| Patrice Hernu Intéressant ! Ok
également sur la Perse. Babylone n'est pas le seul lieu d'exil et
Alexandre joue un rôle dans tout cela après les tergiversations de
Darius III notamment. Il y a environ une heure · J’aime Patrice
Hernu Toutankhamon est d'une certaine façon le fils d'aucune mère
puisqu'il ne serait pas héritier sinon... D'où le mythe d'Athena,
suite à la "comédie" d'Akhenaton. Il naît de toutes les
femmes comme Jésus naît de tous les hommes. Mais il y a inversion
du mythe d'Athena à toutes les "vierges de leur propre
histoire" des différents exotérismes bâtis sur le même
modèle (mazdéisme perse notamment...) Il y a 52 minutes · J’aime
Roger Becker Bonjour, Comme promis je vous fais
part de mes réflexions concernant Akhenaton-Moïse. Je précise que
dans mon esprit il ne fait aucun doute qu’il s’agit du même
personnage, ce dont les égyptologues sont d’ailleurs convaincus.
Ma recherche s’inscrivait dans le champ d’une quête
spirituelle, et on ne peut pas parler de spiritualité sans parler
de l’Egypte ancienne, et particulièrement d’Akhenaton. Avant de
poursuivre, je dois définir trois mots, afin de me faire
comprendre. Par SPIRITUALITE j’entends la quête de la
connaissance et de la sagesse, qui se situe au delà de la
conscience humaine; c’est la recherche d’un Principe suprême,
de ce « quelque chose » qui dépasse l’homme. C’est la quête
des vérités étiologique, ontologique et eschatologique.
Etiologique, pris dans son sens originel, du latin aetio, recherche
des causes, et logia logos, parole. Une RELIGION est une démarche
qui repose sur la foi en un ou plusieurs dieux. L’INITIATION, pour
faire court, je dirai qu’il s’agit de construire sa conscience,
et de l’ouvrir à la connaissance et à la sagesse.
L’Egypte ancienne était un pays extrêmement
évolué, une royauté, à la tête de laquelle le pharaon menait
une vie rigoureusement réglée entre ses devoirs temporels et
religieux. Il consacrait l’essentiel de sa journée à l’accomplissement
des rites. Il était considéré comme successeur d’Horus, le fils
d’Isis et Osiris, et intermédiaire entre les hommes et les dieux.
A partir de la reine Hatchepsout, il était un dieu sur terre.
Presque toutes les mythologies tentèrent d’apporter
des réponses aux questions fondamentales de l’homme : d’où
est-ce-que je viens ? Où vais-je ? Que deviendrai-je ? Ces
réponses, plus ou moins pertinentes quand il y en avait, s’érigeaient
généralement en dogmes, et transformaient les mythologies en
RELIGION. En Egypte, cela ne se passa pas ainsi. Parce que sa
mythologie ne chercha pas à apporter de réponse. Sa
caractéristique essentielle, qu’on ne retrouvera nulle part
ailleurs, c’est qu’elle offrait une grille de lecture sur deux
degré, en s’adaptant au degré d’instruction des individus. La
population se répartissait schématiquement en deux grandes
catégories. La plus nombreuse, les paysans incultes et naïfs,
constituait le peuple. La seconde catégorie regroupait les gens
instruites, à des degrés différents certes, bref tous ceux qui
savaient lire, de l’ouvrier au pharaon. Pour le peuple, la
mythologie constituait une base religieuse, une religion. En
apparence, elle se préoccupait de l’après-vie terrestre, en
offrant une immortalité hypothétique par la pesée de l’âme.
Pourtant, elle ne portait aucune hypocrisie prometteuse d’un
meilleur au-delà, n’imposait aucune doctrine, aucun dogme, n’apportait
pas de vérité révélée ou toute faite. Elle ne nourrissait
aucune ambition universaliste. En revanche, elle savait s’entourer
de secret, et appelait à se tourner vers les dieux. On n’attendait
pas grand-chose du peuple, simplement qu’il distinguât le bien du
mal, qu’il se comportât avec loyauté, qu’il sût reconnaître
la vérité et la justice, représentée par la déesse Maât.
Autrement dit, la religion servait à affermir auprès du peuple le
système des valeurs. Elle permettait aussi de sacraliser le travail
en l’orientant vers les dieux, par l’entremise du pharaon et par
les constructions en leur honneur. Les dieux n’étaient pas des
dieux ou déesses anthropomorphes. Le peuple avait foi en ces dieux,
il essayait de se concilier leur bienveillance, par de multiples
offrandes, tant en guise de prière que de remerciement. Le
panthéon des dieux était immense. Certains égyptologues s’interrogent
encore pour savoir si les Egyptiens étaient réellement «
polythéistes », ou, si malgré les apparences, ils étaient «
monothéistes ». Le « théisme », fait référence à un dieu
créateur, révélé et unique. Or, il n’y eut pas de révélation
en Egypte. Alors parlons de «déisme », reconnaissance d’un dieu
non révélé. La multitude est donnée par le préfixe poly. Nous
sommes donc bien en présence d’un polydéisme. Or, rien ne
contraignait les individus à célébrer tous les dieux, ni même
plusieurs dieux. Chacun avait la liberté de choisir ses dieux, ou
son dieu, comme en témoigne le Livre des morts:
« En vérité, mes vertus et mes perfections
ressemblent à des palais en fête
Où chacun célèbre son dieu préféré. »
Chacun célèbre son dieu préféré. Voilà qui traduit la
reconnaissance de plusieurs dieux, parmi lesquels un seul est
vénéré, son dieu préféré. Il était donc loisible aux
Egyptiens d’honorer un seul dieu. Vénérer un seul dieu, tout en
reconnaissant l’existence d’une multitude, c’est l’«
hénodéisme ». Un mot que le dictionnaire ignore, vu qu’il ne
connait que l’ « hénothéisme », qui consiste à honorer un
seul dieu révélé, parmi une multitude d’autres dieux. Il faut
être cohérent sur le plan sémantique. Bref, la religion n’imposait
rien, si ce n’est d’honorer quotidiennement les morts. Donc, au
sein d’un peuple polydéiste certains étaient hénodéistes. Mais
pas question de monodéisme. Le premier monodéisme, concept d’un
dieu unique et non révélé, fût créé par Aménophys
IV-Akhénaton, Le polydéisme égyptien était extrêmement
tolérant. Même la Bible s’en fait l’écho, qui rapporte que
Joseph adorait le dieu d’Abraham, que les Hébreux, malgré leur
soit disant statut d’esclaves, pratiquaient leur religion, sans
aucune entrave. La liberté de pensée et la tolérance étaient
deux vertus majeures en Egypte, pleinement acceptées et assumées
par la religion. En outre, dans tous les textes, et à l’opposé
de toutes les autres religions, il était question uniquement de
vivre, il n’était jamais question que les hommes se sacrifiassent
pour les dieux. Il n’était jamais question non plus de mourir au
nom de la religion. Et les dieux n’étaient pas faits pour régner
sur les hommes par la peur ou la terreur. Il y a 46 minutes · J’aime
Roger Becker ?(Partie 2) En résumé, à l’intention du peuple la
religion se présentait comme la vulgarisation de la mythologie, et
le support du système des valeurs. Et c’était sans doute bien
ainsi, puisque accepté par tous. La religion créait un lien social
entre les hommes du peuple, et un lien avec les dieux. Je rappelle
que le mot latin religio a donné naissance à la racine religarer,
relier. Ce que Sigmund Freud n’avait pas compris lorsqu’il
affirma que « la religion est un fléau importé d’Egypte qui se
serait diffusé ». Une religion ainsi conçue, voila qui n’a rien
de banal. Qu’en était-il pour l’autre catégorie sociale, les
gens instruites ? Celles-ci avaient la possibilité permanente de s’élever
socialement au sein de leur corporation, ou en changeant de métier,
ce qui était fréquent, grâce à l’instruction. Chaque
augmentation de grade au sein d’une corporation, chaque changement
de métier, donnaient lieu à une cérémonie secrète, au cours de
laquelle les secrets du grade ou du métier étaient révélés aux
nouveaux promus. Au cours de cette cérémonie, on leur communiquait
également des secrets concernant les symboles et les mythes, car
ces individus devaient les connaître dans l’accomplissement de
leur travail. Et ils étaient à même d’en comprendre les sens.
Pour eux, la mythologie ne se préoccupait pas de l’après-vie
terrestre, mais de la vie sur terre, et elle définissait les
rapports non pas entre les hommes les dieux, mais entre les hommes
et le sacré. Pour la population éclairée, les dieux n’étaient
pas des dieux de croyance, mais des principes qui révélaient l’existence
d’une transcendance inaccessible à l’homme, à laquelle il
devait cependant aspirer. La mythologie était la source de la
connaissance, un fil conducteur, ou encore la lumière sur le chemin
initiatique.
L’initiation repose sur les symboles, les rites
et les mythes. En Egypte, tout était symbole. Les plantes, les
minéraux, les parfums et aromates, de nombreux animaux – le porc
était considéré comme impur – et des nombres, par exemple 7, le
nombre de la purification. Le plus important de tous les symboles,
était celui qui donna naissance à la civilisation pharaonique, l’écriture,
les hiéroglyphes, un don de Thot, le dieu de la sagesse. Le pharaon
lui-même était un véritable support chargé de symboles, des
symboles visibles et compréhensibles par tous, et qui, associés à
ses cinq noms symboliques, le plaçaient au-dessus de l’humanité,
et en faisaient un dieu sur terre. Il incarnait toute la pensée
symbolique de l’Egypte. Il était aussi le conservateur des
traditions sacrées, et à ce titre, l’organisateur suprême des
rites. Symboles et pensée symbolique, rites. Il ne manque plus que
les mythes comme fil conducteur sur le chemin initiatique. Les trois
mythes les plus importants sont celui d’Osiris, celui de la
traversée nocturne de Rê, et celui du nom secret deRê. La science
des symboles, des rites et des mythes, tous éléments constitutifs
de la pensée symbolique, n’était transmise qu’à celles et
ceux qui étaient capables de la recevoir, de décrypter leur
message, et préparés à cet effet par l’initiation. On en trouve
tous les éléments dans le Livre des morts qui met notamment l’accent
sur la nécessité de transformation de l’Être à chaque nouvelle
étape initiatique.
Je n’entre pas plus dans les détails. En
résumé, dans la société égyptienne, deux composantes
sociétales vivaient en harmonie côte à côte, l’une riche de la
pensée symbolique, source de spiritualité, l’autre riche de la
religiosité, mais d’une religiosité adogmatique, tolérante, et
respectueuse de la liberté de pensée. On peut se demander
légitimement si, pour le peuple, le respect de la Maât, ce concept
de justice et de vérité, ne préfigurait pas le chemin
initiatique. En tout cas, il marquait une ouverture à l’intention
des plus modestes. Par l’initiation, la mythologie égyptienne
donna naissance, il y a 5000 ans à la première spiritualité,
véritable fondement de cette grande civilisation. L’Egypte vécut
avec force et vigueur une très profonde spiritualité, qui n’était
aucunement religieuse. Ce qui prouve que dans son origine et dans
son essence, la spiritualité est exclusivement et incontestablement
laïque. Toutefois, rien n’exclut que dans sa quête, un initié
pût être déiste. Ce qui s’inscrirait en parfaite harmonie avec
la grande liberté de pensée et l’esprit de tolérance qui
régnaient dans l’Egypte ancienne plusieurs millénaires avant la
naissance de la franc-maçonnerie.
La spiritualité mourut avec l’Egypte
ptolémaïque. La mort de la spiritualité avait sonné le glas de
la civilisation égyptienne. Les initiés de l’Egypte ancienne
nous apportent la preuve que l’homme peut se passer de religion,
mais pas de spiritualité. Il y a 44 minutes · J’aime Roger
Becker ?(partie 3) ALORS, QU’EN EST-IL D’AKHENATON ET DE MOÏSE
? AKHENATON ET LA PREMIERE RELIGION HISTORIQUE Causes de la
création d’une nouvelle religion par Aménophis IV. Le pharaon n’avait
pas décidé un matin, en se rasant, devant sa glace : « Tiens, je
vais fonder une nouvelle religion ». La création de la nouvelle
religion par Aménophis IV fut un évènement à la fois de l’histoire
de l’humanité, et de l’histoire religieuse : la naissance de la
première religion historique. On appelle « religion historique »
toute religion dont on connait le fondateur, la date et le lieu de
création. Les évènements historiques ont toujours trois causes :
les causes lointaines, les causes profondes, et les causes
immédiates ou apparentes, c’est à dire les prétextes. Les
causes lointaines se situent presque un siècle en amont, sous le
règne d’Hatchepsout. Thoutmosis II, quatrième pharaon de la
dynastie, avait épousé sa demi-sœur Hatchepsout. Il mourut prématurément,
et comme il n’avait pas d’héritier mâle légitime, le fils d’une
de ses concubines fut élu héritier du trône, et on lui donna le
nom de Thoutmosis III. L’épouse royale devint régente pour le
compte du nouveau pharaon, alors âgé de cinq ans. Puis elle s’accapara
tous les pouvoirs, et en abandonna une part essentielle au clergé d’Amon,
parmi lequel elle choisissait ses amants. L’héritier légitime,
Thoutmosis III, ne put régner qu’après la mort de la reine
Hatchepsout. Il monta donc sur le trône vers l’âge de trente
ans. Il se vengea de la régente reine en faisant supprimer tout ce
qui pouvait rappeler son souvenir ou son image ; il fit détruire
notamment ses sculptures, et, plus important, effacer ses
cartouches. Ses successeurs : la méfiance perdurait à l’égard
des prêtres, en particulier vis-à-vis de ceux d’Amon. Le pays
prospéra, et la spiritualité se développa. Sous le règne d’Aménophis
III, neuvième pharaon de la dynastie, le pays était parvenu au
faîte de la spiritualité, sur la base d’une pensée symbolique
qui s’était développée depuis Thoutmosis III. Par un
phénomène de pensée syncrétique, on associait une autre
divinité à chaque dieu. Il en résultait l’idée que chaque dieu
serait une représentation suprême du dieu soleil, Amon-Rê, qu’on
commençait à considérer comme l’Unique qui a tout créé. Cette
tendance à l’assimilation avait pour effet de réduire, voire de
mettre en cause, la tradition polydéiste du peuple, et d’orienter
les initiés vers un principe créateur unique. Aménophis III alla
plus loin que ses devanciers en se présentant comme une divinité
à part entière, faisant l’objet d’un culte officiel, notamment
rendu par lui-même. Le fils cadet d’Aménophis III devint
Aménophis IV, fut associé très tôt à la gestion des affaires,
et à l’exercice de la fonction royale. Il apprit les devoirs
sacrés inhérents à la charge de roi, tout en maintenant la
méfiance à l’égard du clergé. Il s’inscrivait comme
continuateur de l’œuvre et de la politique de son père, et son
règne commença sous les auspices du dieu Amon. Il construisit une
nouvelle capitale, Akhet-Aton. Les causes profondes. En premier,
elles tenaient de l’ensemble du clergé, qui, par sa puissance, et
sa domination sur le peuple, constituait une menace réelle pour le
pouvoir temporel. Les héritiers de Thoutmosis III n’oublièrent
jamais les immixtions politiques des prêtres d’Amon, et étaient
résolus à empêcher les représentants ambitieux du dieu de
Thèbes de noyauter une nouvelle fois l’arène politique. La
deuxième, tint de la rivalité qui s’était installée depuis
plusieurs décennies dans la course religieuse entre Amon, le dieu
de Thèbes, et Aton, le dieu-soleil d’Héliopolis Les causes
apparentes : Un évènement inopiné intervint sans doute, une forte
contestation des décisions royales par le clergé. Ce qui aurait
décidé Aménophis IV à s’attaquer ouvertement au clergé d’Amon
pour lui enlever les biens et pouvoirs temporels qui appartenaient
normalement à la couronne. A cet effet, il créa une nouvelle
religion, l’atonisme. Vis-à-vis de ses héritiers, ce pharaon
était clairement investi de la mission de rétablir pleinement le
pouvoir royal. Le syncrétisme entre objectifs temporel et spirituel
consolidait la volonté pharaonique qui, de plusieurs ensembles d’objectifs,
ne fit qu’un. Atonisme, hénodéisme. Dans un premier temps. Le
but était-il de simplifier la religion pour le peuple ? S’agissait-il
d’accueillir tous les dieux dans un concept unifié ? il
revendiquait pour Aton la supériorité sur les autres dieux. Par la
reconnaissance d’un seul dieu, Akhenaton espérait faire
progressivement oublier les autres. Les dieux n’étant que des
symboles, il était inutile d’en reconnaître une multitude. Tous
les dieux symboles seraient ainsi ramenés à un seul, passage du
multiple à l’Un, et simultanément reconnaissance du seul et
unique Principe Créateur pour les initiés. On peut légitimement
se demander si le pharaon ne s’était pas donné pour objectif d’élever
le peuple au rang des initiés. Au début de l’atonisme, les
choses se passaient certainement bien. Atonisme, monodéisme. Dans
un second temps. Le régime se radicalisa, et devenait de plus en
plus impopulaire. Il fut à l’origine d’une véritable
persécution dirigée contre Amon, ses serviteurs, et ses adorateurs
On ne pouvait plus reconnaître qu’un seul pouvoir, Akhenaton
lui-même. Le roi se faisait adorer comme un dieu. Akhenaton avait
confirmé Aton comme l’Unique. Il venait de créer une nouvelle
triade, pleine d’avenir : dieu unique-intolérance-obscurantisme.
Dans l’évolution de sa pensée qui fit passer de l’hénodéisme
au monodéisme, C’est ce cumul d’erreurs qui valut à Akhenaton
de disparaître d’Akhet-Aton, de disparaître d’Egypte, et de
disparaître de la mémoire. Et il disparut de la mémoire, au point
que l’humanité ignore qu’il fut le premier à parler d’un
dieu de vie, d’amour et de lumière. Ce discours sera repris
treize siècles plus tard, par un dénommé Jésus ! Akhenaton grand
initié. Le pharaon voulait un retour aux principes premiers et à
la pureté religieuse non souillée et non politisée, du dieu d’Héliopolis.
Il désirait, « vivre selon la vérité ». Aton devint le Principe
Créateur, le dieu de lumière d’amour et de paix, le dieu de vie.
L’atonisme élevait la divinité en Principe Créateur, et
assimilait l’explication du monde au seul principe de lumière.
Indéniablement, Akhenaton était un grand initié. Il y a 44
minutes · J’aime Roger Becker ?(partie 4) Akhenaton post mortem.
Questions sans réponse. Que devinrent Akhenaton et son épouse
Néfertiti, Les historiens n’ont pas trouvé les réponses, car il
n’existe aucune trace écrite de ce qui a pu se passer. Ce qui s’explique
par la destruction de tous les écrits des scribes, puisqu’Akhenaton
devait être exclu de la mémoire humaine. Il est très
vraisemblable qu’Akhenaton ne parvint pas à dominer les prêtres
d’Héliopolis, qui, aux yeux du peuple, étaient porteurs de la
vérité des ancêtres et de la tradition. A cause de la
persécution qu’il endurait, le peuple se souleva sans doute, avec
les prêtres, contre le pharaon. Les prêtres et le peuple furent,
sans nul doute, aidés par les deux successeurs d’Akhenaton, le «
père divin » A |
- entre ces deux pognes une lacune est contractée, le pognon, lui est
dans les poches. C'est strictement et sans aucune solution de continuité
le destin de l'élucidation de ton hypothèse qui est tenu en ces mains.
C'est ce que le sachant assommé ne peut pas voir ni savoir. A ce moment
sachant & homopouvoir se rejoignent comme celui qui tient la massue et
celui qui la reçoit sur la tête ; l'ignorance et la profondeur du
problème s'accentuent d'autant. De la lagune que ces crimes entretiennent
ressortent des hypothèses qui ne peuvent être distinguées de fantasmes.
Si nous allons jusque là, la bulle d'air enfermée entre ces deux mains
est l'espoir, une bulle d'air Hope, c'est l'Europe. En termes de
probabilité ton hypothèse est la plus probable (théorème N°1), la
plus improbable pour le sachant - qui participe passé quand il n'y a que
le subjectif, subjonctif que je sache, aime qui soit possible. Comme je
l'explique dans mes 001, 2, 3 etc.. jusqu'au prochain 007, je te soutiens
et mes calculs montrent que tu es effectivement sur la bonne piste. Les
spéculations qui s'arrêtent à AM sont celles des théologiens quand ils
s'arrêtaient à la Renaissance au bord de l'espace réel qu'on ne cesse
encore à présent de découvrir.
