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Documentation
préface,
et trois articles relevant du Syndicat, du Cabinet
hébergeant PSO, de l'Ordre et deux notules, sur le Secret
et la Santé.
TABLE GÉNÉRALE
ABSTRACTS A/ préface,
traite/expose l'éventuelle discussion sur la
psychopathologie du dossier G/ annexe : Documents : |
DOCUM
20150624100700 LE PATIENT CONNECTÉ http://www.development-institute.com/fr/sitededie/patient_connecte/ ci-dessous : texte miroir (copié/collé converti texte) |
Le marché de l'e-santé pourrait dépasser 20 milliards en 2017 Big Data et objets connectés viennent révolutionner
le domaine de la santé en modifiant la pratique des professionnels de
santé, Visionnez l'avis des Experts sur l'évolution du parcours de soin pour le patient connecté Partage des données des patients entre spécialistes, meilleure prévention et réduction des coûts … de nouvelles solutions viennent améliorer la collaboration des professionnels de santé et la qualité des soins prodigués aux patients. Se posent alors les questions de l'accessibilité, de l'hébergement et du partage des données de santé . Quelles données le patient est-il prêt à partager ? Où placer le curseur entre anonymisation et transparence des données de santé ? Quels sont les nouveaux business models gagnants du marché de l'e-santé ? Comment le système de remboursement s'ajuste-il en conséquence ? Quels sont les acteurs les mieux positionnés sur ce marché ? La conférence « Le Patient connecté », organisée par Le Point, réunira l'ensemble des acteurs de la filière santé (Laboratoires, assurances, mutuelles, CRO, CHU, nouvelles techs), venus débattre de l'impact réel du Big Data et des objets connectés sur l'évolution du parcours des patients dans le système de soins. Rendez-vous le 25 juin à l'Académie Nationale de Médecine, à Paris. En partenariat avec Cegedim Assurances Itwell |
20150625115100 L'ordonnance du Nous https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Hayek ci-dessous : quatre extraits et un commentaire |
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« Hayek
s'oppose aux intellectuels « constructivistes », selon son vocabulaire,
qui établissent des « projets de société » dont il dénonce le «
scientisme ». Dans une perspective épistémologique, il s'attache à
montrer que nul ne peut appréhender le monde dans sa complexité, y
compris les gouvernants. Tout projet de société collectiviste, toute
tentative de gestion rationnelle et globale de la société ne tient
nécessairement pas compte de l'autonomie des personnes et de
l'imprévisibilité de leurs actes, et est vouée à l'échec. Par «
constructivistes », Hayek désigne principalement les socialistes mais
également les « conservateurs » qui entendent modeler la société
conformément à leur idéal. »
« Hayek n’invoque pas dans son œuvre un calcul implicite de la Providence ou de la Nature, et il ne prétend pas non plus appuyer ses affirmations sur une maîtrise intellectuelle du système social qui serait telle qu’elle le mettrait en mesure de tout expliquer avec certitude. Il affirme au contraire qu’il n’est pas possible à la pensée humaine de dominer assez ce système pour le comprendre, et c’est là-dessus qu’il s’appuie pour justifier son attachement au marché. Il introduit un argument nouveau, inspiré de la sélection naturelle. L’idée de base de toute sa démonstration, c’est que les comportements qui permettent à la société de fonctionner de façon satisfaisante et efficace ont été sélectionnés et transmis à travers les générations sous forme de règles et de valeurs, mais que personne jamais n’a pu et ne pourra parvenir à la compréhension détaillée de l’ensemble du mécanisme qui fait passer d’une somme de comportements individuels à un effet collectif, et qui seule permettrait de justifier rationnellement ces règles et ces valeurs. « La plupart des règles de conduite qui gouvernent nos actions et la plupart des institutions qui se dégagent de cette régularité sont autant d’adaptations à l’impossibilité pour quiconque de prendre consciemment en compte tous les faits distincts qui composent l’ordre de la société. » L’accumulation au cours des siècles d’expériences réussies et d’échecs, à travers laquelle valeurs et règles de comportements ont été sélectionnées, est un phénomène trop complexe pour être appréhendé entièrement. Les expériences elles-mêmes sont oubliées, seules subsistent les règles et les valeurs, et ces dernières doivent d’autant plus être respectées que leur raison d’être nous échappe à jamais. » « En fait, Hayek reproche aux conservateurs d'être des « constructivistes » prétendant, comme les socialistes, imposer un ordre social idéal et abstrait aux individus. En tant que libéral, Hayek considère au contraire que les individus font spontanément apparaître un ordre social si on les laisse s'auto-organiser. Hayek critique : « Les conservateurs sont enclins à utiliser les pouvoirs du gouvernement pour empêcher le changement ou pour limiter sa vitesse [...]. Ils n'ont pas foi dans les forces spontanées d'ajustement » sociales. Mais à la fin de sa vie, en particulier dans l'épilogue de Droit, législation et liberté (1979, p. 183-211) et dans différents textes publiés par l'Institute of Economic Affairs, Hayek insiste de plus en plus sur « les bienfaits supposés du conformisme ». » On lit à travers ces trois extraits les bases d'avancées qui introduit dans l'effet collectif de la somme de comportements individuels, l'intuition du pas-tout, moins-un et autre facteur connu à l'analyse de la psychologie collective ; on trouve aussi la limite que le Libéralisme Spontané rattaché au conformisme en conclusion. Ce recul résulte de l'absence ou de l'immaturité à l'époque de Hayek de l'informatique moderne ; « Les auteurs de l'ouvrage Classical Econophysics* estiment ainsi que, dans le cadre de la théorie algorithmique de l'information, l'argument principal de Hayek se retourne contre lui : si l'efficacité d'une économie repose sur l'utilisation d'informations distribuées sur un grand nombre d'agents, une planification, grâce à l'informatique moderne, s'avère en conséquence possible et plus efficace. » Toutefois l'ontologie de la sélection naturelle par l'adaptation à l'impossibilité de penser tous les faits ainsi que la condition du refoulement primaire (décrits selon Hayek ci-dessus) indiquent des arguments assez puissants pour que, l'informatique étant, l'intuition générale de Hayek demeure dans l'emploi de l'informatique moderne à l'émanation du pouvoir du peuple (démocratie). Notamment indique-t-elle (cette 'intuition') que l'appareillage destiné à cette émanation doit réduire systématiquement un constructivisme logiciel. Au lieu d'une intelligence interprétante par fantasme (traitements idéologiques et relances) la stricte et limitée tenue comptable des scrutins, réinstitue sainement le libéralisme spontané dans l'hypothèse éconophysique. Dans cette économie physique et morale, le secret des affaires n'a plus de base ni justification. * : on relèvera que, sur le chapitre de la valeur (Chape.6) - c'est à dire la notion principale de l'économie, comme de la linguistique - Classical Econophysics charpente son exposé sur la référence à Adam Smith qu'il interprète par une équation que l'on peut strictement rapprocher de celle de la métaphore (selon Lacan qui à son tour charpente les discours et donc le rôle de la cryptologie, de l'industrie du code en l'écologie) ; ces formules sont (avec S1,S2,a,$ pour la seconde) :
liens : http://ricardo.ecn.wfu.edu/~cottrell/ecn265/value.pdf - http://spiritofcontradiction.eu/rowan-duffy/2013/02/06/interview-paul-cockshott-on-econophysics-and-socialism |