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au Conseil de l'Ordre des Médecins
préface, et trois articles relevant du Syndicat, du Cabinet hébergeant PSO, de l'Ordre et deux notules, sur le Secret et la Santé.
TABLE GÉNÉRALE
ABSTRACTS A/ préface, traite/expose
l'éventuelle discussion sur la psychopathologie du dossier D/ Conseil de l'Ordre des Médecins, traite/expose : La médecine et la santé qu'elle règle, sont garanties par le Secret Médical qui objective la Vie Privée. Cette mission et cette capacité ne sont assurées qu'à la condition que son Ordre distingue ledit médical du Secret des Affaires E/ Signifiant, Chiffrage
et Secret, traite/expose le mécanisme cybernétique (cryptologie)
qui traite le secret à l'organisation du signifiant G/ annexe : Documents |
ORDRE MÉDECINS
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Les secrets, du corps biologique et du corps social Une thèse psychanalytique aboutie en janvier 2015, débuta en 1985 pour suivre la prescription de S.Freud réclamant dans son dernier texte de « renoncer à avancer d'un seul pas dans la voie qu'il avait ouverte tant que n'était franchi l'abîme qui sépare la psychologie individuelle de la psychologie collective ». Dans le domaine de la psychiatrie, si la psychanalyse est valide, il s'agissait donc, dès 1939, de la prescription d'une Médecine des Corps Sociaux. C'est ainsi que je me suis engagé dans cette perspective en 1985, conscient qu'il fallait d'abord éprouver la validité de la psychanalyse. Au terme de la trentaine d'années qui suivit, je pense pouvoir affirmer que ces critères de validité ont été vérifiés - il aura fallu qu'elle (la psychanalyse) traverse pour cela une phase d'intégration réciproque avec la cybernétique, phase qui a été menée par J.Lacan ; j'en ai écrit le rapport dans La Sainte Éthique publiée/2010. A partir de quoi 1er) ce qu'on appelle 'psychisme', temporairement mis en doute par la psychiatrie sommaire, trouve finalement ses équations scientifiques et son traitement possible ; 2em) une Médecine des Corps Sociaux est une donnée valide, réalisant la passerelle franchissant l'abîme qui séparait la psychopathologie individuelle des interactions complexes de l'administration de la culture et de la santé mentale. Voici troisièmement les premiers éléments physiologiques qui apparaissent à la séméiologie de cette médecine : L'enseignement de la conceptualisation et de l'observation de la médecine des corps sociaux, relève en première ligne, ce qu'il est convenu d'appeler invisible, voire inconscient, c'est à dire le psychisme, tel qu'affecté par les procédures de secret qui arment et charpentent la psychologie sociale. Ces procédures, archaïquement comprises avant la révolution technologique contemporaine, sont élucidées par la mathématique de la cryptologie. Nous pouvons donc traiter avec lucidité la valeur de ce que l'histoire désigne "secret" avec le serment hippocratique du domaine médical. C'est sans doute le premier secret authentique de la civilisation, les autres secrets, du militarisme, du commerce et de l'administration, regroupés au titre de secret industriel ou Secret des Affaires, en figurant les formes dévoyées et, de là, pathologiques et pathogènes. Ce vain rejeton du secret thérapeutique initial était rendu nécessaire par défaut de technologies de l'informations développées comme elles le sont aujourd'hui. Mais à présent la Théorie de l'Information corrobore que l'automatisation du traitement, la contraction du temps de calcul et l'universalité de la distribution de l'information, ont rendu caduques les prétextes du secret industriel (du nationalisme, du marché et de la surveillance). Plus grave, ils les ont rendus pathogènes et foncièrement délétères. Lors de la concrétisation susdite, de janvier 2015, et de l'appareillage
[algorithme logiciel nommé APSO] de ladite médecins des corps sociaux, une attaque véhémente s'est
immédiatement produite en provenance de l'administration de l'Hôpital
Psychiatrique. Avec une Association comportant éducateur, thérapeute et médecin, nous mettions à disposition du monde adolescent l'emploi d'une
intelligence artificielle formatrice d'une fonction démocratique. L'association
s'appelle PSO et son logiciel gestionnaire APSO. Sans la moindre enquête mais
à priori, l'information de cette création dans le milieu médical fut interdite par ladite
administration, et sous peine de mise à pied ses employés devaient se détacher
de PSO. Ces manœuvres ont été agencées dans le secret, avec interdiction de
témoigner sous peine de sanction. Elles étaient accompagnées de calomnies. Évidemment
l'information fusa mais dans le complexe de la terreur. La rumeur atteignant un
degré notable, je demandais aux agents censeurs de la désavouer ou de la
dénier. De la part de mon propre milieu professionnel je suis resté sans
réponse. Il est trivial de rappeler le "qui ne dit rien consent" -
mais plus intéressant d'examiner les suites. Avec suffisamment de raisons
de soupçonner une entreprise délibérée de médisance et d'atteinte
professionnelle je me suis adressé au Conseil de l'Ordre des Médecins pour
apprendre quels étaient les moyens à sa disposition pour régler ces fautes
déontologiques et civiles. La technologie et la science de l'information fournissent
aujourd'hui ce que nous pouvons convenir de distinguer : secret thérapeutique
& secret industriel. Les ronflantes annonces de l'ère moderne "fin de
l'histoire", "fin de la philosophie" ont signifié cette
discrimination. L'emploi de ces slogans palliait à la difficulté de
reconnaître aisément cette distinction à laquelle les capacités
d'enregistrement de la voix, de l'image, étaient parvenues. Il fallut encore
quelque temps pour que les mathématiques de la cryptographie éclairent ce
nouvel état. Elles y parviennent aujourd'hui et, prosaïquement il est imposé
à la relation sociale d'en prendre acte à présent. Le cas que je décris le
montre bien. Il est aisé sur un enregistrement (audio/vidéo) d'une réunion de
"flouter" les aspects à tenir secrets. Ce qui importe au devoir du
médecin peut être aisément préservé tandis que le reste de la réunion peut
être rendu publique sans enfreindre à la déontologie. Au contraire c'est un
scrupule déontologique qui est relevé, au cas où les dispositions seraient
prises, de permettre à la patientèle de connaître la nature du discours de
son corps médical. |