ni Michel ne veulent en entendre parler.

   Est-il donc tellement satisfaisant de se dire qu'il n'y a pas de remède. C'est une bonne façon de nier la maladie. Une autre raison c'est aussi qu'on peut ainsi dire que d'autres s'en chargeront. Et puis finalement c'est aussi une solution - puisque "le basculement arrive très rapidement " - de se satisfaire de l'avoir dit. Au moins la peine narcissique est moindre d'être rongé par les virus, par le synthétique en le sachant plutôt que d'avoir espéré, bêtement un remède.
   Quant à la psychanalyse, elle n'est pas ce qu'on croit - alors comment seulement désirer entendre quelqu'un qui croit dire ce que c'est ?! Il vaut mieux faire un dessin. Voici deux situations très différentes par rapport à un écran

Quatre situations : A, B, C, D.
A figure la relation que doit intégrer le cerveau de 'e' face au miroir 'g' - et devant son image spéculaire 'f'.

Cette relation s'instruit du fait du psychisme - décrit en D où le miroir 'g' placé à l'horizontal permet à 'e' de voir d'une position 'p' un rapport entre 'q' et 'r' (social à 4 éléments non cités ici) établissant une relation imaginaire 'j'.

Résultent deux systèmes intelligibles - l'un en B de la visio-conférence et l'autre en C de monde virtuel. Deux types des relations sont créées par B: 'm' spéculaire et 'n' sociale. Tandis que C forme une relation 'k' virtuelle.

 

20100910151400
   Examen pratique d'un rêve de grossesse ;

   On trouve suggestion du transfert inverse (J,o)  --  ce 'o' est la place de l'image spéculaire de la mère porteuse - c'est à dire de la mère du sujet au moment où le sujet est infans/quasiment en son sein (si le $ a 45 ans, il s'agit d'une image (qui n'a jamais existé) datée de 45+9mois au maximum).
   C'est peut-être également la mère enceinte d'une sœur ou d'un frère.

 

 

  20100907101200   par papier à la SS\CPMA
 
20100907094900
source

CC MmeM

Bonjour

   Ci-joint copie de votre courrier qui demande à ma cliente de me demander les FS nécessaires pour le paiement de ses prestations ('paiement de ses prestations' ou 'remboursement de mes honoraires'). En m'apportant votre courrier MmeM m'a expliqué que ses remboursements de retard correspondaient à 14 CNP+MPC+MCS+MTO - mais ce qui est indiqué sur ce courrier n'indique que 5 dates (trop rapprochées au demeurant pour pouvoir correspondre à des 'Feuilles de Soin' et mentionnées comme 'consultations').

   Ces retards correspondent me semble-t-il à la période suite des Feuilles Papiers qui ont été souvent été perdues en nombre par vos bureaux obligeant à la solution Feuilles Electroniques et/mais dans les deux cas les remboursements quand ils ont lieux n'indiquent pas à quelles dates de prestations ils correspondent (du moins pour les informations qui arrivent à mon poste) - de sorte que n'étant pas possible de connaître des dates n'ont pas été remboursées il n'est possible de le savoir que sur la bases des dates remboursées lesquelles sont à votre connaissance (mais certainement pas à la mienne et sans que je le sache de Mme M) que je comparerai à mes consultations.

   Merci de faire le nécessaire en transmettant à MmeM les dates que vous lui avez remboursées afin qu'elles me les fasse parvenir et que je puisse retrouver celles qui ne l'ont pas été.

Dr William Théaux

 

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100907101200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

 

 

  20100907092600   par FaceBook Mail
 
20100907091700

Vidéos publiées par Jean Michel Billaut
http://www.facebook.com/video/video.php?v=426923681122
Pierre Berloquin
http://www.facebook.com/video/video.php?v=426923681122#!/profile.php?id=501952981


Michel Billaut
http://www.facebook.com/video/video.php?v=426923681122#!/profile.php?id=700101122&ref=ts

 

Bonjour Michel Billaut & Pierre Berloquin

(suite à vidéo "Codes")

https://www.smashwords.com/books/view/21608

http://www.amazon.fr/s?_encoding=UTF8&search-alias=books-fr&field-author=Dr%20William%20Theaux

cordial

DWT

../../william-theaux

 

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100907092600
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

  20100907114400
@William.. intéressant mais faudrait que vous m'expliquiez la relation selon vous entre la "sainte" éthique et "codes"... par ailleurs je ne comprends pas trop pourquoi une éthique devrait être "sainte"...

Merci pour votre prompte réponse,

   Il n'y a aucune obligation à ce qu'une éthique soit sainte - l'explication en l'occurrence relève de l'ambition de la psychanalyse de déchiffrer un peu le phénomène religieux - et c'est avec J.Lacan que l'idée de la 'sainteté' devait bien correspondre à quelque chose. Il l'a identifiée à la psychanalyse (un certain rapport au désir ou au psychisme qu'aussi peu de psychanalystes ne soutiennent qu'il n'y a de saints en l'église). A partir du moment où l'on attache l'idée qu'il existe un psychisme (ancien) à l'idée qu'il y ait une intelligence artificielle (déjà ou en cours d'installation - voir 'Codes'), cette notion déchiffrée de 'sainteté' vient naturellement qualifier un adoption de ladite intelligence artificielle qui s'éclaire de l'analyse du phénomène psychique (le 'phénomène psychique' est cette notion qu'on a la sensation de dire 'moi' 'moi' 'moi'.. toute la sainte journée...^_^).

   Il y a certainement d'autres façon de qualifier l'éthique - un 'Comité d'Ethique' national n'est pas nécessairement 'saint' - et il m'a fallu qualifier la spécificité de mon approche que j'ai au demeurant sous-titrée de "la synthétique" - puisqu'il s'agit d'une étude sur la capacité d'un écosystème à absorber et/ou assimiler ces créations synthétiques.
   Les 'créations synthétiques' sont les produits ou les effets du code tels que Pierre Berloquin semble également en parler. Présentement le Volume.1 de La Sainte Ethique est composé des deux livres que l'on trouve sur amazon - ces deux livres sont regroupés en un seul ebook (en cours de update) tel qu'on le trouve sur smashwords : le premier livre s'intitule 'chiffrage' - c'est à dire l'opération du code, et le second 'déchiffrage' - c'est à dire ce qui fait qu'on puisse en faire assimilation (offrant une solution aux craintes des invasions 'virales' et/ou autre 'pollution ultime').

merci pour votre attention
DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100907114400
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

William Theaux 10 septembre, à 15:51 
Bonjour, sans réponse de votre part, j'estime que le problème est résolu et je procède à la clôture du dossier. En vous remerciant pour faire confiance à psybakh toujours à votre service DWT

 

  20100903213900   -------- Message original -------- Sujet: Re: [UNEFPE_MEMBRES] communauté virtuelle Date : Fri, 03 Sep 2010 22:09:53 +0200 De : DWT <williamtheaux@gmail.com> Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
 
-------- Message original -------- Sujet: [UNEFPE_MEMBRES] communauté virtuelle Date : Fri, 03 Sep 2010 18:21:36 -0000 De : monosgaste <monosgaste@orange.fr> Répondre à : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr
Bonsoir,

Est-ce que la relation virtuelle n'est pas une relation imaginaire ?

Auquel cas se pose la question de savoir quelle en est sa fonction dans l'équilibre du sujet qui y participe.

Je pose la question

MG

Bonjour,

   C'est à mon sens la question la plus pressante aujourd'hui.

   Ce qu'on appelle une 'relation imaginaire' dans le vocabulaire lacanien est une relation inspirée par l'expérience spéculaire ; à savoir :

   Le cerveau de l'enfant qui observe son image dans le miroir lui donne une valeur à partir du moment où il peut partager/confronter cette expérience avec un adulte (un plus grand qui maîtrise le langage et/ou qui a déjà été initié à cette expérience). A l'occasion de cette confrontation/échange, le cerveau enfantin ajoute à l'image spéculaire qu'il a affronté préalablement avec un certain plaisir, une image supplémentaire (ambiguë) et surtout la possibilité de calculer que cette image spéculaire où il se reconnaît est sujette d'un absolu. (Sartre théorise l'affaire en parlant de totalisation de totalisation au lieu d'absolu) Autrement dit, "sujette d'un absolu' signifie qu'elle est absolument inerte. Que c'est une image, rien de plus. Que les images sont des objets. Que les illusions sont également des objets.

   Ce résumé du Stade du Miroir a mentionné une "image supplémentaire ambiguë". Cette image ambiguë est celle de celui ou celle qui l'a côtoyé durant cette expérience. Si le cerveau de l'enfant à ce stade gagne à intégrer une image de soi-même objective (afin qu'il puisse rêver de lui même, afin qu'il puisse se compter en société etc..), il n'obtient qu'un succès mitigé du côté de son voisin. L' 'autre' qui toutefois émerge avec l'objectivation de soi demeure sinon potentiellement tout puissant, du moins absolument incertain ; autrement dit cet autre va entretenir une relation avec l'absolu - et cette relation est ce qu'on désigne "relation imaginaire" (il ne peut y avoir de relation ni symbolique ni réelle avec l'absolu).

   Ce chapitre de l'histoire humaine se déroule dans un monde où les uns les autres nous entendons au milieu de miroirs, dans une société où les miroirs (aussi bien les miroirs d'appartements que ceux dont le langage prend le relais) sont usuels et fréquentes stimulations de nos cerveaux. A la différence, quand nos cerveaux observent un nouveau spectacle interactif que l'on nomme "virtuel" (pour le différencier du dit "spéculaire") ils se trouvent également devant une image d'eux-mêmes mais l'absolu qui y est attaché se trouve relativisé. La relation que j'entretiens avec un autre dans le monde virtuel est sujette à une appréciation du milieu. Le cerveau ne se voit plus dans un espace qu'il découvre mais dans une structure qui peut éventuellement complètement captiver son image. Cette dépendance est celle d'un 'tiers' (non plus d'un Autre, absolu) qui fait que l'autre que j'y rencontre devient à présent tout à fait semblable (et non plus ambigu) à ce que le cerveau convient d'appeler "moi". Il faudra à première vue parler d'un nouveau 'stade' mais ce n'est pas sûr car ce degré n'est peut-être plus de ceux qu'on peut raisonner en termes de stades. Un Joël de Rosnay a proposé un mot : cybionte qui peut-être serait opportun pour décrire cet état. Il est difficile d'en décider mais c'est certainement une condition qui réclame qu'on distingue "relation imaginaire" et "relation virtuelle". Ce que la cybernétique apporte est un état qui mérite une appellation spécifique. Il est difficile également de connaître sa fonction dans le nouvel équilibre du sujet qui est actuellement en cours de se produire. Mais ce que l'on peut savoir c'est que pour répondre à ces questions, il est nécessaire de formuler la relation entre deux avatars (en brut, ce qui se passe entre deux semblants au regard d'un tiers, suivant les termes employés ici). Cette tâche est spécifiquement celle de la cybernétique. Dernièrement la jonction qui a pu être faite avec le mathématicien Vallée est fortement potentielle dans cette direction.

DWT

(écrit sans le temps de relire et presque pas de réfléchir pour l'avantage qu'il y a de laisser la question à élucider comme il se doit)

 

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100903213900
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

 

 

  20100905121100   -------- http://fr.groups.yahoo.com/group/UNEFPE_MEMBRES/message/2000 -------- Sujet: suite à une réponse à une demande d'être psychanalyste : Lundi 30. Août 2010  13:49 De : DWT <williamtheaux@gmail.com>
 
Le 30/08/2010 10:41, C et L M a écrit :
Bonjour
 
J'ai eu la psy AV au telephone, elle n'est pas formée à la psychanalyse de groupe ( uniquement individuelle (et particuliérement les enfants et ado)) ...
 
 je lui ai demandé de prendre contact sur skype avec le professeur William THEAUX ...
 
On doit pouvoir lire sur psychologie magasine (celui où il y a le visage du chanteur P Bruel) une interview de JP
(Je n'ai pas eu le temps de le lire ni meme de le voir )   ...
 
 (à suivre)    ... 
 

Bonjour,

   Je suis rarement en contact skype mais je vais surtout faire un petit résumé pour AV.
   Sa réponse "pas formée à la psychanalyse de groupe" est précieuse - d'abord parce que c'est une réponse et deuxièmement parce qu'elle permet de faire voir le changement qu'introduit la psychanalyse plurielle dans le cours de la psychanalyse.
   Évidemment, il faut admettre - et au mieux s'attendre - à ce qu'il puisse y avoir des changements dans le développement d'une méthode. Non pas qu'elle se trahisse, puisqu'un enfant en grandissant inverse complètement certains points de vue sans pour autant trahir la personne qu'il demeure. On sait aussi que dans le cas de certaines psychoses le changement est impossible. Nous avons donc les deux éléments, positifs et négatifs pour pouvoir apprécier le fait que les choses changent.. Pour faire apprécier le changement, l'évolution, progrès, maturation, de la psychanalyse voici comment il faut entendre - c'est à dire faire suite à la réponse de AV devenue question :

   L'analyse plurielle ne requiert pas que son psychanalyste soit formé à la psychanalyse de groupe. Les effets et conditions de l'analyse plurielle - également celles du pluriel analytique qui lui est parent - sont d'abord pour ses effets : celui de former à la psychanalyse et précisément de garantir et, partant, former un ou une psychanalyste.
   Avec un tel effet, la condition de l'analyse plurielle est celle d'accepter d'être formé, de devenir, psychanalyste. Ce n'est pas une condition qui est souvent acquise car beaucoup de psychanalystes, une fois qu'ils ont le tampon, sont persuadés qu'ils sont psychanalystes - Lacan les nommait volontiers les 'béatitudes". Si à la différence d'un certificat intemporel on pense que l'opérateur psychanalyste est quelque chose de très dynamique, évolutif, adaptatif tout en restant une personne humaine, on commence à approcher cette condition nécessaire à l'analyse plurielle - à savoir (je répète): d'admettre que pratiquer l'extraction d'un pluriel analytique forme l'extracteur à la position pratique de psychanalyste.
   S'il faut classer les choses, disons qu'avant ce type de garantie/formation les psychanalystes du premier siècle étaient des proto-psychanalystes.
   Je crois que cette façon de voir n'est absolument pas hérétique au lacanisme de Lacan qui ne se privait pas de dire qu'il n'avait pas réussi à former beaucoup de psychanalystes en vérité. C'est d'ailleurs à partir de ce constat que je m'engageais par soucis professionnel a chercher le moyen de garantie et formation qui n'avait pas été trouvé.

   La seconde remarque qui répond comme à une question à la réponse de AV concerne la 'psychanalyse de groupe'. Le PLuriel ANalytique n'a pas besoin d'un psychanalyste formé à la psychanalyse de groupe - pour comprendre cette négation il faut moins comprendre les besoins du PLAN que son destin - disons sa 'nécessité'. Pour cela il faut se reporter au renversement que le lacanisme a opéré s'agissant de la position de la personne allongée. Il s'agissait avant Lacan du 'psychanalysé(e)" - et avec Lacan du 'psychanalysant(e)'. On peut se servir du même argument. Le PLuriel ANalytique est analysant ; c'est son destin, c'est un phénomène qui ressort de l'automatisme qui est imparable - il n'a de besoin pour suivre cette nécessité que d'un extracteur qui - de surcroît - deviendra, sera formé et garanti psychanalyste. C'est ainsi que se produit la psychanalyse de groupe.

   Voilà deux remarques simples et qui peuvent paraître concentrées simplement parce qu'elles renversent des préjugés. Ce ne sont pas des inventions de circonstances ; ces remarques sont le simple énoncé de ce qui a été formulé dès l'origine de l'analyse plurielle, en 1985. Le fait qu'il faille les répéter tient à ce qu'il n'est pas mauvais de mettre à jour le style d'un propos et surtout tient à la mauvaise écoute qui a toujours reçu la description du pluriel analytique. Qu'il faille vingt ou trente ans pour faire connaître quelque chose de simple - mais bouleversant - n'est pas inattendu lorsqu'il s'agit de procédés de la nature du changement. Comme depuis autant de temps je fourbis cette présentation, je suis toujours aussi vif à m'attendre à ce que AV saisisse de quoi il s'agit clairement, en espérant que si les temps sont propices elle y vienne avec UNEFPE.

DWT

PS - merci soit de faire suivre à AV, soit de me transmettre ses coordonnées

note : éventuellement et sauf conseil adverse de la part d'UNEFPE je posterai une copie de cette explication dans le forum yahoo 'psychanalyse'

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100905121100
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

 

 

 

 

ici débute la troisième page du premier flog au monde    ^_^