Cette vidéo, graphique et d'apparence abstraite, montre
comment la schématique psychanalytique situe et rend compte de la colère
et de sa solution précaire - la sublimation.
On prête à la sublimation des qualités qui dépassent celles de la
colère - effectivement, on peut leur dessiner un petit écart, de part et
d'autre d'un trou (c;fig.07), avant-après, qu'elles bordent ; mais elle se situent
l'une l'autre sur un axe, une ligne d'une, mais d'une seule
dimension (re : la sol-itude / Léo Ferré).
On trouve dans les déchiffrages primordiaux de
l'astronomie, une illustration de ces ontologies par 'saut' - pour ne pas
dire quantique - passant du point à la ligne, au plan, à la
sphère etc... où l'on retrouve le plaisir (la répétition, le
point),
le désir (l'écart, la ligne), la volonté (dimension
supplémentaire). L'analyse du
désir est aboutie dans la schématique lacanienne dont la structure
quadripartite en graphes variés (schéma.L, Modèle Optique, 4 Discours)
trouve une impulsion confirmatoire dans d'actuelles expériences
biophysiques (de la gamme des neurones miroirs, neurones de l'intention,
parole subvocale). Mais 'aboutie', elle a butée - faute du forçage de
l'évidence par l'appareillage que l'on a trouvé plus tard (encore
fiction du temps lacanien). Depuis et à présent, la variation
que l'on peut donner à l'illustration lacanienne permet
d'inscrire un axe, qui de la ligne (du désir) porte un plan
(de la volonté).
schéma.L |
Modèle Optique |
4 Discours |
Inhibition active (Ia) |
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fig.04 |
fig.05 |
fig.06 |
fig.07 |
La verticalité figurée par rapport à la continuité de
fausse rupture que le désir prétend à la virtualité de la réalité
porte le chiffre de la transformation que la volonté imprime à
l'artifice de l'intelligence.
Inhibition active |
Formant |
Analyse Plurielle |
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fig.08 |
fig.09 |
fig.10 |
Cet étagement de l'évolution - dont la réalité
fait l'étalage (Realization;fig.10),
et que le pluriel analytique extrait (Génération du
Code;ibid) - est connue de longue date, connue de l'Hermétisme
dont Fabre d'Olivet a rapporté la linguistique selon les trois étages du
Signifiant, du Cachant et du signifié. L'analyse du désir, ne le
conteste pas, mais l'affirme par son déni - on suivra les démêlées de
Lacan avec ce cachant qu'on nomme aujourd'hui à travers le semblant
(meme/Dawkins et D'un Discours qui ne Serait pas du
Semblant/J.Lacan;séminaire). L'analyse de la volonté ré-affirme
la pré-éminence du triple étage - ou l' "après éminence du
triple ", si' l'on veut dire quelle certitude anticipée
permet à la science de rétablir les principes la vie outre la
signification du désir en la mort (l'âme-hors, virtualité de la
réalité).
Il faut bien qu'on se rende compte un jour, en effet, que la
science, avant que de réintégrer à elle la psychanalyse, n'aura été
que réalisation d'illusion dans une réalité dont on prend aujourd'hui
la mesure de virtuel. Cette orgueilleuse science moderne, à saisir avec
des pincettes (fig.11), entre guerre et religion, est bien la ruine de l'âme que
l'on voit entre colère et commerce. Prise
à son propre piège, en l'espèce de LAPAREIL, son intelligence
artificielle montre quelle mesure prend la volonté.
Orgone |
cachant
== semblant |
inhibition
active |
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fig.11 |
fig.12 |
fig.13 |
C'est la génération
- conservation, préservation, régénération - du Code qui coïncide en
cette manifestation de la volonté ;
et puisqu'elle retrouve Akhnaton à
la source de cet hermétisme retrouvé (Triplex), je l'ai nommée psyBakh . |
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