Psychopathologie
de la vie administrative L'
homo pouvoir Médecine
des Corps Sociaux |
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04
Précaution / Avertissement :
Cette page
oppose des objections sérieuses a un comportement d'Institution -
d'institutions généralement fermes à démontrer qu'elles ont toujours raison, selon le syndrome
de l'homo
pouvoir analysé par ailleurs. L'intention ici couverte
n'est pas de provoquer ce déni que tout le monde sait, mais de
souscrire à l'obligation de fournir les éléments d'une
analyse qu'un cabinet de psychiatrie intégrant une Médecine
des Corps Sociaux doit à ses patients et à sa profession. |
L'explication de l'avenue qui
aboutit à cette pages de document revient aux pages
préalables et de description d'un symptôme (constitution d'un
moyen défectueux) de résistance à la modernisation.
|
Vers page 01
Tableau récapitulatif de la page :
C)
Prise en Main par le Fournisseur Lecteur
B)
Double-contrainte type
A)
Matériel, littérature grise et analyse superficielle |
Vers page 01
C)
Plus d'un an passé la Caisse révélant pourquoi elle refuse de
rembourser j'accède au Fournisseur de Lecteur pour qu'il puisse traiter
le problème |
Le fournisseur de Lecteur n'est
pas équipé pour correspondre par mail avant mi-août
|
B)
Après un an ayant pus joindre une Caisse pour explication de son rejet
de facture |
En bref, la CAMIEG rejette les
factures parce qu'elles sont codée CNP au lieu de CNPSY et me renvoie
à la société informatique de gestion.. qui ne connaît pas le CNPSY
|
|
de |
William
Theaux <williamtheaux@gmail.com> |
à |
XXXX
|
date |
23
juillet 2010 11:24 |
objet |
Re:
courrier |
envoyé par |
gmail.com |
Chère Madame,
Je vous donne des nouvelles de vos remboursements. Vous
savez que la CAMIEG en est actuellement à un dû de 825 euros - pour une
bonne part originaire de Feuilles de Soin Papier (FSP) qui ont été refusées
parce que j'avais marqué 'idem' sous une case au lieu de la
recopier intégralement, puis refaites et de nouveau refusées sans
explications (je n'aurais jamais du les refaire car lorsqu'une victime obéit
à son bourreau les choses, le sadisme s'accentue d'autant - je ne parle
pas en l'air en disant cela, j'explique ci-dessous comment il s'agit de
quelque chose de tout à fait objectif).
Sous la contrainte comme beaucoup de mes confrères je me
suis alors équipé à mes frais des outils de secrétariat d'une Caisse
SS et des services de gestion de Feuilles de Soin Electroniques (FSE). La
CAMIEG a encore brillé avec ce nouvel outil : elle a accepté certaines
des FSE et refusé d'autres (alors qu'elles sont toutes rédigées de la même
manière) sans raison jusqu'à ce qu'enfin elle s'adresse directement à
moi par une lettre où elle m'informait du rejet de la FSE N°348 Lot 204.
C'est au moyen de cette lettre que j'ai pu avoir le numéro
de téléphone du Pôle Télétransmission Camieg et obtenir une
explication. J'ai eu cette explication avant hier - je vous la livre en
substance : j'emploie le code CNP associé au MCS, MPC et MTO, alors
qu'il faudrait que j'utilise CNPSY - le caractère obsolète de CNP est
prouvé par son absence de la liste Amelie sur le web où l'on trouve
CNPSY et tout ceci suivant les directives ministérielles.
Je n'ai pas consulté la liste Amelie puisque déjà
remplissant le travail de secrétariat à mes frais je n'ai pas le soucis
de m'octroyer des heures supplémentaires et d'autant que mes techniciens
allaient devoir me dire comment modifier cette codification. La
programmation de l'interface CarteVitale/FSE est assez complexe pour que
je sois également obligé d'employer des techniciens. Je les ai donc
contactés pour qu'ils me rappellent et je vous livre en substance notre
communication qui date de cet après-midi : il n'existe pas de code
CNPSY dans la liste programme mais seulement le CNP et bien qu'ils
s'avertissent des directives ministérielles, ils ont eu besoin que je
leur communique le numéro de la CAMIEG pour qu'ils la joignent suite à
quoi ils me contacteront, dans quelques jours.
Il est possible qu'ils continuent à ne pas s'entendre et
que je doive continuer à faire la navette, pour ne pas dire le navet
entre deux ânes. Cette position d'intermédiaire obligée relève de la
psycho-pathologie annoncée ci-dessus. Très intéressé par les
informatique et télématique je m'étais déjà volontairement équipé
d'interface FSE il y a quelques années. J'avais dû y renoncer suite à
l'impossibilité entre l'administration SS et les fournisseurs privés
d'accorder leur violons. Il s'agissait à l'époque de la gestion du code MTO.
Comme je fais, illégalement mais sous leur contrainte, le secrétariat
entre les deux j'en reçois tous les coups. A présent c'est le code CNP
qui succède au MTO en défectuosité
Le devenir de l'impair MTO s'est conclu par une
remarquable signification du mépris de la SS qui se plaignait que je sois
difficile à comprendre. Le MTO concerne des majorations qui
devraient avoir lieu le dimanche. Pendant des années la SS a traité mes
FSP dominicales sans activer ces majorations, à mon détriment. A présent
que les FSE rejettent ces économies de bout de chandelle, la SS me
reproche de ne pas en bénéficier, omettant que ce fut à sa demande que
je m'en dispensais. Nous verrons que ce sera le devenir de l'impair CNP.
C'est au titre de votre médecin psychiatre que je vous
fais part de ces communications. Nous sommes dans une époque où la
passion se saisit du code pour trouver génétique que l'on fume, que l'on
boive, que l'on s'aime ou que l'on joue aux courses. La SS et la maladie
assurée sont de leur époque ainsi que les ministères qui nous
gouvernent. La connaissance de la maladie mentale cependant nous éclaire
sur les effets de cette réduction au code : nommément la névrose.
L'absence d'appui sur le code forme la psychose - c'est dire
combien le code est important ; mais mal comprendre cette importance c'est
comme se taper des coups de marteau sur la tête sous prétexte que les
marteaux sont importants pour les clous. Nos névroses tiennent à ce que
nous négligeons la personnification du code : nommément le Signifiant.
C'est par cette négligence que souffle également la passion. Pour obvier
à cette tendance il est nécessaire et suffit presque de parler ; il faut
aussi que cette parole s'adresse publiquement - cette seconde condition se
trouve dans la dimension de l'ordre symbolique, c'est à dire dans le fait
que le langage n'est pas le fait d'une personne, ni même de deux
personnes. Le Signifiant ne se distingue jamais qu'en public - c'est
pourquoi la médecine psychiatrique est une opération politique.
J'ai été un peu rapide sur les trois dernières phrases -
parce que ce sont les plus simples et les plus évidentes ; il fallait
seulement que je détaille ce qui les précède.
Dévoué,
DWT
ref - http://www.william-theaux.net/2009/htm/20090521134700_medcosoCPAM_p02.htm
|
A)
Résumé de la littérature grise ci-dessous |
Clinique exemplaire d'une
perversion de corps social
|
Résumé : On trouve une
correspondance successive ouverte par "Vous
pouvez me faire parvenir vos questions" et une
première réponse "celle-ci relevant du
régime CAMIEG doit s'adresser à la Cpam 92 ; la seule chose que je
peux vous indiquer pour vous aider : c'est la connexion sur le
site..." relançant la quête sans succès.
A force d'y revenir, le dossier s'alourdissant, on arrive
à " nous avons eu beaucoup de
difficultés à interpréter vos différentes demandes
" et de ce fait beaucoup de facilité à répondre ce que l'on
qualifie en langage courant de 'n'importe quoi' - c'est à dire des
choses fausses : " avons déjà répondu
à plusieurs reprises concernant les majorations en cas de
consultations du dimanche " puisque c'est la première
fois que suit " vous pouvez appliquer la
majoration Férié " (à preuve les années de
Feuilles de Soin Papier durant lesquelles les majorations en question
m'ont été sucrées et jusqu'a mon précédente renoncement à
utiliser les Électroniques pour cause d'incompatibilité MTO le
dimanche).
De mauvaise fois, la SS désavoue qu'elle m'ait toujours
demandé de ne pas appliquer ces majorations - et au bout du compte
où sa propre machinerie la dénonce, elle m'impute la faute de ne pas
le faire.
Et comme il ne manque jamais dans le symptôme
(destin d'Atrée & Thyeste ; Lacan-Poe) l'ironie qui le signe, à
la suite du nous avons beaucoup de difficultés à vous comprendre,
la SS m'écrit que " les charges dont nous nous défaussons en
vous contraignant de les financer et assumer se rapportent " à
la page 47 de la norme B2- Cahier des Charges -juin 2005-B Type 2 S :
indicateur du parcours de soins, position 121 : (cf annexe 25)
". " Comme si je devais avoir plus de facilité à lire
cette jaculation vengeresse.
J'avoue que je ne me suis pas reporté à cette page
47 de la norme B2 et, étant parvenu à refaire l'intermédaire-tampon
entre une CPAM et la société informatique que j'emploie sous
la contrainte de la SS, je découvre un horizon du même acabit (sus)
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Sa littérature grise :
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2em contingent |
Bonjour,
Après lecture de vos mails, nous avons
eu beaucoup de difficultés à interpréter vos différentes
demandes.
Toutefois, nous vous avons déjà répondu
à plusieurs reprises concernant la télétransmission du
parcours de soins d'une part, et d'autres parts pour les
majorations en cas de consultations du dimanche.
Nous vous rappelons :
que pour la saisie du parcours de soins en FSE
, votre société informatique doit scrupuleusement
respecter le Cahier des charges Sésam Vital à savoir :
- se reporter à la page
47 de la norme B2- Cahier des Charges -juin 2005-B
Type 2 S :
indicateur du parcours de soins, position 121 : (cf annexe
25).
que pour les consultations du dimanche, vous
pouvez appliquer la majoration Férié (à voir avec votre
société informatique pour le paramétrage de cette majoration )
En ce qui concerne, les assurés dépendant de la CAMIEG,
nous vous informons que c'est la Caisse Primaire des Hauts de
Seine qui assure la gestion des prestatiopns en nature des bénéficiaires
de ce régime.
La Caisse primaire de la Haute-Loire n'intervient en aucun cas
dans le traitement des dossiers et des réclamations.
Si toutefois, ces explications ne vous conviennent pas, nous vous
proposons de vous recevoir pour une information complémentaire.
Cordialement
Le 11/06/2010 11:43, William Theaux a écrit :
Chère Madame,
Ceci est mon troisième message ; n'ayant pas reçu
de réponse aux deux premiers, je suppose que vous êtes en
vacances et en ce cas je m'en réjouis. Cependant restant à mon
poste, je dois continuer et donc répéter pour la troisième
fois ma demande : c'est à dire la question technique que je
vous ai transmise de la part de techniciens du cba - c'est à
dire le fournisseur Télétransmission de Feuilles de Soin
Electroniques (FSE) qui est un service CPAM et la part de son
secrétariat que j'ai engagé pour l'entretenir à mes frais. A
ce propos pour dénier ce déplacement indu de ce secrétariat,
le cba me demande de faire son secrétaire - c'est à dire de
vous demander les codes techniques de sa télétransmission.
La situation est complexe et votre silence
ajoute à sa complexité ; puisqu'à m'adresser à quelqu'un qui
ne répond pas, je dois parler à sa place - ce qui me place au
lieu d'usurper la votre et vous en position de me déclarer
comme on dit, 'paranoïaque'. Néanmoins je ne peux pas faire
autrement - j'y suis aussi automatiquement contraint d'autant
que la CPAM m'a contraint à engager le cba pour entretenir son
secrétariat à sa place. Le facteur de cette contrainte est au
niveau présent la viabilité de mon cabinet puisque le résultat
de l'opération jour de l'absence de remboursement de mes
patients.
Depuis mon deuxième message une nouvelle personne s'inquiète
de ne pas être remboursée malgré ses droit et votre mission.
D'une menace psychologique (taxation de paranoïa)
à une menace financière (atteinte à ma clientèle) les étapes
se déroulent suivant une dégradation éthique répondant
automatiquement de sa cause. Dans sa codification des soins médicaux
la SS a introduit des obligations de conduite qui sont des
infractions (infraction à l'accès libre à un médecin ;
infraction à l'exercice médical les jours fériés). Ces règlements
atteignent les principes constitutionnels de l'Etat ; il sont
par conséquent extrêmement difficiles à traiter et on ne peut
le faire, comme par la présente, que par la suggestion
pathologique que votre silence adresse.
En termes pratiques, lorsqu'une administration
sociale engage des incorrections déontologiques, elle risque la
solution facile d'éliminer les administrés ou citoyens qui en
sont les victimes. J'ai précédemment appelé votre aide à
propos d'une Caisse indépendante (CAMIEG) qui ne rembourse pas
une patiente ; je ne savais pas comment m'en sortir et vous
m'avez dit que ça ne vous regardait pas - vous serez néanmoins
intéressée de savoir qu'à aucune de trois lettres recommandées
(à la Direction, au Pôle Informatique et au Médecin Conseil)
la CAMIEG ne m'a répondu. Elle rejette les FSE et refuse même
de me dire pourquoi (dans votre cas c'est différent, vous
m'avertissez que c'est pour une anomalie 0540030 ou 1170001).
Mon rapport sur la CAMIEG vous intéresse car si vous ne répondez
pas à cette troisième requête je devrai suivre la même procédure
de courriers recommandés à votre Direction etc.. puis de
passer au Tribunal des Affaires de la Sécurité Sociale comme
j'y suis à présent contraint avec la CAMIEG.
Je souhaite que vous compreniez bien ce chemin
de la contrainte que la SS me fait suivre (vous penseriez
autrement trop rapidement que je suis fou autrement que de vous,
ou agressif autrement que sous votre férule pour l'instant
passablement injuste) : ce chemin commence par la contrainte que
vous m'avez imposée à engager le cba puis en résultat du
dysfonctionnement de l'informatique cba-CPAM, la contrainte que
le cba m'impose de vous contacter pour vous demander sa
solution. Si vous n'avez pas de solution, il vous reste celle de
m'éliminer. Par contre, si vous me dites simplement que le système
mis en place par la CPAM ne permet pas de pratiquer une
consultation psychiatrique le dimanche nous aurons progressé
autrement que par un silence qui dénie l'existence de l'autre.
Lors de mon premier message je vous demandais
donc quels étaient les code qu'il faut que je dise à la cba
d'enregistrer sur ses machines. A l'occasion du second je vous
mentionnais le cas d'un patient à qui vous imposiez d'accumuler
ses requêtes afin d'obtenir son remboursement dû. A l'occasion
présente je vous signale qu'un autre patient s'annonce avec le
même problème et, pour éviter de trop me répéter je saisi
la présente pour vous demander à ce tour quel est le statut
des courriers que vous m'envoyez en cas de factures à retraiter
(_1_). Ce type de courrier directement
issu d'une machine déclare que vous avez procédé à des
paiements en même temps qu'il déclare que les factures sont
rejetées ; à cette contradiction il ajoute que ce sont des
factures à retraiter par mes soins et en gros gras
souligné vous me demandez de les rayer de mes bordereaux.
Pour la raison des explications que votre
silence me contraint à détailler suivant le complexe susdit -
le destin de m'enfoncer dans l'élimination de tous rapports
avec vous est naturellement corrigé par le ressort-même que
vous mettez en action de l'obscurité sociale ; c'est à dire en
mettant en lumière au regard social le dialogue que
j'entretiens avec l'administration de la société d'administrés.
Pour donc éclairer l'ennui auquel je suis contraint - et que
vous connaissez bien mais que mes patients administrés ont du
mal à imaginer je le décris : l'obligation que vous me
faites de rayer de mes bordereaux des factures et une opération
comptable et informatique d'un niveau d'un secrétariat spécialisé.
Par conséquent pour savoir faire cela, je vais devoir contacter
la cba - qui ne répond jamais directement, mais qui m'adresse
un mail m'avertissant d'une fourchette horaire durant laquelle
il faudra que je me tienne au téléphone à sa disposition.
Ceci exclut que je puisse durant cette attente me consacrer à
mes activités professionnelles et personnelles. Tenant donc le
secrétariat de la CPAM et du cba à la fois je me tiendrai en
attente durant plusieurs heures.
Je vous demande alors de me qualifier le statut
de votre demande : est-ce une exigence et par quel article législatif
suis tenu à l'obligation de rayer de mes bordereaux les
factures des lots que vous me demandez de faire par dizaine
(probablement de ce fait en cause qui est de votre systématisation
défectueuse des codifications des actes médicaux des jours fériés)
tandis qu'avant votre correction les codes ne sont pas erronés
?
Merci de me répondre et pour éviter de doubler ces
questions qui s'accumulent, je vous en tiens le registre comme
d'usage à
http://www.psybakh.net/2010/20100322082800_flog-2.htm#20100611110900
En résumé : a) à la demande du cba : quel code la CPAM
exige-t-elle ? b) à ma demande : quel statut
m'oblige à extraire par mes soins de mes lots et
rayer mes bordereaux les factures refusées par la CPAM
pour les codes en cause ?
DWT
pj: (_1_
ou http://www.psybakh.net/2010/ima/20100611110001.jpg
) ; si ces nombreux retraitements que vous
demandez sont causés par une faute de la CPAM, un dédommagement
est-il prévu pour le temps & contrainte passés à traiter
et corriger ces problèmes ?
flog.référence : http://www.psybakh.net/2010/20100322082800_flog-2.htm#20100611110900
flog.convention : http://www.psybakh.net/2010/20100322082800_flog-1.htm
|
|
1er contingent |
Bonjour Docteur,
Je suis désolée pour votre patiente !!! mais celle-ci relevant du
régime CAMIEG doit s'adresser à la Cpam 92
La seule chose que je peux vous indiquer pour vous aider :
c'est la connexion sur le site www.camieg.fr
Votre patiente ou vous-même y trouvera tous les contacts nécessaires.
Cordialement
XXXX
Département Informatique - CPAM Haute Loire
Tel : 04 71 07 58 11
XXXX
Le 18/11/2009 21:47, DWTheaux a écrit :
Bonjour,
Aujourd'hui pâle et fatiguée ma patiente est venue en
m'expliquant qu'à présent trois fois de suite sa caisse lui
a raccroché au nez ; il s'agit de la
CPAM92
industries electriques et gazière
0811 880 280
camieg 92011 Nanterre cedex
contact@camieg.org
avant ces interruptions brutales la représentante lui a dit
qu'elle ne devait pas se plaindre - d'autres personnes
attendaient depuis deux ans ; elle, ce n'est que depuis mars
2008.
N'y
a-t-il vraiment rien à faire ?
merci
pour votre réponse,
cordial
DWT
PS
: ne c'est pas pour vous stresser, patients et médecins sont
surtout ceux qui souffrent, mais simplement pour savoir s'il
y a et quel est le moyen prévu pour résoudre pareil
problème.
Bonjour
madame,
merci pour votre présence.
Ma première question concerne les MTO qui me
valurent tellement de déboire dans son usage avec les
Feuilles de Soins Electroniques. Actuellement de nombreux
patients me disent que leur généraliste leur dit que le MTO
n'est pas ou n'est plus obligatoire. Qu'en est-il
officiellement ?
Deuxièmement je voudrais savoir quel recours mes patients ou
moi-même avons dans le cas de perte par les Caisses, retard
et perte répétés de Feuilles de Soins Papiers. En vérité
il y a lieu de penser qu'il s'agit d'obstruction, combinée à
un projet dont le Syndicat des Médecins Spécialistes
informe et qui viserait à taxer les Feuilles de Soins
Papiers. Avant qu'un réglement impose légalement cette taxe,
les Caisses agiraient tout simplement par pression. Dans cette
période nous devons peut-être nous porter par un avocat ou
bien y a-t-il un dispositif envisagé par la Convention qui
puisse traiter des inconduites administratives.
Cordialement,
DWT
Bonjour,
Vous pouvez me faire parvenir vos questions si vous le
souhaitez.
Cordialement
XXXXX
Département Informatique - CPAM Haute Loire
XXXX
Le 08/11/2009 11:04, DWTheaux a écrit :
Chère Mme,
Il y a longtemps que je n'ai pas fait usage de ce contact email et je
cherche à vérifier s'il est toujours valide avant d'y adresser une ou deux
questions technique et professionnelle.
Je vous remercie de me confirmer si je peux m'adresser ici,
Salutations,
Dr W.Théaux
adeli 43 1 00998 4
*****************************************************
"Le contenu de ce courriel et ses eventuelles
pièces jointes sont confidentiels. Ils
s'adressent exclusivement à la personne
destinataire. Si cet envoi ne vous est pas
destiné, ou si vous l'avez reçu par erreur, et
afin de ne pas violer le secret des
correspondances, vous ne devez pas le transmettre
à d'autres personnes ni le reproduire. Merci de
le renvoyer à l'émetteur et de le détruire.
Attention : L'Organisme de l'émetteur du message
ne pourra être tenu responsable de l'altération
du présent courriel. Il appartient au
destinataire de vérifier que les messages et
pièces jointes reçus ne contiennent pas de
virus. Les opinions contenues dans ce courriel et
ses éventuelles pièces jointes sont celles de
l'émetteur. Elles ne reflètent pas la position
de l'Organisme sauf s'il en est disposé autrement
dans le présent courriel."
******************************************************
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DWT@200905211415
|
Histoire :
De la médecine et du médecin soignant |
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Présent :
L'assurance maladie et la formation des
médecins techniciens |
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Futur :
La responsabilisation du patient |
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Droit :
Les Serments d'Hippocrate |
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