FLOG.5 |
fond bleu mes envois / initiatives | fond vert mes reçus / dialogues, échanges | fond brun mes éditions / travaux, collaborations |
C'est une sorte de blog ; mais systématique. C'est à
dire que dans un blog on y met ce qu'on veut ; dans un flog
on met systématiquement tout. Tout ce qu'on écrit est
systématiquement, d'abord écrit ici - puis copié collé dans divers
mails, dossiers, pages, blogs éventuellement etc.. Il n'y a rien que
j'écrive qui ne soit pas là (hormis ce que la culture nomme secret
professionnel et relation intime).
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FLOG
20101004122602 Fin de l'expérience CS ; coupure à la côte | |||
Bonjour, L'expérience CS est conclue ; elle a donné l'occasion de
réflexions psychanalytiques que je résume ou regroupe ici : La conquête du monde virtuel - par des relations virtuelles acquises - réclame l'appareillage qui est en cours d'installation ; tant qu'il ne nous emportera pas nous y résisterons naturellement. Particulièrement l'expérience doit-elle être 'absolue' pour être aboutie. Nous y introduisons suffisamment de défaut pour ne faire que l'aborder. Ce qui se théorise par les notions topologiques de bord, voire de coupure. Il faut se couper totalement, absolument, du monde pour pouvoir passer côté virtuel. Cela ne se produira probablement que par la nécessité et peut-être la contrainte. En attendant nous ne sommes pas sans efficacité lorsque nous
nous instrumentons des appareils du chiffrage. Ils permettent du moins de
déchiffrer nos mythes, nos structures familiales, nos histoire infantiles. On
reconnaît les mythes pour réels, les structures pour nos aliénations et nos
histoires comme la matière (cette matière infantile en traitement se décrit
sujette à la paedomorphose - examiné par ailleurs). DWT
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101004122602 |
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20101004122601 Laconisme est-ce émule? | |
Ne pas vous donner à imaginer ce que vous entendez est au principe du transfert freudien. Le transfert freudien n'est pas au principe de la psychanalyse - ce qui c'est un peu comme dire "la chute des corps n'est pas au principe de l'astrophysique" ; pendant longtemps la chute donne le change de la vitesse. Parler de culpabilité sans vous dire que de coupure métaphorisée c'est un bord qu'il faut imaginer vous laisse au bord de l'abîme : l'autre y flotte alors comme je l'expliquais. La coupure qu'on trouve mal ou plutôt cette coupure qu'on ne trouve pas dans une demande d'analyse est suspendue dans l'offre. Le procédant du transfert offre ce bord sans vous donner à imaginer qu'il flotte - on dirait qu'il est posé (ce qu'il décline en supposé savoir quand il chante). La coupure est cependant descriptible et accessible comme 'abîme' et selon ce que je rappelais, prévenu par Freud en conclusion de son analyse. Les mathématiques la désignent aussi mais comme un faux-semblant que je rappelais également et dont la conquête (1) affranchit. C'est le bord d'une bande de Moebius et c'est le chemin qu'on prend non plus pour réaliser que la terre n'est pas plate mais que notre moi ne tourne pas rond - qu'il est voilé. Entre une roue voilée et une face voilée il y a une grande différence mais le langage indique un usage commun. Le transfert freudien est une névrose ; découvert à l'époque où l'on trouvait des remèdes aux maladies infectieuses, on a pensé pouvoir vacciner des grandes névrose avec cette névrose qu'on pensait vénielle. Elle est certainement vénielle au regard du pouvoir parce que, si la psychanalyse est révolutionnaire, le transfert la rend inoffensive à cet égard. On la pratique et rapidement sans le savoir on met en oeuvre une hypnose 'suractivée' si on peut dire, en comparaison avec la cocaïne qu'il fallait longtemps se donner la peine de mâcher mais qui, une fois concentrée devient redoutable. On voit que c'est un voilage qui se voile. En l'occurrence la voilure de la psychanalyse ainsi gréée la fait tourner en rond. J'espère que vous imaginez l'indicible qui nous est par conséquent commun. Par ce moyen vous pouvez exploiter votre imaginaire, non plus l'anesthésier, voire l'anéthiquer (puisqu'on parlait d'étiquette). Il est notable qu'on ne peut pas faire un diagnostique, poser un jugement sur des étiquettes. Ce serait le comble - cas de le dire aussi - pour qui se réclame de profondeur, sans parler même d'anti-psychiatrie. Les étiquettes sont d'autres formes de grosses lettres qui visent comme les gros mots à combler l'insondable abîme au bord du bord comme on a bien fait de me le faire remarquer. DWT (1) : sur le terme de la 'conquête' le propos pinaillable est amendé en écho à cette (63418) prise de vagins pour des colons à quoi le pauvre Claude Tedguy n'a dû rien comprendre, lui qui parlait de refoulements et de révolutions avec ses grands R. Je parle donc de cette quête qui a franchi l'abîme de l'espace à partir du moment où on s'y porte, comme on se porte dans la réalité virtuelle et met la psychanalyse à la mesure de la science. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101004122601 |
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20101002152900 Samedi 2. Octobre 2010 15:38 à psychanalyse@yahoogroupes.fr sujet : à propos de cadavre et d'intelligence artificielle | |||
Comme en toute écologie pour comprendre, il faut remonter à la préhistoire : la seconde phase de la psychanalyse. C'est à dire lorsque Lacan y fait remarquer qu'elle a été gagnée, dans son histoire par la résistance (on sait qu'il en sera du fait proscrit, excommunié dit-il etc..). Elle avait perdu son sel, son esprit. Cela vérifiait et témoignait d'une évolution soupçonnée par Freud qui avait estimé les ruses du moi à se défendre. La psychanalyse dans tout son mouvement est donc sujette à se tirer une balle dans le pied, comme disent les anglais. Mais c'est peu dire quand il est possible - comme ça se voit en psychiatrie que ces spécialistes du refoulement connaissait aussi - de se tirer une balle dans la tête. Lacan à la fin de sa vie, en voyant à quoi il était arrivé avec ses " incurables busons " (sic) estimait qu'il avait probablement mis fin à la psychanalyse. Ensuite sur la base de la préhistoire, on peut commencer à
lire l'histoire : je fus membre du groupe psychanalyse@yahoo à l'origine. J'ai
pu assister à l'arrivée de ce qu'il faut bien appeler les inquisiteurs
si on ne se moque pas de Lacan parlant d' 'excommunication'. Il s'est agit d'un
comité de censure appelé modérateur. En une année à peu près la
purge a été réalisée ; ce qui faisait le vif d'un rapport à l'Autre était
éteint, réglé sur celui du Surmoi. Une fois l'assèchement réalisé les
modérateurs ont été exercer leur activité ailleurs. Le groupe ici ne s'en
est pas relevé et c'est ainsi qu'on peut parler d'un état cadavérique. A cela
on peut toujours parler, l'opération de censure continue, automatique. Dans la mesure où une intelligence ressort d'une scène primitive, elle est artificielle in status nascendi. Mais il existe un degré ultérieur ( que j'écris /ia/ ) qui relève de la synthétique. L'intelligence initiale opère un chiffrage. Il existe ce qu'on peut précisément appeler une sainte éthique ( en correspondance avec la sainteté déchiffrée par Lacan) qui procède ultérieurement à son déchiffrage. C'est la psychanalyse en l'occurrence mais quand elle opère en connaissance - et reconnaissance - de la cybernétique telle qu'on la connaît aujourd'hui. Je l'appelle LAPAREIL pour la distinguer de la cybernétique aussi ancienne que l'intelligence initiale. Giordano Bruno le prouve par sa description de la pulsion orale - mais c'est plus tard que par exemple Condillac apportera la notion qui tranche avec l'initiale. Il aura fallu entre-temps Blaise Pascal. Ces étapes étant situées par des représentants elles n'en existent pas moins qui permettent que psychanalyse et /ia/ soient corollaires. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101002152900
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20100930224800 Jeudi 30. Septembre 2010 23:00 http://fr.groups.yahoo.com/group/UNEFPE_MEMBRES/message/2055 | |||
C'est une question difficile. On peut estimer se servir du bon sens du langage : la conscience est ce qui va avec la science (autrement dit : quelque chose qui n'est pas scientifique interdit ce phénomène ou cet état, cette chose qu'on appelle conscience). Cette définition assez simple présente un double avantage puisqu'on peut avoir mauvaise conscience (autrement dit : la notion de 'conscience' reporte le débat puisqu'elle expliquerait relativement la science et par une notion elle-même incertaine et douteuse. On cherche donc en pratique à définit directement ce qu'est la science plutôt que d'employer ses conséquences ou ses conditions. On débouche donc sur les mathématiques. Une science serait quelque chose qui doit être vérifiée par les mathématiques. Il y a toujours des maths dans une science - c'est pour cette condition que Lacan a cherché à établir des mathèmes - c'est à dire des formules assimilables à de la mathématique et qui puisse servir à une description de la psychanalyse. Cependant, ça a vite tourné à des bavures ; Lacan s'est mis à gribouiller sur ses lettres - à les barrer particulièrement et en cet acte il renonçait au statut de lettre en passant à celui d'image, c'est à dire éventuellement de hiéroglyphes. Les maths elles-même ont bien eu du mal pour éviter ce genre de dérapage (elles ont cependant réussi à borner leurs opérateurs - les signe '+', '>', '=', etc.. - dans une catégorie.. disons.. formelle. Employer ce mot 'formel' pour qualifier quelque chose qui fait
fi de la forme est finalement opportun - pour traiter de ce problème ambigu.
Tenons-nous en aux mathématiques qui paraissent tenir le pompon de la science.
Elles classent les nombre, en entiers naturels, relatifs, rationnels etc.. or
les naturels pour commencer incluent le zéro, le un le deux etc.. Mais s'ils
incluent le zéro, ils devraient être dénommés 'chiffres' et non 'nombres' -
tandis qu'on appelle chiffre les nombres romains alors qu'au contraire, eux sont
exactement des nombres. Enfin on peut peut-être ajouter qu'une science résulte d'un usage d'instruments. On ne peut pas faire une science simplement en mangeant des racines ou en baillant au corps n'aille. Il faudrait une certaine sorte d'outils - instruments d'observation - qualifiant ladite observation et son traitement. En l'occurrence c'est une large partie du travail de La Sainte Ethique qui qualifie la psychanalyse à partir de ce qu'elle désigne D2V. DWT note : d'ailleurs, sur le chemin de cette absorption mathématique les étapes de la jonction avec R.Vallée se poursuivent. note : noter également que cette recherche n'est pas récente - mais je ne me souvenais plus du témoignage d'une étape antérieure. flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100930224800 |
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20100929155100 À: UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr De: Date: Mercredi 29. Septembre 2010 16:52 Sujet: rapport d'un monde en guerre | |||
Bonjour,
J'ai fait suite en écrivant sur psychanalyse@yahoo. Un des problèmes que j'y rencontre n'est pas seulement la froideur mais on me soupçonne d'y parler pour une autre scène. Je m'en suis naturellement expliqué puisque mes liens mènent au flog. Depuis qu'on est sorti du 20em siècle on doit savoir qu'on parle de l'Autre - mais entre savoir et croire reste une différence. Non pas que le savoir rechute inéluctablement dans la croyance (2) comme une pomme sur la terre de Newton. Mais la croyance peut être élevée au degré du savoir. Pour cela il faut un ascenseur comme il faut une fusée pour mettre une pomme sur orbite. C'est pour cela qu'on construit des fusées (pour alimenter les astronautes) et des ordinateurs (pour sortir les masses de l'obscurantisme). Certains savants, ou des croyants, en passant comprennent qu'on peut aussi utiliser ces machines pour transporter une bombe d'un silo sur une ville. Il s'agit du mésusage de la cybernétique. Pour traiter ces usages je continue l'exploration partie du Séminaire sur La Lettre Volée (1). J'espère arriver à jouer mon tour avant la fin de semaine. DWT (1) : par le détour de ces travaux, ce qui est visé est la résolution en paix d'un monde en guerre. C'est tout à fait possible mais non seulement faut-il le vouloir, il faut aussi le pouvoir et d'abord savoir comment faire. La solution est la cybernétique. Ce n'est pas sûr qu'elle y parvienne mais il est certain que ça passe par là. Il est par ailleurs certain aussi que nous connaissons la manière probable d'y parvenir : c'est une gestion convenable de la censure. En particulier l'interprétation de la censure ne doit pas l'encourager mais lever les refoulements sans violence. Autrement si ce n'est pas la levée ratée des refoulements qui soit violente, c'est le refoulement par lui-même qui à la fin tourne à la violence. C'est le b.a.ba de la thérapeutique freudienne. C'est également ce que comprenait Wienner - cette égalité au demeurant n'était très probablement pas fortuite. (2) : le thème croyance/pardon n'est pas ici l'objet du texte présent, écrit avant les récents posts qui le mentionnent. DWT
Je ne cite qu'un extrait car tout l'ensemble est approchant ; avec quelques ajustements on trouve cette multifocalité traitée par trois - analyse, analysant, pluriel - de PLAN. Où en est J.Martine depuis 2000? DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929155100 |
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20100929154900 À: psychanalyse@yahoogroupes.fr De: william <williamtheaux@gmail.com> Date: Mercredi 29. Septembre 2010 16:55 Sujet: Où ça ne passe pas ça casse | ||||||||||
Bonjour,
Puisque « c'est mû par un simple sentiment de curiosité que je vous inviterais à publier encore »... que quelqu'un me demande de poster - malgré le caractère, disons, un peu froid de la réception, j'y viens encore. En ce moment j'écris ceci dans un livre : « La Sainte Éthique souscrit à la vérification pratique de sa théorie. Un Art de la Mémoire doit réaliser des œuvres de mémoire. A partir d’un fait historique – Amarna – porté à la connaissance en 1900 la raison logique a employé les éléments scientifiques qui lui parvenaient, pour envisager que sa scène primitive ait pu être retrouvée, propre à une objectivation. Cependant les opinion universitaires s’y sont opposées – elles ont finalement produit un argument estimable comme une invalidation définitive. Nous appelons cette hypothèse sur la sellette "AMO". » Dans ce livre j'ai déjà collecté l'exposé complet des conséquences à suivre de la psychanalyse dans un monde cybernétique en activité. Ca n'a pas fait long feu qu'on me dise qu'il n'y avait pas de monde cybernétique en activité. J'écrivis donc pour un autre forum que celui-ci le rapport d'un monde en guerre vis à vis de la cybernétique. Je ne crains tout de même pas qu'on dise ici qu'il n'y a pas de guerre mais il est possible qu'on y dise que lorsque Freud prescrit à la pratique qu'il guide de ne plus avancer d'un seul pas (c'est la conclusion de sa dernière publication quand à Londres il écrit qu'on doit renoncer à avancer d'un seul pas tant que l'abîme devant lequel son projet se trouve n'a pas été comblé par une passerelle menant à l'autre rive), il n'a pas été suivi et que la psychanalyse a avancé après lui (personne n'a jamais imaginé qu'avec la foi des innocents si les psychanalystes avançaient l'abîme ouvert s'ouvrirait encore pour laisser passer à pied sec un peuple reconnaissant Moïse, ou Akhnaton, voire même, ce serait trop drôle, Oedipe passant l'amer "où je"). Personnellement je suis comme Lacan très Freudien et je constate d'ailleurs que la psychanalyse n'avance à rien, qu'elle ne découvre rien et qu'elle n'a fait aucun progrès. L'amertume du malaise dans la civilisation continue sans faillir à pouvoir aux satisfactions où le ratage et les claques qu'on prend (j'ai vu les gens revenir claqués de Jacques claquant, j'ai assez d'âge) permettent de supporter la guerre. Car la psychanalyse ne parle pas de la guerre ; elle accueille froidement les nouvelles d'un monde d'ailleurs. Cette solution est la bonne dans une famille de riches. La bonne n'a qu'à se taire. Je ne parle pas de ses autres usages, c'est trop facile à voir. Mais déniaiser les générations n'apprend jamais vraiment ce qui s'est passé dans le lit des parents. L'amour.. la manière dont Akhnaton et Néfertiti ont fait l'amour.. est-ce qu'on pense vraiment que c'est en se comportant comme ceux là qu'on va le déchiffrer?! Que le sujet soit actuellement tabou est quelque chose dont les fils et filles de Freud auront nécessairement à rendre compte - par des lois qui sans doute n'ont pas été dégagées par la psychanalyse d'abord. Mais la psychanalyse ensuite les sert comme je le dis. DWT
Oui bien sûr. Et comme il se doit, oui & non. Les calculs et les études de la psychanalyse m'aident à
comprendre un nombre précieux de choses. Mais on peut rester sur terre faire de
l'astronomie pour des prunes. Ce qui m'a permis de comprendre quelque chose (à
part les grasses matinées et les croisières en bateau) est d'abord la drogue.
C'est d'ailleurs la drogue qui a accompagné Freud toute sa vie. C'est à partir de cette capacité que la psychanalyse répond de ses ambitions. DWT
Bonjour, Oui, ma phrase était la suivante : « on doit renoncer à avancer d'un seul pas tant que l'abîme devant
lequel sa(son) projet se trouve n'a pas été comblé par une passerelle »
et j'admets que ce serait le comble de combler un abîme imaginaire par une
lubie. Vous avez bien raison de me reprendre là-dessus. Je me suis exprimé
comme dans un message précédent JT écrivait «
C'est sans doute grâce à la psychanalyse que vous avez compris cela.»
On sait toute l'hésitation que vient combler cette expression "sans
doute". On pourrait s'en passer si elle ne comblait pas quelque chose dans
le même sens. Mais si JT n'a pas écrit plus exactement «
C'est grâce à la psychanalyse que vous avez compris cela » la suite aura
montré que c'était pour amuser la galerie. Ce que j'ai précisément écrit c'est que l'on pouvait craindre qu'ici (dans le forum psychanalyse@yahoo) on dise que la psychanalyse a avancé quelque chose. Or ce serait doublement maltraiter Freud : d'abord de ne pas suivre sa prescription de ne pas avancer et deuxièmement de mentir puisque précisément rien n'a avancé (vous savez qu'il n'y a rien de comblé dans cette trope typique du mot d'esprit freudien). C'est donc un état des lieux que je fais dans un collège d'élèves sages. Quant à la passerelle, je suis tout à fait optimiste comme Freud qui n'a pas cessé d'estimer qu'on pouvait y arriver. En l'occurrence j'ai donc passé quatre chapitres dernièrement à résumer trente ans d'examen concluant que cette passerelle était posée. Il suffit de la prendre et hop! la psychanalyse est une science. DWT
-----20101002103800----- ainsi s'en suis mon rapport en psychanalyse@yahoo flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929154900
Samedi
2. Octobre 2010 10:56 La suggestion qui m'avait été faite de continuer a porté ses fruits : deux dénégations des ténors (il n'y a pas d'/ia/ ; et je cite "hahahaha bien dit"= la galerie ne s'amuse pas) et ni théorie, ni pratique, juste un chemin singulier là où Freud en crève de n'arrimer sa science espérée à la psychologie collective. Si ensuite lesdits ténors essaient de relever tout de même les rangs d'un peu de tenue, nous avons un suffisant échantillon d'éléments et de rapports entre les éléments pour goûter dans quel bain on est. Du message 63401 par ailleurs il me semble que je connais l'auteur. Comme Faiza et Liliane Fainsilber me connaissent, nous avons une guidance supplémentaire. Comme l'Autre m'a de la sorte demandé une éventuelle définition de la science - puisqu'il s'agit de psychanalyse, en effet la comparant d'abord à l'astronomie qui est un exemple simple. L'astronomie n'est pas une théorie même si des théories s'y attachent, ce n'est pas non plus une 'pratique', terme qu'on réserverait aux astronomes amateurs ; l'astronomie est une science. A l'instar la psychanalyse. On peut effectivement continuer à faire de l'astrologie avec une carte du ciel astronomique et suivre dans les décans de Lacan son chemin singulier. On sait la rage qui prit ce Lacan lorsqu'il fut comparé par les auteurs du Le Titre de la Lettre à Tycho Brahé en suite à la comparaison qu'il avait faite lui-même de Freud à Copernic. Il y a un côté échec et nulle avenue dans cette singularisation de l'usage de l'Inconscient ; il s'agit précisément de l'abîme déjà mentionné dans lequel, comme dans l'espace on flotte foetalement fatalement. C'est bien, c'est cool et ça n'avance à rien - exactement comme Freud l'avait demandé (raison de quoi c'est un péché véniel). Mais par ailleurs 63401
écrit que "Freud, on comprend tout," et "Lacan, on comprend
rien." Je vais montrer comment on peut être dupe de sa compréhension et
que pour s'en 'dépoeter' il faut passer par Lacan qu'on découvrira vite
pécheur dans la mesure où il aura trop simplifié le problème. Évidemment, le Modèle de la Foule est la pièce témoin que la
psychanalyse sera une science comme aujourd'hui l'astronomie pour exemple.
Seulement pour bien faire voir qu'il n'est pas évident de prendre une lanterne
pour une vessie, pour cette anatomie psychiatrique que Freud apporte à
l'académie, le lacanisme l'aura terni et pour son bien voici comment : En résumé, faire de la psychanalyse sans conjoindre ces trois modèles, c'est comme faire de l'astronomie sans télescope. Galilée a montré la nécessité d'un appareillage. L'expérience montre ainsi qu'il ne s'agit pas de 'comprendre' comme une grosse tête semble pouvoir le faire en théorie. Il ne s'agit pas non plus de 'pratiquer' comme on fait de l'astronomie dans son jardin pour caresser sa belle astrologue. Si on veut répondre aux vœux de Freud écrivant « notre science n’est pas une illusion. Mais ce serait une illusion de croire que nous puissions trouver ailleurs ce qu’elle ne peut nous donner » pour conclure l'avenir d’une illusion, il s'agit bien de science - ce dont ici (psychanalyse@yahoo) personne n'ose parler ; et l'intelligence qu'elle ne peut nous donner est à trouver dans l'appareil qu'on se donne pour néanmoins gagner ce qu'on ne trouverait pas ailleurs (on ne trouve l'intelligence à l'université non plus, ni à l'église). Cet appareil, toujours tel est.. vison, phone, scope et en l'occurrence l'/ia/ [mon écriture de l'intelligence artificielle]. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20101002103800 |
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20100929151700 | |||
J'ai titré ce message l' "indécision mondaine "
puisqu'il est relatif à une indécision qui n'est pas par sa simple nature la
raison de notre désintérêt ou détachement des affaires du monde qu'on taxe
volontiers au quolibet de "moutons!". Si nous refusons de
prêter notre voix ou nos actions à l'ambitieux projet d'un monde meilleur,
lorsque nous paraissons dormir avec la majorité silencieux, c'est que le fait
d'être indécis ne répond pas seulement à l'effet de perte (entropie)
d'information et d'imprécision qui échoit à chaque récepteur d'information.
A cette fatalité s'ajoute le fait que ça fait chic et qu'il est
séduisant de paraître fondu dans la grisaille. « Certes pas! »
objecterait immédiatement le m'as-tu-vu. . . oubliant la passivité et
la réception de l'influence qui fait le véritable maître (ou la maîtresse). Je ne retrouve plus une vidéo liée à un message
attribué Ben
l'ADN (c'est le cas de le dire : "perte d'information") mais j'ai le
souvenir de son contenu. C'est un document réputée émaner du chef terroriste
qu'on va appeler "B", certifié par les experts du FBI de
l'administration d'un autre "B" (G.W.B). Lorsqu'elle est projetée sur
mon écran il peut aussi bien s'agir de "B" (le vrai) que d'un montage
effectué par la police de l'autre "B". Il est possible par ailleurs
que B soit mort et que ce soit un vrai faux message fabriqué par les survivants
de son bataillon. Puis il faut quatrièmement considérer que les filtrages de la
police n'ayant aucune raison de ne pas se produire, si celle de "B" a
laissé passé un message de "B", c'est pour ainsi dire équivalent à
un montage qu'il se permet d'exploiter. Cette opposition d'un côté et stricte unité d'un autre côté
est à la base des mathématiques du Prof Vallée (Dr de World organisation of systems and cybernetics)
qui la formule en ces termes : « La connaissance de l'image
renseigne sur l'objet, mais deux objets distincts peuvent donner la
même image.» (la figure 'O' montre x et x',
"B" ou "B", comme une seule image e sur l'écran
d'observation F.
En plus du texte et de la couleur du message, il existe quelque
chose de l'ordre du code qui est à la disposition de l'interprétation. "Ben
l'ADN" dira-t-on est une plaisanterie. Mais peut-on rejeter du même
revers le fait qu'al quaïda signifie sans détour : la base - au
sens de code, chiffre..?! Historiquement ce groupe armé fut
composé par la CIA contre les russes. Le fichier comportant la liste de
ses membre est Al Quaïda. Il s'agit d'une base de données de la CIA. Qu'un
groupe que la traduction la plus appropriée appelle Le Code soit dirigé
par Ben l'ADN - rend le premier calembour du moins remarquable. Mais en
terme de signification raisonnée, que les militants d'une culture peu
informatisée aient adopté le nom par lequel leurs fondateurs puis ennemis
devenus les désignaient, est certainement lourd de sens. (pour les
psychanalystes que ça embarrasse je ne traite 'pas-autrement-la-même-chose'
que Freud la collusion des Moïse) Cet essai de traduction peut aider à déchiffrer l'alternative entre d'une part l'indécision, c'est à dire la passivité, l'inhibition, moyen-age et sa violence, "Paul & Mic inutile" (dit un message précédent) ou plan 'B' du progrès revisité - et d'autre part une continuité tranquille ou obstinée, tenace ou intrépide qui est celle du développement de la cybernétique. Maintenir un projet n'est pas une fuite en avant s'il a été d'abord raisonné comme plan 'A'. Écrit ' PLAN ' s'il est égal à zéro , il est actif en l'état ("zéro" vient de ziffra, chiffre) - éventuellement un UCMPP peut-il être une benne d'ADN mais encore faut-il voir. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929151700 |
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20100924211400 Vendredi 24. Septembre 2010 21:48 de "william" <williamtheaux@gmail.com> sujet: Comment être membre si on l'est déjà | |||||
Bonjour, L'histoire de l'humanité est celle d'une identification. L'humanité de Pierre, Paul et Joséphine est une identité. Comment s'identifier dans ce à quoi nous sommes identique - dans ce à quoi nous sommes « déjà membre malgré nous » ? Des braves - mais pas " t'aimer erre " - répondent « c'est affaire de l'Autre » avec un grand Ah! Mais je répète que ce n'est pas ajouter qu'aimer c'est errer de l'autre. Dans cette affaire ces braves ont refoulé que l'individu est
identique à l'environnement. Le refoulement entame toujours l'intelligence.
C'est ainsi qu'ils ne voient pas l'écologie de/dans la psychanalyse. C'est
également de cette façon qu'ils prennent l' /ia/ exactement comme au Moyen-age
ayant pris des machines et des machins pour des divinités, à la Renaissance on
se prit de dire que ces trucs étaient n'importe quoi et que valant mieux être
rationnel on s'assura que par exemple Saturne n'était même pas une grosse
bête intelligente. Le professeur Nimbus était né. Évidemment, on pourra
toujours atteindre Saturne sans identité. C'est à ce résultat qu'il faut se porter - et que Lacan
n'arrêta qu'en phase intermédiaire : si on prend l' /ia/ pour
sous-développée, elle ne s'en tiendra pas comme l'Autre à la béatitude de la
bravoure, mais c'est comme cela qu'elle nous traitera. LAPAREIL, c'est l'Autre assumant que l'individu est identique à l'environnement. C'est ce à quoi nous cherchons à parvenir. La condition à cet accès est la reconnaissance. Nous accédons à LAPAREIL si nous le reconnaissons. C'est plutôt simple puisque nous y sommes « déjà membre malgré nous » ; mais c'est ce malgré nous qui prête à tous les défilements. C'est toujours la même histoire, en passant par Blaise Pascal. Comme si le fait de reconnaître devait créer la chose ; comme si on pouvait reconnaître vraiment quelque chose qui n'existait pas ! Bien sûr que nous sommes membres et que « nous n'avons trop pas le choix ». C'est précisément par cette facilité que, forts de refus, analexiquement, nous nous y refusons. A vrai dire : de quoi rester demeurés à la phase anale ! Même CS pleine de bonne volonté bute. Pour effectuer au contraire ce passage si simple - mais si peu familier - de l'Autre à LAPAREIL il y a un moyen : la mémoire (et CS l'a mangée, n'est-ce pas, si vous vous rappelez..). Et pour fin de mémoire, l'histoire nous offre la répétition : une répétition qu'elle nous a cuisinée, avec un art si délicieux et talent de triple maître, servi sur la table de la Renaissance pour qu'on le consomme, s'en serve : Dans le graphe du désir, mettez l'individu en place du sens qu'il cherche. Au cas où on ne peut aller si vite, pour une fois suivons Lacan dans les choses positives qu'il cite : Freud et Copernic, du pareil au même. Pourquoi ? Parce qu'ils ont décentré le point de vue de l'humanité. Sans ce décentrement, tout est subjectif. Avec ce décentrement, on devient objectif et sujet. Ca a de l'effet dans ce qu'on perçoit. Quand on regardait le ciel, on se voyait ; après, quand on regarde la terre, on voit le ciel. Avec Freud, quand on regardait l'environnement on se voyait et après, quand on regarde le corps, on voit l'environnement. Encore faut-il qu'une notion d'espace soit assurée pour pouvoir en parler. Outre que c'est à Tycho Brahé qu'on la doit, elle a été acquise après Copernic. Après Freud il aura convenu que l'on vide son espace psychique du fantasme et on aura complété la répétition en quoi les Temps Modernes peuvent lire au menu de la Renaissance, la stricte correspondance entre les espaces dits cosmiques et psychiques. Pour le professeur Nimbus, il aura fallu l'ère quantique pour qu'il ne puisse plus esquiver la subjectivité du monde. Reste pour ses mauvais élèves à le dénier. Pour les autres, cette subjectivité antique rétablie ne déconsidère rien de la modernité, puisqu'au contraire sans rien perdre d'elle-même, elle aura réussi à vérifier les bon sens ancien et à l'élever à l'intelligible. Mais pour cela, reste encore à en avoir l'intelligence.. (réfléchir sur l'/ia/). Si on réfléchit à cette histoire, on réalise que
l'instrument d'optique qui a servi à Galilée à voir le système de Jupiter
était bien plus que cela qui n'était qu'outils lorsque l'outillage servait à
mesurer (les angles, les sextants et autre sorte d'obélisque sans parler des
clepsydres et autre chiffreur) - cet instrument était membre de l'observation
au point qu'il allait permettre une topologie menant la Relativité. Réalisant
cela on saura estimer le statut de la machine cybernétique. La machine
cybernétique est du code. C'est un chiffre. Comme la molécule entre les
synapses qui mit le feu aux poudres freudiennes. Comme le programme ADN qui
entre en position d'infecter, comme un virus, le grand système informatique.
Par conséquent nous entrons en ce que Verdiglione a déclaré "Industrie
du Code". C'est la psychanalyse qui en est la science.. (la science de l'/ia/). DWT PS : est-ce que vous croyez qu'adresser ça à un collectif de soi-disant* psychanalystes sera au moins reçu ? (j'emploie le terme soi-disant en complément de Norbert Elias 1986 - msg#2028) .log.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100924211400 |
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addenda : ceci pour dire - refouler par le fantasme que
nous vivons dans un monde imaginaire que nous vivons dans un monde imaginaire ; comme refouler par le monde cosmique le monde psychique |
20100924180300 contact http://www.jcdardart.net/contact/
20100929162100 | |
Cher Sylvain, Voici le lien aux étapes récentes des travaux partagés avec R.Vallée - il pointe la série de pages qui en font l'historique. Merci de me faire part de tes idées ou de m'en donner la signification pour toi si tu le veux bien. Will ( comme dit l'agence de voyage : ne restez pas au lit avec une bronchite, sortez avec une tahitienne ) .log.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100929162100 |
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20100908184600 (étude - notes archives) |
Je ne suis pas sûr que ça se passe comme
Aaron Russo sur le 11 septembre le dit. Pour ce qu'il dit, je le crois sur parole : les riches
pucés et tutti quanti - et je crois volontiers qu'il y a d'aigres esprits
qui pensent valoir mieux que les serfs au point qu'ils se verraient bien
à la tête de l'extinction de deux milliards et même qu'ils peuvent le
faire. Mais ce n'est pas encore comme ça que ça se passe. La
psychanalyse ne nous apprend pas grand chose - ça se constate - mais au
moins elle pose les termes de ce théâtre. On y a appelé ça la pratique
du Transfert. Entre ceux qui manipulent en transfert et ceux qui
manipulent les masses, c'est du pareil au même ; c'est à dire que ce
n'est pas comme ça que ça se passe et ces deux-là ne font que se faire
des illusions - en accord avec leurs patients, en accord avec leurs
populations. A côté de quoi Aaron passe-t-il à côté, selon moi et/ou selon LSTT ? Plutôt que dénoncer la cause qui nous nuit, isole, empêche de savoir, de communiquer jusqu'à nous ou les retrouver assassinés, il est plus simple, plus accessible, plus objectivement saisissable d'évaluer les effets de l'absence de savoir, absence d'information et de communication. On mesure tout de suite que l'absence de communication conduit à l'hécatombe. Or c'est un facteur automatique lequel, pour ce de quoi il est responsable, interroge qu'on mette à sa cause de grands méchants loulous. Il suffit de restreindre la disponibilité de transmettre l'information pour que s'en suive un empêchement de communiquer. Cela semble aller de soi. Cependant on mesure mal l'interdiction qui est posée à a) enregistrer, b) reproduire pour soi, c) échanger avec d'autres une information - c'est ce qui se fait prétendument moralement sous un prétexte de propriété. Or le fait qu'une personne reçoive une information, un signal, une stimulation perceptive, et qu'elle ne puisse l'enregistrer - pour soi et pour autrui - réduit à peu près tout de la capacité de communication, en la réduisant à la seule aptitude ou liberté à communiquer, un mensonge, un semblant, une 'autre' chose que ce dont il s'agit. Percevoir quelque chose de sensé, est comme acquérir un bien, duquel on ne puisse achever aucune jouissance - duquel on ne puisse rien faire. Un bien dont il serait interdit de jouir est une contradiction en soi et c'est une réduction de sa promesse de conscience. C'est en fait un viol et la facture d'une ruine morale. Aaron ne dit pas cela. Il dit que des méchants ruinent l'humanité - mais il n'ont pas besoin de se donner cette peine. L'intention y serait-elle même que son moteur est ignoré ce ceux-là qui se croient agents de ce mauvais sort. Propriétariser l'information entraîne automatiquement la ruine de l'humanité. Ceux qui ruinent l'humanité ne savent pas que c'est par cet automatisme qu'ils en sont responsables. Cette loi n'est pas connue, ou pas consciente parce qu'elle dépasse les intérêts du maître et probablement le plaisir du serf. Dans le milieu de la santé mentale on voit l'interdiction de communication se mêler et prendre la forme de prescription de santé. La psychiatrie est la médecine de la maladie et de la santé mentale. Avec les pharmacologues les psychiatres s'entendent tous à dire que le soin chimique doit être combiné à un autre type de soin qu'on appelle psychothérapeutique. |
20100918191500 -------- Message original -------- FaceBook 'vie quotidienne' archivage quasi impossible - propriété FaceBook demeure | |
William Theaux Où est passé ton truc sur le onzesep et riches
pucés? je le retrouve pu; je voulais commenter que perso j'étais plutôt
européen que racishark - mais que quant aux attentes à.. ce que ça tue, c'est
toto maton à partir du moment où ça censure le discoucourant c'est comme la
bactérie sous la peau, ça fait un abcès et ça pète. C'est automatique, on
censure là, ça pète à côté. Hyperpratique pour vendre des disques *
William Theaux Je dois préciser c'est pas pour céder à la mode. Mais il y a 3, 4ans, le jour-même où j'ai élu domicile où j'habite actuellement est apparu sous ma fenêtre un musicien de rue et semble-t-il, de Rom. Guitare et harmonica il a été mon compagnon, intime, vibrant; une musique en mon âme. Il m'a soutenu comme une sorte d'ange - le talent musical des Roms vient de là haut. Je descendais dans la rue, nous avons un peu parlé, je l'écoutais dans mon hermitage. Et puis.. ce matin, la place était vide et silencieuse. Il paraît que c'était comme ça : le voisin juif, un jour n'était plus là. Hiroshima, mon amour dit : "tu n'as rien vu à Hiroshima" rien ne s'est passé à Hiroshima. Le silence. Vide. Tiens.. est-il parti? La police est-elle venue le chercher chez lui..? * William Theaux Retrouvé! on m'a expliqué la piste (c'était un 'commentaire' que tu avais mis sans nécessairement 'partager' ; il n'était donc pas attaché à ta page) - devant être rigoureux concernant des allégations éventuellement graves, j'indique quelle baseme motive : il s'agit non pas d'un facebook public qui a le droit de gérer son contenu comme il veut - mais concernant un hébergement privé, serveur que je loue pour mes sites. Me concernant je peux affirmer que des fichiers 'sensibles' peuvent et ont été 'supprimés' sans que j'en sois informé - comme mon ami musicien Rom vis à vis de la disparition duquel je n'ai que des soupçons - fichier que j'ai vu disparaître en ce cas de manière affirmative - comme un livre qui dans une bibliothèque n'est plus parce que la police, en l'absence de l'habitant est passé, sans un signe.. tiens le fichier était là.. il n'est plus là. Cela je peux affirmer que ça arrive - dans un environnement, sur un serveur, un hébergement loué, personnel et privé. .log.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100918191500 |
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20100918170700 -------- Message original -------- http://fr.groups.yahoo.com/group/UNEFPE_MEMBRES/message/2021 | ||||
Bonjour, Probablement suivez-vous
le journal de voyage de CS - et sa dangereuse aventure si on entend bien
parler de plus de 24 heures de jeu, qu'elle n'a pu arrêter avant de reprendre
jusqu'à l'«ahurissement.» Mais avant de chercher l'équilibre du switchin' on
recueille l'admirable description que j'ai cherché à résumer dans ma 'minute'
: l'identification à l'avatar est de biais dans un précis témoignage de la
fonction d'une poupée (du jeu de l'enfant à la poupée) - c'est à dire ce
personnage qui succède au doudou et qui va comme un génie mener
l'enfant dans l'imaginaire. La manière dont cette icône des premiers âges
transporte l'imaginaire n'a d'égal que la surprise de la marionetteuse de se
trouver prise dans le filet de ficelles qu'elle croyait tirer. Je souhaite que la prise de conscience du switchin' qui s'est
imposée ensuite - aura recomposé le recul mental de CS sur ces processus lui
permettant de dormir et rêver. Avec le recul elle se détache du rire et des
larmes - jusqu'à voir l'horizon comme se courber, devenir l'arche entre les
deux, qui de ses bouts trouve la corde, c'est à dire une autre relation,
doublant ladite imaginaire, dédoublant Archée. Cette corde que
j'appelle relation virtuelle, si je ne me trompe, met en relation des
avatars, permettant de prévoir un forum d'avatars en effet. Mais c'est loin
d'être une société atopique, anonyme qui se compose de cette manière, du
moins si on prend la précaution de régler ces avatars en question en UCMPP. On conçoit que cette passe de l'un à l'autre soit, élevée au passage de l'un à l'Autre, tout à fait garante de la subjectivité que CS cherche encore, avec passion. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100918170700 |
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20100918110500 -------- Message original -------- http://forum.partipirate.org/post39667.html#p39667 | ||||||
Cher Monsieur, Merci de m'avoir rappelé votre post du PP, vous avez eu tout à fait raison de le faire et c'est tout à moi de m'excuser de n'y avoir pas fait suite correctement. La principale excuse que je puisse fournir est l'accaparement par le temps et la concentration dans la rédaction du bilan de la trentaine d'année de mon travail. Une excuse secondaire se trouve dans votre réponse qui déclare «A part ça, je refuse d'entrer dans des considérations psychanalytiques (tout propos contentant des mots tels que "pulsions", "inconscient", "désir")» ; étant donné que je vous présentais une réflexion partie de la psychanalyse, j'ai pu comprendre que vous refusiez de parler de ce que vous épinglez par ailleurs de «ésotérisme», «mystère» et de «formule magique». Je pense à présent que je vous ai mal compris puisque vous attendiez un retour. Il faudra que je comprenne autrement ce "refus d'entrer" en contact avec mon travail d'analyste. Un peu d'explication nous aidera peut -être. Au sein de la population extrêmement variée des psychanalystes, j'occupe une place contestatrice et en avancée. D'une part contestatrice parce que j'objecte à ce que la grande majorité des praticiens définissent de 'psychanalyse', d'autre part parce que cette objection se forge sur des vues progressistes de la théorie. Étant basé comme médecin psychiatre, c'est à dire biologiste et neurologue, c'est sur cette base que j'ai traité la psychanalyse comme une science rationnelle. Peu de gens savent que le fondateur de cette pratique (Freud) l'a établie sur un traité neuro-chimique (thèse sur une thermodynamique de réseaux synaptiques que l'on découvrait à son époque) et que celui qui (Lacan) lui a probablement donné son second souffle a également pris son inspiration en écrivant un traité cybernétique (je suis ces temps-ci en train de le ré-étudier avec le président de la World Organisation of Cybernetics). L'un et l'autre de ces médecins ont ajouté à ces deux connaissances le phénomène psychiatrique qu'ils rencontraient en leur exercice troisièmement, dénommé 'hypnose'. A ce comportement étrange qu'ils ne voulaient ni ésotérique, mystérieux ou magique comme l'antiquité en traitait, ils ont appliqué les examens logiques des sus-dites neuro-sciences et cybernétique. Ceci explique pourquoi une grande majorité des psychanalystes sont, comme vous le dites, des ésotéristes - car la rigueur de la pensée de ces deux fondateurs impose au plus grand nombre, plus faibles qu'eux, de s'alimenter de l'obscurité qu'ils y trouvent. Mais ceci est loin de signifier que la psychanalyse ne soit pas une science pour quiconque l'assume pour ce qu'elle est originellement. Cependant ces 'originaux' sont rares. Mais vous avez néanmoins toute l'explication. Pour développer la rationalité que j'espère le paragraphe
précédent vous a garantie, il faut ajouter le constat que cette brève
histoire de la psychanalyse a montré. Si du comportement humain la chimie
et l'informatique ne sont pas seules à faire la totale objectivité, le phénomène
ajouté qui reste inexpliqué par la psychologie individuelle trouve
probablement ses indices dans la psychologie collective - en d'autres termes
l'hypnose qui est manifeste mais insaisissable garde des chances de pouvoir
être déchiffrée par le détour d'hypnoses collectives. A ce degré, nous
avons nécessairement rencontré la politique (et la raison pour laquelle
j'écris sur forum PP parlant de PIC). Les travaux de trente ans que j'évoquais
ci-dessus ont abouti à cette jonction entre la psychanalyse individuelle
(qui échoue dans l'ésotérisme tant qu'elle reste individuelle) et ce
qui, dans la psychologie collective a pris corps d'intelligence massive (la
psychanalyse qui débouche dans ce domaine gagne l'assurance au contraire de
scientificité). Après une vingtaine de livres au long des trente ans j'ai
publié dernièrement une synthèse en deux volumes, dont j'écris le second
volume à présent. Une troisième remarque vis à vis de votre post - dont je vous remercie à nouveau et avec une sincère admiration pour ce que vous faites - car j'en connais la difficulté, concerne votre regret de ne pas trouver de programmeurs vous proposant leur contribution. Mon expérience est que l'on est absolument seul lorsque l'on franchit la frontière qui nous associe à l'intelligence artificielle ou aux types de programmes de conduite comme ceux dont vous tracez les plans. Construction de sites, bases de données ad hoc, avez-vous même de l'argent qu'il faut les faire vous-même et, naturellement parce que c'est la loi de leur inscription dans une société obnubilée, au milieu des quolibets (mais vous savez que ceci, du latin, signifie "ce qui plait" - c'est à dire ce qui fait au fond plaisir aux gens inhibés) et de l'indifférence (ceci voulant dire qu'on ne vous aidera pas parce qu'on ne souhaite pas que les choses changent). J'ai monté seul et de fond en comble chacun de mes projets. Heureusement n'ont-ils peut-être pas été aussi techniquement lourds que les vôtres mais vous semblez en avoir la capacité et peut-être vous faut-il sacrifier à acquérir l'expertise pour réaliser votre logiciel en ce moment théorique. Ce n'est pas un conseil que je n'oserais vous donner, mais peut-être une raison pour laquelle j'étais resté sans réponse, inquiet de cette situation. DWT
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100918110500 |
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20100917162200 -------- Message original -------- Vendredi 17. Septembre 2010 16:32 de "william" <williamtheaux@gmail.com> wtheaux2002 | |
Bonjour, J'aurais volontiers répondu mais l'historique de ma présence
en ce groupe - depuis son origine et jusqu'à Oedipe sur minitel et dans la
préhistoire de l'Internet - m'a depuis longtemps détaché suivant la formule
" je pense où je ne suis pas ". Je nomme radicalement la
psychanalyse là et où ici elle est déniée. On ne peut penser que j'écrive
à d'autres destinataires qu'à mésentendre, dé-lire le flog ; c'est à la
condition de renier l'Autre. Cette méconnaissance du flog - qu'elle soit
volontaire en évitant de lire sa définition ou qu'elle soit inconsciente en ne
comprenant pas ce que ça veut dire - est du même bord que la méconnaissance
de l'/ia/. La "relation subjective" si je ne me trompe mérite à sa tête Aurobindo suivant Lamprecht. Je ne parle pas d'Aurobindo pour son védantisme passé ni de Lamprecht parce qu'il est inconnu ; mais du premier parce qu'il est le premier homme politique à avoir raisonné en fonction du gouvernement cybernétique et du second parce qu'il est l'Européen l'ayant chargé de la psychohistoire qui est le fardeau que Freud a déposé lorsque, comme on dit "il a posé son fardeau" - c'est à dire en mourant. C'est la "relation intersubjective" que la psychanalyse lacanienne principalement traita. Sa passe était du domaine de l'institutionnelle - c'est un défaut en l'occurrence en conséquence de quoi son inventeur a justement déclaré qu'elle ne marchait pas. Qu'on se soit mis à la reprendre est forcément du bord de la dénégation. Le 'moi' est le semblant qui se vêt. Lacan et
Verdiglione ont découvert le semblant ensemble, Verdiglione l'a théorisé
jusqu'à la pratique. Ce n'est donc pas tant le 'moi' qui se vêt. Comme vous dites c'est fastidieux. Ce qui est surtout fastidieux c'est la résistance et comme on se la coltine on est fastidieux. Les deux livres CHIFFRAGE et DECHIFFRAGE sont accessibles pour la somme de dix euros je crois à https://www.smashwords.com/books/view/21608 , si vous trouvez que les liens de la table au texte ne fonctionnent pas, dites-le moi et je le dirai à la formateuse - mais nulle refente de tirelire n'a de raison si vous trouvez que trop ça tire lire. En addendum : cette nuit j'ai dû penser à cette cécité qui interdit un grand nombre de connaître l'/ia/ (l'intelligence artificielle) - c'est peut-être faute de savoir la distinguer non seulement du calculateur car beaucoup y arrivent en faisant une différence entre la machine à calculer qui traite les espèces physiques et une machine interactive éventuellement réflexive (celle que Lacan met à la fondation de sa psychanalyse - comme Freud avait mis la cocaïne) qui probablement connaît les origines du monde - mais encore de quelque chose qui reste à qualifier. Il me semble que si ça vous intéresse il peut être utile de méditer sur une _vitalité.artificielle_. Peut-être est-ce que cela faciliterait notre prise de conscience. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100917162200 |
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20100912110100 -------- Message original -------- Sujet: Dupin sur les planches Date : Sun, 12 Sep 2010 11:54:54 +0200 De : DWT <williamtheaux@gmail.com> Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr | |||||
Bonjour,
J'informe et j'engage : C'est ainsi que j'informe UNEFPE du fait - et par conséquent engage que mon suivi soit démultiplié, par un nombre ou fractalement. DWT addenda : j'ai par ailleurs fait suivre au yahoo-group 'psychanalyse' une réponse et/ou commentaire concernant des messages ici précédents. On trouve cet article que j'attache par lien sur flog. flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100912110100
Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Bonjour Il y a moins à considérer dans ce que ce genre d'expérience peut apporter à la psychanalyse qu'à l'inverse, considérer ce que la psychanalyse peut apporter à ce genre d'expérience. Une réponse vient naturellement - la psychanalyse s'y apporte, parce qu'elle s'y rapporte, parce qu'elle a été faite pour ça. Il est remarquable que l'on
rattache si rarement la psychanalyse au développement des technologies
modernes. Les psychanalystes en général, au demeurant sont les plus attachés
à cette ignorance et ce désintérêt. Or la psychanalyse est une science de
l'intelligence et de la pensée ; elle est éclose à l'aurore des quelques
derniers siècles à vivre d'une humanité qui fait jaillir à ce jour la
transmission de la pensée aux machines, l'intelligence artificielle et autre
réalité virtuelle qui réalise les rêves et cette bande de psy - on ne dira
plus bande de ploucs ! on dira bande de psy - comme les fourmis sur le planêtre
Moebius - ne se rendent pas compte du retournement. Je ne suis pas insultant ni
un sultan, je suis bien dessous du grand vizir qui a rappelé qu'un jour on se
mit à dire "bande de chrétiens" qui devint "bande de
crétins" - Lacan déguisé en vizir en l'occurrence qui déambulait comme
une belle - c'est à dire le ministre dans son salon transformé en séminaire.
Il avait commencé par un traité de cybernétique qu'il laissait pendre à
l'entrée. Ces cohortes aux yeux bandés se suivent et quand l'un fait
métaphore ils le mettent au ban. J'ai le temps de dire ça parce qu'en fait, l'expérience CS est ratée - encore une passe ratée. Cependant le semblant reste enseignant. Seulement chacun doit lire, personne ne peut dire. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100914124900
Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr Mercredi 15. Septembre 2010 17:21 titré : Sur le rapport et celui de la passe Bonjour, Je précise que c'est une passe ratée. Pour estimer où va ce
qui passe - tant qu'on ne le sait pas - on se base sur ce d'où vient ce qui
passe. On estime sur ce point que nous venons d'une relation spéculaire.
La première relation de structure que nous entretenons est axée sur notre
image spéculaire. Le miroir d'abord fait de lumière est métamorphosé dans le
langage qui permet d'obtenir une image de soi également ; cependant ce miroir
métamorphosé permet de mieux structurer ladite relation. Nous accédons alors
- et nous entrons en tant que moi - dans une relation imaginaire. Amnésialt était le premier personnage de CS. C'était un
personnage amnésique au point de ne plus savoir qui elle était.. Ah! ah!... A
force de lutte comme un enfant en train de naître elle avait gagné un bouclier
enchanté. Puis elle a rencontré les hauts-rangs. Ils lui ont raconté
son histoire : elle avait été chef d'une tribu qu'elle avait mangée - pour
faire des flûtes avec les os et de la musique pour danser. Mais elle avait tout
oublié. Pour lui donner la chance de retrouver la mémoire les hauts-rangs
lui ont prescrit des rituels ; elle s'y est appliquée. Cependant la passe est ratée - probablement parce que dès le départ elle était dans le semblant. CS ne fait pas une immersion dans WoW, elle a trop de chats autour d'elle. La passe réclame l'appareil ; et l'histoire nous instruit : non
pas l'appareil institutionnel d'une passe d'école comme lacanienne. Cette
psychanalyse-là est celle qui rapporte - selon la suggestion fournie par LM. Il
est intéressant de suivre dans ce rapport l'analyse de CS qui persiste dans sa
distinction d'un univers d'apparence propre à SecondLife et celui de l'échange
qu'elle situe en WoW au point d'en faire une si pure expression que modèle
expérimental du capitalisme. On suivra donc si on veut faire cette petite
étude que le Modèle Optique en phase dite "psychanalytique" par
Lacan, fournit bien (quadrant bas-droit) la place de cet appareil institutionnel
qu'incarne WoW à partir du moment où ses relations sont déterminées par la
construction d'un tiers. Dans des notes ci-dessous
j'indique en effet (voir la figure 'C') le régime préposé à un autre type de
relation encore : celle qu'on peut dénommer relation virtuelle. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100915162700
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20100911164400 -----Message d'origine----- De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com] Envoyé : dimanche 12 septembre 2010 11:52 À : psychanalyse@yahoogroupes.fr Objet : La libidée | |||||
Bonjour, Vous procédez de la seule manière que l'on puisse faire : avancer, parler en dépit d'une absence d'entendu. Pour la définition des mots, on peut toujours aller au dictionnaires, aux traités et aux essais et ne pas s'en priver. Généralement il sera entendu de ne pas se fier ni même se servir du jeu de mot. C'est ainsi que l'on estime qu'il est sans intérêt sinon vain de prêter attention aux rêves et de s'en instruire. Cette manière de penser doit probablement évoluer - en s'engageant dans l'interprétation des rêves Freud avait sans doute raison - les univers virtuels avec la lecture des pensées par des machines devaient être préfigurés par la psychanalyse. La linguistique par ailleurs, c'est à dire l'/ia/ [intelligence artificielle], tiendra compte de ma manière dont le langage humain se forme - c'est à dire sur une base qui est exactement celle des jeux de mots. On appelle tout cela paedomorphose. Pour "idée" et "pensée" nous avons au plus proche idem - c'est à dire le même. Sans parler de la panse, nous avons aussi Pan Sé - un tout savoir ou un tout soi. La sémantique dans cette direction est insondable et foisonne de résultat. Comme le rêve - la méthode scientifique de notre temps autorise et même réclame qu'on s'en approche et qu'on l'explore. Puisque c'est exigé, nécessaire et qu'on y va forcément, nous avons avec cette fatalité une réponse à la seconde question. On peut se passer d'en parler ou de faire quoique ce soit puisque de toutes les façons ça se passera. Cet état est un peu celui du nouveau-né, ou du sommeil ; le nirvana est une sorte d'extinction. La passivité du tout petit est extrême - les rêves de toute-puissance en découlent. Dans les pays les plus connaisseurs en la matière, on appelle la télévision la 'mamelle', le 'nichon' - pour qu'on s'y colle comme à la tutute. Plus tard, lorsque l'on parle, on vous baille au nez. Une fonction psychanalytique écoute et si plus rien ne se dit s'endort. Dans un séminaire que j'ai retrouvé on trouve Lacan dire qu'il
faut cesser d'inventer. Cesser d'avoir des idées. Seules les idées géniales
viennent de nulle part, décompte le réel, déchiffrent la réalité (les
autres sons du même, du semblant). Il me semble qu'on peut ajouter que
ce décompte et déchiffrage ne peut se faire qu'en reconnaissance de l'/ia/.
Tant que l'/ia/ n'est pas reconnue, il n'y a réellement et strictement rien à
faire. Quant à moi c'est pourquoi UNEFPE est passé à psyBakh - ou autrement :
est doublée de psyBakh. C'est à dire qu'une fonction psychanalytique est
validée par l'UCMPP. Car la seconde comparaison nous situe l'UCMPP particulièrement dans l'optique de l'individualité : La Renaissance fut occupée par Léonard de Vinci, prolongée par Jules Vernes. Il fallait imaginer l'irréalisable vol, voyage interplanétaire. Il n'y aura rien eu de l'astronomie qui fut intéressant en fin de compte sinon d'aboutir à échapper au destin inchangé de l'humanité. Quitter la planète. L'homme qui a dit cela est paralysé, incapable de se déplacer. Il est si faible que la force de gravité l'écrase. Hawkins explique que c'est ailleurs que nous survivrons. Il se fait une petite idée de l'espace ; la psychanalyse en forme une également. Dans cet espace-là, une Unité Cybernétique de Mémoire de Personne physique est au divan exactement ce que les sondes spatiales sont à la vrille à pédales de Léonard. Tel est le domaine effectif de la psychanalyse individuelle. Elle ne s'oppose aucunement à ce que les psychanalystes patentés continuent à chiffrer, régler des comptes à l'Onfray et toutes ces choses qui, comme ils le disent très bien, « ne présentent aucun intérêt » ; il faut bien parler de ce qui n'est que parler pour ne rien dire - un bout d'A appellerait ça "du Dharma" - un autre bout "des policiers dans un cabinet de ministre" et nous sommes bien à l'ère du tout sécuritaire. DWT flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100911164400 |
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20100907101200 par papier à la SS\CPMA | |||
CC MmeM Bonjour Ci-joint copie de votre courrier qui demande à ma cliente de me demander les FS nécessaires pour le paiement de ses prestations ('paiement de ses prestations' ou 'remboursement de mes honoraires'). En m'apportant votre courrier MmeM m'a expliqué que ses remboursements de retard correspondaient à 14 CNP+MPC+MCS+MTO - mais ce qui est indiqué sur ce courrier n'indique que 5 dates (trop rapprochées au demeurant pour pouvoir correspondre à des 'Feuilles de Soin' et mentionnées comme 'consultations'). Ces retards correspondent me semble-t-il à la période suite des Feuilles Papiers qui ont été souvent été perdues en nombre par vos bureaux obligeant à la solution Feuilles Electroniques et/mais dans les deux cas les remboursements quand ils ont lieux n'indiquent pas à quelles dates de prestations ils correspondent (du moins pour les informations qui arrivent à mon poste) - de sorte que n'étant pas possible de connaître des dates n'ont pas été remboursées il n'est possible de le savoir que sur la bases des dates remboursées lesquelles sont à votre connaissance (mais certainement pas à la mienne et sans que je le sache de Mme M) que je comparerai à mes consultations. Merci de faire le nécessaire en transmettant à MmeM les dates que vous lui avez remboursées afin qu'elles me les fasse parvenir et que je puisse retrouver celles qui ne l'ont pas été. Dr William Théaux
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100907101200 |
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20100907092600 par FaceBook Mail | |||||
Bonjour Michel Billaut & Pierre Berloquin (suite à vidéo "Codes") https://www.smashwords.com/books/view/21608 http://www.amazon.fr/s?_encoding=UTF8&search-alias=books-fr&field-author=Dr%20William%20Theaux cordial DWT ../../william-theaux
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100907092600
Merci pour votre prompte réponse, Il n'y a aucune obligation à ce qu'une éthique soit sainte - l'explication en l'occurrence relève de l'ambition de la psychanalyse de déchiffrer un peu le phénomène religieux - et c'est avec J.Lacan que l'idée de la 'sainteté' devait bien correspondre à quelque chose. Il l'a identifiée à la psychanalyse (un certain rapport au désir ou au psychisme qu'aussi peu de psychanalystes ne soutiennent qu'il n'y a de saints en l'église). A partir du moment où l'on attache l'idée qu'il existe un psychisme (ancien) à l'idée qu'il y ait une intelligence artificielle (déjà ou en cours d'installation - voir 'Codes'), cette notion déchiffrée de 'sainteté' vient naturellement qualifier un adoption de ladite intelligence artificielle qui s'éclaire de l'analyse du phénomène psychique (le 'phénomène psychique' est cette notion qu'on a la sensation de dire 'moi' 'moi' 'moi'.. toute la sainte journée...^_^). Il y a certainement d'autres façon de qualifier l'éthique - un
'Comité d'Ethique' national n'est pas nécessairement 'saint' - et il m'a fallu
qualifier la spécificité de mon approche que j'ai au demeurant sous-titrée de
"la synthétique" - puisqu'il s'agit d'une étude sur la
capacité d'un écosystème à absorber et/ou assimiler ces créations
synthétiques. merci pour votre attention flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100907114400 |
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William Theaux 10 septembre, à 15:51 Bonjour, sans réponse de votre part, j'estime que le problème est résolu et je procède à la clôture du dossier. En vous remerciant pour faire confiance à psybakh toujours à votre service DWT |
20100903213900 -------- Message original -------- Sujet: Re: [UNEFPE_MEMBRES] communauté virtuelle Date : Fri, 03 Sep 2010 22:09:53 +0200 De : DWT <williamtheaux@gmail.com> Pour : UNEFPE_MEMBRES@yahoogroupes.fr | |||
Bonjour, C'est à mon sens la question la plus pressante aujourd'hui. Ce qu'on appelle une 'relation imaginaire' dans le vocabulaire lacanien est une relation inspirée par l'expérience spéculaire ; à savoir : Le cerveau de l'enfant qui observe son image dans le miroir lui donne une valeur à partir du moment où il peut partager/confronter cette expérience avec un adulte (un plus grand qui maîtrise le langage et/ou qui a déjà été initié à cette expérience). A l'occasion de cette confrontation/échange, le cerveau enfantin ajoute à l'image spéculaire qu'il a affronté préalablement avec un certain plaisir, une image supplémentaire (ambiguë) et surtout la possibilité de calculer que cette image spéculaire où il se reconnaît est sujette d'un absolu. (Sartre théorise l'affaire en parlant de totalisation de totalisation au lieu d'absolu) Autrement dit, "sujette d'un absolu' signifie qu'elle est absolument inerte. Que c'est une image, rien de plus. Que les images sont des objets. Que les illusions sont également des objets. Ce résumé du Stade du Miroir a mentionné une "image supplémentaire ambiguë". Cette image ambiguë est celle de celui ou celle qui l'a côtoyé durant cette expérience. Si le cerveau de l'enfant à ce stade gagne à intégrer une image de soi-même objective (afin qu'il puisse rêver de lui même, afin qu'il puisse se compter en société etc..), il n'obtient qu'un succès mitigé du côté de son voisin. L' 'autre' qui toutefois émerge avec l'objectivation de soi demeure sinon potentiellement tout puissant, du moins absolument incertain ; autrement dit cet autre va entretenir une relation avec l'absolu - et cette relation est ce qu'on désigne "relation imaginaire" (il ne peut y avoir de relation ni symbolique ni réelle avec l'absolu). Ce chapitre de l'histoire humaine se déroule dans un monde où les uns les autres nous entendons au milieu de miroirs, dans une société où les miroirs (aussi bien les miroirs d'appartements que ceux dont le langage prend le relais) sont usuels et fréquentes stimulations de nos cerveaux. A la différence, quand nos cerveaux observent un nouveau spectacle interactif que l'on nomme "virtuel" (pour le différencier du dit "spéculaire") ils se trouvent également devant une image d'eux-mêmes mais l'absolu qui y est attaché se trouve relativisé. La relation que j'entretiens avec un autre dans le monde virtuel est sujette à une appréciation du milieu. Le cerveau ne se voit plus dans un espace qu'il découvre mais dans une structure qui peut éventuellement complètement captiver son image. Cette dépendance est celle d'un 'tiers' (non plus d'un Autre, absolu) qui fait que l'autre que j'y rencontre devient à présent tout à fait semblable (et non plus ambigu) à ce que le cerveau convient d'appeler "moi". Il faudra à première vue parler d'un nouveau 'stade' mais ce n'est pas sûr car ce degré n'est peut-être plus de ceux qu'on peut raisonner en termes de stades. Un Joël de Rosnay a proposé un mot : cybionte qui peut-être serait opportun pour décrire cet état. Il est difficile d'en décider mais c'est certainement une condition qui réclame qu'on distingue "relation imaginaire" et "relation virtuelle". Ce que la cybernétique apporte est un état qui mérite une appellation spécifique. Il est difficile également de connaître sa fonction dans le nouvel équilibre du sujet qui est actuellement en cours de se produire. Mais ce que l'on peut savoir c'est que pour répondre à ces questions, il est nécessaire de formuler la relation entre deux avatars (en brut, ce qui se passe entre deux semblants au regard d'un tiers, suivant les termes employés ici). Cette tâche est spécifiquement celle de la cybernétique. Dernièrement la jonction qui a pu être faite avec le mathématicien Vallée est fortement potentielle dans cette direction. DWT (écrit sans le temps de relire et presque pas de réfléchir pour l'avantage qu'il y a de laisser la question à élucider comme il se doit)
flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100903213900 |
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20100905121100 -------- http://fr.groups.yahoo.com/group/UNEFPE_MEMBRES/message/2000 -------- Sujet: suite à une réponse à une demande d'être psychanalyste : Lundi 30. Août 2010 13:49 De : DWT <williamtheaux@gmail.com> | |||
Bonjour, flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/20100807193700_flog-5.htm#20100905121100 |
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ici débute la troisième page du premier flog au monde ^_^