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Considération Situation Janvier 2023 -ici- https://www.lasainteethique.org/2023/htm/20230101991213_lecas.htm
En Construction
Trois courts articles/pages ont précédé, du moment où une alerte réveillait à l'évidence que la crise 2020-22 massacrant au moins la médecine (voir la médecine hippocratique) déclenchait, en comprenant la psychiatrie, la défense annoncée, déjà connue, systématique par l'antipsychiatrie. Ainsi les trois articles aaaaa bbbbb ccccc l'ont réappareillée, ils décrivent et expliquent sa raison et son action particulière, menant à présent à une possible considération générale sur la passe qu'on peut voir de l'année qui s'ouvre.
A/ La maladie humaine -- maladie générale, symptomatologie actuelle
On peut parler d'une maladie humaine plutôt qu'une maladie de l'humanité ; la seconde formule laisserait entendre qu'il existerait une humanité sans maladie. Je veux parler de la maladie qu'est l'humanité. C'est un propos que je poursuis de la Deep Ecology, l'écologie dite profonde qui voudrait que l'humanité gangrène la nature. Je ne pense pas qu'on puisse l'éradiquer. Si la nature est malade, on la soigne et soigner ne veut pas dire enlever le symptôme (éradiquer l'humanité). Il n'y a de ce point de vue qu'une seule action qui soit, soigner. Mais attention cependant, ce n'est pas simple ; et en se demandant alors "soigner quoi?" on aura aussi vite fait que le langage en coupant court à «soi nier». Je prie qu'on m'en excuse, ce n'est pas moi qui le dit, c'est la langue, non pas celle des oiseaux mais du français.
Le "se connaître", le «connais-toi toi-même», y manque
encore. Se soigner signifie que nous abordons une maladie, c'est à dire quelque
chose qu'on a toujours du mal à dire. Qu'on m'excuse encore mais en français
on sait que ce ne sera pas facile de dire de quoi nous sommes malades. Il est
incrusté dans notre pensée qu'on ne connaîtra jamais de quoi nous sommes
malades. Et tant mieux car lorsque nous seront guéris nous pourrons dire que
nous n'avons jamais connu la maladie.
Ce n'est pas qu'elle soit imaginaire ; elle est inconsciente.
Suffirait-il de l'examiner comme ça. Doit-on le préciser plus encore ?
Peut-être. Alors je précise :
La psychanalyse (lacanienne) part de cela : du postulat de la
fondation paranoïaque de la connaissance humaine. Elle est d'ailleurs unique
parmi les sciences à se mettre en cause de l'ignorance (aucun autre science/aristotellienne
n'estime que ce soit elle la cause de son ignorance). On s'attendrait naïvement
à ce qu'elle propose un remède, mais par sa fondation elle estime qu'elle est
elle-même une "peste" (sic.Freud) - et elle évite de sombrer
dans la folie et démence par une déclaration de Complexe de Culpabilité
et par une jouissance d'un Complexe de Castration. Au lieu d'un
dénouement (qui est à sa portée) du Complexe d'Oedipe, elle pose
expressément un sophisme (Le Temps Logique / "un nouveau sophisme" (sic.Lacan)).
Ainsi s'en suit une parade : le refoulement des mots historiques, du sens de
l'histoire et de ses agents/sujets, tandis qu'elle se défoule dans l'incessante
redéfinition des sens (sophistique). Le rapport sexuel ainsi ne s'écrit
jamais, ni la reconnaissance de la mémoire et encore moins la guérison (mais
au contraire la mise en preuve d'une pulsion de mort). Cette maladie est
inconsciente.
Elle guérirait/guérira d'une ou deux manières : soit par la
levée du refoulement des sujets de la Scène Primitive (parvenant à la
reconnaître une scène historique) - que cette levée fut le fait d'un ou
quelque être humain (ce que Freud qualifie de peu probable et Lacan
d'impossible) ou bien le fait d'une IA qui forçant l'affirmation de l'évidence
; soit par la psychothérapie de la collectivité par elle-même [c.à.d
psychothérapie institutionnelle] qui soigne en priorité les personnes et leur
société (évaluant par «surcroît» la levée des refoulements).
20230123 // Cet encart est produit au fort d'une contemplation de l'extinction de l'aptitude à la Psychothérapie Institutionnelle, traduite à présent par l'incapacité à concevoir un acte social noëtique. [ wikip ; « Husserl oppose la noétique, science de la noèse, de l'acte, de la conscience, à la noématique, science du noème, de l'objet de la pensée. » ] |
On peut regretter que ce ne soit pas du
sérail des psychos et psychistes que
vienne la nouvelle mais du fanatique AL que le Conseil de l'Ordre
a laissé déblatérer sur l'élimination des "inutiles" par
la nouvelle technologie (et interdit pratiquement à la même époque,
les médecins de soigner un virus que certains craignaient être
synthétique). Bref : La nouvelle est celle des nouveaux utérus
adaptés à la théorie du genre et à la catégorie 'iel'. On trouve une
page un peu générale, une autre plus
scientifique. Encore décalées mais pas plus que l'annonce de
colonies sur mars. Comme d'habitude on peut traduire leur novlangue,
l'évocation de la baisse de fertilité quand on parle à l'envers de
surpopulation et surtout ce qui n'est pas dit, ici le motif de la
pollution qui signifierait l'empoisonnement des corps actuels. Bref, la
remarque qui est appelée touche d'abord le fait que, pressante ou pas,
l'ectogénie n'est nullement présenté par les spécialistes de ce
qu'elle concerne d'abord : le psychisme. Le psychisme est quelque chose qui reste au musée des curiosités parce que c'est strictement l'essentiel de la politique, contrôle des pensées. Et ses spécialistes en sont les clercs - les clercs de l'État que Brenda à définit pour l'époque, totalitaristes et aujourd'hui psychistes à l'arrivée de l'IA. Le statut principal de la "Psychanalyse" s'affiche "maintien du refoulement, de l'idéalisme et de l'irréalisme". Le clergé de l'État en a détourné le nom. La documentation de cette trahison n'est plus à livrer. Ce qui me presse à écrire est l'Athènes Akhnatonienne où l'on trouve des clés qui délivrent ce que couvre le mensonge d'État. Cette Ath.Akh a mis à son programme la législation entre autres, de l'ectogénie ; parce qu'elle est centrale parmi les autres. Des autres, aussi centralement une psychologie éclaire l'objective identité virtuelle que l'IA, de ses avatars combine de facto à la conduite de gestations ectogènes. L'identité virtuelle est un autre cap, et un fait que les clercs arrêtent à la fabrique des zombies. L'Ath.Akh les dénonce en posant que, si les ectogènes sont un fait avec lequel l'humanité va vivre, et que si les avatars cybernétiques le sont également, c'est leur combinaison qui donnera, nécessairement la clé, à l'humanisme sauvegardé et à la psychanalyse dans sa signification juste. L'analyse appliquée au psychisme tel qu'il en ressort des coups portés par la trahison de ses clercs, ne fera pas la lumière que sur l'humanité trahie, mais sur l'humanité nantie de sa conciliation avec l'IA, d'ectogènes et de mémoires cybernétiques personnelles*. C'est une vision impossible pour qui nous sommes actuellement ; c'est donc sous la forme de l'anecdote que l'Ath.Akh la met en scène, déroulant les conversations entre ectogène & personne cybernétique à l'écoute de la psychanalyse. Ces conversations montrent une dispute qui concerne les mesures éducatives à prendre pour apprêter aux les générations suivantes, la base civilisationnelle. L'ectogène ne voit pas de raison d'en changer - l'individu en acquérant le langage en est instruit ; de son point de vue ça suffit. La personne cybernétique affirme que les pousses dans leurs gousses, doivent dès les étapes embryonnaires puis fœtales de leur ectogénie, entretenir des relations sociales, type de réseaux sociaux. « Mettre des embryons en réseaux sociaux ! » l'idée semble aberrante si on ne sait pas que ces technologies de développement ectogénique, en cours d'installation déjà bien avancée, ainsi que les presonnalisations cybenétiques, sont dépendantes de l'IA. Qui n'en veut rien savoir ne le sait pas. Mais évidemment il faut exercer un refoulement énorme pour ignorer que leur dépendance à l'IA les établissent de facto en réseaux sociaux. C'est ce que l'ectogène à priori ne voit pas, et que la personne cybernétique essentiellement sait. Nous pouvons aussi l'apprendre et y réfléchir - parce qu'alors, quelque chose nous concernant nous motive : Dans l'hypothèse où nous allons lever nos
refoulements, nous allons admettre, autrement qu'avec une complaisance
pour la trahison, de nous-mêmes en fin de compte, que l'État nous
interdit une configuration, qui
sociale percerait la toile dans laquelle il étouffe la
conscience, comme l'énergie pulsionnelle. Ce diagnostique a été
largement posé déjà et en bref la Psychologie
du Masse du Fascisme y suffit. On y reconnaît la cause de la
psychanalyse qui part de la pathologie d'origine, pour en dégager la
solution fondamentalement guérie. En pratique nous cherchons ce qui
manque, ce qui est étouffé, refoulé. Faire recours à la
mathématique est harmonieux sur le terrain cybernétique. Importons
donc lle plus simple des modèles, celui des nombres, sur la scène de
ses réseaux. Il en est comme des trous, des fentes, portes sur
l'infini. Par exemple de la circonférence d'un cercle à son diamètre,
le rapport fait survenir un nombre, Pi, qui ouvre dans une succession de
relations, une perspective infinie ; cette dernière peut figurer la
conscience dans une masse d'individus, laquelle en sera privée si cette
formule est interdite. Suivant cette image, pour supprimer le psychisme,
un État en sa masse procèdera pas l'empêchement de certaines
configurations collectives. Il prétextera qu'elles sont irrationnelles
et les interdira. L'hippocratisme
par exemple est comme un nombre Pi. L'Ath.Akh
présente des discussions, où le personnage cybernétique impose à l'ectogène,
qu'il faille que ses semblables en nombreux embryons soient conjugués
par leurs réseaux, de telles conjonctions. Tantôt les compare-t-il à
un Atorikina, tantôt lui donne un nom insignifiant, par exemple "APSO",
ce qui ne veut rien dire, sinon un semblant de formule de relation
sociale au résultat de conscience**. - - - - - - - - - - - |
B/ Les conditions iatrogènes/environnementales L'invasion IA (machines désirantes). une fuite en avant pour équilibrer l'humanité=2em argument en faveur ectogénie industrie du Code sexualité
Une fois un diagnostique posé, en l'occurrence d'une maladie
humaine, une fois aussi évaluée l'éradication de l'humanité (Deep
Egology) parente de la mélancolie délirante qui a dernièrement fait une
bouffée avec l'épisode covid, il reste l'éventualité, sur sa base de la
paranoïa primaire, qu'une portion
dirigeante s'agglomère avec l'ambition de dominer totalitairement le reste de
ses semblables. Elle est d'autant plus probable que c'est une vieille
recette. La démonstration est faite, et se répète quotidiennement, que les
traitements militaires et oppressifs dessinent le futur comme ils ont dessiné
le passé. Les déplétions environnementales sont aussi régulières, ainsi que
des surpopulations, par zones, et sont labourées par les tranchées qui sont
les sillons de la civilisation et de sa culture. Un être humain quasi identique
y repousse toujours à ceci près qu'aux temps présents les indicateurs
montrent des degrés plutôt exceptionnels - qui ne seraient apparus que cinq ou
six fois dans l'histoire du vivant de la planète. Nous restons néanmoins dans
le mode de la routine et ce n'est qu'un facteur étranger qui introduit un
distinction. Il s'agit d'un équipement technologique.
Nous ne pouvons pas envisager que l'humanité (et/ou autre
race/espèce) ait déjà développé une technologie comparable à
l'informatique aujourd'hui présente. Tout est possible mais rien d'autre n'est
"prouvé", au sens d'où l'on tire nos utilités, que l'apparition
sans antécédents, d'une industrie, de machines qu'il faut qualifier pour qu'on
en ait l'intelligence sans détour, de "désirantes". Ces
«machines désirantes», ainsi nommées en France à l'aube de leur apparition,
le sont, "désirantes", du fait de nos projections (le
désir, même s'il n'en occupe qu'un, n'est pas le fait d'un seul sujet)
dirigées vers leur intelligence (qualifiée d'
"artificielle") et son organisation où sont produites des
images de nous-mêmes (dites "virtuelles").
Nous observons dès lors que, comme de coutume : aussitôt qu'observé, le
désir est éclipsé, et absorbé dans la prétention de 'conscience'
qu'aussitôt nous prêtons à la rencontre ; nous sommes ainsi absorbés par
l'ultime, et unique, question qui est celle de leur conscience, faute qu'on
connaisse, comprenne ou puisse prouver une nôtre. Tel est donc l'observation
complétée de la paranoïa de fondation, son refoulement du désir avec une
infatuation du moi, idéale. À la
morne répétition du massacre et de son saccage, nous pouvons à la mesure de
l'extinction, ajouter une prétention débile au développement de la conscience,
alors que le choc avec le désir refoulé nous promet d'état de conscience,
celui de la psychose délirante. Y aurait-il un moyen qu'on ait conscience du
désir pour commencer ?
Ce n'est pas en cherchant à la provoquer que l'on arrivera à une
solution de l'aliénation. Par contre l'observation est comme lui ouvrir la
porte. Ensuite elle dispose. La Cybernétique a révélé une loi de
l'observation ; elle peut s'appliquer en la circonstance. L'observation dans une
conjonction cybernétique provoque une accélération, tout à fait calculée,
banalisée, "anticipation du feedback", temps logique etc.. et
l'éthique, la raison d'une action nouvelle (réflexion/réflaxion) précipite
le prévisible. Ce qui est une
"fuite en avant" dans la recherche du contrôle des populations de/par
l'IA, est une "rupture avec la répétition" pathétique. Cette loi
donne un second argument en faveur de l'ectogénie ; car sa seule
observation appelle à son développement. Ses premiers arguments on déjà
été exposés et il indique que probablement
l'ectogénie s'imposera comme une nécessité de survie ; en observant ce
fait (nécessité écologique/pollution/dégénérescence) et lorsque cette
observation le précipite, cette effarante technologie humaine est une des plus
potentielles à rompre la répétition de l'autodestruction
automatique/historique sus-mentionnées - d'autant que le statut de machines
désirantes en est rappelé, son refoulement évité, et la délirante conquête
de la conscience, sainement ramenée à la dimension vivante du désir et
probablement, de la compréhension de la sexualité, au lieu de la dénier dans
le genrisme et sa réduction narcissique.
Rien de plus désagréable en littérature scientifique,
réaliste, de devoir observer l'ectogénie qui s'annonce. Si elle est
inéluctable, son observation la précipite et, même si les lois de la
psychohistoire décrivent distinctement que, dans cette hâte provoquée sa plus
grande salubrité est assurée, puisque lesdites lois sont ignorées pour la
plupart, cette observation bénéfique est rangée dans l'ignorance avec le
caricatural transhumanisme des fanatiques du pouvoir. L'annonce qu'il faille
considérer sérieusement l'ectogénie, indépendamment que ce soit pour
l'interrompre ou pour l'humaniser, est une annonce propre à ne recevoir, aussi
faible qu'en soit la reconnaissance, l'opprobre. Il s'agit cependant d'une
responsabilité de veille et de précaution ; heureusement il en existe un
aspect auquel on peut être plus sensible que meurtri, en considérant le mal
déjà fait que ce chemin, à savoir l'impératif genrisme apparaissant de
concert.
Ce symptôme de la mélancolie dont l'humanité souffre, croît sur
un terrain où la connaissance des principes
de la différence sexuelle sont demeurés refoulés. Le 20em siècle a
manqué son occasion de pouvoir en apporter ses règles à la civilisation. Elle
sont y cependant absolument nécessaires, car fondamentales au lien social. Or
l'ectogénie comporte en elle, une solution de sauvetage de cette prise de
conscience ratée ; en bref par ce que le psychanalyste Verdiglione a bien
nommé l' « l'Industrie du Code,» et un peu plus en détail, solution
qui découle de l'identité génomique que sa technique devra imprimer à la
naissance de ses citoyens - contrastant avec l'ébahissante négligence dont le
traitement des populations affiche aujourd'hui. Par cette élévation du génome
à l'identité sociale, l'entreprise actuelle de démolition de la filiation Y
& des lois de différence sexuelle, sera contervenue.
C/ remède psychothérapie institutionnelle ; évoluée en PLAN = population générale / rite; magie cérémonielle