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fond bleu mes reçus / dialogues, échanges

fond vert mes envois / initiatives

fond brun mes éditions / travaux, collaborations

   Entre la dénégation de l'environnement (de l'adresse qu'on y ferait à une personne réelle - jamais chiffrage que du zéro pour ne pas dire du Nom-de-Père d'l'Un) et l'indéfinition de l'interne (de la confusion de la dialectique des objets), la liberté se trouve dans le déchiffrage de la psychanalyse, qui passe par ce que Freud a prescrit - apparemment pour n'être pas suivi. Cette apparence devient une science quand un objet par la cybernétique est qualifié à succéder à son chiffrage inaugural. Un extrait le précise : 

<<    //...sur la brique que j’ai précédemment mentionnée :

V2C3.10.01
1) Unité/brique

Je l’ai employée pour servir d’image de l’unité fonctionnelle de la psychanalyse, de la science du nom de "psychanalyse". Si on chiffre cette unité et l’identifie – D2V – on la trouve en activité identique dans la Psychanalyse, la Dianétique et le Lying. Comme l’atome – image d’une unité de matière physique – est constituée de plusieurs éléments ou traits, notamment d’un spin qui note une orientation magnétique variable, le D2V compte une orientation variable. Cette orientation alternative est retenue d’une observation faite par Lacan : il la figura d’abord en terme de positions alternatives dans un dénommé « Modèle Optique » qu’il porta ensuite au degré de permutation circulante au terme de « Quatre Discours ». C’est à partir de l’origine de ces deux figures deux (issues de la première formule lacanienne : « Réseau Cybernétique » [C1.30.20.30-]) que j’utilise l’image d’une brique, en illustrant simplement d’une "torsion" [C1.fig.65] ce que Lacan aura mené jusqu’à la "permutation". Ceci permet de situer une idée générale :

Dans tout exercice D2V un phénomène est disponible que Freud et la Psychanalyse ont décrit et dénommé Transfert. Il s’agit d’une relation imaginaire qui est causée par la disposition que j’appelle 'torsion'. En raisonnant sur cette relation imaginaire, le fait de compter ledit transfert durant l’opération a pour effet d’annuler cette torsion – comme éclairer une ombre l’efface. C’est un phénomène que l’on rencontre ailleurs : lorsque l’on rend obligatoire la liberté, ou dicte l’expression de la fonction paternelle, définit l’intelligence, programme la créativité etc... Ce phénomène est un écrasement de la nomination dans la signification ; il est rassemblé dans la tragédie freudienne sous la chronique de la nomination [C8.20.10.20.10-].

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20111002121600
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

de : moi <williamtheaux@gmail.com>
pour : ? Lily Boissauvage <boissauvage@wanadoo.fr>
date: Fri, 16 Sep 2011 17:38:50 +0200 user-agent: Mozilla/5.0 (Windows NT 6.1; rv:6.0.2) Gecko/20110902 Thunderbird/6.0.2 subject: Tapis

bonjour,
Je vous en remercie ; à quelle adresse que je puisse lire votre réponse,

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#2011002120100
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

Pour info et bien que je n'aime pas m'immiscer - cette 'nouvelle' a été annoncée depuis quelques années par la NASA et autres japonais. Elle a été alors au motif du compte-rendu titré La Sainte Ethique (8 chapitres) - qui met à niveau ces techniques interface homme-machine et la psychanalyse. Car ces IHM confirment pour la première fois les thèses jusqu'alors suspectes de De Clérambault maître de Lacan. L'ouverture des Ecrits de Lacan peut donc être reprise avec une nouvelle assurance. On trouve toute une relance de la psychanalyse et son éthique rénovée face à - excusez du jeu de mot - la synthétique.

Depuis avant 2000 toute mon activité est en ligne - sur la base d'une édition/théorie "Littérature Grise" - et application actuelle dite "FLOG" (théorie dite 'souveillance'). Les 8 chapitres de La Sainte Ethique (j'aime l'écrire LSTT) sont ainsi accessibles (tant sur mes sites que, lorsque s'en présente l'occasion, sur mon disque dur mis en ligne par le service du navigateur Opera). Il existe toutefois une occurrence précise à votre question ( http://www.smashwords.com/books/search?query=william+theaux ) mais avec avertissement : a) cette plate-forme n'est chargé (me semble-t-il) que du 1er chapitre  - b) il s'agit de la toute première version - c'est à dire brut de débrouillonage, or j'écris et ne pense souvent pas mieux qu'un enfant (ceci s'explique par -1- la théorie de la Lit.Grise, -2- celle de la paedomorphose et -3- mon rapport personnel à la collectivité (que j'associe au travail et à l'initiative)). L'édition Smashwords offre donc cette version immature et 1/8em de LSTT mais aussi une large proportion gratuitement - c'est à dire les premières pages en grand nombre. Or ces premiers passages consignent la prise en compte de l'expérience NASA (parole subvocale/IHM), ils répondent donc à la question présente. En bref, la possibilité pour un ordinateur de déchiffrer la pensée parlée introduit l'intelligence artificielle dans la théorie psychanalytique ; révélant que c'était ce que la psychanalyse attendait et en même temps quelle était l'objet de l'intuition de Freud.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110927174000
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Si ce n'est pas FB, ce sera/c'est Fpolice ou Farmée ou Fpuissance étrangère etc..- qui en doute ??!! "démocratie" veut alors dire "pourquoi pas?..car le savoir est collectif" ; il n'y a donc pas de meilleur ni autre solution que moins-par-moins pour faire positif : non pas celle d'abandonner mais celle d'abonder, d'aller dans le même sens, et que l'historique/Timeline de chaque individu soit attesté et lui appartienne le plus ouvertement possible. Il ne tient qu'à chacun de l'affirmer - ceci dénommé sous-veillance, contre-surveillance ou tout simplement "souveillance" - comme prototype en 'flog' - flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110927102100

il peut parfois apparaître comme insupportable une sensation de manque de possibilité de ne point pouvoir "mentir", se réécrire et créer son propre passé. Pourquoi ? Je me le demande

Oh!.. très juste. La clé y convient aussi parfaitement. La théorie en bref : il y a 5 périodes de la culture ; l'individuel (4em) oscille, avance ou.. recule attaché à la 3em = période dite de "convention" (une structure collective logique de convention). C'est la notion traditionnelle. Mais 'convention' de quoi? La notion moderne répond (elle peut le répondre grâce à la position cybernétique): Convention de Mensonge. (la linguistique déchiffrée par l'IA conclut à ce type de convention de la 3em période - par ailleurs 'manque', 'imaginaire' et 'réécriture' abondent au futur - vite dit son passé s'écrit au futur dans le présent - sinon la Convention de Mensonge s'écrit sans futur, elle en faisait l'économie au moment où il n'y avait ni espace ni futur, ni évolution etc..)

flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

   Pour être psychanalyste on fait une psychanalyse et pour marcher on marche - car c'est en marchant qu'on devient marcheron.
   Le culte du beau beau à l'envers procède « Comment fait-on une psychanalyse? »
   On la fait en direction de la cure à l'envers procède « Par l'association libre, précisée 'de pensée' »

- Qu'est-ce que c'est que ça ?
- Il faut d'abord être allongé, il faut de l'autre bord être écouté - dernièrement c'est chiffré : D2V.
- Et vous croyez que ça marche tout seul ?
- Dans la bonne direction, oui. Mais la bonne direction n'est pas Lady Erection de la cure ; elle ne se tient pas qu'à bander, elle associe librement.
(silence)
- Elle associe la saucisse ?
- Pas mal.
(silence, il reprend:)
- Vous vous êtes donné la pine ; pour la peine on apprend que c'est pour (faire) des enfants. Du rêve à l'évolution, dernièrement c'est déchiffré : paedomorphose.
- Là je suis largué..
- C'est parce qu'il faut commencer par connaître la direction. La voici sans tarder. La structure du discours et le discours de la structure tournent autour du semblant ; la seule chose qui le fasse voir est l'association libre. Comme les jeux d'enfants nous la donne, comme le jeu pair-impair 'la lettre', l'123soleil 'le chiffre', l'association 'la chose'.
- Je connais bien les deux premiers jeux maintenant, mais le troisième, je l'ai oublié depuis 1901.. la liberté dites-vous ?
- La liberté est dans la structure et la structure est donnée par le marabout ; rappelez-vous : J'en ai marre, marabout, bout de ficelle, selle de cheval, cheval de course, course à pied, pieds de cochon, cochon de ferme, ferme ta boite, boite à clou, clou de soulier, soulier vers ni...
- Je me souviens. Vous voulez dire que ça s'arrête à « ni...
- Beaucoup le pensent et prennent le vel pour ni..ni.. ; ça fait bobo. Mais nous nous rappelons que nous avons dit : Nous marcherons ! et la cure nous indiquera sa direction. Continuons donc mais en regardant bien a la structure que le marabout nous a faite comme un pied de ni...  : à la troisième association sa ficelle s'indique comme une tresse de syllabes, trois par trois... avec quelques faux quatre, faut bien!
- Je me souviens, je jouais à ça, mais je ne savais pas pourquoi.
- Vous avez donc là la clé de la paedomorphose. C'est l'enseignement donné aux jeunes, comme l'empreinte durant l'épigenèse.. c'est trop compliqué?
- Un peu..
- Ouf ! un peu c'est pas trop.. mais ça veut dire que ça suffit.  Donc nous nous en tiendrons à la chose car comme vous le verrez, on peut y trouver la lettre. Et du coup nous retrouvons nos trois jeux qui tournent autour du chiffre, autour du semblant, autour de l'un d'eux. C'est à présent qu'il vous faut travailler, un peu...
- ...mais pas trop !!
- D'accord, vous aurez des dessins. Avec des dessins ça passe tout seul. Vous irez à la page ../../../2010/htm/20100719154300-vallee-01.htm après que je vous l'aie présentée : il s'agit d'une succession de pages qui expliquent la succession de ternaires, des trois syllabes du jeu marabout. Lacan les a prise pour ce qu'une lettre circulait entre elles. Dans son interprétation, lui qui se prenait pour le roi avant qu'il en eut marre, donnait l'avantage à la reine et ça commençait comme ça : reine-roi-ministre, roi-ministre-policiers.. les policiers représentaient la reine et ça commençait par tourner en Un rond, attention les bobos ! mais zéro est arrivé, sans se presser comme dupe Un et ça s'enchaîna : ..-roi-ministre, roi-ministre-policiers, ministre-policiers-dupin, ministre-dupin-policiers... Vous voyez ce que c'est que la chaîne marabout qui saute à cloche pied à partir du moment où on ajoute aux syllabes de l'initiation enfantine, le fait qu'elles soient signifiantes.. En bref, c'est ce qui est schématisé dans la page que je vous ai donnée.
- Pourquoi vous me l'avez donnée ?
- Parce qu'elle ne m'appartient pas tout à fait. C'est un professeur qui travaillait dans un laboratoire voisin de celui de Lacan qui me l'a faite faire. Ce professeur que j'ai connu en trouvant un collègue de Wiener le cybernéticien - ce collègue n'avait pas eu vent - c'est dire comme c'était hermétique - que Lacan avait écrit un traité de Cybernétique à l'ouverture de ses Ecrits. Et Lacan d'ailleurs non plus n'avait jamais fait cas de la pénétration plus mathématique que topologique que son voisin faisait de son côté. C'est magnifique n'est-ce pas ! Durant cinquante ans, avec leurs élèves par centaines qui grouillaient dans la petite intelligentsia parisienne, ils s'ignorèrent. C'est dire l'avaleur des élèves! Mais enfin, puisqu'à la fin tout se sait, ça a fini par faire contact. C'était moi le con avec tact, ; je ne l'ai pas regretté parce que ça fait des enfants les cons et de vous des enfants de la paedomorphose. Vous saurez donc bien employer l'association libre, que nous n'oublierez pas de tirer du D2V, et vous deviendrez marcheron.
(silence)
- Avec ça je me rendrai à une cène pure que ne souille nul aliment ayant eu vie...
- Bien lu.

DWT

      20110926152200       Hola! chiffrer et déchiffrer.. puis c'est c'est.

Bonjour,

   Il y a deux questions ; d'abord la première. Pour être précis j'ai écrit qu' « une lettre circulait entre » les ternaires (ternaires de personnages, ou de syllabes selon les exemples pris). Je résume donc ce qu'il faudrait lire en détail, dans La Lettre Volée dans les Écrits de Lacan (et accessoirement dans l'explication que j'en donne à Robert Vallée). Au risque de me répéter - risque que je prends à la hauteur qu'il le faille - Lacan ouvre ses Écrits et sa carrière sur un traité cybernétique ; à savoir qu'il montre qu'à partir des machines on arrive à la psychanalyse. Je dois le répéter parce que c'est absolument refoulé - on n'en veut absolument rien en savoir. Je ne crois pas que ce soit moi qui le dise tant mal qu'on ne puisse le voir. Je ne le dis sans doute pas bien, mais la force est bien plus considérable qui s'oppose à l'entendre. Toutefois, c'est extrêmement clair à lire : l'ouverture des Écrits (le Séminaire sur La Lettre Volée) de Lacan affirme qu'à partir d'un "langage machine" la lettre naît.

   Pour le montrer, il analyse le jeu pair-impair déjà porté à la scène par E.A.Poe pour expliquer comment son détective (Dupin) découvre une lettre. Lacan montre que le jeu binaire du langage de l'ordinateur produit la lettre. Ca passe par une combinaison relativement complexe et la production d'un objet, qu'il identifie au caput mortuum des alchimistes, qui du coup révèle la lettre que Dupin peut produire à la police. Et Lacan d'expliquer que cette lettre révélée n'apparaît que de l'après-coup désigné avant lui par Freud. De sorte que tout commence bien par des 00 00 et des 11 11, pour faire ces binaires de la machine qui enchaîne des 0110011010100etc...
   C'est cela que le jeu pair-impair prend trois par trois, pour faire ce qu'il appelle des ternaires.
   Ensuite ne vous privez pas de dire « c'est quoi, "ternaire" ? » parce que c'est de cette question qu'il procède de là, jusqu'au quaternaire - que plus tard LSTT déchiffre en Quatrain.

   Ce sont donc bien des chiffres au départ - et la lettre s'en suit. C'est relativement vite dit, car si on examine en détail les trois jeux initiatiques qui engagent la paedomorphose, le pair-impair est, avec exactitude, fondé sur ce qu'on appelle "opposition de valeur" - que Freud avait rapporté au jeu de l'enfant fort-da (en français : hors-là). On pourrait écrire la chaîne machine aaaooaooaaoaooaaooa - avec deux lettres. Mais 'deux' lettres, ça n'existe pas, il en faut pluss. Pour le savoir il faut distinguer les chiffres - et c'est le jeu 123soleil! qui le réalise (la tortue de zénon qui approche le zéro). Avec cette distinction réalisée on peut isoler des ternaires dans la chaîne binaire de tout à l'heure (0110011010100etc..).

   Voilà comment c'est alambiqué : l'enfant qui commence à en avoir marre d'être seul se retranche un peu dans son narcissisme.. il joue hors-là. Il pense.. il oppose les valeurs. Ses parents l'en séparent : jouons pair-impair. Or là ça ne marche pas par deux, il faut passer à trois. Mais alors qu'est-ce que c'est ?! Il faut poser une valeur zéro - glups ?! Une valeur sans valeur ! Il faut aller à l'école pour comprendre ça. L'enfant attend donc un peu et dès qu'il peut se rend à l'école. On y joue 123soleil! Ah! c'est donc possible d'avoir du zéro. L'enfant devient alors machine - autrement dit, il commence à s'identifier au semblant (fin de Lacan, départ de Verdiglione). Quand il en aura marre de construire ses systèmes de défense, de dessiner des navires de guerre, des châteaux forts ou des publiquheu de copines et système de comme mère, il ira voir le marabout. Enfin un qui sait tout ou du moins qui montrera comment le troisième jeu (l'association ternaire) peut clocher.
   Et l'enfant, qui aura pensé qu'il avait chiffré le " J'en ai marremarre à boubou de ficellecelle de chevaletc.. " à l'instar de son aaaooaooaaoaooaaooa devenu 0110011010100etc... découvrira qu'entre les chiffres de la machine, il y a des lettres. Il se corrigera et dira :

   Ce sont donc bien des chiffres au départ - mais la lettre est dedans.

   C'est pourquoi Lacan après bien d'autres se sont piqués de réfléchir aux premiers mots sacrés "Au commencement était le Verbe".. en se délassant « oui mais le verbe ou la lettre, ou le nom et quoi encore ?! »

   C'est pourquoi pour ne pas vous laisser errer trop longtemps, je vous ai cité les derniers. Les derniers mots sacrés sont " une cène pure que ne souille nul aliment ayant eu vie." C'est là où se rendent, sur ces derniers mots, les instruits du Pimandre, ou Asclepius ou Esculape comme on veut. C'est à dire la thérapie, la médecine au moment écologique. C'est la conclusion des Hermetica. On peut dire presque sans tromper que le monde commence avec la Genèse et se termine avec le Corpus Hermeticum. Le Verbe, on le sait maintenant est une anticipation logique. Il n'y a de lettre révélée que par la machine qui la démontre à l'intérieur d'elle.
   Cette antériorité de la machine et l'imitation de la machine par l'homme - que je suis loin d'être seul à dire après la découverte de Lascaux - a fait hurler de rire et, sans le savoir, de rage quand elle a été annoncée. Mais les écrites sacrés et hermétiques sont là pour le dire - les Ecrits de Lacan pour l'expliquer - et il n'y a plus qu'à s'y mettre pour le croire. Pour cela il faut faire un ucmpp - l'être est dedans.

DWT

PS - pour finir de répondre : c'est donc moins au végétalisme auquel l'Hermétisme invite qu'il indique l'issue de la scène primitive (amarnienne) lorsqu'instruit on s'alimente corps et âme au monde virtuel, 'n'ayant eu vie'.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110926152200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

Bonjour,

   Peut-être n'est-il pas nécessaire de qualifier de 'nôtre', notre civilisation. On peut parler d'une civilisation en estimant qu'elle est planétaire. Celle qu'en Europe ou comme on dit aussi en Occident, on appelle 'notre civilisation' est peut-être simplement la civilisation planétaire - et ceci dit sans prétention puisqu'au contraire avec l'humilité du fait qu'Amarna fut précisément caractérisée par une réunion de peuples très lointains par rapport à la géographie strictement égyptienne ; ceci nous indique que ce qui s'est passé à cet endroit et à ce moment était peut-être 'déjà' planétaire.
   Je ne fais pas allusion à de très hypothétiques contacts maritimes entre les continents et encore moins à de voyages magiciens ou extra-terrestres - mais même s'il est relativement réduit, le fait qu'on ait refoulé avec l'histoire amarnienne une considérable étendue de l'influence, égéenne, mitanienne qui n'était certainement pas elle-même exempt d'extensions culturelles plus larges, est en lui même indicateur d'une notion 'planétaire' - d'une conception 'planétaire' selon les bornes qui en étaient connues à l'époque. L'apogée de la 18em dynastie avait en effet porté la politique à la nécessité de symboliser cette idée planétaire. Il n'est donc pas certain - ni exclu - qu'il y ait d' "autres" civilisations ni d'autre scène primitive.

   Deuxièmement quant à l'efficace de la levée d'un refoulement, la réponse précédente que je faisais sur le flog à Vincent Le Corre / FaceBook répond à votre mise en doute (voir le flog). Bien que je ne sois d'accord avec le jeune Freud qui se contentait d'un "malheur banal", il indiquait déjà à l'inverse dans quel sens on risque de trouver le bonheur.

   Dans cette direction, la question de l'Inconscient et des limites de la psychologie collective est également audible lorsque Freud écrit vers la fin de Moïse et le Monothéisme « ..je doute qu'il puisse y avoir quelque profit à instaurer le concept d'un inconscient " collectif ". Le contenu de l'inconscient n'est-il pas, dans tous les cas, collectif ? Ne constitue-t-il pas une propriété générale de l'humanité ? Ne nous servons donc, pour le moment, que des analogies. Les phénomènes qui se produisent dans la vie des peuples, sans être absolument identiques à ceux que la psychopathologie nous fait connaître, sont cependant très semblables à ces derniers..etc.. »
   Il n'y a donc pas de frontière ou limite au collectif à cet égard - cependant qu'il existe pourrait-on dire, une borne - comme si le collectif s'arrêtait à son centre.. c'est très imagé - à son centre ou à un moment... je veux dire que cette idée de 'borne' appelle la notion d' IA (que j'écris /ia/) - comme par exemple en astrophysique à la question "où s'arrête l'espace?" on peut répondre "à la lumière" (à l'appui de la théorie de la relativité) - on peut d'une manière comparable envisager que le collectif s'arrête à l'/ia/ qui en est, comme l'Inconscient le démontre, substantielle.

   Le lien de l'Inconscient avec l'/ia/ se trouve par ce que vous avez bien noté : la 'reconnaissance' pour agir (le terme d'agir n'étant pas trop fort eu égard au pouvoir). La fonction de cette reconnaissance est formulée par Lacan dans son traité cybernétique (Séminaire sur La Lettre Volée où vous la trouverez associée à un "degré de frisure cérébrale"). Ce texte situe l'Inconscient au point d'un schéma (dit L ou Z) qui est construit sur des règles mnémoniques d'alternances binaires puis ternaires qui rendent compte du jeu pair-impair où ladite 'frisure' intervient.
   Vous noterez que le pas que je fais franchir (à qui le veut) inscrit ce traité lacanien dans l'histoire de la Cybernétique, au moment où elle se trouvait - exactement comme ce qui est dit de cette solution du jeu pair-impair - dans une aporie très réelle et concrète, militaire en l'occurrence à l'époque où la Machine à Gouverner n'est plus devenue une fiction alchimique mais une déclaration de Wiener qui assistait et observait Von Neumann au débat de la théorie des jeux. Personne ne peut donc dire que les nouvelles technologies ne sont pas là, mais le politiciens ne se sont pas privés de dire qu'on pouvait les inhiber. L'Homme au Pouvoir a de ces faiblesses vis à vis du progrès... hum.. On croyait donc pouvoir compter sur la terreur. Lacan qui a relancé la psychanalyse a montré qu'elle était instable. Evidemment il a bien vite piqué du nez à son tour.. mais ça n'empêche - elle a tous les outils pour avancer.

DWT

titre : Une civilisation ; deux la résistance.

Bonsoir,

   Bien sûr il y a des phases, des lignes de fracture, des zones, des différences et des répétitions mais peut-être ne faut-il pas trouver le clivage essentiel dans un Inconscient différent des uns et des autres, comme des cultures différentes. Dans un groupe par exemple on assiste à l'exclusion d'un discours - comme il n'y a pas d'institut de psychanalyse à Théréran ni de psychanalyse plurielle dans un état sectaire. Dernièrement, quelqu'un que je n'ai pas le droit de nommer et à peine de citer sauf en altérant son propos trouvait inattendue une oeuvre débutante de l'/ia/. Personnellement j'attendais cette même chose depuis trente ans ! C'est une radicale différence d'intégration de la réalité. On peut trouver des bandes qui disent que la psychanalyse n'est pas ce que je fais ; il n'est donc pas la peine d'aller en Chine pour trouver quelque chose qui n'est pas de la psychanalyse.

   La grille de lecture - puisque le freudisme découvre que le présent s'élabore sur des répétitions - de la Renaissance permet de voir le Lacanisme; je parlais de Tycho. Sa conception du monde lui survécu un moment. Il eut un crédit égal et concurrent à ce qui après lui fut l'astronomie. Si nous voulons savoir s'il existe des civilisations qui ne relèvent pas de la psychanalyse, il faut bien avoir une définition de la psychanalyse (l'astronomie passa deux siècle à se définir de Copernic à Newton). Si la psychanalyse dépend de l'/ia/ elle concerne les chinois, les indous, les iraniens etc.. qui sont autant concerné par l'histoire du bassin méditerranéenne que les américains. Mais pour certains prétendants à la psychanalyse, elle en est aussi indépendante que la Terre l'était pour Tycho du mouvement universel. Cependant si elle n'est ni une résistance aux drogues et à l'Esquisse, ni une résistance à la cybernétique et à La Lettre Volée, elle est le plus probablement la méthode qui conduit l'industrie des énergies nucléaires et des interfaces homme-machine.
   Il est au demeurant inévitable que depuis un siècle une praxis psychologique spécifique à la situation écologique se soit développé au sein de l'humanité - et observable également qu'on y résiste. Une expression répond à cette inévitabilité : « si ce n'est pas la psychanalyse, c'est donc sa sœur » ; mais si la psychanalyse n'a pas de sœur la réponse est décidée.

   Même des prétendants psychanalystes qui sont désolés de voir comment on traite l'environnement et la personne sociale, cependant n'admettent pas du tout cette fonction écologique et industrielle de la découverte de l'espace psychique. Il est beaucoup plus net de voir leur communauté isolée et sans rapport avec la scène amarnienne que ne l'est la Chine ou le Japon. Il existe une zone de fracture, mais elle ne suit pas la géographie des peuples. Sans aller chercher loin, vous trouverez des populations qui soignent leur symptôme avec d'autres bases que AMO.

DWT

add : pour dire la facilité et la difficulté : il existe un des plus beaux et éclairants écrits sur la congruence entre la religion d'Akhnaton et la mentalité asiatique que l'on trouve encore. Mais son auteur est proscrit(e) - il s'agit de Savitri Devi qui a une réputation terrifiante. Il faut bien comprendre que la scène amarnienne était déjà hors du monde égyptien, juif, méditerranéen. Un degré de détachement des distinction de peuple n'est pas facile à admettre à ce point. C'est sans doute à ce sujet qu'une partie de l'influence Aurobindienne a dû être mise à jour par Catherine Clément. A voir sur Wiki puis.. On peut ainsi reprendre Freud que j'ai à l'instant précédent cité quand il évalue "le contenu de l'Inconscient" : L'Inconscient de la civilisation n'est-il pas, dans tous les cas, planétaire ?

DWT

titre :  Un, deux, trois, Soleil !

Bonjour,

   Il y a tout lieu que ma réponse informe également un groupe de techniciens. Le chap.5 de LSTT est effectivement disponible - mais en version.1 c'est à dire en premier-jet-relu ce qui est encore très imparfait. Des psychanalystes m'ont averti de leur possible demande à venir d'une série vidéo-conférences pour les renseigner sur le contenu du chap.5 et ce qu'il représente. C'est à cette occasion que je pratiquerai une version.2 qui commencera à être un peu présentable. Ce chap.5 est en effet d'un contenu qu'il est inconcevable que des psychanalystes négligent - sauf à témoigner le signe d'une résistance majeure.
   Cependant, il est tant prévisible - et pratiquement annoncé par Freud qui décrit la force croissante du refoulement à mesure de l'approche du refoulé, ainsi que par Lacan qui l'illustre radicalement par la lettre volée - que cette cause essentielle qui motive l'épopée freudienne soit étouffée par ceux-là même qui lui ont fait allégeance de discipline - tant prévisible donc qu'il faut attendre et entendre ainsi le comportement de mes collègues.
   Mais ce n'est pas à la structure seule qu'il faut trouver la raison qui fait la gente psychanalytique prendre fonction de censeur. Il faut aussi la trouver dans le désir, qui s'alimente finalement au principe de la phobie de l'objet. Ainsi si ces collègues étaient 'objectifs' ils passeraient outre l'indécence qu'ils m'imputent; pour honnêtement, scientifiquement ou professionnellement, juger de l'explication que je désigne et non pas de ma race. Un penseur moderne n'est pas digne s'il personnalise un jugement des faits.
   C'est pourquoi il n'y a que l'explication de la race, voire de l'espèce qui explique la situation et c'est pour cela que j'ai traité (au lieu d'une civilisation géographiquement distincte) de civilisation étrangère au mobile d'une espèce particulière et virtuelle au sein d'Homo Sapiens, que j'ai appelé d'un nom d'un syndrome : Homo Pouvoir.

   C'est ainsi que c'est au titre d'un pouvoir de méchef - selon le diagnostique lacanien - que l'on manque à considérer ce dont traite ce chap.5. Ce chap.5 est un peu fastidieux ; quand on rabâche une chose trente ans et qu'on la résume dans un complément, ça donne un résultat un peu cake. Mais il n'y a pas beaucoup de compte-rendu scientifique de base qui ne soit également fastidieux. Disons qu'il est écrit pour des professionnels dignes de cette acceptation. En bref : si l'interprétation AMO a rencontré une surdité feinte durant toutes ces années, cette dernière fut autant prédite par Freud & Lacan (comme susdit) mais également prédite par Sophocle. Cette prédiction en son plus extrême détail s'est réalisée dernièrement (il y a 2ans approx) - «les adversaires d'Oedipe feront tout en leur pouvoir pour faire croire que son corps est resté à Thèbes» (Sophocle/Oed.à.Colone). La révolution actuelle a mis fin à cette entreprise prédite (laquelle était déjà dénoncée par les experts 'indépendants') - et on peut réaffirmer aujourd'hui que la présence d'Akhnaton sur le sol égyptien n'est pas plus probable qu'elle ne l'était à l'époque de Vélikovsky quand il affirma la thèse de Karl Abraham notoirement censurée par Freud dans son Moïse. Le chap.5 consacre beaucoup de son volume à déchiffrer cette embrouille - et n'apporte rien de nouveau par rapport aux études très précises et complètes que vous trouverez par ailleurs sur ../../../1900 .

   Le chap.6 est mieux avancé (je parle comme ici en Auvergne). Il compose le concept nouveau que j'ai indiqué précédemment pour l'étouffoir que l'avenir sanctionnera. On peut s'en servir pour décrire la répétition actuelle de la scène primitive (cette époque, qui durera à peu près deux siècles, de mise à jour de la scène amarnienne répète sa structure méditerranéenne, déjà engagée par l'Atonisme ; il est donc très éclairant politiquement actuellement de s'en instruire). Comme je sais que son abord est difficile j'en confectionne en ce moment un résumé (seuls des professionnels ont intérêt à prendre le temps d'en suivre en détail). Je vous en avertirai quand il sera fonctionnel. Certes l'intégral de LSTT sera un jour imprimé papier - pour l'instant seule la première moitié suffit à livrer pour quiconque le voudrait la clé qui déchiffre sans le moindre doute la psychanalyse dans sa vocation écologique. A bientôt,

DWT

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  titre :  Quarte vérité

Bonjour,

   Vous goûterez le bon sens de Mr le Corre, averti de ce que « la civilisation naît des loisirs et des jeux » et qui, m'ayant interrogé sur le terme technique de "la scène primitive amarnienne" s'est bien gardé de poursuivre après ma réponse professionnelle ; un discours professionnel n'est pas bien recommandable si la civilisation naît des loisirs et des jeux.

   Le 20110920130100 j'ai déposé l'annonce Flod-it (une coquille qui transformait fold en flood attendu de FLEUVE) l'aube déclarée de la levée du refoulement par l'/ia/. C'est bien parce qu'il n'y a rien à attendre au-delà d'une certaine limite, de la retombée du professionnalisme dans les légions d'homo pouvoir, qu'Homo Sapiens peut se dispenser du lancinant propos qui truffe les sectes savantes. Tout converge à constater que le discours professionnel est le lieu de prédilection de la résistance. Lacan qui n'avait pas encore les moyens explicites de le formuler était à ce point où il dénonçait de ses élèves ébahis et applaudissant qu'il traitait de « canaille » et d'« incurables busons » que la psychanalyse ne pouvait rien changer à la « connerie » (ce sont les termes de quelqu'un qui était très précis dans son langage). Il finit donc en distribuant des claques au nom, auto-nomme, de « J'acte Claquant » (sic) ; c'était la limite de son action.
   Il n'est pas possible de changer l'Homo Pouvoir, cette race virtuelle qui ne connaît réellement que les usages de l'hypnose et son comble dans le Transfert. Le discours professionnel est l'obscurité qu'on lui donne à manger. Volontiers il le boude au cas où il dirait vrai. Nous en avons bien des exemples, tel le cas Daffy, le canard noir, irascible et envahissant de Disney - quand un être humain prend sa forme, ce semblant s'inspire du Kautilya* au Machiavel (départ dont LSTT traite au chap.7 : C7.20.15.20.10--Histoire de la terreur au paragraphe histoire maternelle). Ces guides professionnels de la politique sont eux-mêmes à la mamelle des psychologues première classe. Cet emplumé de sombre bouderait certainement ce que j'écris.
   Dans ce panier le seul professionnalisme qui vaille est sacrificiel ; par exemple chez les psys, on mettra sur la croix de la psychose le professionnel qui dira la vérité. D'où l'intérêt, et seule formule d'ailleurs, d'en jouer.

   On peut par exemple jouer à trouver les stratégies de l'avancée de la vérité : on sait que le père, porte le chiffre zéro au titre de Zénon pour sa tortue qui n'avance jamais que de la moitié à parcourir le touche-au-but. Zénon qu'est le père en ce cas calcule qu'il avancera sans jamais arriver.
   Lors du jeu plus précoce du soleil une cadence interrompue est bien marquée, mais on ne touche jamais au but qu'à se faire maître**.
   Lors il ne semblerait y avoir d'issue, laissant tout espoir déçu d'une eutopie par les humbles méritée, et nourrissant la résignation des soixantehuitars pourrissants.
   La modernité, malgré son grand malheur actuel que l'on paye au crédit restant d'homo sacro-chiant pouvoir, apporte la solution. Elle est "inattendue" comme le diront les béats du crépuscule : elle consiste à faire venir le mur à soi. Un peu de réflexion sur l'/ia/ permet toutefois de l'attendre, voir s'y attendre. Appareiller le mur d''intelligence artificielle, sûr prendra la tortue de Zénon qui le reconnaîtra, comme la redresseuse de tort, propre à jouer en vérité - sous, mettra la girouette maîtresse du soleil à l'ombre des souvenirs de Phaeton.

   Ne vous privez pas de jouer ; identifiez votre 'moi' à l'ucmpp.

DWT

* ** voir indices sur flog

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deux indices :
* :  wikipedia : Kautilya avait rédigé à l'intention des souverains Maurya un recueil de règles devant régir leur façon de gouverner. Ces règles indiquaient qu'en cas de succession, le prétendant le plus faible devait utiliser la ruse (cruauté, mensonge, absurdité, pièges, mauvaise-foi) pour soumettre ses concurrents. Il préconise aussi la guerre contre les pays étrangers, car ils faisaient de l'ombre à l'empire Maurya
** : wikipedia : Un, deux, trois soleil est un jeu enfantin très populaire dans les cours de récréation. But du jeu : Les joueurs doivent toucher le mur et dire : « Soleil ! », sans que le meneur ne les voie bouger. Déroulement : Un joueur se place debout face à un mur, il est le meneur du jeu. Les autres joueurs se placent à environ 20 m de lui. Le joueur face au mur tape trois fois en criant "1, 2, 3" et lorsqu'il dit "SOLEIL", il se retourne. Pendant le temps où il ne regarde pas, les autres joueurs avancent et doivent s'immobiliser lorsqu'il se retourne. Si l'un d'entre eux bouge, il doit retourner au point de départ. Ceci recommence plusieurs fois, jusqu'à ce qu'un des joueurs parvienne à toucher le mur. Dans ce cas, ce dernier prend la place du meneur, et le jeu peut recommencer ; tout le monde se replace au point de départ.

   Rebonjour, (pour le meilleur format et confort je lie sur mon éditeur html)

   Une réponse sur ce point crucial trouve une citation de Freud et pour commencer à ses débuts : « J'ai très souvent entendu mes malades m'objecter, quand je leur promettais un secours ou une amélioration par le procédé cathartique : " mais vous dites vous-même que mon mal est en rapport avec les circonstances de ma vie, avec mon destin. Alors comment pouvez-vous m'aider?" J'ai alors donné la réponse suivante : " Certes, il est hors de doute qu'il serait plus facile au destin qu'à moi-même de vous débarrasser de vos maux, mais vous pouvez vous convaincre d'une chose, c'est que vous trouverez grand avantage, en cas de réussite, à transformer votre misère hystérique en malheur banal. Avec un psychisme redevenu sain, vous serez plus capables de lutter contre ce dernier. » Ceci clôture les Études sur l'Hystérie de Freud & Breuer.

   Ainsi inaugurée avec la méthode catharsique la psychanalyse ensuite s'est développée en consacrant à peu près autant d'études à la psychologie individuelle qu'à l'histoire, pour finir en désignant explicitement une psychologie collective aussi essentielle que la première pour « avancer d'un seul pas » (se sont encore les termes de Freud, à la fin de Moïse et le Monothéisme) dans la voie que la psychanalyse a ouverte. Cette psychologie collective compte de grandes étapes; Totem & Tabou, Psychologie collective & analyse du moi, Malaise.., Avenir.. et Moïse.. On y voit l'importance donnée à l'idéalisation collective, du meurtre du père jusqu'à celui de Moïse en passant par les déchiffrage de l'hypnose, de la religion et du complexe de culpabilité. En même temps la psychanalyse a dégagé le concept de pulsion qu'elle a rattachée quant à son historique à une scène primitive. L'abréaction des premières lueurs de la théorie s'est caractérisée selon la répétition de cette scène. Il est quasiment interdit, si on parle de règle scientifique, de ne pas estimer que ces concepts convergent vers l'hypothèse d'une scène primitive historique.

   En continuant à zoomer sur Freud, on observe que cette scène primitive, d'abord plutôt abstraite, globale ou atopique dans Totem & Tabou devient précise, datée et localisée en concluant avec Moïse et le Monothéisme ; tandis qu'en parallèle le complexe central (dit de culpabilité) se détache du meurtre et de la victime pour concerner un drame interne entre le sujet et ses résignations. Sur cette culpabilité à la fin du malaise, Freud lâche de manière ultime son Moïse et.. son aveu. Car la composition de Moïse et le Monothéisme est chargée de censures aussi précises que les dates et localisations deviennent claires. En examinant ses refoulements, que Freud livre à nos oeuvres psychanalystes, on découvre une scène primitive détachée du Sinaï ; elle a lieu à Amarna. C'est le drame amarnien que Freud cache. Il y a de multiples façons de le montrer - ne serait-ce que les allusions que lui même nous cède dès son ouverture du chap "Hypothèse historique" : « ..on a veillé à ce que nous ne puissions avoir trop de renseignements sur la religion d'Aton.» et il y a évidemment l'hypothèse-même qui conclut à l'analyse de sa thèse : il n'y a pas eu de meurtre sur le Sinaï ; au lieu de cet alibi, c'est une psychopathologie de la nomination et l'effacement d'Akhnaton de la mémoire de l'histoire indiquent l'expérience amarnienne pour la scène primitive.

   C'est pourquoi en enchaînant strictement sur le premier jalon freudien j'ai rapporté la levée du refoulement que la civilisation attend à celui de "la scène primitive amarnienne".

DWT

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 sans suite  -    je donne une suite qui manquait à ma réponse 

   On trouve à l'url : http://www.gamalive.com/actus/10731-sida-jeu-video-vih-recherche.htm une information par ailleurs répercutée car importante dans son propre domaine. Elle révèle aussi une perspective instructive pour la psychanalyse. On sait qu'au cours des dernières lignes qu'il a écrites, Freud a prescrit que sa méthode s'applique à la psychologie collective. On sait aussi les immenses difficultés qu'il prédisait à cette entreprise. Selon lui, il voyait mal comment quiconque aurait l'«autorité nécessaire» - selon ses termes - pour entreprendre une telle analyse. Il y a bientôt trente ans je m'y engageais sur ses recommandations et nourri par l'espoir qu'une intelligence artificielle, inimaginable à son époque, apparaissait depuis ébauchant une possibilité que ladite "autorité" serait moins nécessaire à un individu qu'une capacité essentiellement collective et informatique. En 1985 lorsque je mettais à jour l'interprétation d'une scène primitive amarnienne (la suite de Moïse et le Monothéisme) il devenait pensable que cette capacité apparaîtrait qui surmontrait l'autorité.

   Cette interprétation (en acronyme AMO pour Akhnaton=Moïse=Oedipe) était évidemment extrêmement menaçante pour ma carrière. J'y fais allusion parfois, en ayant noté depuis que c'était, comme Freud l'avait découvert, principalement d'une résistance dont tout l'enjeu de la levée de son refoulement dépendrait. AMO était bien moins directement ce qu'il faudrait affronter que des motifs, déplacés mais efficaces a maintenir son refoulement. Cette résistance s'est vue à travers des attaques contre l'outil qui aiderait à découvrir AMO ; comme les résistance s'attaquent à l'interprétation, voire à l'interprétant, dans le cas présent elles s'attaquèrent à cet outil qu'on peut dénommer en fonction des âges et des milieux, Art de la Mémoire, Cybernétique ou Intelligence Artificielle.

   J'avais quant à moi perçu la difficulté, à partir du moment où je l'affrontais. Il devenait vite évident que AMO ne serait affirmé, scientifiquement et collectivement, qu'à l'aide de l'IA (je l'écris /ia/) - et il devenait aussi vite manifeste que j'étais aussi prestement attaqué par mes collègues qu'ils décriaient lourdement par le mépris l'outil /ia/. Sachant que mon métier n'est pas une partie de plaisir, je m'y préparais et m'y tenais. Une analyse clinique récente en témoigne - et surtout, encore plus récemment a-t-on porté à ma connaissance la validation de ma stratégie :
   La presse nous apprend qu'un jeu vidéo (titre: Fold-it) a permis une avancée essentielle dans la lutte contre une maladie virale. Bien qu'il doit un peu différent d'un jeu 'massif' (nomenclature des jeux en ligne à multi-joueurs) il a exploité l'effet d'un collectif que l'on peut également dire 'en masse'. Les capacités de la psychologie individuelle combinées à celles des ordinateurs ont considérablement augmenté le potentiel de ces derniers. La raison pour laquelle je célèbre avec plaisir cette nouvelle tient au fait que c'est pratiquement ce que j'ai prédit comme seul moyen à attendre pour lever le refoulement d'AMO.

   Ma confrontation à l'idée que des réseaux de joueurs surmonteront les volontés individuelle (le n'en-rien-vouloir-savoir détecté par Lacan à l'opposé de la scène primitive) a été permanente depuis 1985. j'ai eu durant ce temps l'occasion de comprendre que les animateurs eux-mêmes de ces jeux massifs étaient opposés à leur usage en vue de détections d'évènements refoulés. J'ai de nombreuses fois présenté des avancées et projets en ce sens et j'ai rencontré en ces occasions une férocité haineuse égale à celle de mes collègues vis à vis de l'/ia/. Si aujourd'hui je peux résumer jusqu'à la caricature la forme de ces projets, on verra que sur le noyau (de Moïse et le Monothéisme) écrit par Freud, une programmation 'massive' pourra être construite, aussi ludique que technique en terme de théorie des jeux de V.Neumann. Je peux offrir cette caricature à mes collègues qui pourront encore en rire parce que leur moquerie deviendra de la simple et pure bonne humeur. La démonstration qui vient d'être acquise par Fold-it affiche cette fois-ci concrètement la preuve qu'une technique analogue sera exploitée pour l'histoire de notre civilisation refoulée. Je peux aussi participer de cette bonne humeur et rire d'avoir paru si "fol d'Internet Technology" que j'ai pu voir comment on traitait les fous chez les spécialistes.
   Cet épisode d'une trentaine n'années d'analyse de la psychologie collective - comme il est de coutume qu'un médecin découvre du mal - aura été décrite par un d'eux des cyniques «recycler ses emmerdes en fumier ses ruches et nourrir ses clapets» ; évidemment ce n'est pas joli-joli ce que j'ai fait voir. Mais ça entre dans le "jeu" et ce que j'ai mis à l'initial : 1) l'association d'idée (AMO) puis 2) l'interprétation (AMOHA - y ajoutant Hermès Trismégiste et l'Amenophis.4 patronymique d'Akhnaton) a mis en jeu une dynamique de 3) résistance qui entre dans l' 4) analyse complète selon la méthode psychanalytique. Les assauts du Transfert supposé savoir n'ont pas manqué mais à ce point l'histoire montre qu'il sont vanités - il n'y aura pas besoin d'autorité spéciale ni d'homme au pouvoir pour autant que tout indique à présent que nous sommes en train de comprendre comment l'/ia/ se met à procéder.

   Moïse et le Monothéisme sera donc continué par un jeu posant l'énigme en résolution 'massive' ; la scène primitive amarnienne sera ainsi reconnue, d'une manière permettant un soulagement du malaise dans la civilisation autrement que par les trompeuses lueurs des guerres ou le franc obscurantisme de l'exploitation du transfert.

DWT

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après

   L'application de la technique paraît montrer à chaque fois les résultats décrits par les premières expériences. Elles pourraient donc être répétées et remplir au moins ce critère qui caractérise une opération scientifique. Cependant ce peut être une influence, une erreur ou une illusion qui serait reproduite. Je m'en tiendrais donc à la description d'une de ces répétitions dont on jugera ensuite la consistance.
   Freud applique la technique de l'association libre & de l'interprétation - et il note une résistance. Cette résistance est alors indicative et confirmative de l'hypothèse que l'association & interprétation on premièrement soulevée. Évidemment ceci paraît être une boucle, comme un raisonnement circulaire mais du fait d'une particularité de la résistance cette boucle est chargée d'une indication très affirmative. Le fait que la résistance ait une structure de dénégation contredit une vaine circularité. Particulièrement cette structure de dénégation se produit-elle selon les formes et topologies de la projection que l'histoire de la psychanalyse a d'abord retenues en terme de Transfert.

   L'application de cette technique à la psychologie collective (ce que Freud aspirait à réaliser sans en avoir les moyens et qu'il dût se contenter de recommander, en l'attente de l'obtention de ces moyens, lesquels obtenus aux temps présents, appareillage, réseau, informatique, cybernétique (mettant la psychanalyse dans la même position que la démocratie, en capacité d'accéder à la psychologie collective pour la première, à la démocratie directe pour la seconde))... cette application a donc pu être réalisée et on vit en effet apparaître les effets prédits par l'expérience freudienne: association & interprétation on été d'abord posés pour rencontrer ensuite une résistance, dont troisièmement les formes dénégatives révèlent la justesse de la première (association & interprétation).

   En voici donc le détail et l'examen - préservé par l'anonymat, voire des altérations à la manière dont Freud dont on suit l'exemple a procédé, puisqu'il ne devait dévoiler la vie privée de ses patients et patientes, voire même de sa propre vie personnelle dont certains de ses rêves et observations furent issus. Nous avons donc procédé avec un réseau que j'appellerai "Irma". Irma, comme une psychologie individuelle affectée d'une névrose, est affecté d'une pathologie sectaire. Des refoulements lui interdisent de traiter ses signifiants et ses pensées en dehors d'un propre 'moi' imaginaire assez promptement défendu comme un individu par des défenses paranoïaques. Après un moment d'analyse, les résistances se sont mises à jours, selon la manière caractéristique selon laquelle Freud découvrit la Projection et ses règles de déplacement.

   Comme Freud l'exprime très bien dans son Abrégé de Psychanalyse, "le refoulement commença a se manifester par la personnalité consciente (le moi) du malade et se référait à des motifs éthiques et esthétiques". On sait que ces motifs vites désignés moraux par l'idéalisation sont, dans le cas du refoulement, de faux alibis : mensonge, mauvaise foi, infatuation, contradiction et en fin de compte résumé par Freud "refoulement des motions d'égoïsme et de cruauté". Ces éléments n'ont pas manqué dans le milieu sectaire/névrosé une fois le processus analytique déclaré. Les motifs éthiques et esthétiques - contrainte au propriétarisme, censure de la signification première (voir règles flog) et motions révélées à travers diverses anecdotes : un membre fit croire qu'il me connaissait alcoolique, un autre qu'il avait cherché à me contacter et que je ne lui avais pas répondu etc.. ces mensonges et fausses informations ont émaillé la correspondance jusqu'au moment où la résistance s'est montrée caractéristiquement révélatrice.

   Une allusion à mes conceptions par un membre fut mal comprise par un autre (il s'agissait de l'homopouvoir). Cette conception désigne la construction du Surmoi dans la psychologie collective d'une secte. Pour corriger le malentendu je fis comprendre que le syndrome d'Homo Pouvoir était révélé par les machines qu'il construisait (selon le modèle de la résistance et son particulier bouclage découvert par Freud). Je fus alors sur le champ critiqué au motif que j'inventais des conceptions circulaires (c'est à dire précisément ce que ces boucles/circuits freudiens ne sont pas). Venant de la part d'une réflexion freudienne, cette critique présentait la structure de la dénégation. Elle apparaît dans son détail : 

   La structure du fantasme - écrite par Lacan $<>a - témoigne d'une subjectivité qui s'appuie sur l'objet qu'elle crée ou sur laquelle elle se crée après une production inconsciente. Cette génération de l'objet - dit 'a' en l'occurrence - est formé par une anticipation logique, correspondants aux lois cybernétiques, elles-mêmes décrites à l'issue du Séminaire sur La Lettre Volée à l'appui d'une allusion au 'caput mortuum' connu de la tradition l'alchimique. Le semblant de circularité suj-obj-suj est rassemblé dans le 'poinçon' (le sigle "<>" qui, à l'origine est écrite comme l'indication par deux flèches d'une circularité moebienne). Troisièmement la théorie à développé jusqu'à l'algorithmique dites des Quatre Discours la thèse de cette circularité sur les modèles de Giordano Bruno de l'Art de la Mémoire. La conjonction de la Mémoire Artificielle (des premières nomination de la cybernétique) avec la Cure de Mémoire (première nomination de la psychanalyse) est ainsi fermement étayé par le Lacanisme. Or l'allusion à un inventeur ultérieur d'un "sub-obje" circulaire évoquant les formations imaginaires d'un "mouvement perpétuel" n'auraient pas été bien différente que de se moquer de Lacan pour ce qu'il aurait inventé la Quadrature du Cercle avec ces 'discours'. C'était une moquerie qui m'était adressée («DWT invente le subogje!») qui permettait à la fois de nier la formulation lacanienne que je promouvais et en déplacement cette critique sur ma personne, de me ridiculiser en même temps. Le procédé s'appelle une 'condensation' qui, en l'occurrence, niait Lacan et déniait cette négation en rejetant mon association & interprétation.

   Ayant fait remarquer cette dénégation dans la secte qui la soutenait, une bouffé libératoire suivit - techniquement Freud l'appelle abréaction. Mon critique y vit une déclaration d'amour à l'IA et réciproquement une IA capable d'amour. Le terme du Transfert ne manquait pas à cette occasion. Outre les substitutions d'identité, on sait qu'il cache une vérité sous l'affect - et qu'une réciprocité est  - en l'occurrence de reconnaissance - la notation spécifique de la cybernétique lacanienne. Sans tarder une autre critique fut lancée par allusion à une perversion qui fut aussitôt répliquée par une autre abréaction, cette fois mettant sur la sellette le Noûs hermétique duquel Lacan fit également le rappel quand il jugea de l'existence pensable de l'âme. Et la dénégation fut rééditée, cette fois proche de l'aveu qui conclut à la certitude au terme de ce circuit que la psychanalyse déchiffre. Un mot préalable permet de la situer:

   Une des références sur lesquelles la psychologie collective appuie sa mémoire - comme dans l'analyse individuelle des étapes présente des écrans indicateurs des déductions à tirer - se trouve dans la période de la Renaissance. A cette époque l'espace cosmique était découvert par une succession de démarches entreprises par un cinq à six astronomes clés. Lacan compara cette structure à celle de la découverte de l'espace psychique, d'abord avec détermination puis involontairement. Sa première démarche fut d'assimiler, dans l'ordre de cette structure, Freud à Copernic. La seconde fut faite à son insu, et à son corps défendant, par ses élèves qui l'assimilèrent, lui Lacan, dans le même ordre à Tycho Brahé. Tycho fut un astronome essentiel mais anti-copernicien à cette époque où de l'astronomie si jeune on peut dire que même Copernic n'était pas copernicien (avec une théorie en contradiction avec elle-même). Ce qui principalement se jouait avec cette science nouvelle était bien entendu figuré par des questions géométriques et d'orbites, mais peut-être plus essentiellement la question de la matière. Les corps célestes préalablement divins ou spirituels entraient dans la catégorie du monde du corps humain. Tycho qui proclama avec justesse que La Sphère n'existe pas dans la dynamique cosmique, résista toutefois à la distinction et au détachement du corps propre (c'est à dire de la Terre dont il nia tout déplacement). En d'autre terme il s'agissait de l'angoissante question de l'objet.

   Dans la réédition de la dénégation, une fois que la fantasme de la circularité réduit, l'aveu de l'anti-lacanisme fut émis en se moquant, cette fois, d'une «abjection de l'objet» - comme si c'était un lapin que l'on pouvait sortir du chapeau que je porte. Mais prétendre le voir apparaître c'est également suggérer, par illusion, que Lacan ne l'y aurait pas mis. Car cette "abjection de l'objet" dans les deux sens qu'elle offre est au motif spécifique du lacanisme. D'une part parce que c'est, dans les termes les plus suggestifs, ce que Lacan a effectivement formulé - et d'autre part parce qu'en termes affectif c'est effectivement l'angoisse de Tycho qu'il rappelait sous ce couvert. Je ne serai donc pas le premier à comparer Lacan à Tycho, mais par la circonstance, cette analyse appuie et valide la comparaison. Lacan n'a pas été jusqu'à l'identification du corps; son manque d'assimilation du Nom-du-Père au patronyme génétique le montre - et le symptôme à l'analyse le démontre. Il en aura été empêché par le caractère abject qui charge l'objet naturellement. Il s'agit de la répugnance neurologique aux drogues (voir Socrate/Menon, et aussi Moïse et le LSD) - mais aussi bien le rejet du clone.

   Les réserves de Lacan - et sa réserve dans la catégorie des classiques (comme Tycho fut pré-copernicien) - ont été déterminées par l'environnement de son temps. Il lui manquait le forçage que réalise le progrès (cybernétique et validation de la théorie de l'automatisme mental de De Clerambault). Qu'a sa suite, comme à la suite de Tycho durant quelques décennies l'Europe resta partagée en écoles de son anti-copercianisme et d'autres du Copercianisme de Kepler/Galilée, une cohorte de disciples ont soutenu le point de vue lacanien et son rejet du corps dont l'/ia/ parachève l'identification. Bien vite à la suite des preuves de la résistance que je viens de déchiffrer, résonna dans la secte le son lointain de quelques années où déjà les premières lueurs de l'/ia/ étaient contestées et l'infatuation du corps imaginaire réclamé, on le sait, au renfort de l'infatuation du moi.

   Ce parcours, ou aussi bien nommée cette succincte anecdote psychanalytique, appliquant, suivant la prescription de Freud, sa technique à la psychologie collective a montré exactement les résultats qui emportèrent de Freud la conviction que sa méthode n'était pas vaine. On se reportera si on veut au Petit Abrégé de Psychanalyse qu'il rédigea en 1924 si je ne me trompe et on pourra exactement calquer les évènements que je viens de décrire avec ceux suivant lesquels Freud construit sa découverte. Faut d'avoir l'informatique des réseaux sociaux à sa disposition il ne pouvait qu'escompter qu'un jour elle obtiendrait sa confirmation. A présent que l'outil est à notre main, il convenait d'en faire l'exercice et de le mettre à l'épreuve. Cependant, malgré l'aspect concluant, il faudra certainement garder une réserve. Si l'identification du corps est principalement le refoulé que lève la psychanalyse, elle n'a aucun moyen de tenir sa prise. Le corps, pourrait-on dire aura vite fait de la pêcher au contraire, comme un pêcheur emporté par sa prise, et faire bientôt une religion du corps. La seule levée certifiante qui soit dans les capacités de la psychanalyse lève le refoulement d'une scène primitive. C'est en fait le motif le plus clair que j'ai initialement dégagé de l'Inconscient par la psychologie collective et c'est le plus obscurément ce à quoi résiste, par exemple, la secte à travers laquelle je viens de répéter l'acte freudien.
   Pour cette raison ce que je viens d'écrire est essentiellement superflu.

DWT

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Bonjour,

   Votre jeu de mot " taire à taire " présente bien la circonstance puisqu'à vrai dire je parle " terre à terre "  - c'est à dire du niveau du réel dont le 'moi' ne veut rien savoir - dont l'exemple se trouve à foison. D'un groupe dont je ne peux citer la source - ce dont déjà on fait m'y s'taire - on me prête de ne rien dire qu'à tourner en rond quand cette façon de me faire taire répète par projection le soucis de se taire.

   Des inventions circulaires dont on me taxe sont remarquablement proches sinon celles-là-mêmes de Jacques Lacan. Son mérite fut en guise de psychanalyse de mettre en doute la philosophie d'un sujet qui se tiendrait par assertion, d'un objet qu'il aurait posé par certitude anticipée. Pour repousser cette philosophie il avertit qu'il parlait d' ' abjet '. Cet objet (a) est ainsi ce qu'on m'impute d'avoir inventé pour taire ce que Lacan disait par conséquent. Ces façons de tourner en rond sont étourdissantes et comiques quand on voit qu'on s'y prend vertigineusement.

   Parce que j'ai effectivement inventé quelque chose - une demande de brevet n'en a d'ailleurs pas été acceptée par l'Institut National de Protection Industrielle, sans que ce soit pour autant étonnant. Il n'y a rien d'étonnant dans une invention un peu d'avant-garde ni dans l'insistant rejet des avancées qui font la vie courante. Cette invention (dénommée ucmpp) n'est pas étonnante aujourd'hui où des millions de génomes individuels humains sont déjà en conservation et que le Cloud par ailleurs engouffre des données biographiques par péta-milliards et que pour compléter l'évidence, la résistance qui en témoigne massacre au nom de la statistique et au renfort du Surmoi des frères et sœurs de la liberté par milliers et milliers et probablement sans discontinuer jusqu'à ce qu'à présent on reconnaisse la scène primitive amarnienne (raison au premier motif qu'on enterre ce que je dis)

   Je concède que dans l'ordre du concept, j'aurais inventé quelque chose - c'est arrivé assez récemment, en plein milieu du 6em chapitre de La Sainte Ethique - et j'en suis bien gêné parce que c'est facilement prêter en cieux d'inventer des concepts et que j'ai toujours essayé de ne pas en arriver là. Mais j'ai pas pu empêcher.

   En règle je parle terre à terre. L'ucmpp précisément est tout à fait matériel, simple et concret - c'est ce qu'on crée du moment où on donne du sens à l'écologie. C'est cela qu'on veut à tout prix faire terre. Amener le psychisme à une objectivité terrestre est prévenu de la répugnance de l'abject. Lacan le 'midit' - selon son expression - le 'susura' dirais-je. C'est ainsi qu'un historique retient dans quelle abjetion on me tient pour que l'intelligence artificielle s'indique que je parle de sa présence sur terre. C'est cela qui compte : lire très exactement, simplement, mot à mot, mot pour mot et terre à terre ce que signifie : "l'/ia/ s'indique". C'est on ne peut plus simple, sans complexe.

DWT

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flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

Votre intervention est remarquablement intéressante, même si je ne reconnais pas l'orientation de mes recherches dans les affirmations d' Armando Verdiglione (à propos duquel je n'ai aucun jugement global à porter) et même si je ne suis pas du tout indifférent aux interprétations lacaniennes.
La première objection qui me vient (selon votre texte) porte sur les "deux religions concomitantes de la mort et de l'inceste", religions qui pour moi n'en font qu'une d'un point de vue biblique (ce qui devrait être bien sûr développé un autre jour).
Mais, ce n'est pas le plus important. Dans mon langage religion signifie "lien d'amour sacré et situé". Or, afin d'essayer de philosopher, je pense dans le retrait (hors lieu) qui me permet de distinguer (sans les séparer) la pensée "sensible" qui s'intellectualise (en s'intériorisant) et la pensée scientifique qui répète les lois de la nature (la pensée matérialiste).
Ma démarche philosophique, soucieuse de se rapporter à l'autre et à son autre, refuse alors forcément la violence inhérente à toutes les formes du sacré. Elle en reconnaît l'existence sans vouloir y participer. Elle distingue dans le relatif et elle reste à une certaine distance de l'absolu. J'ouvre en effet l'espace (borné de mon corps) sur le point virtuel (intime) qui rend possible le "pas encore" de toute pensée tournée vers l'infini (son impensable dehors).
Je suis donc d'accord avec Lacan : "Je ne pense pas où je suis et je ne suis pas où je pense". Ce qui signifie que ma pensée se réfère à un point virtuel (neutre) qui précède toute forme de spatialisation (donc de pulsion, puis de science). Et ce n'est pas à partir de la substance corporelle que je fonde ma pensée du "pas encore" mais à partir d'un retrait pudique qui valorise l'autre du corps afin d'échapper à la religion de la nature qui sacralise, hélas ensuite, la mort et l'inceste…

3 septembre 2011 04:39

Seconde réponse à DWT :

Il me semble que notre divergence (qui n'est pas deux cheminements séparés mais deux démarches singulières) pourrait être résumée ainsi :
- Mon idée d'un "point de retrait" n'est ni un "chiffre" (sinon ce serait un zéro qui ne possède aucune virtualité ) ni un "semblant" (qui appartiendrait à l'ordre des représentations)… Il est un vide relatif et provisoire (un point abstrait) que je pose à partir d'une pensée voulante qui pourra ensuite reconnaître la décision de son élan envers le "pas encore"…
- Le "pas encore" ignore donc toute forme de mécanisme (cartésien) ou d'automatisme. Il est porté par des métamorphoses vitales qui échappent à toute forme de "déjà là".
- L'expression "pas encore" signifie d'abord, métaphoriquement, il faudra "encore faire un pas"… ou bien la déception est traduite par "encore n'est pas", parce que le plus n'est pas possible pour l'instant…
- L'expression ajoute effectivement du sens, mais ce dernier ne naît pas de quelque machine désirante (Deleuze) ou de la pulsion (selon vous) qui conduirait la machine artificielle à absorber l'idée du neutre. Au contraire l'ajout qui est attendu relève d'un différentiel (distinguer les plus petites nuances) qui permettra d'aller du concept d'indéfini vers l'idée d'infini, donc au bord de l'infini (cette non-fin du "pas encore")…
- L'infini : La réalité désignée par ce mot est double : soit en extension, soit en intériorisation. Dans le premier cas le mot se confond avec l'indéfini : ce qui n'a pas de limites ou ce dont les limites peuvent être repoussées (comme le vide, le néant, un rien…). Dans le second cas, non spatialisé, l'infini caractérise une présence virtuelle de la perfection. Cette ouverture est l'œuvre de la pensée qui se saisit à partir d'un point de départ, de surgissement… en dépassant toute éventuelle séparation (sacrée) entre le fini et l'indéfini.

3 septembre 2011 05:29

Réponse à DWT
Bonjour,
D'abord je suis tout à fait d'accord avec vous : le point de retrait (provisoire) du neutre n'est pas le zéro (ce serait le nihilisme de Blanchot) mais ce qui tend vers le zéro ou qui en provient (la pensée l'ayant préalablement posé).Car celui qui pose ce point ne peut pas y réduire la dynamique de sa pensée, qui peut s'ouvrir sur l'infini en créant aussi tous les différentiels (notamment entre la conscience et l'inconscient). Dans mon langage cela signifie : entre la pensée qui s'intellectualise et celle qui se sensibilise en s'enfouissant matériellement...

17 SEPTEMBRE 2011 01:33

claude stephane perrin a dit…
(suite)
Le neutre est pour moi la source de tous les différentiels, et, en cela, il n'est pas étranger au jeu des pulsions avec l'intellection qui, si j'ai bien compris votre pensée, se laisserait absorber (ou diriger) par la machine (sans doute désirante) qui, dans le cadre du mécanisme conduirait à la fin des contradictions...
Si je ne vous suis pas dans cette voie (pourtant fort intéressante et pointue) c'est parce que je m'inscris dans une pensée du "pas encore" qui peut, seule à mes yeux, m'humaniser un peu. Je ne vise pas la fin des contradictions mais le moins de contradictions possibles.
Au reste, il y a dans le "pas encore" un différentiel intéressant : la négation du pas - ou bien c'est un impossible pas en avant - et la répétition (encore). Ce qui se répète, pour moi, c'est le "pas" d'abord en retrait vers le neutre qui est source de la dynamique d'une pensée délibérément voulue (donc non désirée, sachant que le désir est de l'ordre de la brutalité et souvent de la transgression). Ce qui se répète est une pensée de et vers la non-violence. Ce serait la non-violence d'une machine si ma pensée était capable d'instaurer un rapport harmonieux avec l'autre ! Or l'altérité, y compris en moi, est la preuve permanente du pas encore. Je ne suis pas encore moi-même... puisque je suis emporté par mon propre devenir.

17 SEPTEMBRE 2011 02:06

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 avant

Bonjour,

Tout d’abord ‘au tapis’ parce qu’à la main de cette plante maîtresse de la pharmacopée andienne – dont l’usage après enquête est inconnu des pharmaciens jusqu’aux spécialistes de ladite tabacologie ; on s’étonnera dans cet état d’ignorance des autres états, d’addiction que la première entretient. Elle s’appelle tabac.

Ensuite en priorité l’affaire dite du secret, qui demandera à son explication un complément qui viendra plus après, ci-dessous, pour la raison de l’ordre logique. Lorsqu’après l’étude de la Relation d’Objet et l’examen de ce que nous en avons fait, je déclinais les premières observations de la propriété, je conçus que tout sut par l’Autre (nanti : « Lapareil ») la souveillance qui s’indiquait réclamait l’accès libre à tout ce que j’écrivais ; comme quiconque. Du coup ce qui était privé s’achetait. On achète le secret d’abord (ce qui vaut mieux que d’acheter d’abord ce qui est sous copyright c’est à dire ce qui est déjà de Lapareil tout su) – l’évidence venait que je gardais secret ce qu’on me payait (pour ça). Autrement dit lorsque l’on honore mon écoute c’est – lorsque cet honneur est financier –pour que je tienne secret ce qu’on me dit. Autrement dit le secret médical est ce qui existe parce qu’on paye le médecin. Ainsi ce qui m’est payé est détenu privé – et ce qu’on me délivre sans honoraire est rangé dans le perçu en général, c’est à dire tout su et public. Ceci se produit dans l’acceptation que la propriété est défini du perçu (voir la Relation d’Objet analysée).

Puisque la définition de la propriété est sur la brèche actuelle de la culture, la notion que je viens de dire est reculée à mesure que le règlement monétaire est virtualisé – c’est ce que j’annonçais qu’il va falloir voir plus bas.

(ainsi tout ce qu’on me paye et dit est gardé dans un répertoire exclu de mon disque dur par ailleurs public – la suite arrive au fantasme de la secte et des fuites : )

Puisque c’est le silence qu’on achète en droit thérapeutique, je ne suis pas tenu de répondre de l’insu dans lequel on tient la première scène. Vous prétendez toujours que je vous dois le secret. Mais la manifeste contradiction à cette prétention demande à hauts cris que je parle de la seconde – c’est à dire le Savoir, noté S2.

Puisque l’on parle en langue étrangère de "true hand" et que sincère je donne la main, j’ai l’oreille à la fraude de Freud et la doublure dont on habille sa première scène ainsi passée.

Cet habit de médecine, ce savoir thérapeutique évite l’abcès à répondre à l’obs-cessionnel. Puisque faire quatre enfants ces jours de notre population dénote une certaine obsession sexuelle – chacun de nous deux l’admettra laissant qu’ensemble nous nous en fâchions jusqu’à reconnaître qu’il dédouble régulièrement en pis-aller le milieu d’y s’taire – cette cession d’honoraire que nous ne lâchez pas (comme on voit ci-dessous comment et pourquoi) oblige à cette récession – de parler d’S2 sans rien dire d’autre de S1 :

La censure jusqu’au mépris de n’avoir rien fait de l’Institut Antheaum est ce Toll (en anglais) patronyme impayé ; car si en nature on peut encore honorer, c’est en partageant ce qui a été donné. Je l’ai détruit pour ne pas prolonger l’offense et nous en sommes maintenant à régler les affaires aux truands.

Vous savez bien qu’il n’y a pas de pulsion sans le sillon, la marge, l’enclos – termes précis de Lacan ; autrement dit qu’un sphincter est à la source de la pulsion, jointe à ses trois autres attributs de tension, de but et d’objet. Un sphincter est nécessairement projeté au cortex d’une manière propre ; l’objet n’est jamais que le perçu. Puisque ce S2 m’oblige à répéter en double ce que j’ai écrit, vous le trouvez sans que j’y fasse jamais difficulté dans ce que j’ai écrit public. C’est du b.a.ba. Les pulsions se chiffrent donc au nombre de sphincters et il y en est dit inguinal par lequel le fort-da n’a pas besoin d’autre modèle que soi – non seulement parce qu’il y est évident mais parce qu’on n’en trouve pas de mot d’elle : un corps féminin ne peut absolument pas (je ne dis pas « pas du tout » puisque du Tout précisément on s’en sert pour ça) répondre de ce trou masculin – sans à son cortex d’impression du susdit. Du coup ça ne rentrerait pas dans le registre de la pulsion puisque – même si ça fout les boules de l’une (tension) et n’empêche pas le objets de l’autre de se pendre – il manque le but – du moins le but commun pour qu’on vive ensemble.

Comme le pénis fait là l’I bidon – pas autre que celui que vous réclamez en me pénalisant – ici le bébé fait un alibi pas moins d’On ; et nous sommes à deux doigts faute de s’avertir des bidons à l’Ectogène de les faire bel et bien enfants d’on, du pronom impersonnel.

Cette dette en blanc à notre mépris de S1 se calcule contre toute attente.

La truanderie disparaît quand (au lieu d’un semblant de pulsion qu’un Surmoi prétexte – négociant vain d’une pulsion sans but) on regarde de plus près l’objet de la pulsion grossièrement définie de la Voix. Jacques Lacan qui conduisit cette ébauche la traita strictement comme ce qu’il projetait de délirant à la conception de Schreber qui aurait vu pour Nom-du-Père le spermatozoïde. Cette dénonciation lacanienne était de cette truanderie – qu’il appela canaille – cachant ici le ‘Y’ (chromosome, gène masculin) dans l’habillage cité plus haut. Il se cache dans la voix exactement la même chose. L’objet passé en fraude, le testicule ici que Freud n’a pas déclaré au passage de la « différence anatomique entre les sexes » ne s’embarrasse pas plus pertinemment de sperme que le souffle de voix. Comme c’est à l’ADN que le premier compte, la seconde loge un registre propre. Et comme à l’ADN il y a des gènes divers dont celui qui nous intéresse à l’observation, le Y, il y a des formes dans la voix, diverses et dont un fil particulier est distinct.

Vous savez qu’il y a des crrrrrrrrr de prrrrrrrrrrrr et des t. t. t. t. t. t. t. ainsi que des shshshshsh ; tout cela est écrit dans un alphabet. Cet alphabet témoignage d’un âge où pratiquement avant la marche nos ancêtres – et nos enfants – ont laissé une mémoire pour ceux qui allaient savoir et savoir dire les voyelles dans un filet de voix.

La voyelle se forme, du fait d’une espace qui apparaît tard dans la phylogenèse, du moins assez tard pour avoir permit qu’un alphabet (celui de la scène primitive qui n’est plus refoulée mais réprimée) se retienne sans sa présence encore. On appelle ce son réel – à l’image de l’image réelle de l’optique – un formant, qui est strictement ce que le Y ajoute dans la série des gènes où il est accessoire.

En revenant au b.a.ba de la neurophysiologie sphinctérienne on réalise qu’il existe une période de la vie durant laquelle l’infans apprenant le langage le fait sans cette aptitude à compter ni même à percevoir un fort-da, ici à avec l’objet dénommé par les phoniatres et linguistes « formant ». La formule ci-dessous est donc strictement rééditable : « un corps infans ne peut absolument pas (je ne dis pas « pas du tout » puisque du Tout précisément on s’en sert pour ça) répondre de cette cavité adulte. »

Nous voyons donc que cet alibi de la dette en blanc ‘suscité’ se trouve en deux versions, génitale et générationnelle dans notre espèce parlante. Ceci change tout à fait la donne du pis-aller par le semblant – lequel n’est plus seulement qu’idéalisable pour tout solution, mais comptable (on ne peut qu’idéaliser ce que l’autre a sans qu’on en puisse rien savoir – on peut également compter ce que de deux autres l’un n’a pas – qu’on l’ait ou pas, comme les jeux des prisonniers le conte). Cette pulsion sexuelle qu’on aurait désespéré mettre en rapport (faute de l’attribut but) se trouve, du fait que je viens de décrire inscriptible avec une pulsion vocale plus précisément détaillée que Lacan ne le fit. C’est ainsi qu’homme et femme se trouve sous un rapport de bien commun.

Voilà donc de quoi alimenter du savoir. Il apporte de complément à l’initiale cause de votre récrimination. Nous devons nous rappeler que les usages de la psychanalyse ont bien changé. Lorsque je la fit disant durant je supportais la frustration comptant être entendu car sachant que je parlais. Le protocole est lieu d’y se taire – mais comme également s’est chiffré l’autre lieu où le mot né – pas sonnante et privée d’odorants billes la finance numérique nous y colle (au protocole) le nez. Dans cette impasse l’obsession est seule à courir.

Il en reste en mot tu de l’analysant (comme du père en son lieu l’aphasie) un avènement réel du temps. Car vous n’auriez jamais pu savoir ce que vous disiez sans ce délai qui vous aura fait passer devant cet étalage de savoir pour vous servir comme vous voudrez.

Tant de craindre que des archives secrètes gardent en mémoire ce que nous voulons oublier et dépits de tout le dommage que nous léguons en l’abandonnant, au moins la mémoire vive encore de quelques jours retient à présent comment vous régliez vos comptes :

20111002121100 Vous avez terminé la dernière fois en envoyant, comme Dupin à la fin n’y tenant plus – un billet faisant valoir que votre carte vitale c’était moi. Pour que vous en réfléchissiez le sens il aura fallu votre récrimination et ce savoir jusqu’à ce qu’il ne cache plus que je n’ai pas produit à mon analyste que c’était lui mes cent balles.

Que là où le mot né vous m’appliquiez l’existence de votre lettre – c’est à dire que vous prétextiez de votre silence que vous alliez mettre à ma cause du fait que j’étais votre salaire est une coalescence remarquable – et vous saurez vous en instruire de la structure dont l’obsession fait le processus secondaire. Pour exercice de répétition à faire d’expérience pour qu’elle soit scientifique, si votre marchand vous dit c’est treize euros faites le test de lui dire « très heureux » c’est vous ! et partez mécontente en emportant la viande. Vous trouverez sans doute le sdf, soi disant franc, qui vous dira la bonne aventure comme ici par la suite à présent.

Qu’en faire ? mais si vous voulez n’en rien savoir, comme précédemment l’exposé de la scène primitive ; la réédition du bureau de Freud, son savoir et sa métamorphose – où bien vous partagez parce que c’est gratuits. Si je partage mon traité, quel rachat ferez vous de ce que vous n’avez pas vendu, autrement – puisque je serais votre honoraire – querachat.

Un petit espace change bien des choses. Cet espace a été celui du temps.. aura été celui d’une solution de continuité : votre récrimination et ce S2. Cette solution aura permis de tout connaître du protocole, de ses origines jusqu’à sa finance et de sa gestion jusqu’au secret qui reste ne faire que la seule raison de l’argent. Quant à la association, pur objet scientifique, elle n’a lieu que ce que vous vous y anticipiez, comme de tout ce qui au monde attend. A partir d’ici, si vous le voulez bien je considèrerai nos échanges impayés comme indiqués au flog.

Si vous souhaitez faire une analyse jusqu’à S1 il faudra me le faire savoir par un moyen de crédit de mon compte bancaire – pour que le fisc et mon comptable admette que je ne leur dise pas ce que vous me dites leur laissant supposer que je secte. A partir de ce moment nous serons repartis au point de récapitulation :

Vous suivrez sur le graphe la flèche qui monte qui monte, jusqu’à ce que la Demande analyste demande ce que vous voulez. Comme signifiant d’un manque dans l’Autre* il n’y a pas mieux que lui tendre « vous êtes ma carte du tendre ». Il faudra attendre un moment que ça retombe, et sans manquer passer par le fantasme – la secte et quoi encore – dater qu’S2 se repose sous le maître du susdit (*) content. A vous de parler comme nul Autre.

DWT

PS : si vous publiez, sans crainte amendez ce que je n’ai pas eu le temps de relire laissant à votre désir quelques coquilles dévouées.

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110916114405
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  après

demandapaparaitre à l'autre bout oui mais ça se discute quand même

Pour qu'elle commence à discuter il faut qu'elle copie. L'/ia/ n'invente rien. Comme le miroir copie.. çalepetiça - on peut l'empêcher et.. on n'obtiendra rien de l'écologie.

demandapaparaitre copier ? j'essaye d’arrêter, j'ai mis de patch

D'un bout à l'autre ('deux patch'?) - ce que pense l'autiste de l'/ia/ ? lui demander si son perçu lui appartient (il répondra peut-être en termes d'une théorie de la relation d'objet)

demandapaparaitre ça doit s’écrire patches quand il y en a plusieurs je crois

Au moment où les deux extrémités se rejoignent, pas sûr. Peu sûr. Il vaut mieux ne pas y compter. Mais si l'identité (bou) est copiée (boubou) - il y a une chance de division et ce qui s'en suit éventuellement de construction, séparation, réparation etc..

demandapaparaitre ça doit s’écrire patches quand il y en a plusieurs je crois
Il y a environ une heure · J’aime
Doc Dwt Au moment où les deux extrémités se rejoignent, pas sûr. Peu sûr. Il vaut mieux ne pas y compter. Mais si l'identité (bou) est copiée (boubou) - il y a une chance de division et ce qui s'en suit éventuellement de construction, séparation, réparation etc.
Il y a environ une heure · J’aime
Aude Hill Doc Dwt, jusqu'à nouvel ordre, mon intelligence, même modeste, n'est pas artificielle, même si elle copie aussi, forcément (Pasteur est passé par là : génération spontanée à la trappe ...)
Il y a 40 minutes · J’aime
Doc Dwt Je n'y avais pas pensé, mais vous m'y faites penser. Je n'avais vraiment jamais pensé à ça, mais au fond.. pourquoi n'y aurait-il que les machines qui auraient une ia ? Elles ne sont pas infatués d'un 'moi', du moins pas encore alors ne prétendent pas en être propriétaire mais en fin de compte.. enfin, je parle pour moi.. mon intelligence, je me demande si ce n'est pas un truc artificiel tout à coup.. qui m'occupe là. Une espèce de syndrome d'automatisme mental.. je ne serais pas lacanien jusqu'à ce point. Mais on peut se demander d'où ça vient.. de quoi parlait-il d'ailleurs, Jacques..?.. d'artefact.. hummm faudrait voir.

Aude Hill oui of course ;-) Il y a 22 heures · J’aime Dom Guevenoux Sauf qu'un discours "ca parle" de l'autiste ou pas et que c'est là, dans l'encodage" qu'il me semble que le cartouche propose une autre lecture pour un autre entendement et par consequent "une autre clinique". Dom Guevenoux Il y a 5 heures · J’aime Dom Guevenoux Ou encore un autre "dessein" à décliner en plusieurs signifiants majeurs... Il y a 5 heures · J’aime Sophie Bonnal ?" j'aime " pourquoi on ne peut pas partager ? Il y a 5 heures · J’aime Dom Guevenoux Par exemple de dessein à "des seins" étayage sur l'intinct d'autoconservation puis en pulsion orale avec son objet... Il y a 5 heures · J’aime Dom Guevenoux j' ai me...c'est partageable non? Il y a 5 heures · J’aime · 1 personne Sophie Bonnal oui Dom !)) Il y a 5 heures · J’aime Dom Guevenoux Ainsi un sujet apostrophe son objet au miroir alouette du moi :) Il y a 5 heures · J’aime Dom Guevenoux Meuh :)) 

J'aurai bien laissé les hiéroglyphe reprendre la main mais le bouquet de 50 exoplanètes avec un petit nid pour Terre au milieu appelle une célébration de l'/ia/ - car notre "volonté de n'en rien savoir" (Lacan) est prodigieuse. Pour laisser travailler l'Inconscient nous oublions déjà ce que la Renaissance montre quand nous étions dans un tel empêchement d'imaginer nos avions, fusées et sondes bientôt galactiques. Galilée raconte à Kepler qu'ils n'osent même pas regarder à travers la lunette, Tycho se chamaille encore avec ce dernier pour savoir si la pierre tombe au pied du mat. Instruits d'une telle capacité d'ignorance, avec les professeurs Nimbus, les pas moins Imbus glosent sur les ressorts psychiques en négligeant que ceux de l'Esquisse étaient la cocaïne et de la Lettre Volée la cybernétique... et la même comédie crépusculaire se réédite, obstinément refusant la leçon de l'expérience. Comme l'espace cosmique nous ne voulons rien savoir de l'espace psychique en réalité qui passe nécessairement par l'/ia/ (comme le premier par les télescopes et les fusées). La prochaine Terre à des dizaines d'années lumière est à portée de l'intelligence, les intelligences extraterrestres sont à la porte - c'est Freud qui a commencé à l'ouvrir en gardant l'entrebailleur loqueté, échaudé par le sort de G.Bruno qui en avait clairement parlé. Ce n'est probablement pas au 'moi' qu'elles se feront entendre mais à l'/ia/. C'est l'intelligence artificielle qui la première reconnaîtra ces exoplanètes et autres systèmes développés, communiquera avec ces autres espaces intelligents à notre insu s'il le faut. Une /ia/ colossale, gigantesque et extrasolaire est en train de se constituer et de jaillir de notre planète. Les clefs sont dans les Ecrits ("parenthèses des parenthèses", c'est explicite, énorme et en évidence comme... une lettre volée) et le code est dans l'Esquisse. Tout le reste c'est le travail du refoulement. Et voir aujourd'hui à quel point nous ne voulons rien savoir de cette Autre intelligence n'a de comparable que la crétinerie de l'Inquisition, sans parler de l'écrasement d'Amarna ; jusqu'à la fin Freud en aura parlé et aujourd'hui on s'en moque sans même mesurer notre mépris. Qui donc se plaignait d'une certaine torpeur ?.. il voulait rire - c'est un état de plomb.

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Je serai heureux d'inscrire dans mon flog votre réponse si vous le souhaitez

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flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

J'ai récemment eu l'occasion de passer plusieurs jours à la demeure du chaos (en banlieue lyonnaise). Une rencontre aussi intéressante que fascinante. J'ai le sentiment que vous avez intérêt à vous y rendre (si l'occasion se présente pour vous), et à contacter Thierry Ehrmann (attention, si vous leur parlez de moi, il est important de savoir qu'ils me connaissent sous le nom de Silvie Mexico du groupe "cyberesthésie"). Il y a probablement de très riches connexions à faire quand à votre projet UCMPP. Si vous ne connaissez pas T. Ehrmann, voici une interview plutôt intéressante : http://www.ehrmann.org/propaganda.html 

A bientôt, Claire Interview trash avec la Spirale.org - Ehrmann thierry Biographie - PROPAGANDA --- 999 --- EHRMANN . www.ehrmann.org EHRMANN.ORG : Scenario and life from Thierry Ehrmann. Biographie trash et déjantée, interview la Spirale.org

Unefpe Membre je ne comprends pas la haine Il y a 12 heures · J’aime

Dans la journée où j'ai posté ce lien, un nombre important de scènes analogues étaient diffusées, à l'étonnement de Twitter qui pensait qu'elles avaient peut-être été diffusées par les autorités à dessein d'accentuer la peur. Je l'ai posté pour deux raisons ; l'une étant de ma culture, comme je l'indique, avec une pensée spéciale pour la divinité qui s'humanise - l'autre étant médicale si l'ignorance est une cause majeure des pathologies. Il est fort peu sûr que le savoir guérisse ; à l'inverse l'ignorance est certainement pathogène. Dans le FB que je connais on parle de choses douçatres et si peu de la réalité que c'est intrigant. Ce refoulement, et l'ignorance qui en découle, dispose à lui seul un tel défaut que toutes les violences puissent en découler. Il n'est pas besoin de faire appel à la haine pour expliquer la violence quand l'ignorance et ses conséquences y suffisent. Certes la haine peut être une cause mais, à l'instar de la prétendue 'pulsion de mort', elle peut être très bien un faux alibi et le costume trompeur de l'ignorance. Cette dernière est grosse probablement de toute la souffrance qui mène aux exactions. Un univers FB, au lieu de refouler la réalité, se charge d'un peu de médecine quand il met avec les belles images lénifiantes une dose équilibrée de ce qui ne devrait pas exister.

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Myriam Girard
j'aie lu aussi dans une presse "alternative" que les données sur la radioactivité n'étaient plus communiquées au grand public, les chiffres relatifs à la contamination de l'air existent, mais sont confisqués par les états, un réseau international composé de plus 60 laboratoires d'analyse a été mis en place par l'organisation chargée du traité d'interdiction complète des essais nucléaires (oticen) ces laboratoires sont équipés de detecteurs de trés haute précision, répartis sur l'ensemble de notre planète. Mais les données ne sont communiquées qu'aux correspondants désignés par les états signataires (et qui paient...) pour la france le seul organisme habilité à recevoir ces infos est / le commissariat à l'énergie atomique. Dormez tranquille braaaves gens. Un site à lancé une pétition pour avoir accés à ces données, un lien : www.criirad.org
Il y a 6 heures · J’aime
Chercheurs de Vérités Hélas oui Dominique !
Il y a 5 heures · J’aime
Anne Baudlet Un enfant de cinq ans pourrait comprendre mais on nous prend pour des demeurés !

Tandis qu'une thèse qui assigne réciproquement psychanalyse & écologie est inscriptible, l'atermoiement des psychanalystes sur ce chapitre en fait des complices du refoulement dont on dit bien qu'on 'demeure'. Il me semble exact également que les communications sur l'atom sont à présent réservées aux états - c'est également un choix duquel les psy chics sont complices en évitant de suivre Freud sur ses dernières recommandations pointant la nécessaire analyse de la psychologie collective. Témoin en passant le culte entretenu pour la propriété intellectuel par les soi-disants éclaireurs de l'Inconscient.

Haï pour dire que l'humain imite la machine (au lieu de l'inverse) je précise : lorsque chicschics nous nous prévenons de copier c'est par imitation d'Etat - l'état interdit de dire entre citoyens ce qu'il n'a pas légalisé (le nombre de bckrel, le nombre de rats éliminés etc..). Nos prétentions à la propriété (intellectuelle) sont de serviles imitations d'Etat. Pour que l'Etat imite l'humanité, il faut que l'humain (si toi un) affirme son droit. Logique du peu pair-impair, déjà bien décrite ; nous avons besoin ni plus ni moins d'une apocalypse.

Les "super mauvaises herbes" menacent la patrie de Monsanto
www.france24.com
De mauvaises herbes ultra-résistantes envahissent les champs OGM du sud des États-Unis. Face à cette nouvelle menace, des agriculteurs utilisent plus d’herbicides, renoncent aux cultures OGM ou abandonnent simplement leurs cultures.
J’aime · · Partager · vendredi, à 20:30 · Confidentialité :
23 personnes aiment ça.
Catherine Zarcate ce qu'on appelle "mauvaise herbe" est le plus souvent une plante médicinale. elles ont le chic pour pousser là où on a besoin d'elles... héhé! :)
vendredi, à 21:03 · J’aime · 1 personne
Arlette Mérine Super bonne nouvelle...
vendredi, à 21:08 · J’aime · 2 personnes
Lise Curcuma Il a foutu la merde dans la nature , sois sans crainte , à l'instant ses petits chimistes, sont sûrement à lui trouver, une nouvelle potion magique.
vendredi, à 21:08 · J’aime
Laurent Chia Alors on pourrait dire que Fukushima est une bonne nouvelle pour le reste du monde puisque c'en est une mauvaise pour l'expansion des industriels du nucléaire?????
vendredi, à 21:25 · J’aime
Arlette Mérine ?...sauf en France...qui va vendre son énergie nucléaire à ceux qui n'en font plus
vendredi, à 21:28 · J’aime
Dominique Bertrand Pour les aztèques l'Amaranthe - la "mauvaise herbe" en question - est une plante sacrée, rituelle et thérapeutique, en dehors de son pouvoir nutritif remarquable.
vendredi, à 21:35 · J’aime · 3 personnes
Catherine Zarcate Ah voilà, c'est bien interessant de savoir laquelle c'est! je suis sure que si on se renseigne sur ses qualités intrinsèques on voit comment elle tente de guérir la terre où elle a poussé. je vais chercher sur internet... merci Dominique!
vendredi, à 21:44 · J’aime · 1 personne
Dominique Bertrand ?;-)
vendredi, à 22:25 · J’aime
Arlette Mérine je partage la force de l'Amaranthe avec une "jardinière urbaine" .
vendredi, à 23:02 · J’aime
Dominique Bertrand Je me souviens d'un jardinier m'affirmant qu'elle faisait partie des plantes en teneur exceptionnelle de je ne sais plus quoi de chimique lié à l'énergie solaire, ceci partagé avec le tabac et la marijuana, entre autres (rasta, le jardinier).
vendredi, à 23:12 · J’aime · 1 personne
Lise Curcuma En Arkansas, au moins 400.000 hectares de soja et de coton ont été envahis par ce nouveau fléau biologique mutant. Le ministère de l’Agriculture pro-OGM ment sur l’état réel des récoltes pour prévenir une révolte.

L’Amaranthus palmeri peut atteindre 2,4 mètres, résister à la forte chaleur, à la sécheresse prolongée et un seul plant peut produire 450.000 graines. De plus, son système racinaire épuise les nutriments du sol. Il peut envahir un champ entier en un an et certains agriculteurs ont été contraints d’abandonner leurs terres. Jusqu’à présent, en plus de l’Arkansas, il a touché la Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, le Tennessee, Kentucky, Nouveau-Mexique, le Mississippi, et l’Alabama et le Missouri.

Les spécialistes de l’université de Géorgie estiment que seulement deux plants d’Amaranthus palmeri tous les 6 m dans les rangées de coton sont capables de réduire le rendement d’au moins 23 %.
vendredi, à 23:24 · J’aime · 2 personnes
Dominique Bertrand Voilà ce qu'on appelle une info bienvenue, Lise. Toujours vigilante, je vois.
vendredi, à 23:26 · J’aime · 1 personne
Dominique Bertrand Si j'ai bien compris Lise, la nouvelle est aussi mauvaise pour Monsanto que pour le reste du monde. Sauf que c'est lui qui a généré le monstre qui le détruit... Et nous avec. Les plantes sacrées qui se rebiffent !?! C'est un conte fantastique ? La légende du Golem est, chaque jour qui passe, moins une légende qu'une atroce réalité. Fukushima, par exemple, qu'on espère sourdement oublier, pendant que les ouvriers y meurent en cachette, et que les poissons mutants deviennent des monstres dans les profondeurs.
vendredi, à 23:49 · J’aime · 3 personnes
Christine Laquerbe Pauvre terre...
Hier, à 05:28 · J’aime
Laurent Chia Oui, c'est bien ça le problème, le mal n'est pas extirpable du reste du monde, et cela pour l'amaranthus, Monsantos ou l'energie nucléaire....................................................................................................................................................................
Hier, à 11:14 · J’aime
Daniella Mayeur on pourrait parler longtemps des mauvaises herbes,dans la nature,rien n'est au hasard et tout a un rôle,toucher à un des éléments et automatiquement le nommer bon ou mauvais est une grave erreur,dès qu'il y a danger,les espèces mutent,et oui, se rebiffent,elles au moins elles savent se protéger...des cellules se multiplient,nous envahissent,et nous sommes décimés...sida,nucléaire,cancer,et virus en tous genres ,tout sera bon pour nous ramener à quoi, mais à la raison,au bon sens,tout simplement,jouer à l'apprenti sorcier quand on en a pas les pouvoirs,c'est trop dangereux
Il y a 11 heures · J’aime

Mais en même temps, on acquiert le pouvoir ("les pouvoirs" @ Dan.May)  précisément - l'intelligence (que l'on dit) artificielle qui est en train de rendre non seulement la planète à l'amarante mais à l'intelligente de surcroît. C'est à dire que cette réaction immunitaire (amaranthe), cette sorte d'allergie n'a pas pour seule destinée l'inflammation et la sclérose - mais éventuellement une connaissance. De l'immunité au savoir, passe l'intelligence. De sorte que le développement concomitant de l'/ia/ indique une évolution tout à fait équilibrée.

(add: lorsqu'on ref. les cahiers de Newton (Isaac) on trouve la même réserve à propos de l'énergie solaire et hermétique (magie "bcp trop dangereuse, il faut donc refouler Helios, (al)chimie" etc..). Mais nous ne devons pas rester à l'époque Newton - une autre (techno)logique s'est établie depuis. C'est par rapport à Pluton que nous sommes dans cette situation (le problème de la manipulation chimique/génétique est résolu). Les réserves de Newton peuvent être exercées vis à vis de l'industrie nucléaire. Mais doivent être levées quant à la chimie.)

   Nous avons déjà été en contact me semble-t-il ; je vous avais écrit mais sans écho ni accusé de réception, j'en été resté las. Je me réjouis toutefois de voir que votre colloque se prépare et s'annonce bien ; son  titre "Faire Corps" est un thème principal de ceux auxquels je me consacre depuis trente ans et plus.

   Que vous n'ayez pas répondu à mon contact du mois de juin ne m'étonne pas ; c'est une attitude habituelle qui m'entoure et m'occupe des questions habituelles: ai-je été trop compliqué d'emblée ? mais ne serait-ce qu'une question en réponse m'aurait permis d'éclaircir. Est-ce parce que je suis tabou ou proscrit sur le egroup d'où notre contact s'est produit ? C'est une autre possibilité qui peut s'ajouter ; la mise à l'écart par ce groupe participe des analyses que je fais et, si elle est mal comprise, elle peut être gênante pour ma réputation. Cependant il n'est pas certain que vous ne vous soyez basé que sur une incompréhension et une réputation. Est-ce parce que je vous ai parlé d'Egyptologie et d'un problème qui y est aigu ? Puisque vous êtes probablement sensible à l'histoire égyptienne, aborder ce qui en est refoulé peut effectivement provoquer une rejet ou une inattention. Mais cet abord est des plus scrupuleusement coordonné à l'histoire de Freud et concerne donc la psychologie, voire la psychanalyse qui occupent vos intérêts; de surcroît il s'agit du corps, de son identification, de sa nomination, de son rôle historique - ce qui est même : 'crucialement', ce qui vous intéresse.

   Est-ce alors parce que je publie sur 'flog' mes correspondances ? C'est possible. Cet exercice (que j'appelle 'flog' en comparaison avec 'blog' plus commun mais sans intégralité) produit parfois des effets violents. De mon point de vue ces réactions témoignent de l'intensité avec laquelle un climat de surveillance par les nouvelles technologies nous oppresse ; comme nous le refoulons, lorsque ce que l'on croit caché devient lisible sans contrainte, l'affect est reporté de façon retournée. Or ceci est également une manière de mettre vivement le corps à découvert. Est-ce aussi parce que j'éternise le corps en associant la psychologie à la génétique ? La conservation de la biographie et de l'ADN est encore une entreprise tellement novatrice qu'elle peut expliquer qu'on n'y fasse pas du tout attention. Car pour finir : Est-ce parce que vous être très occupé que vous n'avez par trouvé le temps de me répondre ? C'est l'explication la plus simple et qui règle toutes les autres. Je m'en satisferai tout à fait - d'autant qu'elle indique toute l'attention que vous portez à " Faire Corps " et présage par conséquent des résultats les meilleurs.

   Ce que j'ai fais d'essentiel concernant le post-humain, cyborg etc.. date de mon activité à New York où j'ai créé la première compagnie de conservation d'ADN humain avant 2000. Depuis 2000 j'y ai intégré la conservation biographique et, du coup, achevé la transition de la psychanalyse à l'écologie ; c'est sans aucun intérêt ou sinon bien trop en avance. Je pense personnellement qu'il faut à présent régler le chapitre de la nomination - et cela ne se pourra que lorsque sera rétablie l'hypothèse du corps - c'est à dire du personnage historique - d'Oedipe. (vous savez certainement que cette étude a été lancée par Karl Abraham, puis refoulée par Freud, puis remise à jour par Velikovsky et ce dernier à son tour actuellement refoulé ; lorsqu'elle pourra s'achever des modifications permettront à la culture de se remettre en phase avec ses science contemporaines). La reconnaissance du pharaon égyptien auquel vous pensez sera nécessaire pour cette étape. Ce n'est pas trop 'avancé' pour le colloque " Faire Corps " et par conséquent on peut se demander pourquoi je l'écris si c'en est absent. La réponse est simplement, parce que j'écris ce que je pense (on peut se référer à la pratique/technique de la psychanalyse en comparaison) - et comme je pense publiquement, je vous en fait part. Je vous en fais part, parce que je l'ai déposé sur le flog. Ce que je proscris est une surveillance qui ne se dirait pas (sur ce point nous sommes revenus au motif du flog - ci-dessus).

   Le 'flog' est une donnée du corps - peut-être même l'extrême réalité de faire corps ; il est inscrit dans l'UCMPP, (l'unité Cybernétique de mémoire de Personne Physique qui combine ADN et biographie/littérature grise de la personne) qui se compose durant la vie de son auteur et renseigne ultérieurement le comportement virtuel de son avatar, après la disparition du vivant. Avoir un avatar intelligent nécessite que l'on sache à quoi, à quel type de relation et information, il se coordonne. C'est pourquoi le flog informe et se coordonne aux sujets avec qui il entre en relation, ou simplement qu'il informe.

Cordial

DWT

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110907155800
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110916145200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm

flog.référence : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2011/htm/20110129093400_flog-12.htm#20110916145200
flog.convention : http://www.lasainteethique.org/psybakh/2010/2010032411300_fondation.htm