L'euh.. neuf
La nouvelle frontière, nouvelles perplexités
Où se réitère que l'
e n'oeuf - mais que l' e plet *
ce qui s'il vous plait, serait y taire l'e9

* voir la topologie du plet in d'AMOA à LESTRE

 

Récapitulatif de l'avancée du neuf au 20060131090500

 

   Un Autre (dit Grand autre) ayant été décrit avec sa logique - sa linguisterie selon Lacan - logique de déplacement, condensation, Transfert - réglé à l'algorythme dit du Huit-intérieur ; cet Autre revient à l'Eux, le PH ou l'œuf, mais neuf - c'est à dire ayant intégré LAPAREIL dans son destin, sa paedomorphose. En résulte, obligé mon engagement dans une description de l'Eux Neuf - ce plet régrédient mais allant où vers ?  9 - où nous entrons de plein pieds la transformation de notre monde.

 

 

Ici les premières allusions à l'e9 - premier étai - écho d'une tentative
avortée d'une deuxième union pour un roman hyper-réaliste
(pour la première voir ALPHA) qui, après l'identification de l'Huit (huit-intérieur),
échoua * à l' e9 (ça bordage).

 

* de l'échec marqué du recul au seuil du marché - renonciation frauduleuse à un projet d'étale de kits psyBakh - bien vu d'ailleurs, puisqu'en France aussi la preuve du Tabou qui frappe la communauté .

 

       Les deux-trois quelques pages où l'e9 commence à être mentionné      

Des finitions à la Résistance

Volonté et Objet

VidéoWT - Décolère

 

 

       Certains des quelques e-mails où l'e9 a commencé à être mentionné      

A   les moments d'étude regroupés :   

A ) -    Pour commencer, suite à l'essai artistique - tentant de dépasser la censure par l'Art - l'artiste est invitée puis renonce à soutenir la présence du neuf par la préservation génétique. Personne n'achètera les éprouvettes - puisque - explique-t-elle - ici c'est la money, signifiant probablement le chiffrage surmoïque.
   J'aurais cru pourtant avoir bien expliqué qu'en l'occurrence... 

B ) -    Un peu plus tard on signale la présence du neuf par l'ectogenèse. On y reviendra (voir G ) : l'évolution en prise sur la phylogenèse-même - c'est à dire la vieille histoire d'Oeuf dans la processus de développement d'hyper-technologie présent ; puisque l'ectogenèse est de l'oeuf aux temps présent. Une telle actualisation de la phylogenèse réalise une évolution-in-situ - de cela : le neuf.

C ) -    Préservation (A)) et Régression évolutive (B)) considérées, leur analyse - que l'on peut reconnaître psychanalyse - s'intéresse à leur/sa cause. A côté des pfffchanalystes qui l'attribuent à Freud, leur Grand homme, cet élargissement trouve l'Hermétisme à la cause du neuf.

D ) -    Aux temps présents l'Art de la Mémoire, la psychanalyse, se revêt d'une sociologie neuve - UNE Fonction Psychanalytique versus l'occultisme Transférentiel. UNEFPE congrue à la Préservation (A)) et Régression évolutive (B)), période où l'on situe un traditionnel Oeuvre au Noir hermétique.

E ) -    Pressant vers une stricte 'publication' du terme de l'Eux Neuf, trépignant comme l'évocation répétitive du 'neuf ', butant l'obstacle mat au silence des Juriste (Trahison des Clercs) - le neuf aux fers à l'imaginaire de l'Autre.

F ) -    Ici l'Eux Neuf arrive désigné, publié - explicité , dépêtré de l'Autre.

G ) -  suit :

 

B   les archives/détail des moments d'étude   
Sur fond rose j'y préface d'un court préface/commentaire et y surligne le point afférent
La chronologie est ascendante - à la manière d'un Blog - commençant par G :

G )

Pour finir cette introduction - c'est la perspective d'une paedomorphose qui accueille le concept neuf de l'Eux
 
-----Message d'origine-----
De : Puyh26@yahoogroupes.fr [mailto:Puyh26@yahoogroupes.fr]De la part de William Theaux
Envoyé : dimanche 22 janvier 2006 19:15
À : Puyh26@yahoogroupes.fr
Objet : [Puyh26] Un paedomorphose à l'heure

 
En actualisant des traits ou des gènes archaïques en relation avec un environnement actuel de traces mnésiques, l'ectogenèse est un bon cas de paedomorphose. La précipitation du planning aussi ; on peut estimer que nous avons de la paedomorphose in situ. C'est ce que l'Inconscient aura donc déterminé.
 
DWT
 
 
 
 
 
-----Message d'origine-----
De : Puyh26@yahoogroupes.fr [mailto:Puyh26@yahoogroupes.fr]
Envoyé : dimanche 22 janvier 2006 18:54
À : Puyh26@yahoogroupes.fr
Objet : Re: [Puyh26] Et qu'est-ce qui hâte Aton ?

JMA
 
Je n'en vois qu'un ici :) En effet, l'ectogénèse était prévu pour la NL de mars... Nous sommes donc bien en avance sur le planning !

   Bien en avance en effet ; est-il trop tard pour reculer ? peut-être pas. Quel était le thème prévu pour février ?

Paedomorphose était prévue pour fevrier, d'ailleurs Aurélien souhaite y participer me semble t'il ?!

Mais l'ectogenese est arrivée avant, puisque d'actualité !


 

----- Original Message -----
Sent: Sunday, January 22, 2006 11:58 AM
Subject: [Puyh26] Et qu'est-ce qui hâte Aton ?



-----Message d'origine-----
De : Puyh26@yahoogroupes.fr [mailto:Puyh26@yahoogroupes.fr]De la part de
aurélien
Envoyé : dimanche 22 janvier 2006 10:03
À : Puyh26@yahoogroupes.fr
Objet : RE: [Puyh26] la hâte


Bonjour Monsieur Théaux,

Bonjour Maître Aurélien,

   La psychanalyse qui fait une investigation du psychisme, découvre la mémoire. Analysée de ce coup, elle effectue une description d'une logique - qui fait le temps logique. Les psy en corporation se précipitent en effet - pour prévenir les atteintes qui pourraient se produire à leur(s) certitude(s) ; mais s'il s'arrêtaient comme il faut au temps logique, ils se contenteraient d'anticiper. Cette manière de prendre des lentes Hermes pour d'Eve 'si' - ou 'ci' - est fréquente. On voit par exemple la découverte du plasma magnétique (par exemple de la terre) ne rien rendre ne serait-ce qu'en hommage, à Wilhelm Reich (qui l'avait exactement décrit dans le détail). De même la théorie des quanta ; indifférents tant les psy-chics que les phy-chocs qui nous expliquent le monde chaque jour à nouveau, on découvre que Charon
http://www.chez.com/bricemasgonty/Textes-de-reflexion/origine.htm
   aurait déjà parlé de ça. On se précipite donc dans les université pour apprendre à oublier ce qu'on savait déjà. Pour cela il faut se précipiter. Mais c'est un thème classique pour la psychanalyse qui aura remarqué
../../../dna/members/veil/wt/wtlib.htm
   que Charon use du même modèle que Lacan pour le regard ; évidemment un 'point' à ajouter à la lumière de la localisation des choses.

"qu'est-ce qui presse les psy à en parler avec tant de précipitation.."

Je n'en vois qu'un ici :) En effet, l'ectogénèse était prévu pour la NL de mars... Nous sommes donc bien en avance sur le planning !

   Bien en avance en effet ; est-il trop tard pour reculer ? peut-être pas. Quel était le thème prévu pour février ?

Why nous ?

   Les uns ont Dieu, les autres Allah, d'autres Boudha, ou Krishna - certains Krishnamurti ; ainsi les Herméticiens avait le Noûs pour patron de tous les patrons. Si c'est ainsi qu'on nommait ledit 'eux' - vous savez qu'aujourd'hui nous le reprenons à partir d'un Eux neuf. En effet une fois la divinité réduite au néant (Pascal), le Noûs - qui emportait la Gnose/Knows/Nows et le savoir collectif - réduit au silence (Inquisition) se retourna de collectif en masse (République, démocratie) jusqu'au Pluriel quand la production (LAPAREIL) y arrive. On peut donc reprendre tout ça à partir de la lecture des Hermetica - vous verrez comme on y tape sur l'épaule du Noûs.

The observer is the observed     Krishnamurti

Bonn journée,
DWT

Aurélien


> Message du 21/01/06 23:50
> De : "William Theaux" <williamtheaux@gmail.com>
> A : Puyh26@yahoogroupes.fr
> Copie à :
> Objet : RE: [Puyh26] la hâte
>
> <html><body>
>
>
> <tt>
> Bonjour,
>
> Personnellement j'ai été plutôt long à prendre connaissance du message -
> puisqu'il est passé par certains filtres antispam que je réajuste
> périodiquement - voilà maintenant je recevrai faiza en direct.
>
> A propos de cette hâte, je propose un jeu de réflexion - plutôt, ou en
> même temps que l'universitaire approche.
>
> Le sel de cette fonction (dite de-la-hâte en théorie lacanienne) est à
> goûter comme ça : je me te hâte.
> Il y a du 'je me t'hâte' dans cette fonction. C'est une fonction
> personnelle, qui marche à deux pourtant (et dont la théorie/Lacan se
> démontre par trois)
>
> Puisque nous n'oublierons pas que nous somme ici sur un site qui a un
> certain objectif, je continuerai alors la question de faiza par celle-ci :
> Puisque c'est du Noûs (le nOs.Gnose.Knows hermétique) que nous nous
> tenons, qu'est-ce qui règle sa hâte ; la hâte du Noûs?
>
> (par exemple, travaillant en ce moment sur l'ectogenese, je me demande
> qu'est-ce qui presse les psy à en parler avec tant de précipitation..
> ('tant' ou 'si peu') ? )
>
>
> DWT
>
>
>
>
>
>
>
>
> -----Message d'origine-----
> De : Puyh26@yahoogroupes.fr [mailto:Puyh26@yahoogroupes.fr]De la part de
> faiza
> Envoyé : mercredi 18 janvier 2006 17:46
> À : Puyh26@yahoogroupes.fr
> Objet : [Puyh26] la hâte
>
>
> salut tout le monde,
> comme je suis une nouvelle, et une mordue de la psychanalyse, j'ai une
> question à poser: "en ce qui concerne la hâte en psychanalyse" cette
> méthode je crois qu'elle fait plus de mal que de bien, les psy qui se
> hâtent vers porte de sortie pour faire sortir leurs patients comme un
> indésirable n'est pas assez bien accptée. Je sais que cette hâte
> devrait être dans le lieu de l'entretien et cela pour accélerer l'accés
> à l'inconscient qui s'ouvre que pour quelques secondes, alors le
> psychanalyste avec sa séance courte fera tout pour obtenir la parole
> pleine...mais mon étonnement et que certains ou tous, continuent
> jusqu'à la porte de sortie alors que la séance est finie! est ce que
> cette méthode d'éjecter les patients est essentielle pour la thérapie.
> Eclairez moi
> faiza
>
>

 

F )

   Ici l'Eux Neuf arrive désigné, publié - explicité , dépêtré de l'Autre.
 
-----Message d'origine-----
De : Puyh26@yahoogroupes.fr [mailto:Puyh26@yahoogroupes.fr]De la part de William Theaux
Envoyé : jeudi 5 janvier 2006 19:28
À : Puyh26@yahoogroupes.fr
Objet : RE: [Puyh26] Qu'attendons nous d'Aton ?

 
 
 
 
 -----Message d'origine-----
De : Puyh26@yahoogroupes.fr [mailto:Puyh26@yahoogroupes.fr]
Envoyé : jeudi 5 janvier 2006 17:45
À : puy26
Objet : [Puyh26] Qu'attendons nous d'Aton ?

Ce qui m'interpelle c'est cette façon continuelle d'aller chercher loin et voir qui a eu raison il y a des milliers d'années alors qu'il y a aujourd'hui un renouveau du culte d'Aton qui semble n'interpeller personne, c'est assez intéressant !
Comment appelleriez vous cela Docteur ? Cela est il de l'ordre du refoulement ?  
la chose qui est agitée en l'occurrence, touche à la scène primitive ; c'est différent du refoulement
 
Avec le refoulement, on considère une lettre posée - en toute discrétion - sur une cheminée, que tout le monde cherche ailleurs
 
Avec la chose, il faut plutôt considérer que pareille lettre, soit à présent indiquée, agitée, secouée, lue à haute voix, éventuellement photocopiée - et que tout affichée qu'elle soit..  que plus personne ne cherche..
 
Voilà, c'est une sorte de différence de cet ordre
 
 Ou une forme de frustration parce que ce renouveau n'est pas venu de là où on l'attendait ?
J'ai posté de nombreux messages là dessus restés sans la moindre réaction.
Est ce cela l'eux neufs ? 
non, cela c'est plutôt l'Autre.. uche
L'Eux neuf c'est après ça.. si vous voulez, c'est un peu comme l'oeuf d'autruche
et il faut que le vol a-t-il de lettre.. soit fait qu'on..
On en est plutôt là
 le n'oeuf bien blanc....
 
JMA
 
 


 

 

E )

   Pressant vers une stricte 'publication' du terme de l'Eux Neuf, trépignant comme l'évocation répétitive du 'neuf ', butant l'obstacle mat au silence des Juriste (Trahison des Clercs) - le neuf aux fers à l'imaginaire de l'Autre.
 
-----Message d'origine-----
De : PLANsante-ecologie@yahoogroupes.fr [mailto:PLANsante-ecologie@yahoogroupes.fr]De la part de William Theaux
Envoyé : mercredi 28 décembre 2005 08:07
À : PLANsante-ecologie@yahoogroupes.fr
Objet : [PLANsante-ecologie] Le Signifiant est-il un déchiffrage ?

Bonjour,
 
   Ce message est en trois parties. Il a été initialisé par la question du secret. Il comporte une introduction au commentaire, suivi du commentaire plein texte ; s'y ajoute la partie présente. J'ajoute la présente qui annonce un site, une action dont se manifeste deux/trois pages initiales :
   L'annonce de ce site est motivée par le fait que, ne pas l'annoncer, reviendrait à dénier la description de la volonté sujette au commentaire, puisqu'il en est l'expression.
   Que la volonté s'exprime par un traitement génétique est mentionné dans une vidéo que j'ai produite dernièrement :
   Le complément page/web à cette vidéo sera publié incessamment dans la NewsLetter du projet H26. L'ensemble requiert la manifestation que j'ai appelée psyBakh (du fait que le nom de sa version première, 'CYBEK', n'était plus disponible au registre web des noms-de-domaine/url)
 
 
   La préservation du code/chiffre est la contribution de la psychanalyse à la santé & à l'écologie (après l'analyse du Signifiant : le chiffrage - comme le chiffrage est organiquement manifesté par le déchiffrage) ; sans cette opportunité disposée à la volonté, la psychanalyse ne destine pas autrement le désir qu'au transfert. C'est pourquoi, d'une part j'annonce ici psyBakh et, d'autre part, je traite du transfert dans les commentaires sur le secret.
 
 
DWT
 
 
 
 
COMMENTAIRES
 
intro
 
 
   Il faut partir d'une réflexion. Si nous parions de la science, c'est que nous partons de faits. Nous ne sommes pas 'créationistes' au sens où nous prenons acte de choses que nous observons. C'est ainsi que la volonté a lieu ; non pas de créer à partir de rien, ou d'avoir lieu à l'encontre de ce qui existe. La volonté part de ce qu'il y a - et elle affirme ce qu'il y a  -  en quoi elle diffère de la colère qui démonte ce qu'il n'y a pas.
 
   S'il y a quelque chose de neuf aujourd'hui, c'est que la volonté est offerte à l'individu au terme de la civilisation. Précédemment, on le sait bien, la volonté était un idéal au miroir des bonnes résolutions. La volonté aujourd'hui nous est offerte - pas seulement du fait que nous pouvons nous tuer ou peut-être survivre - mais surtout du fait que nous avons appareillé la réalité d'une manière qui donne à la pulsion cette ressource (la volonté comme ressource de la pulsion). Je crois qu'un travail, systématiquement entrepris dernièrement explique cela.
 
   Nous arrivons donc à un état (passé celui du désir, analysé) où c'est le terme de la volonté qui s'expose - ce qui intime que nous prenions acte de faits. C'est d'abord ceci qu'il faut bien admettre : la réalité présente. Nous sommes dans un état de fait, à présent, en vérité, actuellement, où il n'y a plus de secret. Il n'y a pas de secret aux temps présent, il n'y a de révélation que de Polichinelle, un pluriel dévoilé. C'est une planète neuve, un état neuf. Il n'y a que le dédain pour l'intelligence artificielle qui ignore encore cette nouveauté, lequel dédain est équivalent à la colère qui tente de démonter par un mépris dudit appareil, sa menace qui n'est pas. Il n'y a aucun effort, aucun choix dans le fait de dire cela, de dire qu'il y a du neuf ; il y a seulement une lucidité (peut-être) de constater qu'il n'y a plus/pas de secret. Il faut beaucoup plus d'effort, et de colère, pour vivre dans le passé avec de secret semblants.
   Pourtant - objecterait-on - au contraire, on assiste à une efflorescence du secret, multitude de mots-de-passes et de protections etc..  Oui - admettrait-on - effectivement, et cette précipitation est de la même nature que la pollution ; de ça aussi on voit beaucoup. Il s'agit de la même chose en l'occurrence. Il est vrai que l'on voit beaucoup d'activités qui augmentent la pollution, également qui augmentent le secret ; mais la volonté ne ressort pas de là. Il n'y a aucune expression de la volonté dans la pollution.
 
   Ceci étant dit - cet état acquis après un premier siècle de psychanalyse - je poursuis en commentaires intercalés plein texte ci-dessous :
 
 
 
 
 
 
 
commentaires
 
 
 
 
 
-----Message d'origine-----
De : PLANsante-ecologie@yahoogroupes.fr [mailto:PLANsante-ecologie@yahoogroupes.fr]De la part de barriere.suzanne
Envoyé : mardi 27 décembre 2005 08:30
À : PLANsante-ecologie@yahoogroupes.fr
Objet : [PLANsante-ecologie] le secret

bonjour,
 
 En quoi la révélation d'un secret  - la révélation, pour certains qui en doutent encore, est celle qu'il n'y a pas de secret - est-elle meilleure que l'ignorance et l'illusion, je veux dire est-ce une approche d'un mieux pour l'être humain ou une source de complications psychologiques et par là même, de souffrance ?
Oui, je vois bien que cela semble en contradiction avec le rôle de la psychanalyse et de l'Hermétisme : faire ressortir le refoulé, le caché pour aller où ? vers le neuf, je suppose ... la libération ...
Mais comment gérer tout cet imbroglio de façon collective , si l'accompagnement n'existe pas ?  l'accompagnement, au sens du mot 'exister' n'existe pas ; c'est un fait encore plus certain que le n'existe-pas de La femme du lacanisme, que LAPAREIL n'existe pas ; LAPAREIL est essentiellement virtuel, il accompagne la 'libération' mais sans 'exister'  analyse plurielle ?  l'existence - ladite ek-sistence - a lieu de l'extraction du domaine de LAPAREIL ; effectivement de l'extraction de l'analyse plurielle, une occasion d'existence se manifeste, comme toujours, classiquement, selon la volonté. La volonté est la manifestation réelle de l'existence. La volonté s'occasionne vis à vis d'un accompagnement qui n'existe-pas 
La compréhension dans l'échange et l'analyse, n'est-ce pas là que "le bas blesse" ? dans la mesure où existent quiproquos, mauvaises interprétations, sensibleries et résistances ...   Ce qui blesse est au motif de la psychanalyse - elle a choisit les symptômes d'une part parce qu'ils sont une bonne voie d'accès au psychisme, d'autre part parce que du même coup elle est potentiellement thérapeutique - lorsque la psychanalyse elle-même blesse, on appelle ça le 'transfert'.
   Le transfert est quelque chose de précis ; quand on a peur de rater un virage en voiture, on ne fait pas un transfert, il y a beaucoup d'émotions qui ne relèvent pas d'un transfert. Il y a beaucoup d'émotions, d'émois en psychanalyse. Le transfert en est une particulière ; il est comme un anti-dépresseur ; un anti-dépresseur ne guérit pas de la dépression - c'est ou bien un placebo ou bien pire, c'est un médit calmant. Le transfert est un accompagnement qui pénêtre le cabinet (qui s'ajoute, s'aliène à l'extrait) pour voler la vérité (voir le ministre dans le cabinet de la reine ; en La-Lettre-Volée).
Dans quelle mesure ce qui semble la perception de l'autre entre-t-elle dans le circuit de l'analyse , est-elle nécessaire à analyser ? transfert ?  le transfert est une perception qui occulte l'autre, qui met une répétition à sa place - c'est pour cela qu'on l'a associé à une pulsion de mort. Mais c'est une pulsion virtuelle, fabriquée, un faux-semblant. C'est comme de LAPAREIL, tout l'appareillage cybernétique ; LAPAREIL n'a pas de pulsion ; attribuer une pulsion à l'intelligence Artificielle revient à dénier la Pulsion. Ce que le transfert dénie, sont soit la sexualité, soit la maladie - c'est à dire les deux occasions du silence. 
Comment le psychanalyste peut-il s'exclure de ce pluriel ?    La science se fait par des expériences simples. Celle-ci consiste à prendre une casserole pleine d'eau et à la verser. Comment l'eau peut-elle s'exclure de cette casserole ? On l'explique généralement par les lois de la Gravité - bien qu'on ne sache pas exactement ce que c'est. De même il peut rester mystérieux qu'il y ait des gens exclus, depuis toujours. Ce que l'on sait à présent, c'est que peut-être, quand le groupe est appareillé, quand son industrie s'est développée au point qu'elle est devenue cybernétique, alors l'éternel exclu prend une fonction, que le 20em siècle a examinée au titre de 'psychanalyste', et dont au préalable certains individus avaient quelques notions (Simonides et Cicéron les ont rapportées).  silence assermenté ? garant du moins-un ?   très intéressante formulation 'garant du moins-un'.. super !
 
L'ascèse de la vérité n'est-elle pas une utopie ?
 
 
 


 

 

D )

   Aux temps présents l'Art de la Mémoire, la psychanalyse, se revêt d'une sociologie neuve - UNE Fonction Psychanalytique versus l'occultisme Transférentiel. UNEFPE congrue à la Préservation (A)) et Régression évolutive (B)), période où l'on situe un traditionnel Oeuvre au Noir hermétique.
 
-----Message d'origine-----
De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : mardi 27 décembre 2005 20:30
À : colloque_h26@yahoogroupes.fr
Objet : Plateforme [colloque_h26]

Bonjour,
 
   Effectivement il est possible de communiquer par un forum ; ça peut présenter un certain nombre d'avantages.
 
   Ce sera entre autres, une occasion de parler de psychanalyse. L'analyse didactique est une invention, une organisation, destinée à apprendre comment pratiquer l'analyse. Comme Freud a insisté pour dire qu'il pratiquait d'une certaine manière, en estimant que chacun devait trouver la sienne propre et personnelle, l'ensemble de ceux qui l'ont suivi ont pratiqué non pas selon leur propre manière mais comme lui. De même que comme il a prescrit une extension à la psychologie collective, l'ensemble de ses suivants ont évité la psychologie collective. Quant à la 'didactique' certains disent qu'il y en a, d'autre disent qu'il n'y en a pas.
 
   En fait la majorité des psychanalyses consiste à éviter la psychanalyse. Une didactique peut être utile à ce point vue. Pour contourner ce piège, on a proposé un autre concept : plutôt que faire une didactique pour former un(e) psychanalyste, on a cherché une garantie pour ceux qui s'autorisaient psychanalystes. Dernier échec en date, 'la passe' - c'est à dire un moyen de garantie inventé par Lacan et bientôt déclaré par lui-même comme un échec. Du coup ceux qui l'ont suivi ont su quoi faire ; depuis lors ils pratiquent la passe.
   Il y en a évidemment de toutes sortes.
   De mon côté j'ai proposé autre chose - quelque chose de neuf peut-être : la garantie est fournie par une association.
 
hal en ce moment est garanti par UNEFPE
moi-même je suis sans garantie - mes psychanalyses sont sans garanties ; ce qui n'excluent pas qu'elles aient lieu.
 
   La didactique que je saurais vous suggérer est celle-là : associez vos analysants.
 
   En terme classique de 'didactique', nous revenons à celle que vous appelez, de psychanalyse, classique. En l'état actuel la votre n'est pas achevée et/ou n'a pas eu lieu. Classiquement, c'est au terme d'une analyse que l'on passe en didactique. Il faut donc d'abord aboutir à son terme, ce qui dans votre cas n'est pas parvenu. Vous ne pouvez pas non plus décider seule d'arrêter, de suspendre, de reprendre, sans faire ce qu'on appelle une auto-analyse. C'est néanmoins très bien une auto-analyse, mais ce n'est pas une psychanalyse. Une auto-analyse, on la fait tout(e) seul(e) - une psychanalyse, on la fait avec un(e) psychanalyste qui conduit la cure.
   A mon sens des moyens de psychanalyse sont à votre disposition actuellement : il s'agit du PLAN du mardi soir et de ce groupe.
 
 
n
 
 
 
 
-----Message d'origine-----
De : colloque_h26@yahoogroupes.fr [mailto:colloque_h26@yahoogroupes.fr]
Envoyé : mardi 27 décembre 2005 10:49
À : colloque_h26@yahoogroupes.fr
Objet : [colloque_h26] Plateforme de correspondances

Bonjour Docteur Théaux,
Bonjour Hal,
 
Je viens ici m'expliquer sur le fait que j'ai fait sortir Aurélien de ce groupe et émettre mes souhaits concernant cet espace.
 
Je pense que désormais toutes nos correspondances Docteur devront passer par ce forum afin d'éviter le trop proches nuisant à l'analyse comme je l'ai expliqué sur le egroupe PLAN. Bien entendu cela ne retire en rien l'amitié qui s'est créée entre nous, mais permettra d'en établir justement les limites et dans ces conditions ; je pense pouvoir reprendre ma psychanalyse avec vous dans les mois à venir et je souhaiterai qu'elle prenne la forme d'une analyse didactique et que vous m'en expliquiez le forme et la différence avec l'analyse classique.
 
J'emets le souhait que Hal reste avec nous sur ce groupe, j'espère qu'il en appréciera la littérature grise qu'il contiendra, littérature grise de la préparation au colloque H26 et c'est parce qu'il a toute ma confiance, que je souhaite sincèrement sa présence ici ainsi que ses interventions lorsqu'il désirera lui même réagir.
 
C'est pour toutes ces raisons que je tiens à ce que ce groupe reste tel qu'il est aujourd'hui.
 
à vous donc...
 
Jocelyne
 

 

 

C )

   Préservation (A)) et Régression évolutive (B)) considérées, leur analyse - que l'on peut reconnaître psychanalyse - s'intéresse à leur/sa cause. A côté des pfffchanalystes qui l'attribuent à Freud, leur Grand homme, cet élargissement trouve l'Hermétisme à la cause du neuf.
 

-----Message d'origine-----

De : William Theaux [mailto:williamtheaux@gmail.com]
Envoyé : mardi 20 décembre 2005 16:34
À : hermetisme2006@yahoogroupes.fr
Objet : Quelques explications

 

Bonjour,

J'ai donc fermé le groupe hermetisme2006 ; il y reste quatre inscrits.

Ce groupe était devenu inutile, je crois que vous l'avez constaté. Mais ça n'a pas été forcément inutile qu'il arrive jusque là. Quoiqu'il en soit, très rapidement après mon annonce de sa fermeture, des bouleversement sérieux, dans le coulisses de son administration, l'ont affecté - imposant une alerte à Yahoo et, pour finir, débouchant sur la magie d'actes-manqués à peine déchiffrables, mais qui étaient assez sérieux pour confirmer qu'il était bien temps d'arrêter.

Cependant, cette quinzaine et ces éléments révélés, a bien rempli sa fonction de donner aussi du temps pour réfléchir. Les actes-manqués intervenus ont donné le motifs de reculer sur la décision de simplement supprimer le groupe. Faire cela aurait manqué de prendre en compte des facteurs additionnels à la décision première. Ces actes ont fourni une sorte de raison d'équilibre ; et maintenir le groupe est devenu une nouvelle actualité.

Il s'est alors agit de le maintenir, avec les acquis de l'histoire - lesquels acquis ont montré que la retrouvaille de l'hermétisme est encore l'objet de bien des vents mauvais, et que pour travailler tranquille l'occasion était bonne de s'abriter. C'est pour cette raison que je maintiens le groupe - mais totalement fermé. Des admissions seront possibles dans le cas de personnes certaines de vouloir élucider l'hermétisme au temps présent et construire du neuf.

Pour l'instant, hal bien sûr - nous avons trop de similitude pour l'éviter ; jose, car je l'admire et je l'ai toujours trouvé sage, voire savant ; ATN car nous nous suivons aussi de près. Nous sommes quatre.. pour l'instant... après, on va voir...

 

Will

 

 

B )

   Un peu plus tard on signale la présence du neuf par l'ectogenèse. On y reviendra (plus haut ; voir G ) : l'évolution en prise sur la phylogenèse-même - c'est à dire la vieille histoire d'Oeuf dans la processus de développement d'hyper-technologie présent ; puisque l'ectogenèse est de l'oeuf aux temps présent. Une telle actualisation de la phylogenèse réalise une évolution-in-situ - de cela : le neuf.
 
-----Message d'origine-----
De : hermetisme2006@yahoogroupes.fr [mailto:hermetisme2006@yahoogroupes.fr]De la part de William Theaux
Envoyé : vendredi 21 octobre 2005 15:17
À : hermetisme2006@yahoogroupes.fr
Objet : [hermetisme2006] Des mystères de la différence à celui de la naissance

 Je souligne le dernier paragraphe
 
 
Une chose est sûre: l'évolution semble favoriser le genre féminin à long terme, y compris en matière de procréation, l'un des derniers domaines où la spécificité de chaque sexe reste encore clairement définie. C'est le philosophe et biologiste Henri Atlan qui l'affirme dans son ouvrage L'Utérus artificiel (Seuil): d'ici à une cinquantaine d'années, les bébés débarqueront sur terre par ectogenèse, une technique qui permet le développement de l'embryon hors de l'organisme maternel. Cette sorte de sous-traitance procréative a déjà commencé avec les fécondations in vitro, et progresse à grands pas de l'autre côté de l'Atlantique. Dans son laboratoire de l'université Cornell (Etat de New York), la biologiste Helen Hung-Ching Liu serait en effet parvenue à implanter des embryons humains dans un ersatz d'utérus dopé en hormones et en éléments nutritifs. Même la modeste contribution masculine à la fécondation de l'embryon pourrait bientôt devenir accessoire. En mai 2002, des biologistes japonais de l'Université agricole de Tokyo sont parvenus à créer en laboratoire une souris issue d'un ovule fécondé par un autre ovule, sans aucun apport de sperme. La femme serait-elle l'avenir de la femme?

   Il est étonnant, parce qu'en le guidant par téléphone, mon interlocuteur et moi n'étions pas parvenu à localiser son thème (ectogénèse) ; est-ce que ce paragraphe renferme l'information dans une espèce d'enveloppe qui cache son contenu ? En effet il commence par " favoriser le genre féminin à long terme " et se clôt par " ovule fécondé par un autre ovule, sans aucun apport de sperme. La femme serait-elle l'avenir de la femme " . On dirait qu'il décrit/annonce un lever de soleil féminin sur un monde de femmes. Or au milieu de ces deux lèvres hypra-conclusives d'un avenir aux corps masculins disparus - cette conclusion de l'article enclôt une information radicalement, et absolument contraire, ou tout du moins contradictoire ; à savoir que, pour la première fois dans l'histoire connue des bébés pourront naître sans passer par un utérus. C'est à dire que pour la première fois l'avenir est dessinable sans la femme. L'ectogenèse (qui permet le développement de l'embryon hors de l'organisme maternel) est quelque chose que les premiers ovipares avaient déjà inventé ; c'est une vieille histoire, mais dans celle de l'humanité, c'est tout à fait neuf. Cette information si bien cachée que mon interlocuteur que je guidais de mémoire par téléphone sur le dernier paragraphe de l'article, ne la trouvait pas (à moins que nous n'ayons parlé d'un article totalement différent) - dévoilerait ainsi son caractère extrêmement refoulé.

 
plutôt qu'in status nascendi - in refoulum nascendi - avec mes excuses pour un latin un peu oublié..
 
 
DWT
 
note : DWT qui - par précaution - explicite que des termes de ce message il ne fait pas l'apologie d'une éventuelle ectogenèse, mais qu'ayant noté que sa réalisation possible étant annoncée d'ici à une cinquantaine d'années , il n'est pas déraisonnable d'y penser aujourd'hui - en rappelant que les autruches ne sont pas déraisonnables, mais qu'elles n'ont pas de raison. Il nous faut en effet dès à présent commencer à apprendre à en parler avec nos enfants et non pas de façon autruche ou sectaire qui caractérise la manière dont nous satanisons les clones sans même en avoir jamais vu un et encore moins avoir eu avec ce type d'être (ou de pas-être - voir Shakespeare) une conversation permettant d'en juger.
 
 
 
 
-----Message d'origine-----
De : 
Envoyé : jeudi 20 octobre 2005 10:46
À : Docteur William Theaux
Objet : Fw: [jenpeuxplus] Homme-femme :::Les mystères de la différence


 
----- Original Message -----
Sent: Thursday, October 20, 2005 9:27 AM
Subject: [jenpeuxplus] Homme-femme :::Les mystères de la différence

L'Express du 20/10/2005 
source http://www.lexpress.fr/info/societe/dossier/sexualite/dossier.asp
Homme-femme
Les mystères de la différence

par Gilbert Charles

L'anatomie est trompeuse: à mesure qu'ils avancent dans leurs découvertes, les scientifiques ont de plus en plus de mal à définir la spécificité des deux sexes. Des généticiens en viennent même à prédire l'extinction du chromosome Y. Et, en matière de procréation, nous ne sommes pas au bout de nos surprises…

C'est le mystère qui nous intrigue depuis la plus tendre enfance et turlupine les savants depuis la nuit des temps: celui de la troublante différence entre nos jambes, qui sépare l'humanité en deux parties (presque) égales. Pourquoi les uns ont-ils un sexe et les autres, un autre? En quoi les hommes et les femmes se distinguent-ils réellement? La condition masculine ou féminine est-elle gravée dans l'anatomie, dans les gènes, dans le cerveau, ou bien créée par l'environnement et les conventions sociales?

Des généticiens, des anthropologues, les experts en imagerie médicale ont apporté, ces dernières années, de nouveaux éléments de réponse à ces questions. Leurs découvertes donnent une image de plus en plus complexe de la sexualité, où les frontières naguère bien délimitées apparaissent de plus en plus floues.

© DR

Chromosomes féminins (XX, en haut) et masculins (XY).
Les critères qui permettaient jadis de classer sans ambiguïté une personne dans l'un ou l'autre genre sont de plus en plus vagues ou contestés, à tel point qu'on ne sait plus bien ce qui distingue le masculin du féminin. Les organes génitaux? Certains naissent hermaphrodites, avec des attributs sexuels indifférenciés, à la fois féminins et masculins, ou l'ébauche d'un des deux: ces cas d'intersexualité touchent en moyenne 1 personne sur 5 000 en Europe. Les hormones? Elles ne sont pas non plus spécifiques à un sexe: les femmes fabriquent aussi de la testostérone et les hommes des œstrogènes. Le patrimoine génétique? Certains hommes sont pourvus de deux chromosomes X, tout comme il existe des femmes ayant hérité d'un Y: plus de 200 000 individus en France ont ainsi un profil sexuel génétique «différent» de leur morphologie. La forme des os? Les paléontologues reconnaissent aujourd'hui qu'il est très difficile de différencier le sexe des squelettes. Les performances physiques? Même sur les stades, l'écart entre les femmes et les hommes tend à se réduire. Une étude de l'université de Californie sur l'évolution des records olympiques depuis les années 1920 a montré que les athlètes féminines progressaient deux fois plus vite que leurs homologues masculins et prévu que, à ce rythme, les différences disparaîtraient complètement vers 2050. Mais on en est encore loin, car les mâles disposent d'une arme imparable: leur niveau, en moyenne dix fois plus élevé, de testostérone, hormone stimulant la formation des muscles, qui leur assure un dopage naturel et un avantage au chronomètre risquant de perdurer.

Et si la différence se logeait surtout dans le cerveau? L'organe d'où l'homme tire sa position dominante dans la nature est en général d'une taille plus petite chez la femme. Ce qui a longtemps servi d'argument aux phallocrates pour justifier la supériorité masculine en matière d'intellect. Au début du XXe siècle, le philosophe français Gustave Le Bon attribuait «la versatilité des femmes, leur inconsistance, leur absence de logique et leur incapacité à raisonner» au petit volume de leur boîte crânienne. Près de cent ans plus tard, malgré les progrès de la science et l'évolution des mentalités, on en est encore plus ou moins au même point. En janvier dernier, le président de l'université Harvard, Lawrence H. Summers, a déclenché une énorme polémique aux Etats-Unis en expliquant au cours d'un discours que, s'il y avait peu de femmes dans les filières scientifiques, c'était peut-être parce qu'elles étaient, par nature, moins douées en maths.

 

Ce qui les distingue

Espérance de vie à la naissance: à l'échelle de la planète, les femmes vivent en moyenne 65 ans et les hommes 62 ans. En France, l'écart relatif de mortalité en faveur des filles est de 10%.
Ostéoporose: les femmes perdent davantage de masse osseuse après la ménopause que les hommes après l'andropause.
Sensibilité à l'éthylisme: après avoir consommé une même quantité d'alcool, à poids égal, les femmes présentent un taux d'alcoolémie proportionnellement supérieur à celui des hommes.
Système immunitaire: celui de la femme est meilleur que celui de l'homme. Mais elle est plus sensible aux affections auto-immunes, comme l'arthrite rhumatoïde, le lupus, la sclérodermie ou la sclérose en plaques.
Sensibilité à la dépression: les femmes déprimées sont deux à trois fois plus nombreuses que les hommes, notamment parce que leur cerveau produit moins de sérotonine.
Poids du cerveau: celui des femmes est en moyenne 5 à 10% plus léger, mais plus dense: elles ont 15% de matière grise supplémentaire.
Revenu moyen: en France, il est de 1 151 euros pour les hommes contre 841 euros pour les femmes…
Taille et poids: les Françaises pèsent en moyenne 64 kilos. Les Français, 77 kilos. Elles mesurent en moyenne 1,62 mètre; eux, 1,75 mètre.
En la matière, les données scientifiques indiscutables sont peu nombreuses, contradictoires et souvent biaisées, car elles portent sur des comportements pouvant être induits aussi bien par la biologie que par la société. Oui, le cerveau des filles est statistiquement moins volumineux, mais c'était aussi le cas de celui d'Einstein ou de celui d'Anatole France, lequel pesait 1 kilo alors que le poids moyen du cerveau chez les hommes est de 2,4 kilos. Les femmes ont une proportion de matière grise plus élevée et disposent d'un corps calleux - faisceau de nerfs qui relie entre eux les lobes droit et gauche - plus épais que celui des garçons. Ce qui permet à leurs hémisphères de mieux communiquer. Les aires du langage sont réparties chez la femme des deux côtés du cerveau, alors qu'elles sont concentrées chez les hommes dans l'hémisphère gauche. Ces derniers, plus latéralisés, réalisent de meilleures performances aux tests de visualisation d'objets dans l'espace, alors que les femmes ont de meilleures capacités de langage et font preuve de plus d'empathie, car elles perçoivent mieux les émotions et les états mentaux des autres. Voilà pourquoi les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus, selon la célèbre formule de John Gray, l'auteur américain qui a popularisé ces découvertes à travers des livres de recettes pour «mieux communiquer et vivre en harmonie avec l'autre sexe».

Au-delà de ces particularités, somme toute limitées, aucune autre différence cognitive n'a pu clairement être mise en évidence entre les sexes. Les tests de QI ne démontrent pas d'écart d'intelligence lié au genre, même si les hommes ont tendance à être plus nombreux aux deux extrémités de la courbe, parmi les esprits les plus brillants, mais aussi parmi les débiles et les attardés. Ce qui, au bout du compte, rétablit l'équilibre… «Les différences entre les individus, quel que soit leur sexe, sont plus importantes que celles entre l'homme et la femme», affirme le Britannique Simon Baron-Cohen, directeur du centre de recherche sur l'autisme de l'université de Cambridge.

Si le cerveau n'a pas vraiment de sexe, il n'en contrôle pas moins les préférences et les comportements sexuels, lesquels paraissent beaucoup plus influencés par la biologie qu'on ne le pensait. En 1991, un chercheur californien, Simon Le Vay, a fait sensation en affirmant avoir découvert une particularité anatomique dans le cerveau des homosexuels: une région de l'hypothalamus dont le volume serait deux fois moins important chez les hommes gays et chez les femmes que chez les hommes hétéros. Deux ans plus tard, le Dr Dean Hamer, du National Cancer Institute, s'est vanté d'avoir identifié, sur le chromosome X, une région baptisée XQ28, censée abriter le ou les gènes de l'homosexualité. Les observations de Le Vay, qui portaient sur l'autopsie d'une quarantaine de cadavres d'hommes morts du sida, n'ont jamais été confirmées. Quant à la découverte du XQ28, elle n'a pas pu être prouvée, faute de pouvoir expérimenter les effets du gène homo dans des embryons humains. On a en revanche trouvé une sorte d'équivalent de ce gène chez la mouche. Des généticiens viennois de l'Académie des sciences autrichienne ont identifié chez la drosophile un fragment d'ADN qui détermine les comportements sexuels de l'animal, sa façon de faire la cour et de s'accoupler. En juin 2005, ils ont réussi à inverser les préférences de mouches femelles en injectant dans leurs œufs une copie de la version mâle du gène: des insectes pourtant pourvus d'organes féminins se transforment alors en lesbiennes et tentent de copuler avec leurs consœurs. Barry Dickson, l'un des auteurs de la découverte, s'avoue lui-même étonné par ce résultat: «Je ne pensais pas qu'un seul brin d'ADN puisse contrôler des comportements si complexes.»

Les différences entre les individus sont plus importantes que celles entre l'homme et la femme

La différence des sexes reposerait-elle finalement sur la génétique? Cette discipline est de toute évidence celle qui a le plus fait évoluer les connaissances et les théories sur le genre. A commencer par l'évaluation de la distance entre les hommes et les femmes au niveau de l'ADN. Alors que le génome humain est désormais totalement décrypté, des chercheurs de Duke University ont entrepris de décompter les gènes spécifiques à chacun des deux sexes. Ils sont arrivés à la conclusion, publiée en mars 2005, que les filles et les garçons divergent d'environ 300 gènes, soit près de 1% de leur patrimoine héréditaire. L'écart peut paraître minuscule, mais il est presque aussi grand que celui qui sépare le genre humain des grands singes, soit 1,5%. Il y aurait donc autant de distance, génétiquement parlant, entre la femme et l'homme qu'entre les primates et Homo sapiens.

DOC EN SOTCK
"De quoi j'me mêle!"
sur ARTE


Retrouvez le thème de ce dossier mardi 25 octobre sur Arte, à 20 h 40, dans la soirée Thema: Qu'est-ce qu'un homme? Qu'est-ce qu'une femme? produite et présentée par Daniel Leconte.
20 h 40 Sexe? Documentaire de Fabrice Gardel et Sophie Nahum.
21 h 30
L'homme qui rêvait d'être enceint, documentaire de Sophie Lepault et Capucine Lafait.
22 h 15
Débat avec le Dr Bernard Cordier et Marcela Iacub, animé par Daniel Leconte.
 
La génétique nous a aussi appris récemment que, contrairement à ce que raconte la Genèse, la femme est apparue la première, 84 000 ans avant que l'homme émerge en quelque sorte de ses chromosomes.. Grâce à la méthode de l' «horloge moléculaire», qui permet de remonter le temps en analysant les variations de l'ADN, une équipe de généticiens de l'université Stanford a montré que l'humanité possédait au départ un seul chromosome sexuel, fonctionnant par paires identiques et portant à la fois les gènes masculins et féminins.

Mais, il y a 250 000 ans, à la suite d'une mutation, l'un des jumeaux a commencé à se différencier et donné naissance au chromosome Y. Celui-ci s'est spécialisé dans le genre masculin en abandonnant la plupart de ses gènes féminins. Incapable de se recombiner en échangeant des gènes avec son jumeau, car il est toujours tout seul dans la cellule, il s'est peu à peu appauvri, comme une peau de chagrin. L'Y est aujourd'hui le plus petit du génome, le moins fourni en gènes - moins d'une centaine, alors que l'X en compte 2 000. Le généticien britannique Bryan Sykes, de l'université d'Oxford, estime que ce chromosome mâle est tout simplement appelé à disparaître et prédit dans son livre paru en 2004 - La Malédiction d'Adam (Albin Michel) - que tous les hommes seront stériles dans 125 000 ans.

Il a fallu attendre 1923 pour que les biologistes découvrent que le sexe s'hérite par le jeu de deux chromosomes: un double X pour les filles, un X et un Y pour les garçons. Depuis cette date, les scientifiques n'ont cessé de faire la chasse au gène «décisif» du sexe, celui qui détermine la formation des organes sexuels dans l'embryon à partir de la cinquième semaine de gestation.

Même la modeste contribution masculine à la fécondation pourrait bientôt devenir accessoire

Après de nombreux échecs, une équipe de chercheurs londoniens a fini, au début des années 1990, par identifier un candidat sérieux dans les replis du chromosome Y: un gène baptisé sex determining region (SRY), qui constitue la clef de la masculinité. Celui-ci agit comme un interrupteur en déclenchant une cascade d'événements hormonaux qui aboutissent à la formation des organes sexuels mâles. La même équipe a réussi quelques mois plus tard à changer le sexe d'un embryon de souris femelle après lui avoir injecté une copie du SRY, preuve incontestable de ce mécanisme. Cette découverte n'est pas neutre: elle semble définir la féminité comme un état par défaut, la pente naturelle sur laquelle glisse l'embryon, sauf si le SRY décide du contraire en aiguillant le train dans l'autre direction. Il existe pourtant des mécanismes de détermination féminins: des généticiens italiens de l'université de Pavie ont montré, en 1994, qu'il existe sur le chromosome X un gène qui agit comme un répresseur de masculinité. Mais cette découverte semble être passée inaperçue. On se demande bien pourquoi.

 
Si le chromosome Y semble voué à l'extinction, l'X semble en revanche appelé à un bel avenir. Ce chromosome commun aux deux sexes porte aussi de nombreux gènes impliqués dans le fonctionnement du cerveau. On pensait jusque-là que chez les femmes, où il existe en double exemplaire, seul un des jumeaux était fonctionnel, l'autre restant silencieux. Mais on s'est récemment aperçu que ce n'est pas tout à fait le cas: 25% des gènes de l'X dormant sont en réalité actifs, ce qui permet à la cellule de réparer un gène défaillant en le remplaçant par sa copie sur le second chromosome. Cette plasticité génétique donnerait ainsi au sexe dit «faible» une meilleure protection contre les mutations et des capacités d'adaptation plus larges. Elle lui permet aussi d'échapper à de nombreuses affections héréditaires liées à des gènes du X, qui touchent en priorité les garçons, de la calvitie à la myopathie de Duchenne en passant par l'hémophilie ou l'autisme.

Une chose est sûre: l'évolution semble favoriser le genre féminin à long terme, y compris en matière de procréation, l'un des derniers domaines où la spécificité de chaque sexe reste encore clairement définie. C'est le philosophe et biologiste Henri Atlan qui l'affirme dans son ouvrage L'Utérus artificiel (Seuil): d'ici à une cinquantaine d'années, les bébés débarqueront sur terre par ectogenèse, une technique qui permet le développement de l'embryon hors de l'organisme maternel. Cette sorte de sous-traitance procréative a déjà commencé avec les fécondations in vitro, et progresse à grands pas de l'autre côté de l'Atlantique. Dans son laboratoire de l'université Cornell (Etat de New York), la biologiste Helen Hung-Ching Liu serait en effet parvenue à implanter des embryons humains dans un ersatz d'utérus dopé en hormones et en éléments nutritifs. Même la modeste contribution masculine à la fécondation de l'embryon pourrait bientôt devenir accessoire. En mai 2002, des biologistes japonais de l'Université agricole de Tokyo sont parvenus à créer en laboratoire une souris issue d'un ovule fécondé par un autre ovule, sans aucun apport de sperme. La femme serait-elle l'avenir de la femme?

 

 

A )

   Pour commencer, suite à l'essai artistique - tentant de dépasser la censure par l'Art - l'artiste est invité puis renonce à soutenir la présence du neuf par la préservation génétique. Personne achètera les éprouvettes - puisque - explique-t-elle - c'est la money, signifiant probablement le chiffrage surmoïque.
   J'aurais cru pourtant avoir bien expliqué qu'en l'occurrence loin d'amoindrir ce que la Valeur de Marché fera de critère à l'Intelligence Artificielle, nous l'ectobiologie déjà suppléer à notre intelligence réduite, voire surmonter notre passion pour l'Ignorance. Ainsi l'ectogenèse se préparant de beaux jours comme outil du 'pouvoir' et d'exploitation des êtres humains, offre néanmoins une opportunité de réfléchir, en pensant, même dans l'indifférence générale, à la nature, et la nature humaine, avec les moyens de la métaphore et de l'analyse de l'Inconscient - il en irait de même pour la préservation génétique.

 
-----Message d'origine-----
De : lmme2010 [mailto:lmme2001@yahoo.fr]
Envoyé : samedi 1 octobre 2005 20:42
À : williamtheaux@gmail.com
Objet : RE: AMoA

sage sage jusqu'a quand je vais mager moi?
je suis en joie parce que j'ai cree un produit a moi pour toits  ; Ta poule c' est Marx qui dit ca , moi je fais le rapproche-ment  AMA  comme bon me semble , voila con sommatrice .
 
 et ce que je te parle moi c'est  mon neuf qui est cette palme d'or sortie des zo sur mon ile .
l'economie c'est pas mon fort da :-) mais bien sur je saisirai bien les fondements  
ici c'est la money et  la gene , personne achetera des eprouvettes , ils sont deja assez eprouves comme ca , et j'ai pas la tete a mettre le ne dehors surtout au semblant de marche
c'est pas le moment que je remette ca
je suis pas sortie de puis
et je sais pourquoi on s'est dispute apres  t'avoir vu tourne autour de ta m 'un
j'ai du etre impossible mais ce qui compte la dedans
c'est qu'on est egaux
 
di
 
 

   quant à l'histoire AMA, encore impressionnant qu'on puisse dissimuler que des deux formes de la valeur, on n'identifie pas le chiffre et le code ; ces sortes de deux Castor & Polux que sont la monnaie et le gène ; car AMA ne veut rien dire sans le consommateur, de produit ou de pouvoir, quelqu'il soit, l'égo' - qui n'a rien du tout de l'œuf qu'on dirait à tort d'or.

   Certes il y a de l'or, pour le moi - si on est sage.
   Sinon c'est sanjoi comme tu constate

   Alors il y a toujours un petit commerce, entre argent et chromosome ; une partie de magie qu'on ne peut faire que si on commence ;

wi




----Message d'origine----
Date: Sat, 1 Oct 2005 19:14:41 +0200 (CEST)
De: lmme2010
Sujet: AMA
A: williamtheaux@gmail.com

 
Dans la circulation A-M-A' au contraire,
marchandise et argent ne fonctionnent l'une et l'autre que comme des formes
différentes de la valeur elle-même, de manière que l'un en est la forme
générale, l'autre la forme particulière, et, pour ainsi dire,
dissimulée(11). La valeur passe constamment d'une forme à l'autre sans se
perdre dans ce mouvement. Si l'on s'arrête soit à l'une soit à l'autre de
ces formes, dans lesquelles elle se manifeste tour à tour, on arrive aux
deux définitions: le capital est argent, le capital est marchandise(12);
mais en fait la valeur se présente ici comme une substance automatique,
douée d'une vie propre qui tout en échangeant ses formes sans cesse, change
aussi de grandeur, et spontanément, en tant que valeur mère, produit une
pousse nouvelle, une plus-value, et finalement s'accroît par sa propre
vertu. En un mot, la valeur semble avoir acquis la pro-priété occulte
d'enfanter de la valeur parce qu'elle est valeur, de faire des petits ou du
moins de pondre des oeufs d'or ."
 

di

 

 

DWT
@20060131151500